Quel avenir pour la coopération régionale, entre le Suriname et la Guyane, concernant la lutte contre la pêche illégale ? Le sujet avait notamment été abordé il y a deux mois, lors du déplacement d’Emmanuel Macron en Guyane. “Intensifier, avait-il dit, les contrôles et les destructions des navires clandestins qui concurrencent directement les pêcheurs guyanais. Au mois de décembre, une mission d'inspection conjointe entre le Suriname et la Guyane a été mise en place. La deuxième du genre, pour contrôler les navires et vérifier les licences. Car on le sait, au large du plateau des Guyanes, ce qu’on appelle la pêche INN (illicite, non déclarée et non-réglementée) fait des ravages, économiquement, comme d’un point de vue écologique. Pour en parler, Tony Nalovic, est notre invité ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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#DESLO (https://www.youtube.com/hashtag/deslo), Des élèves sur les ondes saison 2 sur Radio Péyi : un programme de 25 minutes d'informations générales conçu de A à Z par des élèves du second degré de l'est à l'ouest de la Guyane accompagnés par leurs professeurs dans le cadre d’un projet EMI, Éducation au média et à l'information en partenariat avec le Réseau Canopé et l'Académie de Guyane. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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On parle de géographie ce matin. Avec cette phrase d’abord, issue du rapport “Route du fleuve, un projet guyanais” (dont on avait parlé à ce même micro il y a quelques semaines avec Jessi Américain). On le rappelle, des élus, des experts et des chercheurs se sont réunis pour analyser : les enjeux du projet de la route du fleuve. « Il faudra impérativement identifier les enjeux en termes d’éducation, de santé, d’activités économiques. Les routes Régina-Saint-Georges et Apatou-Saint-Laurent n’ont pas généré le développement escompté ». La phrase est signée Thierry Nicolas, notre invité du jour. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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On parle ce matin de racisme dans les médias. Du choix des unes, aux sujets, aux angles utilisés, en passant par le vocabulaire, les rédactions n’échappent évidemment pas au reste de la société. Parfois et souvent de manière diffuse, dans le traitement d’une information, le choix d’un mot, d’une expression, voire d’un cliché raciste. Mais aussi (tout simplement) par manque de diversité dans les rédactions. Une enquête menée par le SNJ-CGT révélait qu’en 2023, un journaliste sur 2 était témoin de racisme dans sa rédaction. Raison pour laquelle l’année dernière, 170 journalistes ont créé l’AJAR, l'association des journalistes antiracistes et racisés. L’une de ses porte-paroles, Julie Tomiche, est notre invitée ce matin. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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