- Speaker #0
Pourquoi c'est cool la RSE ? Parce que ça fait naître des beaux projets, des nouveaux récits. Ça rend les boîtes plus humaines. Ça crée un collectif vraiment engagé.
- Speaker #1
Pourquoi s'engager ? Parce que c'est hyper excitant.
- Speaker #2
Bonjour à tous, je suis ravi de vous retrouver pour un nouvel épisode de Pourquoi c'est cool la RSE. Aujourd'hui j'ai l'honneur d'accueillir Mythique avec Clarisse et Manon pour nous parler un petit peu justement de tous leurs engagements dans le groupe. Qu'est-ce que vous faites au sein de Mythique ?
- Speaker #0
Alors moi je suis la directrice communication de Match Group en Europe donc je m'occupe de tout le portefeuille de marques de Match Group au niveau européen, dont la marque Mythique.
- Speaker #3
Et moi je travaille dans l'équipe de Clarisse et moi je suis plus spécialisée sur les sujets de communication interne et marque employeur pour Mythique mais aussi Match Group en Europe.
- Speaker #2
On sait que vous êtes un des rares acteurs du numérique à avoir signé le contrat climat. Pourquoi est-ce que Mythique s'est engagé dans une démarche assez volontaire comme celle-ci ?
- Speaker #0
Nous, notre métier, c'est de connecter les gens pour des histoires durables. Donc on s'est dit, c'est presque une obligation finalement qu'on a de s'engager sur ce contrat climat. C'était en fait dans la continuité de ce qu'on propose. Il n'y a pas de limite entre nos actions pour les célibataires et nos actions pour la planète.
- Speaker #2
Comment est-ce que vous articulez cette ambition environnementale avec votre cœur de métier, comme tu disais, de connecter les gens ?
- Speaker #3
C'est vrai que connecter les gens, ça suppose aussi de réfléchir à comment on veut le faire, dans quel environnement on veut le faire, dans quel cadre on veut le faire. On veut aussi que ce soit dans un environnement plus responsable, plus durable. On conçoit ça à tous les niveaux, que ce soit au niveau marketing, sur des campagnes pubs éco-responsables, que ce soit au niveau de l'accompagnement des collaborateurs et du cadre de travail qu'on leur propose, ou d'un point de vue plus tech, avec tout ce qui est sobriété énergétique et comment créer des applications. qui vont dans ce sens-là. Ça touche tous les métiers, le cœur de tous les métiers, j'ai envie de dire.
- Speaker #2
Vous parlez souvent d'une vision globale de la RSE chez vous. Comment est-ce qu'elle est intégrée à toutes les autres dimensions de l'entreprise ?
- Speaker #0
Chez nous, il n'y a pas de département RSE, comme ça peut être le cas dans certaines entreprises. Nous, c'est vraiment l'affaire de toutes et tous. C'est une volonté vraiment de notre PDG, justement qu'il n'y ait pas de département dédié, que ce soit chaque collaborateur qui soit... responsable de ses actions. Dès que tu rentres chez nous, tu signes une charte, tu signes ton contrat de travail, mais tu signes aussi une charte. On a tout un tas de dispositifs, ça passe du tri des déchets à une clim qui est raisonnable, plus de gobelets en plastique, c'est découvert et utilisable, qu'on a offert aux collaborateurs encore récemment, donc ça se diffuse partout.
- Speaker #3
On a renouvelé très récemment notre certification ISO 14001, donc c'est aussi... L'affaire de toutes et tous, mais c'est aussi quelque chose qui est assez structuré et cadré chez nous et qu'on veut vraiment mesurer et avoir un vrai impact.
- Speaker #0
Oui, exactement. Un peu comme la signature du contrat climat, c'est quelque chose qui nous cadre, qui nous permet de mettre des mesures aussi pour suivre un peu tout ça. Et on a créé quand même au sein de Match Group un comité éco-responsable. Donc Manon et moi, on en fait partie. Mais tu as aussi le service finance, la tech, le produit. Tout le monde se réunit pour se dire, nous, à notre niveau, qu'est-ce qu'on fait ? Comment on réduit ? Donc nous, beaucoup en pub. Au niveau de la com', ça va être tout ce qui va être réduction de l'impact carbone, de nos tournages, etc. Sur la tech, il y a aussi, dès le développement produit, des choses qui sont faites. On va en parler après, mais c'est vraiment, ça touche tout le monde et c'est l'affaire de tous.
- Speaker #2
On arrive au Green Tool, qui est un outil que vous avez développé en interne. C'est quoi son usage au quotidien pour vos collaborateurs ?
- Speaker #3
Le Green Tool, c'est un peu notre radar environnemental maison. L'idée est partie d'un caton qu'on a organisé en interne en 2021. qu'on avait baptisé EcoHack, et on avait demandé aux collaborateurs comment rendre nos apps plus responsables, plus sobres énergétiquement. Il y a une équipe qui a travaillé là-dessus et qui s'est dit « et si on allait créer un outil qui nous permet de traquer notre consommation énergétique des applications ? » Par exemple, une des premières choses dont ils se sont rendus compte à l'époque, c'est que la taille des images était énorme sur nos applications. En fait, juste en réduisant la taille des images, ça n'affectait pas la qualité des profils, la qualité des photos. Et ça a permis de réduire, je crois, plus de 35 fois notre consommation carbone.
- Speaker #2
Une optimisation de taille du fichier.
- Speaker #3
C'est exactement ça. Et maintenant, dès qu'il teste une nouvelle fonctionnalité, avant que ça parte en prod, il la teste via le produit pour aussi voir un petit peu la consommation. Dès le début, on pense à l'éco-conception. On l'intègre vraiment dans le processus de production, de mise en prod.
- Speaker #0
C'est vraiment un outil de pilotage au quotidien. Et si ça ne respecte pas nos engagements, nos mesures, un peu tous les KPIs qu'on s'est mis, on ne le fait pas.
- Speaker #2
Un seuil d'alerte.
- Speaker #0
Oui, exactement. Le green tool, le mesure, il t'a vraiment comme les cours, mais tu es dans le vert, ça va être OK. Tu es dans le rouge, ça ne passe pas, tu retravailles.
- Speaker #2
Côté maintenant un peu plus publicité, votre cœur de métier, Mythique a obtenu le label production responsable sur ses dernières campagnes. Quel a été le plus grand défi pour obtenir justement ce label ?
- Speaker #0
Quand on a fait nos briefs aux agences, on a cette charte RSE qu'on fait signer le plus possible à nos prestataires. Et donc là, avec le tournage, l'idée... C'était d'embarquer tout le monde, c'est-à-dire que ce soit les équipes créa sur tout ce qui va être storytelling de campagne, mais aussi la régie, la prod, le transport. Effectivement, on pense tout de suite au transport. Bien sûr qu'on ne fait plus de shooting à l'autre bout du monde en prenant l'avion avec des énormes matériels. C'est vraiment réduit, on part en train. S'il doit y avoir des recrutements ou quoi, on fait sur place, comme ça, ça évite de déplacer les personnes. Mais on s'est rendu compte aussi sur les plateaux repas. Tu vois, sur des choses comme ça, les productions de décors.
- Speaker #2
Sur cette dernière production, vous avez pu avoir l'empreinte carbone assez précise, qui était de 38 tonnes équivalent en CO2. Quelles ont été les surprises et les prises de conscience majeures ?
- Speaker #0
Oui, c'est vraiment la façon dont on tourne. Dès le début, ce que je disais, dès le brief, c'est-à-dire dès la réflexion de tout ce qui va être axe créatif, c'est comment on se dit qu'on veut réutiliser le même décor pour faire différents tournages, parce qu'on tourne aussi pour plusieurs marques. Plusieurs marques dans le portefeuille chez Match Group. Et donc c'est comment tu optimises tout ça. Et donc en fait, dès le début, dès le tournage, tu te dis, bon bah ok, si on est dans un studio, qu'il faut que je tourne pour tel moment, telle campagne, etc. C'est comment je réutilise mon décor, comment il me resserre sur quelque chose d'autre. Mais voilà, et donc c'est vraiment dès le début. Et là je me dis, en fait, ça retravaille tout l'axe narratif.
- Speaker #2
Comment vos agences partenaires ont accueilli le guide marketing Plus Vert ? si vous avez rencontré des résistances, des contraintes ou est-ce que ça a été plutôt bien atelier chez tout le monde ?
- Speaker #0
Non, au contraire, c'est plutôt un best practice et à chaque fois, les gens nous disent « Ah ouais, mais vous faites ça ? Ah non, mais c'est génial ! » Il y a à chaque fois beaucoup de surprises, de se dire « Ah ouais, un acteur de la tech fait autant attention à tous ces petits détails. » C'est vraiment quelque chose qu'on pourrait presque commercialiser, évangéliser. Mais non, c'est très bien aussi.
- Speaker #2
On sait que vous avez organisé une fresque du numérique pour le COMEX. Qu'est-ce qu'il en est ressorti et est-ce qu'il y a eu des décisions stratégiques qui ont pu être prises suite à cette fresque ?
- Speaker #3
C'est vrai que d'avoir ce genre de format pédagogique, ça permet aussi de prendre conscience sur certaines choses qu'on faisait, les pratiques, côté marketing, je sais que Clarisse en a beaucoup parlé, mais c'est là où on a eu beaucoup de réalisations. Côté tech, je pense que la vague est déjà passée dans le sens vu que le projet, par exemple, Green Tool, avait été lancé en 2021. Eux ont déjà eu ces réflexions en amont et maintenant, eux, c'est vraiment intégré dans leur process. mais c'est aussi qu'est-ce qu'on peut faire dans la vie de tous les jours et décisions stratégiques. C'est le COMEX qui nous dit, prochain événement qu'on organise pour nos collaborateurs, j'ai envie qu'on fasse attention si il y a notre empreinte carbone. Et j'ai Mathieu Jacquier, le PDG de Mythique et Match, qui est venu me voir en me disant, là on va organiser notre séminaire annuel, je ne veux pas de bouteilles d'eau, je veux que les gens utilisent le maximum de gourdes, pas de plastique à usage unique. et en fait se dire que le PDG...
- Speaker #0
qui, voilà, tous les jours... Oui,
- Speaker #3
c'est ça, tous les jours, ils gèrent une boîte, ils gèrent le business, viennent nous voir en disant, non, mais en fait, je veux que cet événement qui célèbre les employés, on fasse aussi attention à notre empreinte carbone et on en discute. Et c'est ça que je trouve génial, quoi. C'est vraiment de la stratégie à l'opérationnel.
- Speaker #2
Maintenant, côté plus impact sociétal, inclusion, qui est souvent un petit peu le côté délaissé de l'ARSA, vous ne parlez pas uniquement d'environnement. Qu'est-ce que vous faites comme lien, justement, pour amener un peu plus d'enjeux sociétaux ?
- Speaker #3
Déjà, RSE, responsabilité sociétale et environnementale. Et on trouve que le S, il est parfois un petit peu oublié. Et c'est un peu les deux faces de la même pièce. Si on veut un monde plus durable, il faut aussi que ce soit peut-être un peu plus inclusif et équitable. Nous, l'engagement social, c'est le cœur de notre métier. On aide les célibataires, donc on ne peut pas se dire que c'est un non-sujet.
- Speaker #2
Vous avez aussi mis en place des actions concrètes chez vous, comme du bénévolat de compétences, une question de dons, des courses caractéristiques. Qu'est-ce que vous pouvez me dire sur ces actions qui engagent vos collaborateurs sur la partie sociétale ?
- Speaker #3
Ça fait aussi partie de l'expérience collaborateur. Comme on fait attention à notre empreinte carbone et nos usages au sein du bureau, on essaie aussi d'embarquer nos collaborateurs et nos collaboratrices dans cette démarche-là. Donc c'est vraiment tout au long de l'année, on a des temps forts où on propose à nos collaborateurs d'aller s'engager auprès d'une association pendant une journée. Donc ça, on le fait deux fois dans l'année. Après, sur le reste de l'année, comme tu le disais, on a tout ce qui est courses caritatives. Donc on fait des partenariats. Par exemple, pour le semi-marathon de Paris cette année, on a fait un partenariat avec Règle Élémentaire. Donc en fait, on a pris un dossard solidaire et on a fait un don au nom de l'entreprise. Et après, on a encouragé nos collaborateurs à abonder ce don encore plus auprès de leurs proches, etc. Voilà, des petites affiches, je cours pour Règle Élémentaire. ... C'est des collectes au sein des bureaux. Il y a plein de choses qu'on met en place pour se dire, en entreprise, on a aussi un rôle à jouer. Et vous, individuellement, en tant que collaborateur, vous avez aussi ce rôle-là.
- Speaker #0
Il y a cet emfort, mais il y a aussi au quotidien le kilomètre 4 change. Tu peux enregistrer. Typiquement, je viens à pied, tu peux enregistrer tout ça. C'est quand même assez chouette de dire, je ne prends pas le transport, j'ai la chance d'être à côté du bureau, mais chaque pas compte. Ce que je te disais tout à l'heure, c'est dans la somme de tous ces petits détails qui fait qu'au final, on a un impact. bien plus raisonnable sur notre planète.
- Speaker #2
Est-ce que vous avez un retour sur l'impact de toutes ces actions sur l'engagement de vos collaborateurs ?
- Speaker #0
Ah bah oui,
- Speaker #3
c'est sûr que tout le monde nous dit « mais c'est génial, c'est trop bien de travailler chez Mythique » . En arrivant, je ne pensais pas que vous faisiez autant de choses. Chacun s'y retrouve en fait. Tu as des préférences, tu préfères aller courir, bon bah « Kilometre for Change » , tu es plutôt bénévolat de compétences, bon bah je vais m'engager une journée dans une association.
- Speaker #2
Maintenant, sur toutes ces actions, est-ce que vous allez… rencontrer certaines limites ? Qu'est-ce qui peut être difficile à mettre en place aujourd'hui, malgré toute la volonté que vous pouvez avoir ?
- Speaker #0
On est dans une boîte tech, donc on va dire le plus gros challenge pour nous, c'est ce dont parlait Manon avec le Green Tool, mais c'est le développement de nos produits. On est toujours dans cette innovation, mais c'est comment cette innovation est de plus en plus responsable, parce que le Green Tool, c'est un indicateur, mais dans le cœur du produit, c'est ça qu'il faut aller travailler tout le temps. Là, je dirais notre plus gros défi, c'est de se dire OK, comment... À chaque fois qu'on va vouloir développer quelque chose, une nouvelle fonctionnalité, un nouveau service pour les célibataires, comment on le rend, dès le début, moins impactant ? C'est de continuer à innover, pas être en décrochage, mais de le faire avec éthique.
- Speaker #2
Ça fait plus de 20 ans que vous êtes dans ce marché-là. À quel moment est-ce que vous vous êtes dit, voilà, là, on a vraiment un rôle à jouer aujourd'hui ? pour transformer le secteur.
- Speaker #0
C'est vraiment l'arrivée de Mathieu Jacquet en tant que PDG. Lui-même est extrêmement engagé, on va dire d'un point de vue personnel. Quand il a pris la tête de l'entreprise, il s'est dit, moi, à mon niveau, mon impact, là aujourd'hui je suis à la tête d'une société, un mythique match, c'est énorme, c'est présent au niveau mondial, comment je fais ? Et donc, des actions encore une fois très concrètes, ça ne sert à rien de se dire, je vais faire une énorme stratégie. Il s'est dit, ça part de chacun, donc déjà... A l'époque, dans les bureaux, on avait des gobelets. Je ne sais plus combien on consommait de gobelets. Je pense, il y aurait peut-être une bêtise, on revérifiera, mais c'était genre 300 gobelets plastiques par jour. Mathieu, il est arrivé, il a dit, ça, c'est terminé. C'est ciao. C'est lui qui a voulu être acteur du changement aussi en signant le contrat climat, en se disant, en fait, il faut se fixer un cap des objectifs, des mesures. Parce qu'en fait, OK, là, on est bien, mais comment on fait pour faire mieux ? Donc tu mesures et c'est là où tu te dis, ok, je vois la courbe descendre et c'est ce qui motive aussi les équipes.
- Speaker #2
Si aujourd'hui, vous aviez quelque chose pour inspirer d'autres boîtes tech, des conseils pour les décider de s'engager un peu plus, qu'est-ce que vous pourriez leur dire ?
- Speaker #0
Je dirais qu'il n'y a pas de petits gestes, vraiment, qu'on ne peut pas tout maîtriser dès le début. Nous-mêmes, on continue d'apprendre, etc. Il ne faut pas attendre d'être parfait, mais ça, je crois que c'est pour tout. Et puis, je pense vraiment se fixer un cadre. des objectifs, des KPIs, pour mesurer tout ce qu'on fait. Et puis, continuer, ajuster, c'est vraiment le test and learn, mais c'est ça que je conseillerais, c'est d'y aller.
- Speaker #3
Je dirais aussi que ce n'est pas forcément tout le temps stratégique. La RSE, ce n'est pas juste une stratégie d'une entreprise, etc. Et souvent, les meilleures idées, elles naissent aussi autour d'un café. On se rencontre au bureau, j'ai pensé à ci, j'ai pensé à toi. Moi, j'ai des gens qui viennent me voir en me disant « Ah, mais Manon, on ne pourrait pas organiser un événement RSE ? » Et on a créé le mois de la RSE chez nous cette année, par exemple. Et les gens nous ont dit, mais c'est génial. En fait, on ne sait pas tout ce que vous faites en termes de RSE. Et là, au cours d'un mois, toutes les semaines, il y avait une activation. Et les gens nous ont dit, mais en fait, c'est génial tout ce que vous faites. Et ça, c'est arrivé au détour d'un café. On a lancé un challenge email. Un collaborateur qui nous a dit, mais comment est-ce qu'on pourrait faire pour réduire les mails des gens ? Ça consomme beaucoup. Un autre qui a dit, moi, j'ai une idée. Est-ce qu'on ne ferait pas un jeu ? On prend un instant T les données des mails, deux semaines plus tard on regarde et celui qui a gagné, on lui offre quelque chose. Et ça c'est né de conversations entre nous, la machine à café, et du fait que chacun se sente aussi impliqué.
- Speaker #2
Justement sur tout ce que vous faites, t'as très bien pour vous le projet RSE dont vous êtes le plus fier ?
- Speaker #0
Le plus fier c'est notre Green Tool quand même, d'avoir réussi à développer ça. Si toutes les boîtes tech comme nous mesuraient l'impact vraiment de tout ce qu'elles font, la planète irait bien mieux.
- Speaker #3
Je trouve que c'est vraiment mythique dans l'approche. Ça a été créé par les équipes, c'est pas venu du haut. C'est humain, c'est technique, c'est utile. C'est quelque chose dont on se sert tous les jours, dont on se sert pour itérer. Et puis je dirais, c'est un autre win aussi, c'est peut-être le label qu'on a mis sur la production responsable cette année aussi.
- Speaker #2
Et du coup, à l'inverse, pour le futur, les prochaines idées fortes pour votre engagement, qu'est-ce que ça pourrait être ?
- Speaker #0
On rêve d'un produit plus inclusif, ça serait vraiment ça, d'avoir quelque chose qui puisse ouvrir la rencontre à tout le monde, peu importe la question du genre. Aujourd'hui, on est limité par la technicité de notre produit, l'algorithme qui ne peut pas le faire. Mais avec toute cette évolution, de se dire que sans différence de genre, sans différence de personne, tu peux rencontrer grâce à une app de chez nous, faire de belles rencontres. plus inclusives.
- Speaker #3
Je dirais aussi au delà de juste mythique, nos marques en Europe etc on fait aussi partie d'un grand groupe et c'est réussir aussi à l'idée, le changement dans ce groupe là et d'accompagner en fait d'autres marques, d'autres équipes dans ces démarches là. de responsabilité environnementale ou sociétale, comment nous, tout ce qu'on fait à notre niveau, on peut aussi le diffuser au sein du groupe et que ça ait un impact global.
- Speaker #2
On arrive à la fin de notre épisode. Dernière petite question fétiche pour vous. Pourquoi c'est cool, la RSE ?
- Speaker #0
Pourquoi c'est cool, la RSE ? Parce que ça fait naître des beaux projets, des nouveaux récits. Je pense que ça rend les boîtes plus humaines et ça crée un collectif vraiment engagé. engagés.
- Speaker #3
Et moi, je dirais... Pourquoi c'est cool la RSE ? Parce qu'en fait, c'est l'affaire de chacun et de chacune et qu'on a tous notre rôle à jouer et que c'est cool parce que ça fait parler, ça ramène un cadre, ça inspire, ça met des petites graines et des petites germes un petit peu partout. Et j'espère que plus tard, on retrouvera un terrain un petit peu plus vert.
- Speaker #0
Ça nous rassemble, ça nous fait nous rencontrer.
- Speaker #2
Clarisse, Manon, merci beaucoup. Merci à toi. Et puis à bientôt.
- Speaker #0
À bientôt.
- Speaker #3
À très vite.