Episode 9 : Engagées cover
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Regarde Moi Bien

Episode 9 : Engagées

Episode 9 : Engagées

22min |28/05/2021
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Description

 En avril 2020, un article du magazine Forbes affirmait que les pays dirigés par des femmes ont mieux fait face à la première vague de la pandémie. Les compétences des femmes sont généralement plus grandes en matière de santé et d’affaires sociales, puisque ce sont les postes qui leurs sont habituellement fléchés depuis le début de leur carrière politique. Il est aussi logique que les femmes arrivées au sommet des instances de décision, soient particulièrement chevronnées, au bout d’années d’un parcours semé d’embuches dans le milieu politique, où elles ont dû faire deux fois plus leurs preuves et ne rien laisser au hasard. 

Cette année a été marquée par l’émergence de grandes figures politiques féminines, toutes nouvelles activistes comme Alexandria Ocasio Cortez, mais aussi des femmes nommées à la tête de grandes institutions et qui ont fait preuve d’une réactivité et d’un pragmatisme inédits, comme Christine Lagarde à la BCE, qui a mis en place un grand plan de soutien aux Etats, ou Ursula von der Leyen, à la Commission européenne, qui a suspendu les règles de discipline budgétaire de l'UE

Ce sont des signaux forts, de nécessaire ouverture du champ politique aux femmes, et à toutes les catégories sociales peu représentées dans l’espace du pouvoir. 

A ce titre, Lauren Lolo cumule les engagements politiques : journaliste, élue à Fosses, elle est aussi fondatrice de la Cité des chances, une association née pour promouvoir l'engagement citoyen des jeunes de banlieues.

La crise du coronavirus n’a pas seulement été une crise sanitaire, écologique et économique. Elle cristallise des années de remise en cause de notre fonctionnement démocratique et de notre modèle politique. Elle éclaire, de façon brutale, l’incapacité de nos dirigeants à répondre aux injustices sociales révélées par la pandémie, précisément parce que la pandémie et ses injustices sont vécues comme le fruit d’une série de mauvaises décisions politiques antérieures. 

La crise nous invite donc à repenser le modèle néolibéral que la plupart de nos dirigeants continuent d’incarner : un modèle ultra-concurrentiel, qui organise les rapports de domination entre puissants et vulnérables, entre les êtres vivants, entre les hommes et les femmes. Et si l’accès réel des femmes au pouvoir était la promesse d’un changement radical de notre modèle politique ?

Sandrine Rousseau économiste, universitaire et femme politique, est convaincue que la crise est un point de non-retour pour les femmes, et signe leur nécessaire prise de pouvoir. Sandrine Rousseau est candidate officielle à la primaire écologiste pour l’élection présidentielle de 2022


Crédits :

Ecrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas

Interviews par Mahaut Chaudouet Delmas et Luna Gay Padoan

Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias

 Action financée par la Région Ile-de-France 


Remerciements : 

C’était le dernier épisode du podcast Regarde moi bien, un podcast de la Fondation des femmes. 

Je tiens à remercier très fort toutes ces femmes qui nous ont prêté leur voix, nous ont offert leur témoignage, leur analyse, leur combat: 

  • Coline Charpentier, Céline Bessière, et Sibylle Gollac pour parler des femmes confinées, 
  • Magali Bragard, toutes les bénévoles de l’association Mamama, et Cécile Duflot pour parler des femmes appauvries,
  • Brigitte Chabert et Zoé Royaux pour parler des femmes violentées
  • Jackie Tadéoni et Maud Simonet pour parler des femmes exploitées,
  • Lila Bouadma, Najat Vallaud Belkacem et Sandra Laugier pour parler des femmes soignantes
  • Marine Périn et Lauren Bastide pour parler des femmes ignorées
  • Laora Paoli Pandolfi et Anne-Cécile Mailfert pour parler des femmes militantes
  • Déborah Loye et Marie-Pierre Rixain pour parler des femmes entrepreneuses
  • Lauren Lolo et Sandrine Rousseau pour parler des femmes engagées


Je voudrais aussi dire merci à la Fondation des femmes, en particulier à sa présidente Anne-Cécile Mailfert et son équipe : Christine Muller, Clémence Garnier Juste, Nina Meriguet, Jessica Ohayon, pour leur confiance et leur soutien. 

Je tiens également à remercier toutes les bénévoles de la Fondation des femmes pour les heures de scriptage qu’elles ont fourni : Carole Pirotais, Claire Bianzina, Laurene Henry, Katia Samrani, Gaelle Orefici, Emmanuelle Mayanda-Bomba, Marie-Enora Martin, Valentine Ulgu Servant, Isabelle Roth. 

Merci à Anton Strepourjinski, Virgile Tron, Chloé Sdez, Alix Delmas et Ruben Cohen pour leur précieuse écoute. 

Merci enfin à Thomas Loupias et Luna Gay Padoan, sans qui ce projet n’aurait pas vu le jour. 

Description

 En avril 2020, un article du magazine Forbes affirmait que les pays dirigés par des femmes ont mieux fait face à la première vague de la pandémie. Les compétences des femmes sont généralement plus grandes en matière de santé et d’affaires sociales, puisque ce sont les postes qui leurs sont habituellement fléchés depuis le début de leur carrière politique. Il est aussi logique que les femmes arrivées au sommet des instances de décision, soient particulièrement chevronnées, au bout d’années d’un parcours semé d’embuches dans le milieu politique, où elles ont dû faire deux fois plus leurs preuves et ne rien laisser au hasard. 

Cette année a été marquée par l’émergence de grandes figures politiques féminines, toutes nouvelles activistes comme Alexandria Ocasio Cortez, mais aussi des femmes nommées à la tête de grandes institutions et qui ont fait preuve d’une réactivité et d’un pragmatisme inédits, comme Christine Lagarde à la BCE, qui a mis en place un grand plan de soutien aux Etats, ou Ursula von der Leyen, à la Commission européenne, qui a suspendu les règles de discipline budgétaire de l'UE

Ce sont des signaux forts, de nécessaire ouverture du champ politique aux femmes, et à toutes les catégories sociales peu représentées dans l’espace du pouvoir. 

A ce titre, Lauren Lolo cumule les engagements politiques : journaliste, élue à Fosses, elle est aussi fondatrice de la Cité des chances, une association née pour promouvoir l'engagement citoyen des jeunes de banlieues.

La crise du coronavirus n’a pas seulement été une crise sanitaire, écologique et économique. Elle cristallise des années de remise en cause de notre fonctionnement démocratique et de notre modèle politique. Elle éclaire, de façon brutale, l’incapacité de nos dirigeants à répondre aux injustices sociales révélées par la pandémie, précisément parce que la pandémie et ses injustices sont vécues comme le fruit d’une série de mauvaises décisions politiques antérieures. 

La crise nous invite donc à repenser le modèle néolibéral que la plupart de nos dirigeants continuent d’incarner : un modèle ultra-concurrentiel, qui organise les rapports de domination entre puissants et vulnérables, entre les êtres vivants, entre les hommes et les femmes. Et si l’accès réel des femmes au pouvoir était la promesse d’un changement radical de notre modèle politique ?

Sandrine Rousseau économiste, universitaire et femme politique, est convaincue que la crise est un point de non-retour pour les femmes, et signe leur nécessaire prise de pouvoir. Sandrine Rousseau est candidate officielle à la primaire écologiste pour l’élection présidentielle de 2022


Crédits :

Ecrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas

Interviews par Mahaut Chaudouet Delmas et Luna Gay Padoan

Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias

 Action financée par la Région Ile-de-France 


Remerciements : 

C’était le dernier épisode du podcast Regarde moi bien, un podcast de la Fondation des femmes. 

Je tiens à remercier très fort toutes ces femmes qui nous ont prêté leur voix, nous ont offert leur témoignage, leur analyse, leur combat: 

  • Coline Charpentier, Céline Bessière, et Sibylle Gollac pour parler des femmes confinées, 
  • Magali Bragard, toutes les bénévoles de l’association Mamama, et Cécile Duflot pour parler des femmes appauvries,
  • Brigitte Chabert et Zoé Royaux pour parler des femmes violentées
  • Jackie Tadéoni et Maud Simonet pour parler des femmes exploitées,
  • Lila Bouadma, Najat Vallaud Belkacem et Sandra Laugier pour parler des femmes soignantes
  • Marine Périn et Lauren Bastide pour parler des femmes ignorées
  • Laora Paoli Pandolfi et Anne-Cécile Mailfert pour parler des femmes militantes
  • Déborah Loye et Marie-Pierre Rixain pour parler des femmes entrepreneuses
  • Lauren Lolo et Sandrine Rousseau pour parler des femmes engagées


Je voudrais aussi dire merci à la Fondation des femmes, en particulier à sa présidente Anne-Cécile Mailfert et son équipe : Christine Muller, Clémence Garnier Juste, Nina Meriguet, Jessica Ohayon, pour leur confiance et leur soutien. 

Je tiens également à remercier toutes les bénévoles de la Fondation des femmes pour les heures de scriptage qu’elles ont fourni : Carole Pirotais, Claire Bianzina, Laurene Henry, Katia Samrani, Gaelle Orefici, Emmanuelle Mayanda-Bomba, Marie-Enora Martin, Valentine Ulgu Servant, Isabelle Roth. 

Merci à Anton Strepourjinski, Virgile Tron, Chloé Sdez, Alix Delmas et Ruben Cohen pour leur précieuse écoute. 

Merci enfin à Thomas Loupias et Luna Gay Padoan, sans qui ce projet n’aurait pas vu le jour. 

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 En avril 2020, un article du magazine Forbes affirmait que les pays dirigés par des femmes ont mieux fait face à la première vague de la pandémie. Les compétences des femmes sont généralement plus grandes en matière de santé et d’affaires sociales, puisque ce sont les postes qui leurs sont habituellement fléchés depuis le début de leur carrière politique. Il est aussi logique que les femmes arrivées au sommet des instances de décision, soient particulièrement chevronnées, au bout d’années d’un parcours semé d’embuches dans le milieu politique, où elles ont dû faire deux fois plus leurs preuves et ne rien laisser au hasard. 

Cette année a été marquée par l’émergence de grandes figures politiques féminines, toutes nouvelles activistes comme Alexandria Ocasio Cortez, mais aussi des femmes nommées à la tête de grandes institutions et qui ont fait preuve d’une réactivité et d’un pragmatisme inédits, comme Christine Lagarde à la BCE, qui a mis en place un grand plan de soutien aux Etats, ou Ursula von der Leyen, à la Commission européenne, qui a suspendu les règles de discipline budgétaire de l'UE

Ce sont des signaux forts, de nécessaire ouverture du champ politique aux femmes, et à toutes les catégories sociales peu représentées dans l’espace du pouvoir. 

A ce titre, Lauren Lolo cumule les engagements politiques : journaliste, élue à Fosses, elle est aussi fondatrice de la Cité des chances, une association née pour promouvoir l'engagement citoyen des jeunes de banlieues.

La crise du coronavirus n’a pas seulement été une crise sanitaire, écologique et économique. Elle cristallise des années de remise en cause de notre fonctionnement démocratique et de notre modèle politique. Elle éclaire, de façon brutale, l’incapacité de nos dirigeants à répondre aux injustices sociales révélées par la pandémie, précisément parce que la pandémie et ses injustices sont vécues comme le fruit d’une série de mauvaises décisions politiques antérieures. 

La crise nous invite donc à repenser le modèle néolibéral que la plupart de nos dirigeants continuent d’incarner : un modèle ultra-concurrentiel, qui organise les rapports de domination entre puissants et vulnérables, entre les êtres vivants, entre les hommes et les femmes. Et si l’accès réel des femmes au pouvoir était la promesse d’un changement radical de notre modèle politique ?

Sandrine Rousseau économiste, universitaire et femme politique, est convaincue que la crise est un point de non-retour pour les femmes, et signe leur nécessaire prise de pouvoir. Sandrine Rousseau est candidate officielle à la primaire écologiste pour l’élection présidentielle de 2022


Crédits :

Ecrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas

Interviews par Mahaut Chaudouet Delmas et Luna Gay Padoan

Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias

 Action financée par la Région Ile-de-France 


Remerciements : 

C’était le dernier épisode du podcast Regarde moi bien, un podcast de la Fondation des femmes. 

Je tiens à remercier très fort toutes ces femmes qui nous ont prêté leur voix, nous ont offert leur témoignage, leur analyse, leur combat: 

  • Coline Charpentier, Céline Bessière, et Sibylle Gollac pour parler des femmes confinées, 
  • Magali Bragard, toutes les bénévoles de l’association Mamama, et Cécile Duflot pour parler des femmes appauvries,
  • Brigitte Chabert et Zoé Royaux pour parler des femmes violentées
  • Jackie Tadéoni et Maud Simonet pour parler des femmes exploitées,
  • Lila Bouadma, Najat Vallaud Belkacem et Sandra Laugier pour parler des femmes soignantes
  • Marine Périn et Lauren Bastide pour parler des femmes ignorées
  • Laora Paoli Pandolfi et Anne-Cécile Mailfert pour parler des femmes militantes
  • Déborah Loye et Marie-Pierre Rixain pour parler des femmes entrepreneuses
  • Lauren Lolo et Sandrine Rousseau pour parler des femmes engagées


Je voudrais aussi dire merci à la Fondation des femmes, en particulier à sa présidente Anne-Cécile Mailfert et son équipe : Christine Muller, Clémence Garnier Juste, Nina Meriguet, Jessica Ohayon, pour leur confiance et leur soutien. 

Je tiens également à remercier toutes les bénévoles de la Fondation des femmes pour les heures de scriptage qu’elles ont fourni : Carole Pirotais, Claire Bianzina, Laurene Henry, Katia Samrani, Gaelle Orefici, Emmanuelle Mayanda-Bomba, Marie-Enora Martin, Valentine Ulgu Servant, Isabelle Roth. 

Merci à Anton Strepourjinski, Virgile Tron, Chloé Sdez, Alix Delmas et Ruben Cohen pour leur précieuse écoute. 

Merci enfin à Thomas Loupias et Luna Gay Padoan, sans qui ce projet n’aurait pas vu le jour. 

Description

 En avril 2020, un article du magazine Forbes affirmait que les pays dirigés par des femmes ont mieux fait face à la première vague de la pandémie. Les compétences des femmes sont généralement plus grandes en matière de santé et d’affaires sociales, puisque ce sont les postes qui leurs sont habituellement fléchés depuis le début de leur carrière politique. Il est aussi logique que les femmes arrivées au sommet des instances de décision, soient particulièrement chevronnées, au bout d’années d’un parcours semé d’embuches dans le milieu politique, où elles ont dû faire deux fois plus leurs preuves et ne rien laisser au hasard. 

Cette année a été marquée par l’émergence de grandes figures politiques féminines, toutes nouvelles activistes comme Alexandria Ocasio Cortez, mais aussi des femmes nommées à la tête de grandes institutions et qui ont fait preuve d’une réactivité et d’un pragmatisme inédits, comme Christine Lagarde à la BCE, qui a mis en place un grand plan de soutien aux Etats, ou Ursula von der Leyen, à la Commission européenne, qui a suspendu les règles de discipline budgétaire de l'UE

Ce sont des signaux forts, de nécessaire ouverture du champ politique aux femmes, et à toutes les catégories sociales peu représentées dans l’espace du pouvoir. 

A ce titre, Lauren Lolo cumule les engagements politiques : journaliste, élue à Fosses, elle est aussi fondatrice de la Cité des chances, une association née pour promouvoir l'engagement citoyen des jeunes de banlieues.

La crise du coronavirus n’a pas seulement été une crise sanitaire, écologique et économique. Elle cristallise des années de remise en cause de notre fonctionnement démocratique et de notre modèle politique. Elle éclaire, de façon brutale, l’incapacité de nos dirigeants à répondre aux injustices sociales révélées par la pandémie, précisément parce que la pandémie et ses injustices sont vécues comme le fruit d’une série de mauvaises décisions politiques antérieures. 

La crise nous invite donc à repenser le modèle néolibéral que la plupart de nos dirigeants continuent d’incarner : un modèle ultra-concurrentiel, qui organise les rapports de domination entre puissants et vulnérables, entre les êtres vivants, entre les hommes et les femmes. Et si l’accès réel des femmes au pouvoir était la promesse d’un changement radical de notre modèle politique ?

Sandrine Rousseau économiste, universitaire et femme politique, est convaincue que la crise est un point de non-retour pour les femmes, et signe leur nécessaire prise de pouvoir. Sandrine Rousseau est candidate officielle à la primaire écologiste pour l’élection présidentielle de 2022


Crédits :

Ecrit et conçu par Mahaut Chaudouët Delmas

Interviews par Mahaut Chaudouet Delmas et Luna Gay Padoan

Réalisation montage mixage musique par Thomas Loupias

 Action financée par la Région Ile-de-France 


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C’était le dernier épisode du podcast Regarde moi bien, un podcast de la Fondation des femmes. 

Je tiens à remercier très fort toutes ces femmes qui nous ont prêté leur voix, nous ont offert leur témoignage, leur analyse, leur combat: 

  • Coline Charpentier, Céline Bessière, et Sibylle Gollac pour parler des femmes confinées, 
  • Magali Bragard, toutes les bénévoles de l’association Mamama, et Cécile Duflot pour parler des femmes appauvries,
  • Brigitte Chabert et Zoé Royaux pour parler des femmes violentées
  • Jackie Tadéoni et Maud Simonet pour parler des femmes exploitées,
  • Lila Bouadma, Najat Vallaud Belkacem et Sandra Laugier pour parler des femmes soignantes
  • Marine Périn et Lauren Bastide pour parler des femmes ignorées
  • Laora Paoli Pandolfi et Anne-Cécile Mailfert pour parler des femmes militantes
  • Déborah Loye et Marie-Pierre Rixain pour parler des femmes entrepreneuses
  • Lauren Lolo et Sandrine Rousseau pour parler des femmes engagées


Je voudrais aussi dire merci à la Fondation des femmes, en particulier à sa présidente Anne-Cécile Mailfert et son équipe : Christine Muller, Clémence Garnier Juste, Nina Meriguet, Jessica Ohayon, pour leur confiance et leur soutien. 

Je tiens également à remercier toutes les bénévoles de la Fondation des femmes pour les heures de scriptage qu’elles ont fourni : Carole Pirotais, Claire Bianzina, Laurene Henry, Katia Samrani, Gaelle Orefici, Emmanuelle Mayanda-Bomba, Marie-Enora Martin, Valentine Ulgu Servant, Isabelle Roth. 

Merci à Anton Strepourjinski, Virgile Tron, Chloé Sdez, Alix Delmas et Ruben Cohen pour leur précieuse écoute. 

Merci enfin à Thomas Loupias et Luna Gay Padoan, sans qui ce projet n’aurait pas vu le jour. 

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