#Enora TeyssendierBonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui j'avais envie de vous partager une réflexion qui me tient vraiment à cœur. Donc peut-être que je vais perdre des auditeurs au passage parce que je sais que mon avis n'est pas des plus populaires. Je vais parler du fait de mettre des cases, de mettre les gens dans des cases, de certaines théories, de diagnostics, en tout cas dans certains cas, pas toujours, mais comme l'hypersensibilité, les troubles. TDAH, etc. Mais d'abord, je voudrais lire ce commentaire qu'a laissé Audrey, Audrey Coaching, donc O-H-D-R-E-Y Coaching, qui a le podcast Au cœur du sens, qui d'ailleurs est super, je vous le recommande. Donc, elle l'a laissé le 4 mars, je viens que de m'en rendre compte. Donc, Donc, Elle nous dit Merci pour ce podcast, frais et sans prise de tête. Les sujets sont abordés simplement et j'aime beaucoup. Merci beaucoup Audrey pour ton commentaire. Et si toi aussi tu as envie que je partage ton commentaire, eh bien va tout de suite en laisser un sur Apple Podcast ou sur Spotify. Bon, je m'apprête à faire cet épisode. En pleine chaleur, il fait très très très chaud ici en ce moment, j'ai dû arrêter les ventilos, mais je vais supporter pour vous faire cet épisode. Allez, c'est parti Donc, voilà, on entend beaucoup parler de certaines théories, du trouble déficit de l'attention par exemple, de l'hyperactivité, de l'hypersensibilité, au potentiel aussi, même... ouais. Bon allez, j'irai plus dans les détails après, je finis mon introduction. Et donc, moi ce que j'ai l'impression, c'est que des fois, à force de mettre des étiquettes, de vouloir tout expliquer par des étiquettes, eh bien on oublie parfois l'essentiel, on peut oublier l'histoire de vie de la personne, son vécu traumatique, c'est beaucoup de ça dont je vais parler, et l'humain qui peut y avoir aussi derrière ces diagnostics. Voilà, dans cet épisode, je vous partage donc mon point de vue, nourri de mon expérience en psychotraumatologie, dans l'accompagnement en psychiatrie, en pédopsychiatrie. Donc voilà, j'ouvre en tout cas une porte à la réflexion, reste jusqu'au bout, tu verras que je ne suis pas totalement contre non plus. Voilà, mon propos reste modéré tout de même. Mais en tout cas, déjà... La première chose c'est pourquoi ce besoin de mettre dans des cases Mais même soi-même, beaucoup de personnes sont contentes de lire certaines théories et de se dire Ah ouais, je me reconnais et tout ça. Pourquoi l'humain aime-t-on étiqueter C'est une question que je me pose. Peut-être qu'il y a un besoin de comprendre, de soulager, d'appartenir aussi dans certains cas. Pour moi, le danger des étiquettes, c'est que du coup, on peut se définir par ce diagnostic et s'y enfermer, et oublier qu'il y a d'autres choses derrière, et qu'il y a un vécu, par exemple, et qu'en fait, on pourrait travailler dessus pour avancer. Et je vais vous donner déjà un exemple, vous verrez, je vais vous donner plein d'exemples dans cet épisode. Donc, le premier, il est personnel. Je sais que dernièrement, j'en ai donné plusieurs. Mais en tout cas, ce premier exemple, c'est celui de mon père. Alors, quand j'ai fait mes études, j'ai bien compris qu'il était au potentiel, qu'il avait des difficultés à repérer les émotions chez les autres, à repérer... Les sentiments ou par exemple, exemple concret, la fatigue sur le visage des autres. Il ne supportait pas si la personne en face pleurait. Et il a pu m'expliquer dans ma jeune... Quand j'étais jeune adulte, qu'il avait compris que c'était important de dire, par exemple, des mots quand on raccroche, avant de raccrocher. Donc il a intégr... Il a intellectualisé le fait que c'est bien de dire je t'embrasse par exemple avant de raccrocher. Ok, c'est un fonctionnement de beaucoup de personnes qui sont au potentiel, intellectuelles. Et c'est ok en fait. Et il a intégré une norme sociale et il l'a mise en place au début avec le cerveau et au bout d'un certain temps c'est devenu une habitude. Voilà. Donc il y a ça. Mais en vrai, je m'étais bien abstenue de lui dire ce que j'avais repéré. Parce qu'en même temps... Bon, il a été traumatisé par la psychanalyse, donc il était, au début, il pensait que la psychologie c'était que la psychanalyse, et il était contre, du coup, la psychologie. Il commençait petit à petit à s'y ouvrir, parce qu'il a bien compris qu'en fait, il y a aussi la neurosciences, les cognitions, tout ça. Et donc... Moi je me dis que ça pourrait être bien qu'un jour il travaille quand même sur ce qu'il a vécu. Quand il était enfant, une mère dépressive a passé sa journée à pleurer dans le lit. Un père, c'est le père qui s'occupe des enfants, mais il travaille. Et quand il travaille, c'est mon père qui s'occupe de ses soeurs plus jeunes. Voilà. Donc, de cette expérience, il en résulte... très très très probablement des traumas. Et donc pour moi, oui, il est au potentiel intellectuel, avec des troubles de... au niveau émotionnel ou pour lire les émotions, des troubles au niveau des interactions sociales, voilà. Mais il a aussi un passé, un vécu des traumas. Et un jour, quelqu'un lui a conseillé de faire à tout prix ce diagnostic pour le fait qu'il soit HPI, donc au potentiel intellectuel. Bon, il ne voulait pas au départ parce qu'il est contre les étiquettes. Tiens, mon sujet ne vient peut-être pas de nulle part en fait. Et en tout cas, il a fini par le faire. Et puis après, il m'a dit, bah ouais, en fait, c'est pour ça. Et puis, du coup, j'ai échangé avec différentes personnes et c'est pour ça que j'ai du mal à... dans les interactions sociales et blablabla. À ce moment-là, je lui dis, tu sais, tout ce que tu me dis, en fait, moi, je le savais jamais, je te l'ai jamais dit, parce que je me doutais que ça mettrait fin à tous tes problèmes, ou du moins à une éventuelle potentielle idée de faire un travail sur soi, puisque c'est bon, c'est parce que je suis au potentiel que j'ai des difficultés là. Parce que bah oui c'est bon, c'est parce que je suis au potentiel que j'ai ces difficultés là et donc c'est comme ça, je suis comme ça, il faut faire avec. Et qu'en fait, bah en fait non. Je suis désolée mais déjà le gars il supporte pas de voir quelqu'un qui pleure, il a sa mère qui a pleuré pendant toute son enfance, toute son adolescence. On peut vraiment faire des liens tout de même, en tout cas faire des suppositions, des hypothèses de liens. Bref, donc bon il avait fini par... Oui c'est vrai, t'as raison. Donc voilà à mon sens, se reconnaître dans une catégorie peut parfois bloquer un cheminement personnel, un travail personnel. Donc bien sûr des fois ce diagnostic peut être une ressource et à un moment donné il peut aussi être une barrière. Et maintenant on va voir ce qu'on oublie trop souvent, le trauma. Je ne comprends pas pourquoi le trauma est aussi peu étudié, c'est un truc de dingue. Bref, c'est d'ailleurs pourquoi je propose une formation en psychotrauma, parce que c'est pas juste l'étudier, c'est savoir l'accompagner. J'en parlerai plus tard. Bon, beaucoup de symptômes attribués à des troubles peuvent en fait aussi être des signes de stress post-traumatique. Donc par exemple, l'hypersensibilité. Alors là, là c'est celui peut-être qui me met le plus hors de moi. Pourquoi Je vous invite à aller écouter l'épisode sur le fonctionnement des psychotraumas dans le cerveau, qui doit être le troisième épisode. Je le mettrai en lien dans la description. Quand on a vécu un événement traumatique, il y a cette alarme. Comme dans un écran en bas de l'écran, attention t'as vécu tel truc, attention t'as vécu tel truc, et cette alarme qui est là en permanence, forcément qu'elle nous amène des émotions, et elle nous fait ressentir des émotions décuplées parce qu'en fait, il y a une alarme qui est là en permanence et qui s'active. Donc, pour moi, l'hypersensibilité, c'est surtout quelqu'un qui n'a pas traité ses psychotraumas. qui n'a pas traité ses traumas. Et puis, on parle dans certaines catégories de personnes qui ont des difficultés relationnelles dans les personnes neuroatypiques. Je suis tombée sur un article en quoi tu peux te reconnaître les signes qui font que tu es neuroatypique, que tu as des difficultés relationnelles. Quelqu'un qui... a vécu des événements traumatisants, qui est dans sa bulle inconsciemment parce que le monde qui l'entoure est trop dangereux, parce qu'il a vécu des choses avec des personnes qui ne l'ont pas protégé ou qui l'ont humilié, enfin tout un tas de choses, et bien forcément que cette personne, enfin forcément non, mais cette personne en tout cas peut se retrouver avec des difficultés relationnelles. Et c'est d'ailleurs parce que je pense qu'il manque de professionnels formés à la libération des émotions que je propose en juin une formation où je vais transmettre la méthode SELEMA, Sérénité par la libération émotionnelle et les mouvements alternatifs. Et donc dans cette formation, vraiment, l'idée ce sera d'aider, je vais aider les praticiens du soin et de l'accompagnement à traiter les traumas et apaiser les émotions avec 5 jours de pratiques intensives et sans blabla théorique. Ou juste un minimum. La formation sera du 18 au 22 juin. Si je ne me trompe pas dans les dates, je mettrai dans la description. Et elle aura lieu en Corrèze. Bref, petit temps de pub passé. Maintenant, autre point qui m'interpelle. Quand on parle des troubles de l'attention, ou TDAH, troubles de l'attention avec ou sans hyperactivité, donc l'attention, déjà la nouvelle génération, elle a appris à scroller. Et donc, il est très très courant que les personnes ne peuvent pas tenir deux lignes d'un livre. Donc, est-ce que c'est un trouble neurodéveloppemental ou je ne sais quoi, ou est-ce que c'est la société qui crée ce genre de problème Ensuite, concernant l'hyperactivité, là aussi, il y a beaucoup de choses qu'on peut dire. Les enfants qui passent des heures et des heures devant les écrans, ben à un moment donné, quand ils sortent de l'écran, ils sont hyperactifs. Mais en fait, ils ont été contenus, ils se sont contenus pendant tout le reste du temps quand ils étaient devant l'écran. Donc c'est normal qu'après ça explose. Et donc j'ai bossé, comme je disais tout à l'heure, en hôpital de jour. Je sais bien sûr que ça existe, et je ne dis pas que ça n'existe pas. Et en même temps, c'est cette même expérience qui m'a montré... Par exemple, justement, un enfant diagnostiqué hyperactif, au-delà des heures passées devant les écrans, comme ce que je viens de le dire, sa maman, elle bossait énormément et elle ne prenait pas le temps de s'asseoir avec la famille pour manger le repas. En fait, ça montre aussi une mère hyperactive et l'enfant... ben possiblement est en train de reproduire ce qu'il voit. Est en train de reproduire ce qu'il voit. Et pareil pour l'autisme. Donc pour diagnostiquer l'autisme, il y a beaucoup de tests et tout ça, il y a vraiment des enfants qui ont de l'autisme. Ça, je ne le... je ne dis pas le contraire, ça c'est clair. Pourtant... Là où j'étais, il y avait plusieurs enfants qui avaient eu le diagnostic d'autisme. L'un d'entre eux, en fait, il était enfermé dans ses jeux vidéo. Des jeux vidéo, soit dit en passage, pas du tout de son âge. Et quand il était chez lui, il passait des heures et des heures à faire des jeux vidéo. Je parle d'un enfant qui avait... Quel âge 4 ans 5 ans Il y en avait un autre, donc lui pareil, gros trauma suite aux jeux vidéo de son frère. Et ça apparaissait partout, les zombies, il y en avait partout. Ils nous mettaient, même, ils avaient dessiné un conte, et il y avait des zombies partout, bref. Mais en fait, ce qui se passait aussi, c'est qu'il voyait pas, il entendait pas. Je crois qu'à une de ses oreilles, il avait une sourdité de 80%. Il devait bien entendre un petit peu, mais en tout cas, il passait son temps à nous dire quoi. Et bon, il a fallu un certain temps pour que les parents prennent en considération et fassent les tests pour la vue et Louis. Et en tout cas, quand il a eu des lunettes, il a pu voir vraiment. Et puis après, il a pu être appareillé aussi. Donc forcément que... cet enfant se mettait dans sa bulle puisque finalement il n'entendait pas beaucoup de choses et il ne voyait pas bien. Et donc forcément aussi que cet enfant a pris du retard en classe. Donc je pense qu'il est super important de prendre en considération bien d'autres facteurs que ceux qui sont pris actuellement en compte. Donc la question qu'on peut se poser Et à juste titre, comment différencier un trouble neurodéveloppemental d'une réponse au traumatisme J'ai pas forcément la réponse. Et quels facteurs environnementaux devrait-on explorer avant d'arriver à un diagnostic Ensuite, je reviens sur un point un petit peu abordé, c'est le risque de l'immobilisme. avec des théories bien plus courantes sans histoire de diagnostic médical. Par exemple, chose que j'entends très souvent, les 5 blessures de Lise Bourbeau. Le rejet, l'abandon, l'humiliation, la trahison et l'injustice. Donc voilà, il y a des personnes qui disent Ah ouais, j'ai lu ce livre, moi je me reconnais vraiment dans le rejet ou dans l'humiliation. Ok Et après T'en fais quoi de cette info Si t'en fais rien, ça sert à quoi de savoir Et puis si on va traiter les traumas qui sont à l'origine, on n'a pas besoin de savoir s'il y a telle ou telle blessure. Et au final, c'est encore plus rapide d'en sortir. Donc si le diagnostic entre guillemets de cette déthéorie ou de ces prises de conscience ne sont pas suivies d'un travail thérapeutique, ben en fait ça peut devenir un frein. Dernièrement, il y a eu l'exemple aussi avec le fait d'être dépendant affectif. Une personne que j'accompagnais m'a parlé d'un livre sur la dépendance affective, puis je l'ai acheté, et d'ailleurs je ne l'ai toujours pas fini. Et en fait, je me rendais compte que ça ne me parlait pas vraiment, ou peut-être que j'avais déjà intégré ces notions sans m'en rendre compte. Mais au final, si je parle de mon expérience à ce moment-là, j'étais dans une relation où la personne était en train de s'éloigner. où il y avait une attente de savoir qu'est-ce qu'elle allait décider pour notre relation, si elle voulait qu'on fasse un travail thérapeutique ensemble ou pas. Et donc, c'est le cas de d'autres personnes aussi, notamment de deux personnes que je peux accompagner, si le ou la partenaire en face s'éloigne. Il y a d'autant plus d'émotions, de peur, de tristesse de voir la relation qui s'étiole. Et donc moi-même, je me suis questionnée, est-ce que je serais dépendante alors que moi-même, je suis une grande autonome, j'ai vécu quasiment toute ma vie seule. Et donc, pour moi, c'est pas juste être dépendant affectif, mais finalement c'est aussi... en fonction de ce qui se vit dans la relation, des fois, en fait, c'est juste normal de ressentir plus d'émotion, d'avoir peur que la personne veuille mettre fin à une relation, et ça ne veut pas dire qu'on est dépendant affectivement, en fait. Et pour moi, tout ça, ça se travaille aussi avec les mouvements alternatifs, avec... Des méthodes qui existent déjà, l'EFT si la personne est formée au trauma, la méthode SELEMA, le'EMDR, la TLMR, tout ça se travaille. Et pour une dernière partie, à mon sens, une autre voie qui existe, c'est de traiter le trauma avant d'étiqueter le trauma. Je dis le, mais vous On a souvent plein de traumas en fait. Et donc c'est une approche psychotraumatologique, où on va travailler sur les vécus, avant de s'arrêter sur une étiquette quoi. Je crois que j'ai déjà donné différents exemples, j'en ai d'autres, il y a eu un jeune que j'ai accompagné. Et je reprenais le suivi de ma collègue qui était là avant moi. Bon, ben, on a traité tous les traumas et il y en avait beaucoup. Donc, ça a duré un certain temps. Mais ça a été une énorme transformation pour lui. Et avant ça, tant qu'il n'a pas été accompagné par des professionnels qui avaient des outils pour accompagner à traiter les traumas, eh bien, ça n'avançait pas. Et ils ont... émis l'hypothèse que peut-être il était psychotique, qu'il avait donc des hallucinations, alors que c'était des reviviscences post-traumatiques. Et au final, dans le même genre, en fait, beaucoup de jeunes qui sont passés par moi avant d'aller voir le pédopsychiatre, finalement n'ont jamais été voir le pédopsychiatre. Parce qu'il y avait peut-être des idées suicidaires, mais ça a été résolu. Parce qu'il y avait une grosse anxiété, mais ça a été résolu. Il y avait... Enfin, voilà, c'est... Avec les bons outils, avec les bonnes méthodes d'accompagnement, eh bien, on peut résoudre des grosses charges émotionnelles. Et donc, en tout cas, dans ma pratique de terrain, personnellement... je fais avec la personne que j'ai en face de moi, sans chercher à lui mettre d'étiquette. Et ça, c'est ce que je transmets dans mes formations. Dans la formation en psychosexologie holistique, dans ma formation en psychotrauma. Et d'ailleurs, je dis psychotrauma, mais je devrais dire ma formation à la libération émotionnelle, parce que des fois, quand on pense à psychotrauma, on pense à des trucs hardcore, on pense à... un viol, on pense à de la maltraitance, mais finalement les émotions qui restent coincées ne sont pas toujours ce genre de sujet. Par exemple, si je reprends le jeune qui a failli être diagnostiqué comme schizophrène, et bien lui, ses traumas, c'était quand il avait 7 ans. sur la bande annonce de scarimovie il était petit et donc pas en capacité de d'intégrer les infos comme en adulte et ça a été aussi sur une vidéo youtube donc voilà les traumas ne sont pas toujours ce qu'on imagine donc c'est pour ça qu'en vrai la méthode je l'ai appelé libération émotionnelle donc Se reconnaître dans un diagnostic peut être une étape, mais ce n'est pas toujours une finalité. Bon et attention à qu'on ne s'y méprenne pas. Je ne dis pas que ça n'existe pas d'être au potentiel intellectuel. Je ne dis pas que ça n'existe pas d'avoir des difficultés dans les interactions sociales. Et même au contraire, il y a des personnes qui sont contentes que je puisse connaître comment elles vivent les choses et donc que je puisse aussi leur expliquer. certains mécanismes qui peuvent se passer pour elles et leur donner des conseils d'infos, des infos, des choses à mettre en place dans leur quotidien pour le vivre au mieux. Il y a aussi des adultes qui ont eu un diagnostic TDAH, ça a permis de pouvoir mettre en place des choses dans leur quotidien. pour rester plus focus. Et donc par contre la personne que j'accompagne je lui explique comment elle fonctionne, je peux lui donner des tips pour mieux avancer mais par contre on va quand même aller voir ce qui vient d'une répercussion d'événements compliqués comme de trauma par exemple. Donc Pour moi, ce qui compte, c'est le chemin que l'on fait après, en prenant en compte toute notre histoire, nos blessures, et notre potentiel de transformation. Et c'est ça, pour moi, le plus important. Donc, si tu souhaites approfondir ces approches intégratives, et apprendre à accompagner autrement, je propose une formation en juin, je te l'ai déjà dit. Je mettrai le lien... pour en savoir plus dans la bio, vous pouvez aussi me contacter. Et puis, c'est aussi ce qu'on explore d'autant plus dans la formation en psychosexologie holistique qui démarre en octobre. Voilà, donc je vous dis merci pour cette écoute. N'hésitez pas à me contacter, me faire des commentaires. me dire ce que vous voudriez que j'aborde comme sujet et puis surtout à mettre un commentaire une note, 5 étoiles ça aide vraiment au référencement du podcast voilà et je vous dis à la semaine prochaine