Speaker #0Bon, c'est sûr, Marc Marquez, il a survolé ce week-end en Aragon. On aurait pourtant tort de penser qu'il ne s'y est rien passé, en particulier si on parle de Francesco Bagnaia. Et on va en parler dans ce nouvel épisode de Pointe-Corde. On débriefe le week-end du Grand Prix MotoGP d'Aragon. Pointe-Corde, le podcast MotoGP. Ravi de vous retrouver, de vous accueillir dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, on va débriefer. Avant ça, je vous invite, je le fais régulièrement, mais c'est vraiment important. Aujourd'hui, je tiens encore à le souligner, on approche les 4000 abonnés. J'espère qu'on va les dépasser très vite et arriver vite aux 5000. Mais tout ça, c'est hyper important pour moi parce qu'en ce moment, ce qui se passe, c'est que je fais des démarches pour obtenir notamment de nouveaux épisodes interview. Il y en a un qui est en préparation. J'aurais l'occasion d'avoir en face de moi bientôt, je vous l'avais dit, un ancien pilote. Je suis très content. Je fais ça avec Xavier Siméon, notamment. L'épisode est toujours dispo, si vous voulez voir le moment que j'ai passé avec Xavier Siméon. Votre soutien, c'est un peu vous. Vous êtes mes meilleurs ambassadeurs pour aller décrocher encore des contenus plus intéressants en y gagnant tous. Abonnez-vous ici sur YouTube. Il y a le pouce bleu, c'est tout con, ça prend quelques secondes. Même chose dans les podcasts audio. Vous pouvez non seulement vous abonner, vous aurez la motif des nouveaux épisodes, mais vous pouvez aussi poster des évaluations avec ces fameuses étoiles. On ne le fait jamais. Et pourtant, prenez le temps vraiment de le faire. Parce que voilà, je vous le disais, ça m'aide beaucoup. Donc, je vous remercie énormément pour ce qu'il peut. Alors, deux choses. Le débrief ici arrive un peu plus tard qu'habituellement, où j'essaie de faire ça le lundi suivant le week-end de Grand Prix. Là, pour être transparent avec vous, c'était long week-end. J'ai pris ce week-end, je suis parti voyager en Italie. Donc, le temps de revenir, d'enregistrer, de monter, d'écrire tout ça. On est là. Donc, ça, c'est la première chose. c'est que je vais m'intéresser vraiment Au cœur de l'actu de ce Grand Prix, on ne va pas tout analyser parce que c'est déjà un peu derrière nous. Deuxième chose, il y avait un précédent podcast qui l'annonçait. Et là, au moment où j'entre en studio, ça a été officialisé il y a quelques minutes par le MotoGP. Toprak Razgatsoglou sera pilote MotoGP chez Pramac, comme on en avait discuté. On se posait la question de savoir si cette rumeur basée sur des vraies sources allait se confirmer. Là, c'est fait. Si vous voulez entendre parler de ça, au-delà du fait que c'est confirmé... tout ce qui avait été dit dans le podcast reste tout à fait valable. Je vous invite à retourner tout simplement et écouter ce podcast après avoir écouté cet épisode. Et alors, dernière petite parenthèse, après c'est promis, on entre dans le sujet, on va aller dans le MotoGP, mais ça me fait quand même plaisir de faire plaisir aux Belges, parce que ça, ça m'a fait plaisir, bravo à Barry Baltus qui en Moto2 nous offre un nouveau podium, on est super gâtés. Troisième, et après en plus avoir mené cette course, sincèrement il montre de belles choses, on sent que la confiance elle augmente chez Barry Baltus. Nous, en Belgique, évidemment, ça nous fait rêver. Lui aussi rêve et rêve de faire encore mieux dans ses déclarations. Il veut mieux que le podium. C'est génial de le voir aussi ambitieux. Voilà, on est un petit pays, mais on a des talents qui savent avoir des ambitions. Ça, c'est cool. On sait qu'en plus, il a énormément galéré pour être là, Barry Baltus, pour être dans les meilleures conditions aujourd'hui et performer. Donc, c'est classe de le voir. Et surtout, nous, ça nous fait un petit peu rêver de revoir un petit Belge à un moment donné en MotoGP. Barry, voilà, come on, on est à fond derrière toi. Bon allez, c'est parti ! Comme promis, on débriefe Aragon. Le week-end MotoGP en Aragon. On va commencer avec Ducati, forcément, puisqu'on est un peu revenu à la normale. Il y a eu d'abord ce Grand Prix de France sous la pluie, un peu chaotique, où Johan Zarco avait fait cette masterclass et Ducati s'y était un peu cassé les dents. Silverstone ensuite, qui ne ressemblait à aucun autre circuit. On était dans le doute et là on a retrouvé un peu ces sensations, ces marques, et j'ai envie de dire ces marquesses chez les Rouges. Rebelote, Marc Marquez devant Alex Marquez, les deux frères très très forts, ce qu'on avait connu jusque-là, à part quand Marc Marquez chutait, rien à signaler de spécial, si ce n'est que Marc Marquez en mode masterclass en Aragon, apparemment il en a même encore sous le coude, mais là où je trouve que ce week-end est vraiment intéressant chez les Rouges, et c'est là qu'on doit vraiment s'arrêter, c'est chez Francesco Bagnaia. Ça fait des semaines qu'on parle d'un déclic chez Peko, il a vécu un début de week-end... Je ne vais pas dire difficile, mais ce n'était pas encore le top. En sprint, ça a été très, très mauvais. Douzième à 14 secondes de Marc Marquez. Imaginez, le retour au boxe n'a pas dû être facile. Et Francesco disait surtout ne pas comprendre ce qui se passait. Là, ce n'est jamais bon parce qu'on ne sait pas dans quelle direction on va aller. Bon, il y a une direction, il y en a une qui a été choisie. Il y a des modifications qui ont été faites sur la moto le dimanche, ce qui a été expliqué par Francesco Bagnaia. Et ça a fonctionné. Pecco a retrouvé la confiance. Et là où je trouve que c'est réellement intéressant, dites-moi si vous êtes du même avis, c'est que, OK, il termine derrière Alex Marquez, en ayant presque pu aller le chercher. C'était une des premières fois où on l'a vu. aussi à l'affût. Il est toujours, oui c'est vrai, loin derrière Marc, mais il y a clairement eu un changement en termes de rythme, on l'a vu. On a retrouvé le Francesco Bagnaia qui est en confiance. Il a trouvé un truc là, je pense que c'est sûr, presque en tout cas. Et son retard sur Marc Marquez, en plus on peut le relativiser, je le disais, on est en Aragon. C'est la terre de Marc Marquez, il est toujours très fort là-bas. Et donc on se doutait que combler ce gap, ça allait être compliqué. Donc ça sera intéressant d'observer Bagnaia au Mugello. et de voir si ce truc qu'il a trouvé pour sa confiance, ça se confirme là-bas, parce que ça, ce serait réellement la grosse information et la grosse leçon de cette dernière course. Pour info, surtout, je parle de ce changement, mais son directeur technique, Christian Gabarini, lui a expliqué que ce sont les disques de frein qui ont changé pour Francesco Bagnaia. Ça peut sembler étonnant. Des 355 millimètres. Et alors, il va plus loin, Gabarini. Il parle de déclic. Et là aussi, je trouve ça vraiment cool et intéressant. il Il compare ça à la situation de Rorke Lorenzo. Rappelez-vous, Rorke Lorenzo, il avait demandé des modifications ergonomiques sur la moto avec un réservoir qui soit plus adapté à sa position. Avant ça, ça ne fonctionnait pas. Ils l'ont enfin écouté, ils ont changé ce réservoir. Ça a fonctionné. Alors, vous me direz, un réservoir, ça peut peut-être avoir plus d'impact qu'un disque de frein. Quoique, on est quand même sur un élément important. Lorenzo, pour la petite info, à l'époque, il avait gagné au Mugello après ce changement. Alors, je ne sais pas, évidemment. Si, effectivement, on peut comparer les deux situations, on peut le souhaiter à Bagnaya. Alors, vous savez, il y a toujours deux camps en ce moment. Ceux qui pensent qu'il est juste moins fort que Marc Marquez. Et l'autre camp qui pensait jusque-là qu'il n'avait pas encore trouvé la solution. Pour ce camp-là, c'est une bonne nouvelle, puisque ça voudrait dire qu'il l'a trouvé. Et pour en avoir la confirmation, rendez-vous au Moudjel. Évidemment, on va parler des autres Ducati et on va se concentrer sur ce duel. Mais ça, c'est les images qu'on veut. Aldeguerre et Morbidelli, c'était... dingue, à la limite de la limite mais sans jamais la franchir Francky qui est très bien en ce moment et malgré tout le petit rookie qui de course en course est en train de monter en puissance, on le voit bien Aldeguerre, il y a un truc chez lui il y a clairement un truc, en tout cas je suis assez bluffé, l'enjeu il est important en caricaturant mais pour Morbidelli, s'il se fait surclasser au fur et à mesure de la saison par Aldeguerre il va devenir si on veut le pilote le moins rapide ou le moins bon élève sur la Ducati GP24 alors qu'il fait une belle saison ... Donc ça nous a offert en tout cas le duel épique qu'on a vu. Ça s'est frôlé, touché, battu. Et ça, c'est cool. Moi, c'est ce que j'aime. Surtout qu'ici, il n'y avait ni Marc Marquez, ni un pilote, vous savez, qui divise un peu dans la bataille. Donc finalement, personne n'est choqué. Il n'y a pas de faux débats. On sait bien que si dans cette bagarre, il y avait eu par exemple Marquez et Bagnaglia, vu que ça s'est touché, frôlé, ça aurait fait des articles dans la presse ou des personnes qui boudaient sur les réseaux sociaux, on va le dire comme ça. Et là, ça n'a pas été le cas. On adore. Voilà. Et Morbidelli ? quand même bien joué parce qu'il a montré qu'il pouvait avoir du répondant. Aucun des deux n'est parti à la faute, c'était vraiment impressionnant. C'était fort et ça démontre encore qu'il y a du positif chez Ducati. À tous les étages, finalement, Ducati a repris cette domination. Une autre satisfaction, finalement, vu d'où ils viennent et comment ça s'est passé, c'est qu'ATM Pedro Acosta qui a montré un gros rythme durant le week-end. Cinquième au sprint, quatrième à la course, meilleur non Ducati. Et pourtant, il reste assez critique. Pedro Acosta, il est content, mais on sent toujours dans ses propos la frustration de ne pas pouvoir jouer avec la victoire. Je pense que comment il se sentait, il se dit que toujours, s'il avait un meilleur matériel, il pourrait être devant. Écoutez des déclarations qui veulent dire beaucoup de choses. Première déclaration, il dit « Derrière Pecco, j'étais juste en colère. Il pilote avec une fluidité incroyable et moi, je n'ai pas ça. » Comprendons qu'il n'a pas la possibilité d'avoir ça avec sa machine. Deuxième déclaration, là c'est un peu plus tranché. Il dit « Ce n'est pas que je vais me marier avec une marque. J'ai eu une copine, je suis redevenu célibataire. La vie change. » On a bien compris le message, je pense, chez KTM. Et pourtant, on sortait de ce bon week-end. Comme je vous le disais, Binder aussi plutôt bien. Mais il a chuté. Et c'est clairement la mauvaise habitude de Binder, vous la connaissez. Vinales, de son côté, faisait aussi un week-end assez intéressant. Travailleur chez Tech3, qualifié 8e. Malheureusement, lui, il a chuté aussi. Peut-être un peu trop à la limite, Maverick Vinales. Mais le mieux se confirme chez lui, comme pour chez KTM en général. On comprend l'impatience de Pedro Acosta, qui lui, veut être devant, comme tous les pilotes, ils veulent tous gagner et être champions du monde. Mais lui, peut-être encore un petit peu plus. Et voilà, je ne sais pas ce que vous en pensez, je peux le comprendre. Il devient fort, mais là je trouve que sur les critiques, ça ne s'arrête plus. S'il enchaîne les bonnes courses, on peut le comprendre, on peut le suivre, ça n'a pas toujours été le cas cette année. Et là, ça me donne le sentiment, pourquoi je vous dis ça ? C'est que ça donne le sentiment d'un pilote qui panique un petit peu, vous savez, il y a beaucoup de bruit de transfert, et on sent un peu le pilote qui paniquerait à l'idée d'être le grand perdant de ce marché des transferts et d'être coincé sur une machine qui ne fonctionne pas, quand d'autres vont peut-être faire des transferts un peu miracles. Alors du côté des machines japonaises, on était un peu en retrait. Un moins bon week-end à l'exception de Johan Myr, malheureusement accroché lors de la sprint, mais il a enfin terminé une course. On voyait Myr jusque-là à montrer de très bonnes choses sans jamais les concrétiser. Cette fois, il fait une bonne septième place et de nouveau, on a des petites éclaircies avec cette Honda. On reste à 14 secondes du leader, mais on est sur une bonne note. Chez les japonaises, on a aussi Fabio Quartararo qui était bien. Mais vu ce qu'on a connu les précédents week-ends, on attendait un mieux que ça. Donc ça reste un week-end très relatif. On va vouloir prendre du recul avec les prochains week-ends de Grand Prix qui arrivent pour pouvoir vraiment tirer des conclusions. Et pourtant, il avait eu un week-end qui commençait de façon compliquée avec un passage par la Q1 qualifié P9. On aurait aimé le voir finir cette course du dimanche qui au moins a amené une bonne note. Malheureusement, ça n'a pas été le cas. Pareil pour Joan Zarco, partie 12e. Il est entré dans le top 10, il a perdu l'avant. Alors, des confirmations de Johan Zarco, c'est quand il a commencé à se trouver en attaque, en entrant dans le top 10. Son pneu avant a surchauffé et il est parti à la faute. Mauvais week-end, mais pas de quoi non plus. On n'a pas encore parlé d'Aprilia et Bézequi qui pourtant avait gagné la précédente course à Silverstone. On n'a pas parlé simplement parce que c'est un week-end un peu plus discret chez Aprilia. Pas de quoi rassurer Roger Martin avec toute cette actualité et le fait qu'il doit observer ça assez attentivement. Huitième à la sprint, huitième à la course. Donc on n'est pas dans une catastrophe, mais de la part d'une équipe qu'on attendait comme outsider avec un pilote champion du monde. Voilà, c'était d'ailleurs sa position de départ qui a posé problème. Il était vingtième carrément. Donc, ça n'a pas fonctionné pour aller se qualifier. Et la clé, elle est clairement là parce que souvent, le rythme en course et le rythme surtout sur les fins de course chez BZX sont belles à voir. Mais voilà, cette place de qualification, même en faisant une belle remontée, elle ne permettra pas beaucoup mieux que ce qu'on a vu. Et d'ailleurs, sa déclaration, elle va en ce sens. Je vous la lis. En qualification, la moto était difficile à piloter. Avec des pneus tendres, on peine au freinage comme à l'accélération. La moto devient plus réactive et moins précise. Bref, on comprend qu'il y a... beaucoup de points assez compliqués pour faire un tour rapide avec cette Aprilia. Il faudra revoir ça au Mugello et il va falloir faire mieux pour Bedsiecki. Et alors pour Aprilia, sans tirer la sonnette d'alarme, dans le cas où ça ne va pas mieux, il va quand même falloir commencer à s'inquiéter parce que dans le cas de... de confirmation, et c'est très probablement ce qui va se passer dans des parts de Martine, il va falloir travailler très fort pour trouver un successeur digne de ce nom et qui puisse vraiment porter le projet Aprilia pour le faire gagner. Alors, on ne va pas aller inutilement plus en profondeur dans ce qui est l'analyse. ça me semble moins intéressant mais par contre le prochain rendez-vous là c'est intéressant le Mugello ça promet le Mugello vous connaissez l'accueil qui a souvent été réservé à Marc Marquez alors moi c'est un truc que je cautionne pas du tout quel que soit le pilote de l'entendre se faire siffler mais pourquoi je vous dis ça c'est parce que ça va être assez amusant puisqu'on est dans un contexte quand même assez assez tordu de Marc Marquez du coup qui est pas du tout le chouchou là-bas qui va arriver en rouge dans l'écurie chouchoute du Mugello sur la Ducati officielle bon voilà où je trouve ça d'autant plus cool vous explique c'est que si ce déclic se confirme bagnaia on va voir quelque chose de bien alors lui de ses propos dit qu'il a toujours quand même un gars par attraper avec marc marquez malgré ce petit déclic mais c'est un champion francesco bagnaia donc dans sa tête il sait que si le feeling est là il va tout faire pour y aller du coup imaginez la tension d'un duel avec d'une part marquez et de l'autre bagnaia devant le public italien En tout cas, j'adore l'idée. On a les chiffres du Mugello. Recordman des victoires là-bas, Valentino Rossi avec 7 victoires. 7 pôles aussi pour Valet. Meilleur tour en piste, le record, c'était Martine avec une 44.504. Et en course, c'est Pecco, une 45.7. Le record de vitesse, il est fou. On est au Mugello. 366,1 kmh pour Paul Espargaro en 2024. Et après ça, il faut freiner à la corde. Le Mugello s'annonce vraiment bien. Et tiens, je vous le demande, si vous êtes donc resté jusqu'ici, jusqu'à ce moment du podcast, venez me parler dans les commentaires. Et ce que je vous propose ici, c'est de me faire un pronostic. On pourrait prendre cette bonne habitude. Votre top 3, quels sont les 3 pilotes que vous voyez arriver en tête à l'issue du Grand Prix ? On va rester sur le Grand Prix du dimanche, je n'avais pas parlé de la sprint. Quels sont les 3 pilotes qui pourraient aller s'installer dans les 3 premières places ? Alors, je me piège un peu moi-même parce que là, je vous le dis en improvisant. Si je le fais avec vous, il faut que je le fasse moi. Allez, on va le faire. C'est un peu brouillon ce que je fais là avec vous. Si je devais faire quand même mon top 3, alors j'hésiterais parce que je vous avoue que je pourrais mettre Bagnaya gagnant, mais je vais quand même mettre Marquez. Mais par contre, là, je vais mettre Bagnaya deuxième. Et je pense qu'Alex Marquez ne finira pas la course du dimanche. Ça ne vaut rien, c'est tout à fait subjectif ce que je suis en train de faire. Et alors la troisième place, là je vous avoue que c'est plutôt une galère d'aller l'attribuer à quelqu'un. Alors les machines japonaises, je pense que ça va être compliqué au Mugello. Allez, mettons la troisième place. Je vais la donner à Aldeguerre. Je vais la donner cette fois à Aldeguerre. Bon, ça fait un triplé Ducati, mais ce serait quand même pas très très surprenant là-bas. Bon, voilà, c'est un petit exercice que je fais avec vous qui ne vaut rien du tout, mais c'est toujours amusant de faire des pronostics. Voilà, je vous remercie d'avoir suivi ce nouvel épisode de Pointe-Corde. En ce moment, je travaille très très dur. pour vous amener de la nouveauté qui va arriver bientôt. Il faut savoir quand même, je vous le dis en toute transparence, je fais tout tout seul. J'ai construit ce studio, j'écris, je monte, je publie, etc. Donc, vous imaginez le boulot que c'est. Donc, ça fait vraiment chaud au cœur de voir que vous êtes de plus en plus nombreux. Ça grandit, ça grandit de façon vraiment intéressante. Et donc, continuez, abonnez-vous, parlez du podcast, partagez-le. Je sais qu'il y en a beaucoup d'entre vous qui sont sur des groupes de motos sur Facebook. Un truc qui m'aide énormément. c'est quand vous allez publier un épisode que vous avez aimé sur ces groupes parce que ça amène des personnes qui ne connaissaient pas encore. Ce sont des petits exemples, mais de toute façon, vous pouvez m'aider et j'en suis extrêmement reconnaissant. On se retrouve très vite pour un prochain épisode. Salut ! Merci d'avoir écouté ce nouvel épisode de Pointe-Corde. Pour ne pas manquer le suivant, abonnez-vous dès maintenant. Pointe-Corde sur YouTube et toutes les plateformes de podcast audio. Spotify, Apple Podcasts, Deezer et encore bien d'autres. Suivez également Pointe Corde sur les réseaux sociaux Instagram et Facebook.