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Respire Ressens Transforme, l'expérience RRT

Vivre avec la douleur : je vous partage mon parcours vers la transformation et la résilience

Vivre avec la douleur : je vous partage mon parcours vers la transformation et la résilience

23min |20/12/2024|

6

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Description

Je suis ravie de partager avec vous un épisode particulier de "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT" où je vous raconte mon propre parcours à travers deux années de souffrance due à une maladie chronique. Une vidéo que j’ai réalisée il y a quelques années pour ma chaîne YouTube : une véritable lueur d’espoir pour toutes celles qui traversent des moments de souffrance.


Ce chemin a été parsemé de défis physiques, mais aussi d'un impact émotionnel profond, incluant des épisodes de dépression et un sentiment d'incompréhension de la part de mes proches.


Je vous invite à découvrir comment j'ai appris à reconnaître les signes avant-coureurs de la maladie et à explorer des solutions qui vont au-delà des traitements médicaux conventionnels. Au fil de cet épisode, je partage des outils pratiques qui m'ont aidée à mieux vivre avec la douleur, notamment la respiration consciente, une technique essentielle pour retrouver un équilibre face à l'adversité.


Dans ma quête de bien-être, je me suis reconnectée à mes passions et engagée dans des activités qui nourrissent l'esprit. Que ce soit à travers le yoga, la méditation ou la création artistique, ces pratiques sont devenues des refuges précieux pour m'éloigner mentalement de la douleur. Bien que je ne sois pas complètement guérie, j'ai trouvé des moyens significatifs de gérer ma douleur et d'améliorer ma qualité de vie.


En écoutant cet épisode, je vous invite à découvrir comment une transformation personnelle est possible, même dans les moments les plus sombres. Alors, êtes-vous prêtes à respirer, ressentir et transformer votre expérience de vie ? Rejoignez-moi pour cette exploration enrichissante et laissez-vous inspirer par mon parcours.


Ne manquez pas cette occasion de vous informer et de vous inspirer avec "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT". Chaque épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Ouvrez votre cœur et votre esprit à la transformation.


N'hésitez pas à vous abonner pour suivre mon contenu😊

Prenez soin de vous, Nadine


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Si la vidéo t'a plu, je t'invite à la partager avec tes amies sur les réseaux sociaux, merci beaucoup pour ton soutien !

La chaîne youtube "Respire Ressens Transforme" & son podcast "Respire Ressens Transforme" est née de ma passion pour le développement personnel et la prévention de notre santé. Vos suggestions m'aident à améliorer la qualité de mes audios & vidéos, alors n’hésitez pas à commenter mes vidéos.


A NOTER

Sans accord écrit préalable, il est interdit de télécharger les audios & vidéos de cette chaîne de même que les reproduire, vendre ou transférer en aucune manière, ni d’en accorder des droits à des tierces personnes ou entités.

L'information contenue dans les audios & vidéos de cette chaîne ne remplace en aucun cas l'avis d'un professionnel de la santé.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est un peu délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler de petites douleurs, comme par exemple un mal de tête ou un cachet, pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps. Bonjour, je suis Nadine Jokers et je te souhaite la bienvenue dans le podcast Respire, Ressens, Transforme. Inspirée par mes expériences en tant que thérapeute à former trauma et professeur de yoga, J'ai créé cet espace pour partager des solutions concrètes aux défis que nous rencontrons tous. Le stress, l'anxiété, la fatigue émotionnelle. Mon souhait est de t'offrir des outils simples et puissants pour t'aider à harmoniser ton énergie, depuis chez toi et à créer la vie dont tu rêves, ici et maintenant. Ensemble, explorons les clés de la transformation intérieure et de la joie. Je t'invite à plonger dans ce voyage intérieur dès à présent. Belle écoute et à très bientôt. Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler d'outils de douleur comme par exemple un mal de tête ou apprendre à cacher pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps, dans lequel on souffre. réellement beaucoup. Et je parle réellement parce que c'est que quand on a vécu une telle maladie qu'on sait réellement ce que c'est. Et je dis ça parce qu'en fait, à l'époque, j'étais malade pendant... bien malade pendant deux années. J'ai souffert pendant... C'était quasiment du continu pendant deux années, 24 heures sur 24. Je ne dormais quasiment plus, je faisais de la sommeil parce que j'avais mal. Tout le temps, c'était vraiment très très difficile. Et lorsqu'on est bréade ainsi, forcément... On consulte les médecins, on passe dans les cas hôpitaux, on utilise un petit verre de médicaments parce qu'on souffre tellement qu'on a juste envie que ça s'arrête. Malheureusement, ça ne s'arrête pas. Je fais les traitements. Et moi, je sais qu'à l'époque, je rêvais juste d'avoir un interrupteur à pied dessus pour que tout s'arrête. Et j'ai eu beaucoup de chance que mon mari m'a vraiment bien soutenue. Il était très présent pour moi. Et dans ces moments-là, il y a aussi en fait une dépression qui se met en place. Il y a également beaucoup de chamboulements vraiment au niveau émotionnel, au niveau mental. Et ce n'est pas facile. Et j'avais vraiment envie de faire cette vidéo parce que justement dans ces moments-là, on recherche du soutien, on cherche des réponses, on cherche à trouver des solutions. Et moi je sais que pendant, je vais parler quand même un peu de mon cas pour expliquer, mais en fait quand je suis tombée malade, c'est vraiment, ça arrivait du jour au lendemain. C'est-à-dire que je n'avais pas vu les signes avant-coureurs de cette maladie-là, et pourtant il y en a eu beaucoup. et pourtant j'ai à l'époque c'était il ya un peu plus de sept ans j'étais thérapeute c'est à dire que je pourrais soit les autres j'avais encore mon centre de relaxation j'avais d'autres thérapeutes qui venait également la base avec mon cabinet dont je sois les soins de moi mais pas tant que ça au final à l'époque je pensais que lui mais j'étais davantage occupé à me prendre soin des autres que de prendre soin de moi même et est pareil donc je faisais pas du tout attention à signer à l'époque j'avais pas non plus approche que j'ai aujourd'hui grâce à toutes mes lectures, à toutes les formations que j'ai suivies depuis. Et j'ai été vraiment restée petite thérapeute dans son petit univers de ce que j'avais appris à l'époque. Et mon champ de vision ne s'était pas encore élargi. Et je pense que c'est justement en ayant vécu cette difficulté dans ma vie que j'ai eu les déclics, j'ai eu cette ouverture d'esprit. J'ai essayé de chercher plus loin. que juste ce que j'avais appris dans mes formations, que j'avais trouvé à l'époque sublime, que tout le monde trouvait vraiment bien, parce que j'avais des gens qui venaient de partout en France, qui venaient me consulter, donc c'était des gens qui étaient vraiment convaincus, autant que je l'étais convaincue par ce que je proposais. Je travaille aussi beaucoup l'énergie éthique, et je pense aussi qu'une partie, en fait, mais bon, c'est une partie un peu plus compliquée de l'énergie éthique, mais qui a joué aussi dans ma maladie. Mais voilà, j'avais des signes, je ne les ai pas remarqués. Donc la première chose déjà, mon premier conseil, c'est de prendre le temps de se poser et vraiment de regarder en fait ce qui se passe dans sa vie. D'où aussi l'intérêt d'utiliser mon bullet planaire, qui est en fait un agenda non daté que j'ai créé, dans lequel on a justement un tracker en fait, où on peut noter tout ce qu'on remarque, par exemple des maux de tête. on note les jours en fait où on a ses maux de tête dans le mois et on fait ça sur plusieurs mois Et en fait, se permettre de prendre le temps de réfléchir à tous les petits tracas que l'on a dans sa vie, de toutes petites choses qui sont bénignes, auxquelles on ne fait pas attention, mais qui à la longue peuvent, avec le temps, donner des maladies ou donner des signes que quelque chose va se passer. Et ça, moi, j'ai vraiment beaucoup, beaucoup regretté de ne pas avoir pris le temps, parce qu'avec le recul par rapport à la maladie que j'ai eue, je me suis dit, effectivement, j'avais déjà des signes avant court que ça allait. Mais voilà. Donc ça c'est déjà la première chose, c'est de se faire un tracker et noter tous ces petits détails qui sur le moment nous semblent plutôt insignifiants mais qui pourtant sont extrêmement importants. Et donc à l'époque je voyais beaucoup de spécialistes, pour moi c'était en fait les problèmes que j'ai eu m'empêchait presque de sortir. Pour moi ça a été une vraie torture de réussir à sortir de la maison. C'était des moments de beaucoup de stress, donc déjà je stressais déjà deux jours avant quand je savais que je devais quitter. la maison. Pareil, quand je devais aller voir la famille, parce que mes parents, par exemple, avaient du mal à comprendre ces douleurs, parce qu'ils n'étaient pas encore, à l'époque, passés par de telles douleurs. Donc, c'était difficile pour eux de comprendre que, pour moi, c'était une catastrophe de devoir partir et aller chez eux pour aller voir. Donc ça, c'est très difficile aussi, quand on est malade, c'est de voir l'incompréhension de ses proches, parce que j'ai aussi, par exemple, un de mes cousins, quand je lui avais expliqué mes problèmes, pourquoi je n'arrivais plus à sortir, presque rionné, parce que pour lui, c'était du grand n'importe quoi, ce n'était pas compréhensible, parce qu'il n'était jamais passé par là. Donc c'est pour ça que pour moi, c'était important aussi de partager ça, parce que forcément, ça joue sur le moral, parce qu'on se demande pourquoi les gens ne comprennent pas dans quelles situations on se retrouve d'un coup. Pareil, mon médecin, après deux années, m'a fait tous les traitements. J'ai eu des traitements d'antibiotiques à changer toutes les semaines. Je l'ai changé d'antibiotique. Ça a duré pendant plus de six mois. Ça n'a absolument rien changé dans mes problèmes. J'ai eu tellement de médicaments différents. J'ai subi les effets secondaires de certains médicaments, notamment décollement de la peau et du visage, des trucs hallucinants. Et tout ça est un... de ne pas servir à grand-chose. En tout cas, la douleur était toujours là. Donc déjà, il y avait une emprise en charge du fait que je souffrais tout le temps. Et je me suis rendue toujours à une opération que j'ai eue à l'hôpital où ce médecin-là, au bout de deux années, il vient me voir. J'étais encore dans la grande pièce de réveil. Il y avait d'autres personnes qui se réveillaient. J'étais encore complètement out. Et puis, il vient chez moi et il me dit, bon, écoutez, là, je ne peux plus rien faire pour vous. Voilà. Et puis il part. Et ça va être là. Puis donc, moi, il y a quelques jours qui suivent. Je me suis dit, quand je suis rentrée chez moi, je me suis dit, il va me rappeler pour m'expliquer un peu ou quoi que ce soit. Rien du tout. Rien du tout. Donc, au bout de dix jours, j'ai appelé le secrétaire. Je n'ai même pas réussi à l'avoir au téléphone. Il m'a dit, écoutez, j'ai plus votre dossier. Il ne peut plus rien faire pour vous. Il faut que vous alliez consulter d'autres médecins. Donc, ça a été encore... plus un anéantissement de voir à quel point les médecins allopathiques n'ont rien à faire en fait de ce qu'une personne malade peut ressentir. Donc là, je partage mon propre vécu. J'espère que ce n'est pas comme ça avec tous les spécialistes. Mais voilà, en tout cas, c'est ce que j'ai vécu moi. Et donc, j'étais encore plus dans un enfermement mental dans le sens où je me disais, mais à quoi ça sert d'aller voir des spécialistes ? En tant que thérapeute, bien sûr, je suis aussi allée voir d'autres thérapeutes. Pas beaucoup parce qu'en fait, j'avais ce problème de sortir de chez moi. Donc, c'est vrai que je n'ai pas non plus vu énormément de thérapeutes. Je n'ai pas tellement suivi les conseils que j'ai eus lorsque j'étais, par exemple, en phyto-hormathérapeute ou en naturopathie. Parce qu'en fait, lorsque je faisais justement ces cures, soit disant, pour aller mieux, se nettoyer. En fait, ça a empiré mon cas. C'était encore bien pire après. Donc, c'est vrai que j'ai toujours un peu de mal à qui cure. J'ai toujours cette hantise que ma maladie revienne. Parce qu'en fait, aujourd'hui, je ne suis pas complètement guérie. Ça revient assez facilement les douleurs. Mais heureusement pour moi, je sais maintenant comment les gérer et comment faire en sorte qu'elles repartent. Mais la peur que ça revienne, bien sûr, est toujours là. Donc, c'est un travail de tous les jours. De justement réussir à faire en sorte... de reprendre les règles de cette peur et de gérer ces émotions qui vont avec. Donc ça, c'est un deuxième point sur lequel il faut également travailler lorsqu'on est malade. c'est travailler sur ses émotions et sur son ressenti. Alors moi, ce qu'il m'avait dit à l'époque, c'est que, c'est vrai qu'il m'avait dit, trouve-toi quelque chose à faire, trouve-toi une passion, quelque chose qui t'occupe l'esprit au lieu de penser à ta douleur. Et c'est vrai que j'en étais arrivée à un point où, en fait, j'étais tout le temps penchée sur cette douleur qu'il a, qui ne s'arrête jamais. Et donc forcément, quand on pense douleur, douleur, ça accroît en fait ces douleurs. Parce que notre mental ne pense qu'à ça. Il est omnibulé par le fait que, j'arrêtais pas de me dire que j'ai mal, et ça ne s'arrêtait pas. Et donc je pensais à chaque fragment, chaque douleur en fait, tout ce qui se passait en moi. Et donc forcément, quand on est tout le temps omnibulé par ça, ça ne peut pas aller. Et donc quand Cédric m'a dit, tiens, trouve-toi quelque chose à faire pour occuper ton esprit. À l'époque, c'était revenir à mes premiers amours d'enfance, à ma photographie, dessiner, écrire. C'est vraiment ce que je fais depuis toute petite. J'ai commencé tout doucement avec ma réécriture. Je me suis achetée un appareil photo. Là, j'ai retrouvé l'envie de sortir. Je n'étais jamais très loin de chez moi. Mais ça m'a permis de recommencer à sortir. J'ai commencé aussi à me lancer dans la fabrication de bijoux. Les heures sol, j'ai adoré travailler le métal, travailler avec des pierres naturelles. Et le fait de travailler, ça a occupé mon esprit, qui a fait que je pensais de moins en moins à la douleur. Et petit à petit, ça s'est fait quand même sur au moins une année, mais petit à petit, mon mental était occupé à faire autre chose. À l'époque, j'ai aussi créé une association à la maison. on accueillait des animaux qui étaient âgés on allait chercher soit la fourrière qui allait être euthanasiée ou soit dans les SPA les refuges, qui nous appelaient pour dire voilà on a un animal qui a encore quelques mois de vie, qui a été abandonné, est-ce que vous voulez le prendre, et donc nous on le prenait notre but était donc de le faire adopter et d'en prendre soin bien sûr donc à l'époque on avait vraiment le maximum qu'on a le droit d'avoir dans une maison Et on a réussi à en faire adopter quelques-uns, heureusement, mais pas beaucoup. Et donc forcément, c'est des frais énormes, donc on s'est beaucoup endetté à l'époque, mais ça a été vraiment quelque chose de... Autant ça a été merveilleux, autant ça a été difficile, parce que forcément, au niveau âgé, à un moment donné, on peut faire tout ce qu'on veut ensemble, à un moment donné, on ne peut pas les laisser souffrir non plus. Donc ça a été assez difficile. Donc ça, je ne l'ai fait que trois années, parce qu'à un moment, j'en pouvais plus, c'était trop dur de terminer chez le vétérinaire. quand j'étais vraiment en fin de vie. Mais bon, donc toutes ces choses-là, en fait, m'ont permis d'occuper mon esprit. Et petit à petit, en fait, je ne pensais plus à cette douleur. Et ça m'a énormément aidée, justement, avec le temps, à diminuer la douleur, parce que j'étais trop bien occupée. Alors après, c'est vrai que je n'étais pas très contente, parce que du coup, je passais beaucoup trop de temps. J'étais à fond dedans pour m'occuper, parce qu'en fait, dès que j'arrêtais, dès que c'était l'heure d'aller me coucher, j'étais... Ça a recommencé, j'étais de nouveau à fond dans les douleurs parce que la nuit je dormais très peu parce que j'avais trop mal. Et donc c'était toujours la hantille du soir de devoir arrêter. Donc, mais ça m'a pris du temps et sur une année, j'ai quand même vu une progression qui s'est faite petit à petit, tout en sachant que j'ai également modifié mon mode de vie. Donc en fait, c'est plein plein de petits détails qui ont fait que petit à petit, en fait, j'ai commencé à aller mieux. Voilà, donc il y avait ça, le fait d'être au cupide, ça m'a beaucoup aidée. Ensuite, sur la gestion de la douleur, quand vraiment j'avais des gros pics de douleur, c'était la respiration. En fait, le fait de bien respirer et de souffler dans des gros moments de douleur, ça permet de diminuer la douleur. Donc ça, c'est vraiment le fait de juste respirer normalement, mais être dans la conscience de sa respiration. de ce qui se passe en soi, de sentir l'air entrer, de sentir l'air ressortir par l'expiration, avec vraiment une expiration forte, lente. Et d'ailleurs, on peut l'apprendre aussi lorsqu'on accouche, parce que ça, ça faisait partie des respirations que j'ai apprises, donc on va parler après pour préparer l'accouchement. Et voilà, donc ça, ça m'a beaucoup aidée aussi à gérer ces gros piles de douleurs. Et ensuite, donc, le mode de vie. Donc j'étais thérapeute, donc j'avais déjà un style de mode de vie qui était quand même déjà branché alimentation bio, pas boire de café, boire davantage. titane, thé. Alors ça aussi, je pense que ça a beaucoup joué sur mes problèmes, parce que je rebois du thé, le lendemain, mes douleurs recommencent à venir, certaines de mes douleurs, et donc je ne pense pas qu'il faille réellement boire du thé tout le temps, comme on en parle beaucoup dans toutes les formations que j'allais, il fallait tout le temps boire du thé, en fait non. Je pense que c'est mieux de boire davantage d'eau, parce que l'eau, c'est... qu'il y a de plus naturel, de plus neutre. Ça ne va pas relancer notre système digestif, ça ne risque pas d'aller des substances qui peuvent justement irriter nos intestins, notre vessie, notre estomac, tout ça. C'est vraiment ce qu'il y a de meilleur. Et puis après, notre corps est fait quand même de 70 à 80% d'eau. Donc c'est vraiment très très important de boire beaucoup d'eau. Mais moi, c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à aller de l'eau. Donc j'ai tendance toujours à mettre un peu de jus de fouine dedans. ou à boire une tisane, ou à faire un matcha, mais j'essaie quand même, je me force quand même à boire davantage d'eau. C'est pour ça qu'en fait, dans mon bullet planaire, j'ai ajouté en fait, dans l'agenda journalier, des petites gouttes d'eau, et je les barre en fait au fur et à mesure que je bois de l'eau, parce qu'au moins ça me motive à boire davantage d'eau, et aussi, quand j'avais fait ma formation à Reiki, mon professeur disait toujours en fait... c'est un réquis, je sais plus si c'était lui ou si c'était... bon lui je sais qu'il boit exclusivement l'eau je crois qu'à le dernier stage que j'ai fait avec lui, il disait qu'il buvait 7 litres d'eau dans la journée je sais pas comment il fait, mais c'est vrai que c'est super d'avoir autant d'eau mais bon voilà donc un de mes profs m'avait dit en fait après être allé aux toilettes il faudrait boire un verre d'eau à chaque fois comme ça moi on est sûr d'avoir bu au moins autant d'eau que ce qu'on est Allez, venez aux toilettes. Ça, c'est aussi un très bon conseil. J'essaie d'appliquer. Ce n'est pas toujours évident, mais j'essaie de l'appliquer. Voilà, donc boire beaucoup d'eau. Davantage que ce qu'on boit habituellement. Supprimer tout ce qui est soda. Manger davantage bio et, si possible, local. Parce que forcément, si on mange beaucoup de produits qui sont déjà fabriqués, on sait très bien qu'ils ajoutent beaucoup de choses dedans qui sont néfastes pour la santé. Mais ça c'est encore toute une partie qui est très importante dont j'en parle justement dans mon programme du Visual Board et du Let's Planner. Parce que c'est un point qui est très important. Manger davantage d'aigus et de fruits, ça aussi c'est très important. J'en parle aussi souvent sur mon Instagram, je partage souvent ce que je mange, ce que je bois pour inspirer, trouver des idées. Et après c'est aussi ma... Prendre du temps pour soi, pour vraiment se poser, pour profiter en fait de la vie. Profiter de moments où on se pose, on n'est pas en train de réfléchir à tout ce qu'on doit faire, travailler. Et pour soi, parce que même si on est en famille, même si on passe de beaux moments en famille ou avec ses enfants, ce n'est pas ça qui va vraiment réussir à nous apaiser, à calmer notre mental. On a vraiment besoin de moments pour se poser, se régénérer, aller dans la nature. Se ressourcer en énergie, en bonne vibration, et ça il n'y a que la nature qui peut l'apporter. Pratiquer après une activité physique que l'on aime. Pour moi c'est le yoga, parce que quand j'ai été malade justement, le fait d'avoir été malade a fait le fait d'être encore plus sédentaire, parce que moi j'étais une grande sportive avant, pas une super sportive, mais j'étais une bonne sportive quand même. Je faisais beaucoup de choses. Et le fait d'un coup d'être tombée malade, je suis restée chez moi. j'avais tellement mal que je ne pouvais quasiment pas bouger. Donc forcément, quand on est sédentaire, on ne bouge presque pas, quand on est recroquillé dans son lit ou sur le canapé, forcément, il y a des douleurs musculaires qui s'installent, des douleurs au niveau des articulations. Et c'est vrai que moi, ce qui m'a beaucoup aidée, c'est de m'être remise au yoga. Alors au début, je pratiquais, et forcément, j'avais encore plus mal qu'avant. Donc j'ai abandonné. Et un jour, mon médecin m'a dit... arrêter d'abandonner il faut continuer persévérer même si vous allez mal continuer donc j'ai tenté plusieurs fois chaque fois j'ai abandonné parce que c'est une douleur à tête revivre et un jour ben j'ai trouvé la motivation je suis dit maintenant je vais arrêter de pleurnicher et je vais me battre pour aller mieux parce que j'avais quoi j'avais 33 ans à l'époque je suis pas possible à 33 ans déjà de vouloir mourir de pleurer toute la journée de plus vivre de plus rien faire Et donc, je me suis boostée, je me suis dit tant pis si j'ai mal, et j'ai fait mon yoga. Et alors, je me suis créée en fait une routine. Ce sont toujours les mêmes mouvements que je faisais, mais vraiment des mouvements qui étaient axés sur la colonne vertébrale. Et donc, à un moment donné... Je me suis dit, maintenant, il faut se battre. Et il faut sortir de cette dépression, de ces douleurs. Et pour ça, ça commence pour moi par la méditation. Ça me permet de me calmer le mental. Des sorties dans la nature pour justement me rebooster, me recharger en énergie. Trouver des choses qui vont me motiver dans la journée à faire autre chose qu'à me plaindre. Le yoga, pratiquer tous les jours, tous les matins, tous les soirs, j'ai pratiqué. Au départ, c'est cinq minutes. Puis au fur et à mesure, j'allais de plus en plus longtemps. Et... Au bout de trois semaines, j'ai le miracle, au bout de trois semaines, je n'ai plus aucune douleur. Et ce n'est plus jamais revenu. Maintenant, au fil des années, effectivement, si maintenant pendant deux semaines, je ne fais plus de yoga, j'ai mes douleurs qui reviennent forcément parce que l'arthrose, en fait, ne part pas. Une fois que ça s'installe, ça reste. Mais comment faire pour pas que ça se crispe et que ça donne des douleurs qui restent tout le temps ? Ben, c'est le fait de bouger. Et donc, lorsqu'on bouge, en fait, on crée au niveau des articulations, il y a du liquide synovial. qui permet justement la fluidité des mouvements. Mais avec l'arthrose, ce liquide se raréfie et les articulations commencent à se toucher. Et c'est lorsqu'elles se touchent que ça crée des micro-particules qui se détachent. C'est ça qui crée les inflammations et qui crée la douleur. Donc le but c'est de bouger. Donc il faut bouger un maximum. Et le yoga, on bouge en douceur et on étire. Et justement, c'est ce qui va permettre de recréer du liquide synovial. Donc... force, forcément, ça a amélioré mes articulations. J'avais également une hernie dans le dos. L'hernie a disparu. Grâce, je suis certaine, à la pratique du yoga. Et voilà, donc, ça a été toutes ces petites choses-là ont fait qu'aujourd'hui, je suis sortie de cette maladie. Alors, je ne dis pas qu'on va sortir, qu'on peut sortir de toutes les maladies, bien sûr que non. Des maladies aussi génétiques et des choses... où on pourra malheureusement rien faire, comme les cancers. Mais le fait de mettre toutes ces petites routines, de suivre aussi l'évolution au fil des jours, de tous ces petits signes qui nous disent qu'on risque d'avoir cette maladie-là. Putain ! Le fait de faire tout ça, ça permet d'améliorer sa qualité de vie et de prévenir aussi. C'est ça qui est important. C'est pour ça que moi, j'écris aussi des livres où j'essaie... J'essaie de transmettre ça dans mes livres, de partager tout ce que j'ai découvert par toutes ces expérimentations en tant que thérapeute, dans les formations que j'ai suivies, dans les formations que j'ai données, dans mes expériences de vie, dans la maladie que j'ai vécue. Parce que tout ça, c'est important. Et j'avais vraiment envie de partager ça par le biais de cette vidéo, de mes livres et de mes programmes en ligne où on pousse bien sûr plus loin que sur ma chaîne YouTube. Voilà. donc j'espère que tout ce que je t'ai partagé là va pouvoir t'aider si tu passes malheureusement par un moment comme ça très difficile sache que t'es pas seule on est beaucoup à passer par là essaye de mettre en pratique tout ce que j'ai pu te dire dans cette vidéo et voilà n'hésite pas à me laisser des commentaires si t'as envie qu'on échange qu'on discute bah écoute Je te souhaite de passer une très belle journée, on se retrouve bientôt pour de nouvelles vidéos.

Chapters

  • Introduction à la maladie chronique et ses impacts

    00:00

  • Mon expérience personnelle de la maladie sur deux ans

    00:56

  • Les signes avant-coureurs et la prise de conscience

    02:40

  • Conseils pour gérer la douleur et améliorer son bien-être

    04:29

  • L'importance de trouver des passions et de bouger

    10:06

  • Conclusion et partage de mon parcours pour aider les autres

    20:08

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Ce chemin a été parsemé de défis physiques, mais aussi d'un impact émotionnel profond, incluant des épisodes de dépression et un sentiment d'incompréhension de la part de mes proches.


Je vous invite à découvrir comment j'ai appris à reconnaître les signes avant-coureurs de la maladie et à explorer des solutions qui vont au-delà des traitements médicaux conventionnels. Au fil de cet épisode, je partage des outils pratiques qui m'ont aidée à mieux vivre avec la douleur, notamment la respiration consciente, une technique essentielle pour retrouver un équilibre face à l'adversité.


Dans ma quête de bien-être, je me suis reconnectée à mes passions et engagée dans des activités qui nourrissent l'esprit. Que ce soit à travers le yoga, la méditation ou la création artistique, ces pratiques sont devenues des refuges précieux pour m'éloigner mentalement de la douleur. Bien que je ne sois pas complètement guérie, j'ai trouvé des moyens significatifs de gérer ma douleur et d'améliorer ma qualité de vie.


En écoutant cet épisode, je vous invite à découvrir comment une transformation personnelle est possible, même dans les moments les plus sombres. Alors, êtes-vous prêtes à respirer, ressentir et transformer votre expérience de vie ? Rejoignez-moi pour cette exploration enrichissante et laissez-vous inspirer par mon parcours.


Ne manquez pas cette occasion de vous informer et de vous inspirer avec "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT". Chaque épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Ouvrez votre cœur et votre esprit à la transformation.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est un peu délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler de petites douleurs, comme par exemple un mal de tête ou un cachet, pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps. Bonjour, je suis Nadine Jokers et je te souhaite la bienvenue dans le podcast Respire, Ressens, Transforme. Inspirée par mes expériences en tant que thérapeute à former trauma et professeur de yoga, J'ai créé cet espace pour partager des solutions concrètes aux défis que nous rencontrons tous. Le stress, l'anxiété, la fatigue émotionnelle. Mon souhait est de t'offrir des outils simples et puissants pour t'aider à harmoniser ton énergie, depuis chez toi et à créer la vie dont tu rêves, ici et maintenant. Ensemble, explorons les clés de la transformation intérieure et de la joie. Je t'invite à plonger dans ce voyage intérieur dès à présent. Belle écoute et à très bientôt. Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler d'outils de douleur comme par exemple un mal de tête ou apprendre à cacher pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps, dans lequel on souffre. réellement beaucoup. Et je parle réellement parce que c'est que quand on a vécu une telle maladie qu'on sait réellement ce que c'est. Et je dis ça parce qu'en fait, à l'époque, j'étais malade pendant... bien malade pendant deux années. J'ai souffert pendant... C'était quasiment du continu pendant deux années, 24 heures sur 24. Je ne dormais quasiment plus, je faisais de la sommeil parce que j'avais mal. Tout le temps, c'était vraiment très très difficile. Et lorsqu'on est bréade ainsi, forcément... On consulte les médecins, on passe dans les cas hôpitaux, on utilise un petit verre de médicaments parce qu'on souffre tellement qu'on a juste envie que ça s'arrête. Malheureusement, ça ne s'arrête pas. Je fais les traitements. Et moi, je sais qu'à l'époque, je rêvais juste d'avoir un interrupteur à pied dessus pour que tout s'arrête. Et j'ai eu beaucoup de chance que mon mari m'a vraiment bien soutenue. Il était très présent pour moi. Et dans ces moments-là, il y a aussi en fait une dépression qui se met en place. Il y a également beaucoup de chamboulements vraiment au niveau émotionnel, au niveau mental. Et ce n'est pas facile. Et j'avais vraiment envie de faire cette vidéo parce que justement dans ces moments-là, on recherche du soutien, on cherche des réponses, on cherche à trouver des solutions. Et moi je sais que pendant, je vais parler quand même un peu de mon cas pour expliquer, mais en fait quand je suis tombée malade, c'est vraiment, ça arrivait du jour au lendemain. C'est-à-dire que je n'avais pas vu les signes avant-coureurs de cette maladie-là, et pourtant il y en a eu beaucoup. et pourtant j'ai à l'époque c'était il ya un peu plus de sept ans j'étais thérapeute c'est à dire que je pourrais soit les autres j'avais encore mon centre de relaxation j'avais d'autres thérapeutes qui venait également la base avec mon cabinet dont je sois les soins de moi mais pas tant que ça au final à l'époque je pensais que lui mais j'étais davantage occupé à me prendre soin des autres que de prendre soin de moi même et est pareil donc je faisais pas du tout attention à signer à l'époque j'avais pas non plus approche que j'ai aujourd'hui grâce à toutes mes lectures, à toutes les formations que j'ai suivies depuis. Et j'ai été vraiment restée petite thérapeute dans son petit univers de ce que j'avais appris à l'époque. Et mon champ de vision ne s'était pas encore élargi. Et je pense que c'est justement en ayant vécu cette difficulté dans ma vie que j'ai eu les déclics, j'ai eu cette ouverture d'esprit. J'ai essayé de chercher plus loin. que juste ce que j'avais appris dans mes formations, que j'avais trouvé à l'époque sublime, que tout le monde trouvait vraiment bien, parce que j'avais des gens qui venaient de partout en France, qui venaient me consulter, donc c'était des gens qui étaient vraiment convaincus, autant que je l'étais convaincue par ce que je proposais. Je travaille aussi beaucoup l'énergie éthique, et je pense aussi qu'une partie, en fait, mais bon, c'est une partie un peu plus compliquée de l'énergie éthique, mais qui a joué aussi dans ma maladie. Mais voilà, j'avais des signes, je ne les ai pas remarqués. Donc la première chose déjà, mon premier conseil, c'est de prendre le temps de se poser et vraiment de regarder en fait ce qui se passe dans sa vie. D'où aussi l'intérêt d'utiliser mon bullet planaire, qui est en fait un agenda non daté que j'ai créé, dans lequel on a justement un tracker en fait, où on peut noter tout ce qu'on remarque, par exemple des maux de tête. on note les jours en fait où on a ses maux de tête dans le mois et on fait ça sur plusieurs mois Et en fait, se permettre de prendre le temps de réfléchir à tous les petits tracas que l'on a dans sa vie, de toutes petites choses qui sont bénignes, auxquelles on ne fait pas attention, mais qui à la longue peuvent, avec le temps, donner des maladies ou donner des signes que quelque chose va se passer. Et ça, moi, j'ai vraiment beaucoup, beaucoup regretté de ne pas avoir pris le temps, parce qu'avec le recul par rapport à la maladie que j'ai eue, je me suis dit, effectivement, j'avais déjà des signes avant court que ça allait. Mais voilà. Donc ça c'est déjà la première chose, c'est de se faire un tracker et noter tous ces petits détails qui sur le moment nous semblent plutôt insignifiants mais qui pourtant sont extrêmement importants. Et donc à l'époque je voyais beaucoup de spécialistes, pour moi c'était en fait les problèmes que j'ai eu m'empêchait presque de sortir. Pour moi ça a été une vraie torture de réussir à sortir de la maison. C'était des moments de beaucoup de stress, donc déjà je stressais déjà deux jours avant quand je savais que je devais quitter. la maison. Pareil, quand je devais aller voir la famille, parce que mes parents, par exemple, avaient du mal à comprendre ces douleurs, parce qu'ils n'étaient pas encore, à l'époque, passés par de telles douleurs. Donc, c'était difficile pour eux de comprendre que, pour moi, c'était une catastrophe de devoir partir et aller chez eux pour aller voir. Donc ça, c'est très difficile aussi, quand on est malade, c'est de voir l'incompréhension de ses proches, parce que j'ai aussi, par exemple, un de mes cousins, quand je lui avais expliqué mes problèmes, pourquoi je n'arrivais plus à sortir, presque rionné, parce que pour lui, c'était du grand n'importe quoi, ce n'était pas compréhensible, parce qu'il n'était jamais passé par là. Donc c'est pour ça que pour moi, c'était important aussi de partager ça, parce que forcément, ça joue sur le moral, parce qu'on se demande pourquoi les gens ne comprennent pas dans quelles situations on se retrouve d'un coup. Pareil, mon médecin, après deux années, m'a fait tous les traitements. J'ai eu des traitements d'antibiotiques à changer toutes les semaines. Je l'ai changé d'antibiotique. Ça a duré pendant plus de six mois. Ça n'a absolument rien changé dans mes problèmes. J'ai eu tellement de médicaments différents. J'ai subi les effets secondaires de certains médicaments, notamment décollement de la peau et du visage, des trucs hallucinants. Et tout ça est un... de ne pas servir à grand-chose. En tout cas, la douleur était toujours là. Donc déjà, il y avait une emprise en charge du fait que je souffrais tout le temps. Et je me suis rendue toujours à une opération que j'ai eue à l'hôpital où ce médecin-là, au bout de deux années, il vient me voir. J'étais encore dans la grande pièce de réveil. Il y avait d'autres personnes qui se réveillaient. J'étais encore complètement out. Et puis, il vient chez moi et il me dit, bon, écoutez, là, je ne peux plus rien faire pour vous. Voilà. Et puis il part. Et ça va être là. Puis donc, moi, il y a quelques jours qui suivent. Je me suis dit, quand je suis rentrée chez moi, je me suis dit, il va me rappeler pour m'expliquer un peu ou quoi que ce soit. Rien du tout. Rien du tout. Donc, au bout de dix jours, j'ai appelé le secrétaire. Je n'ai même pas réussi à l'avoir au téléphone. Il m'a dit, écoutez, j'ai plus votre dossier. Il ne peut plus rien faire pour vous. Il faut que vous alliez consulter d'autres médecins. Donc, ça a été encore... plus un anéantissement de voir à quel point les médecins allopathiques n'ont rien à faire en fait de ce qu'une personne malade peut ressentir. Donc là, je partage mon propre vécu. J'espère que ce n'est pas comme ça avec tous les spécialistes. Mais voilà, en tout cas, c'est ce que j'ai vécu moi. Et donc, j'étais encore plus dans un enfermement mental dans le sens où je me disais, mais à quoi ça sert d'aller voir des spécialistes ? En tant que thérapeute, bien sûr, je suis aussi allée voir d'autres thérapeutes. Pas beaucoup parce qu'en fait, j'avais ce problème de sortir de chez moi. Donc, c'est vrai que je n'ai pas non plus vu énormément de thérapeutes. Je n'ai pas tellement suivi les conseils que j'ai eus lorsque j'étais, par exemple, en phyto-hormathérapeute ou en naturopathie. Parce qu'en fait, lorsque je faisais justement ces cures, soit disant, pour aller mieux, se nettoyer. En fait, ça a empiré mon cas. C'était encore bien pire après. Donc, c'est vrai que j'ai toujours un peu de mal à qui cure. J'ai toujours cette hantise que ma maladie revienne. Parce qu'en fait, aujourd'hui, je ne suis pas complètement guérie. Ça revient assez facilement les douleurs. Mais heureusement pour moi, je sais maintenant comment les gérer et comment faire en sorte qu'elles repartent. Mais la peur que ça revienne, bien sûr, est toujours là. Donc, c'est un travail de tous les jours. De justement réussir à faire en sorte... de reprendre les règles de cette peur et de gérer ces émotions qui vont avec. Donc ça, c'est un deuxième point sur lequel il faut également travailler lorsqu'on est malade. c'est travailler sur ses émotions et sur son ressenti. Alors moi, ce qu'il m'avait dit à l'époque, c'est que, c'est vrai qu'il m'avait dit, trouve-toi quelque chose à faire, trouve-toi une passion, quelque chose qui t'occupe l'esprit au lieu de penser à ta douleur. Et c'est vrai que j'en étais arrivée à un point où, en fait, j'étais tout le temps penchée sur cette douleur qu'il a, qui ne s'arrête jamais. Et donc forcément, quand on pense douleur, douleur, ça accroît en fait ces douleurs. Parce que notre mental ne pense qu'à ça. Il est omnibulé par le fait que, j'arrêtais pas de me dire que j'ai mal, et ça ne s'arrêtait pas. Et donc je pensais à chaque fragment, chaque douleur en fait, tout ce qui se passait en moi. Et donc forcément, quand on est tout le temps omnibulé par ça, ça ne peut pas aller. Et donc quand Cédric m'a dit, tiens, trouve-toi quelque chose à faire pour occuper ton esprit. À l'époque, c'était revenir à mes premiers amours d'enfance, à ma photographie, dessiner, écrire. C'est vraiment ce que je fais depuis toute petite. J'ai commencé tout doucement avec ma réécriture. Je me suis achetée un appareil photo. Là, j'ai retrouvé l'envie de sortir. Je n'étais jamais très loin de chez moi. Mais ça m'a permis de recommencer à sortir. J'ai commencé aussi à me lancer dans la fabrication de bijoux. Les heures sol, j'ai adoré travailler le métal, travailler avec des pierres naturelles. Et le fait de travailler, ça a occupé mon esprit, qui a fait que je pensais de moins en moins à la douleur. Et petit à petit, ça s'est fait quand même sur au moins une année, mais petit à petit, mon mental était occupé à faire autre chose. À l'époque, j'ai aussi créé une association à la maison. on accueillait des animaux qui étaient âgés on allait chercher soit la fourrière qui allait être euthanasiée ou soit dans les SPA les refuges, qui nous appelaient pour dire voilà on a un animal qui a encore quelques mois de vie, qui a été abandonné, est-ce que vous voulez le prendre, et donc nous on le prenait notre but était donc de le faire adopter et d'en prendre soin bien sûr donc à l'époque on avait vraiment le maximum qu'on a le droit d'avoir dans une maison Et on a réussi à en faire adopter quelques-uns, heureusement, mais pas beaucoup. Et donc forcément, c'est des frais énormes, donc on s'est beaucoup endetté à l'époque, mais ça a été vraiment quelque chose de... Autant ça a été merveilleux, autant ça a été difficile, parce que forcément, au niveau âgé, à un moment donné, on peut faire tout ce qu'on veut ensemble, à un moment donné, on ne peut pas les laisser souffrir non plus. Donc ça a été assez difficile. Donc ça, je ne l'ai fait que trois années, parce qu'à un moment, j'en pouvais plus, c'était trop dur de terminer chez le vétérinaire. quand j'étais vraiment en fin de vie. Mais bon, donc toutes ces choses-là, en fait, m'ont permis d'occuper mon esprit. Et petit à petit, en fait, je ne pensais plus à cette douleur. Et ça m'a énormément aidée, justement, avec le temps, à diminuer la douleur, parce que j'étais trop bien occupée. Alors après, c'est vrai que je n'étais pas très contente, parce que du coup, je passais beaucoup trop de temps. J'étais à fond dedans pour m'occuper, parce qu'en fait, dès que j'arrêtais, dès que c'était l'heure d'aller me coucher, j'étais... Ça a recommencé, j'étais de nouveau à fond dans les douleurs parce que la nuit je dormais très peu parce que j'avais trop mal. Et donc c'était toujours la hantille du soir de devoir arrêter. Donc, mais ça m'a pris du temps et sur une année, j'ai quand même vu une progression qui s'est faite petit à petit, tout en sachant que j'ai également modifié mon mode de vie. Donc en fait, c'est plein plein de petits détails qui ont fait que petit à petit, en fait, j'ai commencé à aller mieux. Voilà, donc il y avait ça, le fait d'être au cupide, ça m'a beaucoup aidée. Ensuite, sur la gestion de la douleur, quand vraiment j'avais des gros pics de douleur, c'était la respiration. En fait, le fait de bien respirer et de souffler dans des gros moments de douleur, ça permet de diminuer la douleur. Donc ça, c'est vraiment le fait de juste respirer normalement, mais être dans la conscience de sa respiration. de ce qui se passe en soi, de sentir l'air entrer, de sentir l'air ressortir par l'expiration, avec vraiment une expiration forte, lente. Et d'ailleurs, on peut l'apprendre aussi lorsqu'on accouche, parce que ça, ça faisait partie des respirations que j'ai apprises, donc on va parler après pour préparer l'accouchement. Et voilà, donc ça, ça m'a beaucoup aidée aussi à gérer ces gros piles de douleurs. Et ensuite, donc, le mode de vie. Donc j'étais thérapeute, donc j'avais déjà un style de mode de vie qui était quand même déjà branché alimentation bio, pas boire de café, boire davantage. titane, thé. Alors ça aussi, je pense que ça a beaucoup joué sur mes problèmes, parce que je rebois du thé, le lendemain, mes douleurs recommencent à venir, certaines de mes douleurs, et donc je ne pense pas qu'il faille réellement boire du thé tout le temps, comme on en parle beaucoup dans toutes les formations que j'allais, il fallait tout le temps boire du thé, en fait non. Je pense que c'est mieux de boire davantage d'eau, parce que l'eau, c'est... qu'il y a de plus naturel, de plus neutre. Ça ne va pas relancer notre système digestif, ça ne risque pas d'aller des substances qui peuvent justement irriter nos intestins, notre vessie, notre estomac, tout ça. C'est vraiment ce qu'il y a de meilleur. Et puis après, notre corps est fait quand même de 70 à 80% d'eau. Donc c'est vraiment très très important de boire beaucoup d'eau. Mais moi, c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à aller de l'eau. Donc j'ai tendance toujours à mettre un peu de jus de fouine dedans. ou à boire une tisane, ou à faire un matcha, mais j'essaie quand même, je me force quand même à boire davantage d'eau. C'est pour ça qu'en fait, dans mon bullet planaire, j'ai ajouté en fait, dans l'agenda journalier, des petites gouttes d'eau, et je les barre en fait au fur et à mesure que je bois de l'eau, parce qu'au moins ça me motive à boire davantage d'eau, et aussi, quand j'avais fait ma formation à Reiki, mon professeur disait toujours en fait... c'est un réquis, je sais plus si c'était lui ou si c'était... bon lui je sais qu'il boit exclusivement l'eau je crois qu'à le dernier stage que j'ai fait avec lui, il disait qu'il buvait 7 litres d'eau dans la journée je sais pas comment il fait, mais c'est vrai que c'est super d'avoir autant d'eau mais bon voilà donc un de mes profs m'avait dit en fait après être allé aux toilettes il faudrait boire un verre d'eau à chaque fois comme ça moi on est sûr d'avoir bu au moins autant d'eau que ce qu'on est Allez, venez aux toilettes. Ça, c'est aussi un très bon conseil. J'essaie d'appliquer. Ce n'est pas toujours évident, mais j'essaie de l'appliquer. Voilà, donc boire beaucoup d'eau. Davantage que ce qu'on boit habituellement. Supprimer tout ce qui est soda. Manger davantage bio et, si possible, local. Parce que forcément, si on mange beaucoup de produits qui sont déjà fabriqués, on sait très bien qu'ils ajoutent beaucoup de choses dedans qui sont néfastes pour la santé. Mais ça c'est encore toute une partie qui est très importante dont j'en parle justement dans mon programme du Visual Board et du Let's Planner. Parce que c'est un point qui est très important. Manger davantage d'aigus et de fruits, ça aussi c'est très important. J'en parle aussi souvent sur mon Instagram, je partage souvent ce que je mange, ce que je bois pour inspirer, trouver des idées. Et après c'est aussi ma... Prendre du temps pour soi, pour vraiment se poser, pour profiter en fait de la vie. Profiter de moments où on se pose, on n'est pas en train de réfléchir à tout ce qu'on doit faire, travailler. Et pour soi, parce que même si on est en famille, même si on passe de beaux moments en famille ou avec ses enfants, ce n'est pas ça qui va vraiment réussir à nous apaiser, à calmer notre mental. On a vraiment besoin de moments pour se poser, se régénérer, aller dans la nature. Se ressourcer en énergie, en bonne vibration, et ça il n'y a que la nature qui peut l'apporter. Pratiquer après une activité physique que l'on aime. Pour moi c'est le yoga, parce que quand j'ai été malade justement, le fait d'avoir été malade a fait le fait d'être encore plus sédentaire, parce que moi j'étais une grande sportive avant, pas une super sportive, mais j'étais une bonne sportive quand même. Je faisais beaucoup de choses. Et le fait d'un coup d'être tombée malade, je suis restée chez moi. j'avais tellement mal que je ne pouvais quasiment pas bouger. Donc forcément, quand on est sédentaire, on ne bouge presque pas, quand on est recroquillé dans son lit ou sur le canapé, forcément, il y a des douleurs musculaires qui s'installent, des douleurs au niveau des articulations. Et c'est vrai que moi, ce qui m'a beaucoup aidée, c'est de m'être remise au yoga. Alors au début, je pratiquais, et forcément, j'avais encore plus mal qu'avant. Donc j'ai abandonné. Et un jour, mon médecin m'a dit... arrêter d'abandonner il faut continuer persévérer même si vous allez mal continuer donc j'ai tenté plusieurs fois chaque fois j'ai abandonné parce que c'est une douleur à tête revivre et un jour ben j'ai trouvé la motivation je suis dit maintenant je vais arrêter de pleurnicher et je vais me battre pour aller mieux parce que j'avais quoi j'avais 33 ans à l'époque je suis pas possible à 33 ans déjà de vouloir mourir de pleurer toute la journée de plus vivre de plus rien faire Et donc, je me suis boostée, je me suis dit tant pis si j'ai mal, et j'ai fait mon yoga. Et alors, je me suis créée en fait une routine. Ce sont toujours les mêmes mouvements que je faisais, mais vraiment des mouvements qui étaient axés sur la colonne vertébrale. Et donc, à un moment donné... Je me suis dit, maintenant, il faut se battre. Et il faut sortir de cette dépression, de ces douleurs. Et pour ça, ça commence pour moi par la méditation. Ça me permet de me calmer le mental. Des sorties dans la nature pour justement me rebooster, me recharger en énergie. Trouver des choses qui vont me motiver dans la journée à faire autre chose qu'à me plaindre. Le yoga, pratiquer tous les jours, tous les matins, tous les soirs, j'ai pratiqué. Au départ, c'est cinq minutes. Puis au fur et à mesure, j'allais de plus en plus longtemps. Et... Au bout de trois semaines, j'ai le miracle, au bout de trois semaines, je n'ai plus aucune douleur. Et ce n'est plus jamais revenu. Maintenant, au fil des années, effectivement, si maintenant pendant deux semaines, je ne fais plus de yoga, j'ai mes douleurs qui reviennent forcément parce que l'arthrose, en fait, ne part pas. Une fois que ça s'installe, ça reste. Mais comment faire pour pas que ça se crispe et que ça donne des douleurs qui restent tout le temps ? Ben, c'est le fait de bouger. Et donc, lorsqu'on bouge, en fait, on crée au niveau des articulations, il y a du liquide synovial. qui permet justement la fluidité des mouvements. Mais avec l'arthrose, ce liquide se raréfie et les articulations commencent à se toucher. Et c'est lorsqu'elles se touchent que ça crée des micro-particules qui se détachent. C'est ça qui crée les inflammations et qui crée la douleur. Donc le but c'est de bouger. Donc il faut bouger un maximum. Et le yoga, on bouge en douceur et on étire. Et justement, c'est ce qui va permettre de recréer du liquide synovial. Donc... force, forcément, ça a amélioré mes articulations. J'avais également une hernie dans le dos. L'hernie a disparu. Grâce, je suis certaine, à la pratique du yoga. Et voilà, donc, ça a été toutes ces petites choses-là ont fait qu'aujourd'hui, je suis sortie de cette maladie. Alors, je ne dis pas qu'on va sortir, qu'on peut sortir de toutes les maladies, bien sûr que non. Des maladies aussi génétiques et des choses... où on pourra malheureusement rien faire, comme les cancers. Mais le fait de mettre toutes ces petites routines, de suivre aussi l'évolution au fil des jours, de tous ces petits signes qui nous disent qu'on risque d'avoir cette maladie-là. Putain ! Le fait de faire tout ça, ça permet d'améliorer sa qualité de vie et de prévenir aussi. C'est ça qui est important. C'est pour ça que moi, j'écris aussi des livres où j'essaie... J'essaie de transmettre ça dans mes livres, de partager tout ce que j'ai découvert par toutes ces expérimentations en tant que thérapeute, dans les formations que j'ai suivies, dans les formations que j'ai données, dans mes expériences de vie, dans la maladie que j'ai vécue. Parce que tout ça, c'est important. Et j'avais vraiment envie de partager ça par le biais de cette vidéo, de mes livres et de mes programmes en ligne où on pousse bien sûr plus loin que sur ma chaîne YouTube. Voilà. donc j'espère que tout ce que je t'ai partagé là va pouvoir t'aider si tu passes malheureusement par un moment comme ça très difficile sache que t'es pas seule on est beaucoup à passer par là essaye de mettre en pratique tout ce que j'ai pu te dire dans cette vidéo et voilà n'hésite pas à me laisser des commentaires si t'as envie qu'on échange qu'on discute bah écoute Je te souhaite de passer une très belle journée, on se retrouve bientôt pour de nouvelles vidéos.

Chapters

  • Introduction à la maladie chronique et ses impacts

    00:00

  • Mon expérience personnelle de la maladie sur deux ans

    00:56

  • Les signes avant-coureurs et la prise de conscience

    02:40

  • Conseils pour gérer la douleur et améliorer son bien-être

    04:29

  • L'importance de trouver des passions et de bouger

    10:06

  • Conclusion et partage de mon parcours pour aider les autres

    20:08

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Description

Je suis ravie de partager avec vous un épisode particulier de "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT" où je vous raconte mon propre parcours à travers deux années de souffrance due à une maladie chronique. Une vidéo que j’ai réalisée il y a quelques années pour ma chaîne YouTube : une véritable lueur d’espoir pour toutes celles qui traversent des moments de souffrance.


Ce chemin a été parsemé de défis physiques, mais aussi d'un impact émotionnel profond, incluant des épisodes de dépression et un sentiment d'incompréhension de la part de mes proches.


Je vous invite à découvrir comment j'ai appris à reconnaître les signes avant-coureurs de la maladie et à explorer des solutions qui vont au-delà des traitements médicaux conventionnels. Au fil de cet épisode, je partage des outils pratiques qui m'ont aidée à mieux vivre avec la douleur, notamment la respiration consciente, une technique essentielle pour retrouver un équilibre face à l'adversité.


Dans ma quête de bien-être, je me suis reconnectée à mes passions et engagée dans des activités qui nourrissent l'esprit. Que ce soit à travers le yoga, la méditation ou la création artistique, ces pratiques sont devenues des refuges précieux pour m'éloigner mentalement de la douleur. Bien que je ne sois pas complètement guérie, j'ai trouvé des moyens significatifs de gérer ma douleur et d'améliorer ma qualité de vie.


En écoutant cet épisode, je vous invite à découvrir comment une transformation personnelle est possible, même dans les moments les plus sombres. Alors, êtes-vous prêtes à respirer, ressentir et transformer votre expérience de vie ? Rejoignez-moi pour cette exploration enrichissante et laissez-vous inspirer par mon parcours.


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    Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est un peu délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler de petites douleurs, comme par exemple un mal de tête ou un cachet, pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps. Bonjour, je suis Nadine Jokers et je te souhaite la bienvenue dans le podcast Respire, Ressens, Transforme. Inspirée par mes expériences en tant que thérapeute à former trauma et professeur de yoga, J'ai créé cet espace pour partager des solutions concrètes aux défis que nous rencontrons tous. Le stress, l'anxiété, la fatigue émotionnelle. Mon souhait est de t'offrir des outils simples et puissants pour t'aider à harmoniser ton énergie, depuis chez toi et à créer la vie dont tu rêves, ici et maintenant. Ensemble, explorons les clés de la transformation intérieure et de la joie. Je t'invite à plonger dans ce voyage intérieur dès à présent. Belle écoute et à très bientôt. Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler d'outils de douleur comme par exemple un mal de tête ou apprendre à cacher pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps, dans lequel on souffre. réellement beaucoup. Et je parle réellement parce que c'est que quand on a vécu une telle maladie qu'on sait réellement ce que c'est. Et je dis ça parce qu'en fait, à l'époque, j'étais malade pendant... bien malade pendant deux années. J'ai souffert pendant... C'était quasiment du continu pendant deux années, 24 heures sur 24. Je ne dormais quasiment plus, je faisais de la sommeil parce que j'avais mal. Tout le temps, c'était vraiment très très difficile. Et lorsqu'on est bréade ainsi, forcément... On consulte les médecins, on passe dans les cas hôpitaux, on utilise un petit verre de médicaments parce qu'on souffre tellement qu'on a juste envie que ça s'arrête. Malheureusement, ça ne s'arrête pas. Je fais les traitements. Et moi, je sais qu'à l'époque, je rêvais juste d'avoir un interrupteur à pied dessus pour que tout s'arrête. Et j'ai eu beaucoup de chance que mon mari m'a vraiment bien soutenue. Il était très présent pour moi. Et dans ces moments-là, il y a aussi en fait une dépression qui se met en place. Il y a également beaucoup de chamboulements vraiment au niveau émotionnel, au niveau mental. Et ce n'est pas facile. Et j'avais vraiment envie de faire cette vidéo parce que justement dans ces moments-là, on recherche du soutien, on cherche des réponses, on cherche à trouver des solutions. Et moi je sais que pendant, je vais parler quand même un peu de mon cas pour expliquer, mais en fait quand je suis tombée malade, c'est vraiment, ça arrivait du jour au lendemain. C'est-à-dire que je n'avais pas vu les signes avant-coureurs de cette maladie-là, et pourtant il y en a eu beaucoup. et pourtant j'ai à l'époque c'était il ya un peu plus de sept ans j'étais thérapeute c'est à dire que je pourrais soit les autres j'avais encore mon centre de relaxation j'avais d'autres thérapeutes qui venait également la base avec mon cabinet dont je sois les soins de moi mais pas tant que ça au final à l'époque je pensais que lui mais j'étais davantage occupé à me prendre soin des autres que de prendre soin de moi même et est pareil donc je faisais pas du tout attention à signer à l'époque j'avais pas non plus approche que j'ai aujourd'hui grâce à toutes mes lectures, à toutes les formations que j'ai suivies depuis. Et j'ai été vraiment restée petite thérapeute dans son petit univers de ce que j'avais appris à l'époque. Et mon champ de vision ne s'était pas encore élargi. Et je pense que c'est justement en ayant vécu cette difficulté dans ma vie que j'ai eu les déclics, j'ai eu cette ouverture d'esprit. J'ai essayé de chercher plus loin. que juste ce que j'avais appris dans mes formations, que j'avais trouvé à l'époque sublime, que tout le monde trouvait vraiment bien, parce que j'avais des gens qui venaient de partout en France, qui venaient me consulter, donc c'était des gens qui étaient vraiment convaincus, autant que je l'étais convaincue par ce que je proposais. Je travaille aussi beaucoup l'énergie éthique, et je pense aussi qu'une partie, en fait, mais bon, c'est une partie un peu plus compliquée de l'énergie éthique, mais qui a joué aussi dans ma maladie. Mais voilà, j'avais des signes, je ne les ai pas remarqués. Donc la première chose déjà, mon premier conseil, c'est de prendre le temps de se poser et vraiment de regarder en fait ce qui se passe dans sa vie. D'où aussi l'intérêt d'utiliser mon bullet planaire, qui est en fait un agenda non daté que j'ai créé, dans lequel on a justement un tracker en fait, où on peut noter tout ce qu'on remarque, par exemple des maux de tête. on note les jours en fait où on a ses maux de tête dans le mois et on fait ça sur plusieurs mois Et en fait, se permettre de prendre le temps de réfléchir à tous les petits tracas que l'on a dans sa vie, de toutes petites choses qui sont bénignes, auxquelles on ne fait pas attention, mais qui à la longue peuvent, avec le temps, donner des maladies ou donner des signes que quelque chose va se passer. Et ça, moi, j'ai vraiment beaucoup, beaucoup regretté de ne pas avoir pris le temps, parce qu'avec le recul par rapport à la maladie que j'ai eue, je me suis dit, effectivement, j'avais déjà des signes avant court que ça allait. Mais voilà. Donc ça c'est déjà la première chose, c'est de se faire un tracker et noter tous ces petits détails qui sur le moment nous semblent plutôt insignifiants mais qui pourtant sont extrêmement importants. Et donc à l'époque je voyais beaucoup de spécialistes, pour moi c'était en fait les problèmes que j'ai eu m'empêchait presque de sortir. Pour moi ça a été une vraie torture de réussir à sortir de la maison. C'était des moments de beaucoup de stress, donc déjà je stressais déjà deux jours avant quand je savais que je devais quitter. la maison. Pareil, quand je devais aller voir la famille, parce que mes parents, par exemple, avaient du mal à comprendre ces douleurs, parce qu'ils n'étaient pas encore, à l'époque, passés par de telles douleurs. Donc, c'était difficile pour eux de comprendre que, pour moi, c'était une catastrophe de devoir partir et aller chez eux pour aller voir. Donc ça, c'est très difficile aussi, quand on est malade, c'est de voir l'incompréhension de ses proches, parce que j'ai aussi, par exemple, un de mes cousins, quand je lui avais expliqué mes problèmes, pourquoi je n'arrivais plus à sortir, presque rionné, parce que pour lui, c'était du grand n'importe quoi, ce n'était pas compréhensible, parce qu'il n'était jamais passé par là. Donc c'est pour ça que pour moi, c'était important aussi de partager ça, parce que forcément, ça joue sur le moral, parce qu'on se demande pourquoi les gens ne comprennent pas dans quelles situations on se retrouve d'un coup. Pareil, mon médecin, après deux années, m'a fait tous les traitements. J'ai eu des traitements d'antibiotiques à changer toutes les semaines. Je l'ai changé d'antibiotique. Ça a duré pendant plus de six mois. Ça n'a absolument rien changé dans mes problèmes. J'ai eu tellement de médicaments différents. J'ai subi les effets secondaires de certains médicaments, notamment décollement de la peau et du visage, des trucs hallucinants. Et tout ça est un... de ne pas servir à grand-chose. En tout cas, la douleur était toujours là. Donc déjà, il y avait une emprise en charge du fait que je souffrais tout le temps. Et je me suis rendue toujours à une opération que j'ai eue à l'hôpital où ce médecin-là, au bout de deux années, il vient me voir. J'étais encore dans la grande pièce de réveil. Il y avait d'autres personnes qui se réveillaient. J'étais encore complètement out. Et puis, il vient chez moi et il me dit, bon, écoutez, là, je ne peux plus rien faire pour vous. Voilà. Et puis il part. Et ça va être là. Puis donc, moi, il y a quelques jours qui suivent. Je me suis dit, quand je suis rentrée chez moi, je me suis dit, il va me rappeler pour m'expliquer un peu ou quoi que ce soit. Rien du tout. Rien du tout. Donc, au bout de dix jours, j'ai appelé le secrétaire. Je n'ai même pas réussi à l'avoir au téléphone. Il m'a dit, écoutez, j'ai plus votre dossier. Il ne peut plus rien faire pour vous. Il faut que vous alliez consulter d'autres médecins. Donc, ça a été encore... plus un anéantissement de voir à quel point les médecins allopathiques n'ont rien à faire en fait de ce qu'une personne malade peut ressentir. Donc là, je partage mon propre vécu. J'espère que ce n'est pas comme ça avec tous les spécialistes. Mais voilà, en tout cas, c'est ce que j'ai vécu moi. Et donc, j'étais encore plus dans un enfermement mental dans le sens où je me disais, mais à quoi ça sert d'aller voir des spécialistes ? En tant que thérapeute, bien sûr, je suis aussi allée voir d'autres thérapeutes. Pas beaucoup parce qu'en fait, j'avais ce problème de sortir de chez moi. Donc, c'est vrai que je n'ai pas non plus vu énormément de thérapeutes. Je n'ai pas tellement suivi les conseils que j'ai eus lorsque j'étais, par exemple, en phyto-hormathérapeute ou en naturopathie. Parce qu'en fait, lorsque je faisais justement ces cures, soit disant, pour aller mieux, se nettoyer. En fait, ça a empiré mon cas. C'était encore bien pire après. Donc, c'est vrai que j'ai toujours un peu de mal à qui cure. J'ai toujours cette hantise que ma maladie revienne. Parce qu'en fait, aujourd'hui, je ne suis pas complètement guérie. Ça revient assez facilement les douleurs. Mais heureusement pour moi, je sais maintenant comment les gérer et comment faire en sorte qu'elles repartent. Mais la peur que ça revienne, bien sûr, est toujours là. Donc, c'est un travail de tous les jours. De justement réussir à faire en sorte... de reprendre les règles de cette peur et de gérer ces émotions qui vont avec. Donc ça, c'est un deuxième point sur lequel il faut également travailler lorsqu'on est malade. c'est travailler sur ses émotions et sur son ressenti. Alors moi, ce qu'il m'avait dit à l'époque, c'est que, c'est vrai qu'il m'avait dit, trouve-toi quelque chose à faire, trouve-toi une passion, quelque chose qui t'occupe l'esprit au lieu de penser à ta douleur. Et c'est vrai que j'en étais arrivée à un point où, en fait, j'étais tout le temps penchée sur cette douleur qu'il a, qui ne s'arrête jamais. Et donc forcément, quand on pense douleur, douleur, ça accroît en fait ces douleurs. Parce que notre mental ne pense qu'à ça. Il est omnibulé par le fait que, j'arrêtais pas de me dire que j'ai mal, et ça ne s'arrêtait pas. Et donc je pensais à chaque fragment, chaque douleur en fait, tout ce qui se passait en moi. Et donc forcément, quand on est tout le temps omnibulé par ça, ça ne peut pas aller. Et donc quand Cédric m'a dit, tiens, trouve-toi quelque chose à faire pour occuper ton esprit. À l'époque, c'était revenir à mes premiers amours d'enfance, à ma photographie, dessiner, écrire. C'est vraiment ce que je fais depuis toute petite. J'ai commencé tout doucement avec ma réécriture. Je me suis achetée un appareil photo. Là, j'ai retrouvé l'envie de sortir. Je n'étais jamais très loin de chez moi. Mais ça m'a permis de recommencer à sortir. J'ai commencé aussi à me lancer dans la fabrication de bijoux. Les heures sol, j'ai adoré travailler le métal, travailler avec des pierres naturelles. Et le fait de travailler, ça a occupé mon esprit, qui a fait que je pensais de moins en moins à la douleur. Et petit à petit, ça s'est fait quand même sur au moins une année, mais petit à petit, mon mental était occupé à faire autre chose. À l'époque, j'ai aussi créé une association à la maison. on accueillait des animaux qui étaient âgés on allait chercher soit la fourrière qui allait être euthanasiée ou soit dans les SPA les refuges, qui nous appelaient pour dire voilà on a un animal qui a encore quelques mois de vie, qui a été abandonné, est-ce que vous voulez le prendre, et donc nous on le prenait notre but était donc de le faire adopter et d'en prendre soin bien sûr donc à l'époque on avait vraiment le maximum qu'on a le droit d'avoir dans une maison Et on a réussi à en faire adopter quelques-uns, heureusement, mais pas beaucoup. Et donc forcément, c'est des frais énormes, donc on s'est beaucoup endetté à l'époque, mais ça a été vraiment quelque chose de... Autant ça a été merveilleux, autant ça a été difficile, parce que forcément, au niveau âgé, à un moment donné, on peut faire tout ce qu'on veut ensemble, à un moment donné, on ne peut pas les laisser souffrir non plus. Donc ça a été assez difficile. Donc ça, je ne l'ai fait que trois années, parce qu'à un moment, j'en pouvais plus, c'était trop dur de terminer chez le vétérinaire. quand j'étais vraiment en fin de vie. Mais bon, donc toutes ces choses-là, en fait, m'ont permis d'occuper mon esprit. Et petit à petit, en fait, je ne pensais plus à cette douleur. Et ça m'a énormément aidée, justement, avec le temps, à diminuer la douleur, parce que j'étais trop bien occupée. Alors après, c'est vrai que je n'étais pas très contente, parce que du coup, je passais beaucoup trop de temps. J'étais à fond dedans pour m'occuper, parce qu'en fait, dès que j'arrêtais, dès que c'était l'heure d'aller me coucher, j'étais... Ça a recommencé, j'étais de nouveau à fond dans les douleurs parce que la nuit je dormais très peu parce que j'avais trop mal. Et donc c'était toujours la hantille du soir de devoir arrêter. Donc, mais ça m'a pris du temps et sur une année, j'ai quand même vu une progression qui s'est faite petit à petit, tout en sachant que j'ai également modifié mon mode de vie. Donc en fait, c'est plein plein de petits détails qui ont fait que petit à petit, en fait, j'ai commencé à aller mieux. Voilà, donc il y avait ça, le fait d'être au cupide, ça m'a beaucoup aidée. Ensuite, sur la gestion de la douleur, quand vraiment j'avais des gros pics de douleur, c'était la respiration. En fait, le fait de bien respirer et de souffler dans des gros moments de douleur, ça permet de diminuer la douleur. Donc ça, c'est vraiment le fait de juste respirer normalement, mais être dans la conscience de sa respiration. de ce qui se passe en soi, de sentir l'air entrer, de sentir l'air ressortir par l'expiration, avec vraiment une expiration forte, lente. Et d'ailleurs, on peut l'apprendre aussi lorsqu'on accouche, parce que ça, ça faisait partie des respirations que j'ai apprises, donc on va parler après pour préparer l'accouchement. Et voilà, donc ça, ça m'a beaucoup aidée aussi à gérer ces gros piles de douleurs. Et ensuite, donc, le mode de vie. Donc j'étais thérapeute, donc j'avais déjà un style de mode de vie qui était quand même déjà branché alimentation bio, pas boire de café, boire davantage. titane, thé. Alors ça aussi, je pense que ça a beaucoup joué sur mes problèmes, parce que je rebois du thé, le lendemain, mes douleurs recommencent à venir, certaines de mes douleurs, et donc je ne pense pas qu'il faille réellement boire du thé tout le temps, comme on en parle beaucoup dans toutes les formations que j'allais, il fallait tout le temps boire du thé, en fait non. Je pense que c'est mieux de boire davantage d'eau, parce que l'eau, c'est... qu'il y a de plus naturel, de plus neutre. Ça ne va pas relancer notre système digestif, ça ne risque pas d'aller des substances qui peuvent justement irriter nos intestins, notre vessie, notre estomac, tout ça. C'est vraiment ce qu'il y a de meilleur. Et puis après, notre corps est fait quand même de 70 à 80% d'eau. Donc c'est vraiment très très important de boire beaucoup d'eau. Mais moi, c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à aller de l'eau. Donc j'ai tendance toujours à mettre un peu de jus de fouine dedans. ou à boire une tisane, ou à faire un matcha, mais j'essaie quand même, je me force quand même à boire davantage d'eau. C'est pour ça qu'en fait, dans mon bullet planaire, j'ai ajouté en fait, dans l'agenda journalier, des petites gouttes d'eau, et je les barre en fait au fur et à mesure que je bois de l'eau, parce qu'au moins ça me motive à boire davantage d'eau, et aussi, quand j'avais fait ma formation à Reiki, mon professeur disait toujours en fait... c'est un réquis, je sais plus si c'était lui ou si c'était... bon lui je sais qu'il boit exclusivement l'eau je crois qu'à le dernier stage que j'ai fait avec lui, il disait qu'il buvait 7 litres d'eau dans la journée je sais pas comment il fait, mais c'est vrai que c'est super d'avoir autant d'eau mais bon voilà donc un de mes profs m'avait dit en fait après être allé aux toilettes il faudrait boire un verre d'eau à chaque fois comme ça moi on est sûr d'avoir bu au moins autant d'eau que ce qu'on est Allez, venez aux toilettes. Ça, c'est aussi un très bon conseil. J'essaie d'appliquer. Ce n'est pas toujours évident, mais j'essaie de l'appliquer. Voilà, donc boire beaucoup d'eau. Davantage que ce qu'on boit habituellement. Supprimer tout ce qui est soda. Manger davantage bio et, si possible, local. Parce que forcément, si on mange beaucoup de produits qui sont déjà fabriqués, on sait très bien qu'ils ajoutent beaucoup de choses dedans qui sont néfastes pour la santé. Mais ça c'est encore toute une partie qui est très importante dont j'en parle justement dans mon programme du Visual Board et du Let's Planner. Parce que c'est un point qui est très important. Manger davantage d'aigus et de fruits, ça aussi c'est très important. J'en parle aussi souvent sur mon Instagram, je partage souvent ce que je mange, ce que je bois pour inspirer, trouver des idées. Et après c'est aussi ma... Prendre du temps pour soi, pour vraiment se poser, pour profiter en fait de la vie. Profiter de moments où on se pose, on n'est pas en train de réfléchir à tout ce qu'on doit faire, travailler. Et pour soi, parce que même si on est en famille, même si on passe de beaux moments en famille ou avec ses enfants, ce n'est pas ça qui va vraiment réussir à nous apaiser, à calmer notre mental. On a vraiment besoin de moments pour se poser, se régénérer, aller dans la nature. Se ressourcer en énergie, en bonne vibration, et ça il n'y a que la nature qui peut l'apporter. Pratiquer après une activité physique que l'on aime. Pour moi c'est le yoga, parce que quand j'ai été malade justement, le fait d'avoir été malade a fait le fait d'être encore plus sédentaire, parce que moi j'étais une grande sportive avant, pas une super sportive, mais j'étais une bonne sportive quand même. Je faisais beaucoup de choses. Et le fait d'un coup d'être tombée malade, je suis restée chez moi. j'avais tellement mal que je ne pouvais quasiment pas bouger. Donc forcément, quand on est sédentaire, on ne bouge presque pas, quand on est recroquillé dans son lit ou sur le canapé, forcément, il y a des douleurs musculaires qui s'installent, des douleurs au niveau des articulations. Et c'est vrai que moi, ce qui m'a beaucoup aidée, c'est de m'être remise au yoga. Alors au début, je pratiquais, et forcément, j'avais encore plus mal qu'avant. Donc j'ai abandonné. Et un jour, mon médecin m'a dit... arrêter d'abandonner il faut continuer persévérer même si vous allez mal continuer donc j'ai tenté plusieurs fois chaque fois j'ai abandonné parce que c'est une douleur à tête revivre et un jour ben j'ai trouvé la motivation je suis dit maintenant je vais arrêter de pleurnicher et je vais me battre pour aller mieux parce que j'avais quoi j'avais 33 ans à l'époque je suis pas possible à 33 ans déjà de vouloir mourir de pleurer toute la journée de plus vivre de plus rien faire Et donc, je me suis boostée, je me suis dit tant pis si j'ai mal, et j'ai fait mon yoga. Et alors, je me suis créée en fait une routine. Ce sont toujours les mêmes mouvements que je faisais, mais vraiment des mouvements qui étaient axés sur la colonne vertébrale. Et donc, à un moment donné... Je me suis dit, maintenant, il faut se battre. Et il faut sortir de cette dépression, de ces douleurs. Et pour ça, ça commence pour moi par la méditation. Ça me permet de me calmer le mental. Des sorties dans la nature pour justement me rebooster, me recharger en énergie. Trouver des choses qui vont me motiver dans la journée à faire autre chose qu'à me plaindre. Le yoga, pratiquer tous les jours, tous les matins, tous les soirs, j'ai pratiqué. Au départ, c'est cinq minutes. Puis au fur et à mesure, j'allais de plus en plus longtemps. Et... Au bout de trois semaines, j'ai le miracle, au bout de trois semaines, je n'ai plus aucune douleur. Et ce n'est plus jamais revenu. Maintenant, au fil des années, effectivement, si maintenant pendant deux semaines, je ne fais plus de yoga, j'ai mes douleurs qui reviennent forcément parce que l'arthrose, en fait, ne part pas. Une fois que ça s'installe, ça reste. Mais comment faire pour pas que ça se crispe et que ça donne des douleurs qui restent tout le temps ? Ben, c'est le fait de bouger. Et donc, lorsqu'on bouge, en fait, on crée au niveau des articulations, il y a du liquide synovial. qui permet justement la fluidité des mouvements. Mais avec l'arthrose, ce liquide se raréfie et les articulations commencent à se toucher. Et c'est lorsqu'elles se touchent que ça crée des micro-particules qui se détachent. C'est ça qui crée les inflammations et qui crée la douleur. Donc le but c'est de bouger. Donc il faut bouger un maximum. Et le yoga, on bouge en douceur et on étire. Et justement, c'est ce qui va permettre de recréer du liquide synovial. Donc... force, forcément, ça a amélioré mes articulations. J'avais également une hernie dans le dos. L'hernie a disparu. Grâce, je suis certaine, à la pratique du yoga. Et voilà, donc, ça a été toutes ces petites choses-là ont fait qu'aujourd'hui, je suis sortie de cette maladie. Alors, je ne dis pas qu'on va sortir, qu'on peut sortir de toutes les maladies, bien sûr que non. Des maladies aussi génétiques et des choses... où on pourra malheureusement rien faire, comme les cancers. Mais le fait de mettre toutes ces petites routines, de suivre aussi l'évolution au fil des jours, de tous ces petits signes qui nous disent qu'on risque d'avoir cette maladie-là. Putain ! Le fait de faire tout ça, ça permet d'améliorer sa qualité de vie et de prévenir aussi. C'est ça qui est important. C'est pour ça que moi, j'écris aussi des livres où j'essaie... J'essaie de transmettre ça dans mes livres, de partager tout ce que j'ai découvert par toutes ces expérimentations en tant que thérapeute, dans les formations que j'ai suivies, dans les formations que j'ai données, dans mes expériences de vie, dans la maladie que j'ai vécue. Parce que tout ça, c'est important. Et j'avais vraiment envie de partager ça par le biais de cette vidéo, de mes livres et de mes programmes en ligne où on pousse bien sûr plus loin que sur ma chaîne YouTube. Voilà. donc j'espère que tout ce que je t'ai partagé là va pouvoir t'aider si tu passes malheureusement par un moment comme ça très difficile sache que t'es pas seule on est beaucoup à passer par là essaye de mettre en pratique tout ce que j'ai pu te dire dans cette vidéo et voilà n'hésite pas à me laisser des commentaires si t'as envie qu'on échange qu'on discute bah écoute Je te souhaite de passer une très belle journée, on se retrouve bientôt pour de nouvelles vidéos.

Chapters

  • Introduction à la maladie chronique et ses impacts

    00:00

  • Mon expérience personnelle de la maladie sur deux ans

    00:56

  • Les signes avant-coureurs et la prise de conscience

    02:40

  • Conseils pour gérer la douleur et améliorer son bien-être

    04:29

  • L'importance de trouver des passions et de bouger

    10:06

  • Conclusion et partage de mon parcours pour aider les autres

    20:08

Description

Je suis ravie de partager avec vous un épisode particulier de "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT" où je vous raconte mon propre parcours à travers deux années de souffrance due à une maladie chronique. Une vidéo que j’ai réalisée il y a quelques années pour ma chaîne YouTube : une véritable lueur d’espoir pour toutes celles qui traversent des moments de souffrance.


Ce chemin a été parsemé de défis physiques, mais aussi d'un impact émotionnel profond, incluant des épisodes de dépression et un sentiment d'incompréhension de la part de mes proches.


Je vous invite à découvrir comment j'ai appris à reconnaître les signes avant-coureurs de la maladie et à explorer des solutions qui vont au-delà des traitements médicaux conventionnels. Au fil de cet épisode, je partage des outils pratiques qui m'ont aidée à mieux vivre avec la douleur, notamment la respiration consciente, une technique essentielle pour retrouver un équilibre face à l'adversité.


Dans ma quête de bien-être, je me suis reconnectée à mes passions et engagée dans des activités qui nourrissent l'esprit. Que ce soit à travers le yoga, la méditation ou la création artistique, ces pratiques sont devenues des refuges précieux pour m'éloigner mentalement de la douleur. Bien que je ne sois pas complètement guérie, j'ai trouvé des moyens significatifs de gérer ma douleur et d'améliorer ma qualité de vie.


En écoutant cet épisode, je vous invite à découvrir comment une transformation personnelle est possible, même dans les moments les plus sombres. Alors, êtes-vous prêtes à respirer, ressentir et transformer votre expérience de vie ? Rejoignez-moi pour cette exploration enrichissante et laissez-vous inspirer par mon parcours.


Ne manquez pas cette occasion de vous informer et de vous inspirer avec "Respire, Ressens, Transforme, l'expérience RRT". Chaque épisode est une invitation à la réflexion et à l'action. Ouvrez votre cœur et votre esprit à la transformation.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est un peu délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler de petites douleurs, comme par exemple un mal de tête ou un cachet, pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps. Bonjour, je suis Nadine Jokers et je te souhaite la bienvenue dans le podcast Respire, Ressens, Transforme. Inspirée par mes expériences en tant que thérapeute à former trauma et professeur de yoga, J'ai créé cet espace pour partager des solutions concrètes aux défis que nous rencontrons tous. Le stress, l'anxiété, la fatigue émotionnelle. Mon souhait est de t'offrir des outils simples et puissants pour t'aider à harmoniser ton énergie, depuis chez toi et à créer la vie dont tu rêves, ici et maintenant. Ensemble, explorons les clés de la transformation intérieure et de la joie. Je t'invite à plonger dans ce voyage intérieur dès à présent. Belle écoute et à très bientôt. Bonjour, aujourd'hui j'ai envie de te parler d'un sujet qui est délicat, qui est la maladie. Alors je ne vais pas parler d'outils de douleur comme par exemple un mal de tête ou apprendre à cacher pour que ça passe assez rapidement. Je te parle vraiment d'une maladie qui dure dans le temps, dans lequel on souffre. réellement beaucoup. Et je parle réellement parce que c'est que quand on a vécu une telle maladie qu'on sait réellement ce que c'est. Et je dis ça parce qu'en fait, à l'époque, j'étais malade pendant... bien malade pendant deux années. J'ai souffert pendant... C'était quasiment du continu pendant deux années, 24 heures sur 24. Je ne dormais quasiment plus, je faisais de la sommeil parce que j'avais mal. Tout le temps, c'était vraiment très très difficile. Et lorsqu'on est bréade ainsi, forcément... On consulte les médecins, on passe dans les cas hôpitaux, on utilise un petit verre de médicaments parce qu'on souffre tellement qu'on a juste envie que ça s'arrête. Malheureusement, ça ne s'arrête pas. Je fais les traitements. Et moi, je sais qu'à l'époque, je rêvais juste d'avoir un interrupteur à pied dessus pour que tout s'arrête. Et j'ai eu beaucoup de chance que mon mari m'a vraiment bien soutenue. Il était très présent pour moi. Et dans ces moments-là, il y a aussi en fait une dépression qui se met en place. Il y a également beaucoup de chamboulements vraiment au niveau émotionnel, au niveau mental. Et ce n'est pas facile. Et j'avais vraiment envie de faire cette vidéo parce que justement dans ces moments-là, on recherche du soutien, on cherche des réponses, on cherche à trouver des solutions. Et moi je sais que pendant, je vais parler quand même un peu de mon cas pour expliquer, mais en fait quand je suis tombée malade, c'est vraiment, ça arrivait du jour au lendemain. C'est-à-dire que je n'avais pas vu les signes avant-coureurs de cette maladie-là, et pourtant il y en a eu beaucoup. et pourtant j'ai à l'époque c'était il ya un peu plus de sept ans j'étais thérapeute c'est à dire que je pourrais soit les autres j'avais encore mon centre de relaxation j'avais d'autres thérapeutes qui venait également la base avec mon cabinet dont je sois les soins de moi mais pas tant que ça au final à l'époque je pensais que lui mais j'étais davantage occupé à me prendre soin des autres que de prendre soin de moi même et est pareil donc je faisais pas du tout attention à signer à l'époque j'avais pas non plus approche que j'ai aujourd'hui grâce à toutes mes lectures, à toutes les formations que j'ai suivies depuis. Et j'ai été vraiment restée petite thérapeute dans son petit univers de ce que j'avais appris à l'époque. Et mon champ de vision ne s'était pas encore élargi. Et je pense que c'est justement en ayant vécu cette difficulté dans ma vie que j'ai eu les déclics, j'ai eu cette ouverture d'esprit. J'ai essayé de chercher plus loin. que juste ce que j'avais appris dans mes formations, que j'avais trouvé à l'époque sublime, que tout le monde trouvait vraiment bien, parce que j'avais des gens qui venaient de partout en France, qui venaient me consulter, donc c'était des gens qui étaient vraiment convaincus, autant que je l'étais convaincue par ce que je proposais. Je travaille aussi beaucoup l'énergie éthique, et je pense aussi qu'une partie, en fait, mais bon, c'est une partie un peu plus compliquée de l'énergie éthique, mais qui a joué aussi dans ma maladie. Mais voilà, j'avais des signes, je ne les ai pas remarqués. Donc la première chose déjà, mon premier conseil, c'est de prendre le temps de se poser et vraiment de regarder en fait ce qui se passe dans sa vie. D'où aussi l'intérêt d'utiliser mon bullet planaire, qui est en fait un agenda non daté que j'ai créé, dans lequel on a justement un tracker en fait, où on peut noter tout ce qu'on remarque, par exemple des maux de tête. on note les jours en fait où on a ses maux de tête dans le mois et on fait ça sur plusieurs mois Et en fait, se permettre de prendre le temps de réfléchir à tous les petits tracas que l'on a dans sa vie, de toutes petites choses qui sont bénignes, auxquelles on ne fait pas attention, mais qui à la longue peuvent, avec le temps, donner des maladies ou donner des signes que quelque chose va se passer. Et ça, moi, j'ai vraiment beaucoup, beaucoup regretté de ne pas avoir pris le temps, parce qu'avec le recul par rapport à la maladie que j'ai eue, je me suis dit, effectivement, j'avais déjà des signes avant court que ça allait. Mais voilà. Donc ça c'est déjà la première chose, c'est de se faire un tracker et noter tous ces petits détails qui sur le moment nous semblent plutôt insignifiants mais qui pourtant sont extrêmement importants. Et donc à l'époque je voyais beaucoup de spécialistes, pour moi c'était en fait les problèmes que j'ai eu m'empêchait presque de sortir. Pour moi ça a été une vraie torture de réussir à sortir de la maison. C'était des moments de beaucoup de stress, donc déjà je stressais déjà deux jours avant quand je savais que je devais quitter. la maison. Pareil, quand je devais aller voir la famille, parce que mes parents, par exemple, avaient du mal à comprendre ces douleurs, parce qu'ils n'étaient pas encore, à l'époque, passés par de telles douleurs. Donc, c'était difficile pour eux de comprendre que, pour moi, c'était une catastrophe de devoir partir et aller chez eux pour aller voir. Donc ça, c'est très difficile aussi, quand on est malade, c'est de voir l'incompréhension de ses proches, parce que j'ai aussi, par exemple, un de mes cousins, quand je lui avais expliqué mes problèmes, pourquoi je n'arrivais plus à sortir, presque rionné, parce que pour lui, c'était du grand n'importe quoi, ce n'était pas compréhensible, parce qu'il n'était jamais passé par là. Donc c'est pour ça que pour moi, c'était important aussi de partager ça, parce que forcément, ça joue sur le moral, parce qu'on se demande pourquoi les gens ne comprennent pas dans quelles situations on se retrouve d'un coup. Pareil, mon médecin, après deux années, m'a fait tous les traitements. J'ai eu des traitements d'antibiotiques à changer toutes les semaines. Je l'ai changé d'antibiotique. Ça a duré pendant plus de six mois. Ça n'a absolument rien changé dans mes problèmes. J'ai eu tellement de médicaments différents. J'ai subi les effets secondaires de certains médicaments, notamment décollement de la peau et du visage, des trucs hallucinants. Et tout ça est un... de ne pas servir à grand-chose. En tout cas, la douleur était toujours là. Donc déjà, il y avait une emprise en charge du fait que je souffrais tout le temps. Et je me suis rendue toujours à une opération que j'ai eue à l'hôpital où ce médecin-là, au bout de deux années, il vient me voir. J'étais encore dans la grande pièce de réveil. Il y avait d'autres personnes qui se réveillaient. J'étais encore complètement out. Et puis, il vient chez moi et il me dit, bon, écoutez, là, je ne peux plus rien faire pour vous. Voilà. Et puis il part. Et ça va être là. Puis donc, moi, il y a quelques jours qui suivent. Je me suis dit, quand je suis rentrée chez moi, je me suis dit, il va me rappeler pour m'expliquer un peu ou quoi que ce soit. Rien du tout. Rien du tout. Donc, au bout de dix jours, j'ai appelé le secrétaire. Je n'ai même pas réussi à l'avoir au téléphone. Il m'a dit, écoutez, j'ai plus votre dossier. Il ne peut plus rien faire pour vous. Il faut que vous alliez consulter d'autres médecins. Donc, ça a été encore... plus un anéantissement de voir à quel point les médecins allopathiques n'ont rien à faire en fait de ce qu'une personne malade peut ressentir. Donc là, je partage mon propre vécu. J'espère que ce n'est pas comme ça avec tous les spécialistes. Mais voilà, en tout cas, c'est ce que j'ai vécu moi. Et donc, j'étais encore plus dans un enfermement mental dans le sens où je me disais, mais à quoi ça sert d'aller voir des spécialistes ? En tant que thérapeute, bien sûr, je suis aussi allée voir d'autres thérapeutes. Pas beaucoup parce qu'en fait, j'avais ce problème de sortir de chez moi. Donc, c'est vrai que je n'ai pas non plus vu énormément de thérapeutes. Je n'ai pas tellement suivi les conseils que j'ai eus lorsque j'étais, par exemple, en phyto-hormathérapeute ou en naturopathie. Parce qu'en fait, lorsque je faisais justement ces cures, soit disant, pour aller mieux, se nettoyer. En fait, ça a empiré mon cas. C'était encore bien pire après. Donc, c'est vrai que j'ai toujours un peu de mal à qui cure. J'ai toujours cette hantise que ma maladie revienne. Parce qu'en fait, aujourd'hui, je ne suis pas complètement guérie. Ça revient assez facilement les douleurs. Mais heureusement pour moi, je sais maintenant comment les gérer et comment faire en sorte qu'elles repartent. Mais la peur que ça revienne, bien sûr, est toujours là. Donc, c'est un travail de tous les jours. De justement réussir à faire en sorte... de reprendre les règles de cette peur et de gérer ces émotions qui vont avec. Donc ça, c'est un deuxième point sur lequel il faut également travailler lorsqu'on est malade. c'est travailler sur ses émotions et sur son ressenti. Alors moi, ce qu'il m'avait dit à l'époque, c'est que, c'est vrai qu'il m'avait dit, trouve-toi quelque chose à faire, trouve-toi une passion, quelque chose qui t'occupe l'esprit au lieu de penser à ta douleur. Et c'est vrai que j'en étais arrivée à un point où, en fait, j'étais tout le temps penchée sur cette douleur qu'il a, qui ne s'arrête jamais. Et donc forcément, quand on pense douleur, douleur, ça accroît en fait ces douleurs. Parce que notre mental ne pense qu'à ça. Il est omnibulé par le fait que, j'arrêtais pas de me dire que j'ai mal, et ça ne s'arrêtait pas. Et donc je pensais à chaque fragment, chaque douleur en fait, tout ce qui se passait en moi. Et donc forcément, quand on est tout le temps omnibulé par ça, ça ne peut pas aller. Et donc quand Cédric m'a dit, tiens, trouve-toi quelque chose à faire pour occuper ton esprit. À l'époque, c'était revenir à mes premiers amours d'enfance, à ma photographie, dessiner, écrire. C'est vraiment ce que je fais depuis toute petite. J'ai commencé tout doucement avec ma réécriture. Je me suis achetée un appareil photo. Là, j'ai retrouvé l'envie de sortir. Je n'étais jamais très loin de chez moi. Mais ça m'a permis de recommencer à sortir. J'ai commencé aussi à me lancer dans la fabrication de bijoux. Les heures sol, j'ai adoré travailler le métal, travailler avec des pierres naturelles. Et le fait de travailler, ça a occupé mon esprit, qui a fait que je pensais de moins en moins à la douleur. Et petit à petit, ça s'est fait quand même sur au moins une année, mais petit à petit, mon mental était occupé à faire autre chose. À l'époque, j'ai aussi créé une association à la maison. on accueillait des animaux qui étaient âgés on allait chercher soit la fourrière qui allait être euthanasiée ou soit dans les SPA les refuges, qui nous appelaient pour dire voilà on a un animal qui a encore quelques mois de vie, qui a été abandonné, est-ce que vous voulez le prendre, et donc nous on le prenait notre but était donc de le faire adopter et d'en prendre soin bien sûr donc à l'époque on avait vraiment le maximum qu'on a le droit d'avoir dans une maison Et on a réussi à en faire adopter quelques-uns, heureusement, mais pas beaucoup. Et donc forcément, c'est des frais énormes, donc on s'est beaucoup endetté à l'époque, mais ça a été vraiment quelque chose de... Autant ça a été merveilleux, autant ça a été difficile, parce que forcément, au niveau âgé, à un moment donné, on peut faire tout ce qu'on veut ensemble, à un moment donné, on ne peut pas les laisser souffrir non plus. Donc ça a été assez difficile. Donc ça, je ne l'ai fait que trois années, parce qu'à un moment, j'en pouvais plus, c'était trop dur de terminer chez le vétérinaire. quand j'étais vraiment en fin de vie. Mais bon, donc toutes ces choses-là, en fait, m'ont permis d'occuper mon esprit. Et petit à petit, en fait, je ne pensais plus à cette douleur. Et ça m'a énormément aidée, justement, avec le temps, à diminuer la douleur, parce que j'étais trop bien occupée. Alors après, c'est vrai que je n'étais pas très contente, parce que du coup, je passais beaucoup trop de temps. J'étais à fond dedans pour m'occuper, parce qu'en fait, dès que j'arrêtais, dès que c'était l'heure d'aller me coucher, j'étais... Ça a recommencé, j'étais de nouveau à fond dans les douleurs parce que la nuit je dormais très peu parce que j'avais trop mal. Et donc c'était toujours la hantille du soir de devoir arrêter. Donc, mais ça m'a pris du temps et sur une année, j'ai quand même vu une progression qui s'est faite petit à petit, tout en sachant que j'ai également modifié mon mode de vie. Donc en fait, c'est plein plein de petits détails qui ont fait que petit à petit, en fait, j'ai commencé à aller mieux. Voilà, donc il y avait ça, le fait d'être au cupide, ça m'a beaucoup aidée. Ensuite, sur la gestion de la douleur, quand vraiment j'avais des gros pics de douleur, c'était la respiration. En fait, le fait de bien respirer et de souffler dans des gros moments de douleur, ça permet de diminuer la douleur. Donc ça, c'est vraiment le fait de juste respirer normalement, mais être dans la conscience de sa respiration. de ce qui se passe en soi, de sentir l'air entrer, de sentir l'air ressortir par l'expiration, avec vraiment une expiration forte, lente. Et d'ailleurs, on peut l'apprendre aussi lorsqu'on accouche, parce que ça, ça faisait partie des respirations que j'ai apprises, donc on va parler après pour préparer l'accouchement. Et voilà, donc ça, ça m'a beaucoup aidée aussi à gérer ces gros piles de douleurs. Et ensuite, donc, le mode de vie. Donc j'étais thérapeute, donc j'avais déjà un style de mode de vie qui était quand même déjà branché alimentation bio, pas boire de café, boire davantage. titane, thé. Alors ça aussi, je pense que ça a beaucoup joué sur mes problèmes, parce que je rebois du thé, le lendemain, mes douleurs recommencent à venir, certaines de mes douleurs, et donc je ne pense pas qu'il faille réellement boire du thé tout le temps, comme on en parle beaucoup dans toutes les formations que j'allais, il fallait tout le temps boire du thé, en fait non. Je pense que c'est mieux de boire davantage d'eau, parce que l'eau, c'est... qu'il y a de plus naturel, de plus neutre. Ça ne va pas relancer notre système digestif, ça ne risque pas d'aller des substances qui peuvent justement irriter nos intestins, notre vessie, notre estomac, tout ça. C'est vraiment ce qu'il y a de meilleur. Et puis après, notre corps est fait quand même de 70 à 80% d'eau. Donc c'est vraiment très très important de boire beaucoup d'eau. Mais moi, c'est vrai que j'ai beaucoup de mal à aller de l'eau. Donc j'ai tendance toujours à mettre un peu de jus de fouine dedans. ou à boire une tisane, ou à faire un matcha, mais j'essaie quand même, je me force quand même à boire davantage d'eau. C'est pour ça qu'en fait, dans mon bullet planaire, j'ai ajouté en fait, dans l'agenda journalier, des petites gouttes d'eau, et je les barre en fait au fur et à mesure que je bois de l'eau, parce qu'au moins ça me motive à boire davantage d'eau, et aussi, quand j'avais fait ma formation à Reiki, mon professeur disait toujours en fait... c'est un réquis, je sais plus si c'était lui ou si c'était... bon lui je sais qu'il boit exclusivement l'eau je crois qu'à le dernier stage que j'ai fait avec lui, il disait qu'il buvait 7 litres d'eau dans la journée je sais pas comment il fait, mais c'est vrai que c'est super d'avoir autant d'eau mais bon voilà donc un de mes profs m'avait dit en fait après être allé aux toilettes il faudrait boire un verre d'eau à chaque fois comme ça moi on est sûr d'avoir bu au moins autant d'eau que ce qu'on est Allez, venez aux toilettes. Ça, c'est aussi un très bon conseil. J'essaie d'appliquer. Ce n'est pas toujours évident, mais j'essaie de l'appliquer. Voilà, donc boire beaucoup d'eau. Davantage que ce qu'on boit habituellement. Supprimer tout ce qui est soda. Manger davantage bio et, si possible, local. Parce que forcément, si on mange beaucoup de produits qui sont déjà fabriqués, on sait très bien qu'ils ajoutent beaucoup de choses dedans qui sont néfastes pour la santé. Mais ça c'est encore toute une partie qui est très importante dont j'en parle justement dans mon programme du Visual Board et du Let's Planner. Parce que c'est un point qui est très important. Manger davantage d'aigus et de fruits, ça aussi c'est très important. J'en parle aussi souvent sur mon Instagram, je partage souvent ce que je mange, ce que je bois pour inspirer, trouver des idées. Et après c'est aussi ma... Prendre du temps pour soi, pour vraiment se poser, pour profiter en fait de la vie. Profiter de moments où on se pose, on n'est pas en train de réfléchir à tout ce qu'on doit faire, travailler. Et pour soi, parce que même si on est en famille, même si on passe de beaux moments en famille ou avec ses enfants, ce n'est pas ça qui va vraiment réussir à nous apaiser, à calmer notre mental. On a vraiment besoin de moments pour se poser, se régénérer, aller dans la nature. Se ressourcer en énergie, en bonne vibration, et ça il n'y a que la nature qui peut l'apporter. Pratiquer après une activité physique que l'on aime. Pour moi c'est le yoga, parce que quand j'ai été malade justement, le fait d'avoir été malade a fait le fait d'être encore plus sédentaire, parce que moi j'étais une grande sportive avant, pas une super sportive, mais j'étais une bonne sportive quand même. Je faisais beaucoup de choses. Et le fait d'un coup d'être tombée malade, je suis restée chez moi. j'avais tellement mal que je ne pouvais quasiment pas bouger. Donc forcément, quand on est sédentaire, on ne bouge presque pas, quand on est recroquillé dans son lit ou sur le canapé, forcément, il y a des douleurs musculaires qui s'installent, des douleurs au niveau des articulations. Et c'est vrai que moi, ce qui m'a beaucoup aidée, c'est de m'être remise au yoga. Alors au début, je pratiquais, et forcément, j'avais encore plus mal qu'avant. Donc j'ai abandonné. Et un jour, mon médecin m'a dit... arrêter d'abandonner il faut continuer persévérer même si vous allez mal continuer donc j'ai tenté plusieurs fois chaque fois j'ai abandonné parce que c'est une douleur à tête revivre et un jour ben j'ai trouvé la motivation je suis dit maintenant je vais arrêter de pleurnicher et je vais me battre pour aller mieux parce que j'avais quoi j'avais 33 ans à l'époque je suis pas possible à 33 ans déjà de vouloir mourir de pleurer toute la journée de plus vivre de plus rien faire Et donc, je me suis boostée, je me suis dit tant pis si j'ai mal, et j'ai fait mon yoga. Et alors, je me suis créée en fait une routine. Ce sont toujours les mêmes mouvements que je faisais, mais vraiment des mouvements qui étaient axés sur la colonne vertébrale. Et donc, à un moment donné... Je me suis dit, maintenant, il faut se battre. Et il faut sortir de cette dépression, de ces douleurs. Et pour ça, ça commence pour moi par la méditation. Ça me permet de me calmer le mental. Des sorties dans la nature pour justement me rebooster, me recharger en énergie. Trouver des choses qui vont me motiver dans la journée à faire autre chose qu'à me plaindre. Le yoga, pratiquer tous les jours, tous les matins, tous les soirs, j'ai pratiqué. Au départ, c'est cinq minutes. Puis au fur et à mesure, j'allais de plus en plus longtemps. Et... Au bout de trois semaines, j'ai le miracle, au bout de trois semaines, je n'ai plus aucune douleur. Et ce n'est plus jamais revenu. Maintenant, au fil des années, effectivement, si maintenant pendant deux semaines, je ne fais plus de yoga, j'ai mes douleurs qui reviennent forcément parce que l'arthrose, en fait, ne part pas. Une fois que ça s'installe, ça reste. Mais comment faire pour pas que ça se crispe et que ça donne des douleurs qui restent tout le temps ? Ben, c'est le fait de bouger. Et donc, lorsqu'on bouge, en fait, on crée au niveau des articulations, il y a du liquide synovial. qui permet justement la fluidité des mouvements. Mais avec l'arthrose, ce liquide se raréfie et les articulations commencent à se toucher. Et c'est lorsqu'elles se touchent que ça crée des micro-particules qui se détachent. C'est ça qui crée les inflammations et qui crée la douleur. Donc le but c'est de bouger. Donc il faut bouger un maximum. Et le yoga, on bouge en douceur et on étire. Et justement, c'est ce qui va permettre de recréer du liquide synovial. Donc... force, forcément, ça a amélioré mes articulations. J'avais également une hernie dans le dos. L'hernie a disparu. Grâce, je suis certaine, à la pratique du yoga. Et voilà, donc, ça a été toutes ces petites choses-là ont fait qu'aujourd'hui, je suis sortie de cette maladie. Alors, je ne dis pas qu'on va sortir, qu'on peut sortir de toutes les maladies, bien sûr que non. Des maladies aussi génétiques et des choses... où on pourra malheureusement rien faire, comme les cancers. Mais le fait de mettre toutes ces petites routines, de suivre aussi l'évolution au fil des jours, de tous ces petits signes qui nous disent qu'on risque d'avoir cette maladie-là. Putain ! Le fait de faire tout ça, ça permet d'améliorer sa qualité de vie et de prévenir aussi. C'est ça qui est important. C'est pour ça que moi, j'écris aussi des livres où j'essaie... J'essaie de transmettre ça dans mes livres, de partager tout ce que j'ai découvert par toutes ces expérimentations en tant que thérapeute, dans les formations que j'ai suivies, dans les formations que j'ai données, dans mes expériences de vie, dans la maladie que j'ai vécue. Parce que tout ça, c'est important. Et j'avais vraiment envie de partager ça par le biais de cette vidéo, de mes livres et de mes programmes en ligne où on pousse bien sûr plus loin que sur ma chaîne YouTube. Voilà. donc j'espère que tout ce que je t'ai partagé là va pouvoir t'aider si tu passes malheureusement par un moment comme ça très difficile sache que t'es pas seule on est beaucoup à passer par là essaye de mettre en pratique tout ce que j'ai pu te dire dans cette vidéo et voilà n'hésite pas à me laisser des commentaires si t'as envie qu'on échange qu'on discute bah écoute Je te souhaite de passer une très belle journée, on se retrouve bientôt pour de nouvelles vidéos.

Chapters

  • Introduction à la maladie chronique et ses impacts

    00:00

  • Mon expérience personnelle de la maladie sur deux ans

    00:56

  • Les signes avant-coureurs et la prise de conscience

    02:40

  • Conseils pour gérer la douleur et améliorer son bien-être

    04:29

  • L'importance de trouver des passions et de bouger

    10:06

  • Conclusion et partage de mon parcours pour aider les autres

    20:08

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