- Speaker #0
Cette roue, il y a tout à l'intérieur. Il y a la batterie, le moteur, l'électronique. C'est un produit qui est unique en lui-même. Ça nous a permis de remporter le concours Lépine, la médaille d'argent du concours Lépine l'année dernière. Donc il y a eu un vrai travail de développement derrière ça. On va s'engager parce que c'est hyper excitant.
- Speaker #1
Bonjour à tous, bienvenue dans ce nouvel épisode de Pourquoi c'est cool, la RSE. Aujourd'hui, on reçoit Marine Billis de Rebike. les locaux de naissance, la marque de boissons qui nous reçoit bien gentiment. Bonjour Marine, merci d'avoir accepté notre invitation.
- Speaker #0
Bonjour, merci de m'inviter.
- Speaker #1
Alors pour commencer, est-ce que tu peux nous parler de Rebike ? Qu'est-ce qu'est Rebike ? Quelle est l'histoire de Rebike ?
- Speaker #0
Alors Rebike, c'est une société qui commercialise des kits pour électrifier les vélos classiques. L'histoire, elle est un peu particulière parce que moi, au départ, je suis cofondatrice d'une société qui s'appelle T-Bike, donc le nom est légèrement différent. On commercialisait seulement un kit qui était une roue. connecté électrique à placer à l'avant du vélo, à rattacher en Bluetooth à une application et qui permet en 5 minutes d'électrifier son vélo. Et il y a quelques semaines, on a annoncé l'union de T-Bike avec une autre société spécialisée dans les kits d'électrification qui s'appelle Abelo, qui elle faisait des kits d'électrification aussi plus classiques. Depuis le 15 mai, le site Rebike est en ligne. On a toujours la fameuse roue. connecté électrique dont je vous parlais tout à l'heure et puis on a un autre kit qui s'appelle le kit Urban et qui va être un kit avec une batterie amovible et avec un câble à rattacher mais qui va permettre d'avoir une roue motorisée plus fine pour électrifier des vélos qui ne pouvaient pas être équipés de la roue T-bike initialement, qui avait un bloc moteur un peu trop conséquent pour les vélos de route ou les vélos de course par exemple. Et voilà, l'idée, c'est de permettre à n'importe qui, même sans compétence technique, de passer à l'électrique facilement. La roue, initialement, de T-Bike, c'est Laurent, qui était cofondateur de T-Bike et qui reste parmi les actionnaires de la nouvelle entreprise. Quand il était en Asie, il est tombé sur des cimetières à vélo. Et en voyant ça, il s'est dit que c'était une catastrophe parce que c'était des vélos qui étaient en très bon état. Mais les vélos, quand ils sont jetés en décharge, en fait, ils ne sont pas recyclables. Donc écologiquement, c'est une catastrophe. Et il s'est dit, ce n'est pas possible, il devrait y avoir, on peut trouver une solution pour leur donner une nouvelle vie. Et donc, il a pensé pendant plus de deux ans, tout le développement de la roue. Alors maintenant, elle s'appelle Cosmopolite. Il en a fait un produit qu'il a décidé, quand elle a été prête, de vendre pour commencer en France. Et c'est là que je l'ai rejoint et que vraiment, j'ai travaillé avec lui tout le positionnement de la marque, toute la partie plus communication parce que c'est ma spécialité. Et on a fondé T-Buy comme ça avant. de fusionner avec Abelo pour espérer conquérir des nouveaux marchés notamment à l'étranger et en Europe avec Rebike.
- Speaker #1
Est-ce que tu peux me raconter un peu ton parcours avant Rebike et d'où vient ton engagement et la volonté de créer une entreprise à impact ?
- Speaker #0
Moi de base je suis littéraire, j'ai fait Hippocène-Caen et ensuite je suis entrée au CELSA qui est une grande école de communication. J'ai très vite senti moi quand j'étais en entreprise en tant que salarié que ça me convenait pas du tout. et que j'avais besoin de plus de liberté et de faire les choses un peu plus comme j'avais envie de les faire. Donc j'ai repris mes études pendant un an via l'éthique, qui est une école qui a assez connu dans le digital. J'ai fait mon alternance chez Universal Music en tant que chef de projet digital junior et c'était ultra formateur. J'ai appris énormément de choses. J'ai pris la décision de partir de manière un peu brutale. J'ai posé ma démission et je me suis retrouvée un peu du jour au lendemain sans rien, mais je savais que... Moi, de toute façon, ce schéma-là et cette manière de fonctionner en entreprise ne me convenait pas du tout. J'ai fait un voyage, parce que j'adore voyager, et je fais pas mal de vélo. J'avais pris mon vélo un jour, je me suis dit, je veux à tout prix faire les îles Lofoten en Norvège, parce que je voyais des photos magnifiques. J'ai embarqué mon vélo dans l'avion et j'ai parcouru les îles Lofoten en vélo. C'était un voyage incroyable. J'avais beaucoup posté sur Instagram tout le détail de mon voyage. J'ai une amie à moi qui voyait mes stories. et qui est aussi l'ami de la fille de Laurent qui, à ce moment-là, était en train de se dire ça y est, je vais lancer mon projet en France. Et Laurent a dit à sa fille est-ce que tu n'as pas quelqu'un dans ton entourage qui fait de la communication ? Et du coup, ma copine a tout de suite pensé à moi parce qu'à ce moment-là, j'étais sur mon vélo, qu'elle savait que c'est ce que je faisais, la communication digitale. Et j'ai rencontré Laurent et en fait, dès qu'il m'a parlé du projet, ça m'a tout de suite... Il ne voulait pas sortir un truc un peu gadget parce qu'il voyait que ça fonctionnait bien, ça commençait à bien fonctionner en Asie. Il y avait une vraie mission derrière, un vrai objectif. Je voulais parler de ce truc de reconditionner des vélos et former des personnes qui pourraient en avoir besoin pour se remettre un petit peu le pied à l'étrier dans le monde du travail. Et ça, ça m'a vraiment beaucoup marquée parce que moi aussi, personnellement, j'aime bien avoir un impact le plus positif possible sur tout ce qui m'entoure. Et j'ai vu la sincérité dans sa démarche et pas juste un truc business. Et c'est ma manière de fonctionner aussi. Donc, j'étais super contente d'intégrer ce projet dès le départ.
- Speaker #1
Est-ce que tu peux me parler des solutions T-Bike ? Comment elles s'inscrivent dans une démarche de développement durable ? Et quel est l'impact direct sur la réduction de l'empreinte carbone ?
- Speaker #0
C'est vraiment le principe même de ces kits-là, c'est de permettre de garder son vélo. On ne jette plus, on garde ce qu'on a déjà. C'est pareil, c'est pour ça que la roue cosmopolite a été pensée comme ça. On s'est dit, on va repartir de l'existant. Donc du vélo existant, on repart aussi du téléphone que maintenant tout le monde a. ce qui nous permet de ne pas construire un boîtier supplémentaire, des câbles supplémentaires à rajouter. La connexion se fait en Bluetooth et vraiment l'idée sur tout ce qu'on a développé, c'est de repartir de ce qu'on a déjà pour arrêter de jeter à tout va et pour acheter du nouveau, qui en plus souvent va être beaucoup plus cher, qui va être parfois beaucoup plus lourd aussi. Et on sait aussi que là, les nouveaux vélos qui sont construits actuellement, la moitié c'est des vélos électriques, la moitié c'est des vélos musculaires. Donc on n'a pas de chiffre officiel sur... combien de vélos classiques sont jetés pour passer à l'électrique, mais ce chiffre est évidemment de plus en plus important. Et ça ne devrait pas être le cas parce qu'un vélo musculaire, normalement, à partir du moment où il est bien entretenu, il devrait devoir durer toute une vie. Les possibilités de réduction des déchets, qu'ils soient physiques ou que ce soit plus la pollution environnementale, ils sont énormes. Mais nous, tout notre enjeu, c'est de faire savoir que ça existe parce qu'on a encore la majorité des gens qui ont des vélos qui ne sont pas conscients, qui peuvent électrifier leur vélo. en posant un simple kit. Parce que des kits d'électrification, il en existe déjà plein. Il en existait avant que la marque Rebike ou T-Bike soient lancées.
- Speaker #1
Ils sont très complexes.
- Speaker #0
C'est vraiment pour des gens peut-être un petit peu geeks, il y a plein de câbles à installer. Ce n'est pas du tout à la portée de n'importe qui. La roue Cosmopolite, par exemple, on a décidé de la mettre à l'avant parce que la roue avant, c'est la plus facile à monter et démonter. Normalement, même sans compétences techniques, on est capable de le faire. on a décidé de la connecter à une application parce qu'il n'y a aucun câble à installer. Et vraiment, on a tout pensé pour que ce soit super simple et qu'il n'y ait aucune objection au fait de passer à l'électrique, si on veut passer à l'électrique. Après, pour ceux qui veulent continuer à rouler au musculaire, jamais de l'avis, on va leur dire non, il faut à tout prix passer à l'électrique. Notre but, c'est juste qu'il y ait un maximum de personnes qui prennent le vélo. On a beaucoup travaillé avec les apprentis d'Auteuil, ou même avec des ateliers de vélo, pour non seulement... électrifier des vélos musculaires qui sont déjà existants et qui sont plutôt en bon état, mais aussi pour récupérer des vélos qui partaient à la déchetterie ou des vélos dont une roue avait été volée et qui était laissée à l'abandon dans la rue. Ces vélos-là, avec les apprentis d'Auteuil, pendant un moment, on les a récupérés, on a formé des personnes qui étaient en réinsertion à reconditionner un vélo qui n'était plus forcément en très bon état, et ensuite ils l'ont électrifié avec la roue. Et on vendait tout un vélo qui était deux fois moins cher qu'un vélo électrique aux compétences similaires. Et en fait, on peut faire plein de choses. On peut aussi récupérer des vélos qui étaient censés plus fonctionner. Mais nous, notre but vraiment, c'est de faire en sorte qu'il y en ait de moins en moins qui soient jetés. pour passer à un vélo électrique complet.
- Speaker #1
Quels ont été les plus grands défis techniques ou commerciaux rencontrés lors de la conception et la commercialisation de la roue Rebike ?
- Speaker #0
Au niveau de la technique et de la conception, ça a été beaucoup de développement. Il y avait deux choses qui ont été compliquées. La première chose, c'est de réussir à tout faire tenir dans la roue. Là, je ne parle pas des autres kits qu'on commercialise avec Rebike, je parle vraiment de la roue cosmopolite. Cette roue, il y a tout à l'intérieur. Il y a la batterie, le moteur, l'électronique. Et d'ailleurs, la manière dont on a développé les choses fait que c'est un produit qui est unique en lui-même. Ça nous a permis de remporter le concours Lépine, la médaille d'argent du concours Lépine l'année dernière. Donc il y a eu un vrai travail de développement derrière ça. Il y avait aussi quelque chose qui était important et qui est souvent une question que les gens nous posent, mais le fait de mettre le poids à l'avant, est-ce que ce n'est pas dangereux en termes de... d'équilibre parce qu'on en avait pas mal qui avaient la référence du Solex il y a quelques années. Ça aussi, ça a été un énorme point de développement parce que bien évidemment, il était hors de question de commercialiser quelque chose qui puisse causer quelconque problème de sécurité. Donc on a vraiment réparti les masses au sein du bloc moteur pour que ça n'impacte pas la maniabilité du guidon. Et quand vous tournez d'un côté ou de l'autre, vous n'aurez jamais l'impression que vous risquez d'être déporté. Ça, c'est un gros, gros élément aussi qui nous a demandé beaucoup de travail. Et après, d'un point de vue commercial... C'est vraiment de faire savoir que ça existe. On travaille de plus en plus avec des communautés de communes par exemple, mais en fait on se rend compte que même les spécialistes, les personnes qui sont en charge des mobilités dans les villes, dans les entreprises, ils ne savent pas que ça existe, la majorité ne savent pas que ça existe. Donc il y a un énorme enjeu de communication.
- Speaker #1
Comment Rebike encourage une mobilité plus durable et accessible dans les zones urbaines et rurales ?
- Speaker #0
On propose de la location aussi, donc ça, ça peut être une façon de tester sur du plus ou moins long terme. les produits. Et puis après, nous, à l'échelle des villes, c'est ce que je disais tout à l'heure, on commence de plus en plus à travailler avec des communautés de communes qui, elles, ont accès à des subventions pour permettre à leurs administrés de se déplacer plus avec les mobilités douces. Et dans ce cadre-là, on a plusieurs communautés de communes avec lesquelles on travaille qui proposent de la location aussi, mais grâce aux aides dont elles bénéficient. En fait, il y en a qui proposent de la location à 10 euros par mois pour une roue qui a les capacités d'un vélo qui va coûter 1 200 à 1 500 euros. En fait, ça rend le truc encore plus accessible et on travaille vraiment de plus en plus à prendre contact avec les villes.
- Speaker #1
Toutes les personnes qui écoutent le podcast et qui ont envie, qui sont séduites par la solution. Quelle est la marche à suivre pour passer le pas ?
- Speaker #0
Sur le site rebike.fr, c'est R-E-E-B-I-K-E. La personne qui va arriver sur le site, dès la page d'accueil, elle va avoir un bouton qui s'appelle Quel kit pour mon vélo ? et elle va pouvoir répondre à quelques questions pour savoir, en fonction du vélo qu'elle a et en fonction aussi des types de déplacements, nous, ce qu'on lui recommande comme produit. Et après, il y a juste à passer commande sur le site. La roue, elle est homologuée, ce qui veut dire qu'elle est éligible aux subventions. Typiquement sur Île-de-France, il y a une aide qui est d'un peu plus de 200 euros je crois. La roue cosmopolite et le kit urbain, ils coûtent 650 euros. Encore une fois, en termes de performance, c'est l'équivalent d'un vélo électrique qui va coûter plus de 1000 euros. Si en plus on arrive à y ajouter une aide, et même sans aide, ça reste super intéressant. Avec une aide, voire parfois le forfait mobilité durable qui est mis en place par de plus en plus d'entreprises, on a des personnes qui se sont retrouvées avec une roue quasiment offerte. Après, on a un dernier kit qui est le kit Explorer où là, c'est une batterie rack, donc batterie sur le porte-bagages avec beaucoup plus d'autonomie, donc qui va coûter 1050 euros. C'est pour des utilisations un petit peu différentes, mais on a ces trois solutions et plein de possibilités de financement qui peuvent exister.
- Speaker #1
Sur la partie production de la roue, quelles sont les mesures que vous avez prises pour qu'elle soit la plus responsable possible ?
- Speaker #0
Pour l'instant, et comme pour tous les vélos électriques qui existent, on est assez dépendant. d'une production en Asie. On espère que ça pourra changer à un moment ou à un autre, mais pour l'instant, notamment sur tout ce qui est électronique, en termes de rapport qualité-prix, malheureusement, ce qui se fait de mieux est encore là-bas. Nous, par contre, dès que les kits arrivent chez nous, dans nos ateliers, on essaye de tout faire pour que ça ait un impact le plus positif possible à différents niveaux. Donc typiquement, tout ce qui est l'empaquetage, le packaging. Ça, on le fait en partenariat avec un ESAT. On a beaucoup travaillé avec les apprentis d'Auteuil et avec des ateliers qui permettaient la réinsertion de personnes en les formant. Et ça, c'est important pour nous parce que l'impact social dans la manière dont Laurent a réfléchi toute l'entreprise qu'il a voulu créer au départ, c'était super important. Et ce n'était pas juste avoir un produit. qui permettent de réduire la pollution, même si c'était très important, c'était aussi de pouvoir réussir à impacter positivement la société et les différents partenaires avec lesquels on travaille.
- Speaker #1
Et c'est quoi alors le futur de Rebike ? Est-ce qu'il y a des développements à venir ?
- Speaker #0
Nous, on aimerait beaucoup développer encore plus tous les partenariats avec des ateliers locaux. En fait, ça fait vivre tout le système des villes, ça emploie beaucoup de personnes. Et après, on aimerait vraiment réussir à s'ouvrir un petit peu plus à l'Europe. Il y a vraiment de quoi faire. Il y a encore assez peu de kits qui sont développés même dans les autres pays. Donc, on a notre place. Et ce sera juste une affaire, encore une fois, de communication et probablement de levée de fonds pour être en mesure de tout financer.
- Speaker #1
Il n'y a aucune autre solution similaire à Rebike qui existe dans le monde ?
- Speaker #0
Si, il y en a. Alors, il y en a une qui s'appelle Switch, dont on voit beaucoup de publicité, mais ils sont en précommande depuis plus d'un an. Donc, on ne sait pas trop où ils en sont. En fait, la majorité des... D'autres kits qui existent, souvent, ils sont beaucoup plus complexes à installer. Et nous, c'est vraiment la simplicité qui nous différencie de la quasi-totalité. L'accessibilité, pour nous, c'était vraiment, aussi bien en termes de prix qu'en termes d'installation, qu'en termes d'utilisation. C'était vraiment notre maître mot et c'était l'objectif qu'on avait depuis le départ.
- Speaker #1
On arrive à la fin de cette interview. Quel message, toi, t'aimerais transmettre aux auditeurs ? au grand public en général.
- Speaker #0
Dans le secteur de la mobilité, il y a plein de choses qui se créent, il y a plein d'entrepreneurs qui réfléchissent à des nouvelles manières, d'inventer des nouvelles solutions qui vont matcher avec les besoins de chacun pour leur permettre de manière pratique, parfois fun, de se déplacer autrement. Donc il ne faut pas hésiter à se renseigner, à poser des questions et à tester. On valorise énormément sur notre site la possibilité de tester, que ce soit par la location, mais on a aussi des ambassadeurs, donc c'est des clients. qui proposent de faire tester leurs vélos équipés de, pour l'instant seulement la roue cosmopolite, mais bientôt aussi du kit urbain, autour de chez eux.
- Speaker #1
À titre pro ou perso, c'est quoi ton impact aujourd'hui ? C'est quoi l'impact que tu aimerais avoir dans 5 ou 10 ans ?
- Speaker #0
Je vais parler à titre pro et notamment à l'échelle de Rebike. Nous, on serait trop contents dans 5-10 ans d'avoir des millions de vélos parce qu'il y a vraiment de quoi équiper des millions de vélos. On a 50% des Français qui ont un vélo musculaire chez eux, donc il y a vraiment de quoi faire. On serait trop content de se dire qu'on a des millions de personnes qui roulent avec nos kits. Ça voudrait dire qu'on aurait des millions de vélos qui n'auront pas été jetés et qui n'auront pas généré une pollution qui n'est pas récupérable. Et ça voudrait dire aussi que sur ces millions, il y en aurait des milliers, peut-être des millions aussi, qui auraient mis un peu de côté la voiture et qui auraient participé à leur échelle à réduire un petit peu toute la pollution qui est générée. par la voiture aussi. On serait trop heureux de pouvoir avoir ces chiffres dans 5-10 ans. Je pense que c'est complètement faisable. Et peut-être de revenir dans votre émission pour vous annoncer ce genre de chiffres ultra croissants qui seraient une super nouvelle pour la planète.
- Speaker #1
Dernière question, notre question préférée. Marine, pourquoi c'est cool la RSE ?
- Speaker #0
C'est cool à RSE parce que c'est une manière, en tout cas chez Rebike, nous on s'éclate tous les jours. On développe un produit qui permet d'avoir un impact sociétal, environnemental. On a des retours qui sont ultra cool, de gens qui sont trop contents d'avoir gardé leur vélo, parfois d'être remontés à vélo. Et puis on développe des produits qui sont super innovants, où à chaque fois on a un peu un effet waouh quand les gens l'utilisent, parce qu'ils ne s'attendent pas du tout à ce type de performance. Et même à se dire qu'en changeant juste une roue, on peut rendre son vélo électrique. Donc, il y a tout ce côté innovant, nouveaux produits, nouveaux usages qui est super cool à mettre en place. En tout cas, on s'éclate et on espère qu'on sait en tout cas que les gens qui utilisent nos produits s'éclatent aussi quand ils sont sur leur vélo. Donc, pour l'instant, tout est plutôt cool.
- Speaker #1
Merci beaucoup, Marine.
- Speaker #0
Merci à vous.