Speaker #0"Prends ce qui te parle" est un podcast pour les femmes qui ont envie de penser à elles, qui en ont marre de constamment s'épuiser et qui veulent enfin retrouver durablement leur énergie vitale. Je suis Amanda, kinésithérapeute et professeure de yoga avec une approche holistique et thérapeutique. Dans ce podcast, je partage avec vous mes connaissances et mes expériences personnelles afin de semer quelques graines de retour à soi. Sachez que j'ai un cadeau pour vous dans la description de ce podcast. Le Yoga Pack de secours gratuit, il contient 6 pratiques à thème de 10 minutes chacune. C'est parti pour l'épisode du jour. Prenez uniquement ce qui vous parle et surtout, laissez le reste. Nous y voilà ! Bonjour tout le monde, je n'en reviens pas, ça y est, c'est le premier épisode du podcast, il est là, il existe, il est réel, il est concret. Je suis trop heureuse de pouvoir partager ça avec vous, ce sera un rendez-vous hebdomadaire. Oui, je m'engage en fait à sortir un épisode de podcast chaque semaine parce que c'est un projet qui me tient à cœur depuis très longtemps. parce que j'ai beaucoup beaucoup de choses à vous dire, à vous partager, à vous transmettre vraiment de bon cœur et ce sont toutes des choses que j'ai pas toujours le temps de faire que ce soit en séance individuelle ou dans les cours de yoga ou encore bien sûr les réseaux sociaux parce que voilà c'est des formats courts ou des formats vidéo etc et moi j'adore ce canal, le podcast, je trouve que pour moi c'est très facile de vous enregistrer les épisodes et j'ai l'impression que c'est quelque chose qui est aussi facile à suivre, à écouter. En tout cas, moi je suis une grande consommatrice de podcasts. En général, je fais ça soit en faisant la vaisselle, je mets mon casque sur mes oreilles, soit dans la voiture puisque je suis souvent en voiture, peut-être que vous aussi. Donc voilà, entre... entre deux domiciles, entre deux courses, dans les trajets voiture un peu plus long, j'adore écouter des podcasts, et je m'imagine que ce sera un peu pareil pour vous, lorsque vous m'écouterez, peut-être sur le chemin pour venir au yoga, en tout cas ça me ferait vraiment plaisir. Donc comme c'est le tout tout tout premier épisode, évidemment je vais me présenter. Donc je suis Amanda, vous l'avez déjà un petit peu entendu dans l'intro. Si vous ne me connaissez pas, et bien voilà, donc à l'heure actuelle je suis kinésithérapeute psychocorporelle pour les personnes principalement en pré-burnout, en phase un peu d'épuisement, de surménage. Voilà, donc je les accompagne à se reconnecter à leur corps, à équilibrer leur système nerveux, à prendre soin d'eux de façon naturelle en mobilisant leurs ressources internes, c'est-à-dire leur corps, leur respiration, leur concentration. On apprend à la fois à se relaxer et aussi sur le long terme à prendre soin de son énergie pour la garder en équilibre. Alors je suis aussi professeur de yoga avec une approche holistique. et thérapeutique. J'organise des cycles yoga à thème, à thème de développement personnel et je suis complètement passionnée par ce que je fais. Et aujourd'hui, je vais un petit peu vous raconter comment j'en suis arrivée là. Je vais vous raconter un petit peu mon parcours. Voilà, c'est parti. Alors, comment est-ce que j'en suis arrivée là ? Il y a très longtemps, dans un pays lointain, dans une autre vie, j'ai une assistante, j'ai Dora, qui viendra miauler de temps en temps. Écoutez, ce sera un podcast très authentique. J'adore l'authenticité. Donc en fait, il y a quelques années d'ici, j'étais vendeuse dans des magasins de vêtements à Liège, comme vous pouvez l'entendre. Si vous ne venez pas de cette région, vous allez vite le remarquer, même si vous venez de cette région d'ailleurs. J'étais vendeuse pendant quelques années, pendant 7 ans je pense. Et puis, à un moment donné... J'ai eu une espèce de, je pense, de burn-out. Je n'ai pas été vraiment diagnostiquée, mais voilà, je pense clairement que j'étais dedans. Ça s'est empiré, je pense, d'une dépression, donc vraiment... Une perte complète de sens. J'ai commencé à me demander ce que je faisais de ma vie. Alors je ne critique pas du tout le métier de vendeuse, je tiens à le préciser, mais c'était vraiment moins par rapport à moi. Je n'arrivais plus à trouver du sens dans ce que je faisais. Je me levais le matin, j'étais déjà fatiguée parce que forcément je n'avais pas dormi de la nuit ou très très peu. j'étais malheureuse, je ne voulais pas du tout aller travailler dans des magasins de vêtements. C'était un monde dans lequel je ne me retrouvais pas. Et c'est comme si j'étais en train de réaliser ça, comme si avant je n'en avais pas conscience. Et puis que là, tout à coup, je me disais, mais enfin, qu'est-ce que je fais toute la journée à vendre des vêtements ? Je voyais les colis arriver. avec des centaines de vêtements emballés, chaque pièce était emballée dans du plastique. Et donc à cette époque-là, je n'étais pas très éveillée à l'écologie et tout ça, mais c'était comme si j'étais en train de m'éveiller. Et je commençais à me dire, mais enfin, tout ce plastique qu'on jette tous les jours dans des sachets poubelle, allez, trois, quatre fois semaine, on avait des colis et je pense qu'à chaque fois, on devait sortir au moins quatre ou cinq gros sachets poubelle à l'extérieur. Et ça commençait à me taper sur le moral. Et puis je voyais qu'on vendait du cuir, qu'on vendait de la fourrure. Alors après, je regardais dans les étiquettes des vêtements, je voyais le nom de l'animal duquel on avait enlevé cette fourrure. Alors je regardais sur Internet, je voyais ces gentilles petites peintres. Ça commençait à me fendre le cœur. Et voilà, en fait, je perdais de plus en plus le sens à faire ça. Je ne comprenais pas. Pourquoi ça servait ? Je ne comprenais pas vraiment quelle était ma contribution dans la société et je me suis sentie de plus en plus mal. au point où j'ai perdu mon emploi. Et pour moi, ça a été la meilleure nouvelle de toute ma vie. Parce que je me suis dit, OK, à partir de maintenant, en fait, c'est une seconde chance que j'ai dans la vie. Et je vais, d'abord, je vais prendre le temps de me reposer. Parce que même si j'avais aucune notion en burn-out, tout ce que je sais aujourd'hui, à l'époque, je ne savais rien. Je n'avais même pas mon diplôme de secondaire. Je n'avais aucune culture générale. J'avais aucune connaissance dans rien parce que je revenais de vraiment loin. J'étais passée d'une fille très superficielle qui s'intéressait avant justement qu'à la mode, au maquillage, au fait de plaire, au fait d'être toujours pouponnée. J'étais comme en train de me réveiller à autre chose, à me rendre compte que derrière l'apparence, en fait, il y avait la vie, il y avait le monde, il y avait plein de choses qui existaient. Et donc je me réveillais à ça, mais voilà, je n'avais aucune connaissance ou rien. Par contre, j'ai bien senti que j'avais besoin de me reposer. Donc je me suis permis de quelques mois de repos pour récupérer mon énergie, pour dormir, tout ce que je n'avais pas dormi. J'étais stressée, pourtant vous me direz, vendeuse, ce n'est pas un métier hyper stressant, en tout cas de prime abord. Mais moi, à ce moment-là, je travaillais tout le temps avec la boule au ventre. en partant la boule au ventre, en revenant, je ne dormais pas la nuit, j'avais peur de ne pas me lever le matin, d'arriver en retard, de ne pas avoir le temps de me maquiller parce que c'était très important d'être apprêtée, etc. Et donc voilà, après ma petite phase de repos, j'ai commencé à m'ouvrir au monde, j'ai commencé à devenir curieuse, j'ai commencé à me renseigner sur plein de choses, j'ai commencé à me... passionnée pour plein de sujets. Je me suis beaucoup intéressée aux émotions, donc j'étais déjà calibrée là-dessus. Je m'intéressais énormément, j'ai eu une phase où je m'intéressais aux micro-expressions du visage, je me suis intéressée par la symbolique des couleurs, par l'astrologie, enfin tout un tas de choses. et je me suis dit que j'allais reprendre des études. Donc évidemment, j'ai rencontré plein de professionnels qui m'ont aidé à m'orienter, etc. C'était tout un parcours, mais voilà, j'allais frapper à toutes les portes. Je me disais, c'est mon travail du moment, c'est de faire ça, c'est de trouver ma voie. Et donc, j'en suis venue à la conclusion que comme je n'avais pas mon diplôme de secondaire, et que c'était important pour avoir accès à tout un tas d'études, j'allais passer mon diplôme de secondaire. Donc, je l'ai fait en promotion sociale en deux ans, tout s'est très bien passé. Et pour la première fois de ma vie, évidemment, j'avais décidé ces études-là de les faire à fond, parce que là, c'était une seconde chance que la vie m'offrait, que je saisissais. Donc j'ai commencé à faire un tri dans ma vie privée. J'ai commencé à ne plus répondre aux sollicitations de sortie. J'ai commencé à laisser tomber des choses, des personnes qui je sentais n'étaient pas vraiment saines pour moi, pour ma vie, pour mon bien-être. Et je me focalisais sur le fait de réussir mes études. Alors pendant ces deux ans, ça a été une révélation parce que j'avais des très bonnes notes, j'avais des très bons résultats au contrôle, aux examens et j'ai reçu beaucoup de soutien de la part des professeurs. J'ai reçu beaucoup de soutien à poursuivre des études. Ils me félicitaient et ils m'encourageaient à continuer. Donc ça, ça a été vraiment un point très important dans ce retour à moi. et ça m'a fait pousser des ailes en fait, et ça m'a donné, comment vais-je dire, ça m'a donné la motivation, l'impulsion de commencer des études de kinésithérapie. Donc il faut savoir qu'avant ça, jamais j'aurais cru que j'aurais pu être kinésithérapeute. Pour moi, c'était, je crois que je ne connaissais même pas ce métier-là. et donc voilà j'ai commencé les études de kiné parce qu'en cherchant un petit peu dans la liste des métiers je voyais qu'il y avait à la fois de l'anatomie donc le corps humain me passionne je voyais qu'il y avait de la psychologie j'étais déjà convaincue du rapport corps-esprit déjà à ce moment là je me suis dit waouh il y a plein de choses différentes dans le métier de kiné je me rendais compte que ça parlait de tout tous les systèmes du corps humain, que ça parlait de la physiologie, que ça parlait des maladies, mais aussi de la bonne santé, et que j'allais pouvoir comprendre tout ça de l'intérieur et aider les gens à aller mieux. Oh wow, c'est devenu un rêve. Donc j'ai commencé les études de kinésithérapie. Ça a été quatre ans hyper passionnants. Alors ça a été très difficile, je ne vais pas vous mentir, ça a été très très difficile. J'ai passé beaucoup de temps en cours particulier pour les cours de chimie et de physique, mais ça en valait vraiment la peine. Et donc, me voilà, en tout six ans après ce burn-out de vendeuse, me voilà diplômée kinésithérapeute. Donc, à partir de là, me voilà toute fraîchement diplômée, une nouvelle vie qui s'ouvrait à moi. et je décide de commencer du yoga pour moi, parce que j'avais toujours mes problèmes d'insomnie, et parce que je sentais bien que j'avais quand même des émotions qui étaient restées refoulées à l'intérieur, pendant ces six ans où j'avais tout donné, où j'avais un peu fait le tri dans ma vie, il y avait déjà un premier processus de retour à moi qui avait commencé, mais je sentais bien que j'avais quand même des choses à évacuer à l'intérieur de moi. et en fait ça a même été carrément un conseil d'un neurologue que j'étais allée consulter pour ses problèmes d'insomnie il m'avait conseillé de commencer le yoga après une discussion etc il m'avait dit voilà vous faites partie de ces personnes qui pensent trop et le yoga peut vous aider et c'est vrai que le yoga il était là dans ma tête depuis quand même quelques temps mais voilà un peu sans plus et me voilà à mon premier cours de yoga J'étais allée avec mon ami, je me rappelle comme si c'était hier, et on arrive au cours de yoga. et je ne sais pas vous expliquer mais les mouvements qu'on a fait c'était des mouvements que je connaissais la plupart parce qu'on les utilise aussi en gymnastique hypopressive à ne pas confondre c'est pas la même chose même si on utilise les mêmes mouvements Mais étant donné que la respiration se faisait vraiment d'une façon particulière, on inspire sur certaines postures, on expire dans d'autres, on fait ça avec les yeux fermés, en étant concentré sur soi, il y a vraiment une notion, je pense, d'énergie qui circule dans le corps. En fait, je pense, non, aujourd'hui j'en suis convaincue, mais à l'époque, c'est ce que je me suis dit. Et en fait, ça m'a complètement connectée à mes émotions, j'ai eu quelques larmes qui sont sorties, alors je résistais un peu, je ne voulais pas trop craquer devant tout le monde. Et je me suis dit, waouh, waouh, c'est puissant ce truc. Alors direct avec mon ami, on a dit, oui, oui, on continue. Et j'ai adoré, quoi. J'avais hâte que d'une chose, c'était la semaine d'après pour avoir cours. Je revisais les pratiques entre les cours. Ça me faisait un bien fou. Et ça me faisait tellement de bien. que directement j'ai commencé à l'utiliser aussi pour mes patients en kiné, les mouvements, parce que je me disais, mais ça a tellement du sens d'utiliser la respiration pour faire des mouvements, parce que du coup, tous ces mouvements de rééducation, de réadaptation, le fait de le faire en conscience, en ayant conscience de son corps, et le fait de respirer calmement comme ça, ça joue directement sur le système nerveux, donc ça permet de le faire... dans un état de repos, de détente, et ça permet de beaucoup mieux intégrer ce qui est en train de se passer. Ça m'a passionnée. Alors, directement, je me suis inscrite dans une formation de professeur de yoga. pour commencer la formation. Donc, c'était encore quatre ans d'études. Et en parallèle, je suis tombée sur un petit flyer. Je travaillais dans une polyclinique. Je vous raconte tous les détails aujourd'hui. C'est toutes des choses que je n'ai jamais racontées en détail, en tout cas, jamais à mes élèves ou aux personnes qui viennent en consultation. Donc là, vous saurez tout. Et j'espère que ça vous inspirera, parce que c'est aussi pour ça que je vous le raconte. Donc je travaillais dans une polyclinique et je tombe sur un petit papier, harmonie vitale par la sophrologie. Harmonie vitale, ça me parlait à fond quoi. Je me suis dit ça me parle et puis je lis la description. Et je ne sais pas pourquoi, il y a une phrase qui m'a appelée plus que le reste, la professeure, Patricia, je vais citer son nom, je ne pense pas qu'elle m'en voudra que je cite son nom dans le podcast. Elle avait écrit quelque chose du genre, Merci de ne pas porter d'huile essentielle afin de rester dans une ambiance olfactive neutre. Et cette phrase, ça m'a beaucoup touchée parce que c'est vrai que mon premier réflexe en voyant le truc du cours, je me disais, si j'y vais, je me mettrais des petites huiles essentielles pour que ça me fasse du bien, etc. Et en fait, à travers cette phrase, je me suis dit, waouh, quel respect en fait pour... pour chacun de se dire, ok, je ne vais pas porter d'huile essentielle, parce qu'en fait, ça pourrait incommoder les autres. C'est vrai qu'une huile essentielle, c'est quand même thérapeutique, c'est puissant, ça agit, et si ça me convient à moi, peut-être que ça ne conviendra pas à la personne qui sera assise juste à côté de moi. Et ça m'a tellement touchée. C'est la petite phrase qui m'a fait le déclic où j'ai téléphoné, je me suis inscrite. Et là, c'était encore une formation de trois ans. Donc me voilà dans deux grosses formations de développement personnel, de retour à soi, de connexion à soi. Donc pendant les quatre ans qui ont suivi, ça a encore été toute une évolution à la fois pour moi, mais aussi pour les accompagnements que je proposais en tant que kinésithérapeute. Donc très vite, mes accompagnements de kiné un peu classique, je vais dire, de kiné orto, de kiné à domicile, de kiné en euro, etc. En fait, tout ça, pour moi, ça a commencé très vite, de nouveau, à ne plus faire de sens. Parce que pour moi, ça ne me faisait plus vibrer d'accompagner les gens d'un point de vue uniquement mécanique. Même si j'avais un peu déjà mon approche avec la respiration et tout ça. Ben, malgré tout, avoir une approche comme ça, il faut que les personnes soient demandeuses. Parce que sinon, ben... Les gens, ils ne sont pas tous open avec ça. Ils se disent, non, je vais à la kiné, je veux juste faire de la kiné. Je n'ai pas envie qu'on me fasse respirer, qu'on me fasse fermer les yeux, etc. Donc, de plus en plus, j'ai fait aussi des formations en gestion du stress, en méditation, en art-thérapie. en communication non violente, en massage ayurvédique, etc. Et de plus en plus, je me suis spécialisée dans la gestion du stress et l'accompagnement des personnes en burn-out et vraiment ce rapport corps-esprit qui l'a attiré des personnes qui avaient besoin de ça. Voilà, donc mon but avec ce podcast, c'est chaque semaine de vous déposer des petites choses qui peuvent être nécessaires au retour à soi. Vous verrez qu'il y aura beaucoup de sujets puisqu'on va être là toutes les semaines. J'ai des idées à revendre, j'ai des idées de podcasts d'ici jusqu'au ciel. Je me réjouis, je me réjouis tellement de vivre ça avec vous, de vous lire, d'avoir vos retours. Et voilà, je pense que j'ai fait le tour pour un premier épisode de présentation. Je suis toujours un peu émue quand je raconte mon parcours parce que je me rends compte en fait d'où je viens, je me rends compte de toutes les étapes par lesquelles je suis passée. Et aujourd'hui, ouvrir ce podcast, c'est encore une nouvelle étape pour moi et je me rends compte que ce qui... Ce qui me donne la force depuis toutes ces années d'avancer, c'est l'amour que j'ai pour le fait d'aider les autres, d'accompagner les autres. Et aussi, j'ai tellement ressenti cette douleur à l'intérieur de moi quand on a l'impression d'être un peu perdue, quand on a l'impression que... qu'il n'y a plus rien de possible pour nous. J'ai tellement ressenti ça à l'intérieur de moi et aujourd'hui je me rends compte tellement à quel point tout est possible quand on se donne le temps, quand on frappe aux bonnes portes, quand on reçoit la bonne écoute, quand on reçoit les bons conseils. J'ai envie d'être cette main tendue que j'ai tant espéré à cette époque-là. et qui m'auraient permis peut-être de faire tout ce chemin un tout petit peu plus rapidement, parce que ça a quand même pris plus d'une dizaine d'années, je crois même que ça a pris deux dizaines d'années, et je n'ai pas terminé, je n'aurais jamais terminé, mais simplement vous dire que voilà, moi j'ai envie d'être cette main tendue qui vous donne un petit coup de pouce, si jamais vous êtes dans une situation comme ça. Voilà ! Je vous souhaite à toutes une belle journée et je vous dis déjà à tout bientôt pour le prochain épisode. Bisous bisous ! Et voilà, l'épisode du jour est terminé. Si il t'a plu, n'hésite pas à t'abonner, à liker, mettre des étoiles, un petit commentaire et à partager avec une personne à qui ça ferait du bien. Tu sais, ces petites actions permettent de mieux faire connaître ce podcast et ça me fait très chaud au cœur. Alors je te dis déjà merci, à la semaine prochaine et d'ici là, on se retrouve sur Instagram. Bisous !