Speaker #0Bienvenue sur Psycho-Sexo, le podcast de l'Eipsho. Je suis Enora Tessendier, psychopraticienne spécialisée en sexologie et psychotrauma et fondatrice de l'Eipsho, l'école internationale de psychosexologie holistique. Dans ce podcast, je vous partage des ressources, des témoignages et des approches concrètes en psychosexologie pour approfondir vos compétences et enrichir votre pratique. Bonjour ! Aujourd'hui, on s'attaque à... une question qui me semble cruciale. Pourquoi la sexualité reste-t-elle si difficile à aborder en accompagnement ? Donc, vous êtes peut-être thérapeute, éducateur, coach ou un professionnel de l'accompagnement ou du soin d'ailleurs et vous avez sûrement déjà été confronté à des situations où ces sujets émergent parfois de manière... explicite, parfois de manière plus subtile. Et là se pose la question comment réagir, comment accompagner efficacement, sans gêne, sans maladresse. Et c'est tout ça qu'on va explorer aujourd'hui, ces enjeux pour mieux comprendre et dépasser aussi ces blocages. Alors pourquoi cet épisode ? Parce qu'en fait la sexualité finalement c'est un sujet central dans la vie de nombreuses personnes. Mais il reste difficile à aborder et que ce soit pour les personnes accompagnées ou que ce soit pour les accompagnants, ça peut aussi être difficile. Et mon objectif aujourd'hui, c'est de vous montrer pourquoi il est essentiel de dépasser ces freins pour enrichir les accompagnements et mieux répondre aux besoins des personnes qu'on accompagne. Et puis... J'en parlerai à la fin, mais si vous voulez aller plus loin, je vous parlerai aussi de la masterclass gratuite que je sors tout bientôt, les 13 et 15 janvier, pour donner des outils encore plus concrets autour des blocages sexuels. Et je vous expliquerai tout le programme en détail à la fin de ce podcast. Alors, pourquoi la sexualité est un sujet difficile à aborder ? Bon, on va retrouver vraiment différents points. Il y a le poids des tabous sociétaux, tout ce qui vient de l'histoire, en fait, de notre histoire autour de la sexualité, par rapport aux religions. Et donc, ça reste un sujet qu'on se dit intime, ça regarde l'autre, ça ne me regarde pas moi. Il peut être entouré de honte aussi, de gêne, de p... peur du jugement. Et en tant que professionnel, on peut avoir peur d'être intrusif. En tant que patient, on peut se dire, on peut se demander comment ça va être reçu en face. Et les patients aussi, je dis patients, mais c'est personnes accompagnées, peu importe dans quel domaine on est, usagers, clients. Ils peuvent hésiter à parler de leurs difficultés par peur d'être incompris, d'être stigmatisés. Et ça me rappelle notamment quand j'étais éduque, un jeune qui avait eu un problème de santé au niveau génital et puis qui avait dit à mon collègue, bah heureusement que c'était toi un homme parce que j'aurais été trop gênée si c'était une éduque femme. qui m'avait emmenée à l'hôpital. Bon, au final, justement, moi, je ne le connaissais pas encore. Ça ne faisait pas longtemps que j'étais là. Puis lui, il vivait en autonomie. Et donc, après l'opération, il est venu se faire bichonner sur la structure. Et donc, il m'en a parlé rapidement parce qu'il savait que... Enfin, je lui ai dit que j'étais sexologue. Mon collègue aussi avait dû lui dire. Il lui a dit, justement, aujourd'hui, je bosse avec une collègue. Les sexologues ne seraient pas posés de soucis et puis du coup, ils m'en ont parlé en fait. Parce qu'ils savaient que je me formais, enfin je n'étais pas sexologue, j'étais en formation pour être sexologue. Et puis il y a des personnes qui ne réalisent pas que leurs insatisfactions sexuelles sont liées à d'autres problématiques qui sont plus profondes. Il y en a plein qui, par exemple, n'ont pas de désir et n'ont pas fait le lien avec les violences subies il y a des années, par exemple. Et donc ils vont pas forcément aborder ce sujet-là de premier abord, alors que finalement, nous, ça peut nous donner des pistes quand on est au courant de ce problème-là, on va dire. Et puis, quels sont les freins des professionnels ? Eh bien, déjà, il y a un gros manque de formation sur la sexualité. Mon médecin généraliste m'avait dit qu'ils avaient une demi-journée sur la sexualité. Et puis, bon, les médecins généralistes, je ne sais plus combien d'années d'études ils font, mais c'est vraiment que dalle. Et pourtant... Il y a des choses qui sont primordiales à savoir en tant que médecin généraliste, parce que, par exemple, le problème d'érection, c'est le premier symptôme de différentes maladies, comme un cancer, comme le diabète. Donc, ça me semble tellement important. Et puis, je ne sais pas comment ça a évolué aujourd'hui, en tant qu'éduc, on n'a eu pas grand-chose. En tant que les infirmiers, je ne sais pas. S'il y en a, mais en tout cas, mes collègues me disaient qu'il n'y avait rien du tout. Donc voilà, ça manque quand même. Après, les professionnels, du coup, on peut avoir tendance aussi à projeter ou à s'imaginer des choses. Donc par exemple, quand j'étais en institution avec des personnes qui ont un handicap, eh bien, ces personnes sont considérées comme des personnes vulnérables. Et du coup, il faut les protéger. aussi au niveau de la sexualité. Alors que finalement, certaines personnes peuvent être totalement conscientes de ce qu'elles font, on va dire. Ça me fait penser vraiment quand moi j'étais dans une institution où je suis arrivée, il y a, je vous jure, c'était mon premier jour, et on m'a dit, elle, c'est une salope. Voilà. En me parlant d'une résidente. super présentation. Et puis, il se trouve qu'elle avait un chéri dans l'institution, mais alors pour lui, rien que le bisou, c'était un truc de ouf. Un bisou sur la bouche, il avait l'impression d'avoir fait de la sexualité avec elle. Et tandis qu'elle, elle avait besoin de plus. Et donc, elle couchait de temps en temps avec d'autres hommes de l'institution. Un jour, elle m'a expliqué que telle personne avait essayé de lui toucher la poitrine et qu'elle avait refusé et qu'elle l'avait fait sortir de sa chambre. Donc ça, ça montre très bien qu'elle est en capacité aussi de poser ses limites. Et puis je peux vous dire, en plus, c'était plus colosse de toute la structure. Ça veut dire qu'elle était en capacité aussi de savoir, un, de savoir ce qu'elle veut, ce qu'elle ne veut pas, et... de dire non. Et puis de mettre la personne en dehors de sa chambre, elle s'est protégée. Mais en réunion, le directeur avait abordé ce sujet et il disait qu'il fallait la protéger parce que c'était une personne vulnérable et qu'elle ne savait pas ce qu'elle faisait et tout ça. Et en fait, moi, ça m'avait énervée. C'est la seule fois où je me suis mise en opposition avec le directeur. Parce que bon, j'avoue, je suis... Je suis un peu timide quand même. Je n'ose pas toujours, face à un directeur, exprimer ce que je pense. Mais alors, quand il s'agit de la sexualité, et pour quelque chose de clair comme celui-là, j'avais réagi. Et voilà. Et en fait, cette personne aussi, je ne pense pas qu'elle en parlait à beaucoup de professionnels de ce qu'elle venait de me dire, que je viens de vous raconter. Déjà, si la... Première chose, c'est qu'on dit que c'est une salope. Forcément, ça ne donne pas envie d'aller parler de ça aux professionnels qui sont censés l'accompagner. Voilà, pour un exemple. Et puis, des fois, on peut aussi, en tant que professionnel, avoir peur d'aggraver la situation en posant, par exemple, la mauvaise question. Et c'est un sujet que j'aborde dans l'épisode sur les injonctions dans la communauté LGBTQIA+. qui sort la semaine prochaine, je le disais, j'ai moi-même l'impression de marcher sur des oeufs quand j'accompagne une personne homosexuelle. D'autres personnes peuvent ressentir ça avec les personnes trans, par exemple la peur de mal genrer, la peur de dire quelque chose qui pourrait être mal interprété. Moi c'est pas le cas avec les personnes trans parce que j'ai l'habitude, je pense que c'est pour ça. Et les personnes homosexuelles, j'en ai moins accompagnées. Et du coup, j'ai peur de faire une erreur, de poser une question qui pourrait être mal interprétée, qui pourrait être interprétée contre elle aussi. Et donc, ça peut être ça aussi. Quand on n'a pas l'habitude de parler de sexualité, on peut avoir peur que si on pose une question, la personne, elle va mal le prendre ou elle va se sentir jugée. où on peut avoir peur qu'elle pense qu'on veut s'immiscer dans sa sexualité, qu'on veut savoir tous les détails croustillants et tout ça, alors qu'en fait, poser des questions, c'est pas forcément parce qu'on a envie de s'imaginer la scène de cul qu'ils ont vécu, mais juste parce que... Du coup, ça nous permet d'avoir des infos pour pouvoir accompagner après au mieux cette personne. Par exemple, j'ai des douleurs à la pénétration. Eh bien, on ne va pas l'accompagner de la même manière si ces douleurs, elles sont à l'entrée ou si elles sont au fond. Et ouais, ça peut paraître tout con. On peut se dire, oh là là, mais si je lui demande si elle a mal à l'entrée ou au fond, elle peut se dire que je suis en train de m'imaginer des trucs ou que je veux savoir les détails croustillants. En fait, non. Nous, ça nous permet d'avoir des infos et de l'accompagner en fonction des infos qu'on a. Quand on est au courant, en tout cas, des différences qui peuvent y avoir. C'était un exemple, mais il pourrait y en avoir d'autres avec des sujets où peu importe qui pourrait être un peu plus au courant et du coup, savoir mieux accompagner en fonction d'eux. Et donc, en fait, l'impact que ça peut avoir sur les accompagnements, c'est finalement, ça peut du coup laisser les personnes dans leur blocage ou limiter la progression dans certains autres aspects de leur vie parce qu'on n'aborde pas ce sujet-là. Et quand je dis d'autres aspects de leur vie, par exemple, l'estime de soi, au niveau des relations, enfin, tout. Tout est lié, à mon sens, et donc, ben, si on n'en parle pas, ou si on laisse ce sujet de côté, finalement, c'est comme, ben, essayer d'accompagner quelqu'un, mais elle va toujours avoir une... elle va toujours boiter, parce qu'en fait, on n'aura pas accompagné sur tous les domaines. Donc, si... Je peux donner un exemple. Une femme, par exemple, qui se plaint qu'il n'y a pas assez de contact physique avec son mari, on va dire, pas assez de câlins. Et en fait, si on creuse le sujet, elle n'a plus de désir. Et donc, si son compagnon vient vers elle pour des câlins, en fait, il y a un mécanisme inconscient qui se fait pour beaucoup de personnes, c'est que la personne, elle se rédit. Elle ne veut pas de câlin parce qu'elle a peur ou parce qu'elle se dit qu'elle est sûre que c'est que son mari va vouloir plus et qu'elle va devoir passer à la casserole ou qu'elle va devoir lui dire non et que ce n'est pas cool pour lui de devoir lui dire non. Et donc à ce moment-là, en fait, elle se rédit et elle refuse tout câlin. Mais à côté de ça, elle peut dire qu'elle est en manque de câlin et de contact physique. Donc... Elle est dans ce mécanisme-là où d'un côté, elle les refuse et d'un côté, elle en voudrait. Mais elle les refuse parce qu'elle pense que son mari veut plus, quoi. Et puis en même temps, son mari, il a pu intégrer que quand il vient tenter un câlin, même si lui, en vrai, il n'a pas d'arrière-pensée, eh bien, elle va se redire et qu'elle n'en veut pas. Et donc du coup, lui, il a pu aussi arrêter. de faire ses câlins par peur d'être rejetée par exemple et parce qu'il a intégré qu'elle, elle n'en veut pas. Donc si vous voulez, je ne sais pas si c'est bien clair que nous manquant l'info qu'il n'y a pas de désir et toutes ces infos que je viens de détailler, eh bien en fait on passe à côté d'un problème qui nous aiderait à comprendre l'ensemble des mécanismes qu'il y a, l'ensemble de la situation qu'il y a. Et alors, qu'est-ce qu'on gagne, du coup, à intégrer la sexualité dans nos accompagnements ? Ça gagne déjà à avoir tout l'ensemble, à avoir des résultats globaux, parce que tout est lié. Ça permet aussi de pouvoir réorienter sur d'autres professionnels, si on est informé de certaines choses et que, du coup, on sait sur qui orienter. J'en sais rien, sage-femme, urologue, andrologue, sexologue, médecin généraliste pour faire quelques bilans. Voilà. Et puis ça permet aussi une relation thérapeutique qui est renforcée parce que déjà d'ouvrir la porte à ces discussions, ça crée un espace de confiance. Même si la personne, elle n'en parle pas tout de suite, elle sait qu'elle pourra en parler. Un espace d'écoute bien évidemment. Et voilà, ça montre, ça lui montre qu'il peut aborder ce sujet sans tabou, sans crainte, sans être jugé. Et puis, la posture professionnelle aussi, elle est enrichie quand on sait plus sur ce sujet, quand on ose l'aborder, quand on a confiance de l'aborder. On peut du coup se sentir aussi plus légitime d'accompagner au niveau de cet accompagnement-là. Ça fait un peu rédondant la phrase que je viens de faire. Et puis en plus de ça, en tout cas si vous êtes bien informé sur ce sujet, si vous êtes formé sur ce sujet, vous devenez un praticien qui est à l'écoute de ces dimensions qui sont très souvent négligées et qui pourtant sont cruciales dans la vie des personnes qu'on accompagne. Donc maintenant on va voir quelques pistes concrètes pour oser aborder la sexualité. Donc déjà... C'est oser et apprendre à poser les premières questions. Déjà, ce qu'il peut y avoir, c'est de préparer le terrain. Par exemple, quand vous me dites que ça se passe de telle manière avec votre partenaire, je me dis que ça peut peut-être être compliqué dans les relations intimes. Sachez qu'ici, ce sujet peut être abordé. On ouvre la porte. On n'a pas à poser de questions directes, mais la personne en face... Elle est au courant qu'elle peut aborder ce sujet avec nous. Après, on peut aussi aborder, bien sûr, avec une question ouverte. Comment vous vous sentez dans vos relations intimes en ce moment, par exemple ? Et puis, voilà, après, ça va être d'observer les réactions, de prendre le temps, de voir comment la personne en face réagit. de ne pas insister si besoin et de laisser la porte au dialogue pour plus tard en fait. Si on voit que la personne ne veut pas répondre, ben ok, on voit plus tard. Si la personne, elle aborde le sujet d'elle-même ou que vous lui avez posé une question et qu'elle vous répond que c'est compliqué, ben il ne faut pas hésiter à poser des questions. C'est tout comme vous le faites pour d'autres problèmes en fait. Je ne sais pas, il y a un problème au travail, vous allez poser des questions pour chercher à comprendre quel est ce problème au travail. Et bien dans la sexualité c'est pareil en fait. Dites-vous, c'est comme si elle vous parlait de son boulot, c'est pareil. Vous allez poser des questions pour comprendre le contexte. Ben pareil pour la sexualité en fait. On enlève toutes ces peurs, ces tabous, on pose les questions. Et puis sinon, on peut aussi leur dire, par exemple, vous me permettez que je vous pose plus de questions pour être sûre de bien comprendre. Leur poser vraiment une question concrète. Pour mieux comprendre la situation, j'aurais besoin de vous poser quelques autres, quelques questions en plus, c'est ok ? Ou quelques questions plus intimes et qui rentrent dans le sujet, c'est ok ? Voilà, bien sûr, avec vos mots à vous, mais en tout cas, ne pas hésiter. Et on peut le poser, et on peut poser la question aussi. Donc voilà, pour venir un peu synthétiser cet épisode, se rappeler que la sexualité, c'est une dimension essentielle de l'accompagnement, qu'elle fait partie de l'ensemble de la vie de la personne, ou la non-sexualité, ça fait partie de la vie de la personne. Et puis bien évidemment, c'est plus facile de dépasser tout ça si on a dépassé nous-mêmes nos propres freins dans notre sexualité. On va pouvoir en parler peut-être aussi de façon plus facile et sans projeter, bien évidemment. C'est comme dans tout type de thérapie, en fait. L'idée, c'est de vraiment pas projeter notre sexualité sur la sexualité des personnes qu'on accompagne. Voilà un petit peu, j'espère que ces petits conseils vous auront... aider, intéresser et pour aller plus loin, donc sors la masterclass gratuite les 13 et 15 janvier, donc c'est tout bientôt si tu m'écoutes à la sortie du podcast. Cette masterclass, c'est donc pour aller plus loin dans ces problématiques-là, si ton patient, client, l'usager avec lesquels tu travailles, s'ils abordent... Les pratiques dans la sexualité, en fait, c'est qu'on va aller voir qu'est-ce qu'il peut y avoir derrière. On va aller voir les causes principales, comme psychologiques, relationnelles, biologiques aussi, des exemples concrets qu'on va voir. Et donc, plus concrètement, en fait, finalement, ce qui peut se cacher derrière une plainte au niveau de la sexualité, ça peut être des douleurs à la pénétration, comme dyspareunie, vaginisme. Donc on va voir... En fait, mon idée, ça va être vraiment de vous donner tous les points qui me semblent super importants que vous ayez comme info. Donc on va pouvoir aussi aborder l'absence de plaisir, l'absence d'orgasme, avec le rôle des injonctions sociales, les croyances limitantes, le manque de connexion à son corps. On va aller voir l'éjaculation précoce. D'où ça peut venir, les mécanismes réflexes liés notamment au stress, Ausha de performance, mais aussi les troubles de l'érection. Du coup, comment savoir s'il y a besoin d'un bilan avec le médecin ou pas. savoir si on peut accompagner nous ou s'il y a besoin absolument d'un check-in médical, check-up, un check-up médical. Et puis le manque de désir aussi, par rapport à quoi c'est lié, les différences entre... les hormones du désir chez les hommes, chez la femme, et puis aussi l'addiction au porno, et les impacts que ça peut avoir au niveau psychologique, au niveau relationnel. Et comment accompagner pour ces problématiques-là ? Bien évidemment, ce sera des petites infos. On a trois heures, on aura trois heures devant nous, donc ce ne sera pas une formation complète en sexo, mais... Et voilà, des petites infos qui me semblent importantes que vous puissiez avoir pour vos accompagnements. Donc voilà, pour s'inscrire, le lien est dans la bio. Et puis, j'espère vous y voir. J'espère que cet épisode vous aura été utile. Et puis ouais, en petite conclusion. de cet épisode. En abordant la sexualité, vous ajoutez une nouvelle dimension à vos accompagnements et vous offrez à vos patients une chance de se reconnecter à eux-mêmes. Alors vraiment, osez franchir cette étape pour eux, mais aussi pour vous et vos accompagnements. Je vous dis à la semaine prochaine pour un épisode accompagné. de Denis Trochesec pour parler des injonctions que vive la communauté LGBTQIA+. Les injonctions qu'elles vivent de l'extérieur et les injonctions qu'elles vivent à l'intérieur même de la communauté. Je vous dis à la semaine prochaine et merci pour votre écoute. Nous voilà arrivés à la fin de cet épisode. Si vous entendez ce message, c'est que vous l'avez écouté jusqu'au bout. Et pour ça, je vous en remercie du fond du cœur. Si vous avez apprécié ce que vous avez entendu, pensez à le partager autour de vous, en me taguant par exemple, à laisser 5 étoiles ou même à vous abonner pour ne rien manquer. Et puis, sachez que je suis toujours à l'écoute de vos envies pour de nouveaux sujets, alors dites-moi en commentaire ou sur les réseaux sociaux ce qui vous intéresserait pour les prochains épisodes. En attendant, prenez soin de vous, et je vous dis à mercredi prochain !