Speaker #0Bienvenue dans Prends une pause, le podcast pour apaiser, éclairer et transformer tes émotions. Dans un monde où tout va vite, où les pressions et les attentes pèsent lourd, il est temps de ralentir, de respirer profondément et de plonger au cœur de toi-même. Je suis Loubna, thérapeute psychocorporelle et je serai ton guide dans ce voyage intérieur. Chaque épisode est une invitation à plonger en toi, à écouter ce que ton corps, ton cœur et tes émotions ont à te dire. Nous découvrirons ensemble des stratégies et des outils pour une gestion émotionnelle éclairée et libératrice. Prépare-toi à être accompagné dans une introspection profonde, à révéler la beauté de ta sensibilité et à vivre en harmonie avec chaque facette de ton être. Parce que dans le calme de cette pause se trouve la clé de ta transformation personnelle. Alors, prends une grande inspiration, installe-toi confortablement et prépare-toi à faire une pause. bien méritée. Hello les amis, j'espère que vous allez bien. Bienvenue pour ce nouvel épisode de Prends une pause. Je suis ravie de vous retrouver aujourd'hui pour parler d'un sujet qui, je suis sûre, va t'intéresser en cette période. Donc c'est bientôt les fêtes, surtout le rassemblement en famille. Donc aujourd'hui, on va parler de comment gérer tes émotions sans craquer pendant cette période qui peut être un peu lourde, un peu riche en émotions. Alors les fêtes de fin d'année, c'est ce moment où bien souvent, en tout cas la plupart du temps pour beaucoup d'entre nous, c'est revenir en famille. Avec ce retour, ce n'est pas seulement faire le voyage pour se retrouver physiquement avec les personnes qui sont importantes dans notre vie, ou en tout cas tout notre entourage, mais c'est aussi un retour à tout un monde émotionnel, avec les souvenirs d'enfance qui vont avec, les dynamiques aussi familiales qui peuvent être parfois complexes selon les familles, les tensions qui n'ont jamais été résolues. et même des blessures qu'on pensait oublier. Alors d'entrée de jeu, je marque le sujet. C'est tout à fait normal de ressentir ça. Ces retrouvailles réveillent des choses en nous parce qu'elles touchent à nos racines, à notre identité et à notre histoire. Alors si tu te sens parfois submergé, stressé, même sur les nerfs, pendant cette période ou vraiment au cœur de ces moments-là, dis-toi que c'est... normal et surtout que tu n'es pas seul. Parce que cet épisode parle de vécu personnel. Donc vraiment déjà, il y a au moins moi, mais je pense qu'on est très nombreuses, très nombreux à vivre ce genre de situation. Alors cet épisode est là, comme je l'ai dit auparavant, d'une part pour te déculpabiliser, parce qu'on est très très nombreux à ressentir cette pression pour les fêtes, et aussi te donner des clés pour mieux vivre ces moments. Parce que non, tu n'as pas besoin de... de tout supporter, de tout résoudre ou d'être parfaite aussi pendant cette période, on est d'accord. Ce que tu ressens est légitime, toujours, c'est ta vérité et personne ne peut revenir dessus, sur tes ressentis et comment tu te sens. Et il existe des moyens simples pour aborder ces fêtes avec plus de sérénité et c'est ce que je vais te partager aujourd'hui. Alors comme toujours, on va commencer avec les explications, pourquoi le retour en famille est un cocktail émotionnel, qui peut être parfois... et très souvent explosifs. Alors, il y a plein de choses, bien sûr. Et c'est surtout un mélange entre passé et présent. C'est souvent ça qui pose problème. Parce que les fêtes de famille, ce n'est pas juste un moment dans le présent. Elles réactivent tout un tas de souvenirs et de dynamiques qui sont ancrées dans le passé. L'exemple le plus concret, ce serait, tu retrouves toujours, quand tu retournes en famille, les rôles que tu avais, enfant ou adolescent, par exemple. Peu importe la position, la posture que tu avais quand tu étais petite, ou petit, c'était peut-être le petit frère, la petite sœur à protéger, ou celle qui doit toujours réussir, ou encore celle qui ne dit rien, qui ne parle pas. En tout cas, il y a quelque chose qui est ancré, et du coup, quand on retourne en famille, on a tendance à retrouver cette posture-là. Donc il y a ça déjà dans un premier temps. La deuxième chose, c'est que... Pendant les fêtes, on ressent souvent une pression un peu implicite, qui n'est pas dite, mais qui est présente. C'est qu'il faut être disponible, qu'il faut être joyeux, joyeuse, ou répondre aussi aux attentes des parents, des frères, des sœurs, de la famille, du grand-père, de la grand-mère. Et parfois, en fait, ces attentes, elles prennent la forme de jugements, un peu déguisés, entre guillemets, des remarques sur ton apparence, sur tes choix de vie, sur la façon... dont tu gères ta vie professionnelle, ta vie familiale, enfin bref, c'est l'occasion, rêver, pour les gens qui nous entourent, en tout cas nos familles, pour justement porter un jugement. sans forcément le dire explicitement. Donc ça, forcément, ça génère beaucoup, beaucoup d'émotions. Une autre chose aussi qui refait surface pendant cette période-là, pendant ces retours en famille, ça va être les blessures profondes, les traumas aussi qu'on a pu connaître. Donc une phrase anodine, une situation même banale, ça peut réveiller une vieille blessure émotionnelle. Ça la remet en surface, en fait. Comme exemple, je pourrais te donner un parent ou un proche qui répète un comportement qui te ramène à une situation douloureuse de ton enfance. Et enfin, j'ai noté aussi le fait de se sentir, de se faire monter un stress, le stress d'être à la hauteur, de vouloir plaire, d'éviter les conflits et de vouloir aussi satisfaire tout le monde. C'est une posture peut-être que tu as déjà entretenue, que tu as déjà... eu ou que tu as longtemps eu quand tu étais plus jeune. Et ça, ça te met une pression énorme. Tu te mets cette pression à toi-même. C'est très inconscient et c'est hyper lourd. Et en fait, voilà les quatre choses que j'avais notées qui font que c'est vraiment un cocktail explosif au niveau des émotions. Parce qu'il y a vraiment ce mélange entre notre posture d'adulte aujourd'hui, qui a grandi, qui a évolué. et l'enfant qui a été auprès de sa famille à un moment donné. Alors j'ai répertorié quelques déclencheurs, ce qu'on appelle les triggers, donc les déclencheurs émotionnels, qui vraiment viennent réveiller en nous plein d'émotions, souvent des émotions du passé comme je disais, et qui sont plutôt fréquents dans ces moments-là. Les remarques, les remarques intrusives ou maladroites du type Alors, quand est-ce que tu te maries ? Tu veux toujours pas d'enfants ? Mais t'as pris du poids, non ? Ou est-ce que t'as maigri aussi ? L'inverse est vrai aussi. Voilà, ce type de questions, de remarques même, parce que c'est pas vraiment des questions, il n'y a pas véritablement de réponse. En général, la réponse est toute donnée dans la question. Et ces remarques, elles sont... Même si elles ne sont pas mal intentionnées, parce que souvent, c'est des gens qui nous aiment, qui nous les disent, mais peuvent être perçues comme des attaques. Et ça, ça peut... énormément nous déclencher émotionnellement, nous déclencher de la colère souvent, et vraiment nous faire partir dans des endroits du passé, donc ça nous déclenche énormément de choses. Un autre déclencheur, ça va être les rôles qui sont un peu figés dans les familles. Comme je disais tout à l'heure, en famille, on a souvent du mal à sortir du rôle qu'on avait enfant. Celui ou celle qui doit toujours être parfait. Celle qui fait rire, celui qu'on critique. Ces rôles limitent souvent notre capacité à être nous-mêmes. Et c'est un vrai déclencheur quand on se retrouve dans cette posture par moments, on se sent étriqué et ça vient nous chercher vraiment émotionnellement. Un autre déclencheur qui va être les tensions qui n'ont pas été résolues. Donc avec nos parents souvent, ou même nos frères et sœurs, ou en tout cas les membres de notre famille ou les gens qui ont... contribuer, en tout cas nous faire grandir et les gens qu'on a connus pendant toute notre enfance. Et c'est des conflits ou des malentendus passés qui vont refaire surface au milieu de conversations, de discussions, même indirectement. Et ça peut être du type une remarque sur un ancien désaccord qui met tout le monde mal à l'aise. Et ça, ça arrive très souvent en plein milieu d'un repas. Quelqu'un qui ressort une archive. ou qui met vraiment tout le monde un peu en désaccord. Et là, ça nous déclenche énormément. Il y a la colère qui peut monter, on peut s'énerver et gâcher tout un moment qui aurait pu être sympa. Et enfin, un autre déclencheur que j'ai noté et que je trouvais aussi intéressant à avoir en conscience, c'est la comparaison. Les comparaisons avec d'autres membres de la famille. Parce qu'on parle beaucoup de se comparer aux autres, mais on oublie de dire... que dans une fratrie aussi, les premières personnes à qui on peut se comparer, en tout cas en fonction de comment on a été éduqués, les premières comparaisons qu'on a, c'est avec nos frères et sœurs ou avec d'autres membres de la famille. Et le système même familial va se comparer à un autre système familial. C'est-à-dire, par exemple, on a une tante qui a une famille, notre famille va se comparer à la famille de la tante. Et les phrases, moi, je sais que... Je sais que c'est des choses que j'ai déjà entendues dans ma famille. Tu vois, ta cousine, elle, elle a déjà des enfants, elle a déjà même trois enfants et une maison. Juste ça, sans rajouter derrière, et toi tu n'as rien. Mais bien évidemment, c'est à deviner soi-même. Donc tout ça, ces comparaisons-là, peuvent être d'énormes déclencheurs. Donc tout ça, je te le dis pourquoi, c'est tout simplement pour que tu prennes conscience en fait. Parce que plus on a conscience en fait de ce qui se dit, ce qui se joue, plus on est à l'écoute de ce qui se passe en nous et on peut observer en fait nos émotions qui montent et on peut du coup mieux les gérer, mieux les vivre. J'arrive à la partie quand même la plus importante, même si je pense que c'était nécessaire de poser le cadre et de dire aussi les choses pour, comme je dis toujours, en prendre conscience, c'est la première étape déjà. pour se libérer et comprendre ses émotions. Donc comment te préparer avant le retour en famille ? Parce que voilà, on peut se préparer un peu en amont, donc déjà en écoutant, en prenant conscience de tous ces déclencheurs dont je t'ai parlé avant et tout ce qui peut se jouer avec ta famille. Donc identifier tes déclencheurs émotionnels. Donc avant de partir, ça va être réfléchir aux situations ou aux remarques qui risquent de te perturber, que tu as déjà entendu souvent mille fois. Par exemple, si ma mère parle de poids, Ça risque de m'agacer, c'est se dire ça, et comment est-ce que je pourrais répondre autrement ou calmement ? Sans non plus se prendre la tête, mais déjà penser aux sujets qui peuvent te déclencher, et comment tu pourrais y répondre sans t'énerver, ou même pas forcément répondre, ou même esquiver de façon consciente, et sans pour autant que ça vienne te chercher émotionnellement. Ça va être aussi commencer à poser des intentions pour toi-même. définis ce que tu veux pour ces fêtes. C'est tout simple. Par exemple, je veux profiter de ma famille, mais sans m'oublier, je ne me laisserai pas entraîner dans des conflits inutiles. Et ça, je trouve que c'est hyper important de se le dire. C'est comme pour tout, en fait, au final dans la vie, avoir une intention dans ses actions. C'est-à-dire, et surtout dans ce cadre-là, comme je l'ai dit en introduction, pour beaucoup d'entre nous, c'est pas forcément... Hyper agréable de se retrouver tous en famille, on peut être très nombreux, et on sait ce que ça peut générer entre la fatigue, le fait de trop manger, le fait de trop manger ça nous fatigue aussi, et émotionnellement parlant, d'être avec beaucoup de personnes pendant un laps de temps, des fois plusieurs jours, ça peut énormément nous fatiguer, et aussi réveiller en nous beaucoup d'émotions. Et de se dire pourquoi j'y vais, en tout cas j'ai pris la décision d'aller à ce repas, d'aller passer mes vacances avec ma famille, pourquoi j'y vais ? Et poser une intention, c'est-à-dire que, ok, j'ai décidé d'y aller parce que j'ai quand même envie de profiter de ma famille parce que je les aime, ou parce que j'ai envie aussi que mes enfants soient avec leurs cousins, ou de voir mes soeurs, mes frères, peu importe l'intention que tu mets. Et mettre aussi le fait que je ne m'oublie pas, c'est-à-dire je profite, mais je ne m'oublie pas, et je ne me laisse pas. entraîner dans des conflits inutiles parce que c'est bien souvent inutile je pense que on est tous d'accord sur ça revenir sur des désaccords du passé ça change pas le cours de notre vie actuelle bien souvent plus voilà avec nos parents nos grands-parents les tentes etc on est sur des des personnes qui sont arrêtés qui n'ont pas forcément alors là je généralise un bien sûr que tout le monde peut changer mais souvent en fait quand on se retrouve dans un système familial et qu'on rejoue nos histoires du passé Si on reparle des choses qui nous ont fâchés dans le passé, s'il n'y a personne qui change son discours, on revit encore et encore et encore la même situation, les mêmes engueulades, les mêmes colères, etc. Donc pourquoi s'infliger ça ? D'entrée de jeu, on se le dit, on pose cette intention, je ne me laisserai pas entraîner dans des conflits inutiles. La troisième chose que j'ai notée aussi qui peut être très intéressante pour préparer ton retour en famille, Ça va être de préparer des réponses, j'ai mis bienveillantes, mais, quoi, et fermes. Parce que les deux peuvent être allées ensemble. Par exemple, ça va être, merci pour ta remarque, mais je suis bien comme je suis. Quand on va te parler de poids, maigre ou grosse, tiens, tu peux sortir ce genre de choses. Ça peut être pas mal. Ou, moi, cette phrase, je l'adore, c'est, je préfère qu'on parle d'autre chose. C'est un sujet personnel pour moi. Ça, moi, c'est des phrases que j'ai déjà dites et qui, vraiment, m'ont sauvé la mise. Et en même temps, la personne en face, elle n'a rien à répondre à ça. C'est-à-dire, voilà, je préfère qu'on parle d'autre chose. C'est un sujet qui est totalement personnel, qui est personnel pour moi, j'ai pas envie d'en parler. Et voilà, on clôture les débats et c'est bienveillant et ferme. Et aussi, une chose que j'ai notée, ça va être de prendre soin de toi avant de partir. C'est-à-dire... Au lieu de cogiter et d'anticiper comment va se passer les fêtes de famille, ça va être de prendre soin de toi, de préparer en amont, peu importe l'activité, mais une activité qui va te permettre de te recentrer. Je vais parler de ce que je connais, comme toujours, la sophrologie, la méditation, la respiration, ou simplement prendre le temps d'aller marcher, te promener, te connecter à toi-même. Alors ça, c'est valable pour avant, mais c'est valable aussi pour pendant. Pendant que tu te retrouves dans ces situations, c'est de couper, de sortir des rassemblements, juste pour prendre soin de toi aussi, te ressourcer, te recentrer. Parce que ça t'évitera aussi de te sentir déclenché à la moindre remarque. Alors maintenant, on passe au pendant les fêtes. Comment je gère mes émotions ? Parce que je t'ai fait trois parties. Je t'ai fait avant de partir, pendant, et aussi après. Voilà, comme ça, tu as toutes les astuces pour vraiment passer au mieux les fêtes. Donc pendant, je l'ai déjà dit, de sortir, d'aller s'aérer pour se recentrer. Mais vraiment, des choses qui sont dans l'instant présent, ça va être de respirer avant de réagir. Alors ce que je vais te dire, c'est très simple, mais c'est juste un rappel justement pour ne pas que tu l'oublies. Avant de répondre à une remarque ou de te laisser entraîner dans une tension, prends une grande respiration. Juste, ça te permet de calmer ton système nerveux et de choisir une réponse qui va être plus cohérente avec toi, plus alignée, et qui va être aussi un peu plus sympa qu'une réaction à chaud. Donc juste une petite respiration. Avant de répondre, je respire. Et il suffit d'une respiration en général. La deuxième, ça va être de donner des pauses. C'est ce que je te disais. Si les tensions montent ou que tu te sens submergé, excuse-toi et va prendre une pause. Va marcher, respirer, s'isoler pour se recentrer. Ça, c'est hyper important, pour ça je le rappelle. Rappelle-toi, la troisième chose, rappelle-toi que tu n'as... pas à tout porter. C'est pas ton rôle de résoudre les conflits familiaux ou de répondre à toutes les attentes aussi. T'as le droit de dire non. Ça, c'est important aussi de se le redire. C'est-à-dire que, ok, tu as un contexte familial, un moment de fête, tu as envie de faire plaisir à tout le monde, peut-être que, voilà, il y a différents repas qui se font chez plein de personnes. T'es pas obligé non plus de devoir tout faire, de faire plaisir à tout le monde. T'as le droit de dire non. Ça, c'est important de se remettre aussi. en priorité. Et enfin, c'est créer des moments aussi positifs, parce que là, c'est vrai que je parle de choses pas sympas, quoi, pas sympas, en tout cas qui viennent nous déclencher émotionnellement, etc., mais on peut aussi essayer de changer les choses, à notre niveau, bien sûr, sans révolutionner nos parents, notre famille, mais ça va être, par exemple, de proposer une activité ou un sujet qui te fait plaisir et qui, d'une certaine façon, peut apaiser l'atmosphère, parce que... C'est vrai qu'on reste coincé un peu dans nos peurs, dans nos émotions du passé, d'enfant, mais si on se remettait à notre posture d'adulte aujourd'hui, qu'est-ce que j'aime ? Je ne suis plus l'enfant d'avant, j'ai évolué et aujourd'hui je peux apporter des choses différentes à mon entourage. Donc voilà, des choses que j'aime, un jeu, une balade ou même un moment collectif, peu importe, ça peut être vraiment très simple. Mais pourquoi je ne changerais pas les choses ? En tout cas, ma posture à moi, je peux la modifier. en apportant quelque chose de très simple. Et donc, la troisième partie de comment gérer ses émotions, c'est se libérer des charges émotionnelles après les fêtes, parce que forcément, on va rentrer, comme je le disais, fatigué, parce qu'on a trop mangé, mais aussi fatigué, parce qu'il y a eu trop de monde, parce qu'on a dormi tard, parce qu'émotionnellement, on a été brassé. Donc, ça va être d'évacuer, un peu d'exprimer ce que tu ressens, comme tu as envie. avec une activité ou même écrire sur un carnet, se libérer, exprimer tout ce qui peut être en toi. C'est vrai que l'écriture et l'expression orale est super pour ça, aussi de se reconnecter à son corps, si tu me suis, tu le sais que c'est hyper important pour moi, et que de toute façon ça doit être important aussi pour toi, de se reconnecter à ton corps pour justement prendre conscience de tout ce qui s'est passé émotionnellement pendant cette période. La respiration s'y prête très bien pour relâcher les tensions qui se sont accumulées. Tu inspires profondément. Par exemple, ça c'est un exercice que j'aime bien. Tu inspires profondément, tu retiens deux secondes et tu expires lentement, le plus lentement possible et longtemps, en visualisant un peu les tensions qui s'échappent au niveau de tes épaules, les tensions qui se relâchent au niveau de ton visage, de ton bassin. Et ça, tu peux le refaire plusieurs fois. Tu peux aussi faire le tri. dans tes pensées ? Tu peux te poser cette question, en fait, quand tu rentres, c'est qu'est-ce qui était vraiment important dans ces fêtes ? Et tu te concentres sur les moments qui ont été positifs aussi, parce qu'en pensant aussi à ce qui a été positif, ça te permet aussi de lâcher les tensions physiques, et aussi de revenir quand même à ces moments qui ne t'ont pas déclenché, et qu'on oublie parce qu'on reste figé sur des émotions qui ont été inconfortables, qui ont été fortes pour nous. Donc essayez vraiment de retrouver des moments, parce que je suis sûre qu'il y en a malgré tout. Si tu y es allé, en tout cas, tu sais qu'il peut y avoir ces moments-là. Donc je suis sûre que tu peux en trouver des moments qui ont été positifs. Et voilà, de se reconnecter à ces moments-là pour aussi faire le tri que tout n'a pas été mauvais. Il y a eu quand même ces moments sympas. Et le fait de revenir sur ces moments sympas, ça permet aussi de relâcher les autres émotions qui ont été moins sympas pour le coup. Alors comme je suis dans les astuces pour mieux vivre et mieux gérer tes émotions pendant cette période, alors que ce soit avant ou après les fêtes, j'ai un petit cadeau pour toi. Je t'offre une séance de libération émotionnelle qui est spécialement conçue justement pour t'aider à réguler ton système nerveux, alors que tu seras en pleine préparation ou après les tensions des retrouvailles, pour libérer les charges émotionnelles accumulées, alors qu'elles soient liées au stress ou aux souvenirs qui peuvent refaire surface, et enfin retrouver un apaisement intérieur pour aborder cette période, ou au contraire, commencer la nouvelle année en étant un peu plus aligné avec toi-même. Alors ce cadeau que je te fais justement pour cette fin d'année, il est disponible dans la description de ce podcast. Donc c'est une séance vidéo que tu pourras faire et refaire à chaque fois que tu en auras besoin. Et voilà, j'en ai terminé avec cet épisode. Merci de m'avoir écouté jusqu'au bout. En tout cas, j'espère sincèrement que cet épisode va t'apporter des clés pour mieux vivre cette période de l'année qui peut être très challengeante pour beaucoup d'entre nous. En tout cas, n'hésite pas à le partager aux gens autour de toi qui tu penses que ça peut aider. Merci aussi de t'abonner, de mettre une note ou de commenter. Même mon podcast, ça soutient énormément mon travail et ça me donne encore plus envie de vous partager d'autres épisodes. En tout cas, de nouveau, merci pour ta confiance et ton écoute. Et je te dis à bientôt pour un nouvel épisode.