Speaker #1Hello, j'espère que tu vas bien. Écoute, de mon côté en tout cas, ça va super bien. Au moment que j'enregistre cet épisode, je suis en plein dans la finalisation de la préparation de ce qui va se passer sur Paris le 26 avril. Et c'est vrai que je t'avoue que je trouve ça juste incroyable. J'ai vraiment, vraiment plus que hâte. Donc, si tu trouves le lien qui est dans la description de cet épisode, vraiment inscris-toi parce que mon Dieu, mais ça va être une journée juste incroyable. Donc, tu ne peux pas rater ça. Tu ne peux pas louper cette journée sur Paris. Inscris-toi, ça va juste être un moment complètement dingue. Et c'est vrai que ça me remplit évidemment de joie, mais c'est un sentiment aussi d'excitation parce que c'est quelque chose de nouveau évidemment, mais c'est aussi quelque chose que j'aime. Ça va vraiment associer la pleine puissance du partage de conseils avec le côté humain, le côté relationnel. C'est vraiment quelque chose que j'adore, donc j'ai vraiment très très hâte d'y être et je suis super impatiente. Donc vraiment, inscris-toi si ce n'est pas déjà fait. Ici, aujourd'hui, c'est un épisode un petit peu différent parce que j'avais envie de te partager une histoire. C'est une histoire toute simple. C'est un peu comme un conte, mais je trouve qu'elle a vraiment cette histoire, quelque chose de très, très, très profond. Surtout quand on est en plein dans ce parcours de fertilité et je suis sûre que ça va faire écho en toi. Alors si tu es prête. eh bien je t'emmène en voyage avec moi dans ce conte. Installe-toi confortablement, ou en tout cas, sois concentré sur ce que je vais te raconter. Et puis tu me diras d'ailleurs dans les retours de cet épisode de podcast si l'histoire que je vais te raconter maintenant a du sens pour toi. On raconte qu'un soir, un homme du nom de Nasreddin cherchait quelque chose sous un réverbère. Il était à quatre pattes, en train de fouiller le sol. Un voisin passe et lui demande « Mais que fais-tu là ? » Et Nasreddin répond « J'ai perdu mon aiguille, alors je la cherche. » Le voisin compatissant se met à chercher avec lui. Puis d'autres personnes arrivent. Elles aussi se mettent à chercher. Et au bout d'un moment, quelqu'un lui demande « Mais est-ce que tu es sûr de l'avoir perdu ici ? » Et là, Nasreddin répond « Ah non, non, pas du tout, je l'ai perdu chez moi. » Mais les étonnés, les gens s'exclament « Mais pourquoi est-ce que tu cherches ici alors ? » Il répond tout simplement « Parce qu'ici, il y a de la lumière. » Et tu sais quoi ? Je crois vraiment, vraiment, vraiment dans les parcours de fertilité. Quand on est en essai bébé, eh bien souvent on fait pareil. On cherche un peu là où il y a de la lumière. On va chercher là où c'est visible, là où la médecine regarde, là où les protocoles existent, là où les examens peuvent analyser, mesurer. Mais parfois, l'aiguille, ce n'est pas là qu'elle se trouve. Et parfois, ce qui coince, c'est dans un endroit qu'on va moins regarder. Et c'est vraiment important. et je sais que cette histoire, alors moi elle m'avait beaucoup touchée la première fois que je l'ai entendue, c'était il y a très longtemps et cette histoire là elle m'avait touchée parce qu'en fait elle a l'air d'être peut-être même à la limite de l'absurde en disant mais enfin si c'est pas là que tu l'as perdue pourquoi est-ce que tu cherches ici ? mais en fait finalement elle n'est pas tant que ça parce que dans le quotidien c'est aussi parfois ce qu'on a tendance à faire sans même s'en apercevoir et j'ai trouvé que souvent la fertilité en tout cas c'est une bien belle illustration de cet exemple-là, de cette histoire. Parce qu'encore une fois, on cherche là où il y a de la lumière. Et qu'est-ce que j'entends par là ? C'est qu'on a mis de la lumière, par exemple, sur un SOPK, ou on a mis de la lumière sur de l'endométriose. Mais finalement, est-ce que c'est vraiment ça ? Je n'en suis pas toujours certaine. Je pense que c'est un facteur parmi tant d'autres. Mais que tant qu'on n'a pas eu cette vision globale, cette approche... qui se veut à la fois au niveau de la physiologie, oh c'est pas facile à dire, physiologie globale du corps, mais aussi au niveau émotionnel, au niveau énergétique. Il y a tellement de choses à regarder, à découvrir, qu'on ne peut pas se contenter de regarder uniquement là où il y a de la lumière. Et c'est ça qui est important, parce que c'est vrai que, déjà au niveau de ton corps, souvent on cherche au mauvais endroit, ou on se contente d'un seul, c'est pas forcément un mauvais endroit, mais c'est... Un seul endroit alors qu'en réalité, il y en a plein d'autres. Et puis, on ne va pas chercher suffisamment dans ton parcours, dans ton histoire à toi, dans tes émotions, dans ta manière de vivre, ta féminité, ta maternité, ton rapport à toi-même, ton rapport avec le travail, etc. En fait, je ne dis pas que c'est forcément une chose, pas du tout. Et je pense que c'est justement là qu'est toute la richesse d'un accompagnement global, c'est qu'on va regarder partout en réalité, pas juste là où il y a de la lumière. Parce qu'en réalité, il y a énormément de choses que la lumière n'éclaire pas forcément, parce que ça nécessite d'aller explorer un peu des parts d'ombre, ça nécessite d'aller creuser un peu, tu vois. Mais je trouve ça tellement, tellement important et en même temps tellement enrichissant, tu vois, parce que souvent on passe ce parcours et je ne te jette pas la pierre si tu es dans le cas, parce que vraiment, moi, c'est le sentiment que j'ai vécu, c'est que ce parcours pour moi a duré quatre ans et demi. Alors c'est court, c'est long, évidemment ça va dépendre du parcours de chacune. Si ça fait six mois que tu es en essai et que tu m'écoutes, tu vas me dire « Oh là là, quatre ans et demi, mon Dieu ! » Mais en même temps, si derrière toi tu as un parcours de dix ans, tu vas dire « Oui, bon, ça va, quatre ans, voilà ! » Donc forcément, la notion de temps, elle est toute relative. En tout cas, pour ma part, ça m'a semblé horriblement long. Mais tu vois, sur ces quatre années et demie, parce que oui, les demies, ça compte, eh bien sur ces quatre années et demie, en réalité, je pense avoir passé vraiment quatre ans. À côté de mes pompes, à côté de mon parcours. Alors oui, j'étais pourtant bel et bien là. J'ai vraiment, hélas, tout vécu. Ces examens, ces rendez-vous médicaux, vraiment à la chaîne, etc. Toutes ces choses qui n'étaient vraiment pas très cool. Et en même temps, j'ai eu vraiment l'impression qu'on cherchait justement uniquement là où il y avait de la lumière. Et encore, on n'a pas cherché tant que ça finalement. Mais même quand on cherchait, ça restait très superficiel finalement. Alors... Pourtant, avec des examens tellement invasifs, il n'y avait pas d'approche globale qui était prise en compte. On s'est contenté d'explorer la superficie et je pense que j'aurais pu encore attendre longtemps si je n'avais pas par moi-même décidé de changer les choses et de mettre en place justement cette approche globale. Je pense que ça a été le fruit du hasard des rencontres. Alors je ne vais pas te paraphraser le scribe dans Astérix, le hasard des rencontres, si ça parle à certaines. Mais c'était un peu ça, parce que je pense que vraiment pour moi ça a été le hasard des rencontres qui m'ont mis certaines choses sur le chemin. Et c'est ce qui m'a permis finalement de comprendre tellement de choses en peu de temps. Aussi parce que j'avais cette expérience de quatre années évidemment de parcours derrière moi. Mais je trouve ça tellement tellement dommage de devoir en passer par tout ça. en sachant que finalement quand on a toutes les clés plus rapidement non seulement on gagne un temps précieux mais en plus on vit les choses complètement différemment et ça nous permet finalement de se rencontrer en chemin moi c'est vraiment le sentiment que j'ai eu c'était de me trouver finalement en chemin et de remettre les choses à leur place donc je t'invite vraiment aujourd'hui toi à te poser une vraie question vraiment je t'invite juste à te demander où est ce que toi tu cherches ton aiguille à toi Est-ce que tu la cherches uniquement là où il y a de la lumière ? Est-ce que tu la cherches là où tout le monde te dit de chercher ? Ou est-ce qu'il est temps d'aller explorer un peu plus loin, de faire un pas vers toi, vers ton histoire, vers ton corps, de façon un petit peu différente ? Et si c'est le cas, si ce que je te dis résonne, si ça a du sens pour toi, je t'invite à me faire un signe, à venir rejoindre soit le programme Fertility, si tu préfères avancer en toute autonomie, soit le programme de coaching Éclusion. où là on va le faire ensemble et où en plus tu vas intégrer une véritable sororité. Parce que je sais que souvent ce qu'on cherche désespérément à l'extérieur, eh bien souvent on oublie de regarder un endroit qu'on a oublié, c'est-à-dire à l'intérieur de nous, parce qu'on ne nous a pas appris à regarder à cet endroit-là. Et j'ai justement envie de te permettre d'assembler les pièces de ton puzzle plus facilement pour que tu puisses chercher en réalité là où c'est nécessaire et pas juste là où il y a de la lumière. Donc si vraiment mon discours te parle, si tu sens que ça t'appelle, je t'invite vraiment à me rejoindre, à m'envoyer un petit message, à me faire ton retour aussi par rapport à cet épisode de podcast. J'adore vous lire, c'est vraiment quelque chose que je trouve terriblement précieux. Je reprendrai d'ailleurs la lecture de plusieurs témoignages très prochainement parce que j'en reçois beaucoup. Mais c'est vrai que j'oublie de vous citer parce que alors qu'en réalité, il y a tellement, tellement de messages qui me parviennent par rapport à ces podcasts. que je le ferai vraiment très prochainement et avec plaisir. Mais en tout cas, si cette histoire d'aiguille résonne en toi, si ça a du sens, je t'invite vraiment, vraiment à me contacter, mais à ne surtout pas continuer à chercher juste là où il y a de la lumière, parce que c'est pas là que tu vas trouver les choses. Donc, on se retrouve très bientôt et d'ici là, prends soin de toi. À très vite.
