Speaker #0Bienvenue dans Prends une pause, le podcast pour apaiser, Ă©clairer et transformer tes Ă©motions. Dans un monde oĂč tout va vite, oĂč les pressions et les attentes pĂšsent lourd, il est temps de ralentir, de respirer profondĂ©ment et de plonger au cĆur de toi-mĂȘme. Je suis Loubna, thĂ©rapeute psychocorporelle et je serai ton guide dans ce voyage intĂ©rieur. Chaque Ă©pisode est une invitation Ă plonger en toi, Ă Ă©couter ce que ton corps, ton cĆur et tes Ă©motions ont Ă te dire. Nous dĂ©couvrirons ensemble des stratĂ©gies et des outils pour une gestion Ă©motionnelle Ă©clairĂ©e et libĂ©ratrice. PrĂ©pare-toi Ă ĂȘtre accompagnĂ© dans une introspection profonde, Ă rĂ©vĂ©ler la beautĂ© de ta sensibilitĂ© et Ă vivre en harmonie avec chaque facette de ton ĂȘtre. Parce que dans le calme de cette pause se trouve la clĂ© de ta transformation personnelle. Alors, prends une grande inspiration, installe-toi confortablement et prĂ©pare-toi Ă faire une pause. bien mĂ©ritĂ©e. Hello Ă tous, j'espĂšre que vous allez bien. Un Ă©pisode que j'enregistre un peu Ă la volĂ©e. En gĂ©nĂ©ral, quand j'ai des idĂ©es, je prends des notes. LĂ , je suis dans ma voiture et il y avait plein de choses qui me passaient en tĂȘte. Et en fait, je me suis dit Ă quoi bon ? Quand tu vas t'arrĂȘter, tu vas prendre ton tĂ©lĂ©phone et tu vas enregistrer. Donc j'espĂšre que la qualitĂ© est plutĂŽt correcte. En tout cas, je vais essayer de faire en sorte que le son soit bon. En fait, je voulais vous parler aujourd'hui de la discipline et de la motivation. En gros, c'est la thĂ©matique, je n'ai pas encore dĂ©cidĂ© du titre au moment oĂč j'enregistre cet Ă©pisode. Je parle de ça, alors j'Ă©tais, donc aujourd'hui on est le lundi 22 je crois ou 23, je sais plus, 23 septembre, je sors d'un week-end de stage de gĂ©omĂ©trie sacrĂ©e oĂč... J'ai appris beaucoup de choses, on a beaucoup pratiquĂ©. Je ne sais pas si vous savez ce que c'est, mais ce n'est pas le sujet de cet Ă©pisode. Ce que je veux surtout dire, c'est que ce stage m'a mis encore sous le nez l'importance. d'avoir une discipline, d'avoir une routine de pratique pour installer des choses dans sa vie, et plus particuliĂšrement sur ce dont je parle, moi, rĂ©guliĂšrement, sur sa guĂ©rison, sur sa libĂ©ration Ă©motionnelle, sur sa gestion Ă©motionnelle. Pourquoi j'ai envie de parler de ça ? Alors dĂ©jĂ , il y a ce qui a Ă©tĂ© ce que moi, je me suis rendue compte Ă mon sujet, parce que lĂ , je parle de moi par rapport Ă mon expĂ©rience personnelle durant ce stage, mais aussi au travers de vous, mes clients qui venaient me voir. Alors toi, si tu ne l'es pas, c'est pas encore ton cas, mais en tout cas pour la plupart des gens qui viennent me voir, ou en tout cas, pas la plupart, mais en tout cas une bonne partie, qui pensent qu'en faisant une sĂ©ance ou deux sĂ©ances, alors de libĂ©ration peu importe ce qu'on peut faire soit de la soufro soit de la thĂ©rapie soit du brĂšze work en faisant une ou deux sĂ©ances tous les problĂšmes de la vie vont ĂȘtre rĂ©glĂ©s comment vous dire Qu'on soit d'accord, quelle que soit d'ailleurs la thĂ©rapie, quelle que soit la mĂ©thode ou la pratique, il n'y a pas de pilule magique, il n'y a pas de raccourci en fait, pour soigner des blessures qui sont instabilisĂ©es. allĂ© depuis des annĂ©es et des annĂ©es, parce qu'en gĂ©nĂ©ral, quand on commence Ă prendre soin de sa santĂ© mentale, de sa santĂ© Ă©motionnelle, c'est qu'on a traversĂ© pas mal de choses. Alors, bien sĂ»r, lĂ , je fais une gĂ©nĂ©ralitĂ©. et quand je parle de gĂ©nĂ©ralitĂ©, ça veut dire qu'il y a des cas exceptionnels, ou mĂȘme pas exceptionnels, mais je gĂ©nĂ©ralise par rapport Ă la typologie de clients qui viennent me voir, c'est qu'on a dĂ©jĂ une trentaine d'annĂ©es en gĂ©nĂ©ral. Vous imaginez bien que vous avez vĂ©cu quand mĂȘme pas mal de choses en 30 ans et que beaucoup de blessures, beaucoup de traumas qu'on a connus sont arrivĂ©s. souvent inconsciemment lors de la petite enfance parce que c'est le moment oĂč en fait notre cerveau est en construction et donc il n'y a pas de filtre. Il ne fait pas son job correctement parce que le cerveau se construit encore. Donc ça se passe dans nos premiĂšres annĂ©es de vie, jusqu'Ă 7-8 ans. Et donc quand on a 30 ans, bien sĂ»r qu'on se les trimballe depuis un moment. Je ne parle mĂȘme pas des gens comme mon Ăąge, qui en ont plus de 40. Donc bien sĂ»r qu'en faisant une sĂ©ance, mais quelle que soit la sĂ©ance, peu importe la mĂ©thode, on ne va pas rĂ©gler tous les problĂšmes, ou en tout cas on ne va pas se sentir mieux. Comme si de rien n'Ă©tait, on ne va pas soigner, on ne va pas tout libĂ©rer en une sĂ©ance. Et c'est Ă travers ce prisme-lĂ que j'ai envie de parler de motivation et de discipline. Parce que c'est une question de discipline. Parce que moi je parle beaucoup, ça se pratique, il faut de la pratique, surtout dans tout ce que je propose, c'est beaucoup du psychocorporel, parce que je propose beaucoup de choses sur le systĂšme nerveux. justement pour la libĂ©ration Ă©motionnelle. Pour moi, ça va de pair. On ne peut pas aller libĂ©rer des choses si notre systĂšme nerveux est en mode survie et sur la dĂ©fensive en permanence. Et pour rĂ©guler son systĂšme nerveux, il faut de la pratique. Tout simplement parce que... Pour dĂ©sinstaller, on parle beaucoup de neuroplasticitĂ© en ce moment, parce que les neurosciences font des bons et c'est hyper intĂ©ressant, si jamais ça t'intĂ©resse. Alors moi, je ne suis pas suffisamment calĂ©e pour en parler complĂštement. En tout cas, c'est des choses qui m'intĂ©ressent. On parle de neuroplasticitĂ© puisqu'on a cette capacitĂ© Ă rĂ©gĂ©nĂ©rer, Ă crĂ©er de nouvelles connexions dans notre cerveau. Ăa veut dire quoi ? Ăa veut dire qu'on peut changer notre façon de penser, notre façon d'agir, notre façon de rĂ©agir, et donc notre vie peut changer, notre prisme en tout cas peut changer. Ăa c'est une rĂ©alitĂ© aujourd'hui qu'on a vĂ©rifiĂ©e scientifiquement. Et pour arriver à ça, il faut entraĂźner son cerveau, puisque ça fait des annĂ©es qu'il fonctionne de la mĂȘme façon, en tout cas qu'il a les mĂȘmes repĂšres, qui sont bien ancrĂ©s, puisque en plus, tout ce qui est de l'ordre du traumatisme, c'est des choses qui sont cachĂ©es, en tout cas camouflĂ©es dans notre cerveau limbique, qui est notre cerveau de la mĂ©moire, et c'est ce cerveau, on y a accĂšs...... d'une certaine façon, quand on est en Ă©tat de conscience modifiĂ© en gĂ©nĂ©ral, et on peut y avoir accĂšs aussi au travers du corps. Donc ça, c'est des raccourcis, en revanche, pour aller plus vite. Mais bref, je dis tout ça pour dire qu'il faut... rĂ©apprendre Ă son cerveau. Il faut rĂ©entraĂźner son cerveau. Et forcĂ©ment, rĂ©entraĂźner son cerveau, ce n'est pas en une sĂ©ance, ce n'est pas en une pratique que son cerveau va se transformer, en tout cas va penser diffĂ©remment. On parle souvent du cycle de 21 jours, de 3 semaines. C'est Ă peu prĂšs ça. C'est une moyenne, parce que ça peut totalement varier, mais c'est une moyenne qu'on donne, puisque c'est le cycle naturel de rĂ©gĂ©nĂ©ration de nos cellules. Ă peu prĂšs. Donc, voilĂ , on dit, pour installer une nouvelle habitude, il faut 21 jours, ce qui est vrai. En tout cas, il faut un certain nombre de temps, de jours, pour installer une nouvelle habitude. Ăa, c'est une rĂ©alitĂ©. Donc, la discipline, elle est lĂ , j'ai envie de dire, puisque pour installer une nouvelle habitude, il faut pratiquer. Pour pratiquer, il faut se trouver un moment. Et donc, il faut avoir cette... Alors, quand je parle de discipline, je sais que c'est un mot qui est souvent galvaudĂ©, qui n'est pas forcĂ©ment bien vu, mais je l'emploie, moi, vraiment de façon trĂšs positive. Pour moi, ce mot est trĂšs positif, en tout cas dans mon prisme Ă moi, parce que pour moi, ĂȘtre disciplinĂ©, c'est vis-Ă -vis de soi-mĂȘme, et il n'y a personne par rapport Ă cette notion de discipline. C'est... Une forme de respect personnel, c'est-Ă -dire qu'est-ce qui est important pour moi ? Ce qui est important pour moi, je le note, ça peut ĂȘtre sur mon agenda, ou en tout cas je le rends prioritaire dans ma liste de tĂąches, et je lui trouve un moment, quoi qu'il arrive, quoi qu'il advienne, dans ma semaine, dans ma journĂ©e. Donc c'est pour ça que je parle de discipline. Et je fais le parallĂšle, c'est pour ça que je parle aussi de motivation. Je suis quelqu'un de trĂšs motivĂ© et je sais que c'est un atout, que beaucoup de mes amis viennent chercher avec moi, une espĂšce de motivation que j'ai. Mais ce qu'il faut savoir, c'est que c'est trĂšs diffĂ©rent la discipline et la motivation. et que il faut tout miser sur la discipline et non pas sur la motivation tout simplement parce que la motivation ben on l'a pas toujours je pense que tu as des multiples exemples ou je sais pas tu avais envie de faire quelque chose et tu te lĂšves le matin tu es super fatiguĂ© pour x raisons ton fils t'as rĂ©veillĂ© dans la nuit, t'as mal dormi. Je parle de vĂ©cu. VoilĂ , t'as passĂ© une nuit pourrie, tu te lĂšves, t'es fatiguĂ©, t'as pas le moral, t'as eu une nouvelle pas terrible, ou mĂȘme aprĂšs une journĂ©e de travail, tu pensais, je sais pas, aller faire une course Ă pied, et en fait t'es super fatiguĂ©. Donc mĂȘme si t'es motivĂ© dans l'absolu parce que tu t'es mis un challenge, t'as envie de perdre du poids, t'as envie de crĂ©er un truc, En fait, l'humeur de la journĂ©e va faire que ta motivation va tomber. Et ça, c'est totalement normal, c'est humain. Notre motivation n'est jamais linĂ©aire. Ăa, ça n'existe pas. Puisque, surtout en plus, nous les femmes, on a un systĂšme hormonal qui fait que ce n'est pas possible d'avoir des humeurs linĂ©aires. MĂȘme si, c'est vrai qu'on dit souvent que les hommes ont un caractĂšre, des humeurs linĂ©aires. chose qui n'est pas d'ailleurs totalement vraie, en tout cas pas toujours mais en tout cas chez nous les femmes notre systĂšme hormonal fait qu'on a des fluctuances notre cycle etc fait qu'on n'a pas toujours la mĂȘme pĂȘche toujours la mĂȘme Ă©nergie et donc la motivation on peut absolument pas compter sur ça pour en tout cas pour mener Ă bien un projet pour mener Ă bien notre guĂ©rison lĂ je parle vraiment de de guĂ©rison personnel puisque c'est ce dont je parle donc l'importance vraiment elle est lĂ de s'installer une discipline Peu importe la forme que ça prend, comment. Alors, en sachant que je parlais du cerveau, le cerveau va tout faire, puisque notre cerveau, surtout le cerveau reptilien, adore les habitudes et est toujours en mode danger dĂšs que les choses changent. notre cerveau adore faire toujours la mĂȘme chose parce que ça le rassure donc forcĂ©ment qu'on a envie d'installer des nouvelles choses de nouvelles pratiques Ă des rĂ©sistances et il ya des phases en fait dans la pratique c'est Ă dire alors quand je parle de pratique par exemple moi je suis sophrologue, entre autres, et la sophrologie, c'est une vraie pratique qui s'installe dans le temps pour justement rĂ©guler ses Ă©motions, son systĂšme nerveux, et il faut pratiquer, pratiquer comme la mĂ©ditation, c'est plus tu pratiques, plus... Ce que je disais, tu modifies les choses dans ton cerveau, dans ton corps, et les choses deviennent assez naturelles, tu n'as plus de fluctuances Ă©motionnelles, de stress, etc. Et donc, pour... Notre cerveau, alors si, voilĂ , moi ce que je propose en tout cas Ă mes clients, pardon, c'est vrai que je suis dans ma voiture et que je n'ai rien, je n'ai pas de notes, je pars dans mes pensĂ©es. Ce que je disais, c'est que je propose toujours Ă mes clients un minimum de sĂ©ances, ce n'est pas pour rien. En gĂ©nĂ©ral, c'est entre 10 et 12 sĂ©ances. pas moins, pour justement installer de nouvelles habitudes au cerveau et au corps. Et on passe par des phases, c'est-Ă -dire la premiĂšre phase, donc la motivation, elle est au point fort, elle est tout en haut. Et c'est super, parce que c'est ce qui fait qu'on s'engage et on se lance vraiment dans une prise en charge de soi-mĂȘme. Vraiment, on a envie de se sentir mieux, etc. Donc, c'est gĂ©nial. Ensuite, il y a une phase... oĂč on commence un peu Ă s'ennuyer. Et c'est lĂ , parce qu'on s'ennuie, parce que c'est pas vraiment de l'ennui, mais on peut dĂ©finir ça comme ça. Je vous le dis par expĂ©rience en plus. Mais en fait, parce qu'on a l'impression que c'est toujours la mĂȘme chose, qu'on refait surtout dans la sophrologie ou la mĂ©ditation. On a l'impression de revenir sur des choses en plus qu'on connaĂźt dĂ©jĂ , parce qu'on rĂ©veille des petites choses aussi. Et du coup, on a cette phase d'ennui, mais qui devient de la rĂ©sistance, parce que ça, c'est notre cerveau. Vu que c'est inhabituel, il y a des choses qui commencent Ă bouger, Ă changer. Donc lui, il n'aime pas le changement et donc il va rĂ©sister. Et donc c'est tous ces moments oĂč tu vas dire non, je n'ai pas envie, non, ça me fait chier. Ou tu as envie mais tu ne le fais pas. Ou tu vas repousser parce qu'on t'invite au resto et que tu vas prĂ©fĂ©rer aller au resto et tu dis bon, ce n'est pas grave, je le ferai la prochaine fois. VoilĂ , c'est tous ces moments-lĂ oĂč, mĂȘme si ce n'est pas trĂšs conscient, mais justement c'est pour y mettre un peu plus de conscience que je donne plusieurs exemples. Pardon, mes clĂ©s sont tombĂ©es. Tous ces moments-lĂ , ça marque des rĂ©sistances qui sont de l'ordre de nos rĂ©sistances mentales. C'est un mĂ©canisme de protection d'une certaine façon. Et en fait, il faut passer ce cap-lĂ . Ce cap-lĂ , tu le dĂ©passes en... Avec la discipline, c'est-Ă -dire en restant toujours, non, il faut que je le fasse. EspĂšce de, pourtant je ne suis pas de celles qui prĂŽnent, voilĂ , il faut absolument ne pas lĂącher. Mais lĂ , en l'occurrence, si, un petit peu quoi. Parce que c'est revenir Ă pourquoi tu fais tout ça, pourquoi cette sĂ©ance, elle est importante pour toi. Revisualiser dans quel Ă©tat tu as commencĂ©. Pour visualiser aussi dans quel Ă©tat tu as envie d'ĂȘtre, vers quoi tu as envie de tendre, dans quel Ă©panouissement tu as envie de te reconnaĂźtre, etc. Et donc voilĂ , aprĂšs, si on dĂ©passe ça grĂące Ă la discipline, aprĂšs il y a quelque chose d'automatique qui s'installe, et ça devient, ça fait partie de nous. C'est-Ă -dire que ça ne devient mĂȘme plus une charge, ça ne devient mĂȘme plus une obligation. C'est que je dois faire ma pratique de soufros, je dois aller mĂ©diter. Ok, je prends cinq minutes, allez, salut les amis, je reviens. Et on ne se pose mĂȘme plus de questions en fait. Et c'est ça les phases, vĂ©ritablement, de la pratique. Et je pense que c'est valable. pour tout, moi je parle de ce que je connais, mais c'est valable toutes les pratiques qui demandent du temps. Et la personne qui te dira que ce n'est pas vrai, il te ment. SincĂšrement, parce que le temps est un facteur trĂšs trĂšs important dans la discipline et dans l'installation de nouvelles habitudes dans le cerveau et dans le corps. J'ai parlĂ© de l'importance de modifier les choses dans le cerveau, mais il y a aussi, et c'est ça qui m'a mis en Ă©vidence en gĂ©omĂ©trie sacrĂ©e Ă l'heure de mon stage de ce week-end, c'est l'importance aussi de modifier notre chimie. C'est lĂ qu'il y a l'aspect physique. C'est pour ça que moi, je me bats pour les thĂ©rapies psychocorporelles, qui relient vraiment la psychĂ© et le corps. C'est pour ça que je suis en cours de certification de psychothĂ©rapie et que j'ai des pratiques psychocorporelles. Parce qu'en fait, il y a le cerveau, je vous l'ai expliquĂ©, ce qui se passe pour changer et pour aussi soigner, guĂ©rir tout ce qui est trauma et modifier toutes les charges qui sont au niveau du cerveau. Mais il y a aussi notre corps, parce que lors d'un traumatisme, lors d'Ă©motions refoulĂ©es, de blessures Ă©motionnelles, notre corps retient une charge Ă©motionnelle. C'est le principe mĂȘme d'un traumatisme, c'est que... DĂšs qu'il se passe un trauma, un choc, ce qui se passe, c'est que ce qu'on retient en nous, ce n'est pas le choc en lui-mĂȘme, c'est la charge Ă©motionnelle que ça nous a procurĂ©. Et cette charge Ă©motionnelle, tant qu'elle n'est pas libĂ©rĂ©e, elle reste dans le corps et elle fait de nous une victime de traumatisme. Parce que si on ne la soigne pas, ça reste. Et c'est ça qui fait notre mal-ĂȘtre, l'anxiĂ©tĂ© qui s'installe, et toutes les dĂ©pressions, tout ce qui peut ĂȘtre de l'ordre de la psychologie, etc. Et mĂȘme des maladies physiques. Donc il y a vraiment cette notion aussi physique qui est Ă prendre en compte, et mĂȘme au-delĂ de ça, chimique, puisque nos Ă©motions ont un impact sur notre systĂšme hormonal. Et c'est pareil en fait, c'est que tant que c'est installĂ©, pareil que pour le cerveau, depuis tant d'annĂ©es, vous pensez bien que pour modifier sa chimie, pour modifier le fonctionnement physiologique de son corps, ça demande du temps, ça demande de la pratique. Je ne vais pas revenir sur les dĂ©lais, le temps, mais en tout cas, il faut le comprendre. Je trouve que c'est important de le comprendre aussi pour pouvoir aussi avoir un autre regard et une autre comprĂ©hension et peut-ĂȘtre aussi envie d'installer une pratique, une discipline dans sa vie pour pouvoir justement aller au bout de ses blessures et pouvoir enfin se libĂ©rer de ce qui... nous bloquent de ce qui nous entrave aujourd'hui, de ce qui nous empĂȘche d'ĂȘtre qui nous sommes au fond de nous. Donc en gros, voilĂ un peu ce que j'avais envie de partager par rapport Ă cette notion de discipline, par rapport, quoi, versus la motivation, parce que c'est vrai que j'ai vraiment envie de faire comprendre aux gens qu'il n'y a pas de raccourci. aucun raccourci. Les gens qui vous disent tu viens faire une sĂ©ance et tout va ĂȘtre rĂ©glĂ©, ce n'est pas possible. Autant, j'ai des clients qui viennent me voir parce que il y a une problĂ©matique dans leur vie qu'ils veulent rĂ©gler et oui, ok, en one shot, t'as envie juste de sentir mieux, t'as envie de t'aĂ©rer l'esprit, en ce moment tu te prends la tĂȘte, tu sens qu'il y a un petit blocage, t'as envie de te faire du bien, oui, ok, une sĂ©ance, ça peut faire du bien. Mais quand on vient me voir et qu'on me demande Alors moi ou quelqu'un d'autre, je me sens mal dans ma peau, j'ai de l'anxiĂ©tĂ© depuis tant d'annĂ©es, une anxiĂ©tĂ© en plus qui dĂ©gĂ©nĂšre, c'est-Ă -dire qui me bloque dans ma vie. J'ai des crises d'angoisse, des crises de panique qui me bloquent pour ne serait-ce que m'Ă©panouir et faire des choses qui me plaisent ou me mettre en couple ou avoir des amis. Ce n'est pas une science. Ăa, ce n'est pas possible. J'avais ce message Ă faire passer, en tout cas c'est ma volontĂ© de faire passer ce message que sans discipline dans sa vie, c'est trĂšs difficile de... VoilĂ , d'avancer, surtout sur son chemin de guĂ©rison personnelle, sur son chemin de dĂ©veloppement. Sans discipline, en gĂ©nĂ©ral, on tourne en rond, on se prend la tĂȘte, on va beaucoup dans nos pensĂ©es, on se raconte beaucoup d'histoires, alors que, voilĂ , se prendre en main, une fois pour toutes, se crĂ©er une discipline, alors je ne dis pas que c'est simple, mais en tout cas, c'est quelque chose sur lequel je pense qu'il serait intĂ©ressant de tendre, en tout cas, si ta volontĂ©, c'est vĂ©ritablement. de te retrouver, de retrouver qui tu es et de pouvoir aussi t'Ă©panouir pleinement. Ăcrire ce que tu as envie, ta famille, te mettre en couple sans ĂȘtre bloquĂ©, sans te sentir bloquĂ©, sans te sentir mal dans ta peau. Merci de m'avoir Ă©coutĂ© jusqu'au bout. J'espĂšre sincĂšrement que ce que je viens de partager peut t'apporter des clĂ©s ou peut dĂ©clencher quelque chose en toi. En tout cas, si tu as envie d'en discuter, Tu peux soit m'Ă©crire sur les rĂ©seaux sociaux, c'est Instagram en gĂ©nĂ©ral ou LinkedIn. Je mets le lien de mon site internet aussi sur lequel tu peux m'envoyer un mail. Voir aussi tout ce que je propose puisque ma mission aujourd'hui, c'est vraiment de me mettre au service de ta guĂ©rison, de la guĂ©rison des gens en tout cas qui sont prĂȘts. Donc tu peux voir les services que je propose pour ça. Et bien Ă©videmment, on peut Ă©changer lors d'un rendez-vous ou aussi tu peux prendre ton rendez-vous pour qu'on puisse commencer le voyage ensemble. Merci, je te dis Ă bientĂŽt pour un nouvel Ă©pisode.