Speaker #0Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. La vérité sur les quatre tentatives de FIV. Hello, je suis ravie vraiment de te retrouver aujourd'hui. Je vais commencer cet épisode de podcast avec un message que j'ai reçu, un message qui me vient de Johanna et qui me dit Bonjour, j'écoute votre podcast, je suis en PMA avec un énième test négatif aujourd'hui et ce sentiment que le sort s'acharne. Votre voix et vos émissions m'apaisent. Merci beaucoup. Merci infiniment Johanna pour ce message. Et je compatis, mais vraiment, vraiment, vraiment, je sais à quel point c'est compliqué d'enchaîner déjà les tentatives et puis d'encaisser encore une fois un résultat qui n'est pas celui qu'on attend. Donc je sais à quel point c'est difficile et je suis vraiment ravie de savoir que mes émissions, comme tu dis, que mes épisodes en tout cas, que ma voix peut apaiser un petit peu ta douleur. Et il y a tellement, tellement de choses que j'ai envie de partager avec vous. Et en fait, le message de Johanna fait un petit peu écho aujourd'hui avec la thématique que j'avais envie de partager avec toi. Parce que c'est vrai qu'aujourd'hui, on va parler d'une thématique qui me tient quand même beaucoup à cœur. Ce sont les tentatives de FIV, des tentatives qui sont autorisées, qui sont remboursées. Et il y a quand même des choses que j'avais envie de clarifier autour de ça, parce que j'aurais aimé savoir exactement ce qu'il en était. Et je pense que beaucoup d'autres femmes aussi. Parce qu'entre ce qui se passe sur papier et puis la réalité de terrain, il y a parfois un monde d'écart et donc j'avais envie quand même de clarifier un petit peu tout ça. Et avant de rentrer véritablement dans le vif du sujet, je voulais simplement te parler ou te rappeler peut-être, si tu l'as vu passer, que ce soit en newsletter ou sur les réseaux sociaux. Eh bien, j'organise le 7 février prochain. Au moment où j'enregistre cet épisode, évidemment, tu as la possibilité de t'inscrire. Je mettrai le lien d'inscription dans la description de cet épisode, bien évidemment. Tu peux aussi retrouver le lien d'inscription sur mon profil Instagram. Quand tu vas sur le lien de ma bio, tu as un lien d'inscription. C'est un atelier que j'organise sur le SOPK, sur le syndrome des ovaires polycystiques. Et en fait, vraiment, l'objectif de cet atelier, c'est vraiment de... te dire tout ce que tu dois savoir sur le SOPK. On va parler des différentes formes, parce qu'en réalité, il y en a plusieurs et on n'explique jamais ça. On va comprendre quels sont les mécanismes qu'il y a derrière, parce que c'est, encore une fois, très important, pour que tu puisses repartir de là avec des conseils pratiques et que tu puisses avoir les réponses à tes questions, parce qu'en prime, je répondrai effectivement aux questions. Pourquoi ça me semble important ? Parce que tu l'as compris, il y a différentes formes et qu'aujourd'hui, on a un peu tendance à traiter toutes les formes de SOPK de la même manière. Et puis, bizarrement, on n'obtient pas de résultat. Et ça me questionne, ça m'ennuie terriblement, évidemment. Et je vois évidemment la différence de ce que moi, je mets en place avec les femmes que j'accompagne. Je vois l'efficacité et puis je vois les messages que je reçois sur les réseaux sociaux. Et je me dis qu'il est temps vraiment... de comprendre les choses pour pouvoir agir. Parce que quand on ne comprend pas, on ne peut pas agir efficacement. Et c'est ce qui fait qu'on met un petit peu toutes les formes dans le même sac. Et puis, on n'obtient pas les résultats qu'on veut. Et ça m'ennuie. Et il y aura évidemment d'autres ateliers qui vont arriver prochainement. Parce que j'entends celles qui ne sont pas atteintes de SOPK et qui me disent Oui, mais moi, j'ai une insuffisance ovarienne. Oui, mais moi, j'ai de l'endométriose. Oui, mais moi, je ne sais pas. On me dit que tout va bien. Rassurez-vous, il y aura d'autres ateliers qui arrivent. Le premier, en tout cas, je le consacre au SOPK parce que c'est vrai que j'ai reçu beaucoup de messages sur le sujet ces derniers temps. Mais vraiment, je t'invite à t'inscrire parce qu'on va briser les tabous et on va être super efficace. Et comme toujours, l'idée, c'est de repartir avec un plan d'action, des conseils qui sont clairs, qui sont applicables. Donc vraiment, ne rate pas ça. Petite histoire quand même au passage, c'est que le 7 février, ce n'est pas une date que j'ai choisie au hasard. C'est la date à laquelle finalement... Mon fils a décidé d'arriver, donc voilà, j'avais envie. C'était une date pour moi symbolique après l'échec que j'avais connu à l'époque. Ça date quand même aujourd'hui, mais voilà, ça reste une date qui est symbolique pour moi. Et donc j'avais envie, j'avais vraiment envie d'organiser un atelier ce jour-là, une conférence en ligne. Et donc voilà, j'ai choisi le 7 février. Mais comme ça, tu sais pourquoi, tu sais quelle est l'histoire qui se cache derrière cette date, qui pour moi, évidemment, est énormément symbolique. Et j'espère que cette date te portera. tout autant chance qu'à moi finalement. Donc voilà pourquoi j'avais envie de créer quelque chose pour ce jour-là. Alors j'en reviens finalement à l'intitulé de cet épisode qui pour moi est vraiment super important, c'est que on va parler justement de la vérité sur ces quatre tentatives de FIV. Alors si tu es en France, c'est probablement que de ce fait-là tu as quatre tentatives qui sont remboursées. Alors... En Belgique, c'est six. Évidemment, selon les pays, c'est un petit peu différent. Si tu vis en Suisse, il n'y a rien. Ce sont seulement les inséminations qui sont remboursées. Et voilà, chaque pays va avoir sa propre législation, bien évidemment. Je ne peux pas toutes les faire ici parce que j'accompagne des femmes de partout dans le monde, y compris dans des pays qui ne sont pas francophones, mais parce qu'elles sont expatriées, etc. Donc voilà, je ne peux évidemment pas ici, dans un épisode de podcast, reprendre la législation. Je ne vais pas dire européenne parce que ce ne serait même pas vrai, ce serait presque mondial. J'ai parfois des personnes qui sont aux Etats-Unis, en Nouvelle-Calédonie. Enfin voilà, j'ai des personnes qui sont un petit peu de partout. Mais en tout cas, ici, je vais me consacrer sur la France parce que c'est là où j'ai le plus de questions finalement et de messages qui me reviennent par rapport à ça et d'expériences aussi quand je vois comment ça se passe. Alors clairement, ce qui se passe, c'est qu'ici, je vois qu'en France, on a... noir sur blanc, quatre tentatives qui sont remboursées, d'accord ? Mais ça, c'est vraiment la théorie. Pourquoi ? Parce que en pratique, malheureusement, je vois que c'est vraiment très fréquent d'arrêter avant. C'est-à-dire, quand je dis arrêter avant, c'est pas toi, en tant que patiente, qui dis je veux pas aller plus loin Non, non, c'est vraiment, en tant que patiente, on te refuse la possibilité d'aller jusqu'au bout de ces quatre tentatives. Et ça, ça me questionne évidemment énormément, parce que quand on rentre dans ce parcours, on se dit, sur papier, Enfin voilà, on voit un petit peu comment ça se passe, on a toutes les informations, et puis on voit, on apprend qu'on a quatre tentatives. Et en fait, dans nos têtes, je m'inclus dedans, parce que ça ne me serait pas venu à l'idée de remettre ça en question, et dans notre esprit, en tout cas, on se dit voilà, on a quatre tentatives. Sauf que la réalité, ce n'est pas forcément la même chose que ce que tu vois sur le papier. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que, pour plein de raisons, Il arrive que tu ne réagisses pas, par exemple, au traitement ou pas de la bonne façon, qu'on essaye de faire une première tentative, éventuellement une deuxième, et puis on se dit que ça n'ira pas. En tout cas, les centres français, avec la technologie qu'ils ont, avec la formation qu'ils peuvent avoir, etc., ne voient pas comment faire pour finalement obtenir de meilleurs résultats. Et donc, à partir de ce moment-là, décident purement et simplement de ne pas aller plus loin. Alors parfois, il y a des recours qu'on peut introduire pour passer en commission, etc., pour quand même obtenir une dérogation. Mais techniquement, dans nos têtes en tout cas, étant donné que sur papier, on a quatre tentatives, ça ne nous vient pas à l'idée d'imaginer qu'on devrait passer en commission pour obtenir une dérogation, alors qu'on n'a même pas épuisé nos tentatives en réalité. Et ça, c'est un vrai problème dont on ne parle pas suffisamment. Et c'est pour ça que j'avais vraiment à cœur d'en parler aujourd'hui, parce que, alors je le vois souvent, parmi les femmes que j'accompagne, qui arrivent chez moi en me disant je pensais pouvoir aller au bout et puis finalement on me refuse alors que je n'ai pas été au bout finalement, je ne suis qu'à la deuxième tentative, je n'ai pas droit à une troisième C'est souvent le cas pour les insuffisances ovariennes, mais pas uniquement. J'ai d'autres situations pour lesquelles ça arrive. Ici j'en ai une en tête, c'est une situation qui est arrivée à Anissa. Anissa, il faut savoir qu'elle a une insuffisance ovarienne, elle a une AMH qui est à 0,37. Le centre PMA a procédé à la première tentative, mais avec des dosages assez élevés, très importants au regard de son insuffisance ovarienne. Au final, elle a eu deux ovocytes qui ont été récoltés. Malheureusement, ces ovocytes n'ont pas tenu jusqu'à J5, donc il n'y a même pas pu avoir de transfert. Finalement, très vite, deux mois plus tard, on a refait une deuxième tentative. toujours avec des dosages élevés. Et là, c'était la catastrophe parce qu'elle n'a pas du tout répondu au traitement. Et à la suite de ça, le centre a complètement décidé de stopper les tentatives. Et ce cas-là, malheureusement, le cas d'Anissa, il est loin d'être isolé. Tu n'imagines pas le nombre de femmes qui sont arrivées chez moi ou avec qui j'ai eu l'occasion d'échanger sur les réseaux, etc., ou par e-mail, par message, et qui ont vécu exactement la même chose. Et ça, ça me semble vraiment problématique. Donc, si tu me suis depuis un moment, tu sais que les dosages, pour moi, quand on est en PMA, c'est, en tout cas, surtout quand on est en insuffisance ovarienne, pour moi, c'est important d'avoir des dosages qui sont relativement faibles. Pourquoi ? Parce qu'on a généralement de moins bonnes réponses avec des dosages forts. Parce qu'en fait, ça stresse complètement l'organisme. Et au lieu de répondre plus, en réalité, ça le paralyse complètement. Et il est... encore moins capable de donner des ovocytes de qualité. Donc c'est pas du tout la bonne piste en tout cas à explorer. Donc la première chose c'est ça, c'est les dosages qui sont trop élevés. Et la deuxième chose qui a été faite et qui pour moi était complètement absurde, c'est qu'on a déjà épuisé le corps une première fois et on ne lui laisse pas le temps de récupérer. À peine deux mois plus tard, on est reparti dans un protocole tout aussi lourd. Et évidemment ça donne plus rien parce que le corps n'a pas du tout les ressources que pour faire face à ça. C'est un petit peu comme si... Je vais prendre une discipline sportive, je vais prendre le tennis, et je vais prendre un illustre joueur, je vais prendre Nadal, je vais prendre Djokovic, je vais prendre des grands joueurs, et je vais leur dire, vous venez de terminer le grand chelem, demain on reprend avec le suivant. Ils vont me dire non, et l'entraîneur va me dire, stop, il y a un temps de repos, on récupère. Et en fait, c'est communément admis dans le milieu sportif. qu'on a besoin de temps de récupération. D'ailleurs, il y a toute une armada de nutritionnistes, d'entraîneurs, de masseurs, de kinés, d'ostéos, de tout ce qu'il faut, on sort l'artillerie lourde, pour justement les aider à récupérer plus rapidement. Mais nous, citoyens lambda, on n'a pas du tout cette équipe autour de nous quand on est en PMA, et donc c'est compliqué, évidemment, de récupérer après avoir été stimulé à ce point. quel que soit le protocole, une fois qu'on est en PMA, on a des protocoles hormonaux qui, en gros, demandent à notre corps de produire dix fois plus que ce qu'on ferait en temps normal, mais par contre, on nous remet sur le ring le lendemain. C'est pas possible, le corps, il peut pas fonctionner comme ça. Donc, c'est ce qui m'ennuie terriblement, c'est que non seulement on a des dosages qui sont super élevés, et en même temps, on a des délais qui sont beaucoup trop courts que pour permettre au corps, finalement, d'avoir le temps de récupérer tout ça. Et en réalité, alors... déjà qu'au départ on commence les protocoles sans même s'assurer que le corps ait les ressources nécessaires, ça déjà voilà. Et puis ensuite c'est qu'on ne vérifie même pas non plus s'il y a des carences et s'il y en a de toute façon comme on ne les vérifie pas on ne peut pas les combler alors que c'est pourtant la base évidemment. Et ce qui est important aussi c'est de se rendre compte que voilà sur papier c'est vrai qu'on a quatre tentatives, la réalité fait que malheureusement dans certains cas les centres décident de ne pas aller plus loin. Je n'en sais trop rien. Je pense qu'il y a un côté où on se dit, nous on sait qu'on n'obtient pas de bons résultats et donc on ne va pas plus loin, on refuse de poursuivre. La vraie raison qu'il y a derrière, je pense aussi que c'est quand même parce qu'il y a un classement des centres PMA, il ne faut pas se cacher. C'est que dans un premier temps, je pense que ça avait un bon objectif, c'était perçu. L'idée en tout cas était de classer les centres et d'obtenir les meilleurs pour stimuler aussi les résultats, etc. Mais au final, les centres qui veulent rester bien positionnés ou monter dans le classement vont finir par accepter des cas qu'ils estiment comme étant gérables. Sauf que, par définition, quand tu es en PMA, c'est que tu as une difficulté. Donc, c'est à mon sens complètement absurde de fonctionner de cette façon-là. Et donc, voilà, il y a un biais qui s'est installé. Est-ce que c'est implicite ? Est-ce que c'est autorisé ? Voilà, ça, c'est une toute autre question, évidemment, qui soulève même un aspect purement politique derrière tout ça. Et voilà, je ne vais pas rentrer sur le sujet ici. Moi, ce qui m'importe finalement, c'est de t'apporter des solutions, de t'expliquer la réalité, que toi, tu puisses anticiper, faire des choses un petit peu autrement. La seule chose que j'ai envie de te dire par rapport à tout ça, c'est vraiment de te rassurer et te dire que ce n'est pas parce que le centre PMA dit stop que tout est perdu, d'accord ? Le médical, je passe mon temps à le répéter, c'est important, c'est génial, c'est extraordinaire, on a la chance déjà d'avoir des tentatives qui sont remboursées, que ce soit en France, en Belgique, etc. Voilà, je pense à celles que j'accompagne et qui sont suisses et qui doivent tout débourser de leur poche. Donc ça reste des montants très conséquents. Je pense aussi à toutes celles à qui la France, par exemple, a dit stop et finissent par devoir se retrouver en Espagne. Ce sont aussi des montants vachement plus conséquents. Déjà, quand on est en France, en Belgique, on a la chance d'avoir ces tentatives qui sont remboursées. C'est génial, c'est extraordinaire. Et en même temps, à côté de ça, il ne faut pas oublier qu'on ne sait pas finalement combien de tentatives seront accordées réellement dans la pratique, dans la réalité, et non pas uniquement sur papier. Mais voilà, donc il y a vraiment ce côté médical où je trouve ça super. Et en même temps, j'aime aussi rappeler que le médical n'est pas tout, d'accord ? C'est que, en général, et c'est quelque chose qu'on oublie souvent, mais optimiser sa fertilité, ça ne se limite absolument pas du tout au protocole, d'accord ? Donc... C'est vraiment important de se rappeler ça, c'est que le médical, c'est une solution, c'est une piste, mais ce n'est certainement pas la seule et unique solution. C'est l'approche de la fertilité, elle nécessite vraiment une approche globale. Et donc, c'est ça qui est important à prendre en compte et à garder en tête. Donc, je ne sais pas où tu en es, je ne sais pas si toi, tu as été confronté à cette situation-là. Peut-être que toi, tu as voulu continuer, mais là, que le centre te dit stop, ou même que tu as dû passer en commission pour pouvoir... continuer une tentative, etc. Donc voilà, dis-moi, n'hésite pas à répondre aujourd'hui. D'ailleurs, sur Spotify, j'ai la possibilité de répondre aux commentaires, donc n'hésite pas à me le dire. Tu peux aussi, évidemment, m'envoyer un message sur Instagram ou même par e-mail, je le lirai avec plaisir. Mais donc voilà, c'est important de garder en tête que si tu es dans cette situation-là, il y a d'autres solutions, il y a d'autres pistes qui s'ouvrent, qui s'offrent à toi, donc ne baisse surtout pas les bras. Et si jamais tu as la chance de ne pas être confronté à cette situation, de démarrer le parcours, parce que peut-être aussi que tu me découvres, je ne sais pas du tout où tu en es, toi qui m'écoutes dans ton parcours, mais si c'est le cas, sache aussi que c'est une réalité, mais que tu as aussi la possibilité peut-être que tout se passe bien et que ça aille jusqu'au bout, bien évidemment. Mais ce que je ne veux pas, c'est que tu sois mise devant le fait accompli et que tu ne t'y attendes pas et que du coup, la déception, elle soit juste énorme, parce que ça, c'est dramatique. Et c'est ça qui me dérange aujourd'hui. Si on sait, et c'est pour ça que j'aime en parler, même si c'est quelque chose qui me fend le cœur de devoir le dire, parce que ce n'est pas agréable, mais ce qui me fend encore plus le cœur, c'est celles qui sont vraiment mises devant le fait accompli, qui s'imaginaient pouvoir continuer le parcours comme on leur avait annoncé dès le départ, et puis finalement, elles se retrouvent bloquées, parce que ça, vraiment, c'est la double peine, c'est véritablement atroce. Donc voilà, j'avais vraiment à cœur de te sensibiliser là-dessus, et de te dire que, quel que soit, évidemment... La situation dans laquelle tu te trouves, la fertilité, elle nécessite une approche sur quatre piliers, elle nécessite une approche globale. Et donc, oui, le médical en fait partie, bien évidemment, mais à côté de ça, il reste encore trois autres piliers. Donc, tout n'est pas perdu loin de là. N'hésite pas vraiment à aller creuser, à aller voir un petit peu comment ça se passe. Quelles sont les opportunités qui s'offrent à toi, finalement ? Mais garde une chose en tête, c'est que ne laisse jamais les protocoles décidés à ta place. Ne... Ne te dis pas, ne délègue jamais ce projet et ne le remets jamais à 100% dans les mains d'autres personnes. Les autres sont là, les autres professionnels sont là pour t'aider, sont là pour te donner des pistes. Mais ce parcours, il t'appartient, d'accord ? Donc vraiment, moi, mon rôle à toi, pour toi en tout cas, c'est d'aider à y croire à nouveau et c'est aussi bien évidemment surtout de t'aider à préparer tes protocoles, que ce soit FIV, insémination, et même si tu n'es pas du tout en PM1 et que... Tu as d'abord envie d'envisager une grossesse sans avoir recours à toute cette partie-là, parce que tu es peut-être au début de tes essais. Eh bien, vraiment, je t'invite à garder en tête qu'il y a une approche globale qui est nécessaire à mettre en place. Mais encore une fois, ne mets pas toutes tes cartes sur un seul et unique pilier, parce que souvent, ça ne suffit pas. Encore une fois, la fertilité, elle nécessite une approche globale qui est basée tant sur l'émotionnel, le physiologique, le médical, l'énergie. Ces quatre piliers sont interdépendants et sont... vraiment complémentaires. On a besoin de ces quatre piliers au même niveau. Donc voilà, c'était le message que j'avais envie de te passer, mais vraiment, ne te dis pas que tout est foutu si jamais le centre PMA te dit stop, il y a encore beaucoup, beaucoup de pistes que tu peux explorer. Et je me ferai évidemment un plaisir de t'accompagner à le faire. Donc si tu as envie de rejoindre le programme, que ce soit le coaching éclosion ou que ce soit le programme Fertility, qui est le programme d'accompagnement en ligne, je t'invite évidemment à cliquer sans plus attendre sur le lien dans la description de cet épisode. Si tu as le SOPK ou une suspicion de SOPK, il va sans dire que je t'attends le vendredi 7 février. Je veux vraiment que tu t'inscrives. Et si jamais... tu n'étais pas disponible à ce moment-là, inscris-toi pour pouvoir justement bénéficier du replay. Replay qui ne sera valable que quelques heures. Ce sera uniquement le temps du week-end. Je ne mets pas des délais plus longs parce que ça n'a absolument aucun sens. Parce que sinon, on reporte, on reporte. Mais moi, ce qui m'intéresse, c'est que tu repartes de là avec des conseils pratiques à appliquer tout de suite. Donc voilà pourquoi il y a un délai très court au niveau du replay. Mais en tout cas, inscris-toi parce que ça va vraiment te permettre de repartir avec des clés et des explications très précises. que personne ne t'a donné jusqu'ici et ça vraiment j'en mettrai ma main au feu. Donc ne tarde pas, inscris-toi. On se retrouve évidemment la semaine prochaine pour un prochain épisode et d'ici là, comme toujours, prends soin de toi, à très bientôt. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr. Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.