#Enora TeyssendierBienvenue sur Psycho-Sexo, le podcast de l'Eipsho. Je suis Enora Tessandier, psychopraticienne spécialisée en sexologie et psychotrauma et fondatrice de l'Eipsho, l'école internationale de psycho sexologie holistique. Dans ce podcast, je vous partage des ressources, des témoignages et des approches concrètes en psychosexologie pour approfondir vos compétences et enrichir votre pratique. Bonjour et bienvenue dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui on va parler des psychotraumatismes et cette fois-ci on va parler des critères de diagnostic, de comment on observe, qu'est-ce qu'on peut observer qui peuvent nous faire penser que peut-être qu'il y a des traumas derrière. Je rappelle que avant cet épisode on en a déjà eu un sur la définition de ce que c'est qu'un psychotraumatisme. On en a eu un sur comment fonctionnent les psychotraumatismes sur le cerveau. Et puis il y en a un sur comment traiter les psychotraumas et même d'autres. Je mets tous les liens dans la description de cet épisode. Donc déjà pour commencer, les troubles causés sur le corps par un psychotrauma sont appelés troubles... de stress post-traumatique, TSPT. Et il faut savoir que 60 à 80% des viols développent des troubles de stress post-traumatique. Tandis que c'est 5 à 10% lors de catastrophes naturelles. En fait, ce qui se passe, c'est que le fait que ce soit une catastrophe naturelle, il y a plusieurs personnes, un certain nombre de personnes qui vivent la même chose. Et en plus, c'est pas causé volontairement. Ça crée trauma, mais ça peut créer un trauma. C'est un événement ultra violent. Mais il n'est pas créé, il n'a pas été fait volontairement par quelqu'un, par exemple. C'est la nature qui a fait qu'il y a eu une catastrophe naturelle. Et du coup, les répercussions vont être souvent moins impactantes. Parce qu'il n'y a pas le caractère de... volonté de faire du mal. On va voir maintenant la clinique psychotraumatique immédiate. Ce qu'on peut retrouver c'est la dissociation. En fait ça permet l'extinction du stress intense et ça entraîne une amnésie psychique et physique donc la suppression des sensations et notamment de la sensation de douleur. Il peut y avoir aussi lors de... cette dissociation, ça peut créer un état dissociatif. Donc, on peut avoir un trouble de la conscience, par exemple une impression de brouillard ou d'être dans le noir ou une impression de vide. Il peut y avoir aussi une dépersonnalisation. Donc là, il y a un sentiment d'être spectateur de soi-même. Différentes personnes me disent, moi, je me vois de l'extérieur. Et il peut y avoir aussi un sentiment de déréalisation, c'est-à-dire un sentiment de vivre un film. Ou que vraiment c'est irréel en fait, que c'est pas possible. Et il peut y avoir aussi du coup un trouble de la mémoire et une amnésie dissociative. Maintenant voyons la clinique psychotraumatique différée. Qu'est-ce qu'on peut retrouver plus tard ? Il va y avoir les reviviscences. Il peut y avoir, pardon, des reviviscences. Donc là, c'est l'amidale du cerveau qui diffuse toujours le message d'alerte que j'ai abordé dans l'épisode sur le fonctionnement du psychotrauma sur le cerveau. Et donc, l'amidale diffuse toujours le message d'alerte informant qu'il y a eu un événement non traité. Ce message peut être appelé message fantôme ou flashback. Il peut y avoir des pensées récurrentes sur l'événement, des souvenirs intrusifs. Comme des sensations, des odeurs, des bruits, des paroles. Par exemple, j'accompagnais un jeune qui avait vu quand il était enfant la bande-annonce de The Mask et il voyait le masque partout en fait. Il ouvrait un placard et c'est comme s'il voyait un masque. Il ne le voyait pas à l'extérieur mais dans sa tête il était là ce masque. Il peut y avoir des agissements soudains comme... C'est comme si l'événement allait se reproduire. Donc par exemple, une personne qui a été victime de violences sexuelles lors d'une relation sexuelle avec son ou sa partenaire, où la personne elle se sent en sécurité, mais il y a comme... une peur inconsciente du coup et la personne va réagir d'une certaine manière. Par exemple, je ne sais pas, le vagin par exemple va se contracter ou si les mains s'approchent du coup, la personne va enlever la main par exemple. Et on peut avoir aussi des cauchemars. Ensuite, il y a... l'humeur négative avec une altération cognitive et émotionnelle donc le vécu des reviviscences peut être tellement fort qu'il peut amener des fortes angoisses et de la détresse. Donc par exemple quelqu'un qui me disait chahuter et d'un coup en fait a serré les poignets et s'est énervé en fait. Il y a Il peut y avoir du coup une altération vraiment de la perception de soi aussi, des sentiments permanents de honte, de culpabilité, une modification de la perception qu'on a de soi-même et des autres, où on se dit c'est de ma faute, je peux faire confiance à personne. Donc j'avais une jeune par exemple qui pensait que tout était de sa faute dans toutes les interactions avec ses amis. mais aussi dans sa famille. En fait, elle avait été violée par son grand frère et pour elle, c'était de sa faute en fait parce que notamment, quand il y avait des orages, elle avait très peur et si ses parents n'étaient pas là, elle allait demander à son grand frère d'aller dormir dans son lit. Sauf que son grand frère, il l'a violée aussi. Il peut y avoir des sentiments de vide aussi. trouvent aussi des TOC, troubles obsessionnels du comportement, donc avec des lavages de dents compulsifs, certains aliments qui ne peuvent pas être mangés par exemple, et on peut faire pour ça le parallèle avec un viol avec pénétration buccale. On retrouve aussi dans la clinique différée une hyperréactivité, hyperréaction du système nerveux. Il y a l'hypervigilance, donc j'accompagnais une jeune, au moindre bruit dans la rue, elle se figeait, elle se retournait vers la fenêtre et se figeait. Donc il y a un état d'alerte et de contrôle permanent, c'était son cas. Des sursauts, de l'insomnie, des réveils nocturnes. On peut retrouver une sensibilité extrême, donc ce qu'on peut appeler de l'hypersensibilité, de l'irritabilité. de la colère, des colères explosives, des troubles de la concentration et de l'attention. Donc là, je fais le parallèle. Quand j'accompagnais des jeunes au lycée et au collège régulièrement, j'expliquais aux parents, parce que certains parents ne voulaient pas que le jeune loupe les cours. En fait, je leur expliquais, là, votre enfant, de toute façon, il est incapable de se concentrer. Parce que, en fait... et les traumas, les répercussions des traumas sont trop importantes sur le corps et donc de toute façon ils ne peuvent pas se concentrer. Donc c'est pas grave s'ils loupent le cours pour justement venir en thérapie et qu'on traite les traumas. C'est pour mieux repartir. On peut avoir aussi des dissociations, des tâchements, des personnalisations. Voilà un petit peu pour l'hyperréactivité et les hyperréactions. On a aussi l'évitement. Donc... La personne va éviter tout ce qui peut ramener au trauma, on peut éviter de penser, éviter, et c'est conscient ou inconscient bien évidemment, c'est pas forcément conscient. L'évitement de toute situation douloureuse ou stressante, j'avais, j'ai accompagné un homme qui avait des enfants, qui avait été violé pendant toute son enfance et qui avait très très peur finalement de reproduire ce que lui avait fait son père. sur ses enfants. Bon. Cette personne était bien loin de le reproduire, mais du coup, il évitait... Enfin, quand les enfants étaient petits, par exemple, il ne changeait pas les couches, ou que quand il n'y avait vraiment, vraiment, vraiment pas le choix, mais parce que ça le renvoyait à ce qu'il avait pu vivre, en fait. Quand il y a des cauchemars, il y a certaines personnes qui vont s'empêcher de dormir. Cette jeune qui réagissait quand les voitures passaient dans la rue, le moindre bruit dans la rue, elle s'empêchait de dormir parce que c'était trop compliqué, sinon il y avait des cauchemars qui arrivaient. Des phobies, par exemple l'impossibilité, la phobie d'aller à l'hôpital, c'est très compliqué et tout ça. Et en fait, il y a eu des événements très compliqués à l'hôpital par le passé. Et cet événement peut même amener à développer un monde imaginaire pour éviter de penser... ce qu'on a vécu. Ou alors tous ces jeunes qui vont sur les gens en ligne par exemple. On va avoir les conduites dissociantes. Donc c'est-à-dire que c'est des choses qui vont permettre au cerveau de disjoncter à nouveau et donc d'être comme anesthésié, dissocié à nouveau, comme lors du trauma. Donc pour se dissocier, il y a... différentes manières mais on va avoir l'abus d'alcool ou de toxiques des tentatives de suicide il est à savoir que pour les tentatives de suicide elles sont dix fois plus importantes en cas de SPT par rapport à la population générale. On va retrouver de l'automutilation auto-agressivité, troubles du comportement, des conduites délinquantes parce qu'en fait c'est des prises de risques et la prise de risque peut ... permet de sécréter énormément d'adrénaline et donc ça peut permettre de dissocier à nouveau le cerveau. Il peut y avoir une sexualité précoce, des prises de risques, pareil, par rapport à l'adrénaline notamment, par rapport à des choses, reproduction de choses vécues, ou même une addiction à des comportements sexuels, parce que quand il y a... un orgasme, et bien il y a des sécrétions d'hormones et puis le cerveau, une partie du cerveau s'éteint. Et donc du coup ça va amener comme une sorte de dissociation. Il peut y avoir aussi le fait de se remettre en position de victime. Donc par exemple, des femmes victimes de violences conjugales, 55% ont des antécédents de violences physiques et 57% de violences sexuelles dans l'enfance, selon l'étude... Aston et Hall de 1995. Et à l'inverse, il peut y avoir le fait de se mettre en position d'auteur. Je repense à une femme qui venait parce que toutes les filles de sa lignée avaient été violées par le grand-père. Et voilà, elle était en dépression, cette femme. Et en fait, pour elle, ah oui, un de ses fils, le plus grand, avait violé son autre fils plus petit. Et ma question, ça a été, est-ce que lui aussi a été violé par le grand-père ? Et elle ne savait pas me répondre. Alors que, enfin, je ne peux pas le savoir, mais il y a de fortes probabilités qu'il ait lui aussi été vécu et qu'il l'ait reproduit sur le petit frère. Maintenant, concernant des troubles psychotraumatiques qui sont spécifiques chez les enfants, et bien justement, la clinique, elle est aspécifique, d'autant plus si l'enfant est jeune. C'est-à-dire qu'il n'y a pas des comportements spécifiques, mais par contre, il est important de prêter attention au retard de développement psychomoteur. Parce que ces retards peuvent être le signe qu'il y a eu des traumas. Autre info, les études de neuro-imagerie montrent que l'existence d'événements traumatiques à des moments critiques du développement cérébral peut affecter le fonctionnement de certaines zones cérébrales. C'est le cas du cortex préfrontal, qui est le siège de différentes fonctions cognitives. dites supérieures, notamment le langage, la mémoire de travail, le raisonnement, et plus généralement les fonctions exécutives. Et c'est aussi la région du goût et de l'odorat. Chez les enfants, on va aussi prêter attention aux changements brutaux. Ah, s'il y a un changement brutal de comportement, il peut y avoir des répétitions, comme des dessins répétitifs ou des choses répétées dans les jeux. Il y a eu un enfant qui faisait des bonhommes phallus et... En fait, il a révélé que son grand frère faisait des choses à la maison. Et après ça, il a arrêté de faire ses bonhommes phallus. Un autre enfant qui mettait des zombies dans tous les dessins. On avait conté le conte d'Ansel et Gretel. Et à la fin, on proposait aux enfants de dessiner le conte. Et ils mettaient des zombies. par exemple mais dans tous les dessins on avait écouté de la musique et il avait mis des zombies aussi dans ce dessin et cet enfant en fait regardait les jeux vidéo de son grand frère et était traumatisé en fait par ces jeux vidéo quoi donc on va retrouver aussi des troubles du comportement avec des états d'agitation de l'hyperactivité de l'agressivité de l'opposition ça me fait penser à un enfant qui pouvait se mettre dans tous ses états, qui pouvait être agressif, frapper d'autres enfants. Il pouvait d'un coup crier, on avait du mal à le contenir, il se tordait dans tous les sens. Jusqu'à ce que la grande sœur révèle de la maltraitance chez la nounou, que les parents enlèvent cet enfant de chez la nounou. Et là, le comportement s'est très largement apaisé, il y a eu beaucoup moins d'agitation. par contre Justement ce que j'ai pu observer c'est que d'un coup il pouvait y avoir un déclencheur qui faisait qu'à nouveau il se mettait dans cette hyper agitation et à ce moment là on peut se dire qu'il y a eu un déclencheur dans notre voix ou dans notre regard qui a fait que ça a basculé du côté réaction à ce qui se passe. On peut avoir une anxiété de séparation, le refus de se séparer de l'adulte protecteur, de rester seul. de la régression, comme des balancements, si c'est son pouce, en permanence, la perte d'acquis dans le développement et dans l'autonomie, comme de la marge, de la propreté, du langage. Et il peut y avoir aussi des troubles anxieux. Concernant des troubles psychotraumatiques spécifiques chez les adolescents, en fait, là, je vais ramener à ce que j'ai dit tout à l'heure de la clinique psychotraumatique différée. il peut y avoir tous ces types de comportements, de réactions. Mais il faut savoir qu'une partie de ces comportements peuvent avoir lieu à l'adolescence sans qu'il y ait pour autant de psychotromas. Et maintenant, ce qu'on va voir, c'est les comorbidités. Donc, bien évidemment, ce qu'on peut retrouver comme comorbidités, ce sont des troubles psychiques associés, comme des troubles de l'humeur, des pressions, de la bipolarité, des idées suicidaires. On peut retrouver des troubles du comportement alimentaire. C'était le cas d'une jeune, celle qui avait des réactions quand quelque chose passait dans la rue. Eh bien, elle avait de l'hyperphagie. C'est-à-dire qu'elle avait besoin, un besoin irrépressible de manger, de manger en grande quantité. Mais par contre, elle ne se faisait pas vomir parce qu'elle avait aussi une phobie du fait de vomir. On peut retrouver aussi des troubles somatiques. Bien évidemment, dans les troubles somatiques, tous ne sont pas liés à des traumas. On a de la fatigue chronique, des douleurs chroniques, comme des contractures musculaires, des céphalées, des douleurs musculosquelétiques, dorsolombralgies, des douleurs neurogènes, la fibromyalgie. On peut avoir une prise de poids importante ou à l'inverse un amégrissement. Et je pense à... quelqu'un qui avait eu un anneau gastrique et que ça n'avait pas eu d'effet en fait parce que finalement mais le poids important qu'elle avait été pour se protéger c'était comme une carapace une protection contre l'extérieur qui était considéré trop dangereux et c'est la personne qui où il y avait des viols dans la famille de génération en génération D'ailleurs je me demande si elle n'avait pas fait différentes choses, sleeve et bypass aussi. On peut retrouver dans les troubles somatiques des troubles gastro-intestinaux, donc gastralgie, nausée, vomissement, troubles du transit, anisme. L'anisme c'est un réflexe faussé de la zone anale. Au moment où on voudrait que le sphincter de l'anus s'ouvre, il se ferme. Et il fait ainsi obstacle à l'évacuation des selles. On peut retrouver aussi des ballonnements, des colites spasmodiques, la maladie de Crohn, colopathie fonctionnelle. Et avec la colopathie fonctionnelle, on peut utiliser n'importe quel traitement et en fait on a toujours mal. Il y a aussi des ulcères de stress. On retrouve aussi des troubles sexologiques qui sont bien évidemment plus abordés dans l'épisode « Sexualité et psychotraumas » , je le mettrai aussi dans la description. Donc des troubles de l'érection, des troubles du désir sexuel hypoactif, c'est-à-dire problème de désir, les dyspareunies, vaginisme, anorgasmie. On aura aussi des troubles génitaux urinaires, donc par exemple dysménorrhée, endométriose, douleurs pelviennes chroniques, des cystites à répétition, des mycoses aussi à répétition. Des troubles cardiovasculaires, on peut avoir des palpitations, de l'hypertension artérielle, de la coronaropathie. Bien évidemment, je le reprécise, mais ce n'est pas parce qu'on a un de ces symptômes que ça vient de trauma. On retrouve aussi des troubles respiratoires comme l'asthme, des bronchites chroniques, la dys... PNE aussi, donc c'est une sensation de manquer d'air, d'avoir une oppression thoracique, comme s'il y avait un manque d'air, une sensation d'effort respiratoire, et il y a en fait le sentiment d'avoir une respiration vraiment rapide. On peut retrouver aussi des troubles neurologiques de l'épilepsie, des troubles endocriniens, donc troubles thyroïdiens et diabètes. Au niveau ORL aussi, acouphènes, otites, angina répétition, problèmes dentaires. Des troubles de l'immunité, des troubles dermatologiques, donc notamment eczéma, psoriasis, prurie, des allergies. Voilà, un petit peu, j'ai balayé un petit peu tous les troubles, toutes les comorbidités qu'on peut retrouver. J'en oublie très certainement. Mais en tout cas, voilà ce qu'on peut observer dans la clinique d'une personne qui a vécu. des traumas, hein, ou des traumas. Donc comme quoi, en fait, les traumas peuvent avoir beaucoup de répercussions. Et à l'inverse, des symptômes peuvent venir de traumas. D'ailleurs, je vous envoie aussi sur l'épisode... ou j'explique que j'aime pas mettre dans des cases parce que finalement une des parties de cet épisode aborde le fait que dans ces cases comme hypersensibilité, et bien en fait c'est un symptôme de stress post traumatique et plutôt qu'une case en fait finalement. Bref, voilà j'espère que vous avez appris des choses, que vous faites des liens avec votre pratique sur le terrain et n'hésitez pas aussi à me dire s'il y a des sujets que vous souhaiteriez que j'aborde dans ce podcast. Ce sera avec plaisir que je verrai si je peux y répondre ou pour inviter quelqu'un pour parler de ce sujet. Merci pour cette écoute et puis je vous dis à la semaine prochaine dans un nouvel épisode. Si tu m'entends, c'est que t'as été jusqu'au bout de l'épisode et pour ça je t'en remercie grandement. Avant de se quitter, je te transmets quelques petites infos. La prochaine promotion de la formation en psychosexologie et psychotrauma démarre le 7 octobre. Et d'ici là, j'anime chaque jeudi un espace de supervision sexo gratuit, spécialement pensé pour les professionnels de l'accompagnement ou pour celles et ceux qui envisagent une reconversion vers la sexologie. Pendant 30 minutes, en live, on aborde une situation réelle apportée par un ou une participant-participante. et je propose des pistes concrètes pour affiner la posture, proposer des conseils, éclairer les enjeux qui sont en jeu et réfléchir ensemble comment accompagner au mieux la personne sur des sujets toujours en lien avec la sexualité. Donc c'est une excellente manière de découvrir ma manière de travailler et d'avoir un aperçu très concret de ce que j'enseigne dans la formation. Alors si t'es intéressé, le lien d'inscription à la supervision sexo de l'été est... dans la description de l'épisode. Tu peux t'inscrire dès maintenant et tu recevras les infos chaque semaine et tu peux venir à chaque date ou uniquement aux dates qui te conviennent. Au plaisir de t'y retrouver et sinon, je te dis à la semaine prochaine pour un prochain épisode.