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Positive - Fertilité, émotions, PMA

SOPK : Exploration de la pathologie et des significations émotionnelles

SOPK : Exploration de la pathologie et des significations émotionnelles

11min |03/07/2024
Play
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11min |03/07/2024
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Description

Dans cet épisode, on plonge au cœur du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), une pathologie complexe qui affecte en moyenne 1 femme sur 10.
Nous allons au-delà des symptômes physiques pour la signification émotionnelle profonde. Cet épisode vise bien sûr à offrir une meilleure compréhension du SOPK mais aussi à apporter du réconfort à celles qui naviguent à travers cette réalité complexe.



➡️ Rejoins Fertility Summer pour booster ta fertilité cet été !


…………………………………………………. 

➡️ Programme d'accompagnement

➡️ Programme Survivre aux deux semaines d'attente (post FIV)

Télécharge mon guide offert surwww.positivemindattitude.fr 

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Découvre mes livres :

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Retrouve-moi sur :



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude, bienvenue sur ce podcast couleur de l'été. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. En période estivale où tout est à l'arrêt ou presque, j'ai décidé de redoubler d'efforts pour t'accompagner. Et bien sûr, si tu veux profiter de l'été pour agir et mettre toutes les chances de ton côté pour la rentrée, rejoins dès maintenant le programme en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour !

  • Speaker #1

    Le syndrome des ovaires polycystiques, qu'est-ce que c'est ? C'est en fait un ensemble de signes qui sont causés par un déséquilibre hormonal. Ça se caractérise comment ? Ça se caractérise par une augmentation inhabituelle de la production d'androgène, c'est-à-dire que c'est de la testostérone, ce sont des hormones mâles, et cette production se fait dans les ovaires. Donc il y a une surproduction d'hormones mâles au niveau des ovaires. Les principaux symptômes, c'est quoi ? Ce sont évidemment les cycles irréguliers, et les cycles irréguliers, quand je dis irréguliers, c'est vraiment totalement anarchique. Ça peut être effectivement des cycles de 40 jours à peu près, mais ça peut aller jusqu'à des cycles de 100-120 jours. C'est le syndrome des ovaires polycystiques selon le stade dans lequel on est. selon la gravité du syndrome, les cycles peuvent vraiment être occasionnels. Un des symptômes également, c'est la perte de cheveux. Les personnes qui sont atteintes du syndrome de Zover-Pulitistik perdent énormément leurs cheveux. Paradoxalement à ça, elles souffrent d'une hyperpilosité, d'acné, de peau grasse. Ce sont des symptômes principaux. On peut aussi avoir des apnées du sommeil, on peut avoir plein de choses. Voilà, ce sont les principaux symptômes, ça ne veut pas dire qu'on les cumule forcément tous, mais dans certains cas ça peut être le cas. Alors, qu'est-ce qui se passe par rapport à ce symptôme des ovaires polycystiques ? C'est que, de façon générale, au début d'un cycle menstruel, chaque ovaire va contenir normalement 5 à 10 follicules, des petits. Ça c'est au début du cycle. un seul d'entre eux, donc il y a un seul de ces follicules qui va devenir, qui va permettre finalement la libération d'un ovocyte fécondable, d'accord ? Donc un seul par cycle, sans simulation, on est d'accord, je parle bien ici d'un cycle naturel. Dans le cadre du SOPK, qu'est-ce qui se passe ? Eh bien, c'est qu'il y a une maturation folliculaire qui ne va pas aller au bout. Pourquoi ? Parce qu'il y a des hormones mâles qui viennent un peu court-circuiter la maturation des follicules. Et donc, du coup, on va se retrouver avec tout un tas de stocks, finalement, de follicules immatures qui vont s'accumuler et qui ne vont pas permettre à un seul d'entre eux d'évoluer vraiment vers un stade d'ovocyte. Donc, on va parler clairement, ça fout en l'air l'ovulation. Voilà, ni plus ni moins. Donc, pour qu'on puisse vraiment parler de syndrome d'ovaire polycystique, en général, on considère qu'il faut au moins une vingtaine de petits follicules. Donc, c'est déjà bien plus du double de chez quelqu'un qui n'est pas atteint de ce syndrome-là. D'accord ? Et en général, on parle de diamètre inférieur à 9 mm. Donc tu vois, ça montre bien que les follicules, ils ne vont pas au bout. On n'arrive pas à les avoir correctement jusqu'au bout. Mais comme ça, tu as une idée de ce qu'est ce syndrome. Alors, quel est le lien avec le poids ? Eh bien, il faut savoir que comme tu vas sécréter plus d'androgènes, donc cette testostérone, ces hormones mâles, eh bien, ça, ça va favoriser le développement d'un surpoids. Et donc, qu'est-ce qui va se passer ? Eh bien, c'est que tu vas développer ce qu'on appelle une insulinoresistance. Ça veut dire que l'insuline qui est sécrétée par le pancréas... n'est plus suffisamment active, tu vois. Donc ça, c'est vraiment important. Alors, ce qui se passe, c'est que la première chose, c'est qu'il y a des recommandations alimentaires par rapport à ça. La première chose, puisque tu es dans une insulino-résistance quand tu es atteinte de ce syndrome-là, la première chose à faire, c'est évidemment de réduire la consommation de sucre et évidemment, surtout, surtout, surtout, le sucre industriel. Ça, c'est vraiment super important. les sucres naturels qui sont contenus dans les fruits, etc., ça n'a pas du tout le même impact. On est bien d'accord. Donc privilégiez vraiment des sucres naturels plutôt qu'industriels. Ensuite, c'est de se dire que tu peux manger du son d'avoine aussi. C'est vraiment très intéressant de manger du son d'avoine. Ça ne coûte deux fois rien. Tu peux acheter ça sur quasi-demi, dans des magasins bio, etc. Le son d'avoine, ça ne coûte deux fois rien et ça permet de contrer justement cette insulino-résistance. Et surtout, c'est misé sur des épices, des graines comme la cannelle, le clou de girofle. Le fenugrec, le piment de Cayenne, le gingembre et le curcuma. Alors moi qui adore évidemment le Golden Latte, c'est excellent quand tu as le syndrome des ovaires polycystiques parce que ça vient justement tempérer cette insuline aux résistances. Ça vient réguler si tu veux le taux de sucre dans ton sang. Donc le Golden Latte c'est simplement un lait végétal avec du miel. du curcuma, du gingembre, de la cannelle, du poivre, parce que c'est ce qui permet au curcuma de sortir toutes ses propriétés, d'accord ? Et c'est très très bon. Et donc une petite cuillère de miel dans ce lait végétal, comme ça, chaud bien sûr, c'est juste une tuerie. Donc vraiment, ça te permet d'utiliser quand même pas mal d'épices, parce que tu as vu que rien que là-dedans, il y en a déjà trois qui apparaissent. tu peux mettre du piment de Cayenne, en toute petite quantité, mais voilà, ça permet vraiment de traiter cette résistance à l'insuline, et c'est juste très très bon. Donc le matin, n'hésite pas à te faire un Golden Latte, je le publie quand même assez régulièrement sur les réseaux sociaux, si tu me suis notamment sur Instagram, c'est quelque chose que je publie quand même assez souvent, parce que je t'avoue que j'adore le goût de ce Golden Latte, et donc en termes de recommandations pour le syndrome de verre polycystique, c'est juste fantastique. Au niveau, évidemment je vais arriver moi avec cette signification émotionnelle, parce qu'on l'a vu, il y a un élément qui peut-être t'a tilté, le syndrome des ovaires polycystiques, j'ai dit que c'était quoi ? Est-ce que tu te souviens ? J'ai dit que le syndrome des ovaires polycystiques c'était un excès de quoi ? J'ai dit que c'était un excès d'hormones mâles au niveau des ovaires. Et donc, ça va évidemment soulever la question des caractéristiques masculines au niveau de ta personnalité. Donc les questions que je t'invite à te poser c'est déjà de savoir si toi tu étais attendu comme garçon. Alors ça peut être parce qu'un de tes parents souhaitait avoir ou aurait préféré avoir un garçon, c'est une possibilité. Mais ça peut aussi être tout simplement une erreur gynécologique. Un médecin qui aurait prédit évidemment la venue d'un petit garçon à tes parents, tu vois. C'est d'ailleurs mon cas. Moi, comme j'étais grande, j'avais plus de 52-53 cm, je pense d'ailleurs, de mémoire, et que j'étais quand même un bon bébé bien potelé, eh bien à l'époque, c'était il y a très longtemps, donc forcément les échographies n'étaient pas aussi... comment dire, performante que maintenant. Et donc du coup, de par mon poids et ma taille, le gynécologue de l'époque avait prédit à mes parents que je serais un petit garçon. Donc j'étais attendue finalement comme un garçon. Pas qu'il voulait un garçon, mais voilà. Il s'attendait à avoir un garçon. Donc tu vois, ça peut avoir une origine émotionnelle. Si je te partage finalement mes cas, mon histoire personnelle, c'est aussi tout simplement pour te permettre d'aller chercher toi dans ton histoire, qu'est-ce qui résonne avec ça, pour pouvoir aller chercher justement cette interprétation. Alors c'est pas tout. Je t'invite aussi à te poser la question de savoir si toi, tu as l'impression que être un homme, c'est quand même vachement mieux. À quel niveau ? Physiquement, moralement, professionnellement ? Moi, clairement, pendant très longtemps, je me suis rendu compte d'ailleurs que professionnellement parlant, j'évoluais dans un milieu masculin. Alors ce qui était assez amusant aussi, parce que depuis toute petite, on ne peut pas dire que j'avais vraiment beaucoup de copines. Moi j'avais beaucoup de copains surtout. Mais les copines, bon voilà, je m'embêtais un peu avec les filles. Je préférais les copains garçons. Donc voilà, tu vois, il y a toujours eu quelque chose d'assez fort avec les garçons. Je préférais jouer aux petites voitures qu'aux poupées. Moi, ce n'était pas mon kiff du tout, les barbies, les poupées, ces trucs-là, je n'aimais pas. Par contre, les voitures, les camions, les tracteurs, je m'éclatais. Et encore aujourd'hui, j'adore les voitures, j'adore rouler sur circuit, j'adore la vitesse, j'adore tout ça. Donc voilà, il y a quand même toujours une part assez masculine dans ma personnalité. Même si entre temps j'ai les longs cheveux mais bon quand même. Mais tu vois j'ai pendant très longtemps pensé que c'était quand même vachement mieux d'être un garçon. Parce que les garçons ils sont pas embêtés avec leurs règles. Quand t'as des règles qui sont hémorragiques, quand t'as des règles qui sont archi douloureuses etc. Forcément t'envis tous ceux qui n'ont pas ça. Et donc ceux qui n'avaient pas leurs règles c'était les garçons. Et donc je me disais c'est quand même bien d'être un garçon. Ils peuvent aller à la piscine quand ils veulent, ils n'ont pas à se tracasser de savoir s'ils sont réglés, pas réglés, les tampons, pas les tampons. À l'époque, les cups menstruels n'existaient pas, les culottes menstruelles n'existaient pas non plus. Donc c'était quand même vachement plus contraignant. Et c'est clair que moi, je voyais tous les avantages au fait d'être un garçon. Professionnellement parlant aussi, professionnellement parlant, aujourd'hui en tant que femme, quand même, quand on envisage de fonder une famille, On voit quand même en tout cas que du côté masculin, c'est vachement plus simple. Donc tu vois, il y a quelque chose qui, de mon côté... trouver quand même qu'être un homme, c'était vachement mieux. Alors je ne sais pas, tu peux évidemment le partager dans le chat, si c'est aussi une réflexion qui t'est déjà venue à l'esprit. Et même si ce n'est pas maintenant, repense à ton enfance, repense à ton adolescence, et encore une fois, je te partage ça pour que tu puisses faire des liens avec ta propre histoire. Mais en tout cas, il y a quelque chose à ce niveau-là qu'il faut aller chercher au niveau de la signification de la masculinité chez toi. Et donc évidemment, dans les pistes émotionnelles à aller explorer, eh bien... c'est tout simplement déjà d'apprendre à être toi-même. Quand je dis d'apprendre à être toi-même, c'est sans jouer un rôle, sans avoir besoin de paraître plus forte que nécessaire. Comme je te le disais, dans l'environnement professionnel dans lequel j'évoluais, c'était un environnement très masculin, donc hors de question de montrer la moindre faille, le moindre signe de faiblesse, c'était juste hors de question. Donc, voilà, toi de ton côté, est-ce que c'est une caractéristique que tu retrouves chez toi ? Est-ce que tu as le sentiment de... de devoir montrer que tu es forte, quelle est ta vision aussi par rapport à la masculinité, à toi d'aller chercher ça, mais en tout cas s'il y a une surproduction d'hormones mâles dans ton organisme, c'est pas pour rien, c'est clairement qu'il y a une signification à aller chercher. Donc voilà, je t'invite simplement à te poser évidemment les bonnes questions.

  • Speaker #0

    Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux contribuer à aider les personnes qui en ont besoin et faire découvrir ce podcast, je t'invite à mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée. Si tu veux recevoir plus de conseils, télécharge dès maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr ou rejoins directement le programme d'accompagnement en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Je te dis à très très vite pour un prochain épisode.

Description

Dans cet épisode, on plonge au cœur du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), une pathologie complexe qui affecte en moyenne 1 femme sur 10.
Nous allons au-delà des symptômes physiques pour la signification émotionnelle profonde. Cet épisode vise bien sûr à offrir une meilleure compréhension du SOPK mais aussi à apporter du réconfort à celles qui naviguent à travers cette réalité complexe.



➡️ Rejoins Fertility Summer pour booster ta fertilité cet été !


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  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude, bienvenue sur ce podcast couleur de l'été. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. En période estivale où tout est à l'arrêt ou presque, j'ai décidé de redoubler d'efforts pour t'accompagner. Et bien sûr, si tu veux profiter de l'été pour agir et mettre toutes les chances de ton côté pour la rentrée, rejoins dès maintenant le programme en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour !

  • Speaker #1

    Le syndrome des ovaires polycystiques, qu'est-ce que c'est ? C'est en fait un ensemble de signes qui sont causés par un déséquilibre hormonal. Ça se caractérise comment ? Ça se caractérise par une augmentation inhabituelle de la production d'androgène, c'est-à-dire que c'est de la testostérone, ce sont des hormones mâles, et cette production se fait dans les ovaires. Donc il y a une surproduction d'hormones mâles au niveau des ovaires. Les principaux symptômes, c'est quoi ? Ce sont évidemment les cycles irréguliers, et les cycles irréguliers, quand je dis irréguliers, c'est vraiment totalement anarchique. Ça peut être effectivement des cycles de 40 jours à peu près, mais ça peut aller jusqu'à des cycles de 100-120 jours. C'est le syndrome des ovaires polycystiques selon le stade dans lequel on est. selon la gravité du syndrome, les cycles peuvent vraiment être occasionnels. Un des symptômes également, c'est la perte de cheveux. Les personnes qui sont atteintes du syndrome de Zover-Pulitistik perdent énormément leurs cheveux. Paradoxalement à ça, elles souffrent d'une hyperpilosité, d'acné, de peau grasse. Ce sont des symptômes principaux. On peut aussi avoir des apnées du sommeil, on peut avoir plein de choses. Voilà, ce sont les principaux symptômes, ça ne veut pas dire qu'on les cumule forcément tous, mais dans certains cas ça peut être le cas. Alors, qu'est-ce qui se passe par rapport à ce symptôme des ovaires polycystiques ? C'est que, de façon générale, au début d'un cycle menstruel, chaque ovaire va contenir normalement 5 à 10 follicules, des petits. Ça c'est au début du cycle. un seul d'entre eux, donc il y a un seul de ces follicules qui va devenir, qui va permettre finalement la libération d'un ovocyte fécondable, d'accord ? Donc un seul par cycle, sans simulation, on est d'accord, je parle bien ici d'un cycle naturel. Dans le cadre du SOPK, qu'est-ce qui se passe ? Eh bien, c'est qu'il y a une maturation folliculaire qui ne va pas aller au bout. Pourquoi ? Parce qu'il y a des hormones mâles qui viennent un peu court-circuiter la maturation des follicules. Et donc, du coup, on va se retrouver avec tout un tas de stocks, finalement, de follicules immatures qui vont s'accumuler et qui ne vont pas permettre à un seul d'entre eux d'évoluer vraiment vers un stade d'ovocyte. Donc, on va parler clairement, ça fout en l'air l'ovulation. Voilà, ni plus ni moins. Donc, pour qu'on puisse vraiment parler de syndrome d'ovaire polycystique, en général, on considère qu'il faut au moins une vingtaine de petits follicules. Donc, c'est déjà bien plus du double de chez quelqu'un qui n'est pas atteint de ce syndrome-là. D'accord ? Et en général, on parle de diamètre inférieur à 9 mm. Donc tu vois, ça montre bien que les follicules, ils ne vont pas au bout. On n'arrive pas à les avoir correctement jusqu'au bout. Mais comme ça, tu as une idée de ce qu'est ce syndrome. Alors, quel est le lien avec le poids ? Eh bien, il faut savoir que comme tu vas sécréter plus d'androgènes, donc cette testostérone, ces hormones mâles, eh bien, ça, ça va favoriser le développement d'un surpoids. Et donc, qu'est-ce qui va se passer ? Eh bien, c'est que tu vas développer ce qu'on appelle une insulinoresistance. Ça veut dire que l'insuline qui est sécrétée par le pancréas... n'est plus suffisamment active, tu vois. Donc ça, c'est vraiment important. Alors, ce qui se passe, c'est que la première chose, c'est qu'il y a des recommandations alimentaires par rapport à ça. La première chose, puisque tu es dans une insulino-résistance quand tu es atteinte de ce syndrome-là, la première chose à faire, c'est évidemment de réduire la consommation de sucre et évidemment, surtout, surtout, surtout, le sucre industriel. Ça, c'est vraiment super important. les sucres naturels qui sont contenus dans les fruits, etc., ça n'a pas du tout le même impact. On est bien d'accord. Donc privilégiez vraiment des sucres naturels plutôt qu'industriels. Ensuite, c'est de se dire que tu peux manger du son d'avoine aussi. C'est vraiment très intéressant de manger du son d'avoine. Ça ne coûte deux fois rien. Tu peux acheter ça sur quasi-demi, dans des magasins bio, etc. Le son d'avoine, ça ne coûte deux fois rien et ça permet de contrer justement cette insulino-résistance. Et surtout, c'est misé sur des épices, des graines comme la cannelle, le clou de girofle. Le fenugrec, le piment de Cayenne, le gingembre et le curcuma. Alors moi qui adore évidemment le Golden Latte, c'est excellent quand tu as le syndrome des ovaires polycystiques parce que ça vient justement tempérer cette insuline aux résistances. Ça vient réguler si tu veux le taux de sucre dans ton sang. Donc le Golden Latte c'est simplement un lait végétal avec du miel. du curcuma, du gingembre, de la cannelle, du poivre, parce que c'est ce qui permet au curcuma de sortir toutes ses propriétés, d'accord ? Et c'est très très bon. Et donc une petite cuillère de miel dans ce lait végétal, comme ça, chaud bien sûr, c'est juste une tuerie. Donc vraiment, ça te permet d'utiliser quand même pas mal d'épices, parce que tu as vu que rien que là-dedans, il y en a déjà trois qui apparaissent. tu peux mettre du piment de Cayenne, en toute petite quantité, mais voilà, ça permet vraiment de traiter cette résistance à l'insuline, et c'est juste très très bon. Donc le matin, n'hésite pas à te faire un Golden Latte, je le publie quand même assez régulièrement sur les réseaux sociaux, si tu me suis notamment sur Instagram, c'est quelque chose que je publie quand même assez souvent, parce que je t'avoue que j'adore le goût de ce Golden Latte, et donc en termes de recommandations pour le syndrome de verre polycystique, c'est juste fantastique. Au niveau, évidemment je vais arriver moi avec cette signification émotionnelle, parce qu'on l'a vu, il y a un élément qui peut-être t'a tilté, le syndrome des ovaires polycystiques, j'ai dit que c'était quoi ? Est-ce que tu te souviens ? J'ai dit que le syndrome des ovaires polycystiques c'était un excès de quoi ? J'ai dit que c'était un excès d'hormones mâles au niveau des ovaires. Et donc, ça va évidemment soulever la question des caractéristiques masculines au niveau de ta personnalité. Donc les questions que je t'invite à te poser c'est déjà de savoir si toi tu étais attendu comme garçon. Alors ça peut être parce qu'un de tes parents souhaitait avoir ou aurait préféré avoir un garçon, c'est une possibilité. Mais ça peut aussi être tout simplement une erreur gynécologique. Un médecin qui aurait prédit évidemment la venue d'un petit garçon à tes parents, tu vois. C'est d'ailleurs mon cas. Moi, comme j'étais grande, j'avais plus de 52-53 cm, je pense d'ailleurs, de mémoire, et que j'étais quand même un bon bébé bien potelé, eh bien à l'époque, c'était il y a très longtemps, donc forcément les échographies n'étaient pas aussi... comment dire, performante que maintenant. Et donc du coup, de par mon poids et ma taille, le gynécologue de l'époque avait prédit à mes parents que je serais un petit garçon. Donc j'étais attendue finalement comme un garçon. Pas qu'il voulait un garçon, mais voilà. Il s'attendait à avoir un garçon. Donc tu vois, ça peut avoir une origine émotionnelle. Si je te partage finalement mes cas, mon histoire personnelle, c'est aussi tout simplement pour te permettre d'aller chercher toi dans ton histoire, qu'est-ce qui résonne avec ça, pour pouvoir aller chercher justement cette interprétation. Alors c'est pas tout. Je t'invite aussi à te poser la question de savoir si toi, tu as l'impression que être un homme, c'est quand même vachement mieux. À quel niveau ? Physiquement, moralement, professionnellement ? Moi, clairement, pendant très longtemps, je me suis rendu compte d'ailleurs que professionnellement parlant, j'évoluais dans un milieu masculin. Alors ce qui était assez amusant aussi, parce que depuis toute petite, on ne peut pas dire que j'avais vraiment beaucoup de copines. Moi j'avais beaucoup de copains surtout. Mais les copines, bon voilà, je m'embêtais un peu avec les filles. Je préférais les copains garçons. Donc voilà, tu vois, il y a toujours eu quelque chose d'assez fort avec les garçons. Je préférais jouer aux petites voitures qu'aux poupées. Moi, ce n'était pas mon kiff du tout, les barbies, les poupées, ces trucs-là, je n'aimais pas. Par contre, les voitures, les camions, les tracteurs, je m'éclatais. Et encore aujourd'hui, j'adore les voitures, j'adore rouler sur circuit, j'adore la vitesse, j'adore tout ça. Donc voilà, il y a quand même toujours une part assez masculine dans ma personnalité. Même si entre temps j'ai les longs cheveux mais bon quand même. Mais tu vois j'ai pendant très longtemps pensé que c'était quand même vachement mieux d'être un garçon. Parce que les garçons ils sont pas embêtés avec leurs règles. Quand t'as des règles qui sont hémorragiques, quand t'as des règles qui sont archi douloureuses etc. Forcément t'envis tous ceux qui n'ont pas ça. Et donc ceux qui n'avaient pas leurs règles c'était les garçons. Et donc je me disais c'est quand même bien d'être un garçon. Ils peuvent aller à la piscine quand ils veulent, ils n'ont pas à se tracasser de savoir s'ils sont réglés, pas réglés, les tampons, pas les tampons. À l'époque, les cups menstruels n'existaient pas, les culottes menstruelles n'existaient pas non plus. Donc c'était quand même vachement plus contraignant. Et c'est clair que moi, je voyais tous les avantages au fait d'être un garçon. Professionnellement parlant aussi, professionnellement parlant, aujourd'hui en tant que femme, quand même, quand on envisage de fonder une famille, On voit quand même en tout cas que du côté masculin, c'est vachement plus simple. Donc tu vois, il y a quelque chose qui, de mon côté... trouver quand même qu'être un homme, c'était vachement mieux. Alors je ne sais pas, tu peux évidemment le partager dans le chat, si c'est aussi une réflexion qui t'est déjà venue à l'esprit. Et même si ce n'est pas maintenant, repense à ton enfance, repense à ton adolescence, et encore une fois, je te partage ça pour que tu puisses faire des liens avec ta propre histoire. Mais en tout cas, il y a quelque chose à ce niveau-là qu'il faut aller chercher au niveau de la signification de la masculinité chez toi. Et donc évidemment, dans les pistes émotionnelles à aller explorer, eh bien... c'est tout simplement déjà d'apprendre à être toi-même. Quand je dis d'apprendre à être toi-même, c'est sans jouer un rôle, sans avoir besoin de paraître plus forte que nécessaire. Comme je te le disais, dans l'environnement professionnel dans lequel j'évoluais, c'était un environnement très masculin, donc hors de question de montrer la moindre faille, le moindre signe de faiblesse, c'était juste hors de question. Donc, voilà, toi de ton côté, est-ce que c'est une caractéristique que tu retrouves chez toi ? Est-ce que tu as le sentiment de... de devoir montrer que tu es forte, quelle est ta vision aussi par rapport à la masculinité, à toi d'aller chercher ça, mais en tout cas s'il y a une surproduction d'hormones mâles dans ton organisme, c'est pas pour rien, c'est clairement qu'il y a une signification à aller chercher. Donc voilà, je t'invite simplement à te poser évidemment les bonnes questions.

  • Speaker #0

    Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux contribuer à aider les personnes qui en ont besoin et faire découvrir ce podcast, je t'invite à mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée. Si tu veux recevoir plus de conseils, télécharge dès maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr ou rejoins directement le programme d'accompagnement en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Je te dis à très très vite pour un prochain épisode.

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Dans cet épisode, on plonge au cœur du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), une pathologie complexe qui affecte en moyenne 1 femme sur 10.
Nous allons au-delà des symptômes physiques pour la signification émotionnelle profonde. Cet épisode vise bien sûr à offrir une meilleure compréhension du SOPK mais aussi à apporter du réconfort à celles qui naviguent à travers cette réalité complexe.



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Retrouve-moi sur :



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude, bienvenue sur ce podcast couleur de l'été. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. En période estivale où tout est à l'arrêt ou presque, j'ai décidé de redoubler d'efforts pour t'accompagner. Et bien sûr, si tu veux profiter de l'été pour agir et mettre toutes les chances de ton côté pour la rentrée, rejoins dès maintenant le programme en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour !

  • Speaker #1

    Le syndrome des ovaires polycystiques, qu'est-ce que c'est ? C'est en fait un ensemble de signes qui sont causés par un déséquilibre hormonal. Ça se caractérise comment ? Ça se caractérise par une augmentation inhabituelle de la production d'androgène, c'est-à-dire que c'est de la testostérone, ce sont des hormones mâles, et cette production se fait dans les ovaires. Donc il y a une surproduction d'hormones mâles au niveau des ovaires. Les principaux symptômes, c'est quoi ? Ce sont évidemment les cycles irréguliers, et les cycles irréguliers, quand je dis irréguliers, c'est vraiment totalement anarchique. Ça peut être effectivement des cycles de 40 jours à peu près, mais ça peut aller jusqu'à des cycles de 100-120 jours. C'est le syndrome des ovaires polycystiques selon le stade dans lequel on est. selon la gravité du syndrome, les cycles peuvent vraiment être occasionnels. Un des symptômes également, c'est la perte de cheveux. Les personnes qui sont atteintes du syndrome de Zover-Pulitistik perdent énormément leurs cheveux. Paradoxalement à ça, elles souffrent d'une hyperpilosité, d'acné, de peau grasse. Ce sont des symptômes principaux. On peut aussi avoir des apnées du sommeil, on peut avoir plein de choses. Voilà, ce sont les principaux symptômes, ça ne veut pas dire qu'on les cumule forcément tous, mais dans certains cas ça peut être le cas. Alors, qu'est-ce qui se passe par rapport à ce symptôme des ovaires polycystiques ? C'est que, de façon générale, au début d'un cycle menstruel, chaque ovaire va contenir normalement 5 à 10 follicules, des petits. Ça c'est au début du cycle. un seul d'entre eux, donc il y a un seul de ces follicules qui va devenir, qui va permettre finalement la libération d'un ovocyte fécondable, d'accord ? Donc un seul par cycle, sans simulation, on est d'accord, je parle bien ici d'un cycle naturel. Dans le cadre du SOPK, qu'est-ce qui se passe ? Eh bien, c'est qu'il y a une maturation folliculaire qui ne va pas aller au bout. Pourquoi ? Parce qu'il y a des hormones mâles qui viennent un peu court-circuiter la maturation des follicules. Et donc, du coup, on va se retrouver avec tout un tas de stocks, finalement, de follicules immatures qui vont s'accumuler et qui ne vont pas permettre à un seul d'entre eux d'évoluer vraiment vers un stade d'ovocyte. Donc, on va parler clairement, ça fout en l'air l'ovulation. Voilà, ni plus ni moins. Donc, pour qu'on puisse vraiment parler de syndrome d'ovaire polycystique, en général, on considère qu'il faut au moins une vingtaine de petits follicules. Donc, c'est déjà bien plus du double de chez quelqu'un qui n'est pas atteint de ce syndrome-là. D'accord ? Et en général, on parle de diamètre inférieur à 9 mm. Donc tu vois, ça montre bien que les follicules, ils ne vont pas au bout. On n'arrive pas à les avoir correctement jusqu'au bout. Mais comme ça, tu as une idée de ce qu'est ce syndrome. Alors, quel est le lien avec le poids ? Eh bien, il faut savoir que comme tu vas sécréter plus d'androgènes, donc cette testostérone, ces hormones mâles, eh bien, ça, ça va favoriser le développement d'un surpoids. Et donc, qu'est-ce qui va se passer ? Eh bien, c'est que tu vas développer ce qu'on appelle une insulinoresistance. Ça veut dire que l'insuline qui est sécrétée par le pancréas... n'est plus suffisamment active, tu vois. Donc ça, c'est vraiment important. Alors, ce qui se passe, c'est que la première chose, c'est qu'il y a des recommandations alimentaires par rapport à ça. La première chose, puisque tu es dans une insulino-résistance quand tu es atteinte de ce syndrome-là, la première chose à faire, c'est évidemment de réduire la consommation de sucre et évidemment, surtout, surtout, surtout, le sucre industriel. Ça, c'est vraiment super important. les sucres naturels qui sont contenus dans les fruits, etc., ça n'a pas du tout le même impact. On est bien d'accord. Donc privilégiez vraiment des sucres naturels plutôt qu'industriels. Ensuite, c'est de se dire que tu peux manger du son d'avoine aussi. C'est vraiment très intéressant de manger du son d'avoine. Ça ne coûte deux fois rien. Tu peux acheter ça sur quasi-demi, dans des magasins bio, etc. Le son d'avoine, ça ne coûte deux fois rien et ça permet de contrer justement cette insulino-résistance. Et surtout, c'est misé sur des épices, des graines comme la cannelle, le clou de girofle. Le fenugrec, le piment de Cayenne, le gingembre et le curcuma. Alors moi qui adore évidemment le Golden Latte, c'est excellent quand tu as le syndrome des ovaires polycystiques parce que ça vient justement tempérer cette insuline aux résistances. Ça vient réguler si tu veux le taux de sucre dans ton sang. Donc le Golden Latte c'est simplement un lait végétal avec du miel. du curcuma, du gingembre, de la cannelle, du poivre, parce que c'est ce qui permet au curcuma de sortir toutes ses propriétés, d'accord ? Et c'est très très bon. Et donc une petite cuillère de miel dans ce lait végétal, comme ça, chaud bien sûr, c'est juste une tuerie. Donc vraiment, ça te permet d'utiliser quand même pas mal d'épices, parce que tu as vu que rien que là-dedans, il y en a déjà trois qui apparaissent. tu peux mettre du piment de Cayenne, en toute petite quantité, mais voilà, ça permet vraiment de traiter cette résistance à l'insuline, et c'est juste très très bon. Donc le matin, n'hésite pas à te faire un Golden Latte, je le publie quand même assez régulièrement sur les réseaux sociaux, si tu me suis notamment sur Instagram, c'est quelque chose que je publie quand même assez souvent, parce que je t'avoue que j'adore le goût de ce Golden Latte, et donc en termes de recommandations pour le syndrome de verre polycystique, c'est juste fantastique. Au niveau, évidemment je vais arriver moi avec cette signification émotionnelle, parce qu'on l'a vu, il y a un élément qui peut-être t'a tilté, le syndrome des ovaires polycystiques, j'ai dit que c'était quoi ? Est-ce que tu te souviens ? J'ai dit que le syndrome des ovaires polycystiques c'était un excès de quoi ? J'ai dit que c'était un excès d'hormones mâles au niveau des ovaires. Et donc, ça va évidemment soulever la question des caractéristiques masculines au niveau de ta personnalité. Donc les questions que je t'invite à te poser c'est déjà de savoir si toi tu étais attendu comme garçon. Alors ça peut être parce qu'un de tes parents souhaitait avoir ou aurait préféré avoir un garçon, c'est une possibilité. Mais ça peut aussi être tout simplement une erreur gynécologique. Un médecin qui aurait prédit évidemment la venue d'un petit garçon à tes parents, tu vois. C'est d'ailleurs mon cas. Moi, comme j'étais grande, j'avais plus de 52-53 cm, je pense d'ailleurs, de mémoire, et que j'étais quand même un bon bébé bien potelé, eh bien à l'époque, c'était il y a très longtemps, donc forcément les échographies n'étaient pas aussi... comment dire, performante que maintenant. Et donc du coup, de par mon poids et ma taille, le gynécologue de l'époque avait prédit à mes parents que je serais un petit garçon. Donc j'étais attendue finalement comme un garçon. Pas qu'il voulait un garçon, mais voilà. Il s'attendait à avoir un garçon. Donc tu vois, ça peut avoir une origine émotionnelle. Si je te partage finalement mes cas, mon histoire personnelle, c'est aussi tout simplement pour te permettre d'aller chercher toi dans ton histoire, qu'est-ce qui résonne avec ça, pour pouvoir aller chercher justement cette interprétation. Alors c'est pas tout. Je t'invite aussi à te poser la question de savoir si toi, tu as l'impression que être un homme, c'est quand même vachement mieux. À quel niveau ? Physiquement, moralement, professionnellement ? Moi, clairement, pendant très longtemps, je me suis rendu compte d'ailleurs que professionnellement parlant, j'évoluais dans un milieu masculin. Alors ce qui était assez amusant aussi, parce que depuis toute petite, on ne peut pas dire que j'avais vraiment beaucoup de copines. Moi j'avais beaucoup de copains surtout. Mais les copines, bon voilà, je m'embêtais un peu avec les filles. Je préférais les copains garçons. Donc voilà, tu vois, il y a toujours eu quelque chose d'assez fort avec les garçons. Je préférais jouer aux petites voitures qu'aux poupées. Moi, ce n'était pas mon kiff du tout, les barbies, les poupées, ces trucs-là, je n'aimais pas. Par contre, les voitures, les camions, les tracteurs, je m'éclatais. Et encore aujourd'hui, j'adore les voitures, j'adore rouler sur circuit, j'adore la vitesse, j'adore tout ça. Donc voilà, il y a quand même toujours une part assez masculine dans ma personnalité. Même si entre temps j'ai les longs cheveux mais bon quand même. Mais tu vois j'ai pendant très longtemps pensé que c'était quand même vachement mieux d'être un garçon. Parce que les garçons ils sont pas embêtés avec leurs règles. Quand t'as des règles qui sont hémorragiques, quand t'as des règles qui sont archi douloureuses etc. Forcément t'envis tous ceux qui n'ont pas ça. Et donc ceux qui n'avaient pas leurs règles c'était les garçons. Et donc je me disais c'est quand même bien d'être un garçon. Ils peuvent aller à la piscine quand ils veulent, ils n'ont pas à se tracasser de savoir s'ils sont réglés, pas réglés, les tampons, pas les tampons. À l'époque, les cups menstruels n'existaient pas, les culottes menstruelles n'existaient pas non plus. Donc c'était quand même vachement plus contraignant. Et c'est clair que moi, je voyais tous les avantages au fait d'être un garçon. Professionnellement parlant aussi, professionnellement parlant, aujourd'hui en tant que femme, quand même, quand on envisage de fonder une famille, On voit quand même en tout cas que du côté masculin, c'est vachement plus simple. Donc tu vois, il y a quelque chose qui, de mon côté... trouver quand même qu'être un homme, c'était vachement mieux. Alors je ne sais pas, tu peux évidemment le partager dans le chat, si c'est aussi une réflexion qui t'est déjà venue à l'esprit. Et même si ce n'est pas maintenant, repense à ton enfance, repense à ton adolescence, et encore une fois, je te partage ça pour que tu puisses faire des liens avec ta propre histoire. Mais en tout cas, il y a quelque chose à ce niveau-là qu'il faut aller chercher au niveau de la signification de la masculinité chez toi. Et donc évidemment, dans les pistes émotionnelles à aller explorer, eh bien... c'est tout simplement déjà d'apprendre à être toi-même. Quand je dis d'apprendre à être toi-même, c'est sans jouer un rôle, sans avoir besoin de paraître plus forte que nécessaire. Comme je te le disais, dans l'environnement professionnel dans lequel j'évoluais, c'était un environnement très masculin, donc hors de question de montrer la moindre faille, le moindre signe de faiblesse, c'était juste hors de question. Donc, voilà, toi de ton côté, est-ce que c'est une caractéristique que tu retrouves chez toi ? Est-ce que tu as le sentiment de... de devoir montrer que tu es forte, quelle est ta vision aussi par rapport à la masculinité, à toi d'aller chercher ça, mais en tout cas s'il y a une surproduction d'hormones mâles dans ton organisme, c'est pas pour rien, c'est clairement qu'il y a une signification à aller chercher. Donc voilà, je t'invite simplement à te poser évidemment les bonnes questions.

  • Speaker #0

    Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux contribuer à aider les personnes qui en ont besoin et faire découvrir ce podcast, je t'invite à mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée. Si tu veux recevoir plus de conseils, télécharge dès maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr ou rejoins directement le programme d'accompagnement en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Je te dis à très très vite pour un prochain épisode.

Description

Dans cet épisode, on plonge au cœur du Syndrome des Ovaires Polykystiques (SOPK), une pathologie complexe qui affecte en moyenne 1 femme sur 10.
Nous allons au-delà des symptômes physiques pour la signification émotionnelle profonde. Cet épisode vise bien sûr à offrir une meilleure compréhension du SOPK mais aussi à apporter du réconfort à celles qui naviguent à travers cette réalité complexe.



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Transcription

  • Speaker #0

    Hello, c'est Mia de Positive Mind Attitude, bienvenue sur ce podcast couleur de l'été. Après un parcours de plus de 4 ans et demi avant de connaître enfin les joies de la maternité, j'ai décidé d'associer mes compétences professionnelles de thérapeute à mon vécu personnel lié à l'infertilité et la PMA pour accompagner les femmes en désir d'enfant et leur permettre de reprendre le plein pouvoir sur leur fertilité. En période estivale où tout est à l'arrêt ou presque, j'ai décidé de redoubler d'efforts pour t'accompagner. Et bien sûr, si tu veux profiter de l'été pour agir et mettre toutes les chances de ton côté pour la rentrée, rejoins dès maintenant le programme en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Maintenant, installe-toi confortablement et c'est parti pour l'épisode du jour !

  • Speaker #1

    Le syndrome des ovaires polycystiques, qu'est-ce que c'est ? C'est en fait un ensemble de signes qui sont causés par un déséquilibre hormonal. Ça se caractérise comment ? Ça se caractérise par une augmentation inhabituelle de la production d'androgène, c'est-à-dire que c'est de la testostérone, ce sont des hormones mâles, et cette production se fait dans les ovaires. Donc il y a une surproduction d'hormones mâles au niveau des ovaires. Les principaux symptômes, c'est quoi ? Ce sont évidemment les cycles irréguliers, et les cycles irréguliers, quand je dis irréguliers, c'est vraiment totalement anarchique. Ça peut être effectivement des cycles de 40 jours à peu près, mais ça peut aller jusqu'à des cycles de 100-120 jours. C'est le syndrome des ovaires polycystiques selon le stade dans lequel on est. selon la gravité du syndrome, les cycles peuvent vraiment être occasionnels. Un des symptômes également, c'est la perte de cheveux. Les personnes qui sont atteintes du syndrome de Zover-Pulitistik perdent énormément leurs cheveux. Paradoxalement à ça, elles souffrent d'une hyperpilosité, d'acné, de peau grasse. Ce sont des symptômes principaux. On peut aussi avoir des apnées du sommeil, on peut avoir plein de choses. Voilà, ce sont les principaux symptômes, ça ne veut pas dire qu'on les cumule forcément tous, mais dans certains cas ça peut être le cas. Alors, qu'est-ce qui se passe par rapport à ce symptôme des ovaires polycystiques ? C'est que, de façon générale, au début d'un cycle menstruel, chaque ovaire va contenir normalement 5 à 10 follicules, des petits. Ça c'est au début du cycle. un seul d'entre eux, donc il y a un seul de ces follicules qui va devenir, qui va permettre finalement la libération d'un ovocyte fécondable, d'accord ? Donc un seul par cycle, sans simulation, on est d'accord, je parle bien ici d'un cycle naturel. Dans le cadre du SOPK, qu'est-ce qui se passe ? Eh bien, c'est qu'il y a une maturation folliculaire qui ne va pas aller au bout. Pourquoi ? Parce qu'il y a des hormones mâles qui viennent un peu court-circuiter la maturation des follicules. Et donc, du coup, on va se retrouver avec tout un tas de stocks, finalement, de follicules immatures qui vont s'accumuler et qui ne vont pas permettre à un seul d'entre eux d'évoluer vraiment vers un stade d'ovocyte. Donc, on va parler clairement, ça fout en l'air l'ovulation. Voilà, ni plus ni moins. Donc, pour qu'on puisse vraiment parler de syndrome d'ovaire polycystique, en général, on considère qu'il faut au moins une vingtaine de petits follicules. Donc, c'est déjà bien plus du double de chez quelqu'un qui n'est pas atteint de ce syndrome-là. D'accord ? Et en général, on parle de diamètre inférieur à 9 mm. Donc tu vois, ça montre bien que les follicules, ils ne vont pas au bout. On n'arrive pas à les avoir correctement jusqu'au bout. Mais comme ça, tu as une idée de ce qu'est ce syndrome. Alors, quel est le lien avec le poids ? Eh bien, il faut savoir que comme tu vas sécréter plus d'androgènes, donc cette testostérone, ces hormones mâles, eh bien, ça, ça va favoriser le développement d'un surpoids. Et donc, qu'est-ce qui va se passer ? Eh bien, c'est que tu vas développer ce qu'on appelle une insulinoresistance. Ça veut dire que l'insuline qui est sécrétée par le pancréas... n'est plus suffisamment active, tu vois. Donc ça, c'est vraiment important. Alors, ce qui se passe, c'est que la première chose, c'est qu'il y a des recommandations alimentaires par rapport à ça. La première chose, puisque tu es dans une insulino-résistance quand tu es atteinte de ce syndrome-là, la première chose à faire, c'est évidemment de réduire la consommation de sucre et évidemment, surtout, surtout, surtout, le sucre industriel. Ça, c'est vraiment super important. les sucres naturels qui sont contenus dans les fruits, etc., ça n'a pas du tout le même impact. On est bien d'accord. Donc privilégiez vraiment des sucres naturels plutôt qu'industriels. Ensuite, c'est de se dire que tu peux manger du son d'avoine aussi. C'est vraiment très intéressant de manger du son d'avoine. Ça ne coûte deux fois rien. Tu peux acheter ça sur quasi-demi, dans des magasins bio, etc. Le son d'avoine, ça ne coûte deux fois rien et ça permet de contrer justement cette insulino-résistance. Et surtout, c'est misé sur des épices, des graines comme la cannelle, le clou de girofle. Le fenugrec, le piment de Cayenne, le gingembre et le curcuma. Alors moi qui adore évidemment le Golden Latte, c'est excellent quand tu as le syndrome des ovaires polycystiques parce que ça vient justement tempérer cette insuline aux résistances. Ça vient réguler si tu veux le taux de sucre dans ton sang. Donc le Golden Latte c'est simplement un lait végétal avec du miel. du curcuma, du gingembre, de la cannelle, du poivre, parce que c'est ce qui permet au curcuma de sortir toutes ses propriétés, d'accord ? Et c'est très très bon. Et donc une petite cuillère de miel dans ce lait végétal, comme ça, chaud bien sûr, c'est juste une tuerie. Donc vraiment, ça te permet d'utiliser quand même pas mal d'épices, parce que tu as vu que rien que là-dedans, il y en a déjà trois qui apparaissent. tu peux mettre du piment de Cayenne, en toute petite quantité, mais voilà, ça permet vraiment de traiter cette résistance à l'insuline, et c'est juste très très bon. Donc le matin, n'hésite pas à te faire un Golden Latte, je le publie quand même assez régulièrement sur les réseaux sociaux, si tu me suis notamment sur Instagram, c'est quelque chose que je publie quand même assez souvent, parce que je t'avoue que j'adore le goût de ce Golden Latte, et donc en termes de recommandations pour le syndrome de verre polycystique, c'est juste fantastique. Au niveau, évidemment je vais arriver moi avec cette signification émotionnelle, parce qu'on l'a vu, il y a un élément qui peut-être t'a tilté, le syndrome des ovaires polycystiques, j'ai dit que c'était quoi ? Est-ce que tu te souviens ? J'ai dit que le syndrome des ovaires polycystiques c'était un excès de quoi ? J'ai dit que c'était un excès d'hormones mâles au niveau des ovaires. Et donc, ça va évidemment soulever la question des caractéristiques masculines au niveau de ta personnalité. Donc les questions que je t'invite à te poser c'est déjà de savoir si toi tu étais attendu comme garçon. Alors ça peut être parce qu'un de tes parents souhaitait avoir ou aurait préféré avoir un garçon, c'est une possibilité. Mais ça peut aussi être tout simplement une erreur gynécologique. Un médecin qui aurait prédit évidemment la venue d'un petit garçon à tes parents, tu vois. C'est d'ailleurs mon cas. Moi, comme j'étais grande, j'avais plus de 52-53 cm, je pense d'ailleurs, de mémoire, et que j'étais quand même un bon bébé bien potelé, eh bien à l'époque, c'était il y a très longtemps, donc forcément les échographies n'étaient pas aussi... comment dire, performante que maintenant. Et donc du coup, de par mon poids et ma taille, le gynécologue de l'époque avait prédit à mes parents que je serais un petit garçon. Donc j'étais attendue finalement comme un garçon. Pas qu'il voulait un garçon, mais voilà. Il s'attendait à avoir un garçon. Donc tu vois, ça peut avoir une origine émotionnelle. Si je te partage finalement mes cas, mon histoire personnelle, c'est aussi tout simplement pour te permettre d'aller chercher toi dans ton histoire, qu'est-ce qui résonne avec ça, pour pouvoir aller chercher justement cette interprétation. Alors c'est pas tout. Je t'invite aussi à te poser la question de savoir si toi, tu as l'impression que être un homme, c'est quand même vachement mieux. À quel niveau ? Physiquement, moralement, professionnellement ? Moi, clairement, pendant très longtemps, je me suis rendu compte d'ailleurs que professionnellement parlant, j'évoluais dans un milieu masculin. Alors ce qui était assez amusant aussi, parce que depuis toute petite, on ne peut pas dire que j'avais vraiment beaucoup de copines. Moi j'avais beaucoup de copains surtout. Mais les copines, bon voilà, je m'embêtais un peu avec les filles. Je préférais les copains garçons. Donc voilà, tu vois, il y a toujours eu quelque chose d'assez fort avec les garçons. Je préférais jouer aux petites voitures qu'aux poupées. Moi, ce n'était pas mon kiff du tout, les barbies, les poupées, ces trucs-là, je n'aimais pas. Par contre, les voitures, les camions, les tracteurs, je m'éclatais. Et encore aujourd'hui, j'adore les voitures, j'adore rouler sur circuit, j'adore la vitesse, j'adore tout ça. Donc voilà, il y a quand même toujours une part assez masculine dans ma personnalité. Même si entre temps j'ai les longs cheveux mais bon quand même. Mais tu vois j'ai pendant très longtemps pensé que c'était quand même vachement mieux d'être un garçon. Parce que les garçons ils sont pas embêtés avec leurs règles. Quand t'as des règles qui sont hémorragiques, quand t'as des règles qui sont archi douloureuses etc. Forcément t'envis tous ceux qui n'ont pas ça. Et donc ceux qui n'avaient pas leurs règles c'était les garçons. Et donc je me disais c'est quand même bien d'être un garçon. Ils peuvent aller à la piscine quand ils veulent, ils n'ont pas à se tracasser de savoir s'ils sont réglés, pas réglés, les tampons, pas les tampons. À l'époque, les cups menstruels n'existaient pas, les culottes menstruelles n'existaient pas non plus. Donc c'était quand même vachement plus contraignant. Et c'est clair que moi, je voyais tous les avantages au fait d'être un garçon. Professionnellement parlant aussi, professionnellement parlant, aujourd'hui en tant que femme, quand même, quand on envisage de fonder une famille, On voit quand même en tout cas que du côté masculin, c'est vachement plus simple. Donc tu vois, il y a quelque chose qui, de mon côté... trouver quand même qu'être un homme, c'était vachement mieux. Alors je ne sais pas, tu peux évidemment le partager dans le chat, si c'est aussi une réflexion qui t'est déjà venue à l'esprit. Et même si ce n'est pas maintenant, repense à ton enfance, repense à ton adolescence, et encore une fois, je te partage ça pour que tu puisses faire des liens avec ta propre histoire. Mais en tout cas, il y a quelque chose à ce niveau-là qu'il faut aller chercher au niveau de la signification de la masculinité chez toi. Et donc évidemment, dans les pistes émotionnelles à aller explorer, eh bien... c'est tout simplement déjà d'apprendre à être toi-même. Quand je dis d'apprendre à être toi-même, c'est sans jouer un rôle, sans avoir besoin de paraître plus forte que nécessaire. Comme je te le disais, dans l'environnement professionnel dans lequel j'évoluais, c'était un environnement très masculin, donc hors de question de montrer la moindre faille, le moindre signe de faiblesse, c'était juste hors de question. Donc, voilà, toi de ton côté, est-ce que c'est une caractéristique que tu retrouves chez toi ? Est-ce que tu as le sentiment de... de devoir montrer que tu es forte, quelle est ta vision aussi par rapport à la masculinité, à toi d'aller chercher ça, mais en tout cas s'il y a une surproduction d'hormones mâles dans ton organisme, c'est pas pour rien, c'est clairement qu'il y a une signification à aller chercher. Donc voilà, je t'invite simplement à te poser évidemment les bonnes questions.

  • Speaker #0

    Merci d'avoir écouté cet épisode jusqu'au bout. Si tu veux contribuer à aider les personnes qui en ont besoin et faire découvrir ce podcast, je t'invite à mettre une note et ou un commentaire sur ta plateforme d'écoute préférée. Si tu veux recevoir plus de conseils, télécharge dès maintenant mon guide offert sur positivemindattitude.fr ou rejoins directement le programme d'accompagnement en ligne via le lien dans la description de cet épisode. Je te dis à très très vite pour un prochain épisode.

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