- Speaker #0
Vous vous entendez souvent parler de RSE, même si on ne sait pas toujours ce que c'est. Vous vous entendez dire aussi que la RSE c'est compliqué à mettre en place, et que c'est coûteux, voire anxiogène pour une entreprise. Dans ce podcast, on va démystifier cette fameuse responsabilité sociétale des entreprises. On va aller à la rencontre des acteurs du changement inspirants. On va explorer des réussites concrètes, comme les échecs d'ailleurs, parce que c'est souvent dans l'échec qu'on apprend le plus. Le but ? Vous démontrer que la RSE est une vraie source d'opportunités passionnante. On va donc vous parler de ces boîtes qui s'engagent, font bouger les choses, participent au changement en ayant un impact positif et qui le disent, ou qui ont besoin qu'on le dise et qu'on le fasse savoir. Pourquoi c'est cool la RSE épisode 5 ? C'est possible de faire à la fois des films et de la communication responsable.
- Speaker #1
Bienvenue dans cet épisode de Pourquoi s'écoule la RSE. Aujourd'hui, on est avec Adrien Martial de l'agence IOTA. Merci Adrien de nous recevoir. On va parler de communication responsable. Est-ce que tu peux me présenter un peu IOTA du coup ?
- Speaker #2
IOTA, maintenant, c'est une agence de communication qui dispose d'un studio de création intégré. A la base, on est un studio de création spécialisé en 3D. Au fur et à mesure des années, on a... Développer les domaines de compétences, aujourd'hui on fait du motion design, on fait du film aussi. Voilà, donc on maîtrise tous les piliers de la vidéo aujourd'hui en termes de studio. Et depuis quelques années, on a pris un petit peu de recul et on fait aussi en tant qu'agence, on accompagne nos clients de manière un peu plus large sur la partie plateforme de marque, stratégie de communication en tant que telle. Et on va même jusqu'au web et plus particulièrement au web éco-conçu.
- Speaker #1
Quelle est la mission principale de Yotta et comment... Tendez à améliorer votre impact environnemental et celui de vos productions.
- Speaker #2
Alors Yotta, c'est une des premières entreprises à mission de France. Donc une entreprise à mission, c'est une entreprise qui a inscrit dans ses statuts des objectifs qui sont autres que la rentabilité financière. Nous, nos objectifs en tant qu'entreprise à mission, c'est en premier lieu de faire de la communication responsable, le deuxième c'est soutenir les porteurs de projets à impact, et le troisième c'est de diffuser, de partager nos valeurs, d'essayer de transmettre un petit peu ce qu'on a. ...compris. Et le but de Yotta en lui-même, c'est de transformer le monde de la communication.
- Speaker #1
D'où ça devient, toi, cet engagement ? Est-ce qu'il est né dès la naissance de Yotta ? Est-ce que c'est venu plus tard ?
- Speaker #2
À la naissance de IOTA, un des premiers documents qu'on a mis en forme, justement, c'est une charte éthique. Donc, en fait, on s'est rendu compte que c'était pas commun. On a mis nos valeurs personnelles dans les valeurs de l'entreprise.
- Speaker #1
Concrètement, comment on produit de manière responsable un film d'animation ? Quel levier vous avez ?
- Speaker #2
La première des choses à faire, c'est de savoir où est-ce qu'on en est, c'est de savoir quelles sont les données, en fait, pour se dire, OK, où est-ce qu'on peut avancer, quel est l'axe ou le levier le plus pertinent sur lequel travailler. Donc d'abord, bilan carbone. Dans le numérique, un des plus gros postes, c'est la fabrication du matériel. C'est 80% des émissions. Donc c'est là où on a commencé par travailler. Donc nous, une bonne partie de notre matériel est reconditionné, par exemple. Il est aussi réparé quand c'est possible. Ça, c'est le premier point. Le deuxième, ça va être... Le workflow, c'est-à-dire comment on peut réduire la consommation carbone pendant la production. C'est-à-dire, très concrètement, quand on envoie un fichier ou quand on envoie des fichiers à un client, comment réduire le nombre d'envois, le nombre d'échanges, tout simplement. Donc ça, c'est de la co-création d'un workflow avec le client. C'est d'abord de la pédagogie, on prend un premier sens. On va dire qu'en fait, si on suit ce workflow-là, ce n'est pas pour rien. Il y a des étapes de création à respecter, que ce soit plus rapide. plus sain en fait, plus vertueux in fine quoi. Et ça plus particulièrement d'ailleurs en 3D. Parce qu'en 3D, vers la fin, il y a justement le fait de faire travailler les ordinateurs, de calculer les images, et là on dépense énormément d'énergie. Donc ce qu'on a prévu dans Workflow, c'est que tout soit validé en amont. C'est à dire l'animation, les images en elles-mêmes. Et à la fin, on n'a plus qu'à appuyer sur le bouton, normalement le film est complètement validé. Ça paraît logique, mais ça demande quand même en fait de la pédagogie avec les nouvelles technologies et l'avancement des ordinateurs, vers l'évolution. de la puissance de calcul. Aujourd'hui, c'est facile de sortir plus rapidement des images de haute qualité. Donc, beaucoup de studios sont enclins à tenter de sortir toutes les images et le client a de moins en moins la capacité ou l'envie d'avoir une force de projection et de se dire, ok, avec un storyboard et une animatique, je peux me projeter, je peux valider. Non, ils veulent tout voir. Et donc du coup, on leur montre tout, quitte à ce qu'ils payent en plus, et des gens qui sont chauds pour ça. Et donc du coup, non, on a dit non en fait, on va respecter les étapes justement, parce qu'il n'y a pas que nos objectifs financiers, il y a aussi les objectifs de réduction d'empreintes tout simplement. Donc voilà. Et ensuite, il y a la valorisation. Quand on fait tourner un ordinateur, on va forcément faire de la chaleur. Cette chaleur, toute cette énergie, on peut la valoriser. Par exemple, dans nos locaux, on ne chauffe pas. On chauffe très très peu parce qu'en fait c'est les ordinateurs et la chaleur humaine qui permettent de chauffer. On a aussi des partenaires qui nous mettent à disposition des serveurs plus éco-responsables dans le sens où ils réutilisent la chaleur qu'ils amènent pour chauffer de l'eau. Après aussi c'est frugalité. La frugalité c'est d'abord savoir se dire est-ce que j'ai vraiment besoin de ça ? C'est-à-dire est-ce qu'on a vraiment besoin d'une vidéo en 4K si elle est vue sur un téléphone ? Non, sûrement pas.
- Speaker #1
Comme tu dis ça c'est aussi de la pédagogie avec les clients. et du conseil, parce que parfois le client demande la 4K parce qu'il a l'impression que c'est mieux, et finalement ce n'est pas forcément nécessaire.
- Speaker #2
Et il ne sait pas que ça consomme 4 fois plus de données. En plus, on a la chance en vidéo en particulier, que les objectifs soient liés. Quand une vidéo pèse moins lourd, ou elle est plus courte, elle est plus vue. Donc en fait, les objectifs de marketing rentrent en lien avec les objectifs d'entreprise à mission. Donc là, c'est tout bonheur.
- Speaker #1
Est-ce que tu as une idée ? Pour donner quelque chose de plus concret à nos auditeurs sur un projet identique, de combien vous, avec votre manière de travailler, vous arrivez à baisser l'impact d'un projet ?
- Speaker #2
On a déjà fait le calcul d'une campagne lambda. À performance égale, on peut avoir une réduction d'impact d'émissions de CO2 de 40%.
- Speaker #1
C'est énorme.
- Speaker #2
C'est pas mal. C'est pas mal.
- Speaker #1
Si tout le monde appliquait ça, voilà.
- Speaker #2
Ce serait... Et en plus, ça peut être vertueux et bénéfique, vraiment, parce que le temps de production est moindre, le coût de production est moindre, le temps de transmission des données est moindre, enfin bon, à tous les niveaux, ça peut être super vertueux.
- Speaker #1
Tu m'expliquais tout à l'heure que, à la base, vous étiez une agence spécialisée dans le motion design et la 3D et vous vous êtes diversifié pour devenir une agence de communication plus globale. Est-ce qu'on peut parler justement de la communication responsable ?
- Speaker #2
C'est un bon point parce que, pourquoi on a fait ça ? C'est bien de produire responsable, mais pour avoir plus d'impact, le plus intéressant, c'était d'accompagner les clients encore en amont pour essayer de les accompagner sur les stratégies en elles-mêmes. Essayer de transmettre leurs messages et de les diffuser de la même manière. La manière la plus éco-responsable, ce qui permet d'éviter le greenwashing, ce qui permet d'avoir de la transparence avec leur public, ce qui permet vraiment un gain d'image, vraiment un gain d'image public super intéressant. La communication responsable, c'est à la fois la forme et le fond.
- Speaker #1
Les axes d'amélioration, justement, quels sont-ils ? Où est-ce que vous pouvez encore progresser ? C'est quoi les défis de demain ? Qu'est-ce qu'on peut encore améliorer ?
- Speaker #2
Ah bah, on peut... On y a pas beaucoup ! Alors chez nous, ça va être encore, tu vois, je pense que le premier levier, ça va être encore le matériel. C'est-à-dire qu'il y a encore quelques ordis qui ne sont pas en reconditionnés. Il y a encore, pour certains tournages, on achète encore sur Amazon. On essaie au minimum vraiment, mais des fois c'est indispensable quand le tournage n'est pas longtemps. C'est comment valoriser toutes les ressources qu'on a mobilisées pour le tournage, si c'est des objets à usage unique, si c'est du décor, si c'est ça. Comment on peut les réutiliser, comment on peut les valoriser ? Ça c'est notre gros point. Ensuite, après, ça va être des salariés. Je pense que, par exemple, le midi, le fait d'aller chercher à manger le midi, dépense énormément, à mon sens, parce que tu as tout ce qui est emballage. Alors nous, on fait des haies de l'eau fraîche. Par exemple, la semaine prochaine, il y a trois jours, où il y aura des haies de l'eau fraîche, produits proposés par Iota, quoi. Ce qui permet que les gens mangent ensemble, et puis c'est sain, c'est plus économique, en vrai. Et puis c'est plus sympa. Et après, on essaie de pousser au maximum le fait d'apporter à manger. Que les gens apportent à manger le milieu midi, on offre des topperware, des lunchbox qui vont arriver.
- Speaker #1
C'est super, je trouve que c'est avec ce genre de petites actions qu'on fait des petits efforts qui, bout à bout, comptent beaucoup.
- Speaker #2
C'est des petites choses, mais si tout le monde le faisait, c'est vrai qu'à mon avis, ça changerait pas mal de choses.
- Speaker #1
On va parler de...
- Speaker #2
Vos.
- Speaker #1
Partenariats engagés ?
- Speaker #2
Depuis quelques temps, depuis le début, on essaie de travailler qu'avec des gens, au maximum avec des gens qui sont dans notre système de valeur. On a quelques partenariats, par exemple avec Samy qui propose des bilans carbone, Cotomobro qui font du web éco-conçu. Il y en a tout un pool de partenaires, ce qui nous aide aussi à réduire notre bilan sur des projets. Par exemple, des projets tournés à l'étranger, comme on fait pour aller tourner à l'étranger. On ne prend pas l'avion. Et donc du coup, il faut avoir sur place des partenaires de confiance qui t'a déjà travaillé, qui font du bon boulot. Donc les partenariats engagés, c'est ça.
- Speaker #1
Tu parlais tout à l'heure du programme de mécénat de compétences. Est-ce que tu peux m'en parler ? Comment vous soutenez les porteurs de projets à un panneau positif ?
- Speaker #2
Alors, il y a plusieurs scopes. Le premier, c'est d'abord 1% pour la planète, parce que c'est le plus connu, le plus visible, je pense. Donc ça, 1% pour la planète, c'est simple, c'est en reversant 1% de notre chiffre d'affaires. à cet organisme qui le reverse à des projets de par le monde. Nous, là où on a vraiment mis l'accent, en fait, c'est de se dire Ok, il y a des boîtes, il y a des ONG, il y a des assos qui ont besoin de vidéos, qui ont besoin de se faire connaître, qui ont besoin de dire quelque chose ou de faire connaître un service comme Hop Hop Food ou comme n'importe quelle autre boîte pour laquelle on a travaillé, toi, moi, avec lesquelles on travaille en ce moment, et qui font des choses vraiment pas efficaces, donc qui produisent de la com... Nul, en gros, vraiment de basse qualité, qui est en plus pas visible, donc ils mettent des dépenses de l'énergie là-dedans, ils dépensent du carbone là-dedans, pour quelque chose qui n'est pas efficace, pas vu. Mais ils n'ont pas le choix, en fait, parce qu'ils n'ont pas les moyens nécessaires pour pouvoir faire quelque chose de qualité. Donc, notre volonté, c'était de dire, ok, on va se mettre à dispo. Pour vous, on va produire une vidéo, on va pas vous donner de l'argent, on va vous donner du temps. Donc voilà, c'est vraiment ce qu'on a fait depuis le début, et c'est ça en fait qui nous a fait connaître un petit peu dans le milieu. Et puis c'est ça qui est vraiment l'action la plus impactante chez nous, enfin la plus forte, la plus lourde aussi, il faut avoir en tête. La plus lourde au niveau financier, parce que ça représente un volume conséquent. On est quasiment tout le temps en train de travailler gratuitement, au moins pour une ONG. Donc ça impacte un peu les finances, ça c'est sûr. Mais voilà, c'est un engagement.
- Speaker #1
Est-ce que ça vous arrive de choisir vos clients dans le sens où... Est-ce qu'il y a des thèmes ou des clients avec qui vous ne souhaiteriez pas travailler parce que ça défend des valeurs qui ne sont pas les vôtres ?
- Speaker #2
Alors ça... Ça, c'était un gros point. Au début, par exemple, on a aussi une politique tarifaire qui s'adapte à l'impact de nos clients. Mais ça, c'est pas facile à... à déterminer dans le sens où qui sommes nous pour déterminer l'impact d'un client. On ne va pas faire des études d'impact pour chacun de nos clients. Il y a un client qui est venu un jour à nous et qui est concentré à lui seul tous les problèmes de la société, si tu veux, ou qu'on estimait. Et donc on s'est dit là, mince, qu'est-ce qu'on fait ? L'option qu'on a choisie, c'est de leur proposer de travailler avec nous uniquement à certaines conditions. La première étant de faire un travail RSE avec un de nos partenaires, avec Blue Choice, qui sont les créateurs de la fresque du climat, C'est sine qua non, c'est en amont de notre travail ensemble, vous faites ce travail-là, et vous revenez avec des conclusions, et à partir de là, on peut éventuellement réfléchir à un film. Et c'est pas une option, c'est dans notre vie, et si vous voulez vraiment travailler avec nous, c'est comme ça. Et étonnamment, on s'est dit, on pensait qu'on allait se faire jeter, et ils étaient très contents, ils ont été même, non mais c'est une très bonne idée, comme ça, ça nous évite de faire, on est sûr de ne pas faire de grimwashing. Donc voilà, ça nous a aidé à déterminer nos limites. En fait, on s'est dit, bon, est-ce qu'on essaie de travailler que pour des gens qui sont déjà convaincus, ou est-ce qu'on essaie de changer un tant soit peu des gens qui sont loin de la transition ?
- Speaker #1
Cet engagement, qu'est-ce que ça t'amène à toi, et qu'est-ce que ça amène à tous les collaborateurs qui travaillent pour IOTA ? J'imagine qu'il y a... une certaine fierté à travailler pour vous puisqu'il y a ce côté éthique qui, je pense, amène personnellement.
- Speaker #2
Ce qui est clair, c'est que, oui, les gens viennent à nous aujourd'hui. On n'a pas de problème en termes de recrutement, c'est certain, parce qu'énormément de gens veulent travailler chez nous, pour nous, avec nous. Ça fait plaisir, ça c'est clair. Et nous aussi, il faut dire qu'on arrive bien à se coucher et à dormir parce qu'on sait que chaque jour, on fait des choses quand même... plutôt bénéfique pour la société. On l'espère, tu du moins.
- Speaker #3
Je m'appelle Solène Perrira-Harry et je suis Content Manager chez IOTA depuis un an et demi. Au départ, je suis vraiment venue chez Yotta chercher une alternance et je cherchais un poste en communication responsable parce que j'ai découvert la notion assez tard au final parce que j'étais en grosse remise en question. Est-ce que la com'c'est pas que du mensonge et de la manipulation ? Et donc c'était un peu contraire à toute mon éthique. Et au final, j'ai découvert cette notion de communication responsable à travers l'ARSE. Donc moi je suis venue chez Yotta pour ça. Mais j'ai l'impression quand même que très peu de gens connaissent la notion de communication responsable. On a été bercé depuis toujours avec la pub où on va voir une femme pour vendre un aspirateur ou une femme avec son produit de lessive ou un homme avec sa super tondeuse. Tout ça, ça va avec, par exemple, je ne sais pas si ça va être mimé, mais avec une femme blanche qui vend un aspirateur, qui est blonde et qui a son petit enfant qui court à côté et elle va lui donner à manger. Donc ça va être de revoir un peu tous ces clichés, tous ces stéréotypes. Pour donner des représentations nouvelles. Et oui, c'est ça, les nouveaux récits, c'est revoir les anciennes représentations et les remettre d'actualité en étant, je pense, le plus inclusif et le moins excluant possible, enfin le plus inclusif, quoi. Pour que tout le monde puisse se sentir représenté et que ça aille dans le sens de la transition écologique, sociale. Et donc chez Yotta, justement, on travaille un peu tous ensemble. C'est pour ça que je pense qu'on se montre aussi souvent entre nous les projets en cours pour qu'on puisse... Se donner nos avis mutuels, parce que voilà, on va chacun avoir notre vision précise du projet et des gens qu'on va y représenter. Et ça permet de réussir à représenter un max de personnes.
- Speaker #1
Et pour finir, pourquoi c'est cool la RSE ?
- Speaker #3
Parce qu'on se sent utile et qu'aujourd'hui, on ne peut pas fermer les yeux et qu'on est à moitié, on navigue entre le ah bah je ne peux rien faire c'est que les politiques qui peuvent changer les choses et les grandes entreprises. En soi, il n'y a pas tellement de petites actions qui pourraient avoir de l'impact. C'est au moins être content à la fin de la journée, ou quand on voit des bad news sur l'actualité sociale ou environnementale qui démoralise, d'être content de se dire, au moins, je fais quelque chose, je ne reste pas les bras croisés, je peux être quand même fier de moi.
- Speaker #2
Moi, je dirais que c'est la capacité à se transformer soi-même. Tu vois, c'est le fait de quand tu plonges dans ces sujets-là, tu te rends compte de tes propres a priori. tu te rends compte de tes propres limites et donc c'est ce travail là en fait qui est super intéressant, t'as l'impression de grandir et donc ça te permet d'avancer, d'évoluer un petit peu plus jusqu'à la prochaine révélation mais ça c'est ce qui est bien dans la sens, c'est jusqu'à preuve du grand-père Voilà,
- Speaker #0
c'est la fin de ce nouvel épisode, vous en savez désormais plus sur comment un studio vidéo responsable peut devenir aussi une boîte de com responsable, l'occasion de veiller à l'impact RSE à chaque étape d'un projet. On se retrouve très vite pour de nouveaux exemples inspirants.