Speaker #0Bienvenue dans Prends une pause, le podcast pour apaiser, Ă©clairer et transformer tes Ă©motions. Dans un monde oĂč tout va vite, oĂč les pressions et les attentes pĂšsent lourd, il est temps de ralentir, de respirer profondĂ©ment et de plonger au cĆur de toi-mĂȘme. Je suis Louna, thĂ©rapeute psychocorporelle et je serai ton guide dans ce voyage intĂ©rieur. Chaque Ă©pisode est une invitation Ă plonger en toi, Ă Ă©couter ce que ton corps, ton cĆur et tes Ă©motions ont Ă te dire. Nous dĂ©couvrirons ensemble des stratĂ©gies et des outils pour une gestion Ă©motionnelle Ă©clairĂ©e et libĂ©ratrice. PrĂ©pare-toi Ă ĂȘtre accompagnĂ© dans une introspection profonde, Ă rĂ©vĂ©ler la beautĂ© de ta sensibilitĂ© et Ă vivre en harmonie avec chaque facette de ton ĂȘtre. Parce que dans le calme de cette pause se trouve la clĂ© de ta transformation personnelle. Alors, prends une grande inspiration, installe-toi confortablement et prĂ©pare-toi Ă faire une pause. bien mĂ©ritĂ©e. Bonjour Ă tous, j'espĂšre que vous allez bien. Bienvenue pour ce nouvel Ă©pisode de Prends une pause. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet qui touche tout le monde. Oui, oui, tout le monde, le mensonge. Que ce soit de petits arrangements avec la vĂ©ritĂ© ou de gros mensonges, chacun de nous s'y retrouve, souvent sans mĂȘme s'en rendre compte. Alors c'est un sujet que j'ai envie d'aborder parce qu'il suscite souvent... de trĂšs fortes Ă©motions en nous dĂšs lors qu'on sait que quelqu'un nous ment, ça peut nous mettre trĂšs en colĂšre, voire nous rendre triste. On a beaucoup d'incomprĂ©hensions face aux mensonges et donc j'ai envie de t'apporter aussi un autre point de vue, une autre façon de voir le mensonge. Alors la quĂȘte de la vĂ©ritĂ©, parce que forcĂ©ment quand on parle de mensonge, on parle de vĂ©ritĂ© aussi, c'est une recherche que l'on mĂšne tous, que ce soit de façon consciente ou inconsciente. On la recherche aussi bien dans nos relations, dans nos dĂ©cisions, et mĂȘme dans notre rapport Ă nous-mĂȘmes. C'est, j'ai envie de dire, un besoin qui est fondamental, celui de se sentir alignĂ©, cohĂ©rent, de savoir qui on est vraiment, et de vivre en accord avec ça. Alors oui, j'insiste sur le fait qu'on ment tous. Que ce soit de petits mensonges ou de grands mensonges, peu importe, mais ces mensonges finissent par, d'une certaine façon, façonner un peu notre rĂ©alitĂ©. Mais la vĂ©ritĂ©, c'est qu'on est souvent les pires menteurs envers nous-mĂȘmes. Donc aujourd'hui, au travers de cet Ă©pisode, tu vas comprendre pourquoi il t'arrive de mentir, pourquoi les autres te mentent, et surtout comment faire preuve d'honnĂȘtetĂ© envers toi-mĂȘme, car c'est lĂ que tout commence, j'ai envie de dire. Alors, on va commencer par la base dĂ©jĂ . Pourquoi est-ce qu'on ment ? Et je pense que c'est la chose la plus importante que je vais dire dans cet Ă©pisode, c'est que derriĂšre chaque mensonge, quel qu'il soit, qu'il soit grand, petit, Il y a toujours une peur, une peur qui est profonde souvent. Et ça peut ĂȘtre n'importe quelle peur. La peur de ne pas ĂȘtre assez quelque chose, suffisamment quelque chose, assez gentil, assez grand, assez beau, peu importe. La peur d'ĂȘtre rejetĂ©. La peur d'affronter une vĂ©ritĂ© qui est inconfortable. La peur de ne pas ĂȘtre acceptĂ© ou aimĂ©. Si on montre la vĂ©ritĂ©, si on se montre tel que l'on est. Parce que... Pour beaucoup, et en tout cas pour l'ĂȘtre humain, dire la vĂ©ritĂ©, ça peut ĂȘtre perçu comme se mettre Ă nu. Et c'est cette vulnĂ©rabilitĂ©, en fait, qui fait peur. On se dit que si l'autre voit nos failles, il va nous rejeter, et donc ne plus nous aimer, et donc, peut-ĂȘtre, potentiellement, nous abandonner. Parce que ce qu'il faut comprendre, c'est que la vĂ©ritĂ©, elle nous confronte souvent Ă nos failles, Ă nos contradictions. et Ă nos blessures. Elle nous met face Ă des aspects de nous qu'on prĂ©fĂ©rait ne jamais voir et ça, ça peut faire mal. Avec tout ce que je viens de dire, le mensonge devient un mĂ©canisme de protection. On ment pour prĂ©server une certaine image de nous-mĂȘmes, une façade mĂȘme, j'ai envie de dire, qui semble, entre guillemets, plus acceptable. Et ce n'est pas toujours intentionnel de mentir parce que par moments, Le fait de cacher, parce que cacher c'est aussi mentir, des fois on sort cette excuse, je n'ai rien dit, je n'ai pas menti, mais c'est pareil en fait, ne rien dire c'est mentir. On cache des parties de nous-mĂȘmes parce qu'on pense qu'elles ne seront pas comprises ou aimĂ©es. En fait c'est une croyance qui s'est installĂ©e et donc on le fait de façon pas du tout intentionnelle, on ne sait pas forcĂ©ment comment dans ces cas-lĂ . Et aussi cette idĂ©e que la vĂ©ritĂ© peut ĂȘtre dangereuse. qu'elle peut nous isoler, nous faire perdre des relations, des opportunitĂ©s. Alors on prĂ©fĂšre du coup mentir en se voilant la face bien souvent, comme si tout allait bien. Et on continue d'avancer. Et parfois, comme je l'ai dit en introduction, on finit par se mentir Ă soi-mĂȘme. Ă force de vouloir ĂȘtre ce que l'on pense que les autres attendent de nous, en fait, on se ment Ă soi. J'ai commencĂ© Ă le dire tout Ă l'heure, c'est vrai que si on creuse un petit peu, c'est vrai que le mensonge peut ĂȘtre trĂšs ancrĂ© dans certaines de nos croyances. Parce que depuis petit, je pense qu'on l'a souvent entendu, surtout si en plus on a une Ă©ducation religieuse, que mentir c'est mal. Alors mĂȘme si on n'a pas eu d'Ă©ducation religieuse en gĂ©nĂ©ral, les parents aiment bien dire ça pour un peu nous faire peur. C'est que, voilĂ , mentir c'est mal. Donc si on ment, je fais des raccourcis, mais c'est un peu ce qui se passe dans notre comprĂ©hension d'enfant. Si on ment, on est un mauvais garçon ou une mauvaise fille. Et de coup, cette croyance nous fait un peu osciller entre deux extrĂȘmes, j'ai envie de dire. Parce que la peur de dire la vĂ©ritĂ©, comme j'ai pu le dire tout Ă l'heure, celle qui pourrait nous exposer, et aussi, on va vivre avec cette culpabilitĂ© de mentir, parce que c'est moralement rĂ©prĂ©hensible, j'ai envie de dire, c'est mal vu de mentir. Donc ça devient un espĂšce de jeu de faux Ă©quilibres, j'ai envie de dire, un dĂ©sĂ©quilibre permanent. On va chercher Ă Ă©viter les consĂ©quences de nos mensonges, tout en essayant de prĂ©server une certaine idĂ©e de nous-mĂȘmes. Mais en gros, comme je le disais au dĂ©part, s'il y a un truc Ă retenir, s'il y a quelque chose Ă retenir par rapport aux mensonges, parce que ce n'est pas aussi simple que juste il m'a menti c'est que ce n'est pas qu'une question de morale mĂȘme, c'est une stratĂ©gie de survie. Une façon de gĂ©rer des peurs profondes liĂ©es Ă notre dĂ©sir d'ĂȘtre acceptĂ©, aimĂ© et compris. Alors bien sĂ»r, mentir n'est jamais sans consĂ©quences, mĂȘme au-delĂ du fait qu'on soit dĂ©masquĂ©. Mais les mensonges finissent Ă un moment donnĂ© par peser, mĂȘme par nous prendre de l'Ă©nergie, j'ai envie de dire. Parce que dissimuler, masquer, cacher la vĂ©ritĂ©, ça prend beaucoup, beaucoup d'Ă©nergie. Puisqu'on met cette Ă©nergie Ă un endroit oĂč on pourrait l'utiliser ailleurs au final. Il y a mĂȘme, ce que je me disais, c'est que... par moment, quand on ment. Donc il faut se souvenir de ce qu'on en a dit, Ă qui, Ă quand. Donc d'une certaine façon, on va s'enfermer dans une spirale oĂč chaque mensonge en appelle un autre et ça devient, au fur et Ă mesure, un peu Ă©puisant quand mĂȘme. Donc voilĂ , ça prend Ă©normĂ©ment d'Ă©nergie d'une part, ça crĂ©e aussi beaucoup de stress et d'anxiĂ©tĂ© parce qu'on est toujours, au final, en alerte. On a peur d'ĂȘtre dĂ©masquĂ©, comme je l'ai dit, et c'est comme... Porter un masque en permanence, on se fatigue Ă porter, Ă maintenir une image qui est fausse de nous-mĂȘmes. Parce qu'en fait, on joue un rĂŽle, donc maintenir ce rĂŽle constamment, ça prend de l'Ă©nergie et ça peut vraiment fatiguer. Ăa crĂ©e aussi une espĂšce de dĂ©connexion avec soi, puisque comme je disais, on ne ment Ă personne, on ne ment qu'Ă soi-mĂȘme. Ă force de se mentir, on finit par ne plus savoir qui on est vraiment. On ne sait plus ce qu'on veut, ce qu'on ressent. On est au final coupĂ© de plus en plus de ses Ă©motions, de ses besoins. Et on finit par se sentir perdu, dĂ©connectĂ© de soi-mĂȘme. Et c'est comme si, j'ai envie de dire, qu'on vivait une vie qui n'est pas la nĂŽtre. Je ne sais pas si tu as dĂ©jĂ ressenti cette sensation. Moi, j'ai connu ça Ă un moment. Une vie qui n'est pas la nĂŽtre, en fait. On suit un scĂ©nario Ă©crit par quelqu'un d'autre et on se demande pourquoi on est si malheureux, pourquoi... Rien ne semble faire sens, en fait. Il y a cette notion aussi, par rapport au mensonge, une espĂšce de trahison aussi vis-Ă -vis de soi-mĂȘme, parce qu'on envoie le message Ă notre esprit que notre vĂ©ritĂ© n'est pas digne d'ĂȘtre vĂ©cue, qu'on ne mĂ©rite pas, au final, d'ĂȘtre authentique. Et ça, ça finit par ronger notre confiance en nous, clairement, par nous faire douter mĂȘme de notre propre valeur. Et plus on se ment, Et plus on perd le respect de nous-mĂȘmes, on se sent indigne, faux, en dĂ©calage, et on a l'impression de ne jamais ĂȘtre assez parce qu'on ne se permet jamais d'ĂȘtre soi tout simplement. Donc il y a un rĂ©el impact sur la confiance en soi. C'est vrai qu'on parle de reprendre confiance en soi, dĂ©jà ça commence par avoir une espĂšce d'honnĂȘtetĂ© vis-Ă -vis de soi-mĂȘme. Alors j'en viens donc Ă une question. que je trouve assez intĂ©ressante de se poser Ă un moment donnĂ©, c'est face Ă cette fatigue, Ă cette pression constante de mentir, pourquoi ne pas ĂȘtre honnĂȘte ? Non seulement avec les autres, mais surtout avec soi-mĂȘme. Je l'ai dit tout Ă l'heure, c'est vrai que dire la vĂ©ritĂ©, c'est d'abord s'autoriser Ă ĂȘtre vulnĂ©rable, Ă montrer ses imperfections, ses doutes et ses peurs. Et c'est aussi accepter qu'on ne peut pas plaire Ă tout le monde et que c'est ok de ne pas plaire Ă tout le monde. Et lĂ , ça devient une dĂ©marche d'honnĂȘtetĂ©, puisque lĂ , c'est vrai qu'on a parlĂ© de vĂ©ritĂ©, de mensonge, donc forcĂ©ment, on va parler d'honnĂȘtetĂ©. Et ce qu'on peut appeler aussi d'honnĂȘtetĂ© radicale. Radicale signifie vraiment aller Ă la source, Ă l'essence profonde, en fait. d'un concept ou d'une idĂ©e, donc lĂ c'est aller Ă la source de l'honnĂȘtetĂ©. Et c'est quoi ĂȘtre honnĂȘte vĂ©ritablement, c'est arrĂȘter de se cacher derriĂšre un masque, c'est faire le choix d'ĂȘtre soi, pleinement, vĂ©ritablement, intĂ©gralement, avec tout ce que cela implique. L'honnĂȘtetĂ© radicale c'est dĂ©cider de se dire la vĂ©ritĂ©, Ă soi, bien avant les autres, peu importe les consĂ©quences. Et c'est se promettre de ne plus se cacher, de ne plus se mentir, mĂȘme si c'est inconfortable. C'est choisir de se respecter suffisamment pour oser ĂȘtre vrai. Et ça ne veut pas dire tout dire Ă tout le monde. C'est vraiment, encore une fois, j'insiste sur se dire la vĂ©ritĂ© Ă soi d'abord. Parce que ça commence par se poser des questions simples, comme qu'est-ce que je ressens vraiment ? Qu'est-ce que je veux vraiment ? Et ĂȘtre honnĂȘte aussi sur les rĂ©ponses, mĂȘme si ces rĂ©ponses ne nous plaisent pas et que ce n'est pas comme ça qu'on a envie que notre rĂ©alitĂ© soit aujourd'hui. Parce que c'est ça, ĂȘtre honnĂȘte vis-Ă -vis de soi, c'est la situation est telle qu'elle, elle ne me convient pas, je vais arrĂȘter de faire semblant que tout va bien. Ou en tout cas, je ferai, je pense, un Ă©pisode sur le dĂ©ni, parce qu'il y a une forme de dĂ©ni aussi, ou de non-acceptation de la rĂ©alitĂ©. C'est-Ă -dire que, je ne sais pas, je suis dans un job qui ne me plaĂźt pas, mais je fais quand mĂȘme avec. Donc tous les jours, je suis malheureuse, j'y vais constamment. Et je me dis Oh bon, ça va quand mĂȘme, il y a pire. Il y a pire oĂč Bon, ça va quand mĂȘme, je peux faire ci, ça, ça dans ce boulot. Mais alors qu'on dĂ©teste profondĂ©ment ce qu'on fait. Et ça peut ĂȘtre la mĂȘme chose aussi dans une histoire de couple. Si on est en couple avec quelqu'un, que ça fait trĂšs longtemps que ça ne fonctionne plus, mais on reste par confort et qu'on a peur de la dĂ©cision qu'on va prendre. Parce que forcĂ©ment, la dĂ©cision qu'on va prendre, ça va nous amener Ă du changement. Donc la peur du changement, la peur. de se retrouver seule. Donc ĂȘtre honnĂȘte vis-Ă -vis de soi-mĂȘme, ça nous sort de notre zone de confort, ça nous sort de ce qu'on connaĂźt vĂ©ritablement. Et les amis, c'est lĂ en fait qu'on retrouve la vĂ©ritable paix intĂ©rieure, dĂšs lors qu'on arrĂȘte de se mentir. Parce qu'on va se sentir plus lĂ©ger, on n'a plus besoin de jouer drĂŽle, de se cacher en fait. On attire Ă nous des gens qui sont plus authentiques aussi, plus vrais. qui sont aussi alignĂ©s Ă qui on est. Et nous, on va se respecter, on va s'Ă©couter. Donc c'est lĂ qu'on va ressentir vraiment cette paix intĂ©rieure. Et comme on sait qu'on est fidĂšle Ă soi-mĂȘme, ça change tout. Et on se sent, comme je l'ai dit, on perd confiance en soi quand on ment et qu'on se ment. Donc lĂ , on va se sentir plus confiante, plus sereine et plus en phase avec notre vie. Et ce chemin... Soyons clairs, il n'est pas si difficile. On croit toujours que ça implique beaucoup de choses au travers de tout ce que je viens de dire. Bien sĂ»r, ĂȘtre honnĂȘte vis-Ă -vis de soi, c'est aller se plonger un peu dans nos blessures, se plonger dans des Ă©motions qu'on a refoulĂ©es, des histoires qu'on n'a pas envie de voir, qu'on n'a pas envie de soulever. On a toujours peur de ça, mais au final, les choses ne vont pas se passer d'un coup, d'un grand Ă©clat. C'est petit Ă petit, c'est un cheminement personnel et ça peut ĂȘtre trĂšs trĂšs simple. DĂ©jĂ , si tu as envie d'entreprendre un peu ça, retrouver un peu une forme d'honnĂȘtetĂ© vis-Ă -vis de soi, et c'est un cheminement, comme je dis, trĂšs personnel, tu peux dĂ©jĂ commencer par peut-ĂȘtre Ă©crire, poser sur papier ce que tu ressens, sans filtre, sans jugement, juste pour toi, par moment, je ne sais pas, en fin de journĂ©e ou en dĂ©but de journĂ©e, peu importe. ou une fois dans la semaine, notez vraiment un peu ce qui se passe en toi, comment tu te sens, en fait. C'est les premiĂšres choses, c'est ĂȘtre au plus clair de ce qu'on ressent, parce que c'est ça, quand on se ment Ă soi-mĂȘme, c'est qu'on n'Ă©coute pas ce qui se passe en nous, on rejette nos Ă©motions, donc redonner juste un petit peu de place en les Ă©coutant, et en les exprimant, et ça n'a pas besoin d'ĂȘtre exprimĂ© face Ă quelqu'un, dĂ©jĂ juste peut-ĂȘtre les Ă©crire. Les reconnaĂźtre et les Ă©crire. AprĂšs, si tu peux les exprimer verbalement Ă quelqu'un, c'est encore mieux, mais... VoilĂ , en fait, ce travail d'honnĂȘtetĂ©, c'est ĂȘtre honnĂȘte avec ses sensations, ses ressentis, ce qui se passe Ă l'intĂ©rieur de soi. C'est vraiment ça, en fait, le gros du travail. Donc aprĂšs, peu importe la mĂ©thode, peu importe la façon, l'idĂ©e, c'est vraiment prendre le temps d'Ă©couter ses Ă©motions, de les accueillir. Et peut-ĂȘtre, au fil du temps, d'ailleurs, c'est ce qui arrive trĂšs souvent, c'est plus on s'Ă©coute, plus on reconnaĂźt et on accueille ses Ă©motions, qu'on est au clair avec ça. petit Ă petit on ose dire sa vĂ©ritĂ© aux autres on ose ĂȘtre soi-mĂȘme mĂȘme si ça fait peur en fait Ă un moment donnĂ© il n'y a plus d'alternative c'est comme ça point barre et comme je le dis c'est un processus, un chemin mais chaque petit pas compte sincĂšrement je vais finir l'Ă©pisode avec une petite question de rĂ©flexion pour toi en tout cas si t'as envie aujourd'hui quelle est la vĂ©ritĂ© que tu n'oses pas encore te dire qu'est-ce que tu caches Qu'est-ce que tu fuis ? VoilĂ . Je te laisse avec cette question, ça peut ĂȘtre intĂ©ressant de la poser et peut-ĂȘtre y rĂ©pondre dans quelques temps, histoire que ça fasse un peu son travail en toi. En tout cas, j'espĂšre que cet Ă©pisode a pu rĂ©veiller des petites choses en toi. N'hĂ©site pas Ă le partager si tu penses que quelqu'un en aurait besoin. En tout cas, merci de m'avoir Ă©coutĂ© jusqu'au bout. Et merci Ă toutes celles et ceux qui mettront un petit commentaire, une Ă©toile sur Spotify ou Apple Podcast. Ăa soutient Ă©normĂ©ment mon travail. Donc merci de ton Ă©coute et je te dis Ă bientĂŽt pour un nouvel Ă©pisode.