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Positive - Fertilité, émotions, PMA

120. Comment transformer tes émotions pour mieux vivre tes essais bébé

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28min |19/02/2025
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Description

➡️ Avant tout : Découvre maintenant le Booster Eclosion en cliquant ici !


Ton parcours PMA est une montagne russe émotionnelle et tu aimerais mieux gérer tes ressentis ?
Dans cet épisode, on explore comment transformer tes émotions pour retrouver de l’apaisement et du pouvoir sur ton chemin vers la maternité.

Je vais te parler :
✔️ Des maisons émotionnelles de Tony Robbins : pourquoi certaines émotions reviennent toujours et comment en sortir.
✔️ Du cadran émotionnel : comprendre où tu te situes pour mieux rééquilibrer tes émotions.
✔️ De la vraie source de tes émotions : elles ne viennent pas des événements extérieurs, mais des histoires que tu te racontes.
✔️ Des stratégies concrètes pour modifier ton état émotionnel et traverser ton parcours avec plus de sérénité et de confiance.

🎧 Un épisode essentiel pour reprendre le contrôle sur ton bien-être émotionnel !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

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Retrouve-moi sur :


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Comment transformer tes émotions pour mieux vivre tes essais bébés ? Hello, je suis ravie, vraiment ravie de te retrouver aujourd'hui. On va parler d'émotion parce que je sais à quel point c'est un sujet qui peut être compliqué, sensible à certaines périodes, surtout quand on a obtenu un résultat qui n'est pas celui qu'on espère. Je sais qu'il y a des moments où c'est beaucoup plus éprouvant que d'autres. Alors j'ai plein de messages qui me sont parvenus ces dernières semaines, donc merci, merci, merci beaucoup. Là, il y a quelques jours, j'ai reçu un message de Magali qui me disait tout d'abord je souhaitais te remercier pour tes podcasts que je suis depuis deux mois environ. J'ai commencé depuis le tout début et j'arrive bientôt à la fin, mon dieu Magali, waouh ! Magali me dit ça m'éclaire, m'apaise, m'informe, c'est un immense soutien donc merci. Alors vraiment je trouve ça juste extraordinaire parce que en plus du message de Magali, j'en ai reçu un autre très récemment sur les réseaux sociaux pour me dire à quel point l'un des derniers épisodes de podcast où en fait je parlais des vérités sur les tentatives de FIV a été plus que bénéfique. parce que l'une d'entre elles s'est retrouvée dans la situation juste au moment où elle a écouté le podcast et ça lui a fait énormément de bien. Donc, merci pour vos retours, vraiment. Et je suis ravie de savoir que ça vous aide au quotidien. N'hésitez surtout pas à aller poster un petit message. Vraiment, je vous invite à le faire parce que c'est ce qui permet, en fait, quand vous mettez des commentaires, des étoiles, clairement, c'est ce qui permet au podcast d'être découvert. Donc, je sais qu'il y a énormément de personnes qui sont justement dans le besoin. d'avoir des informations, d'être, comme Magali le disait, d'être éclairée, apaisée, informée et vraiment en gros d'être soutenue. Donc je sais que ça va vraiment les aider énormément. Donc d'avance, je te remercie. Si tu trouves que le podcast vraiment t'aide, t'encourage, te soutient, te donne des informations et que pour toi c'est une aide précieuse, eh bien vraiment, je te serais infiniment reconnaissante de pouvoir aller prendre quelques petites secondes pour aller me mettre une étoile ou un petit message sur la plateforme de ton choix. Mais vraiment, ce serait vraiment super. Et puis en plus, c'est vrai que sur Spotify, je peux maintenant répondre en direct aux messages. Donc si ça te dit, n'hésite surtout pas à me laisser un petit commentaire. Ça me fera vraiment trop, trop, trop plaisir. Donc je te le disais aujourd'hui, j'avais à cœur en fait de te parler des émotions. Parce que, comme je te le disais, c'est vrai que déjà le parcours en lui-même peut être compliqué, de par les pathologies, et même s'il n'y a pas de pathologie, c'est... À la limite, parfois même encore plus culpabilisant, parce que du coup, on a l'impression que tout va bien, mais que ça ne fonctionne pas, et que du coup, c'est de notre faute, si c'est le cas. Je t'invite d'ailleurs à aller réécouter l'épisode juste avant, je pense que c'est l'un des derniers épisodes où je te parle justement de culpabilité. Mais aujourd'hui, j'avais envie, au-delà de cette notion de culpabilité, vraiment de te parler des émotions, parce que je sais à quel point les émotions dans ce parcours, ça fait le yo-yo, c'est vraiment les montagnes russes, et que ce n'est pas toujours... évident d'être là-dedans et qu'on a vraiment super envie quelque part de transformer les émotions mais on ne sait pas trop comment, on ne sait pas trop quoi faire, on a envie de retrouver de l'apaisement, on a envie de retrouver de la sérénité mais en même temps on est prise dans un tourbillon et on ne sait pas trop comment en sortir. Alors aujourd'hui je vais te parler de plusieurs choses, je vais te parler de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles, je vais te parler d'un outil qui s'appelle le cadran émotionnel, je t'expliquerai d'où ça vient. aussi et puis surtout je t'expliquerai comment est-ce que tu peux faire pour transformer tes émotions. Alors, vraiment, j'insiste sur une petite chose, je fais toujours, toujours, toujours ce petit rappel à partir du moment où je parle des émotions, parce que tu le sais, si tu me suis depuis longtemps, tu le sais, si tu viens de me découvrir peut-être que c'est quelque chose que tu ne sais pas encore mais moi en tout cas il y a quelque chose avec lequel j'ai beaucoup, beaucoup de mal et c'est d'ailleurs quelque chose dont je ne veux pas entendre parler. J'ai beaucoup de gens, y compris dans les coachs et dans les thérapeutes, qui vont te parler de gestion des émotions. Et ça, pour moi, c'est vraiment quelque chose dont je ne veux absolument pas entendre parler. Parce qu'on ne gère pas une émotion comme on gère sa compta. Une émotion, c'est quelque chose qui se vit, qui se ressent, qui presque, on va dire, s'expérimente. Parce qu'il y a des émotions qu'on ne s'autorise pas forcément à expérimenter. Je pense notamment à la colère, mais pas que. Mais c'est parce que j'ai énormément de femmes qui, jusqu'ici, ne s'étaient pas autorisées à exprimer de la colère. C'est ça. Donc une émotion pour moi ça ne se gère pas, une émotion ça s'accueille. Donc, je ne te parlerai jamais ici de gestion des émotions, d'accord ? Je vais te parler d'accueil d'émotions, je vais te parler de transformation d'émotions, parce que c'est vrai que ce n'est pas toujours agréable quand on risque de bloquer sur un certain type d'émotion et qu'on aimerait finalement retrouver un peu plus de sérénité, de légèreté et qu'on n'y arrive pas. Donc voilà, ça oui, on va en parler, mais jamais je ne te parlerai ici de gestion d'émotions. Donc j'espère vraiment que c'est clair. Alors clairement... Parmi toutes les femmes que j'accompagne, et si je me replonge dans ma propre expérience à moi, puisque comme tu le sais, je suis aussi passée par là, vraiment, perso, pendant ces 4 ans et demi, j'ai vraiment oscillé entre espoir, parce que j'avais quand même vraiment l'espoir qu'un jour ça finisse par fonctionner, la frustration de me dire, en fait, tout a l'air d'aller bien chez moi, ce qui n'était absolument pas vrai, je le rappelle, j'avais un SOPK et l'endométriose, donc ça n'allait pas bien, mais en tout cas, c'est ce qu'on me disait. J'avais énormément de tristesse parce que les mois et les années passaient et il ne se passait toujours rien et que j'avais finalement l'impression que ça ne changerait jamais. Ce qui m'amenait aussi parfois à ressentir de la colère parce que j'en avais ras-le-bol d'avoir autour de moi des annonces de grossesse, parfois même de personnes qui n'en voulaient même pas, pour qui ce n'était pas forcément voulu ou qui n'étaient pas dans les conditions pour, etc. Bref, c'était parfois un petit peu compliqué à gérer à ce niveau-là. Et évidemment, énormément de culpabilité parce que... entre guillemets tout allait bien mais ça fonctionnait quand même pas. Donc évidemment je sais que toi aussi ce sont des choses que tu ressens probablement parce que je le vois tous les jours auprès des femmes que j'accompagne et d'ailleurs très souvent j'en ai qui me disent non non mais moi ça ça va je ressens pas trop. Et puis en fait quand je creuse je me rends compte que si évidemment qu'elles ressentent mais c'est juste qu'elles ne s'autorisent pas à mettre un nom déjà sur l'émotion qu'elles ressentent. Et puis, elle ne s'autorise pas à la ressentir parce que c'est une émotion qui, entre guillemets, est plus ou moins mal perçue. Alors, ça vient de plein de choses. Ça vient de notre entourage, de notre enfance, de notre éducation. Tu sais, avec des injonctions du style, t'es vilaine quand tu pleures, la colère, c'est pas beau, etc. Il y avait même des choses. Alors, je ne sais pas si tu as entendu ça aussi, mais tu sais, un petit peu des expressions de grand-mère. Alors, il y avait une expression qui disait, quand tu pleurais ou que tu étais en colère et que tu faisais une grimace, c'était... « Ah, si les cloches sonnent, tu vas rester comme ça. » C'est juste pour dire à quel point on a pu finalement diaboliser les émotions qu'on ressentait, alors qu'en réalité, ça fait juste partie des expériences de la vie, c'est tout, c'est comme ça, ça va passer. Mais voilà, en tout cas, on a grandi avec des injonctions, avec des représentations aussi, d'émotions acceptables, d'émotions pas acceptables du tout. Et bizarrement, dans les émotions pas acceptables du tout, il y a même des émotions qui sont... qui pourrait en tout cas être qualifiée de positive. Alors oui, je vais faire aussi un petit rappel ou un petit bémol, mais en tout cas, pareil, je t'ai dit tout à l'heure que pour moi, je ne gérais pas les émotions, c'est pareil. Pour moi, il n'y a pas d'émotion positive ou négative. Une émotion, elle est point, d'accord ? Une émotion, elle est là pour te faire ressentir une information. Il n'y a pas de positif ou de négatif, d'accord ? Donc ici, je mets volontairement l'expression plutôt positive pour dire, par exemple, quand tu ressens de la joie, Ok, de l'euphorie, attention à ne pas faire trop de bruit, d'accord ? N'explose quand même pas trop de joie, parce que ce n'est pas très bien vu, d'accord ? Donc tu vois que les émotions finalement, elles peuvent venir... On a tous en fait une histoire avec les émotions, et que ça vient de plein de choses, comme je te le disais, l'éducation, l'environnement, etc. Qu'il y a des émotions qui ont été cataloguées comme étant acceptables ou pas acceptables, etc. Donc forcément, toi, ton univers émotionnel, je vais l'appeler comme ça, tu t'es construit cet univers émotionnel sur base de tout ça, évidemment, de tout ce que tu as pu observer, entendre, etc. Et c'est bien normal. Alors, évidemment, des fois, on reste bloqué dans une catégorie d'émotions et ce n'est pas toujours évident. Et je vais t'expliquer pourquoi et d'où ça vient. Alors, je vais reprendre le principe de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles. Alors, c'est Tony Robbins qui a vulgarisé ce concept-là. Je ne sais pas si tu connais Tony Robbins. C'est vraiment, je pense, l'un des coachs les plus célèbres. C'est un coach de personnalité aux États-Unis, etc. Il a coaché des grands joueurs, des grands artistes. Il a coaché plein de personnes, énormément de personnalités publiques, parce qu'il a un côté quand même assez people. Il remplit des salles énormes, d'ailleurs, dans des séminaires, des formations, etc. Alors, j'apprécie vraiment les concepts qu'il vulgarise parce qu'il est formé aussi à la PNL, donc la programmation neuro-linguistique. Et je trouve qu'il a vraiment un don extraordinaire pour rendre très simple et très concret des concepts qui pourraient sembler vachement compliqués au premier abord. Donc ça, j'aime beaucoup. Après, j'aime moins parce que j'ai participé à l'un des séminaires de Tony Robbins. C'était quatre jours. C'était un séminaire qui s'appelle Unleash the Power Within. Et en fait, j'ai payé ma place pour avoir quatre jours de formation avec Tony Robbins. Bon, la réalité du terrain, c'est que tu passes en réalité quatre heures avec Tony Robbins et non pas quatre jours. Mais ça, c'est un autre sujet. Je ne te parlerai donc pas d'éthique ici, mais je te parle en tout cas des concepts qu'il a vulgarisés et que j'ai trouvé très intéressants. Donc, c'est vrai que Tony Robbins va te parler de maison émotionnelle. Et en réalité, c'est quoi ? Ce sont des émotions dans lesquelles tu vas avoir tendance à revenir naturellement. Il va dire que ce sont les émotions, quelque part, dans lesquelles tu habites le plus souvent. Et c'est vrai que tu as des personnes qui vont vivre de manière permanente ou presque, dans la frustration, dans la tristesse, parce que ça fait presque partie de leur forme de personnalité, alors que d'autres vont être beaucoup plus dans la gratitude, dans l'enthousiasme, même quand il y a des moments compliqués. Donc c'est vrai qu'on a ce qu'on appelle des maisons émotionnelles, des émotions un peu refuge dans lesquelles on va le plus souvent. Alors déjà, la première chose que je t'invite à te poser comme question, c'est c'est quoi l'émotion que je ressens le plus souvent ? Dans quelle maison, finalement, est-ce que j'habite la plupart de mon temps ? Est-ce que tu vis principalement dans la maison de la peur, dans la maison de la colère, dans la maison de la culpabilité, de l'impuissance ? Voilà, peu importe, à toi de réfléchir et de... poser la question de savoir dans quelle maison émotionnelle est-ce que tu habites le plus. L'idée c'est quoi ? C'est d'identifier où tu es et d'aller choisir une maison émotionnelle qui est plus ressourçante, d'accord ? Qui va vraiment te permettre de te sentir mieux au quotidien. Et c'est là aussi que le cadran émotionnel entre en jeu. Alors pareil, le cadran émotionnel Ça a été finalement, quelque part, on l'attribue souvent à Tony Robbins, mais ce n'est pas Tony Robbins qui en est le créateur, mais c'est vraiment lui qui l'a à nouveau popularisé. Parce qu'en réalité, ce cadran émotionnel s'est inspiré de travaux de plein de chercheurs qui sont des chercheurs dans le domaine de la psychologie, des neurosciences, etc. Mais c'est vrai que c'est un concept qui a été à nouveau vulgarisé finalement par Tony Robbins. Ce cadran émotionnel-là, c'est un cadran. Il y a forcément donc quatre parties. En réalité, il y a deux axes principaux. Donc tu mets une abscisse, une ordonnée, et puis tu vas voir qu'effectivement, d'un côté, tu vas avoir le niveau d'énergie. Est-ce que c'est une énergie qui est plutôt haute, donc active, intense ? Ou est-ce que c'est une énergie qui est basse, qui est plutôt au ralenti, épuisée ? Voilà, c'est une émotion où on est plutôt vraiment dans un niveau d'énergie qui est très très bas. Et alors, on va avoir le ressenti, bien sûr. D'un côté, tu vas avoir les émotions qui sont agréables et de l'autre, désagréables. Donc, un exemple en énergie haute et agréable, tu vas avoir de l'excitation, de la joie, de l'euphorie, de la détermination, de la gratitude. Tu vas avoir plein, plein, plein d'échelles finalement à l'intérieur de cette énergie. Mais on sait déjà que ça, ce sont des énergies hautes et que c'est plutôt sympa à ressentir. D'accord ? Donc là, on est haut et agréable. Ensuite, tu vas avoir aussi une énergie... haute, mais par contre, c'est plutôt désagréable. Donc là, on va être sur de la colère, de la frustration, de l'énervement. On va vraiment être dans ce type d'émotion. On sait quelque chose d'énergique, mais c'est pas agréable à ressentir. On va alors avoir ensuite des énergies qui sont basses. Et donc là, on va avoir d'un côté, du côté agréable, on va avoir des émotions comme la sérénité, le calme, la confiance. On va être sur des émotions qui sont vachement sympas à ressentir, mais où finalement, c'est vrai que d'un point de vue énergique, on est quand même relativement bas. Pareil, dans les énergies basses, on va aussi avoir un côté désagréable, qui va être plutôt de la tristesse, du découragement, de l'impuissance, de la résignation. On est vraiment sur des énergies qui ne sont pas cool à ressentir, mais pour lesquelles on se sent un peu comme vidé, en fait, tu vois. Alors, de manière générale, c'est quand même intéressant de voir qu'on a plus ou moins tendance à se trouver d'un côté ou de l'autre du cadre. De manière générale, moi, je pense que c'est aussi lié à ma personnalité, mais j'ai une personnalité qui est quand même relativement énergique, et donc, je vais me retrouver assez facilement sur des énergies qui sont hautes. Alors, de manière générale, je pense que j'ai aussi une personnalité qui m'amène à être plus ou moins dans des... d'un côté principal d'émotion qui est plutôt positif. Après, évidemment, je me rends compte que j'ai plus de mal d'aller dans les énergies basses, par exemple. Alors de nouveau, j'insiste sur une chose, ce cadran, il n'y a aucun bon ou mauvais côté, d'accord ? Il y a un côté agréable, un côté pas agréable, il y a un côté haut, il y a un côté bas, mais il n'y a aucune émotion qui est bonne ou pas bonne à ressentir, d'accord ? Mais en fait, quand j'ai dessiné sur une feuille, tu vois, ce cadran, et en fait, j'ai commencé à recenser finalement les émotions que je ressentais le plus, et bien finalement, de mon côté en tout cas, je vais être plus vite dans des émotions qui sont énergiques. Que ce soit agréable ou pas agréable, ça veut dire que je peux ressentir autant d'excitation, de joie, etc. que de colère, d'agacement, etc. Donc on est vraiment sur des émotions qui sont hautes. Maintenant, j'ai... pour ma part, beaucoup plus de mal d'aller dans des énergies qui sont plus basses. Alors avec les années et l'expérience, évidemment, ça change, ça évolue beaucoup. Mais au moment où j'étais dans ce parcours, c'était compliqué pour moi d'être dans les émotions basses. Alors évidemment, ça m'arrivait et du coup, j'étais complètement perdue parce que je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Mais le fait d'avoir compris cet exercice-là, ça a été une jolie révélation parce qu'en réalité, pour finalement être totalement à l'aise, avec ses émotions, on devrait être capable de naviguer sur les quatre parties de ce cadran. Mais la réalité fait que ce n'est pas ça. La réalité fait qu'au quotidien, on va plutôt être dans une partie du cadran et que c'est plus compliqué d'aller naviguer sur les autres. Alors, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait jamais, mais ça veut dire que quand on y est, on est perdu parce qu'on ne sait pas trop comment réagir dans ces moments-là, tu vois. Et c'est vrai que moi qui suis plutôt, comme je te disais, du côté haut, les fois où je me retrouvais complètement... dans ce que t'es énergie basse où je me sentais épuisée, découragée, complètement triste, impuissante, en fait j'avais pas l'habitude et donc je savais pas quoi faire et j'étais complètement perdue, je comprenais pas ce qui m'arrivait en réalité, tu vois. Et donc ça c'est important aussi de comprendre qu'en réalité il y a quatre parties à ce cadran et que tu devrais pouvoir naviguer d'une partie à l'autre sans que ça ne t'accable parce qu'en réalité tu connais les émotions et tu sais que tu peux passer d'une partie à l'autre du cadran. Alors, ce qui est important quand même, c'est juste de dire une chose. C'est que, alors déjà, identifie où est-ce que tu te trouves la plupart du temps. Et ensuite, essaye de voir quelle est l'émotion que tu aimerais ressentir un peu plus. D'accord ? Alors, je dis un peu plus. Pourquoi ? Parce que si tu parles d'une émotion qui est très intense, je vais prendre par exemple l'émotion colère, tu te sens vraiment très forte. très fortement en colère, tu t'es agacé, irrité, t'en as marre, t'es en colère, tu sais, t'as vraiment un sentiment d'injustice qui t'anime, tu ne vas pas passer de ce sentiment-là à un sentiment de sérénité du jour au lendemain. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que tout simplement, si tu dois aller dans un immeuble et que tu veux aller au dixième étage, eh bien pour pouvoir aller au dixième étage, tu vas commencer par prendre l'ascenseur ou les escaliers comme tu veux, mais tu vas arriver à l'étage numéro 1, numéro 2. numéro 3 et ainsi de suite, avant d'enfin attirer à l'étage numéro 10. D'accord ? C'est exactement la même chose pour tes émotions. Il y a besoin, quelque part, de palier d'étapes intermédiaires. Tu ne vas pas te retrouver d'une posture de tristesse, d'épuisement, de découragement, à une émotion de totale euphorie. Ce n'est pas possible. D'accord ? Il y a vraiment des étapes intermédiaires pour arrêter justement de faire le yo-yo. Et c'est comme ça qu'on arrive à naviguer plus facilement sur ce cadran. Alors j'aimerais justement te rappeler quelque chose, c'est que tes émotions, en réalité, elles viennent de tes pensées et certainement pas des faits ni des situations. Ce qui va créer une émotion, c'est pas la situation en elle-même, c'est l'histoire que tu vas te raconter autour de cette situation. Je te donne un exemple, si le test de grossesse que tu fais ne te donne pas le résultat que tu veux, en réalité c'est pas le test de grossesse, c'est la... projection que tu te fais autour de ça en te disant ça marchera pas et je mérite pas d'être mère et je suis pas faite pour y arriver et ça marche pour les autres mais pas pour moi, etc. Tu vois ? En gros, c'est pas tellement le test de grossesse parce que le test de grossesse, si je te disais, ok, ce mois-ci il est négatif mais le mois prochain il sera positif, en réalité c'est pas tellement le test de grossesse qui pose problème mais c'est toute l'histoire que tu te racontes autour, tu vois ? Donc vraiment, c'est super important de te dire, c'est... D'avoir conscience que c'est vraiment tout le discours que tu vas te raconter autour de ça qui va changer la donne, et qui va t'amener à ressentir telle ou telle émotion. Ce sont vraiment tes pensées qui t'amènent des émotions, ce ne sont pas les situations en tant que telles. J'aimerais vraiment te rappeler que tu as le choix du scénario que tu te racontes en réalité. Quand ça t'arrive, identifie le fait, vraiment identifie le déclencheur, j'ai envie de dire. Mais à côté de ça, identifie surtout l'histoire que tu te racontes autour de ça. T'as croisé une femme enceinte, ça t'a mis vraiment un énorme coup au moral, tu te sens complètement abattue, triste, ok. C'est pas la grossesse de cette personne-là. La grossesse de cette personne-là, elle ne t'enlève en rien la possibilité d'être enceinte à toi. Il n'y a pas un nombre de... Enfin, il n'y a pas un quota à respecter de femme enceinte en même temps, on est bien d'accord. Donc, en réalité, ce n'est pas de nouveau la grossesse de cette personne, c'est qu'est-ce que toi, tu te racontes par rapport à ça, tu vois ? Et donc, pose-toi la question de savoir c'est quoi que tu te racontes autour de ça et demande-toi si c'est vraiment vrai. Si tu te dis oui, mais en gros, je ne suis pas faite pour être mère, mais qu'est-ce qui t'amène à cette conclusion-là ? Vraiment, et réfléchis un petit peu aux gens. Alors, je vais dire que tu connais réellement ou que tu connais via, j'en sais rien, moi... de la presse ou des choses comme ça. Je pense que des situations dramatiques familiales, on en voit tous les jours dans la presse. Raison pour laquelle je ne lis pas les mauvaises nouvelles. Mais voilà, repense à tout ça et demande-toi si ces personnes-là étaient vraiment méritantes. Tu vois, si vraiment ces personnes-là méritaient d'être parents. Voilà, non. La réponse, c'est non. Donc, il n'y a pas de raison que toi, tu ne mérites pas d'être maman. Tu vois ce que je veux dire ? Va chercher un petit peu. Est-ce que c'est vraiment vrai, ce que je me rappelle ? Et tu vas voir que la réalité, c'est que non. Et si ce n'est pas 100% vrai, c'est que c'est non. Mais il faut vraiment que tu gardes ça en tête. Et vraiment, ce que je t'invite, et c'est vraiment cadeau ce que je te donne aujourd'hui, c'est trois stratégies finalement pour changer tes émotions. La toute première, c'est de changer ton langage intérieur. Remplace les expressions du style « Ah, mais moi, je n'y arriverai jamais avec. Je suis capable de trouver une solution. » Parce que les mots vont influencer ton état émotionnel. La deuxième stratégie, c'est de changer ta physiologie. Sois un peu attentive à la manière dont tu te tiens. Je donne toujours cet exemple-là parce que ça me parle, mais prends l'exemple de qui tu veux. Je vais te prendre l'exemple de Beyoncé, mais tu prends Taylor Swift, tu prends qui tu veux et tu les imagines arriver sur une scène de concert. Est-ce que tu crois vraiment qu'elles vont arriver, les épaules basses ? Les bras qui pendouillent en étant finalement pas très sûrs d'elles. Non, évidemment, parce qu'elles vont faire le show. Alors, on ne sait pas comment elles étaient cinq minutes avant. Ça, ce n'est pas mon problème. Mais ce que je veux dire, c'est qu'à partir du moment où elles arrivent sur scène, elles ont une posture de queen. Vraiment, elles vont prendre la scène et c'est telle. C'est exactement la même chose, toi, dans ton quotidien. Pose-toi la question de savoir comment tu te tiens quand tu ressens des émotions. Et en réalité, ta physiologie va impacter ton état émotionnel. Si tu fais la gueule, que tu as les épaules basses, le dos voûté, etc., tu vas avoir plus tendance à ressentir des émotions qui sont basses et désagréables. Quand tu te tiens droite, la tête haute, les épaules basses, le dos vraiment bien droit, tu sais, un petit peu comme si tu avais un fil qui te tenait au-dessus de la tête et qui t'amenait vraiment à avoir une super posture vraiment bien droite et que tu avais vraiment un ressenti aussi d'ancrage dans le sol. tu vas voir que dans ces moments-là, tu vas avoir une posture qui est évidemment beaucoup plus énergique, beaucoup plus ancrée. Et donc dans ces moments-là, la confiance en toi va revenir et donc tu vas être plus à même de ressentir des émotions qui sont agréables. Donc pense vraiment à changer ta physiologie et à observer comment tu te tiens au quotidien et tu vas voir que ça peut tout changer. Donc quand tu te rends compte justement que la posture, ce n'est pas la posture de la nana qui est... confiante, qui sait qu'elle va y arriver, qu'elle va trouver des solutions. Tu mets un morceau de musique, tu mets quelque chose, mais tu me changes cette physiologie tout de suite, vraiment. Et puis enfin, la troisième stratégie, c'est de prendre des actions concrètes. Ce qui nous met finalement un peu dans un état d'émotion basse, mais pas très agréable, très souvent, c'est le sentiment un peu d'inaction. Je vais préciser ce que j'entends par inaction. Ce n'est pas que tu ne fais rien au quotidien, on est bien d'accord là-dedans, mais c'est que tu as l'impression de ramer dans le vide, tu as l'impression de faire des choses qui ne sont pas forcément utiles parce que ça ne t'amène pas le résultat que tu veux, parce que tu as l'impression finalement de faire du surplace. Les autres avancent, le temps défile, mais toi tu fais du surplace. Et donc ce qui est important dans ces moments-là, c'est finalement de poser des actions. Pourquoi ? Parce que ça peut être une mini action, ça peut être une balade, ça peut être le fait de préparer un repas qui est super équilibré, ça peut être de te faire un soin visage, tu peux te le faire toute seule. Alors pitié, sans perturbateur endocrinien dans les produits, attention. Mais voilà, tu vois, une petite action, c'est déjà des choses où tu vas avoir le sentiment de te reprendre en main. Et en fait, plus tu vas agir, plus tu vas reprendre du pouvoir sur tes émotions, mais en réalité, c'est parce que tu vas reprendre le pouvoir sur tes... pensées. Et plus tu reprends le pouvoir sur tes pensées, in fine, ça a des répercussions un peu en cascade sur les émotions que tu vas ressentir. Alors si vraiment, ça tu vois que le fait de poser des actions concrètes, c'est quelque chose qui te manque parce que tu as l'impression de pédaler dans le vide, tu as l'impression de faire des choses mais tu n'es pas certaine que ce soit dans le bon sens parce que tu ne vois pas forcément de résultat, vraiment je t'invite à rejoindre le booster éclosion. Alors attention parce qu'on démarre tout début mars, d'accord ? Donc vraiment si tu écoutes cet épisode de podcast, ne tarde pas à t'inscrire parce qu'une fois que la date arrive... Les inscriptions sont clôturées et c'est terminé, d'accord ? Il n'y aura pas de retardataire admise, c'est vraiment maintenant. C'est un peu la même chose que le coaching éclosion, mais on va dans une formule un peu plus courte. On va finalement passer trois mois ensemble, mais c'est trois mois au cours desquels je vais vraiment pouvoir me pencher sur toi, sur ton parcours, sur tes analyses, si j'arrive à le dire. C'est pas facile, mais je vais vraiment justement aller... Je vais creuser en fait, je vais faire des choses que personne n'a jamais fait jusqu'à maintenant avec toi, je vais te donner des choses, vraiment un plan d'action concret, simple, efficace à mettre en œuvre, mais pour vraiment te permettre de maximiser tes chances de grossesse, pour te permettre de comprendre ce qui se passe à l'intérieur et que tu puisses prendre les bonnes actions pour toi. Pendant ces trois mois, je te garantis que ton état d'esprit va être complètement transformé. Donc c'est maintenant, n'attends surtout pas, si tu veux commencer par poser une action, et bien c'est celle-là. On se retrouve vraiment au sein du coaching, enfin du booster éclosion, et où on va passer trois mois à travailler sur tes essais bébés pour que vraiment on puisse mettre ensemble, toi et moi, toutes les chances de ton côté. Donc tu vas trouver le lien évidemment dans la description de cet épisode. Ne tarde pas, d'accord ? Parce que j'insiste, il n'y aura pas de retardataire. Donc je sais que parfois, on hésite, on ne sait pas trop, on se dit oui, peut-être. Ne te dis pas que tu vas rejoindre la prochaine cohorte parce qu'en réalité... Peut-être que j'en lancerai une en octobre, mais ça c'est dans le meilleur des scénarios, ce serait vraiment au plus tôt. Mais je n'ai absolument aucune certitude de relancer ce booster éclosion en octobre. C'était une date où je m'étais dit oui peut-être, mais il n'y a pas de certitude. Et en attendant, c'est de te dire que finalement, là au moment où j'enregistre cet épisode, on est en février, ça veut dire que tu es prête à attendre jusqu'à octobre au plus tôt pour changer les choses. Et enfin, pour moi, c'est un non négociable. En fait, c'est juste de dire non. En fait, c'est maintenant. Pas question de perdre encore des mois supplémentaires. Donc, si tu veux vraiment avancer, c'est maintenant. D'accord ? Donc, ne tarde pas, inscris-toi. Je t'invite vraiment à découvrir le lien qui est dans la description de cet épisode. Et on se retrouve très vite pour que je puisse me pencher sur tes essais bébés, sur tout ton parcours. Encore une fois, je te rappelle que tu n'es pas condamné à subir, que ce soit tes émotions, ton parcours. parcours, tu peux mettre des choses en place et que en comprenant, ça change tout. C'est ce qui fait vraiment toute la différence. Donc, encore une fois, ne laisse pas ton parcours être plus difficile qu'il ne le doit. Il n'y a pas de raison pour ça. On se retrouve très bientôt, j'espère au sein du Booster Éclosion et je te dis à très vite et d'ici là, prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

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Ton parcours PMA est une montagne russe émotionnelle et tu aimerais mieux gérer tes ressentis ?
Dans cet épisode, on explore comment transformer tes émotions pour retrouver de l’apaisement et du pouvoir sur ton chemin vers la maternité.

Je vais te parler :
✔️ Des maisons émotionnelles de Tony Robbins : pourquoi certaines émotions reviennent toujours et comment en sortir.
✔️ Du cadran émotionnel : comprendre où tu te situes pour mieux rééquilibrer tes émotions.
✔️ De la vraie source de tes émotions : elles ne viennent pas des événements extérieurs, mais des histoires que tu te racontes.
✔️ Des stratégies concrètes pour modifier ton état émotionnel et traverser ton parcours avec plus de sérénité et de confiance.

🎧 Un épisode essentiel pour reprendre le contrôle sur ton bien-être émotionnel !



💡 Pour aller plus loin :


➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Comment transformer tes émotions pour mieux vivre tes essais bébés ? Hello, je suis ravie, vraiment ravie de te retrouver aujourd'hui. On va parler d'émotion parce que je sais à quel point c'est un sujet qui peut être compliqué, sensible à certaines périodes, surtout quand on a obtenu un résultat qui n'est pas celui qu'on espère. Je sais qu'il y a des moments où c'est beaucoup plus éprouvant que d'autres. Alors j'ai plein de messages qui me sont parvenus ces dernières semaines, donc merci, merci, merci beaucoup. Là, il y a quelques jours, j'ai reçu un message de Magali qui me disait tout d'abord je souhaitais te remercier pour tes podcasts que je suis depuis deux mois environ. J'ai commencé depuis le tout début et j'arrive bientôt à la fin, mon dieu Magali, waouh ! Magali me dit ça m'éclaire, m'apaise, m'informe, c'est un immense soutien donc merci. Alors vraiment je trouve ça juste extraordinaire parce que en plus du message de Magali, j'en ai reçu un autre très récemment sur les réseaux sociaux pour me dire à quel point l'un des derniers épisodes de podcast où en fait je parlais des vérités sur les tentatives de FIV a été plus que bénéfique. parce que l'une d'entre elles s'est retrouvée dans la situation juste au moment où elle a écouté le podcast et ça lui a fait énormément de bien. Donc, merci pour vos retours, vraiment. Et je suis ravie de savoir que ça vous aide au quotidien. N'hésitez surtout pas à aller poster un petit message. Vraiment, je vous invite à le faire parce que c'est ce qui permet, en fait, quand vous mettez des commentaires, des étoiles, clairement, c'est ce qui permet au podcast d'être découvert. Donc, je sais qu'il y a énormément de personnes qui sont justement dans le besoin. d'avoir des informations, d'être, comme Magali le disait, d'être éclairée, apaisée, informée et vraiment en gros d'être soutenue. Donc je sais que ça va vraiment les aider énormément. Donc d'avance, je te remercie. Si tu trouves que le podcast vraiment t'aide, t'encourage, te soutient, te donne des informations et que pour toi c'est une aide précieuse, eh bien vraiment, je te serais infiniment reconnaissante de pouvoir aller prendre quelques petites secondes pour aller me mettre une étoile ou un petit message sur la plateforme de ton choix. Mais vraiment, ce serait vraiment super. Et puis en plus, c'est vrai que sur Spotify, je peux maintenant répondre en direct aux messages. Donc si ça te dit, n'hésite surtout pas à me laisser un petit commentaire. Ça me fera vraiment trop, trop, trop plaisir. Donc je te le disais aujourd'hui, j'avais à cœur en fait de te parler des émotions. Parce que, comme je te le disais, c'est vrai que déjà le parcours en lui-même peut être compliqué, de par les pathologies, et même s'il n'y a pas de pathologie, c'est... À la limite, parfois même encore plus culpabilisant, parce que du coup, on a l'impression que tout va bien, mais que ça ne fonctionne pas, et que du coup, c'est de notre faute, si c'est le cas. Je t'invite d'ailleurs à aller réécouter l'épisode juste avant, je pense que c'est l'un des derniers épisodes où je te parle justement de culpabilité. Mais aujourd'hui, j'avais envie, au-delà de cette notion de culpabilité, vraiment de te parler des émotions, parce que je sais à quel point les émotions dans ce parcours, ça fait le yo-yo, c'est vraiment les montagnes russes, et que ce n'est pas toujours... évident d'être là-dedans et qu'on a vraiment super envie quelque part de transformer les émotions mais on ne sait pas trop comment, on ne sait pas trop quoi faire, on a envie de retrouver de l'apaisement, on a envie de retrouver de la sérénité mais en même temps on est prise dans un tourbillon et on ne sait pas trop comment en sortir. Alors aujourd'hui je vais te parler de plusieurs choses, je vais te parler de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles, je vais te parler d'un outil qui s'appelle le cadran émotionnel, je t'expliquerai d'où ça vient. aussi et puis surtout je t'expliquerai comment est-ce que tu peux faire pour transformer tes émotions. Alors, vraiment, j'insiste sur une petite chose, je fais toujours, toujours, toujours ce petit rappel à partir du moment où je parle des émotions, parce que tu le sais, si tu me suis depuis longtemps, tu le sais, si tu viens de me découvrir peut-être que c'est quelque chose que tu ne sais pas encore mais moi en tout cas il y a quelque chose avec lequel j'ai beaucoup, beaucoup de mal et c'est d'ailleurs quelque chose dont je ne veux pas entendre parler. J'ai beaucoup de gens, y compris dans les coachs et dans les thérapeutes, qui vont te parler de gestion des émotions. Et ça, pour moi, c'est vraiment quelque chose dont je ne veux absolument pas entendre parler. Parce qu'on ne gère pas une émotion comme on gère sa compta. Une émotion, c'est quelque chose qui se vit, qui se ressent, qui presque, on va dire, s'expérimente. Parce qu'il y a des émotions qu'on ne s'autorise pas forcément à expérimenter. Je pense notamment à la colère, mais pas que. Mais c'est parce que j'ai énormément de femmes qui, jusqu'ici, ne s'étaient pas autorisées à exprimer de la colère. C'est ça. Donc une émotion pour moi ça ne se gère pas, une émotion ça s'accueille. Donc, je ne te parlerai jamais ici de gestion des émotions, d'accord ? Je vais te parler d'accueil d'émotions, je vais te parler de transformation d'émotions, parce que c'est vrai que ce n'est pas toujours agréable quand on risque de bloquer sur un certain type d'émotion et qu'on aimerait finalement retrouver un peu plus de sérénité, de légèreté et qu'on n'y arrive pas. Donc voilà, ça oui, on va en parler, mais jamais je ne te parlerai ici de gestion d'émotions. Donc j'espère vraiment que c'est clair. Alors clairement... Parmi toutes les femmes que j'accompagne, et si je me replonge dans ma propre expérience à moi, puisque comme tu le sais, je suis aussi passée par là, vraiment, perso, pendant ces 4 ans et demi, j'ai vraiment oscillé entre espoir, parce que j'avais quand même vraiment l'espoir qu'un jour ça finisse par fonctionner, la frustration de me dire, en fait, tout a l'air d'aller bien chez moi, ce qui n'était absolument pas vrai, je le rappelle, j'avais un SOPK et l'endométriose, donc ça n'allait pas bien, mais en tout cas, c'est ce qu'on me disait. J'avais énormément de tristesse parce que les mois et les années passaient et il ne se passait toujours rien et que j'avais finalement l'impression que ça ne changerait jamais. Ce qui m'amenait aussi parfois à ressentir de la colère parce que j'en avais ras-le-bol d'avoir autour de moi des annonces de grossesse, parfois même de personnes qui n'en voulaient même pas, pour qui ce n'était pas forcément voulu ou qui n'étaient pas dans les conditions pour, etc. Bref, c'était parfois un petit peu compliqué à gérer à ce niveau-là. Et évidemment, énormément de culpabilité parce que... entre guillemets tout allait bien mais ça fonctionnait quand même pas. Donc évidemment je sais que toi aussi ce sont des choses que tu ressens probablement parce que je le vois tous les jours auprès des femmes que j'accompagne et d'ailleurs très souvent j'en ai qui me disent non non mais moi ça ça va je ressens pas trop. Et puis en fait quand je creuse je me rends compte que si évidemment qu'elles ressentent mais c'est juste qu'elles ne s'autorisent pas à mettre un nom déjà sur l'émotion qu'elles ressentent. Et puis, elle ne s'autorise pas à la ressentir parce que c'est une émotion qui, entre guillemets, est plus ou moins mal perçue. Alors, ça vient de plein de choses. Ça vient de notre entourage, de notre enfance, de notre éducation. Tu sais, avec des injonctions du style, t'es vilaine quand tu pleures, la colère, c'est pas beau, etc. Il y avait même des choses. Alors, je ne sais pas si tu as entendu ça aussi, mais tu sais, un petit peu des expressions de grand-mère. Alors, il y avait une expression qui disait, quand tu pleurais ou que tu étais en colère et que tu faisais une grimace, c'était... « Ah, si les cloches sonnent, tu vas rester comme ça. » C'est juste pour dire à quel point on a pu finalement diaboliser les émotions qu'on ressentait, alors qu'en réalité, ça fait juste partie des expériences de la vie, c'est tout, c'est comme ça, ça va passer. Mais voilà, en tout cas, on a grandi avec des injonctions, avec des représentations aussi, d'émotions acceptables, d'émotions pas acceptables du tout. Et bizarrement, dans les émotions pas acceptables du tout, il y a même des émotions qui sont... qui pourrait en tout cas être qualifiée de positive. Alors oui, je vais faire aussi un petit rappel ou un petit bémol, mais en tout cas, pareil, je t'ai dit tout à l'heure que pour moi, je ne gérais pas les émotions, c'est pareil. Pour moi, il n'y a pas d'émotion positive ou négative. Une émotion, elle est point, d'accord ? Une émotion, elle est là pour te faire ressentir une information. Il n'y a pas de positif ou de négatif, d'accord ? Donc ici, je mets volontairement l'expression plutôt positive pour dire, par exemple, quand tu ressens de la joie, Ok, de l'euphorie, attention à ne pas faire trop de bruit, d'accord ? N'explose quand même pas trop de joie, parce que ce n'est pas très bien vu, d'accord ? Donc tu vois que les émotions finalement, elles peuvent venir... On a tous en fait une histoire avec les émotions, et que ça vient de plein de choses, comme je te le disais, l'éducation, l'environnement, etc. Qu'il y a des émotions qui ont été cataloguées comme étant acceptables ou pas acceptables, etc. Donc forcément, toi, ton univers émotionnel, je vais l'appeler comme ça, tu t'es construit cet univers émotionnel sur base de tout ça, évidemment, de tout ce que tu as pu observer, entendre, etc. Et c'est bien normal. Alors, évidemment, des fois, on reste bloqué dans une catégorie d'émotions et ce n'est pas toujours évident. Et je vais t'expliquer pourquoi et d'où ça vient. Alors, je vais reprendre le principe de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles. Alors, c'est Tony Robbins qui a vulgarisé ce concept-là. Je ne sais pas si tu connais Tony Robbins. C'est vraiment, je pense, l'un des coachs les plus célèbres. C'est un coach de personnalité aux États-Unis, etc. Il a coaché des grands joueurs, des grands artistes. Il a coaché plein de personnes, énormément de personnalités publiques, parce qu'il a un côté quand même assez people. Il remplit des salles énormes, d'ailleurs, dans des séminaires, des formations, etc. Alors, j'apprécie vraiment les concepts qu'il vulgarise parce qu'il est formé aussi à la PNL, donc la programmation neuro-linguistique. Et je trouve qu'il a vraiment un don extraordinaire pour rendre très simple et très concret des concepts qui pourraient sembler vachement compliqués au premier abord. Donc ça, j'aime beaucoup. Après, j'aime moins parce que j'ai participé à l'un des séminaires de Tony Robbins. C'était quatre jours. C'était un séminaire qui s'appelle Unleash the Power Within. Et en fait, j'ai payé ma place pour avoir quatre jours de formation avec Tony Robbins. Bon, la réalité du terrain, c'est que tu passes en réalité quatre heures avec Tony Robbins et non pas quatre jours. Mais ça, c'est un autre sujet. Je ne te parlerai donc pas d'éthique ici, mais je te parle en tout cas des concepts qu'il a vulgarisés et que j'ai trouvé très intéressants. Donc, c'est vrai que Tony Robbins va te parler de maison émotionnelle. Et en réalité, c'est quoi ? Ce sont des émotions dans lesquelles tu vas avoir tendance à revenir naturellement. Il va dire que ce sont les émotions, quelque part, dans lesquelles tu habites le plus souvent. Et c'est vrai que tu as des personnes qui vont vivre de manière permanente ou presque, dans la frustration, dans la tristesse, parce que ça fait presque partie de leur forme de personnalité, alors que d'autres vont être beaucoup plus dans la gratitude, dans l'enthousiasme, même quand il y a des moments compliqués. Donc c'est vrai qu'on a ce qu'on appelle des maisons émotionnelles, des émotions un peu refuge dans lesquelles on va le plus souvent. Alors déjà, la première chose que je t'invite à te poser comme question, c'est c'est quoi l'émotion que je ressens le plus souvent ? Dans quelle maison, finalement, est-ce que j'habite la plupart de mon temps ? Est-ce que tu vis principalement dans la maison de la peur, dans la maison de la colère, dans la maison de la culpabilité, de l'impuissance ? Voilà, peu importe, à toi de réfléchir et de... poser la question de savoir dans quelle maison émotionnelle est-ce que tu habites le plus. L'idée c'est quoi ? C'est d'identifier où tu es et d'aller choisir une maison émotionnelle qui est plus ressourçante, d'accord ? Qui va vraiment te permettre de te sentir mieux au quotidien. Et c'est là aussi que le cadran émotionnel entre en jeu. Alors pareil, le cadran émotionnel Ça a été finalement, quelque part, on l'attribue souvent à Tony Robbins, mais ce n'est pas Tony Robbins qui en est le créateur, mais c'est vraiment lui qui l'a à nouveau popularisé. Parce qu'en réalité, ce cadran émotionnel s'est inspiré de travaux de plein de chercheurs qui sont des chercheurs dans le domaine de la psychologie, des neurosciences, etc. Mais c'est vrai que c'est un concept qui a été à nouveau vulgarisé finalement par Tony Robbins. Ce cadran émotionnel-là, c'est un cadran. Il y a forcément donc quatre parties. En réalité, il y a deux axes principaux. Donc tu mets une abscisse, une ordonnée, et puis tu vas voir qu'effectivement, d'un côté, tu vas avoir le niveau d'énergie. Est-ce que c'est une énergie qui est plutôt haute, donc active, intense ? Ou est-ce que c'est une énergie qui est basse, qui est plutôt au ralenti, épuisée ? Voilà, c'est une émotion où on est plutôt vraiment dans un niveau d'énergie qui est très très bas. Et alors, on va avoir le ressenti, bien sûr. D'un côté, tu vas avoir les émotions qui sont agréables et de l'autre, désagréables. Donc, un exemple en énergie haute et agréable, tu vas avoir de l'excitation, de la joie, de l'euphorie, de la détermination, de la gratitude. Tu vas avoir plein, plein, plein d'échelles finalement à l'intérieur de cette énergie. Mais on sait déjà que ça, ce sont des énergies hautes et que c'est plutôt sympa à ressentir. D'accord ? Donc là, on est haut et agréable. Ensuite, tu vas avoir aussi une énergie... haute, mais par contre, c'est plutôt désagréable. Donc là, on va être sur de la colère, de la frustration, de l'énervement. On va vraiment être dans ce type d'émotion. On sait quelque chose d'énergique, mais c'est pas agréable à ressentir. On va alors avoir ensuite des énergies qui sont basses. Et donc là, on va avoir d'un côté, du côté agréable, on va avoir des émotions comme la sérénité, le calme, la confiance. On va être sur des émotions qui sont vachement sympas à ressentir, mais où finalement, c'est vrai que d'un point de vue énergique, on est quand même relativement bas. Pareil, dans les énergies basses, on va aussi avoir un côté désagréable, qui va être plutôt de la tristesse, du découragement, de l'impuissance, de la résignation. On est vraiment sur des énergies qui ne sont pas cool à ressentir, mais pour lesquelles on se sent un peu comme vidé, en fait, tu vois. Alors, de manière générale, c'est quand même intéressant de voir qu'on a plus ou moins tendance à se trouver d'un côté ou de l'autre du cadre. De manière générale, moi, je pense que c'est aussi lié à ma personnalité, mais j'ai une personnalité qui est quand même relativement énergique, et donc, je vais me retrouver assez facilement sur des énergies qui sont hautes. Alors, de manière générale, je pense que j'ai aussi une personnalité qui m'amène à être plus ou moins dans des... d'un côté principal d'émotion qui est plutôt positif. Après, évidemment, je me rends compte que j'ai plus de mal d'aller dans les énergies basses, par exemple. Alors de nouveau, j'insiste sur une chose, ce cadran, il n'y a aucun bon ou mauvais côté, d'accord ? Il y a un côté agréable, un côté pas agréable, il y a un côté haut, il y a un côté bas, mais il n'y a aucune émotion qui est bonne ou pas bonne à ressentir, d'accord ? Mais en fait, quand j'ai dessiné sur une feuille, tu vois, ce cadran, et en fait, j'ai commencé à recenser finalement les émotions que je ressentais le plus, et bien finalement, de mon côté en tout cas, je vais être plus vite dans des émotions qui sont énergiques. Que ce soit agréable ou pas agréable, ça veut dire que je peux ressentir autant d'excitation, de joie, etc. que de colère, d'agacement, etc. Donc on est vraiment sur des émotions qui sont hautes. Maintenant, j'ai... pour ma part, beaucoup plus de mal d'aller dans des énergies qui sont plus basses. Alors avec les années et l'expérience, évidemment, ça change, ça évolue beaucoup. Mais au moment où j'étais dans ce parcours, c'était compliqué pour moi d'être dans les émotions basses. Alors évidemment, ça m'arrivait et du coup, j'étais complètement perdue parce que je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Mais le fait d'avoir compris cet exercice-là, ça a été une jolie révélation parce qu'en réalité, pour finalement être totalement à l'aise, avec ses émotions, on devrait être capable de naviguer sur les quatre parties de ce cadran. Mais la réalité fait que ce n'est pas ça. La réalité fait qu'au quotidien, on va plutôt être dans une partie du cadran et que c'est plus compliqué d'aller naviguer sur les autres. Alors, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait jamais, mais ça veut dire que quand on y est, on est perdu parce qu'on ne sait pas trop comment réagir dans ces moments-là, tu vois. Et c'est vrai que moi qui suis plutôt, comme je te disais, du côté haut, les fois où je me retrouvais complètement... dans ce que t'es énergie basse où je me sentais épuisée, découragée, complètement triste, impuissante, en fait j'avais pas l'habitude et donc je savais pas quoi faire et j'étais complètement perdue, je comprenais pas ce qui m'arrivait en réalité, tu vois. Et donc ça c'est important aussi de comprendre qu'en réalité il y a quatre parties à ce cadran et que tu devrais pouvoir naviguer d'une partie à l'autre sans que ça ne t'accable parce qu'en réalité tu connais les émotions et tu sais que tu peux passer d'une partie à l'autre du cadran. Alors, ce qui est important quand même, c'est juste de dire une chose. C'est que, alors déjà, identifie où est-ce que tu te trouves la plupart du temps. Et ensuite, essaye de voir quelle est l'émotion que tu aimerais ressentir un peu plus. D'accord ? Alors, je dis un peu plus. Pourquoi ? Parce que si tu parles d'une émotion qui est très intense, je vais prendre par exemple l'émotion colère, tu te sens vraiment très forte. très fortement en colère, tu t'es agacé, irrité, t'en as marre, t'es en colère, tu sais, t'as vraiment un sentiment d'injustice qui t'anime, tu ne vas pas passer de ce sentiment-là à un sentiment de sérénité du jour au lendemain. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que tout simplement, si tu dois aller dans un immeuble et que tu veux aller au dixième étage, eh bien pour pouvoir aller au dixième étage, tu vas commencer par prendre l'ascenseur ou les escaliers comme tu veux, mais tu vas arriver à l'étage numéro 1, numéro 2. numéro 3 et ainsi de suite, avant d'enfin attirer à l'étage numéro 10. D'accord ? C'est exactement la même chose pour tes émotions. Il y a besoin, quelque part, de palier d'étapes intermédiaires. Tu ne vas pas te retrouver d'une posture de tristesse, d'épuisement, de découragement, à une émotion de totale euphorie. Ce n'est pas possible. D'accord ? Il y a vraiment des étapes intermédiaires pour arrêter justement de faire le yo-yo. Et c'est comme ça qu'on arrive à naviguer plus facilement sur ce cadran. Alors j'aimerais justement te rappeler quelque chose, c'est que tes émotions, en réalité, elles viennent de tes pensées et certainement pas des faits ni des situations. Ce qui va créer une émotion, c'est pas la situation en elle-même, c'est l'histoire que tu vas te raconter autour de cette situation. Je te donne un exemple, si le test de grossesse que tu fais ne te donne pas le résultat que tu veux, en réalité c'est pas le test de grossesse, c'est la... projection que tu te fais autour de ça en te disant ça marchera pas et je mérite pas d'être mère et je suis pas faite pour y arriver et ça marche pour les autres mais pas pour moi, etc. Tu vois ? En gros, c'est pas tellement le test de grossesse parce que le test de grossesse, si je te disais, ok, ce mois-ci il est négatif mais le mois prochain il sera positif, en réalité c'est pas tellement le test de grossesse qui pose problème mais c'est toute l'histoire que tu te racontes autour, tu vois ? Donc vraiment, c'est super important de te dire, c'est... D'avoir conscience que c'est vraiment tout le discours que tu vas te raconter autour de ça qui va changer la donne, et qui va t'amener à ressentir telle ou telle émotion. Ce sont vraiment tes pensées qui t'amènent des émotions, ce ne sont pas les situations en tant que telles. J'aimerais vraiment te rappeler que tu as le choix du scénario que tu te racontes en réalité. Quand ça t'arrive, identifie le fait, vraiment identifie le déclencheur, j'ai envie de dire. Mais à côté de ça, identifie surtout l'histoire que tu te racontes autour de ça. T'as croisé une femme enceinte, ça t'a mis vraiment un énorme coup au moral, tu te sens complètement abattue, triste, ok. C'est pas la grossesse de cette personne-là. La grossesse de cette personne-là, elle ne t'enlève en rien la possibilité d'être enceinte à toi. Il n'y a pas un nombre de... Enfin, il n'y a pas un quota à respecter de femme enceinte en même temps, on est bien d'accord. Donc, en réalité, ce n'est pas de nouveau la grossesse de cette personne, c'est qu'est-ce que toi, tu te racontes par rapport à ça, tu vois ? Et donc, pose-toi la question de savoir c'est quoi que tu te racontes autour de ça et demande-toi si c'est vraiment vrai. Si tu te dis oui, mais en gros, je ne suis pas faite pour être mère, mais qu'est-ce qui t'amène à cette conclusion-là ? Vraiment, et réfléchis un petit peu aux gens. Alors, je vais dire que tu connais réellement ou que tu connais via, j'en sais rien, moi... de la presse ou des choses comme ça. Je pense que des situations dramatiques familiales, on en voit tous les jours dans la presse. Raison pour laquelle je ne lis pas les mauvaises nouvelles. Mais voilà, repense à tout ça et demande-toi si ces personnes-là étaient vraiment méritantes. Tu vois, si vraiment ces personnes-là méritaient d'être parents. Voilà, non. La réponse, c'est non. Donc, il n'y a pas de raison que toi, tu ne mérites pas d'être maman. Tu vois ce que je veux dire ? Va chercher un petit peu. Est-ce que c'est vraiment vrai, ce que je me rappelle ? Et tu vas voir que la réalité, c'est que non. Et si ce n'est pas 100% vrai, c'est que c'est non. Mais il faut vraiment que tu gardes ça en tête. Et vraiment, ce que je t'invite, et c'est vraiment cadeau ce que je te donne aujourd'hui, c'est trois stratégies finalement pour changer tes émotions. La toute première, c'est de changer ton langage intérieur. Remplace les expressions du style « Ah, mais moi, je n'y arriverai jamais avec. Je suis capable de trouver une solution. » Parce que les mots vont influencer ton état émotionnel. La deuxième stratégie, c'est de changer ta physiologie. Sois un peu attentive à la manière dont tu te tiens. Je donne toujours cet exemple-là parce que ça me parle, mais prends l'exemple de qui tu veux. Je vais te prendre l'exemple de Beyoncé, mais tu prends Taylor Swift, tu prends qui tu veux et tu les imagines arriver sur une scène de concert. Est-ce que tu crois vraiment qu'elles vont arriver, les épaules basses ? Les bras qui pendouillent en étant finalement pas très sûrs d'elles. Non, évidemment, parce qu'elles vont faire le show. Alors, on ne sait pas comment elles étaient cinq minutes avant. Ça, ce n'est pas mon problème. Mais ce que je veux dire, c'est qu'à partir du moment où elles arrivent sur scène, elles ont une posture de queen. Vraiment, elles vont prendre la scène et c'est telle. C'est exactement la même chose, toi, dans ton quotidien. Pose-toi la question de savoir comment tu te tiens quand tu ressens des émotions. Et en réalité, ta physiologie va impacter ton état émotionnel. Si tu fais la gueule, que tu as les épaules basses, le dos voûté, etc., tu vas avoir plus tendance à ressentir des émotions qui sont basses et désagréables. Quand tu te tiens droite, la tête haute, les épaules basses, le dos vraiment bien droit, tu sais, un petit peu comme si tu avais un fil qui te tenait au-dessus de la tête et qui t'amenait vraiment à avoir une super posture vraiment bien droite et que tu avais vraiment un ressenti aussi d'ancrage dans le sol. tu vas voir que dans ces moments-là, tu vas avoir une posture qui est évidemment beaucoup plus énergique, beaucoup plus ancrée. Et donc dans ces moments-là, la confiance en toi va revenir et donc tu vas être plus à même de ressentir des émotions qui sont agréables. Donc pense vraiment à changer ta physiologie et à observer comment tu te tiens au quotidien et tu vas voir que ça peut tout changer. Donc quand tu te rends compte justement que la posture, ce n'est pas la posture de la nana qui est... confiante, qui sait qu'elle va y arriver, qu'elle va trouver des solutions. Tu mets un morceau de musique, tu mets quelque chose, mais tu me changes cette physiologie tout de suite, vraiment. Et puis enfin, la troisième stratégie, c'est de prendre des actions concrètes. Ce qui nous met finalement un peu dans un état d'émotion basse, mais pas très agréable, très souvent, c'est le sentiment un peu d'inaction. Je vais préciser ce que j'entends par inaction. Ce n'est pas que tu ne fais rien au quotidien, on est bien d'accord là-dedans, mais c'est que tu as l'impression de ramer dans le vide, tu as l'impression de faire des choses qui ne sont pas forcément utiles parce que ça ne t'amène pas le résultat que tu veux, parce que tu as l'impression finalement de faire du surplace. Les autres avancent, le temps défile, mais toi tu fais du surplace. Et donc ce qui est important dans ces moments-là, c'est finalement de poser des actions. Pourquoi ? Parce que ça peut être une mini action, ça peut être une balade, ça peut être le fait de préparer un repas qui est super équilibré, ça peut être de te faire un soin visage, tu peux te le faire toute seule. Alors pitié, sans perturbateur endocrinien dans les produits, attention. Mais voilà, tu vois, une petite action, c'est déjà des choses où tu vas avoir le sentiment de te reprendre en main. Et en fait, plus tu vas agir, plus tu vas reprendre du pouvoir sur tes émotions, mais en réalité, c'est parce que tu vas reprendre le pouvoir sur tes... pensées. Et plus tu reprends le pouvoir sur tes pensées, in fine, ça a des répercussions un peu en cascade sur les émotions que tu vas ressentir. Alors si vraiment, ça tu vois que le fait de poser des actions concrètes, c'est quelque chose qui te manque parce que tu as l'impression de pédaler dans le vide, tu as l'impression de faire des choses mais tu n'es pas certaine que ce soit dans le bon sens parce que tu ne vois pas forcément de résultat, vraiment je t'invite à rejoindre le booster éclosion. Alors attention parce qu'on démarre tout début mars, d'accord ? Donc vraiment si tu écoutes cet épisode de podcast, ne tarde pas à t'inscrire parce qu'une fois que la date arrive... Les inscriptions sont clôturées et c'est terminé, d'accord ? Il n'y aura pas de retardataire admise, c'est vraiment maintenant. C'est un peu la même chose que le coaching éclosion, mais on va dans une formule un peu plus courte. On va finalement passer trois mois ensemble, mais c'est trois mois au cours desquels je vais vraiment pouvoir me pencher sur toi, sur ton parcours, sur tes analyses, si j'arrive à le dire. C'est pas facile, mais je vais vraiment justement aller... Je vais creuser en fait, je vais faire des choses que personne n'a jamais fait jusqu'à maintenant avec toi, je vais te donner des choses, vraiment un plan d'action concret, simple, efficace à mettre en œuvre, mais pour vraiment te permettre de maximiser tes chances de grossesse, pour te permettre de comprendre ce qui se passe à l'intérieur et que tu puisses prendre les bonnes actions pour toi. Pendant ces trois mois, je te garantis que ton état d'esprit va être complètement transformé. Donc c'est maintenant, n'attends surtout pas, si tu veux commencer par poser une action, et bien c'est celle-là. On se retrouve vraiment au sein du coaching, enfin du booster éclosion, et où on va passer trois mois à travailler sur tes essais bébés pour que vraiment on puisse mettre ensemble, toi et moi, toutes les chances de ton côté. Donc tu vas trouver le lien évidemment dans la description de cet épisode. Ne tarde pas, d'accord ? Parce que j'insiste, il n'y aura pas de retardataire. Donc je sais que parfois, on hésite, on ne sait pas trop, on se dit oui, peut-être. Ne te dis pas que tu vas rejoindre la prochaine cohorte parce qu'en réalité... Peut-être que j'en lancerai une en octobre, mais ça c'est dans le meilleur des scénarios, ce serait vraiment au plus tôt. Mais je n'ai absolument aucune certitude de relancer ce booster éclosion en octobre. C'était une date où je m'étais dit oui peut-être, mais il n'y a pas de certitude. Et en attendant, c'est de te dire que finalement, là au moment où j'enregistre cet épisode, on est en février, ça veut dire que tu es prête à attendre jusqu'à octobre au plus tôt pour changer les choses. Et enfin, pour moi, c'est un non négociable. En fait, c'est juste de dire non. En fait, c'est maintenant. Pas question de perdre encore des mois supplémentaires. Donc, si tu veux vraiment avancer, c'est maintenant. D'accord ? Donc, ne tarde pas, inscris-toi. Je t'invite vraiment à découvrir le lien qui est dans la description de cet épisode. Et on se retrouve très vite pour que je puisse me pencher sur tes essais bébés, sur tout ton parcours. Encore une fois, je te rappelle que tu n'es pas condamné à subir, que ce soit tes émotions, ton parcours. parcours, tu peux mettre des choses en place et que en comprenant, ça change tout. C'est ce qui fait vraiment toute la différence. Donc, encore une fois, ne laisse pas ton parcours être plus difficile qu'il ne le doit. Il n'y a pas de raison pour ça. On se retrouve très bientôt, j'espère au sein du Booster Éclosion et je te dis à très vite et d'ici là, prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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Ton parcours PMA est une montagne russe émotionnelle et tu aimerais mieux gérer tes ressentis ?
Dans cet épisode, on explore comment transformer tes émotions pour retrouver de l’apaisement et du pouvoir sur ton chemin vers la maternité.

Je vais te parler :
✔️ Des maisons émotionnelles de Tony Robbins : pourquoi certaines émotions reviennent toujours et comment en sortir.
✔️ Du cadran émotionnel : comprendre où tu te situes pour mieux rééquilibrer tes émotions.
✔️ De la vraie source de tes émotions : elles ne viennent pas des événements extérieurs, mais des histoires que tu te racontes.
✔️ Des stratégies concrètes pour modifier ton état émotionnel et traverser ton parcours avec plus de sérénité et de confiance.

🎧 Un épisode essentiel pour reprendre le contrôle sur ton bien-être émotionnel !



💡 Pour aller plus loin :


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➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Comment transformer tes émotions pour mieux vivre tes essais bébés ? Hello, je suis ravie, vraiment ravie de te retrouver aujourd'hui. On va parler d'émotion parce que je sais à quel point c'est un sujet qui peut être compliqué, sensible à certaines périodes, surtout quand on a obtenu un résultat qui n'est pas celui qu'on espère. Je sais qu'il y a des moments où c'est beaucoup plus éprouvant que d'autres. Alors j'ai plein de messages qui me sont parvenus ces dernières semaines, donc merci, merci, merci beaucoup. Là, il y a quelques jours, j'ai reçu un message de Magali qui me disait tout d'abord je souhaitais te remercier pour tes podcasts que je suis depuis deux mois environ. J'ai commencé depuis le tout début et j'arrive bientôt à la fin, mon dieu Magali, waouh ! Magali me dit ça m'éclaire, m'apaise, m'informe, c'est un immense soutien donc merci. Alors vraiment je trouve ça juste extraordinaire parce que en plus du message de Magali, j'en ai reçu un autre très récemment sur les réseaux sociaux pour me dire à quel point l'un des derniers épisodes de podcast où en fait je parlais des vérités sur les tentatives de FIV a été plus que bénéfique. parce que l'une d'entre elles s'est retrouvée dans la situation juste au moment où elle a écouté le podcast et ça lui a fait énormément de bien. Donc, merci pour vos retours, vraiment. Et je suis ravie de savoir que ça vous aide au quotidien. N'hésitez surtout pas à aller poster un petit message. Vraiment, je vous invite à le faire parce que c'est ce qui permet, en fait, quand vous mettez des commentaires, des étoiles, clairement, c'est ce qui permet au podcast d'être découvert. Donc, je sais qu'il y a énormément de personnes qui sont justement dans le besoin. d'avoir des informations, d'être, comme Magali le disait, d'être éclairée, apaisée, informée et vraiment en gros d'être soutenue. Donc je sais que ça va vraiment les aider énormément. Donc d'avance, je te remercie. Si tu trouves que le podcast vraiment t'aide, t'encourage, te soutient, te donne des informations et que pour toi c'est une aide précieuse, eh bien vraiment, je te serais infiniment reconnaissante de pouvoir aller prendre quelques petites secondes pour aller me mettre une étoile ou un petit message sur la plateforme de ton choix. Mais vraiment, ce serait vraiment super. Et puis en plus, c'est vrai que sur Spotify, je peux maintenant répondre en direct aux messages. Donc si ça te dit, n'hésite surtout pas à me laisser un petit commentaire. Ça me fera vraiment trop, trop, trop plaisir. Donc je te le disais aujourd'hui, j'avais à cœur en fait de te parler des émotions. Parce que, comme je te le disais, c'est vrai que déjà le parcours en lui-même peut être compliqué, de par les pathologies, et même s'il n'y a pas de pathologie, c'est... À la limite, parfois même encore plus culpabilisant, parce que du coup, on a l'impression que tout va bien, mais que ça ne fonctionne pas, et que du coup, c'est de notre faute, si c'est le cas. Je t'invite d'ailleurs à aller réécouter l'épisode juste avant, je pense que c'est l'un des derniers épisodes où je te parle justement de culpabilité. Mais aujourd'hui, j'avais envie, au-delà de cette notion de culpabilité, vraiment de te parler des émotions, parce que je sais à quel point les émotions dans ce parcours, ça fait le yo-yo, c'est vraiment les montagnes russes, et que ce n'est pas toujours... évident d'être là-dedans et qu'on a vraiment super envie quelque part de transformer les émotions mais on ne sait pas trop comment, on ne sait pas trop quoi faire, on a envie de retrouver de l'apaisement, on a envie de retrouver de la sérénité mais en même temps on est prise dans un tourbillon et on ne sait pas trop comment en sortir. Alors aujourd'hui je vais te parler de plusieurs choses, je vais te parler de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles, je vais te parler d'un outil qui s'appelle le cadran émotionnel, je t'expliquerai d'où ça vient. aussi et puis surtout je t'expliquerai comment est-ce que tu peux faire pour transformer tes émotions. Alors, vraiment, j'insiste sur une petite chose, je fais toujours, toujours, toujours ce petit rappel à partir du moment où je parle des émotions, parce que tu le sais, si tu me suis depuis longtemps, tu le sais, si tu viens de me découvrir peut-être que c'est quelque chose que tu ne sais pas encore mais moi en tout cas il y a quelque chose avec lequel j'ai beaucoup, beaucoup de mal et c'est d'ailleurs quelque chose dont je ne veux pas entendre parler. J'ai beaucoup de gens, y compris dans les coachs et dans les thérapeutes, qui vont te parler de gestion des émotions. Et ça, pour moi, c'est vraiment quelque chose dont je ne veux absolument pas entendre parler. Parce qu'on ne gère pas une émotion comme on gère sa compta. Une émotion, c'est quelque chose qui se vit, qui se ressent, qui presque, on va dire, s'expérimente. Parce qu'il y a des émotions qu'on ne s'autorise pas forcément à expérimenter. Je pense notamment à la colère, mais pas que. Mais c'est parce que j'ai énormément de femmes qui, jusqu'ici, ne s'étaient pas autorisées à exprimer de la colère. C'est ça. Donc une émotion pour moi ça ne se gère pas, une émotion ça s'accueille. Donc, je ne te parlerai jamais ici de gestion des émotions, d'accord ? Je vais te parler d'accueil d'émotions, je vais te parler de transformation d'émotions, parce que c'est vrai que ce n'est pas toujours agréable quand on risque de bloquer sur un certain type d'émotion et qu'on aimerait finalement retrouver un peu plus de sérénité, de légèreté et qu'on n'y arrive pas. Donc voilà, ça oui, on va en parler, mais jamais je ne te parlerai ici de gestion d'émotions. Donc j'espère vraiment que c'est clair. Alors clairement... Parmi toutes les femmes que j'accompagne, et si je me replonge dans ma propre expérience à moi, puisque comme tu le sais, je suis aussi passée par là, vraiment, perso, pendant ces 4 ans et demi, j'ai vraiment oscillé entre espoir, parce que j'avais quand même vraiment l'espoir qu'un jour ça finisse par fonctionner, la frustration de me dire, en fait, tout a l'air d'aller bien chez moi, ce qui n'était absolument pas vrai, je le rappelle, j'avais un SOPK et l'endométriose, donc ça n'allait pas bien, mais en tout cas, c'est ce qu'on me disait. J'avais énormément de tristesse parce que les mois et les années passaient et il ne se passait toujours rien et que j'avais finalement l'impression que ça ne changerait jamais. Ce qui m'amenait aussi parfois à ressentir de la colère parce que j'en avais ras-le-bol d'avoir autour de moi des annonces de grossesse, parfois même de personnes qui n'en voulaient même pas, pour qui ce n'était pas forcément voulu ou qui n'étaient pas dans les conditions pour, etc. Bref, c'était parfois un petit peu compliqué à gérer à ce niveau-là. Et évidemment, énormément de culpabilité parce que... entre guillemets tout allait bien mais ça fonctionnait quand même pas. Donc évidemment je sais que toi aussi ce sont des choses que tu ressens probablement parce que je le vois tous les jours auprès des femmes que j'accompagne et d'ailleurs très souvent j'en ai qui me disent non non mais moi ça ça va je ressens pas trop. Et puis en fait quand je creuse je me rends compte que si évidemment qu'elles ressentent mais c'est juste qu'elles ne s'autorisent pas à mettre un nom déjà sur l'émotion qu'elles ressentent. Et puis, elle ne s'autorise pas à la ressentir parce que c'est une émotion qui, entre guillemets, est plus ou moins mal perçue. Alors, ça vient de plein de choses. Ça vient de notre entourage, de notre enfance, de notre éducation. Tu sais, avec des injonctions du style, t'es vilaine quand tu pleures, la colère, c'est pas beau, etc. Il y avait même des choses. Alors, je ne sais pas si tu as entendu ça aussi, mais tu sais, un petit peu des expressions de grand-mère. Alors, il y avait une expression qui disait, quand tu pleurais ou que tu étais en colère et que tu faisais une grimace, c'était... « Ah, si les cloches sonnent, tu vas rester comme ça. » C'est juste pour dire à quel point on a pu finalement diaboliser les émotions qu'on ressentait, alors qu'en réalité, ça fait juste partie des expériences de la vie, c'est tout, c'est comme ça, ça va passer. Mais voilà, en tout cas, on a grandi avec des injonctions, avec des représentations aussi, d'émotions acceptables, d'émotions pas acceptables du tout. Et bizarrement, dans les émotions pas acceptables du tout, il y a même des émotions qui sont... qui pourrait en tout cas être qualifiée de positive. Alors oui, je vais faire aussi un petit rappel ou un petit bémol, mais en tout cas, pareil, je t'ai dit tout à l'heure que pour moi, je ne gérais pas les émotions, c'est pareil. Pour moi, il n'y a pas d'émotion positive ou négative. Une émotion, elle est point, d'accord ? Une émotion, elle est là pour te faire ressentir une information. Il n'y a pas de positif ou de négatif, d'accord ? Donc ici, je mets volontairement l'expression plutôt positive pour dire, par exemple, quand tu ressens de la joie, Ok, de l'euphorie, attention à ne pas faire trop de bruit, d'accord ? N'explose quand même pas trop de joie, parce que ce n'est pas très bien vu, d'accord ? Donc tu vois que les émotions finalement, elles peuvent venir... On a tous en fait une histoire avec les émotions, et que ça vient de plein de choses, comme je te le disais, l'éducation, l'environnement, etc. Qu'il y a des émotions qui ont été cataloguées comme étant acceptables ou pas acceptables, etc. Donc forcément, toi, ton univers émotionnel, je vais l'appeler comme ça, tu t'es construit cet univers émotionnel sur base de tout ça, évidemment, de tout ce que tu as pu observer, entendre, etc. Et c'est bien normal. Alors, évidemment, des fois, on reste bloqué dans une catégorie d'émotions et ce n'est pas toujours évident. Et je vais t'expliquer pourquoi et d'où ça vient. Alors, je vais reprendre le principe de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles. Alors, c'est Tony Robbins qui a vulgarisé ce concept-là. Je ne sais pas si tu connais Tony Robbins. C'est vraiment, je pense, l'un des coachs les plus célèbres. C'est un coach de personnalité aux États-Unis, etc. Il a coaché des grands joueurs, des grands artistes. Il a coaché plein de personnes, énormément de personnalités publiques, parce qu'il a un côté quand même assez people. Il remplit des salles énormes, d'ailleurs, dans des séminaires, des formations, etc. Alors, j'apprécie vraiment les concepts qu'il vulgarise parce qu'il est formé aussi à la PNL, donc la programmation neuro-linguistique. Et je trouve qu'il a vraiment un don extraordinaire pour rendre très simple et très concret des concepts qui pourraient sembler vachement compliqués au premier abord. Donc ça, j'aime beaucoup. Après, j'aime moins parce que j'ai participé à l'un des séminaires de Tony Robbins. C'était quatre jours. C'était un séminaire qui s'appelle Unleash the Power Within. Et en fait, j'ai payé ma place pour avoir quatre jours de formation avec Tony Robbins. Bon, la réalité du terrain, c'est que tu passes en réalité quatre heures avec Tony Robbins et non pas quatre jours. Mais ça, c'est un autre sujet. Je ne te parlerai donc pas d'éthique ici, mais je te parle en tout cas des concepts qu'il a vulgarisés et que j'ai trouvé très intéressants. Donc, c'est vrai que Tony Robbins va te parler de maison émotionnelle. Et en réalité, c'est quoi ? Ce sont des émotions dans lesquelles tu vas avoir tendance à revenir naturellement. Il va dire que ce sont les émotions, quelque part, dans lesquelles tu habites le plus souvent. Et c'est vrai que tu as des personnes qui vont vivre de manière permanente ou presque, dans la frustration, dans la tristesse, parce que ça fait presque partie de leur forme de personnalité, alors que d'autres vont être beaucoup plus dans la gratitude, dans l'enthousiasme, même quand il y a des moments compliqués. Donc c'est vrai qu'on a ce qu'on appelle des maisons émotionnelles, des émotions un peu refuge dans lesquelles on va le plus souvent. Alors déjà, la première chose que je t'invite à te poser comme question, c'est c'est quoi l'émotion que je ressens le plus souvent ? Dans quelle maison, finalement, est-ce que j'habite la plupart de mon temps ? Est-ce que tu vis principalement dans la maison de la peur, dans la maison de la colère, dans la maison de la culpabilité, de l'impuissance ? Voilà, peu importe, à toi de réfléchir et de... poser la question de savoir dans quelle maison émotionnelle est-ce que tu habites le plus. L'idée c'est quoi ? C'est d'identifier où tu es et d'aller choisir une maison émotionnelle qui est plus ressourçante, d'accord ? Qui va vraiment te permettre de te sentir mieux au quotidien. Et c'est là aussi que le cadran émotionnel entre en jeu. Alors pareil, le cadran émotionnel Ça a été finalement, quelque part, on l'attribue souvent à Tony Robbins, mais ce n'est pas Tony Robbins qui en est le créateur, mais c'est vraiment lui qui l'a à nouveau popularisé. Parce qu'en réalité, ce cadran émotionnel s'est inspiré de travaux de plein de chercheurs qui sont des chercheurs dans le domaine de la psychologie, des neurosciences, etc. Mais c'est vrai que c'est un concept qui a été à nouveau vulgarisé finalement par Tony Robbins. Ce cadran émotionnel-là, c'est un cadran. Il y a forcément donc quatre parties. En réalité, il y a deux axes principaux. Donc tu mets une abscisse, une ordonnée, et puis tu vas voir qu'effectivement, d'un côté, tu vas avoir le niveau d'énergie. Est-ce que c'est une énergie qui est plutôt haute, donc active, intense ? Ou est-ce que c'est une énergie qui est basse, qui est plutôt au ralenti, épuisée ? Voilà, c'est une émotion où on est plutôt vraiment dans un niveau d'énergie qui est très très bas. Et alors, on va avoir le ressenti, bien sûr. D'un côté, tu vas avoir les émotions qui sont agréables et de l'autre, désagréables. Donc, un exemple en énergie haute et agréable, tu vas avoir de l'excitation, de la joie, de l'euphorie, de la détermination, de la gratitude. Tu vas avoir plein, plein, plein d'échelles finalement à l'intérieur de cette énergie. Mais on sait déjà que ça, ce sont des énergies hautes et que c'est plutôt sympa à ressentir. D'accord ? Donc là, on est haut et agréable. Ensuite, tu vas avoir aussi une énergie... haute, mais par contre, c'est plutôt désagréable. Donc là, on va être sur de la colère, de la frustration, de l'énervement. On va vraiment être dans ce type d'émotion. On sait quelque chose d'énergique, mais c'est pas agréable à ressentir. On va alors avoir ensuite des énergies qui sont basses. Et donc là, on va avoir d'un côté, du côté agréable, on va avoir des émotions comme la sérénité, le calme, la confiance. On va être sur des émotions qui sont vachement sympas à ressentir, mais où finalement, c'est vrai que d'un point de vue énergique, on est quand même relativement bas. Pareil, dans les énergies basses, on va aussi avoir un côté désagréable, qui va être plutôt de la tristesse, du découragement, de l'impuissance, de la résignation. On est vraiment sur des énergies qui ne sont pas cool à ressentir, mais pour lesquelles on se sent un peu comme vidé, en fait, tu vois. Alors, de manière générale, c'est quand même intéressant de voir qu'on a plus ou moins tendance à se trouver d'un côté ou de l'autre du cadre. De manière générale, moi, je pense que c'est aussi lié à ma personnalité, mais j'ai une personnalité qui est quand même relativement énergique, et donc, je vais me retrouver assez facilement sur des énergies qui sont hautes. Alors, de manière générale, je pense que j'ai aussi une personnalité qui m'amène à être plus ou moins dans des... d'un côté principal d'émotion qui est plutôt positif. Après, évidemment, je me rends compte que j'ai plus de mal d'aller dans les énergies basses, par exemple. Alors de nouveau, j'insiste sur une chose, ce cadran, il n'y a aucun bon ou mauvais côté, d'accord ? Il y a un côté agréable, un côté pas agréable, il y a un côté haut, il y a un côté bas, mais il n'y a aucune émotion qui est bonne ou pas bonne à ressentir, d'accord ? Mais en fait, quand j'ai dessiné sur une feuille, tu vois, ce cadran, et en fait, j'ai commencé à recenser finalement les émotions que je ressentais le plus, et bien finalement, de mon côté en tout cas, je vais être plus vite dans des émotions qui sont énergiques. Que ce soit agréable ou pas agréable, ça veut dire que je peux ressentir autant d'excitation, de joie, etc. que de colère, d'agacement, etc. Donc on est vraiment sur des émotions qui sont hautes. Maintenant, j'ai... pour ma part, beaucoup plus de mal d'aller dans des énergies qui sont plus basses. Alors avec les années et l'expérience, évidemment, ça change, ça évolue beaucoup. Mais au moment où j'étais dans ce parcours, c'était compliqué pour moi d'être dans les émotions basses. Alors évidemment, ça m'arrivait et du coup, j'étais complètement perdue parce que je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Mais le fait d'avoir compris cet exercice-là, ça a été une jolie révélation parce qu'en réalité, pour finalement être totalement à l'aise, avec ses émotions, on devrait être capable de naviguer sur les quatre parties de ce cadran. Mais la réalité fait que ce n'est pas ça. La réalité fait qu'au quotidien, on va plutôt être dans une partie du cadran et que c'est plus compliqué d'aller naviguer sur les autres. Alors, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait jamais, mais ça veut dire que quand on y est, on est perdu parce qu'on ne sait pas trop comment réagir dans ces moments-là, tu vois. Et c'est vrai que moi qui suis plutôt, comme je te disais, du côté haut, les fois où je me retrouvais complètement... dans ce que t'es énergie basse où je me sentais épuisée, découragée, complètement triste, impuissante, en fait j'avais pas l'habitude et donc je savais pas quoi faire et j'étais complètement perdue, je comprenais pas ce qui m'arrivait en réalité, tu vois. Et donc ça c'est important aussi de comprendre qu'en réalité il y a quatre parties à ce cadran et que tu devrais pouvoir naviguer d'une partie à l'autre sans que ça ne t'accable parce qu'en réalité tu connais les émotions et tu sais que tu peux passer d'une partie à l'autre du cadran. Alors, ce qui est important quand même, c'est juste de dire une chose. C'est que, alors déjà, identifie où est-ce que tu te trouves la plupart du temps. Et ensuite, essaye de voir quelle est l'émotion que tu aimerais ressentir un peu plus. D'accord ? Alors, je dis un peu plus. Pourquoi ? Parce que si tu parles d'une émotion qui est très intense, je vais prendre par exemple l'émotion colère, tu te sens vraiment très forte. très fortement en colère, tu t'es agacé, irrité, t'en as marre, t'es en colère, tu sais, t'as vraiment un sentiment d'injustice qui t'anime, tu ne vas pas passer de ce sentiment-là à un sentiment de sérénité du jour au lendemain. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que tout simplement, si tu dois aller dans un immeuble et que tu veux aller au dixième étage, eh bien pour pouvoir aller au dixième étage, tu vas commencer par prendre l'ascenseur ou les escaliers comme tu veux, mais tu vas arriver à l'étage numéro 1, numéro 2. numéro 3 et ainsi de suite, avant d'enfin attirer à l'étage numéro 10. D'accord ? C'est exactement la même chose pour tes émotions. Il y a besoin, quelque part, de palier d'étapes intermédiaires. Tu ne vas pas te retrouver d'une posture de tristesse, d'épuisement, de découragement, à une émotion de totale euphorie. Ce n'est pas possible. D'accord ? Il y a vraiment des étapes intermédiaires pour arrêter justement de faire le yo-yo. Et c'est comme ça qu'on arrive à naviguer plus facilement sur ce cadran. Alors j'aimerais justement te rappeler quelque chose, c'est que tes émotions, en réalité, elles viennent de tes pensées et certainement pas des faits ni des situations. Ce qui va créer une émotion, c'est pas la situation en elle-même, c'est l'histoire que tu vas te raconter autour de cette situation. Je te donne un exemple, si le test de grossesse que tu fais ne te donne pas le résultat que tu veux, en réalité c'est pas le test de grossesse, c'est la... projection que tu te fais autour de ça en te disant ça marchera pas et je mérite pas d'être mère et je suis pas faite pour y arriver et ça marche pour les autres mais pas pour moi, etc. Tu vois ? En gros, c'est pas tellement le test de grossesse parce que le test de grossesse, si je te disais, ok, ce mois-ci il est négatif mais le mois prochain il sera positif, en réalité c'est pas tellement le test de grossesse qui pose problème mais c'est toute l'histoire que tu te racontes autour, tu vois ? Donc vraiment, c'est super important de te dire, c'est... D'avoir conscience que c'est vraiment tout le discours que tu vas te raconter autour de ça qui va changer la donne, et qui va t'amener à ressentir telle ou telle émotion. Ce sont vraiment tes pensées qui t'amènent des émotions, ce ne sont pas les situations en tant que telles. J'aimerais vraiment te rappeler que tu as le choix du scénario que tu te racontes en réalité. Quand ça t'arrive, identifie le fait, vraiment identifie le déclencheur, j'ai envie de dire. Mais à côté de ça, identifie surtout l'histoire que tu te racontes autour de ça. T'as croisé une femme enceinte, ça t'a mis vraiment un énorme coup au moral, tu te sens complètement abattue, triste, ok. C'est pas la grossesse de cette personne-là. La grossesse de cette personne-là, elle ne t'enlève en rien la possibilité d'être enceinte à toi. Il n'y a pas un nombre de... Enfin, il n'y a pas un quota à respecter de femme enceinte en même temps, on est bien d'accord. Donc, en réalité, ce n'est pas de nouveau la grossesse de cette personne, c'est qu'est-ce que toi, tu te racontes par rapport à ça, tu vois ? Et donc, pose-toi la question de savoir c'est quoi que tu te racontes autour de ça et demande-toi si c'est vraiment vrai. Si tu te dis oui, mais en gros, je ne suis pas faite pour être mère, mais qu'est-ce qui t'amène à cette conclusion-là ? Vraiment, et réfléchis un petit peu aux gens. Alors, je vais dire que tu connais réellement ou que tu connais via, j'en sais rien, moi... de la presse ou des choses comme ça. Je pense que des situations dramatiques familiales, on en voit tous les jours dans la presse. Raison pour laquelle je ne lis pas les mauvaises nouvelles. Mais voilà, repense à tout ça et demande-toi si ces personnes-là étaient vraiment méritantes. Tu vois, si vraiment ces personnes-là méritaient d'être parents. Voilà, non. La réponse, c'est non. Donc, il n'y a pas de raison que toi, tu ne mérites pas d'être maman. Tu vois ce que je veux dire ? Va chercher un petit peu. Est-ce que c'est vraiment vrai, ce que je me rappelle ? Et tu vas voir que la réalité, c'est que non. Et si ce n'est pas 100% vrai, c'est que c'est non. Mais il faut vraiment que tu gardes ça en tête. Et vraiment, ce que je t'invite, et c'est vraiment cadeau ce que je te donne aujourd'hui, c'est trois stratégies finalement pour changer tes émotions. La toute première, c'est de changer ton langage intérieur. Remplace les expressions du style « Ah, mais moi, je n'y arriverai jamais avec. Je suis capable de trouver une solution. » Parce que les mots vont influencer ton état émotionnel. La deuxième stratégie, c'est de changer ta physiologie. Sois un peu attentive à la manière dont tu te tiens. Je donne toujours cet exemple-là parce que ça me parle, mais prends l'exemple de qui tu veux. Je vais te prendre l'exemple de Beyoncé, mais tu prends Taylor Swift, tu prends qui tu veux et tu les imagines arriver sur une scène de concert. Est-ce que tu crois vraiment qu'elles vont arriver, les épaules basses ? Les bras qui pendouillent en étant finalement pas très sûrs d'elles. Non, évidemment, parce qu'elles vont faire le show. Alors, on ne sait pas comment elles étaient cinq minutes avant. Ça, ce n'est pas mon problème. Mais ce que je veux dire, c'est qu'à partir du moment où elles arrivent sur scène, elles ont une posture de queen. Vraiment, elles vont prendre la scène et c'est telle. C'est exactement la même chose, toi, dans ton quotidien. Pose-toi la question de savoir comment tu te tiens quand tu ressens des émotions. Et en réalité, ta physiologie va impacter ton état émotionnel. Si tu fais la gueule, que tu as les épaules basses, le dos voûté, etc., tu vas avoir plus tendance à ressentir des émotions qui sont basses et désagréables. Quand tu te tiens droite, la tête haute, les épaules basses, le dos vraiment bien droit, tu sais, un petit peu comme si tu avais un fil qui te tenait au-dessus de la tête et qui t'amenait vraiment à avoir une super posture vraiment bien droite et que tu avais vraiment un ressenti aussi d'ancrage dans le sol. tu vas voir que dans ces moments-là, tu vas avoir une posture qui est évidemment beaucoup plus énergique, beaucoup plus ancrée. Et donc dans ces moments-là, la confiance en toi va revenir et donc tu vas être plus à même de ressentir des émotions qui sont agréables. Donc pense vraiment à changer ta physiologie et à observer comment tu te tiens au quotidien et tu vas voir que ça peut tout changer. Donc quand tu te rends compte justement que la posture, ce n'est pas la posture de la nana qui est... confiante, qui sait qu'elle va y arriver, qu'elle va trouver des solutions. Tu mets un morceau de musique, tu mets quelque chose, mais tu me changes cette physiologie tout de suite, vraiment. Et puis enfin, la troisième stratégie, c'est de prendre des actions concrètes. Ce qui nous met finalement un peu dans un état d'émotion basse, mais pas très agréable, très souvent, c'est le sentiment un peu d'inaction. Je vais préciser ce que j'entends par inaction. Ce n'est pas que tu ne fais rien au quotidien, on est bien d'accord là-dedans, mais c'est que tu as l'impression de ramer dans le vide, tu as l'impression de faire des choses qui ne sont pas forcément utiles parce que ça ne t'amène pas le résultat que tu veux, parce que tu as l'impression finalement de faire du surplace. Les autres avancent, le temps défile, mais toi tu fais du surplace. Et donc ce qui est important dans ces moments-là, c'est finalement de poser des actions. Pourquoi ? Parce que ça peut être une mini action, ça peut être une balade, ça peut être le fait de préparer un repas qui est super équilibré, ça peut être de te faire un soin visage, tu peux te le faire toute seule. Alors pitié, sans perturbateur endocrinien dans les produits, attention. Mais voilà, tu vois, une petite action, c'est déjà des choses où tu vas avoir le sentiment de te reprendre en main. Et en fait, plus tu vas agir, plus tu vas reprendre du pouvoir sur tes émotions, mais en réalité, c'est parce que tu vas reprendre le pouvoir sur tes... pensées. Et plus tu reprends le pouvoir sur tes pensées, in fine, ça a des répercussions un peu en cascade sur les émotions que tu vas ressentir. Alors si vraiment, ça tu vois que le fait de poser des actions concrètes, c'est quelque chose qui te manque parce que tu as l'impression de pédaler dans le vide, tu as l'impression de faire des choses mais tu n'es pas certaine que ce soit dans le bon sens parce que tu ne vois pas forcément de résultat, vraiment je t'invite à rejoindre le booster éclosion. Alors attention parce qu'on démarre tout début mars, d'accord ? Donc vraiment si tu écoutes cet épisode de podcast, ne tarde pas à t'inscrire parce qu'une fois que la date arrive... Les inscriptions sont clôturées et c'est terminé, d'accord ? Il n'y aura pas de retardataire admise, c'est vraiment maintenant. C'est un peu la même chose que le coaching éclosion, mais on va dans une formule un peu plus courte. On va finalement passer trois mois ensemble, mais c'est trois mois au cours desquels je vais vraiment pouvoir me pencher sur toi, sur ton parcours, sur tes analyses, si j'arrive à le dire. C'est pas facile, mais je vais vraiment justement aller... Je vais creuser en fait, je vais faire des choses que personne n'a jamais fait jusqu'à maintenant avec toi, je vais te donner des choses, vraiment un plan d'action concret, simple, efficace à mettre en œuvre, mais pour vraiment te permettre de maximiser tes chances de grossesse, pour te permettre de comprendre ce qui se passe à l'intérieur et que tu puisses prendre les bonnes actions pour toi. Pendant ces trois mois, je te garantis que ton état d'esprit va être complètement transformé. Donc c'est maintenant, n'attends surtout pas, si tu veux commencer par poser une action, et bien c'est celle-là. On se retrouve vraiment au sein du coaching, enfin du booster éclosion, et où on va passer trois mois à travailler sur tes essais bébés pour que vraiment on puisse mettre ensemble, toi et moi, toutes les chances de ton côté. Donc tu vas trouver le lien évidemment dans la description de cet épisode. Ne tarde pas, d'accord ? Parce que j'insiste, il n'y aura pas de retardataire. Donc je sais que parfois, on hésite, on ne sait pas trop, on se dit oui, peut-être. Ne te dis pas que tu vas rejoindre la prochaine cohorte parce qu'en réalité... Peut-être que j'en lancerai une en octobre, mais ça c'est dans le meilleur des scénarios, ce serait vraiment au plus tôt. Mais je n'ai absolument aucune certitude de relancer ce booster éclosion en octobre. C'était une date où je m'étais dit oui peut-être, mais il n'y a pas de certitude. Et en attendant, c'est de te dire que finalement, là au moment où j'enregistre cet épisode, on est en février, ça veut dire que tu es prête à attendre jusqu'à octobre au plus tôt pour changer les choses. Et enfin, pour moi, c'est un non négociable. En fait, c'est juste de dire non. En fait, c'est maintenant. Pas question de perdre encore des mois supplémentaires. Donc, si tu veux vraiment avancer, c'est maintenant. D'accord ? Donc, ne tarde pas, inscris-toi. Je t'invite vraiment à découvrir le lien qui est dans la description de cet épisode. Et on se retrouve très vite pour que je puisse me pencher sur tes essais bébés, sur tout ton parcours. Encore une fois, je te rappelle que tu n'es pas condamné à subir, que ce soit tes émotions, ton parcours. parcours, tu peux mettre des choses en place et que en comprenant, ça change tout. C'est ce qui fait vraiment toute la différence. Donc, encore une fois, ne laisse pas ton parcours être plus difficile qu'il ne le doit. Il n'y a pas de raison pour ça. On se retrouve très bientôt, j'espère au sein du Booster Éclosion et je te dis à très vite et d'ici là, prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

Description

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Ton parcours PMA est une montagne russe émotionnelle et tu aimerais mieux gérer tes ressentis ?
Dans cet épisode, on explore comment transformer tes émotions pour retrouver de l’apaisement et du pouvoir sur ton chemin vers la maternité.

Je vais te parler :
✔️ Des maisons émotionnelles de Tony Robbins : pourquoi certaines émotions reviennent toujours et comment en sortir.
✔️ Du cadran émotionnel : comprendre où tu te situes pour mieux rééquilibrer tes émotions.
✔️ De la vraie source de tes émotions : elles ne viennent pas des événements extérieurs, mais des histoires que tu te racontes.
✔️ Des stratégies concrètes pour modifier ton état émotionnel et traverser ton parcours avec plus de sérénité et de confiance.

🎧 Un épisode essentiel pour reprendre le contrôle sur ton bien-être émotionnel !



💡 Pour aller plus loin :


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➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. Si tu veux agir pour ne plus subir, tu es au bon endroit. Que tu sois suivi médicalement ou non, Mes conseils te permettront d'avoir un autre regard sur ton parcours et d'adopter une approche globale pour mettre toutes les chances de ton côté. Ensemble, brisons le tabou de l'infertilité. Si tu connais une femme qui est concernée par le sujet, je t'invite à lui partager cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour. Comment transformer tes émotions pour mieux vivre tes essais bébés ? Hello, je suis ravie, vraiment ravie de te retrouver aujourd'hui. On va parler d'émotion parce que je sais à quel point c'est un sujet qui peut être compliqué, sensible à certaines périodes, surtout quand on a obtenu un résultat qui n'est pas celui qu'on espère. Je sais qu'il y a des moments où c'est beaucoup plus éprouvant que d'autres. Alors j'ai plein de messages qui me sont parvenus ces dernières semaines, donc merci, merci, merci beaucoup. Là, il y a quelques jours, j'ai reçu un message de Magali qui me disait tout d'abord je souhaitais te remercier pour tes podcasts que je suis depuis deux mois environ. J'ai commencé depuis le tout début et j'arrive bientôt à la fin, mon dieu Magali, waouh ! Magali me dit ça m'éclaire, m'apaise, m'informe, c'est un immense soutien donc merci. Alors vraiment je trouve ça juste extraordinaire parce que en plus du message de Magali, j'en ai reçu un autre très récemment sur les réseaux sociaux pour me dire à quel point l'un des derniers épisodes de podcast où en fait je parlais des vérités sur les tentatives de FIV a été plus que bénéfique. parce que l'une d'entre elles s'est retrouvée dans la situation juste au moment où elle a écouté le podcast et ça lui a fait énormément de bien. Donc, merci pour vos retours, vraiment. Et je suis ravie de savoir que ça vous aide au quotidien. N'hésitez surtout pas à aller poster un petit message. Vraiment, je vous invite à le faire parce que c'est ce qui permet, en fait, quand vous mettez des commentaires, des étoiles, clairement, c'est ce qui permet au podcast d'être découvert. Donc, je sais qu'il y a énormément de personnes qui sont justement dans le besoin. d'avoir des informations, d'être, comme Magali le disait, d'être éclairée, apaisée, informée et vraiment en gros d'être soutenue. Donc je sais que ça va vraiment les aider énormément. Donc d'avance, je te remercie. Si tu trouves que le podcast vraiment t'aide, t'encourage, te soutient, te donne des informations et que pour toi c'est une aide précieuse, eh bien vraiment, je te serais infiniment reconnaissante de pouvoir aller prendre quelques petites secondes pour aller me mettre une étoile ou un petit message sur la plateforme de ton choix. Mais vraiment, ce serait vraiment super. Et puis en plus, c'est vrai que sur Spotify, je peux maintenant répondre en direct aux messages. Donc si ça te dit, n'hésite surtout pas à me laisser un petit commentaire. Ça me fera vraiment trop, trop, trop plaisir. Donc je te le disais aujourd'hui, j'avais à cœur en fait de te parler des émotions. Parce que, comme je te le disais, c'est vrai que déjà le parcours en lui-même peut être compliqué, de par les pathologies, et même s'il n'y a pas de pathologie, c'est... À la limite, parfois même encore plus culpabilisant, parce que du coup, on a l'impression que tout va bien, mais que ça ne fonctionne pas, et que du coup, c'est de notre faute, si c'est le cas. Je t'invite d'ailleurs à aller réécouter l'épisode juste avant, je pense que c'est l'un des derniers épisodes où je te parle justement de culpabilité. Mais aujourd'hui, j'avais envie, au-delà de cette notion de culpabilité, vraiment de te parler des émotions, parce que je sais à quel point les émotions dans ce parcours, ça fait le yo-yo, c'est vraiment les montagnes russes, et que ce n'est pas toujours... évident d'être là-dedans et qu'on a vraiment super envie quelque part de transformer les émotions mais on ne sait pas trop comment, on ne sait pas trop quoi faire, on a envie de retrouver de l'apaisement, on a envie de retrouver de la sérénité mais en même temps on est prise dans un tourbillon et on ne sait pas trop comment en sortir. Alors aujourd'hui je vais te parler de plusieurs choses, je vais te parler de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles, je vais te parler d'un outil qui s'appelle le cadran émotionnel, je t'expliquerai d'où ça vient. aussi et puis surtout je t'expliquerai comment est-ce que tu peux faire pour transformer tes émotions. Alors, vraiment, j'insiste sur une petite chose, je fais toujours, toujours, toujours ce petit rappel à partir du moment où je parle des émotions, parce que tu le sais, si tu me suis depuis longtemps, tu le sais, si tu viens de me découvrir peut-être que c'est quelque chose que tu ne sais pas encore mais moi en tout cas il y a quelque chose avec lequel j'ai beaucoup, beaucoup de mal et c'est d'ailleurs quelque chose dont je ne veux pas entendre parler. J'ai beaucoup de gens, y compris dans les coachs et dans les thérapeutes, qui vont te parler de gestion des émotions. Et ça, pour moi, c'est vraiment quelque chose dont je ne veux absolument pas entendre parler. Parce qu'on ne gère pas une émotion comme on gère sa compta. Une émotion, c'est quelque chose qui se vit, qui se ressent, qui presque, on va dire, s'expérimente. Parce qu'il y a des émotions qu'on ne s'autorise pas forcément à expérimenter. Je pense notamment à la colère, mais pas que. Mais c'est parce que j'ai énormément de femmes qui, jusqu'ici, ne s'étaient pas autorisées à exprimer de la colère. C'est ça. Donc une émotion pour moi ça ne se gère pas, une émotion ça s'accueille. Donc, je ne te parlerai jamais ici de gestion des émotions, d'accord ? Je vais te parler d'accueil d'émotions, je vais te parler de transformation d'émotions, parce que c'est vrai que ce n'est pas toujours agréable quand on risque de bloquer sur un certain type d'émotion et qu'on aimerait finalement retrouver un peu plus de sérénité, de légèreté et qu'on n'y arrive pas. Donc voilà, ça oui, on va en parler, mais jamais je ne te parlerai ici de gestion d'émotions. Donc j'espère vraiment que c'est clair. Alors clairement... Parmi toutes les femmes que j'accompagne, et si je me replonge dans ma propre expérience à moi, puisque comme tu le sais, je suis aussi passée par là, vraiment, perso, pendant ces 4 ans et demi, j'ai vraiment oscillé entre espoir, parce que j'avais quand même vraiment l'espoir qu'un jour ça finisse par fonctionner, la frustration de me dire, en fait, tout a l'air d'aller bien chez moi, ce qui n'était absolument pas vrai, je le rappelle, j'avais un SOPK et l'endométriose, donc ça n'allait pas bien, mais en tout cas, c'est ce qu'on me disait. J'avais énormément de tristesse parce que les mois et les années passaient et il ne se passait toujours rien et que j'avais finalement l'impression que ça ne changerait jamais. Ce qui m'amenait aussi parfois à ressentir de la colère parce que j'en avais ras-le-bol d'avoir autour de moi des annonces de grossesse, parfois même de personnes qui n'en voulaient même pas, pour qui ce n'était pas forcément voulu ou qui n'étaient pas dans les conditions pour, etc. Bref, c'était parfois un petit peu compliqué à gérer à ce niveau-là. Et évidemment, énormément de culpabilité parce que... entre guillemets tout allait bien mais ça fonctionnait quand même pas. Donc évidemment je sais que toi aussi ce sont des choses que tu ressens probablement parce que je le vois tous les jours auprès des femmes que j'accompagne et d'ailleurs très souvent j'en ai qui me disent non non mais moi ça ça va je ressens pas trop. Et puis en fait quand je creuse je me rends compte que si évidemment qu'elles ressentent mais c'est juste qu'elles ne s'autorisent pas à mettre un nom déjà sur l'émotion qu'elles ressentent. Et puis, elle ne s'autorise pas à la ressentir parce que c'est une émotion qui, entre guillemets, est plus ou moins mal perçue. Alors, ça vient de plein de choses. Ça vient de notre entourage, de notre enfance, de notre éducation. Tu sais, avec des injonctions du style, t'es vilaine quand tu pleures, la colère, c'est pas beau, etc. Il y avait même des choses. Alors, je ne sais pas si tu as entendu ça aussi, mais tu sais, un petit peu des expressions de grand-mère. Alors, il y avait une expression qui disait, quand tu pleurais ou que tu étais en colère et que tu faisais une grimace, c'était... « Ah, si les cloches sonnent, tu vas rester comme ça. » C'est juste pour dire à quel point on a pu finalement diaboliser les émotions qu'on ressentait, alors qu'en réalité, ça fait juste partie des expériences de la vie, c'est tout, c'est comme ça, ça va passer. Mais voilà, en tout cas, on a grandi avec des injonctions, avec des représentations aussi, d'émotions acceptables, d'émotions pas acceptables du tout. Et bizarrement, dans les émotions pas acceptables du tout, il y a même des émotions qui sont... qui pourrait en tout cas être qualifiée de positive. Alors oui, je vais faire aussi un petit rappel ou un petit bémol, mais en tout cas, pareil, je t'ai dit tout à l'heure que pour moi, je ne gérais pas les émotions, c'est pareil. Pour moi, il n'y a pas d'émotion positive ou négative. Une émotion, elle est point, d'accord ? Une émotion, elle est là pour te faire ressentir une information. Il n'y a pas de positif ou de négatif, d'accord ? Donc ici, je mets volontairement l'expression plutôt positive pour dire, par exemple, quand tu ressens de la joie, Ok, de l'euphorie, attention à ne pas faire trop de bruit, d'accord ? N'explose quand même pas trop de joie, parce que ce n'est pas très bien vu, d'accord ? Donc tu vois que les émotions finalement, elles peuvent venir... On a tous en fait une histoire avec les émotions, et que ça vient de plein de choses, comme je te le disais, l'éducation, l'environnement, etc. Qu'il y a des émotions qui ont été cataloguées comme étant acceptables ou pas acceptables, etc. Donc forcément, toi, ton univers émotionnel, je vais l'appeler comme ça, tu t'es construit cet univers émotionnel sur base de tout ça, évidemment, de tout ce que tu as pu observer, entendre, etc. Et c'est bien normal. Alors, évidemment, des fois, on reste bloqué dans une catégorie d'émotions et ce n'est pas toujours évident. Et je vais t'expliquer pourquoi et d'où ça vient. Alors, je vais reprendre le principe de ce qu'on appelle les maisons émotionnelles. Alors, c'est Tony Robbins qui a vulgarisé ce concept-là. Je ne sais pas si tu connais Tony Robbins. C'est vraiment, je pense, l'un des coachs les plus célèbres. C'est un coach de personnalité aux États-Unis, etc. Il a coaché des grands joueurs, des grands artistes. Il a coaché plein de personnes, énormément de personnalités publiques, parce qu'il a un côté quand même assez people. Il remplit des salles énormes, d'ailleurs, dans des séminaires, des formations, etc. Alors, j'apprécie vraiment les concepts qu'il vulgarise parce qu'il est formé aussi à la PNL, donc la programmation neuro-linguistique. Et je trouve qu'il a vraiment un don extraordinaire pour rendre très simple et très concret des concepts qui pourraient sembler vachement compliqués au premier abord. Donc ça, j'aime beaucoup. Après, j'aime moins parce que j'ai participé à l'un des séminaires de Tony Robbins. C'était quatre jours. C'était un séminaire qui s'appelle Unleash the Power Within. Et en fait, j'ai payé ma place pour avoir quatre jours de formation avec Tony Robbins. Bon, la réalité du terrain, c'est que tu passes en réalité quatre heures avec Tony Robbins et non pas quatre jours. Mais ça, c'est un autre sujet. Je ne te parlerai donc pas d'éthique ici, mais je te parle en tout cas des concepts qu'il a vulgarisés et que j'ai trouvé très intéressants. Donc, c'est vrai que Tony Robbins va te parler de maison émotionnelle. Et en réalité, c'est quoi ? Ce sont des émotions dans lesquelles tu vas avoir tendance à revenir naturellement. Il va dire que ce sont les émotions, quelque part, dans lesquelles tu habites le plus souvent. Et c'est vrai que tu as des personnes qui vont vivre de manière permanente ou presque, dans la frustration, dans la tristesse, parce que ça fait presque partie de leur forme de personnalité, alors que d'autres vont être beaucoup plus dans la gratitude, dans l'enthousiasme, même quand il y a des moments compliqués. Donc c'est vrai qu'on a ce qu'on appelle des maisons émotionnelles, des émotions un peu refuge dans lesquelles on va le plus souvent. Alors déjà, la première chose que je t'invite à te poser comme question, c'est c'est quoi l'émotion que je ressens le plus souvent ? Dans quelle maison, finalement, est-ce que j'habite la plupart de mon temps ? Est-ce que tu vis principalement dans la maison de la peur, dans la maison de la colère, dans la maison de la culpabilité, de l'impuissance ? Voilà, peu importe, à toi de réfléchir et de... poser la question de savoir dans quelle maison émotionnelle est-ce que tu habites le plus. L'idée c'est quoi ? C'est d'identifier où tu es et d'aller choisir une maison émotionnelle qui est plus ressourçante, d'accord ? Qui va vraiment te permettre de te sentir mieux au quotidien. Et c'est là aussi que le cadran émotionnel entre en jeu. Alors pareil, le cadran émotionnel Ça a été finalement, quelque part, on l'attribue souvent à Tony Robbins, mais ce n'est pas Tony Robbins qui en est le créateur, mais c'est vraiment lui qui l'a à nouveau popularisé. Parce qu'en réalité, ce cadran émotionnel s'est inspiré de travaux de plein de chercheurs qui sont des chercheurs dans le domaine de la psychologie, des neurosciences, etc. Mais c'est vrai que c'est un concept qui a été à nouveau vulgarisé finalement par Tony Robbins. Ce cadran émotionnel-là, c'est un cadran. Il y a forcément donc quatre parties. En réalité, il y a deux axes principaux. Donc tu mets une abscisse, une ordonnée, et puis tu vas voir qu'effectivement, d'un côté, tu vas avoir le niveau d'énergie. Est-ce que c'est une énergie qui est plutôt haute, donc active, intense ? Ou est-ce que c'est une énergie qui est basse, qui est plutôt au ralenti, épuisée ? Voilà, c'est une émotion où on est plutôt vraiment dans un niveau d'énergie qui est très très bas. Et alors, on va avoir le ressenti, bien sûr. D'un côté, tu vas avoir les émotions qui sont agréables et de l'autre, désagréables. Donc, un exemple en énergie haute et agréable, tu vas avoir de l'excitation, de la joie, de l'euphorie, de la détermination, de la gratitude. Tu vas avoir plein, plein, plein d'échelles finalement à l'intérieur de cette énergie. Mais on sait déjà que ça, ce sont des énergies hautes et que c'est plutôt sympa à ressentir. D'accord ? Donc là, on est haut et agréable. Ensuite, tu vas avoir aussi une énergie... haute, mais par contre, c'est plutôt désagréable. Donc là, on va être sur de la colère, de la frustration, de l'énervement. On va vraiment être dans ce type d'émotion. On sait quelque chose d'énergique, mais c'est pas agréable à ressentir. On va alors avoir ensuite des énergies qui sont basses. Et donc là, on va avoir d'un côté, du côté agréable, on va avoir des émotions comme la sérénité, le calme, la confiance. On va être sur des émotions qui sont vachement sympas à ressentir, mais où finalement, c'est vrai que d'un point de vue énergique, on est quand même relativement bas. Pareil, dans les énergies basses, on va aussi avoir un côté désagréable, qui va être plutôt de la tristesse, du découragement, de l'impuissance, de la résignation. On est vraiment sur des énergies qui ne sont pas cool à ressentir, mais pour lesquelles on se sent un peu comme vidé, en fait, tu vois. Alors, de manière générale, c'est quand même intéressant de voir qu'on a plus ou moins tendance à se trouver d'un côté ou de l'autre du cadre. De manière générale, moi, je pense que c'est aussi lié à ma personnalité, mais j'ai une personnalité qui est quand même relativement énergique, et donc, je vais me retrouver assez facilement sur des énergies qui sont hautes. Alors, de manière générale, je pense que j'ai aussi une personnalité qui m'amène à être plus ou moins dans des... d'un côté principal d'émotion qui est plutôt positif. Après, évidemment, je me rends compte que j'ai plus de mal d'aller dans les énergies basses, par exemple. Alors de nouveau, j'insiste sur une chose, ce cadran, il n'y a aucun bon ou mauvais côté, d'accord ? Il y a un côté agréable, un côté pas agréable, il y a un côté haut, il y a un côté bas, mais il n'y a aucune émotion qui est bonne ou pas bonne à ressentir, d'accord ? Mais en fait, quand j'ai dessiné sur une feuille, tu vois, ce cadran, et en fait, j'ai commencé à recenser finalement les émotions que je ressentais le plus, et bien finalement, de mon côté en tout cas, je vais être plus vite dans des émotions qui sont énergiques. Que ce soit agréable ou pas agréable, ça veut dire que je peux ressentir autant d'excitation, de joie, etc. que de colère, d'agacement, etc. Donc on est vraiment sur des émotions qui sont hautes. Maintenant, j'ai... pour ma part, beaucoup plus de mal d'aller dans des énergies qui sont plus basses. Alors avec les années et l'expérience, évidemment, ça change, ça évolue beaucoup. Mais au moment où j'étais dans ce parcours, c'était compliqué pour moi d'être dans les émotions basses. Alors évidemment, ça m'arrivait et du coup, j'étais complètement perdue parce que je ne comprenais pas ce qui m'arrivait. Mais le fait d'avoir compris cet exercice-là, ça a été une jolie révélation parce qu'en réalité, pour finalement être totalement à l'aise, avec ses émotions, on devrait être capable de naviguer sur les quatre parties de ce cadran. Mais la réalité fait que ce n'est pas ça. La réalité fait qu'au quotidien, on va plutôt être dans une partie du cadran et que c'est plus compliqué d'aller naviguer sur les autres. Alors, ça ne veut pas dire qu'on ne le fait jamais, mais ça veut dire que quand on y est, on est perdu parce qu'on ne sait pas trop comment réagir dans ces moments-là, tu vois. Et c'est vrai que moi qui suis plutôt, comme je te disais, du côté haut, les fois où je me retrouvais complètement... dans ce que t'es énergie basse où je me sentais épuisée, découragée, complètement triste, impuissante, en fait j'avais pas l'habitude et donc je savais pas quoi faire et j'étais complètement perdue, je comprenais pas ce qui m'arrivait en réalité, tu vois. Et donc ça c'est important aussi de comprendre qu'en réalité il y a quatre parties à ce cadran et que tu devrais pouvoir naviguer d'une partie à l'autre sans que ça ne t'accable parce qu'en réalité tu connais les émotions et tu sais que tu peux passer d'une partie à l'autre du cadran. Alors, ce qui est important quand même, c'est juste de dire une chose. C'est que, alors déjà, identifie où est-ce que tu te trouves la plupart du temps. Et ensuite, essaye de voir quelle est l'émotion que tu aimerais ressentir un peu plus. D'accord ? Alors, je dis un peu plus. Pourquoi ? Parce que si tu parles d'une émotion qui est très intense, je vais prendre par exemple l'émotion colère, tu te sens vraiment très forte. très fortement en colère, tu t'es agacé, irrité, t'en as marre, t'es en colère, tu sais, t'as vraiment un sentiment d'injustice qui t'anime, tu ne vas pas passer de ce sentiment-là à un sentiment de sérénité du jour au lendemain. Qu'est-ce que je veux dire par là ? C'est que tout simplement, si tu dois aller dans un immeuble et que tu veux aller au dixième étage, eh bien pour pouvoir aller au dixième étage, tu vas commencer par prendre l'ascenseur ou les escaliers comme tu veux, mais tu vas arriver à l'étage numéro 1, numéro 2. numéro 3 et ainsi de suite, avant d'enfin attirer à l'étage numéro 10. D'accord ? C'est exactement la même chose pour tes émotions. Il y a besoin, quelque part, de palier d'étapes intermédiaires. Tu ne vas pas te retrouver d'une posture de tristesse, d'épuisement, de découragement, à une émotion de totale euphorie. Ce n'est pas possible. D'accord ? Il y a vraiment des étapes intermédiaires pour arrêter justement de faire le yo-yo. Et c'est comme ça qu'on arrive à naviguer plus facilement sur ce cadran. Alors j'aimerais justement te rappeler quelque chose, c'est que tes émotions, en réalité, elles viennent de tes pensées et certainement pas des faits ni des situations. Ce qui va créer une émotion, c'est pas la situation en elle-même, c'est l'histoire que tu vas te raconter autour de cette situation. Je te donne un exemple, si le test de grossesse que tu fais ne te donne pas le résultat que tu veux, en réalité c'est pas le test de grossesse, c'est la... projection que tu te fais autour de ça en te disant ça marchera pas et je mérite pas d'être mère et je suis pas faite pour y arriver et ça marche pour les autres mais pas pour moi, etc. Tu vois ? En gros, c'est pas tellement le test de grossesse parce que le test de grossesse, si je te disais, ok, ce mois-ci il est négatif mais le mois prochain il sera positif, en réalité c'est pas tellement le test de grossesse qui pose problème mais c'est toute l'histoire que tu te racontes autour, tu vois ? Donc vraiment, c'est super important de te dire, c'est... D'avoir conscience que c'est vraiment tout le discours que tu vas te raconter autour de ça qui va changer la donne, et qui va t'amener à ressentir telle ou telle émotion. Ce sont vraiment tes pensées qui t'amènent des émotions, ce ne sont pas les situations en tant que telles. J'aimerais vraiment te rappeler que tu as le choix du scénario que tu te racontes en réalité. Quand ça t'arrive, identifie le fait, vraiment identifie le déclencheur, j'ai envie de dire. Mais à côté de ça, identifie surtout l'histoire que tu te racontes autour de ça. T'as croisé une femme enceinte, ça t'a mis vraiment un énorme coup au moral, tu te sens complètement abattue, triste, ok. C'est pas la grossesse de cette personne-là. La grossesse de cette personne-là, elle ne t'enlève en rien la possibilité d'être enceinte à toi. Il n'y a pas un nombre de... Enfin, il n'y a pas un quota à respecter de femme enceinte en même temps, on est bien d'accord. Donc, en réalité, ce n'est pas de nouveau la grossesse de cette personne, c'est qu'est-ce que toi, tu te racontes par rapport à ça, tu vois ? Et donc, pose-toi la question de savoir c'est quoi que tu te racontes autour de ça et demande-toi si c'est vraiment vrai. Si tu te dis oui, mais en gros, je ne suis pas faite pour être mère, mais qu'est-ce qui t'amène à cette conclusion-là ? Vraiment, et réfléchis un petit peu aux gens. Alors, je vais dire que tu connais réellement ou que tu connais via, j'en sais rien, moi... de la presse ou des choses comme ça. Je pense que des situations dramatiques familiales, on en voit tous les jours dans la presse. Raison pour laquelle je ne lis pas les mauvaises nouvelles. Mais voilà, repense à tout ça et demande-toi si ces personnes-là étaient vraiment méritantes. Tu vois, si vraiment ces personnes-là méritaient d'être parents. Voilà, non. La réponse, c'est non. Donc, il n'y a pas de raison que toi, tu ne mérites pas d'être maman. Tu vois ce que je veux dire ? Va chercher un petit peu. Est-ce que c'est vraiment vrai, ce que je me rappelle ? Et tu vas voir que la réalité, c'est que non. Et si ce n'est pas 100% vrai, c'est que c'est non. Mais il faut vraiment que tu gardes ça en tête. Et vraiment, ce que je t'invite, et c'est vraiment cadeau ce que je te donne aujourd'hui, c'est trois stratégies finalement pour changer tes émotions. La toute première, c'est de changer ton langage intérieur. Remplace les expressions du style « Ah, mais moi, je n'y arriverai jamais avec. Je suis capable de trouver une solution. » Parce que les mots vont influencer ton état émotionnel. La deuxième stratégie, c'est de changer ta physiologie. Sois un peu attentive à la manière dont tu te tiens. Je donne toujours cet exemple-là parce que ça me parle, mais prends l'exemple de qui tu veux. Je vais te prendre l'exemple de Beyoncé, mais tu prends Taylor Swift, tu prends qui tu veux et tu les imagines arriver sur une scène de concert. Est-ce que tu crois vraiment qu'elles vont arriver, les épaules basses ? Les bras qui pendouillent en étant finalement pas très sûrs d'elles. Non, évidemment, parce qu'elles vont faire le show. Alors, on ne sait pas comment elles étaient cinq minutes avant. Ça, ce n'est pas mon problème. Mais ce que je veux dire, c'est qu'à partir du moment où elles arrivent sur scène, elles ont une posture de queen. Vraiment, elles vont prendre la scène et c'est telle. C'est exactement la même chose, toi, dans ton quotidien. Pose-toi la question de savoir comment tu te tiens quand tu ressens des émotions. Et en réalité, ta physiologie va impacter ton état émotionnel. Si tu fais la gueule, que tu as les épaules basses, le dos voûté, etc., tu vas avoir plus tendance à ressentir des émotions qui sont basses et désagréables. Quand tu te tiens droite, la tête haute, les épaules basses, le dos vraiment bien droit, tu sais, un petit peu comme si tu avais un fil qui te tenait au-dessus de la tête et qui t'amenait vraiment à avoir une super posture vraiment bien droite et que tu avais vraiment un ressenti aussi d'ancrage dans le sol. tu vas voir que dans ces moments-là, tu vas avoir une posture qui est évidemment beaucoup plus énergique, beaucoup plus ancrée. Et donc dans ces moments-là, la confiance en toi va revenir et donc tu vas être plus à même de ressentir des émotions qui sont agréables. Donc pense vraiment à changer ta physiologie et à observer comment tu te tiens au quotidien et tu vas voir que ça peut tout changer. Donc quand tu te rends compte justement que la posture, ce n'est pas la posture de la nana qui est... confiante, qui sait qu'elle va y arriver, qu'elle va trouver des solutions. Tu mets un morceau de musique, tu mets quelque chose, mais tu me changes cette physiologie tout de suite, vraiment. Et puis enfin, la troisième stratégie, c'est de prendre des actions concrètes. Ce qui nous met finalement un peu dans un état d'émotion basse, mais pas très agréable, très souvent, c'est le sentiment un peu d'inaction. Je vais préciser ce que j'entends par inaction. Ce n'est pas que tu ne fais rien au quotidien, on est bien d'accord là-dedans, mais c'est que tu as l'impression de ramer dans le vide, tu as l'impression de faire des choses qui ne sont pas forcément utiles parce que ça ne t'amène pas le résultat que tu veux, parce que tu as l'impression finalement de faire du surplace. Les autres avancent, le temps défile, mais toi tu fais du surplace. Et donc ce qui est important dans ces moments-là, c'est finalement de poser des actions. Pourquoi ? Parce que ça peut être une mini action, ça peut être une balade, ça peut être le fait de préparer un repas qui est super équilibré, ça peut être de te faire un soin visage, tu peux te le faire toute seule. Alors pitié, sans perturbateur endocrinien dans les produits, attention. Mais voilà, tu vois, une petite action, c'est déjà des choses où tu vas avoir le sentiment de te reprendre en main. Et en fait, plus tu vas agir, plus tu vas reprendre du pouvoir sur tes émotions, mais en réalité, c'est parce que tu vas reprendre le pouvoir sur tes... pensées. Et plus tu reprends le pouvoir sur tes pensées, in fine, ça a des répercussions un peu en cascade sur les émotions que tu vas ressentir. Alors si vraiment, ça tu vois que le fait de poser des actions concrètes, c'est quelque chose qui te manque parce que tu as l'impression de pédaler dans le vide, tu as l'impression de faire des choses mais tu n'es pas certaine que ce soit dans le bon sens parce que tu ne vois pas forcément de résultat, vraiment je t'invite à rejoindre le booster éclosion. Alors attention parce qu'on démarre tout début mars, d'accord ? Donc vraiment si tu écoutes cet épisode de podcast, ne tarde pas à t'inscrire parce qu'une fois que la date arrive... Les inscriptions sont clôturées et c'est terminé, d'accord ? Il n'y aura pas de retardataire admise, c'est vraiment maintenant. C'est un peu la même chose que le coaching éclosion, mais on va dans une formule un peu plus courte. On va finalement passer trois mois ensemble, mais c'est trois mois au cours desquels je vais vraiment pouvoir me pencher sur toi, sur ton parcours, sur tes analyses, si j'arrive à le dire. C'est pas facile, mais je vais vraiment justement aller... Je vais creuser en fait, je vais faire des choses que personne n'a jamais fait jusqu'à maintenant avec toi, je vais te donner des choses, vraiment un plan d'action concret, simple, efficace à mettre en œuvre, mais pour vraiment te permettre de maximiser tes chances de grossesse, pour te permettre de comprendre ce qui se passe à l'intérieur et que tu puisses prendre les bonnes actions pour toi. Pendant ces trois mois, je te garantis que ton état d'esprit va être complètement transformé. Donc c'est maintenant, n'attends surtout pas, si tu veux commencer par poser une action, et bien c'est celle-là. On se retrouve vraiment au sein du coaching, enfin du booster éclosion, et où on va passer trois mois à travailler sur tes essais bébés pour que vraiment on puisse mettre ensemble, toi et moi, toutes les chances de ton côté. Donc tu vas trouver le lien évidemment dans la description de cet épisode. Ne tarde pas, d'accord ? Parce que j'insiste, il n'y aura pas de retardataire. Donc je sais que parfois, on hésite, on ne sait pas trop, on se dit oui, peut-être. Ne te dis pas que tu vas rejoindre la prochaine cohorte parce qu'en réalité... Peut-être que j'en lancerai une en octobre, mais ça c'est dans le meilleur des scénarios, ce serait vraiment au plus tôt. Mais je n'ai absolument aucune certitude de relancer ce booster éclosion en octobre. C'était une date où je m'étais dit oui peut-être, mais il n'y a pas de certitude. Et en attendant, c'est de te dire que finalement, là au moment où j'enregistre cet épisode, on est en février, ça veut dire que tu es prête à attendre jusqu'à octobre au plus tôt pour changer les choses. Et enfin, pour moi, c'est un non négociable. En fait, c'est juste de dire non. En fait, c'est maintenant. Pas question de perdre encore des mois supplémentaires. Donc, si tu veux vraiment avancer, c'est maintenant. D'accord ? Donc, ne tarde pas, inscris-toi. Je t'invite vraiment à découvrir le lien qui est dans la description de cet épisode. Et on se retrouve très vite pour que je puisse me pencher sur tes essais bébés, sur tout ton parcours. Encore une fois, je te rappelle que tu n'es pas condamné à subir, que ce soit tes émotions, ton parcours. parcours, tu peux mettre des choses en place et que en comprenant, ça change tout. C'est ce qui fait vraiment toute la différence. Donc, encore une fois, ne laisse pas ton parcours être plus difficile qu'il ne le doit. Il n'y a pas de raison pour ça. On se retrouve très bientôt, j'espère au sein du Booster Éclosion et je te dis à très vite et d'ici là, prends soin de toi. Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux aller plus loin et bénéficier de plus de conseils, télécharge maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr Pour encourager ce podcast, merci de mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute. Je te dis à très vite pour un prochain épisode.

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