- Speaker #0
Vous vous entendez souvent parler de RSE, même si on ne sait pas toujours ce que c'est. Vous vous entendez dire aussi que la RSE c' est compliqué à mettre en place, et que c'est coûteux, voire anxiogène pour une entreprise. Dans ce podcast, on va démystifier cette fameuse responsabilité sociétale des entreprises. On va aller à la rencontre des acteurs du changement inspirants. On va explorer des réussites concrètes, comme les échecs d'ailleurs, parce que c'est souvent dans l'échec qu'on apprend le plus. Le but ? Vous démontrer que la RSE est une vraie source d'opportunités passionnante. On va donc vous parler de ces boîtes qui s'engagent, font bouger les choses, participent au changement en ayant un impact positif et qui le disent, ou qui ont besoin qu'on le dise et qu'on le fasse savoir. Pourquoi c'est cool l'ARSE épisode 6 ? Vous saviez que le fruit du jacquier pouvait aider à sauver le monde ?
- Speaker #1
Bonjour à tous, aujourd'hui je suis sur la terrasse des bureaux de Nudge avec Foucauld Peuchot, son co-fondateur. Merci de nous recevoir ici, c'est super agréable. Est-ce que tu peux me présenter un peu Nudj ? Qu'est-ce que vous faites chez Nudj ?
- Speaker #2
Nudj, c'est la première marque d'alternative à la viande à base d'ingrédients 100% naturels, avec des produits comme des galettes, des nuggets, bientôt des boulettes et d'autres produits. Mais on ne cherche pas à imiter la viande. Nous, ce qu'on veut faire, c'est des produits qui sont sans ingrédients ultra transformés.
- Speaker #1
Vous fabriquez vos produits à base de jacquiers, la plupart des produits ?
- Speaker #2
La manière dont on arrive à proposer des produits 100% naturels, c'est en utilisant le fruit du jacquier. Le fruit du jacquier, c'est le plus gros fruit du monde, ça peut peser jusqu'à 50 kilos. Et en fait, c'est la plus vieille alternative à la viande du monde. Ça fait plus de 6000 ans que les Indiens l'utilisent comme alternative à la viande. En Épilogne-Los-Axons, il est très connu comme alternative végétale parce qu'en fait, il a une texture hyper fibreuse. qui ressemble un peu à de la viande bien cuite et qui se mélange très facilement avec des ingrédients. Donc il y avait une forme d'évidence à utiliser ce fruit comme matière première. Et en plus de ça, c'est un fruit qui pousse en surabondance. Nous aujourd'hui, on va le chercher au Sri Lanka où on travaille avec des communautés de fermiers en commerce équitable. Donc quand tu vas sur place, c'est impressionnant parce que tu vas avoir des plantations de mangue, de banane, de lot de cajou et puis du jacquier qui pousse à la perte de vue, qui ne nécessite pas d'intrants, qui résiste à la sécheresse. Donc on estime que 80% de la production de jacquier sur terre est laissée à pourrir. Donc nous on vient valoriser un fruit qui jusque là était inexploité, qui historiquement est une alternative à la viande, qu'on importe évidemment par bateau dans des conteneurs non réfrigérés. Donc nos produits ils émettent 18 fois moins de CO2 que du bœuf, 4 fois moins que du poulet. Et ensuite on transforme ça chez notre partenaire industriel qui est Nutrition Santé, qui est un industriel historique sur le marché du végétal. et on s'occupe ensuite de la commercialisation de nos produits.
- Speaker #1
Est-ce que tu peux me parler rapidement un peu de l'impact de la viande ? L'empreinte carbone d'un steak comparée à celle d'un repas à base de jaquets ?
- Speaker #2
En fait, le problème de la viande, si tu veux, il n'est pas que sur l'impact carbone. Aujourd'hui, tu as plein de raisons qui poussent les gens à réduire leur consommation de viande. La première raison qui poussait les gens à réduire leur consommation de viande, c'était la santé. Souvent, les médecins, quand ils sont malades, te disent réduise un petit peu votre consommation de viande rouge en France, la consommation moyenne d'un Français, c'est 1,5 kg de viande par semaine. L'OMS, l'Organisation Mondiale de la Santé, recommande un maximum de 500 grammes. Mais ensuite, tu as évidemment la question du bien-être animal. C'est quand même 93 milliards d'animaux par an qui sont tués pour la consommation humaine. C'est colossal. C'est 75 milliards de poulets chaque année qui sont tués. Le poulet, c'est l'animal numéro un. quand tu le plus et puis ensuite tu as évidemment l'écologie donc si on veut remplir nos objectifs de réduction d'émissions carbone à l'échelle nationale il faudrait que les français réduisent par deux divise par deux leur consommation actuelle de viande tu as 57% des français qui déclarent vouloir réduire leur consommation de viande donc c'est énorme je ne suis plus d'un français sur deux et pourtant dans les chiffres on se rend compte que la consommation elle ne va il faut faire attention à ce qu'on mange il faut lire les X d'ingrédients et en fait quand tu ne comprends pas ce que tu manges ça ne donne pas nécessairement envie il y a un réel effort qui est fait aujourd'hui pour aider les consommateurs à végétaliser leur assiette et c'est super des marques comme Beyond Meat elles ont permis au marché de se structurer on ne serait pas là sans ces marques là en France je pense notamment à Lévi qui fait un travail fantastique sur le La végétalisation, c'est génial pour les consommateurs qui ont besoin de retrouver ce goût de viande. Nous, on adresse un marché qui est un peu différent. On ne vient pas répondre à cette promesse d'imiter la viande. Par contre, on remplace le moment. Donc le moment, tu vois, avec des formats qui sont simples à comprendre pour le consommateur. Ce sera des nuggets, des galettes. Et c'est pour le consommateur qui n'a pas nécessairement envie de retrouver ce goût de la viande. Mais d'ailleurs, 98% des consommateurs d'alternatives à la viande, ils mangent de la viande. Donc nous, ce qu'on pense, c'est qu'à terme, les gens réduiront pour s'orienter vers des produits qui sont naturels et qui proposent une expérience différente.
- Speaker #1
Quels sont du coup les bénéfices des alternatives végétales que tu proposes ?
- Speaker #2
Alors, je pense que c'est important quand même de redire à quel point toutes les alternatives végétales aujourd'hui... sont indispensables. Tu vois, qu'elles soient naturelles ou ultra transformées. Aujourd'hui, il y a plein de consommateurs qui ont besoin d'alternatives à la viande, qui imitent la viande, de simili-carnets. Nous, si tu veux, notre volonté, c'est vraiment de pouvoir être complètement transparent avec le consommateur. Sur nos emballages, on a écrit notre liste d'ingrédients, elle prend plus de la moitié du pack.
- Speaker #1
Et nutritionnellement, le jacquier, qu'est-ce que ça apporte ?
- Speaker #2
Ce qu'on vient apporter avec une alternative à base de fruits, c'est de permettre justement d'apporter plus de fibres et de diversité dans ton alimentation.
- Speaker #1
Moi, je connais pas mal de gens qui aimeraient manger moins de viande parce qu'ils ont conscience de ce que ça peut amener. Mais ils ont du mal. Ils ont du mal à baisser leur consommation. Ils ont du mal à trouver des alternatives qui leur plaient. Donc déjà, c'est cool de proposer des nouvelles alternatives. Bravo. Mais quel conseil tu pourrais donner à une personne dans cette situation ?
- Speaker #2
Pour le moment, c'est dur. Et je dirais... qu'en fait il ne faut pas le voir comme une question d'effort. Moi je mangeais de la viande avant, ce n'est pas vrai que c'est difficile de réduire sa consommation de gras. Si tu en manges trois fois par jour, de passer de trois à deux. Finalement, est-ce qu'il faut vraiment parler d'effort ? En fait, il faut juste parler de changement. Il y a un moment où il faut se dire qu'on n'a plus le choix. Et je pense que c'est typiquement avec le genre de travail que toi tu fais, tu vois, on fait des podcasts sur la RSE, on alerte un petit peu les gens sur la réalité climatique, que les gens, petit à petit, vont se rendre compte que oui, en fait, ce n'est pas juste un effort qu'on leur demande de faire, c'est une forme d'évidence de devoir faire ça. Je suis d'accord avec toi,
- Speaker #1
il y a l'importance de la sensibilisation. Et comme tu dis, il y a aussi l'importance de l'image. Il faut rendre finalement ça cool. Donc il y a une espèce de combat sur l'image, sur la communication à avoir là-dessus.
- Speaker #2
Je pense que tu as raison. C'est bien de voir qu'il y a plein de marques qui émergent et qui démocratisent le végétal. Et à la fois, moi je trouve ça un petit peu dommage qu'on ait besoin de marketing pour faire changer les habitudes de consommation. Est-ce qu'on n'a pas besoin de moins de marketing et d'un peu plus de bon sens ? Est-ce que c'est à coup de vidéos TikTok bien montées qu'on arrivera à réduire notre empreinte carbone et à se remettre sur le bon chemin ? Est-ce que finalement, ce n'est pas peut-être plus de la pédagogie, de l'éducation ? Est-ce que ce n'est pas plus dans les écoles qu'il faut investir plutôt que le marketing ?
- Speaker #1
Je vais te raconter une petite anecdote assez marrante. J'ai un oncle qui est végétarien depuis 30-40 ans, à une époque où c'était moins courant qu'aujourd'hui. Et en fait, tout petit, il m'a sensibilisé à ça, au bien-être des animaux. Et donc, tout petit, je suis devenu végétarien. Et en fait, pendant des années et des années, j'ai envie de dire la société, les gens autour de moi, même ma famille, me poussaient à manger de la viande parce que ce n'était pas normal que j'allais être chétif plus tard, etc. toute une pression pour remanger de la viande, ce que j'ai fini par faire des années après. Et en fait, il y a un vrai problème de point de vue de la société là-dessus. C'est en train de changer. Mais voilà, un vrai souci là-dessus.
- Speaker #2
Moi, c'est exactement pareil. Quand j'étais petit, je n'aimais pas du tout ça. C'est des souvenirs qui sont terribles de déjeuner en famille. Tu te retrouves avec des morceaux au fond de ta bouche, à les balancer dans les toilettes après le déjeuner que tu gardes pendant une heure. Et finalement, après 10-15 ans, de devoir en bouffer tout le temps, tu commences à t'habituer. Moi, j'ai détesté ça jusqu'à mes 17 ans et j'ai réarrêté à 25 ans. donc je vois très bien et effectivement en fait la chance qu'on a aujourd'hui en 2024 c'est qu'en fait plus personne ne te fera ce genre de remarques enfin en tout cas plus personne si je pense qu'il y a encore un travail à faire toujours des moqueries quand même sur les personnes vegan mais beaucoup moins et notamment grâce à des marques qui ont investi des millions pour rendre ça beaucoup plus acceptable donc je pense que oui la communication joue pour beaucoup et aujourd'hui je pense que tu aurais moins ce problème de prendre force à manger des viandes je pense qu'il y a encore un discours sur la santé où on essaie de nous faire croire que oui la viande c'est indispensable pour les questions de santé, aujourd'hui on sait que c'est pas le cas et le but j'ai même envie de dire c'est même pas de faire des remarques l'idée c'est pas d'imposer les choses aux gens, c'est de leur donner envie et encore une fois je reviens à ce que tu fais la meilleure des solutions c'est d'expliquer clairement le problème et que les gens en pleine conscience du problème, prennent des décisions et adaptent leurs habitudes de consommation.
- Speaker #1
On va en parler un peu de la création de Nudge. Vous êtes deux frères à avoir fondé Nudge. Qu'est-ce qui vous a inspiré, toi et ton frère, à entreprendre ensemble ? Et pourquoi ce secteur ? Pourquoi ce fruit ?
- Speaker #2
Bart est venu me voir en 2019. Lui, il est économiste de formation. Bart, c'est un écolo de la première heure. On a eu la chance de pouvoir démissionner et avoir une rupture courte, ce qui est fantastique parce que ça permet d'avoir un petit salaire le temps de monter ton projet, en regardant un petit peu ce qui se faisait. sur le marché des alternatives à la viande et puis de manière un peu plus globale d'un point de vue historique en fait on s'est rappelé du fruit du jacquet qu'on avait découvert il y a 12 ans pendant un voyage qu'on avait fait en Inde donc on a commencé à cuisiner un peu on s'est fait des grands dîners avec des copains où on avait acheté du fruit du jacquet chez Frère Tang on mélangeait avec de la sauce barbecue ensuite de la panure, on faisait des nuggets on a fait des petits tests et écoute finalement c'était hyper bon C'était hyper bon, alors c'était faire la cuisine, mais c'est vraiment à l'issue d'un dîner avec 5-6 copains, on s'est dit, moi j'ai été convaincu, ça n'avait pas le goût de la viande, ça avait une bonne texture, on a réussi à faire un truc pas dégueulasse dans notre petite cuisine, pourquoi pas. Ensuite, on a travaillé avec des chefs et des ingénieurs agronomes. Et donc l'importance de travailler avec des chefs, c'est parce qu'en fait... Quand tu travailles dans les voies alimentaires et que tu utilises des ingrédients ultra transformés, c'est facile d'avoir des produits qui sont longs. Tu mets un peu d'arôme de truffe, un peu d'arôme de poulet et puis tout va jouer. Quand tu t'interdis d'utiliser des ingrédients ultra transformés parce que tu veux faire de la cuisine naturelle, il faudrait avec des gens qui connaissent vraiment les ingrédients. Et donc, on s'est associés avec des chefs et ça a pris beaucoup de temps. Ça nous a pris un an et demi. Il y a eu plus de 180 à les retours sur des dosages. Est-ce que je mets un peu plus de paprika, d'où ? Il y a fumé de l'ail, de l'oignon, de la tomate. Énormément de tests, de tests consommateurs. Et puis au bout de deux ans, on est arrivé sur une recette qui ne semblait être prête. Et en parallèle de ça, on avait commencé à démarquer des industriels. En ce moment, on est en train de signer des partenariats avec plus d'enseignes de l'agroalimentaire parce qu'on est référencé aujourd'hui chez Monoprix, chez Monop, chez Cora, dans toute la France. On va bientôt arriver dans d'autres enseignes. Et donc là, les volumes deviennent bien plus importants. Et l'objectif pour nous, c'est donc de continuer dans cette lignée, de proposer aux gens nos produits en grande distribution. dans les enseignes que tu connais, Carrefour, Franprix, Auchan, Leclin, etc. Et à la fois, on ouvre le marché de la restauration collective, des cantines. C'est un marché qui est vraiment porteur pour des produits comme les nôtres parce que tu as une loi qui a été votée, mais qui a été mise en application depuis le 1er janvier 2024, qui est la loi EGalim. La loi EGalim, elle demande à la restauration collective d'avoir 20% de produits bio dans ses menus, un menu végétarien par semaine et 50% de produits responsables. Donc nous nos produits ils sont bio, ils sont végétariens, eux aussi ils sont 100% naturels. On a des produits qui plaisent aux chefs dans les cantines, ils sont hyper faciles à mettre en œuvre. Les enfants adorent nos nuggets et sans le savoir ils mangent des fruits. Donc on est vraiment dans un win-win.
- Speaker #1
Et alors c'est quoi les prochaines grandes étapes de Nudge ? dans sa mission d'offrir des alternatives végétales saines.
- Speaker #2
L'idée de fond, c'est vraiment de travailler en R&D, donc avec des chefs. Nous, on a la chance d'être accompagnés par Chef Damien, le fondateur de 750 grammes, qui teste régulièrement nos innovations, qui nous donne des conseils, qui nous aide à développer nos produits. Le cœur de notre métier, c'est la R&D, c'est le produit. Donc si tu veux, sur les 5, 10, 20 prochaines années, le but sera toujours continuellement d'améliorer nos produits, d'améliorer le goût de nos produits en n'utilisant que des vrais ingrédients et de continuer à sortir des produits dont le consommateur a besoin.
- Speaker #1
C'est quoi ta réaction face aux controverses qu'il y a eu sur les ingrédients ultra transformés dans les produits végétaux ?
- Speaker #2
Il y a eu toute une vague de produits qui imitent la texture et le goût de la viande, qui était hyper utile pour commencer à... à démocratiser ces produits sur le marché. Le problème, c'est que bien admis que les premiers, ils ont utilisé des ingrédients ultra transformés et que les gens, finalement, se rendent compte que ces listes d'ingrédients vont avoir des impacts sur la santé qui sont délétères et comment c'est les éviter. Aujourd'hui, le moment est venu pour d'autres marques d'émerger qui proposent des produits qui ne vont peut-être pas imiter l'expert de la viande, mais qui seront des produits hyper gourmands et naturels.
- Speaker #1
D'un point de vue personnel, c'est quoi ton impact aujourd'hui ? Et c'est quoi l'impact que tu aimerais avoir dans 5 ou 10 ans ?
- Speaker #2
Mon impact, ça titre personnel, je pense qu'il est... Enfin, tu vois, je suis végétarien. Je suis végétarien, je ne suis pas non plus un ayatollah, donc je continue à prendre la voiture. Il y a plein de choses sur lesquelles je pourrais encore m'améliorer. Je pense que principalement mon impact va être dans l'évangélisation. En tant que végétarien dans des environnements, comme tu l'as dit, où ce n'est pas encore toujours facile, comment réussir à parler de ton engagement pour le végétal en donnant envie ? Tu vois, c'est vraiment ça en fait. La clé, ce n'est pas de dire aux gens, oui, maintenant, il ne faut pas le faire pour ça, pour ça. Mais je pense qu'il faut donner envie aux gens de commencer à réduire leur consommation de viande. Ce qui marche hyper bien, c'est le Veganuary. de travailler sous forme de challenge nous on l'a fait avec 4 copains 4 copains qui étaient qui mangeaient beaucoup de viande on leur a proposé avec Bart de se dire tiens mois de janvier on fait ça ensemble est-ce que vous allez tenir est-ce qu'on le fait et finalement ça a été un jeu et tu commences à gamifier et on le voit en Angleterre en fait tous les ans tu as de plus en plus de gens qui s'engagent sur ce Veganuary et puis en fait c'est un mois et puis finalement ça dure un peu plus et finalement ça reste dans les apôtres de consommation donc le but c'est vraiment de donner envie plus que d'être militant
- Speaker #1
Et donc pour conclure, la question qu'on pose à tout le monde, pourquoi c'est cool la RSE ?
- Speaker #2
En plus, je savais que tu allais me la poser. Je n'aurais pu réfléchir, franchement. Je pense que la RSE, c'est cool parce que la RSE, c'est la vie. En fait, la RSE, c'est le respect de nos écosystèmes, c'est le respect de nos environnements sociaux, environnementaux, c'est le respect de la biodiversité. Donc c'est vraiment, c'est presque entre le philosophique et le spirituel. Mais finalement, quand tu dépasses... des engagements un peu corporate d'entreprise, bah oui, tu touches à quelque chose d'hyper bon. Donc ouais, c'est hyper cool les RSO. Je pense qu'il n'y a rien de plus cool que les RSO.
- Speaker #0
Voilà, c'est la fin de ce nouvel épisode d'Impact Podcast. Vous en savez d'énormément plus sur l'alternative à la viande avec des fruits et des produits naturels. On se retrouve très vite pour de nouveaux exemples inspirants et impactants.