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Positive - Fertilité, émotions, PMA

106. Infertilité masculine : ce qu’on ne dit pas aux hommes… et pourquoi ça change tout !

106. Infertilité masculine : ce qu’on ne dit pas aux hommes… et pourquoi ça change tout !

21min |30/10/2024
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Description

Dans cet épisode, on aborde un sujet souvent négligé dans le parcours PMA : la place des hommes, qui sont trop souvent laissés de côté, avec peu d’informations sur leur rôle et les actions qu’ils peuvent entreprendre pour améliorer leur fertilité.


Je partage avec toi l'impact de la qualité du sperme, pas seulement sur la fécondation, mais aussi sur la grossesse elle-même. Un épisode essentiel pour comprendre que la fertilité, c’est un travail d’équipe !


Un épisode à écouter à deux et/ou à partager aux hommes !


➡️ Découvre le nouveau programme entièrement dédié à la fertilité masculine


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Infertilité masculine, ce qu'on ne dit pas aux hommes et pourquoi ça change tout. Bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui est trop souvent laissé de côté dans le parcours PMA, c'est-à-dire l'infertilité masculine. Alors, si tu écoutes cet épisode, eh bien, dis-toi qu'il est pour toi, il est pour ton chéri aussi, n'hésite pas à lui transférer, parce qu'on va aborder des thématiques qu'on n'entend pas suffisamment dès qu'on parle de fertilité, parce que clairement, oui, les hommes ont un rôle clé à jouer. Et malheureusement, ils ne sont pas toujours informés des actions qu'ils peuvent entreprendre. Et c'est là où tout se complique. Donc c'est clair que ce que je voudrais voir avec toi dans cette toute première partie, c'est qu'en fait, finalement, les hommes sont un peu les grands oubliés du parcours PMA. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que quand on parle de PMA, on parle souvent des examens, des traitements, des défis que les femmes traversent, et à juste titre, parce que c'est vraiment quelque chose de très éprouvant. C'est légitime, c'est vraiment une épreuve qui est physique, émotionnelle et qui est véritablement énorme à tout point de vue. Mais ce qui est finalement un peu moins discuté, c'est que dans ce parcours, les hommes sont souvent aussi laissés en retrait. Parfois, il arrive même que les médecins ne s'adressent même pas à eux pendant le rendez-vous. Et je trouve ça vraiment dommage parce que finalement, ça devient un petit peu des spectateurs, des assistants qui sont finalement là un peu pour soutenir leur partenaire. qui ne sont pas vraiment aux premières loges, qui ne sont pas vraiment impliquées directement dans le processus. Et en fait, c'est un problème. C'est un problème à plein de niveaux. La toute première raison, c'est que la fertilité, c'est une affaire de couple. Au départ, c'est deux personnes, en tout cas, c'est deux gamètes. Même si, bien sûr, il y a aussi des mamans solo qui se lancent dans l'aventure, il y a des couples lesbiens, il y a plein de configurations différentes. Mais à partir du moment où on est en couple, j'ai envie de dire traditionnel, hétéro, etc. je trouve que clairement, les deux membres du couple doivent être impliqués de la même façon, même si, bien sûr, j'entends que les traitements médicaux seront plutôt destinés à la femme. Mais à côté de ça, il y a énormément de choses, parce qu'il n'y a pas juste l'ovulation et la future grossesse, mais il y a aussi toute la qualité spermatique, il y a la santé générale aussi de l'homme, qui a toute son importance, de son implication dans le parcours, il y a énormément de choses. Et c'est vrai que dans la pratique, j'observe deux cas de figure. Principalement, c'est que la priorité, c'est que c'est vrai que moi, je vois quand même souvent que ce sont les femmes qui mettent tout en œuvre. Ce sont les femmes qui, sans mauvais jeu de mots, prennent les choses en main parce qu'on sent que la fertilité, on sent que ça coince un peu. On attend, ça ne vient pas. Et donc, du coup, on commence directement à prendre l'initiative de consulter son gynéco. de faire quelques examens, quelques prises de sang, etc. Et c'est seulement dans un deuxième temps que le côté masculin est exploré. Et je trouve ça vraiment dommage. Ça a été mon cas aussi. C'est moi qui, du jour au lendemain, je me suis dit Ok, ça tarde, on va faire quelques examens, etc. Et donc, on s'est d'abord focalisé sur moi. Et ensuite, on est assez vite passé à la situation de mon chéri. Mais ça ne s'est pas fait simultanément. Et c'est vrai que c'est moi qui ai pris les devants. Alors... C'est important de voir que, en tout cas moi dans le quotidien, c'est souvent ce que je vois, c'est que les femmes sont prêtes à changer leur alimentation, prendre des compléments, qu'elles vont suivre à la lettre tous les protocoles médicaux, etc. Mais finalement, à côté de ça, je vois que les hommes sont plus ou moins laissés sans indications médicales spécifiques. Résultat, ils ne changent pas grand-chose à leur routine. Et donc finalement, une part importante du problème est ignorée. Et vraiment, j'ai envie de dire que c'est maintenant que ça rentre en ligne de compte, c'est maintenant que ça se travaille. Pourquoi ? Parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare, c'est pas après. Et je te donne un bête exemple, je ne conçois pas qu'aujourd'hui, alors là, mon fils va quitter bientôt ce qu'on appelle l'école primaire chez nous, donc je vais dire que ça fait maintenant les 3 années de maternelle plus les 6 années de primaire, donc ça fait 9 ans maintenant que mon fils est scolarisé. Et chaque année, on a plusieurs réunions parentales à l'école avec les enseignants. Et chaque année, sur des classes d'approximativement 24 enfants, s'il y a éventuellement 3 à 4 papas présents, c'est beaucoup. Et je trouve ça inacceptable. Je trouve ça inacceptable parce que ça montre à quel point, finalement, il y a une inégalité dans l'implication parentale. Alors on va me dire, oui, mais ça dépend du travail, peut-être que c'est plus facile, etc. Bien sûr, je ne jette pas la pierre, mais pour moi, c'est inconcevable que mon chéri ne soit pas présent à une réunion parentale. Alors ok, s'il est coincé au fond du lit avec 42 fièvres, je ne vais pas forcément lui demander de venir, mais en 9 années, ça n'est jamais arrivé. Si moi, je me libère du temps pour assister à la réunion parentale, il me semble tout aussi logique que mon mari en fasse de même. Ça nous a toujours paru évident et on s'est toujours organisé pour le faire. Alors je sais que ce n'est pas toujours facile. Mais dans ce cas-là, on peut s'organiser pour que ce soit une année l'un, une année l'autre éventuellement, si au niveau du travail ça coince. Mais c'est vraiment toujours les mêmes que je vois et ce sont toujours des mamans. Donc pour moi, c'est important que ça commence à changer dès maintenant. Et ça, ça se fait dès le parcours de conception, en mettant les deux membres du couple sur un pied d'égalité parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare. Et c'est vrai qu'en fait, on ne parle pas suffisamment aussi de l'infertilité masculine et de ses répercussions sur la grossesse. Parce qu'en réalité, comme on ne l'explique pas, les hommes ne peuvent pas le conscientiser, ne peuvent pas le réaliser. Mais en réalité, l'infertilité masculine, quand il y a un spermogramme qui est carrément mauvais ou en tout cas pas extraordinaire, il faut se dire que le problème de ce spermogramme qui est à optimiser, c'est que ça ne se limite pas. pas à la fécondation. Alors bien sûr, quand on a un sperme qui est de moyenne, voire de mauvaise qualité, la fécondation est plus compliquée, bien évidemment. Donc souvent, le spermogramme, c'est un des premiers indicateurs. Mais ça ne s'arrête pas là. La qualité du sperme, elle influence aussi directement la suite de la grossesse. Parce que la qualité du sperme, elle peut affecter ce qu'on appelle la stabilité de l'embryon. Il y a pas mal d'études qui montrent que des anomalies du sperme peuvent être liées à des arrêts spontanés de grossesse. Oui, je parle toujours d'arrêt de grossesse et non pas de fausse couche, parce qu'il n'y a rien qui est faux dans ce qu'on vit. Donc je ne parle jamais de fausse couche, je sais que c'est le terme fréquemment utilisé, mais moi je préfère parler d'arrêt de grossesse. Donc c'est vrai que même si on a l'ovocyte qui est fécondé, la qualité du sperme peut compromettre la suite du développement embryonnaire. Voilà pourquoi je dis que c'est dès le départ que ça se travaille à deux. Et c'est vrai que c'est un facteur qui n'est pas suffisamment pris en compte ou expliqué aux couples qui vivent des arrêts de grossesse répétés par exemple. Donc ça c'est une vraie problématique. À côté de ça, comprendre et interpréter un spermogramme, c'est parfois pas évident. Alors le spermogramme, c'est approximativement l'un des seuls examens qu'on va proposer aux hommes. en parcours PMA. Il y a peu de médecins aussi qui vont prendre le temps vraiment d'expliquer les résultats du spermogramme en profondeur. Et en gros, on va repartir avec des chiffres qu'on ne comprend pas et finalement, ils ne savent pas trop quoi en faire. Et puisque le médecin n'a pas relevé, on part du principe que c'est bon. Alors, ce n'est pas toujours le cas. C'était notre cas à nous. Nous, on est reparti avec les résultats du spermo. Alors mon gyné, à moi, est vachement cool et donc c'est en allant le voir qu'il m'a tout réexpliqué, mais le gynéco de la PMA n'avait pas pris le temps vraiment d'expliquer tous les paramètres. Donc c'est quand même un élément super important. Alors, en fait, c'est vrai que le spermogramme évalue plusieurs paramètres, ça va évaluer notamment le nombre, évidemment, de spermatozoïdes, mais pas uniquement, on va analyser leur mobilité, et d'ailleurs on parle de motilité. On va parler de morphologie, on va parler de plein d'éléments finalement, parce qu'on va voir aussi qu'il y a pas mal d'anomalies, et on peut avoir des anomalies à différents niveaux. Ça peut être au niveau de la tête du spermatozoïde, ça peut être au niveau des flagelles, etc. Donc de la queue, si tu veux, du spermatozoïde. Mais en fait, ces chiffres-là, à eux seuls, ne sont pas une fatalité. Ils peuvent vraiment être améliorés. Mais souvent, comme on n'explique pas, comme quand on reçoit les résultats, le médecin part du principe que c'est ok, voire même, Quand il y a un sperme de mauvaise qualité, on vous dit, on va passer par une FIV-XI, donc avec une injection intracytoplasmique. Parce que c'est un peu perçu comme si c'était la solution à un sperme de mauvaise qualité. Mais c'est loin d'être la réalité. Pourquoi ? Parce que quand on va sélectionner un spermatozoïde dans le cas d'une FIV-XI, la sélection, en France, en Belgique, elle se fait essentiellement sur base visuelle. D'accord ? Donc on va prendre celui qui nous semble à l'œil nu le plus correct. Et c'est très bien. Mais ça ne suffit en réalité pas forcément. Pourquoi ? Parce que... on peut avoir des malformations chromosomiques qui ne sont pas observées. Et donc, voilà pourquoi c'est crucial, même si on part dans l'hypothèse de faire une phyve ici, c'est crucial d'améliorer la qualité des spermatozoïdes. L'avantage, c'est que le renouvellement spermatique se fait relativement rapidement. On va considérer qu'il faut approximativement entre deux mois et demi, trois mois pour renouveler complètement. la qualité d'un spermogramme. C'est ce qui fait que parfois, s'il y a plusieurs spermogrammes à faire, on va laisser passer un laps de temps qui est de trois mois, parce que ça permet vraiment de le renouveler complètement. Et parfois, en trois mois, on peut avoir des améliorations, mais qui sont juste énormissimes. Donc, ça montre qu'il y a des choses, évidemment, qui sont à faire. Donc, les hommes ont vraiment un rôle à jouer à plein de niveaux, comme pour les femmes, d'ailleurs, que ce soit au niveau de l'hygiène de vie, tout ce qui est... Comment dire ? L'alimentation, évidemment, l'activité physique, le sommeil, le stress, tout ce qui est toxines, donc le tabac, l'alcool, la pollution, il y a énormément de choses, évidemment. Il y a plein d'actions concrètes qui ont un impact plus que significatif sur les résultats d'un spermogramme. Pourtant, combien d'hommes le savent réellement ? J'ai envie de dire trop peu, parce qu'il n'y a pas grand monde qui leur explique vraiment ce qu'ils peuvent faire, comment le faire, etc. Donc c'est vrai qu'il y a quelque part une forme d'inaction. de la part du masculin, de manière générale. Alors, je généralise, on est bien d'accord, je sais qu'il y a des exceptions où il y a des hommes qui sont tout aussi impliqués que leurs femmes, bien évidemment. On est d'accord, je fais ici des grandes généralités, mais pour les accompagner, je sais et je vois qu'il y a vraiment des hommes qui s'impliquent tout autant que les femmes. Mais ce qui est vraiment important, c'est que, comme je disais, souvent c'est les femmes qui vont prendre en main la situation, qui vont suivre scrupuleusement les conseils, qui sont prêtes à... à faire énormément de changements pour optimiser leur fertilité. Mais du côté des hommes, comme le médical ne leur dit rien ou pas grand-chose, beaucoup d'hommes continuent leur routine sans vraiment modifier leurs habitudes. Ce qui se passe aussi, comme je le dis souvent pour les femmes, c'est qu'autant le médical peut être intrusif, invasif, autant les analyses restent hélas trop superficielles. Et du coup, on ne creuse pas plus que ça. Mais il faut savoir que... Le fait de creuser un peu, ça peut aussi mettre en avant des pathologies qui, premièrement, ont d'énormes répercussions sur la fertilité masculine, bien sûr, mais aussi sur l'état de santé général. Il y a quand même des marqueurs qui sont révélateurs de risques de pathologies cardiovasculaires, etc. Il y a quand même tout un tas de marqueurs qui sont vraiment à prendre en compte et qui montrent finalement que la qualité du spermogramme, qui n'est pas la plus optimale, ça montre en réalité que ce n'est qu'une conséquence d'un état de santé qui pourrait être amélioré. Donc vraiment, c'est super important de se rendre compte que finalement, cette inaction va pénaliser forcément le couple, parce que la fertilité, c'est vraiment un travail d'équipe. Les hommes ont vraiment un rôle énorme à jouer, et qui est tout aussi important que leur femme, bien sûr. Ce n'est pas parce qu'on leur dit peu de choses qu'il n'y a pas d'action concrète à mettre en place. Bien au contraire, il y a... énormément d'études qui montrent que l'amélioration de la qualité du sperme peut radicalement augmenter les chances de succès. Donc c'est vraiment vraiment vraiment un paramètre à prendre en compte. Et c'est justement pour ça que j'ai conçu un tout nouveau programme qui est spécifiquement dédié aux hommes. Alors c'est vrai que jusque là j'accompagnais principalement les femmes. Pourquoi ? C'était pas volontaire mais comme je le disais, c'est souvent elles qui prennent les choses en main, c'est souvent elles qui... doivent subir tous les examens, les protocoles, etc. Et donc forcément c'est elle que j'ai accompagnée. Et en même temps, l'accès à la plateforme, il est pour le couple donc elle pouvait aussi partager ces infos-là avec leur chérie, etc. Mais à force de creuser, je me suis dit que quand même ce serait bien que les hommes aient eux aussi un accompagnement qui est spécifique, alors peut-être avec un petit peu moins de roses partout, mais juste pour que eux aussi puissent avoir vraiment une information, qu'ils puissent comprendre, qu'ils puissent comprendre ce qui se passe. avoir des références aussi d'études scientifiques, avoir des analyses, avoir vraiment tout ce qu'il faut pour comprendre non seulement le spermogramme, adopter surtout aussi des stratégies qui sont simples mais efficaces pour booster leur fertilité, et en même temps prendre leur place dans ce parcours en étant un acteur vraiment à part entière et pas juste relégué au rang de spectateur. Pour moi, la fertilité, elle concerne vraiment les deux membres du couple et je suis la première à crier sur tous les toits que vraiment, On est deux dans l'histoire, ça se travaille à deux, l'équipe parentale c'est maintenant qu'elle se crée. Parce que aussi, in fine, c'est sur du long terme que ça se joue, c'est que si dès le départ, monsieur est un peu laissé de côté, finalement c'est un mode de fonctionnement qui s'installe et puis on se retrouve des années plus tard à devoir tout gérer en tant que maman et à se rendre compte que finalement l'implication n'est pas la même des deux côtés. Je le vois vraiment beaucoup trop de tous les côtés autour de moi et pour moi c'est pas quelque chose d'acceptable. Je n'aurais pas pu être dans une relation comme ça d'ailleurs parce que pour moi c'est pas acceptable en fait. On est deux à faire un enfant. Un enfant ça se fait à deux, ça se gère à deux et l'équipe parentale il est jamais trop tôt pour la créer. Donc c'est vraiment super important et en même temps parce que je sais à quel point un papa qui s'occupe vraiment pleinement de son enfant, c'est un papa aussi qui est comblé, c'est un papa qui est heureux. c'est un super papa, quoi. Et donc, il est temps pour les hommes de pouvoir avoir toutes ces infos-là et d'arrêter de reléguer, finalement, la fertilité et la maternité uniquement au côté maman. Pour moi, encore une fois, on est deux dans l'histoire et c'est maintenant que ça se travaille. Donc, c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. Pas du tout pour culpabiliser et dire il ne faut pas faire ça et nanana. Non, pas du tout. C'est juste pour vraiment expliquer comment ça fonctionne, vraiment d'un point de vue hyper clair, hyper simple. Pas besoin d'avoir Bac plus 12 en médecine, juste du factuel, du simple, des études scientifiques à la clé, des chiffres à la clé pour comprendre. Et c'est vraiment en travaillant exactement comme je le fais au niveau des femmes, c'est-à-dire avec une approche qui est basée sur les quatre piliers. Parce que, encore une fois, mon objectif à moi, ce n'est pas de travailler juste sur un pilier. C'est vraiment d'avoir une approche qui est la plus globale possible, la plus complète possible et la plus... cartésienne et rationnelle possible, parce que je sais que les hommes, ils aiment avoir des infos qui sont concrètes, tangibles. Certains sont un petit peu moins dans l'émotionnel, mais encore une fois, je ne veux pas généraliser. Voilà, ce n'est pas l'idée. Je ne veux pas faire rentrer les gens dans des cases. J'ai beaucoup de mal avec ça. Mais voilà, de manière générale, je vois bien que quand je parle aux hommes, parce que je les accompagne aussi, en fait, indirectement à travers le programme de coaching Éclusion, j'ai énormément d'hommes qui me contactent pour avoir... un petit regard sur leurs analyses pour avoir des conseils, etc. Et parce que le coaching inclusion, finalement, c'est pour les deux membres du couple. Donc voilà, je sais que beaucoup sont soucieux aussi de leur santé, de leur aptitude sportive, de plein de choses. Et donc c'est vrai que je les accompagne, je vois exactement, finalement, quelles sont les infos qui leur manquent. Et c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. C'est vraiment pour te donner toutes les cartes en main, à tous les niveaux, que ce soit du côté féminin, du côté masculin. pour vraiment vous montrer à quel point il y a un rôle crucial à jouer et qu'ensemble, on peut vraiment, vraiment, vraiment optimiser sa fertilité. Donc, si ça t'intéresse, si tu sens que tu as envie d'aider ton conjoint à mieux comprendre son rôle dans le parcours, ou si toi, tu es un homme et que tu écoutes cet épisode de podcast, alors déjà, merci de l'avoir écouté. Félicitations à toi d'être arrivé jusqu'ici et d'avoir tenu. toutes ces informations, je trouve ça génial que tu t'impliques autant que ta femme et donc ça c'est extraordinaire. Et si toi tu es appelé aussi par le fait de mieux comprendre tout ce qui se joue au niveau de ta fertilité et que tu as à cœur de savoir comment est-ce que tu peux l'optimiser, je t'invite vraiment à découvrir ce tout nouveau programme parce qu'il est là pour toi, il est là pour vous deux, pour vous permettre finalement de faire de ce rêve de parentalité une réalité. C'est vraiment un élément très important, qui me tient vraiment à cœur, parce que ce chemin-là, ce n'est pas uniquement celui de la femme, ce n'est pas uniquement celui d'un des deux membres du couple, c'est vraiment un chemin qu'on emprunte ensemble, et chaque petit pas va compter énormément. Donc si ça t'intéresse, tu vas pouvoir retrouver le lien pour rejoindre ce tout nouveau programme dans la description de cet épisode. J'ai juste une chose à te dire, c'est qu'il s'agit d'un lancement, d'accord ? Donc c'est vraiment un... tout nouveau programme qui voit le jour. C'est un programme qui va être archi-complet et qui va se construire aussi dans les semaines qui viennent. Il va y avoir énormément de mises à jour. Mais je t'invite du coup à profiter de ce tarif de lancement parce que le tarif va augmenter progressivement. Ici, c'est vraiment une offre de lancement. Je veux vraiment que tout soit le plus complet très rapidement possible. Mais pour ça, tu bénéficies d'une offre de lancement parce que ça veut dire aussi qu'il y a énormément de choses qui arrivent encore. Une fois que tu fais partie de ce programme, les mises à jour te sont toujours offertes. C'est comme pour le programme Fertility, qui est dédié principalement aux femmes, même si les hommes peuvent évidemment appliquer les conseils aussi. Mais là, on est vraiment sur un programme vraiment 100% masculin, avec le besoin justement de comprendre tout ce qui se joue. Et en fait, pour t'inciter à agir le plus rapidement possible, tu vas pouvoir bénéficier d'une offre de lancement. Cette offre ne va pas être valable éternellement, d'accord ? Donc au moment où tu vas enregistrer, ou tu vas pardon, au moment où moi j'enregistre cet épisode et où toi tu vas l'écouter, et bien sache que jusqu'au 5 novembre tu as la possibilité de bénéficier d'un tarif de lancement. A partir du 6 novembre, le tarif va augmenter. Donc si la fertilité masculine est un sujet qui t'intéresse, que t'as envie de comprendre les différentes pathologies, comment optimiser, comment analyser, etc. Tout va être regroupé au même endroit. Et j'ai juste une chose à te dire, c'est ne passe pas à côté parce que ce programme va être extraordinaire. C'est vraiment le tout premier programme qui est conçu de manière aussi globale, aussi approfondie, spécifiquement pour les hommes. Donc vraiment, ne passe pas à côté, ça va envoyer du lourd. Donc si ça t'intéresse, tu trouves le lien dans la description de cet épisode. Et si tu as la moindre question, tu m'écris en DM, tu m'écris sur Instagram principalement ou par email parce que c'est les deux endroits où je suis les plus réactives et je répondrai à ta question. Mais voilà, en tout cas, j'avais à cœur de te sensibiliser sur la fertilité masculine parce que oui, il y a des choses à faire. On se retrouve dans le programme Fertility Men cette fois. Merci beaucoup, j'espère que cet épisode t'a aidé à prendre conscience du rôle des hommes. J'espère que ça va t'aider et surtout je te retrouve très vite au sein de ce programme. On se retrouve aussi la semaine prochaine pour un prochain épisode spécial. A très vite ! Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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Dans cet épisode, on aborde un sujet souvent négligé dans le parcours PMA : la place des hommes, qui sont trop souvent laissés de côté, avec peu d’informations sur leur rôle et les actions qu’ils peuvent entreprendre pour améliorer leur fertilité.


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Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui est trop souvent laissé de côté dans le parcours PMA, c'est-à-dire l'infertilité masculine. Alors, si tu écoutes cet épisode, eh bien, dis-toi qu'il est pour toi, il est pour ton chéri aussi, n'hésite pas à lui transférer, parce qu'on va aborder des thématiques qu'on n'entend pas suffisamment dès qu'on parle de fertilité, parce que clairement, oui, les hommes ont un rôle clé à jouer. Et malheureusement, ils ne sont pas toujours informés des actions qu'ils peuvent entreprendre. Et c'est là où tout se complique. Donc c'est clair que ce que je voudrais voir avec toi dans cette toute première partie, c'est qu'en fait, finalement, les hommes sont un peu les grands oubliés du parcours PMA. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que quand on parle de PMA, on parle souvent des examens, des traitements, des défis que les femmes traversent, et à juste titre, parce que c'est vraiment quelque chose de très éprouvant. C'est légitime, c'est vraiment une épreuve qui est physique, émotionnelle et qui est véritablement énorme à tout point de vue. Mais ce qui est finalement un peu moins discuté, c'est que dans ce parcours, les hommes sont souvent aussi laissés en retrait. Parfois, il arrive même que les médecins ne s'adressent même pas à eux pendant le rendez-vous. Et je trouve ça vraiment dommage parce que finalement, ça devient un petit peu des spectateurs, des assistants qui sont finalement là un peu pour soutenir leur partenaire. qui ne sont pas vraiment aux premières loges, qui ne sont pas vraiment impliquées directement dans le processus. Et en fait, c'est un problème. C'est un problème à plein de niveaux. La toute première raison, c'est que la fertilité, c'est une affaire de couple. Au départ, c'est deux personnes, en tout cas, c'est deux gamètes. Même si, bien sûr, il y a aussi des mamans solo qui se lancent dans l'aventure, il y a des couples lesbiens, il y a plein de configurations différentes. Mais à partir du moment où on est en couple, j'ai envie de dire traditionnel, hétéro, etc. je trouve que clairement, les deux membres du couple doivent être impliqués de la même façon, même si, bien sûr, j'entends que les traitements médicaux seront plutôt destinés à la femme. Mais à côté de ça, il y a énormément de choses, parce qu'il n'y a pas juste l'ovulation et la future grossesse, mais il y a aussi toute la qualité spermatique, il y a la santé générale aussi de l'homme, qui a toute son importance, de son implication dans le parcours, il y a énormément de choses. Et c'est vrai que dans la pratique, j'observe deux cas de figure. Principalement, c'est que la priorité, c'est que c'est vrai que moi, je vois quand même souvent que ce sont les femmes qui mettent tout en œuvre. Ce sont les femmes qui, sans mauvais jeu de mots, prennent les choses en main parce qu'on sent que la fertilité, on sent que ça coince un peu. On attend, ça ne vient pas. Et donc, du coup, on commence directement à prendre l'initiative de consulter son gynéco. de faire quelques examens, quelques prises de sang, etc. Et c'est seulement dans un deuxième temps que le côté masculin est exploré. Et je trouve ça vraiment dommage. Ça a été mon cas aussi. C'est moi qui, du jour au lendemain, je me suis dit Ok, ça tarde, on va faire quelques examens, etc. Et donc, on s'est d'abord focalisé sur moi. Et ensuite, on est assez vite passé à la situation de mon chéri. Mais ça ne s'est pas fait simultanément. Et c'est vrai que c'est moi qui ai pris les devants. Alors... C'est important de voir que, en tout cas moi dans le quotidien, c'est souvent ce que je vois, c'est que les femmes sont prêtes à changer leur alimentation, prendre des compléments, qu'elles vont suivre à la lettre tous les protocoles médicaux, etc. Mais finalement, à côté de ça, je vois que les hommes sont plus ou moins laissés sans indications médicales spécifiques. Résultat, ils ne changent pas grand-chose à leur routine. Et donc finalement, une part importante du problème est ignorée. Et vraiment, j'ai envie de dire que c'est maintenant que ça rentre en ligne de compte, c'est maintenant que ça se travaille. Pourquoi ? Parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare, c'est pas après. Et je te donne un bête exemple, je ne conçois pas qu'aujourd'hui, alors là, mon fils va quitter bientôt ce qu'on appelle l'école primaire chez nous, donc je vais dire que ça fait maintenant les 3 années de maternelle plus les 6 années de primaire, donc ça fait 9 ans maintenant que mon fils est scolarisé. Et chaque année, on a plusieurs réunions parentales à l'école avec les enseignants. Et chaque année, sur des classes d'approximativement 24 enfants, s'il y a éventuellement 3 à 4 papas présents, c'est beaucoup. Et je trouve ça inacceptable. Je trouve ça inacceptable parce que ça montre à quel point, finalement, il y a une inégalité dans l'implication parentale. Alors on va me dire, oui, mais ça dépend du travail, peut-être que c'est plus facile, etc. Bien sûr, je ne jette pas la pierre, mais pour moi, c'est inconcevable que mon chéri ne soit pas présent à une réunion parentale. Alors ok, s'il est coincé au fond du lit avec 42 fièvres, je ne vais pas forcément lui demander de venir, mais en 9 années, ça n'est jamais arrivé. Si moi, je me libère du temps pour assister à la réunion parentale, il me semble tout aussi logique que mon mari en fasse de même. Ça nous a toujours paru évident et on s'est toujours organisé pour le faire. Alors je sais que ce n'est pas toujours facile. Mais dans ce cas-là, on peut s'organiser pour que ce soit une année l'un, une année l'autre éventuellement, si au niveau du travail ça coince. Mais c'est vraiment toujours les mêmes que je vois et ce sont toujours des mamans. Donc pour moi, c'est important que ça commence à changer dès maintenant. Et ça, ça se fait dès le parcours de conception, en mettant les deux membres du couple sur un pied d'égalité parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare. Et c'est vrai qu'en fait, on ne parle pas suffisamment aussi de l'infertilité masculine et de ses répercussions sur la grossesse. Parce qu'en réalité, comme on ne l'explique pas, les hommes ne peuvent pas le conscientiser, ne peuvent pas le réaliser. Mais en réalité, l'infertilité masculine, quand il y a un spermogramme qui est carrément mauvais ou en tout cas pas extraordinaire, il faut se dire que le problème de ce spermogramme qui est à optimiser, c'est que ça ne se limite pas. pas à la fécondation. Alors bien sûr, quand on a un sperme qui est de moyenne, voire de mauvaise qualité, la fécondation est plus compliquée, bien évidemment. Donc souvent, le spermogramme, c'est un des premiers indicateurs. Mais ça ne s'arrête pas là. La qualité du sperme, elle influence aussi directement la suite de la grossesse. Parce que la qualité du sperme, elle peut affecter ce qu'on appelle la stabilité de l'embryon. Il y a pas mal d'études qui montrent que des anomalies du sperme peuvent être liées à des arrêts spontanés de grossesse. Oui, je parle toujours d'arrêt de grossesse et non pas de fausse couche, parce qu'il n'y a rien qui est faux dans ce qu'on vit. Donc je ne parle jamais de fausse couche, je sais que c'est le terme fréquemment utilisé, mais moi je préfère parler d'arrêt de grossesse. Donc c'est vrai que même si on a l'ovocyte qui est fécondé, la qualité du sperme peut compromettre la suite du développement embryonnaire. Voilà pourquoi je dis que c'est dès le départ que ça se travaille à deux. Et c'est vrai que c'est un facteur qui n'est pas suffisamment pris en compte ou expliqué aux couples qui vivent des arrêts de grossesse répétés par exemple. Donc ça c'est une vraie problématique. À côté de ça, comprendre et interpréter un spermogramme, c'est parfois pas évident. Alors le spermogramme, c'est approximativement l'un des seuls examens qu'on va proposer aux hommes. en parcours PMA. Il y a peu de médecins aussi qui vont prendre le temps vraiment d'expliquer les résultats du spermogramme en profondeur. Et en gros, on va repartir avec des chiffres qu'on ne comprend pas et finalement, ils ne savent pas trop quoi en faire. Et puisque le médecin n'a pas relevé, on part du principe que c'est bon. Alors, ce n'est pas toujours le cas. C'était notre cas à nous. Nous, on est reparti avec les résultats du spermo. Alors mon gyné, à moi, est vachement cool et donc c'est en allant le voir qu'il m'a tout réexpliqué, mais le gynéco de la PMA n'avait pas pris le temps vraiment d'expliquer tous les paramètres. Donc c'est quand même un élément super important. Alors, en fait, c'est vrai que le spermogramme évalue plusieurs paramètres, ça va évaluer notamment le nombre, évidemment, de spermatozoïdes, mais pas uniquement, on va analyser leur mobilité, et d'ailleurs on parle de motilité. On va parler de morphologie, on va parler de plein d'éléments finalement, parce qu'on va voir aussi qu'il y a pas mal d'anomalies, et on peut avoir des anomalies à différents niveaux. Ça peut être au niveau de la tête du spermatozoïde, ça peut être au niveau des flagelles, etc. Donc de la queue, si tu veux, du spermatozoïde. Mais en fait, ces chiffres-là, à eux seuls, ne sont pas une fatalité. Ils peuvent vraiment être améliorés. Mais souvent, comme on n'explique pas, comme quand on reçoit les résultats, le médecin part du principe que c'est ok, voire même, Quand il y a un sperme de mauvaise qualité, on vous dit, on va passer par une FIV-XI, donc avec une injection intracytoplasmique. Parce que c'est un peu perçu comme si c'était la solution à un sperme de mauvaise qualité. Mais c'est loin d'être la réalité. Pourquoi ? Parce que quand on va sélectionner un spermatozoïde dans le cas d'une FIV-XI, la sélection, en France, en Belgique, elle se fait essentiellement sur base visuelle. D'accord ? Donc on va prendre celui qui nous semble à l'œil nu le plus correct. Et c'est très bien. Mais ça ne suffit en réalité pas forcément. Pourquoi ? Parce que... on peut avoir des malformations chromosomiques qui ne sont pas observées. Et donc, voilà pourquoi c'est crucial, même si on part dans l'hypothèse de faire une phyve ici, c'est crucial d'améliorer la qualité des spermatozoïdes. L'avantage, c'est que le renouvellement spermatique se fait relativement rapidement. On va considérer qu'il faut approximativement entre deux mois et demi, trois mois pour renouveler complètement. la qualité d'un spermogramme. C'est ce qui fait que parfois, s'il y a plusieurs spermogrammes à faire, on va laisser passer un laps de temps qui est de trois mois, parce que ça permet vraiment de le renouveler complètement. Et parfois, en trois mois, on peut avoir des améliorations, mais qui sont juste énormissimes. Donc, ça montre qu'il y a des choses, évidemment, qui sont à faire. Donc, les hommes ont vraiment un rôle à jouer à plein de niveaux, comme pour les femmes, d'ailleurs, que ce soit au niveau de l'hygiène de vie, tout ce qui est... Comment dire ? L'alimentation, évidemment, l'activité physique, le sommeil, le stress, tout ce qui est toxines, donc le tabac, l'alcool, la pollution, il y a énormément de choses, évidemment. Il y a plein d'actions concrètes qui ont un impact plus que significatif sur les résultats d'un spermogramme. Pourtant, combien d'hommes le savent réellement ? J'ai envie de dire trop peu, parce qu'il n'y a pas grand monde qui leur explique vraiment ce qu'ils peuvent faire, comment le faire, etc. Donc c'est vrai qu'il y a quelque part une forme d'inaction. de la part du masculin, de manière générale. Alors, je généralise, on est bien d'accord, je sais qu'il y a des exceptions où il y a des hommes qui sont tout aussi impliqués que leurs femmes, bien évidemment. On est d'accord, je fais ici des grandes généralités, mais pour les accompagner, je sais et je vois qu'il y a vraiment des hommes qui s'impliquent tout autant que les femmes. Mais ce qui est vraiment important, c'est que, comme je disais, souvent c'est les femmes qui vont prendre en main la situation, qui vont suivre scrupuleusement les conseils, qui sont prêtes à... à faire énormément de changements pour optimiser leur fertilité. Mais du côté des hommes, comme le médical ne leur dit rien ou pas grand-chose, beaucoup d'hommes continuent leur routine sans vraiment modifier leurs habitudes. Ce qui se passe aussi, comme je le dis souvent pour les femmes, c'est qu'autant le médical peut être intrusif, invasif, autant les analyses restent hélas trop superficielles. Et du coup, on ne creuse pas plus que ça. Mais il faut savoir que... Le fait de creuser un peu, ça peut aussi mettre en avant des pathologies qui, premièrement, ont d'énormes répercussions sur la fertilité masculine, bien sûr, mais aussi sur l'état de santé général. Il y a quand même des marqueurs qui sont révélateurs de risques de pathologies cardiovasculaires, etc. Il y a quand même tout un tas de marqueurs qui sont vraiment à prendre en compte et qui montrent finalement que la qualité du spermogramme, qui n'est pas la plus optimale, ça montre en réalité que ce n'est qu'une conséquence d'un état de santé qui pourrait être amélioré. Donc vraiment, c'est super important de se rendre compte que finalement, cette inaction va pénaliser forcément le couple, parce que la fertilité, c'est vraiment un travail d'équipe. Les hommes ont vraiment un rôle énorme à jouer, et qui est tout aussi important que leur femme, bien sûr. Ce n'est pas parce qu'on leur dit peu de choses qu'il n'y a pas d'action concrète à mettre en place. Bien au contraire, il y a... énormément d'études qui montrent que l'amélioration de la qualité du sperme peut radicalement augmenter les chances de succès. Donc c'est vraiment vraiment vraiment un paramètre à prendre en compte. Et c'est justement pour ça que j'ai conçu un tout nouveau programme qui est spécifiquement dédié aux hommes. Alors c'est vrai que jusque là j'accompagnais principalement les femmes. Pourquoi ? C'était pas volontaire mais comme je le disais, c'est souvent elles qui prennent les choses en main, c'est souvent elles qui... doivent subir tous les examens, les protocoles, etc. Et donc forcément c'est elle que j'ai accompagnée. Et en même temps, l'accès à la plateforme, il est pour le couple donc elle pouvait aussi partager ces infos-là avec leur chérie, etc. Mais à force de creuser, je me suis dit que quand même ce serait bien que les hommes aient eux aussi un accompagnement qui est spécifique, alors peut-être avec un petit peu moins de roses partout, mais juste pour que eux aussi puissent avoir vraiment une information, qu'ils puissent comprendre, qu'ils puissent comprendre ce qui se passe. avoir des références aussi d'études scientifiques, avoir des analyses, avoir vraiment tout ce qu'il faut pour comprendre non seulement le spermogramme, adopter surtout aussi des stratégies qui sont simples mais efficaces pour booster leur fertilité, et en même temps prendre leur place dans ce parcours en étant un acteur vraiment à part entière et pas juste relégué au rang de spectateur. Pour moi, la fertilité, elle concerne vraiment les deux membres du couple et je suis la première à crier sur tous les toits que vraiment, On est deux dans l'histoire, ça se travaille à deux, l'équipe parentale c'est maintenant qu'elle se crée. Parce que aussi, in fine, c'est sur du long terme que ça se joue, c'est que si dès le départ, monsieur est un peu laissé de côté, finalement c'est un mode de fonctionnement qui s'installe et puis on se retrouve des années plus tard à devoir tout gérer en tant que maman et à se rendre compte que finalement l'implication n'est pas la même des deux côtés. Je le vois vraiment beaucoup trop de tous les côtés autour de moi et pour moi c'est pas quelque chose d'acceptable. Je n'aurais pas pu être dans une relation comme ça d'ailleurs parce que pour moi c'est pas acceptable en fait. On est deux à faire un enfant. Un enfant ça se fait à deux, ça se gère à deux et l'équipe parentale il est jamais trop tôt pour la créer. Donc c'est vraiment super important et en même temps parce que je sais à quel point un papa qui s'occupe vraiment pleinement de son enfant, c'est un papa aussi qui est comblé, c'est un papa qui est heureux. c'est un super papa, quoi. Et donc, il est temps pour les hommes de pouvoir avoir toutes ces infos-là et d'arrêter de reléguer, finalement, la fertilité et la maternité uniquement au côté maman. Pour moi, encore une fois, on est deux dans l'histoire et c'est maintenant que ça se travaille. Donc, c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. Pas du tout pour culpabiliser et dire il ne faut pas faire ça et nanana. Non, pas du tout. C'est juste pour vraiment expliquer comment ça fonctionne, vraiment d'un point de vue hyper clair, hyper simple. Pas besoin d'avoir Bac plus 12 en médecine, juste du factuel, du simple, des études scientifiques à la clé, des chiffres à la clé pour comprendre. Et c'est vraiment en travaillant exactement comme je le fais au niveau des femmes, c'est-à-dire avec une approche qui est basée sur les quatre piliers. Parce que, encore une fois, mon objectif à moi, ce n'est pas de travailler juste sur un pilier. C'est vraiment d'avoir une approche qui est la plus globale possible, la plus complète possible et la plus... cartésienne et rationnelle possible, parce que je sais que les hommes, ils aiment avoir des infos qui sont concrètes, tangibles. Certains sont un petit peu moins dans l'émotionnel, mais encore une fois, je ne veux pas généraliser. Voilà, ce n'est pas l'idée. Je ne veux pas faire rentrer les gens dans des cases. J'ai beaucoup de mal avec ça. Mais voilà, de manière générale, je vois bien que quand je parle aux hommes, parce que je les accompagne aussi, en fait, indirectement à travers le programme de coaching Éclusion, j'ai énormément d'hommes qui me contactent pour avoir... un petit regard sur leurs analyses pour avoir des conseils, etc. Et parce que le coaching inclusion, finalement, c'est pour les deux membres du couple. Donc voilà, je sais que beaucoup sont soucieux aussi de leur santé, de leur aptitude sportive, de plein de choses. Et donc c'est vrai que je les accompagne, je vois exactement, finalement, quelles sont les infos qui leur manquent. Et c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. C'est vraiment pour te donner toutes les cartes en main, à tous les niveaux, que ce soit du côté féminin, du côté masculin. pour vraiment vous montrer à quel point il y a un rôle crucial à jouer et qu'ensemble, on peut vraiment, vraiment, vraiment optimiser sa fertilité. Donc, si ça t'intéresse, si tu sens que tu as envie d'aider ton conjoint à mieux comprendre son rôle dans le parcours, ou si toi, tu es un homme et que tu écoutes cet épisode de podcast, alors déjà, merci de l'avoir écouté. Félicitations à toi d'être arrivé jusqu'ici et d'avoir tenu. toutes ces informations, je trouve ça génial que tu t'impliques autant que ta femme et donc ça c'est extraordinaire. Et si toi tu es appelé aussi par le fait de mieux comprendre tout ce qui se joue au niveau de ta fertilité et que tu as à cœur de savoir comment est-ce que tu peux l'optimiser, je t'invite vraiment à découvrir ce tout nouveau programme parce qu'il est là pour toi, il est là pour vous deux, pour vous permettre finalement de faire de ce rêve de parentalité une réalité. C'est vraiment un élément très important, qui me tient vraiment à cœur, parce que ce chemin-là, ce n'est pas uniquement celui de la femme, ce n'est pas uniquement celui d'un des deux membres du couple, c'est vraiment un chemin qu'on emprunte ensemble, et chaque petit pas va compter énormément. Donc si ça t'intéresse, tu vas pouvoir retrouver le lien pour rejoindre ce tout nouveau programme dans la description de cet épisode. J'ai juste une chose à te dire, c'est qu'il s'agit d'un lancement, d'accord ? Donc c'est vraiment un... tout nouveau programme qui voit le jour. C'est un programme qui va être archi-complet et qui va se construire aussi dans les semaines qui viennent. Il va y avoir énormément de mises à jour. Mais je t'invite du coup à profiter de ce tarif de lancement parce que le tarif va augmenter progressivement. Ici, c'est vraiment une offre de lancement. Je veux vraiment que tout soit le plus complet très rapidement possible. Mais pour ça, tu bénéficies d'une offre de lancement parce que ça veut dire aussi qu'il y a énormément de choses qui arrivent encore. Une fois que tu fais partie de ce programme, les mises à jour te sont toujours offertes. C'est comme pour le programme Fertility, qui est dédié principalement aux femmes, même si les hommes peuvent évidemment appliquer les conseils aussi. Mais là, on est vraiment sur un programme vraiment 100% masculin, avec le besoin justement de comprendre tout ce qui se joue. Et en fait, pour t'inciter à agir le plus rapidement possible, tu vas pouvoir bénéficier d'une offre de lancement. Cette offre ne va pas être valable éternellement, d'accord ? Donc au moment où tu vas enregistrer, ou tu vas pardon, au moment où moi j'enregistre cet épisode et où toi tu vas l'écouter, et bien sache que jusqu'au 5 novembre tu as la possibilité de bénéficier d'un tarif de lancement. A partir du 6 novembre, le tarif va augmenter. Donc si la fertilité masculine est un sujet qui t'intéresse, que t'as envie de comprendre les différentes pathologies, comment optimiser, comment analyser, etc. Tout va être regroupé au même endroit. Et j'ai juste une chose à te dire, c'est ne passe pas à côté parce que ce programme va être extraordinaire. C'est vraiment le tout premier programme qui est conçu de manière aussi globale, aussi approfondie, spécifiquement pour les hommes. Donc vraiment, ne passe pas à côté, ça va envoyer du lourd. Donc si ça t'intéresse, tu trouves le lien dans la description de cet épisode. Et si tu as la moindre question, tu m'écris en DM, tu m'écris sur Instagram principalement ou par email parce que c'est les deux endroits où je suis les plus réactives et je répondrai à ta question. Mais voilà, en tout cas, j'avais à cœur de te sensibiliser sur la fertilité masculine parce que oui, il y a des choses à faire. On se retrouve dans le programme Fertility Men cette fois. Merci beaucoup, j'espère que cet épisode t'a aidé à prendre conscience du rôle des hommes. J'espère que ça va t'aider et surtout je te retrouve très vite au sein de ce programme. On se retrouve aussi la semaine prochaine pour un prochain épisode spécial. A très vite ! Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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Description

Dans cet épisode, on aborde un sujet souvent négligé dans le parcours PMA : la place des hommes, qui sont trop souvent laissés de côté, avec peu d’informations sur leur rôle et les actions qu’ils peuvent entreprendre pour améliorer leur fertilité.


Je partage avec toi l'impact de la qualité du sperme, pas seulement sur la fécondation, mais aussi sur la grossesse elle-même. Un épisode essentiel pour comprendre que la fertilité, c’est un travail d’équipe !


Un épisode à écouter à deux et/ou à partager aux hommes !


➡️ Découvre le nouveau programme entièrement dédié à la fertilité masculine


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➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Infertilité masculine, ce qu'on ne dit pas aux hommes et pourquoi ça change tout. Bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui est trop souvent laissé de côté dans le parcours PMA, c'est-à-dire l'infertilité masculine. Alors, si tu écoutes cet épisode, eh bien, dis-toi qu'il est pour toi, il est pour ton chéri aussi, n'hésite pas à lui transférer, parce qu'on va aborder des thématiques qu'on n'entend pas suffisamment dès qu'on parle de fertilité, parce que clairement, oui, les hommes ont un rôle clé à jouer. Et malheureusement, ils ne sont pas toujours informés des actions qu'ils peuvent entreprendre. Et c'est là où tout se complique. Donc c'est clair que ce que je voudrais voir avec toi dans cette toute première partie, c'est qu'en fait, finalement, les hommes sont un peu les grands oubliés du parcours PMA. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que quand on parle de PMA, on parle souvent des examens, des traitements, des défis que les femmes traversent, et à juste titre, parce que c'est vraiment quelque chose de très éprouvant. C'est légitime, c'est vraiment une épreuve qui est physique, émotionnelle et qui est véritablement énorme à tout point de vue. Mais ce qui est finalement un peu moins discuté, c'est que dans ce parcours, les hommes sont souvent aussi laissés en retrait. Parfois, il arrive même que les médecins ne s'adressent même pas à eux pendant le rendez-vous. Et je trouve ça vraiment dommage parce que finalement, ça devient un petit peu des spectateurs, des assistants qui sont finalement là un peu pour soutenir leur partenaire. qui ne sont pas vraiment aux premières loges, qui ne sont pas vraiment impliquées directement dans le processus. Et en fait, c'est un problème. C'est un problème à plein de niveaux. La toute première raison, c'est que la fertilité, c'est une affaire de couple. Au départ, c'est deux personnes, en tout cas, c'est deux gamètes. Même si, bien sûr, il y a aussi des mamans solo qui se lancent dans l'aventure, il y a des couples lesbiens, il y a plein de configurations différentes. Mais à partir du moment où on est en couple, j'ai envie de dire traditionnel, hétéro, etc. je trouve que clairement, les deux membres du couple doivent être impliqués de la même façon, même si, bien sûr, j'entends que les traitements médicaux seront plutôt destinés à la femme. Mais à côté de ça, il y a énormément de choses, parce qu'il n'y a pas juste l'ovulation et la future grossesse, mais il y a aussi toute la qualité spermatique, il y a la santé générale aussi de l'homme, qui a toute son importance, de son implication dans le parcours, il y a énormément de choses. Et c'est vrai que dans la pratique, j'observe deux cas de figure. Principalement, c'est que la priorité, c'est que c'est vrai que moi, je vois quand même souvent que ce sont les femmes qui mettent tout en œuvre. Ce sont les femmes qui, sans mauvais jeu de mots, prennent les choses en main parce qu'on sent que la fertilité, on sent que ça coince un peu. On attend, ça ne vient pas. Et donc, du coup, on commence directement à prendre l'initiative de consulter son gynéco. de faire quelques examens, quelques prises de sang, etc. Et c'est seulement dans un deuxième temps que le côté masculin est exploré. Et je trouve ça vraiment dommage. Ça a été mon cas aussi. C'est moi qui, du jour au lendemain, je me suis dit Ok, ça tarde, on va faire quelques examens, etc. Et donc, on s'est d'abord focalisé sur moi. Et ensuite, on est assez vite passé à la situation de mon chéri. Mais ça ne s'est pas fait simultanément. Et c'est vrai que c'est moi qui ai pris les devants. Alors... C'est important de voir que, en tout cas moi dans le quotidien, c'est souvent ce que je vois, c'est que les femmes sont prêtes à changer leur alimentation, prendre des compléments, qu'elles vont suivre à la lettre tous les protocoles médicaux, etc. Mais finalement, à côté de ça, je vois que les hommes sont plus ou moins laissés sans indications médicales spécifiques. Résultat, ils ne changent pas grand-chose à leur routine. Et donc finalement, une part importante du problème est ignorée. Et vraiment, j'ai envie de dire que c'est maintenant que ça rentre en ligne de compte, c'est maintenant que ça se travaille. Pourquoi ? Parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare, c'est pas après. Et je te donne un bête exemple, je ne conçois pas qu'aujourd'hui, alors là, mon fils va quitter bientôt ce qu'on appelle l'école primaire chez nous, donc je vais dire que ça fait maintenant les 3 années de maternelle plus les 6 années de primaire, donc ça fait 9 ans maintenant que mon fils est scolarisé. Et chaque année, on a plusieurs réunions parentales à l'école avec les enseignants. Et chaque année, sur des classes d'approximativement 24 enfants, s'il y a éventuellement 3 à 4 papas présents, c'est beaucoup. Et je trouve ça inacceptable. Je trouve ça inacceptable parce que ça montre à quel point, finalement, il y a une inégalité dans l'implication parentale. Alors on va me dire, oui, mais ça dépend du travail, peut-être que c'est plus facile, etc. Bien sûr, je ne jette pas la pierre, mais pour moi, c'est inconcevable que mon chéri ne soit pas présent à une réunion parentale. Alors ok, s'il est coincé au fond du lit avec 42 fièvres, je ne vais pas forcément lui demander de venir, mais en 9 années, ça n'est jamais arrivé. Si moi, je me libère du temps pour assister à la réunion parentale, il me semble tout aussi logique que mon mari en fasse de même. Ça nous a toujours paru évident et on s'est toujours organisé pour le faire. Alors je sais que ce n'est pas toujours facile. Mais dans ce cas-là, on peut s'organiser pour que ce soit une année l'un, une année l'autre éventuellement, si au niveau du travail ça coince. Mais c'est vraiment toujours les mêmes que je vois et ce sont toujours des mamans. Donc pour moi, c'est important que ça commence à changer dès maintenant. Et ça, ça se fait dès le parcours de conception, en mettant les deux membres du couple sur un pied d'égalité parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare. Et c'est vrai qu'en fait, on ne parle pas suffisamment aussi de l'infertilité masculine et de ses répercussions sur la grossesse. Parce qu'en réalité, comme on ne l'explique pas, les hommes ne peuvent pas le conscientiser, ne peuvent pas le réaliser. Mais en réalité, l'infertilité masculine, quand il y a un spermogramme qui est carrément mauvais ou en tout cas pas extraordinaire, il faut se dire que le problème de ce spermogramme qui est à optimiser, c'est que ça ne se limite pas. pas à la fécondation. Alors bien sûr, quand on a un sperme qui est de moyenne, voire de mauvaise qualité, la fécondation est plus compliquée, bien évidemment. Donc souvent, le spermogramme, c'est un des premiers indicateurs. Mais ça ne s'arrête pas là. La qualité du sperme, elle influence aussi directement la suite de la grossesse. Parce que la qualité du sperme, elle peut affecter ce qu'on appelle la stabilité de l'embryon. Il y a pas mal d'études qui montrent que des anomalies du sperme peuvent être liées à des arrêts spontanés de grossesse. Oui, je parle toujours d'arrêt de grossesse et non pas de fausse couche, parce qu'il n'y a rien qui est faux dans ce qu'on vit. Donc je ne parle jamais de fausse couche, je sais que c'est le terme fréquemment utilisé, mais moi je préfère parler d'arrêt de grossesse. Donc c'est vrai que même si on a l'ovocyte qui est fécondé, la qualité du sperme peut compromettre la suite du développement embryonnaire. Voilà pourquoi je dis que c'est dès le départ que ça se travaille à deux. Et c'est vrai que c'est un facteur qui n'est pas suffisamment pris en compte ou expliqué aux couples qui vivent des arrêts de grossesse répétés par exemple. Donc ça c'est une vraie problématique. À côté de ça, comprendre et interpréter un spermogramme, c'est parfois pas évident. Alors le spermogramme, c'est approximativement l'un des seuls examens qu'on va proposer aux hommes. en parcours PMA. Il y a peu de médecins aussi qui vont prendre le temps vraiment d'expliquer les résultats du spermogramme en profondeur. Et en gros, on va repartir avec des chiffres qu'on ne comprend pas et finalement, ils ne savent pas trop quoi en faire. Et puisque le médecin n'a pas relevé, on part du principe que c'est bon. Alors, ce n'est pas toujours le cas. C'était notre cas à nous. Nous, on est reparti avec les résultats du spermo. Alors mon gyné, à moi, est vachement cool et donc c'est en allant le voir qu'il m'a tout réexpliqué, mais le gynéco de la PMA n'avait pas pris le temps vraiment d'expliquer tous les paramètres. Donc c'est quand même un élément super important. Alors, en fait, c'est vrai que le spermogramme évalue plusieurs paramètres, ça va évaluer notamment le nombre, évidemment, de spermatozoïdes, mais pas uniquement, on va analyser leur mobilité, et d'ailleurs on parle de motilité. On va parler de morphologie, on va parler de plein d'éléments finalement, parce qu'on va voir aussi qu'il y a pas mal d'anomalies, et on peut avoir des anomalies à différents niveaux. Ça peut être au niveau de la tête du spermatozoïde, ça peut être au niveau des flagelles, etc. Donc de la queue, si tu veux, du spermatozoïde. Mais en fait, ces chiffres-là, à eux seuls, ne sont pas une fatalité. Ils peuvent vraiment être améliorés. Mais souvent, comme on n'explique pas, comme quand on reçoit les résultats, le médecin part du principe que c'est ok, voire même, Quand il y a un sperme de mauvaise qualité, on vous dit, on va passer par une FIV-XI, donc avec une injection intracytoplasmique. Parce que c'est un peu perçu comme si c'était la solution à un sperme de mauvaise qualité. Mais c'est loin d'être la réalité. Pourquoi ? Parce que quand on va sélectionner un spermatozoïde dans le cas d'une FIV-XI, la sélection, en France, en Belgique, elle se fait essentiellement sur base visuelle. D'accord ? Donc on va prendre celui qui nous semble à l'œil nu le plus correct. Et c'est très bien. Mais ça ne suffit en réalité pas forcément. Pourquoi ? Parce que... on peut avoir des malformations chromosomiques qui ne sont pas observées. Et donc, voilà pourquoi c'est crucial, même si on part dans l'hypothèse de faire une phyve ici, c'est crucial d'améliorer la qualité des spermatozoïdes. L'avantage, c'est que le renouvellement spermatique se fait relativement rapidement. On va considérer qu'il faut approximativement entre deux mois et demi, trois mois pour renouveler complètement. la qualité d'un spermogramme. C'est ce qui fait que parfois, s'il y a plusieurs spermogrammes à faire, on va laisser passer un laps de temps qui est de trois mois, parce que ça permet vraiment de le renouveler complètement. Et parfois, en trois mois, on peut avoir des améliorations, mais qui sont juste énormissimes. Donc, ça montre qu'il y a des choses, évidemment, qui sont à faire. Donc, les hommes ont vraiment un rôle à jouer à plein de niveaux, comme pour les femmes, d'ailleurs, que ce soit au niveau de l'hygiène de vie, tout ce qui est... Comment dire ? L'alimentation, évidemment, l'activité physique, le sommeil, le stress, tout ce qui est toxines, donc le tabac, l'alcool, la pollution, il y a énormément de choses, évidemment. Il y a plein d'actions concrètes qui ont un impact plus que significatif sur les résultats d'un spermogramme. Pourtant, combien d'hommes le savent réellement ? J'ai envie de dire trop peu, parce qu'il n'y a pas grand monde qui leur explique vraiment ce qu'ils peuvent faire, comment le faire, etc. Donc c'est vrai qu'il y a quelque part une forme d'inaction. de la part du masculin, de manière générale. Alors, je généralise, on est bien d'accord, je sais qu'il y a des exceptions où il y a des hommes qui sont tout aussi impliqués que leurs femmes, bien évidemment. On est d'accord, je fais ici des grandes généralités, mais pour les accompagner, je sais et je vois qu'il y a vraiment des hommes qui s'impliquent tout autant que les femmes. Mais ce qui est vraiment important, c'est que, comme je disais, souvent c'est les femmes qui vont prendre en main la situation, qui vont suivre scrupuleusement les conseils, qui sont prêtes à... à faire énormément de changements pour optimiser leur fertilité. Mais du côté des hommes, comme le médical ne leur dit rien ou pas grand-chose, beaucoup d'hommes continuent leur routine sans vraiment modifier leurs habitudes. Ce qui se passe aussi, comme je le dis souvent pour les femmes, c'est qu'autant le médical peut être intrusif, invasif, autant les analyses restent hélas trop superficielles. Et du coup, on ne creuse pas plus que ça. Mais il faut savoir que... Le fait de creuser un peu, ça peut aussi mettre en avant des pathologies qui, premièrement, ont d'énormes répercussions sur la fertilité masculine, bien sûr, mais aussi sur l'état de santé général. Il y a quand même des marqueurs qui sont révélateurs de risques de pathologies cardiovasculaires, etc. Il y a quand même tout un tas de marqueurs qui sont vraiment à prendre en compte et qui montrent finalement que la qualité du spermogramme, qui n'est pas la plus optimale, ça montre en réalité que ce n'est qu'une conséquence d'un état de santé qui pourrait être amélioré. Donc vraiment, c'est super important de se rendre compte que finalement, cette inaction va pénaliser forcément le couple, parce que la fertilité, c'est vraiment un travail d'équipe. Les hommes ont vraiment un rôle énorme à jouer, et qui est tout aussi important que leur femme, bien sûr. Ce n'est pas parce qu'on leur dit peu de choses qu'il n'y a pas d'action concrète à mettre en place. Bien au contraire, il y a... énormément d'études qui montrent que l'amélioration de la qualité du sperme peut radicalement augmenter les chances de succès. Donc c'est vraiment vraiment vraiment un paramètre à prendre en compte. Et c'est justement pour ça que j'ai conçu un tout nouveau programme qui est spécifiquement dédié aux hommes. Alors c'est vrai que jusque là j'accompagnais principalement les femmes. Pourquoi ? C'était pas volontaire mais comme je le disais, c'est souvent elles qui prennent les choses en main, c'est souvent elles qui... doivent subir tous les examens, les protocoles, etc. Et donc forcément c'est elle que j'ai accompagnée. Et en même temps, l'accès à la plateforme, il est pour le couple donc elle pouvait aussi partager ces infos-là avec leur chérie, etc. Mais à force de creuser, je me suis dit que quand même ce serait bien que les hommes aient eux aussi un accompagnement qui est spécifique, alors peut-être avec un petit peu moins de roses partout, mais juste pour que eux aussi puissent avoir vraiment une information, qu'ils puissent comprendre, qu'ils puissent comprendre ce qui se passe. avoir des références aussi d'études scientifiques, avoir des analyses, avoir vraiment tout ce qu'il faut pour comprendre non seulement le spermogramme, adopter surtout aussi des stratégies qui sont simples mais efficaces pour booster leur fertilité, et en même temps prendre leur place dans ce parcours en étant un acteur vraiment à part entière et pas juste relégué au rang de spectateur. Pour moi, la fertilité, elle concerne vraiment les deux membres du couple et je suis la première à crier sur tous les toits que vraiment, On est deux dans l'histoire, ça se travaille à deux, l'équipe parentale c'est maintenant qu'elle se crée. Parce que aussi, in fine, c'est sur du long terme que ça se joue, c'est que si dès le départ, monsieur est un peu laissé de côté, finalement c'est un mode de fonctionnement qui s'installe et puis on se retrouve des années plus tard à devoir tout gérer en tant que maman et à se rendre compte que finalement l'implication n'est pas la même des deux côtés. Je le vois vraiment beaucoup trop de tous les côtés autour de moi et pour moi c'est pas quelque chose d'acceptable. Je n'aurais pas pu être dans une relation comme ça d'ailleurs parce que pour moi c'est pas acceptable en fait. On est deux à faire un enfant. Un enfant ça se fait à deux, ça se gère à deux et l'équipe parentale il est jamais trop tôt pour la créer. Donc c'est vraiment super important et en même temps parce que je sais à quel point un papa qui s'occupe vraiment pleinement de son enfant, c'est un papa aussi qui est comblé, c'est un papa qui est heureux. c'est un super papa, quoi. Et donc, il est temps pour les hommes de pouvoir avoir toutes ces infos-là et d'arrêter de reléguer, finalement, la fertilité et la maternité uniquement au côté maman. Pour moi, encore une fois, on est deux dans l'histoire et c'est maintenant que ça se travaille. Donc, c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. Pas du tout pour culpabiliser et dire il ne faut pas faire ça et nanana. Non, pas du tout. C'est juste pour vraiment expliquer comment ça fonctionne, vraiment d'un point de vue hyper clair, hyper simple. Pas besoin d'avoir Bac plus 12 en médecine, juste du factuel, du simple, des études scientifiques à la clé, des chiffres à la clé pour comprendre. Et c'est vraiment en travaillant exactement comme je le fais au niveau des femmes, c'est-à-dire avec une approche qui est basée sur les quatre piliers. Parce que, encore une fois, mon objectif à moi, ce n'est pas de travailler juste sur un pilier. C'est vraiment d'avoir une approche qui est la plus globale possible, la plus complète possible et la plus... cartésienne et rationnelle possible, parce que je sais que les hommes, ils aiment avoir des infos qui sont concrètes, tangibles. Certains sont un petit peu moins dans l'émotionnel, mais encore une fois, je ne veux pas généraliser. Voilà, ce n'est pas l'idée. Je ne veux pas faire rentrer les gens dans des cases. J'ai beaucoup de mal avec ça. Mais voilà, de manière générale, je vois bien que quand je parle aux hommes, parce que je les accompagne aussi, en fait, indirectement à travers le programme de coaching Éclusion, j'ai énormément d'hommes qui me contactent pour avoir... un petit regard sur leurs analyses pour avoir des conseils, etc. Et parce que le coaching inclusion, finalement, c'est pour les deux membres du couple. Donc voilà, je sais que beaucoup sont soucieux aussi de leur santé, de leur aptitude sportive, de plein de choses. Et donc c'est vrai que je les accompagne, je vois exactement, finalement, quelles sont les infos qui leur manquent. Et c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. C'est vraiment pour te donner toutes les cartes en main, à tous les niveaux, que ce soit du côté féminin, du côté masculin. pour vraiment vous montrer à quel point il y a un rôle crucial à jouer et qu'ensemble, on peut vraiment, vraiment, vraiment optimiser sa fertilité. Donc, si ça t'intéresse, si tu sens que tu as envie d'aider ton conjoint à mieux comprendre son rôle dans le parcours, ou si toi, tu es un homme et que tu écoutes cet épisode de podcast, alors déjà, merci de l'avoir écouté. Félicitations à toi d'être arrivé jusqu'ici et d'avoir tenu. toutes ces informations, je trouve ça génial que tu t'impliques autant que ta femme et donc ça c'est extraordinaire. Et si toi tu es appelé aussi par le fait de mieux comprendre tout ce qui se joue au niveau de ta fertilité et que tu as à cœur de savoir comment est-ce que tu peux l'optimiser, je t'invite vraiment à découvrir ce tout nouveau programme parce qu'il est là pour toi, il est là pour vous deux, pour vous permettre finalement de faire de ce rêve de parentalité une réalité. C'est vraiment un élément très important, qui me tient vraiment à cœur, parce que ce chemin-là, ce n'est pas uniquement celui de la femme, ce n'est pas uniquement celui d'un des deux membres du couple, c'est vraiment un chemin qu'on emprunte ensemble, et chaque petit pas va compter énormément. Donc si ça t'intéresse, tu vas pouvoir retrouver le lien pour rejoindre ce tout nouveau programme dans la description de cet épisode. J'ai juste une chose à te dire, c'est qu'il s'agit d'un lancement, d'accord ? Donc c'est vraiment un... tout nouveau programme qui voit le jour. C'est un programme qui va être archi-complet et qui va se construire aussi dans les semaines qui viennent. Il va y avoir énormément de mises à jour. Mais je t'invite du coup à profiter de ce tarif de lancement parce que le tarif va augmenter progressivement. Ici, c'est vraiment une offre de lancement. Je veux vraiment que tout soit le plus complet très rapidement possible. Mais pour ça, tu bénéficies d'une offre de lancement parce que ça veut dire aussi qu'il y a énormément de choses qui arrivent encore. Une fois que tu fais partie de ce programme, les mises à jour te sont toujours offertes. C'est comme pour le programme Fertility, qui est dédié principalement aux femmes, même si les hommes peuvent évidemment appliquer les conseils aussi. Mais là, on est vraiment sur un programme vraiment 100% masculin, avec le besoin justement de comprendre tout ce qui se joue. Et en fait, pour t'inciter à agir le plus rapidement possible, tu vas pouvoir bénéficier d'une offre de lancement. Cette offre ne va pas être valable éternellement, d'accord ? Donc au moment où tu vas enregistrer, ou tu vas pardon, au moment où moi j'enregistre cet épisode et où toi tu vas l'écouter, et bien sache que jusqu'au 5 novembre tu as la possibilité de bénéficier d'un tarif de lancement. A partir du 6 novembre, le tarif va augmenter. Donc si la fertilité masculine est un sujet qui t'intéresse, que t'as envie de comprendre les différentes pathologies, comment optimiser, comment analyser, etc. Tout va être regroupé au même endroit. Et j'ai juste une chose à te dire, c'est ne passe pas à côté parce que ce programme va être extraordinaire. C'est vraiment le tout premier programme qui est conçu de manière aussi globale, aussi approfondie, spécifiquement pour les hommes. Donc vraiment, ne passe pas à côté, ça va envoyer du lourd. Donc si ça t'intéresse, tu trouves le lien dans la description de cet épisode. Et si tu as la moindre question, tu m'écris en DM, tu m'écris sur Instagram principalement ou par email parce que c'est les deux endroits où je suis les plus réactives et je répondrai à ta question. Mais voilà, en tout cas, j'avais à cœur de te sensibiliser sur la fertilité masculine parce que oui, il y a des choses à faire. On se retrouve dans le programme Fertility Men cette fois. Merci beaucoup, j'espère que cet épisode t'a aidé à prendre conscience du rôle des hommes. J'espère que ça va t'aider et surtout je te retrouve très vite au sein de ce programme. On se retrouve aussi la semaine prochaine pour un prochain épisode spécial. A très vite ! Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

Dans cet épisode, on aborde un sujet souvent négligé dans le parcours PMA : la place des hommes, qui sont trop souvent laissés de côté, avec peu d’informations sur leur rôle et les actions qu’ils peuvent entreprendre pour améliorer leur fertilité.


Je partage avec toi l'impact de la qualité du sperme, pas seulement sur la fécondation, mais aussi sur la grossesse elle-même. Un épisode essentiel pour comprendre que la fertilité, c’est un travail d’équipe !


Un épisode à écouter à deux et/ou à partager aux hommes !


➡️ Découvre le nouveau programme entièrement dédié à la fertilité masculine


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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Infertilité masculine, ce qu'on ne dit pas aux hommes et pourquoi ça change tout. Bienvenue à toi dans ce tout nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui est trop souvent laissé de côté dans le parcours PMA, c'est-à-dire l'infertilité masculine. Alors, si tu écoutes cet épisode, eh bien, dis-toi qu'il est pour toi, il est pour ton chéri aussi, n'hésite pas à lui transférer, parce qu'on va aborder des thématiques qu'on n'entend pas suffisamment dès qu'on parle de fertilité, parce que clairement, oui, les hommes ont un rôle clé à jouer. Et malheureusement, ils ne sont pas toujours informés des actions qu'ils peuvent entreprendre. Et c'est là où tout se complique. Donc c'est clair que ce que je voudrais voir avec toi dans cette toute première partie, c'est qu'en fait, finalement, les hommes sont un peu les grands oubliés du parcours PMA. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que quand on parle de PMA, on parle souvent des examens, des traitements, des défis que les femmes traversent, et à juste titre, parce que c'est vraiment quelque chose de très éprouvant. C'est légitime, c'est vraiment une épreuve qui est physique, émotionnelle et qui est véritablement énorme à tout point de vue. Mais ce qui est finalement un peu moins discuté, c'est que dans ce parcours, les hommes sont souvent aussi laissés en retrait. Parfois, il arrive même que les médecins ne s'adressent même pas à eux pendant le rendez-vous. Et je trouve ça vraiment dommage parce que finalement, ça devient un petit peu des spectateurs, des assistants qui sont finalement là un peu pour soutenir leur partenaire. qui ne sont pas vraiment aux premières loges, qui ne sont pas vraiment impliquées directement dans le processus. Et en fait, c'est un problème. C'est un problème à plein de niveaux. La toute première raison, c'est que la fertilité, c'est une affaire de couple. Au départ, c'est deux personnes, en tout cas, c'est deux gamètes. Même si, bien sûr, il y a aussi des mamans solo qui se lancent dans l'aventure, il y a des couples lesbiens, il y a plein de configurations différentes. Mais à partir du moment où on est en couple, j'ai envie de dire traditionnel, hétéro, etc. je trouve que clairement, les deux membres du couple doivent être impliqués de la même façon, même si, bien sûr, j'entends que les traitements médicaux seront plutôt destinés à la femme. Mais à côté de ça, il y a énormément de choses, parce qu'il n'y a pas juste l'ovulation et la future grossesse, mais il y a aussi toute la qualité spermatique, il y a la santé générale aussi de l'homme, qui a toute son importance, de son implication dans le parcours, il y a énormément de choses. Et c'est vrai que dans la pratique, j'observe deux cas de figure. Principalement, c'est que la priorité, c'est que c'est vrai que moi, je vois quand même souvent que ce sont les femmes qui mettent tout en œuvre. Ce sont les femmes qui, sans mauvais jeu de mots, prennent les choses en main parce qu'on sent que la fertilité, on sent que ça coince un peu. On attend, ça ne vient pas. Et donc, du coup, on commence directement à prendre l'initiative de consulter son gynéco. de faire quelques examens, quelques prises de sang, etc. Et c'est seulement dans un deuxième temps que le côté masculin est exploré. Et je trouve ça vraiment dommage. Ça a été mon cas aussi. C'est moi qui, du jour au lendemain, je me suis dit Ok, ça tarde, on va faire quelques examens, etc. Et donc, on s'est d'abord focalisé sur moi. Et ensuite, on est assez vite passé à la situation de mon chéri. Mais ça ne s'est pas fait simultanément. Et c'est vrai que c'est moi qui ai pris les devants. Alors... C'est important de voir que, en tout cas moi dans le quotidien, c'est souvent ce que je vois, c'est que les femmes sont prêtes à changer leur alimentation, prendre des compléments, qu'elles vont suivre à la lettre tous les protocoles médicaux, etc. Mais finalement, à côté de ça, je vois que les hommes sont plus ou moins laissés sans indications médicales spécifiques. Résultat, ils ne changent pas grand-chose à leur routine. Et donc finalement, une part importante du problème est ignorée. Et vraiment, j'ai envie de dire que c'est maintenant que ça rentre en ligne de compte, c'est maintenant que ça se travaille. Pourquoi ? Parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare, c'est pas après. Et je te donne un bête exemple, je ne conçois pas qu'aujourd'hui, alors là, mon fils va quitter bientôt ce qu'on appelle l'école primaire chez nous, donc je vais dire que ça fait maintenant les 3 années de maternelle plus les 6 années de primaire, donc ça fait 9 ans maintenant que mon fils est scolarisé. Et chaque année, on a plusieurs réunions parentales à l'école avec les enseignants. Et chaque année, sur des classes d'approximativement 24 enfants, s'il y a éventuellement 3 à 4 papas présents, c'est beaucoup. Et je trouve ça inacceptable. Je trouve ça inacceptable parce que ça montre à quel point, finalement, il y a une inégalité dans l'implication parentale. Alors on va me dire, oui, mais ça dépend du travail, peut-être que c'est plus facile, etc. Bien sûr, je ne jette pas la pierre, mais pour moi, c'est inconcevable que mon chéri ne soit pas présent à une réunion parentale. Alors ok, s'il est coincé au fond du lit avec 42 fièvres, je ne vais pas forcément lui demander de venir, mais en 9 années, ça n'est jamais arrivé. Si moi, je me libère du temps pour assister à la réunion parentale, il me semble tout aussi logique que mon mari en fasse de même. Ça nous a toujours paru évident et on s'est toujours organisé pour le faire. Alors je sais que ce n'est pas toujours facile. Mais dans ce cas-là, on peut s'organiser pour que ce soit une année l'un, une année l'autre éventuellement, si au niveau du travail ça coince. Mais c'est vraiment toujours les mêmes que je vois et ce sont toujours des mamans. Donc pour moi, c'est important que ça commence à changer dès maintenant. Et ça, ça se fait dès le parcours de conception, en mettant les deux membres du couple sur un pied d'égalité parce que l'équipe parentale, c'est maintenant qu'elle se prépare. Et c'est vrai qu'en fait, on ne parle pas suffisamment aussi de l'infertilité masculine et de ses répercussions sur la grossesse. Parce qu'en réalité, comme on ne l'explique pas, les hommes ne peuvent pas le conscientiser, ne peuvent pas le réaliser. Mais en réalité, l'infertilité masculine, quand il y a un spermogramme qui est carrément mauvais ou en tout cas pas extraordinaire, il faut se dire que le problème de ce spermogramme qui est à optimiser, c'est que ça ne se limite pas. pas à la fécondation. Alors bien sûr, quand on a un sperme qui est de moyenne, voire de mauvaise qualité, la fécondation est plus compliquée, bien évidemment. Donc souvent, le spermogramme, c'est un des premiers indicateurs. Mais ça ne s'arrête pas là. La qualité du sperme, elle influence aussi directement la suite de la grossesse. Parce que la qualité du sperme, elle peut affecter ce qu'on appelle la stabilité de l'embryon. Il y a pas mal d'études qui montrent que des anomalies du sperme peuvent être liées à des arrêts spontanés de grossesse. Oui, je parle toujours d'arrêt de grossesse et non pas de fausse couche, parce qu'il n'y a rien qui est faux dans ce qu'on vit. Donc je ne parle jamais de fausse couche, je sais que c'est le terme fréquemment utilisé, mais moi je préfère parler d'arrêt de grossesse. Donc c'est vrai que même si on a l'ovocyte qui est fécondé, la qualité du sperme peut compromettre la suite du développement embryonnaire. Voilà pourquoi je dis que c'est dès le départ que ça se travaille à deux. Et c'est vrai que c'est un facteur qui n'est pas suffisamment pris en compte ou expliqué aux couples qui vivent des arrêts de grossesse répétés par exemple. Donc ça c'est une vraie problématique. À côté de ça, comprendre et interpréter un spermogramme, c'est parfois pas évident. Alors le spermogramme, c'est approximativement l'un des seuls examens qu'on va proposer aux hommes. en parcours PMA. Il y a peu de médecins aussi qui vont prendre le temps vraiment d'expliquer les résultats du spermogramme en profondeur. Et en gros, on va repartir avec des chiffres qu'on ne comprend pas et finalement, ils ne savent pas trop quoi en faire. Et puisque le médecin n'a pas relevé, on part du principe que c'est bon. Alors, ce n'est pas toujours le cas. C'était notre cas à nous. Nous, on est reparti avec les résultats du spermo. Alors mon gyné, à moi, est vachement cool et donc c'est en allant le voir qu'il m'a tout réexpliqué, mais le gynéco de la PMA n'avait pas pris le temps vraiment d'expliquer tous les paramètres. Donc c'est quand même un élément super important. Alors, en fait, c'est vrai que le spermogramme évalue plusieurs paramètres, ça va évaluer notamment le nombre, évidemment, de spermatozoïdes, mais pas uniquement, on va analyser leur mobilité, et d'ailleurs on parle de motilité. On va parler de morphologie, on va parler de plein d'éléments finalement, parce qu'on va voir aussi qu'il y a pas mal d'anomalies, et on peut avoir des anomalies à différents niveaux. Ça peut être au niveau de la tête du spermatozoïde, ça peut être au niveau des flagelles, etc. Donc de la queue, si tu veux, du spermatozoïde. Mais en fait, ces chiffres-là, à eux seuls, ne sont pas une fatalité. Ils peuvent vraiment être améliorés. Mais souvent, comme on n'explique pas, comme quand on reçoit les résultats, le médecin part du principe que c'est ok, voire même, Quand il y a un sperme de mauvaise qualité, on vous dit, on va passer par une FIV-XI, donc avec une injection intracytoplasmique. Parce que c'est un peu perçu comme si c'était la solution à un sperme de mauvaise qualité. Mais c'est loin d'être la réalité. Pourquoi ? Parce que quand on va sélectionner un spermatozoïde dans le cas d'une FIV-XI, la sélection, en France, en Belgique, elle se fait essentiellement sur base visuelle. D'accord ? Donc on va prendre celui qui nous semble à l'œil nu le plus correct. Et c'est très bien. Mais ça ne suffit en réalité pas forcément. Pourquoi ? Parce que... on peut avoir des malformations chromosomiques qui ne sont pas observées. Et donc, voilà pourquoi c'est crucial, même si on part dans l'hypothèse de faire une phyve ici, c'est crucial d'améliorer la qualité des spermatozoïdes. L'avantage, c'est que le renouvellement spermatique se fait relativement rapidement. On va considérer qu'il faut approximativement entre deux mois et demi, trois mois pour renouveler complètement. la qualité d'un spermogramme. C'est ce qui fait que parfois, s'il y a plusieurs spermogrammes à faire, on va laisser passer un laps de temps qui est de trois mois, parce que ça permet vraiment de le renouveler complètement. Et parfois, en trois mois, on peut avoir des améliorations, mais qui sont juste énormissimes. Donc, ça montre qu'il y a des choses, évidemment, qui sont à faire. Donc, les hommes ont vraiment un rôle à jouer à plein de niveaux, comme pour les femmes, d'ailleurs, que ce soit au niveau de l'hygiène de vie, tout ce qui est... Comment dire ? L'alimentation, évidemment, l'activité physique, le sommeil, le stress, tout ce qui est toxines, donc le tabac, l'alcool, la pollution, il y a énormément de choses, évidemment. Il y a plein d'actions concrètes qui ont un impact plus que significatif sur les résultats d'un spermogramme. Pourtant, combien d'hommes le savent réellement ? J'ai envie de dire trop peu, parce qu'il n'y a pas grand monde qui leur explique vraiment ce qu'ils peuvent faire, comment le faire, etc. Donc c'est vrai qu'il y a quelque part une forme d'inaction. de la part du masculin, de manière générale. Alors, je généralise, on est bien d'accord, je sais qu'il y a des exceptions où il y a des hommes qui sont tout aussi impliqués que leurs femmes, bien évidemment. On est d'accord, je fais ici des grandes généralités, mais pour les accompagner, je sais et je vois qu'il y a vraiment des hommes qui s'impliquent tout autant que les femmes. Mais ce qui est vraiment important, c'est que, comme je disais, souvent c'est les femmes qui vont prendre en main la situation, qui vont suivre scrupuleusement les conseils, qui sont prêtes à... à faire énormément de changements pour optimiser leur fertilité. Mais du côté des hommes, comme le médical ne leur dit rien ou pas grand-chose, beaucoup d'hommes continuent leur routine sans vraiment modifier leurs habitudes. Ce qui se passe aussi, comme je le dis souvent pour les femmes, c'est qu'autant le médical peut être intrusif, invasif, autant les analyses restent hélas trop superficielles. Et du coup, on ne creuse pas plus que ça. Mais il faut savoir que... Le fait de creuser un peu, ça peut aussi mettre en avant des pathologies qui, premièrement, ont d'énormes répercussions sur la fertilité masculine, bien sûr, mais aussi sur l'état de santé général. Il y a quand même des marqueurs qui sont révélateurs de risques de pathologies cardiovasculaires, etc. Il y a quand même tout un tas de marqueurs qui sont vraiment à prendre en compte et qui montrent finalement que la qualité du spermogramme, qui n'est pas la plus optimale, ça montre en réalité que ce n'est qu'une conséquence d'un état de santé qui pourrait être amélioré. Donc vraiment, c'est super important de se rendre compte que finalement, cette inaction va pénaliser forcément le couple, parce que la fertilité, c'est vraiment un travail d'équipe. Les hommes ont vraiment un rôle énorme à jouer, et qui est tout aussi important que leur femme, bien sûr. Ce n'est pas parce qu'on leur dit peu de choses qu'il n'y a pas d'action concrète à mettre en place. Bien au contraire, il y a... énormément d'études qui montrent que l'amélioration de la qualité du sperme peut radicalement augmenter les chances de succès. Donc c'est vraiment vraiment vraiment un paramètre à prendre en compte. Et c'est justement pour ça que j'ai conçu un tout nouveau programme qui est spécifiquement dédié aux hommes. Alors c'est vrai que jusque là j'accompagnais principalement les femmes. Pourquoi ? C'était pas volontaire mais comme je le disais, c'est souvent elles qui prennent les choses en main, c'est souvent elles qui... doivent subir tous les examens, les protocoles, etc. Et donc forcément c'est elle que j'ai accompagnée. Et en même temps, l'accès à la plateforme, il est pour le couple donc elle pouvait aussi partager ces infos-là avec leur chérie, etc. Mais à force de creuser, je me suis dit que quand même ce serait bien que les hommes aient eux aussi un accompagnement qui est spécifique, alors peut-être avec un petit peu moins de roses partout, mais juste pour que eux aussi puissent avoir vraiment une information, qu'ils puissent comprendre, qu'ils puissent comprendre ce qui se passe. avoir des références aussi d'études scientifiques, avoir des analyses, avoir vraiment tout ce qu'il faut pour comprendre non seulement le spermogramme, adopter surtout aussi des stratégies qui sont simples mais efficaces pour booster leur fertilité, et en même temps prendre leur place dans ce parcours en étant un acteur vraiment à part entière et pas juste relégué au rang de spectateur. Pour moi, la fertilité, elle concerne vraiment les deux membres du couple et je suis la première à crier sur tous les toits que vraiment, On est deux dans l'histoire, ça se travaille à deux, l'équipe parentale c'est maintenant qu'elle se crée. Parce que aussi, in fine, c'est sur du long terme que ça se joue, c'est que si dès le départ, monsieur est un peu laissé de côté, finalement c'est un mode de fonctionnement qui s'installe et puis on se retrouve des années plus tard à devoir tout gérer en tant que maman et à se rendre compte que finalement l'implication n'est pas la même des deux côtés. Je le vois vraiment beaucoup trop de tous les côtés autour de moi et pour moi c'est pas quelque chose d'acceptable. Je n'aurais pas pu être dans une relation comme ça d'ailleurs parce que pour moi c'est pas acceptable en fait. On est deux à faire un enfant. Un enfant ça se fait à deux, ça se gère à deux et l'équipe parentale il est jamais trop tôt pour la créer. Donc c'est vraiment super important et en même temps parce que je sais à quel point un papa qui s'occupe vraiment pleinement de son enfant, c'est un papa aussi qui est comblé, c'est un papa qui est heureux. c'est un super papa, quoi. Et donc, il est temps pour les hommes de pouvoir avoir toutes ces infos-là et d'arrêter de reléguer, finalement, la fertilité et la maternité uniquement au côté maman. Pour moi, encore une fois, on est deux dans l'histoire et c'est maintenant que ça se travaille. Donc, c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. Pas du tout pour culpabiliser et dire il ne faut pas faire ça et nanana. Non, pas du tout. C'est juste pour vraiment expliquer comment ça fonctionne, vraiment d'un point de vue hyper clair, hyper simple. Pas besoin d'avoir Bac plus 12 en médecine, juste du factuel, du simple, des études scientifiques à la clé, des chiffres à la clé pour comprendre. Et c'est vraiment en travaillant exactement comme je le fais au niveau des femmes, c'est-à-dire avec une approche qui est basée sur les quatre piliers. Parce que, encore une fois, mon objectif à moi, ce n'est pas de travailler juste sur un pilier. C'est vraiment d'avoir une approche qui est la plus globale possible, la plus complète possible et la plus... cartésienne et rationnelle possible, parce que je sais que les hommes, ils aiment avoir des infos qui sont concrètes, tangibles. Certains sont un petit peu moins dans l'émotionnel, mais encore une fois, je ne veux pas généraliser. Voilà, ce n'est pas l'idée. Je ne veux pas faire rentrer les gens dans des cases. J'ai beaucoup de mal avec ça. Mais voilà, de manière générale, je vois bien que quand je parle aux hommes, parce que je les accompagne aussi, en fait, indirectement à travers le programme de coaching Éclusion, j'ai énormément d'hommes qui me contactent pour avoir... un petit regard sur leurs analyses pour avoir des conseils, etc. Et parce que le coaching inclusion, finalement, c'est pour les deux membres du couple. Donc voilà, je sais que beaucoup sont soucieux aussi de leur santé, de leur aptitude sportive, de plein de choses. Et donc c'est vrai que je les accompagne, je vois exactement, finalement, quelles sont les infos qui leur manquent. Et c'est vraiment pour ça que j'ai conçu ce programme. C'est vraiment pour te donner toutes les cartes en main, à tous les niveaux, que ce soit du côté féminin, du côté masculin. pour vraiment vous montrer à quel point il y a un rôle crucial à jouer et qu'ensemble, on peut vraiment, vraiment, vraiment optimiser sa fertilité. Donc, si ça t'intéresse, si tu sens que tu as envie d'aider ton conjoint à mieux comprendre son rôle dans le parcours, ou si toi, tu es un homme et que tu écoutes cet épisode de podcast, alors déjà, merci de l'avoir écouté. Félicitations à toi d'être arrivé jusqu'ici et d'avoir tenu. toutes ces informations, je trouve ça génial que tu t'impliques autant que ta femme et donc ça c'est extraordinaire. Et si toi tu es appelé aussi par le fait de mieux comprendre tout ce qui se joue au niveau de ta fertilité et que tu as à cœur de savoir comment est-ce que tu peux l'optimiser, je t'invite vraiment à découvrir ce tout nouveau programme parce qu'il est là pour toi, il est là pour vous deux, pour vous permettre finalement de faire de ce rêve de parentalité une réalité. C'est vraiment un élément très important, qui me tient vraiment à cœur, parce que ce chemin-là, ce n'est pas uniquement celui de la femme, ce n'est pas uniquement celui d'un des deux membres du couple, c'est vraiment un chemin qu'on emprunte ensemble, et chaque petit pas va compter énormément. Donc si ça t'intéresse, tu vas pouvoir retrouver le lien pour rejoindre ce tout nouveau programme dans la description de cet épisode. J'ai juste une chose à te dire, c'est qu'il s'agit d'un lancement, d'accord ? Donc c'est vraiment un... tout nouveau programme qui voit le jour. C'est un programme qui va être archi-complet et qui va se construire aussi dans les semaines qui viennent. Il va y avoir énormément de mises à jour. Mais je t'invite du coup à profiter de ce tarif de lancement parce que le tarif va augmenter progressivement. Ici, c'est vraiment une offre de lancement. Je veux vraiment que tout soit le plus complet très rapidement possible. Mais pour ça, tu bénéficies d'une offre de lancement parce que ça veut dire aussi qu'il y a énormément de choses qui arrivent encore. Une fois que tu fais partie de ce programme, les mises à jour te sont toujours offertes. C'est comme pour le programme Fertility, qui est dédié principalement aux femmes, même si les hommes peuvent évidemment appliquer les conseils aussi. Mais là, on est vraiment sur un programme vraiment 100% masculin, avec le besoin justement de comprendre tout ce qui se joue. Et en fait, pour t'inciter à agir le plus rapidement possible, tu vas pouvoir bénéficier d'une offre de lancement. Cette offre ne va pas être valable éternellement, d'accord ? Donc au moment où tu vas enregistrer, ou tu vas pardon, au moment où moi j'enregistre cet épisode et où toi tu vas l'écouter, et bien sache que jusqu'au 5 novembre tu as la possibilité de bénéficier d'un tarif de lancement. A partir du 6 novembre, le tarif va augmenter. Donc si la fertilité masculine est un sujet qui t'intéresse, que t'as envie de comprendre les différentes pathologies, comment optimiser, comment analyser, etc. Tout va être regroupé au même endroit. Et j'ai juste une chose à te dire, c'est ne passe pas à côté parce que ce programme va être extraordinaire. C'est vraiment le tout premier programme qui est conçu de manière aussi globale, aussi approfondie, spécifiquement pour les hommes. Donc vraiment, ne passe pas à côté, ça va envoyer du lourd. Donc si ça t'intéresse, tu trouves le lien dans la description de cet épisode. Et si tu as la moindre question, tu m'écris en DM, tu m'écris sur Instagram principalement ou par email parce que c'est les deux endroits où je suis les plus réactives et je répondrai à ta question. Mais voilà, en tout cas, j'avais à cœur de te sensibiliser sur la fertilité masculine parce que oui, il y a des choses à faire. On se retrouve dans le programme Fertility Men cette fois. Merci beaucoup, j'espère que cet épisode t'a aidé à prendre conscience du rôle des hommes. J'espère que ça va t'aider et surtout je te retrouve très vite au sein de ce programme. On se retrouve aussi la semaine prochaine pour un prochain épisode spécial. A très vite ! Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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