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Réveille ta nature

46. Fous-toi la paix ! 6 bienfaits de ta zone de confort

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39min |11/09/2024|

28

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Description

🎙️ Et si on arrêtait de se mettre la pression pour sortir en permanence de sa zone de confort ?
Dans cet épisode, on déconstruit le mythe du dépassement de soi à tout prix et on explore les bienfaits souvent ignorés de rester dans un cadre familier. Moins de stress, plus de stabilité émotionnelle, et une véritable reconnexion à soi-même.

Je te partage ici 6 avantages à rester dans sa zone de confort et te propose des pistes d'exploration pour avancer avec plus de douceur et de respect de soi même.
Découvre pourquoi ta zone de confort n'est pas synonyme de stagnation, mais peut être un espace d'évolution, de bien-être et de renforcement personnel. Oublie la pression sociale et fais la paix avec toi-même, tout en te concentrant sur ce qui compte vraiment, c'est ça le plus important !

👉 Dans cet épisode, je fais un pont avec l'épisode 40 que je t'invite à écouter si ça n'est pas déjà fait !
Tu peux aussi prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥

Cet épisode est une invitation à te foutre la paix, à cultiver ce qui te nourrit déjà et à te recentrer sur tes vrais besoins. 💪


Belle écoute ✨


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast pétillant et authentique Réveille ta nature. Telle une petite fée clochette, j'ai à cœur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexions au cœur. Je suis Aurore, praticienne bien-être et coach. J'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur cœur, dans leur corps et dans leur esprit. Je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités. Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, c'est une thématique un peu spéciale. Je voulais aller un petit peu à contre-courant parce que, tout simplement, on voit beaucoup, là, avec la rentrée, il y a beaucoup de nouvelles habitudes qui se créent et c'est génial. Moi, je trouve ça... Je trouve que c'est hyper intéressant d'être dans une dynamique de mouvement et d'instaurer de nouvelles choses au moment de la rentrée. Mais il peut y avoir aussi un peu de sentiments de culpabilité. ou un peu ce syndrome un peu de performance où il faut faire toujours plus, où il faut faire toujours mieux. Et c'est surtout ça que je voulais aborder aujourd'hui. Donc je voulais te partager dans un premier temps 6 raisons de rester dans sa zone de confort. Et après je vais te partager aussi des conseils pour te mettre en mouvement, pour qu'il y ait des choses quand même qui se mettent en place. Mais dans le respect de qui tu es, dans le respect de ton énergie et sans te comparer à ce que tu peux voir à l'extérieur. On sait tous que ce n'est pas forcément évident. Parce que, comme je te le partageais, on peut avoir tendance à se comparer à son entourage, à ce qu'on peut voir sur les réseaux. Donc là, en fait, c'est pour moi hyper essentiel de faire un focus sur soi et d'arrêter de voir forcément à l'extérieur. Je voulais apporter aussi une nuance par rapport à cette fameuse zone de confort. Pour moi, elle est parfois nécessaire. Encore une fois, le but, ce n'est pas d'être dans... Dans du noir ou blanc, il faut apporter de la nuance dans tout ça. Mais en fait, on peut sortir de sa zone de confort sans pour autant avoir de super grandes ambitions ou de tout changer du jour au lendemain. Moi, je suis plus dans une dynamique en douceur à faire un plan d'action, mettre des choses en place, à bouger, à se challenger. Mais sur un projet de vie, par exemple, et sur un domaine de vie, et pas être dans la performance du toujours plus et être forcément dans la... dans la souffrance ou dans la contraction, parce que tout ça, on va le voir, mais ça coupe énormément du plaisir, ça coupe énormément de la joie, de la gratitude de ce qu'on a au quotidien, et je ne trouve pas forcément ça juste. Je pense que c'est hyper important de se reconditionner là-dessus. Moi, j'ai vraiment cette image-là de moi, enfant, ou moi, ado, qui devait faire ses devoirs, qui devait galérer. Je sais qu'à l'école, j'étais dans... Dans la moyenne, mais je sais que je devais travailler énormément, que je devais bûcher beaucoup parce que j'avais beaucoup de difficultés à me concentrer. Surtout arrivé au lycée où c'était très compliqué. En plus, j'étais dans un lycée privé où il y avait énormément de pression scolaire. Et c'est vrai que pour moi, la réussite, elle a été vraiment associée à la labeur, au fait de voilà, il faut en chier, il faut galérer pour réussir vraiment. Et bon, c'est des choses que j'ai déconstruites et j'en ai bien conscience. Mais c'est des voilà. il peut y avoir des mécanismes qui restent quand même ancrés malgré tout et c'est pour ça que ça me paraissait aussi important de faire ce podcast-là, de faire cet épisode-là parce que je pense que je suis loin d'être la seule. Je pense qu'il y a énormément d'enfants qui ont souffert et qui souffrent encore d'ailleurs de cette dynamique-là de performance et de mettre finalement l'intelligence dans une case. Finalement, il n'y a que l'intelligence cartésienne qui est mise en valeur. Le fait d'être bon en chimie, le fait d'être bon en maths, Le fait d'être scientifique, c'était beaucoup plus valorisé à mon époque que par exemple de faire du littéraire, alors que c'est tout à fait prestigieux aussi, il n'y a pas de moins bien. Et je pense que c'est aussi la même chose, je me suis fait la réflexion par rapport à ma créativité aussi, que j'étais beaucoup moins valorisée quand j'étais dans ma créativité que quand justement je travaillais ou que je faisais une disserte ou que j'étais dans quelque chose de plus cérébral. Pour moi, cet épisode, c'est aussi ça, c'est aussi un bonbon, c'est aussi faire preuve de douceur avec soi-même, c'est d'être dans son énergie féminine et d'être dans une dynamique de douceur et de compassion, de bienveillance envers soi et d'observation. Bienveillance ne veut pas dire bienveillance à tout prix, d'être dans le déni ou quoi, c'est juste d'apporter un petit peu de douceur et d'être moins dans cette dynamique yang, mais un peu qui force, qui est dans l'action, mais sans réfléchir finalement à ce qu'il fait. Et pour moi, ça, c'est une des premières raisons. Et c'est une raison qui est hyper essentielle. C'est de diminuer le stress et l'anxiété. Parce que quand on est dans une dynamique comme ça, où on force quelque chose, où on veut toujours être plus, où on veut se prouver à soi ou aux autres, aux proches, qu'on est bon, qu'on est meilleur que les autres, qu'on est dans une dynamique aussi où on est fort, où on sait braver un peu les tempêtes. On est dans une énergie où on force, et moi j'ai vraiment cette image du guerrier ou de la guerrière d'ailleurs, qui pousse, qui pousse, qui pousse, mais qui va contre finalement les lois du vivant, et ça crée énormément de tensions, ça crée énormément de crispations à l'intérieur, autant au niveau du corps qu'au niveau du mental. Donc c'est vrai que le fait de vouloir absolument d'avoir des objectifs trop gros par exemple, ou d'avoir trop... de se mettre énormément de choses sur le dos, d'avoir énormément de tâches à faire, ça peut passer par plein de choses, ça va forcément générer énormément de stress et d'anxiété, la fameuse aussi charge mentale, bon il y a des choses qu'on peut pas forcément éviter quand on a des choses à gérer au quotidien, mais c'est vrai que ça demande une vigilance constante, des efforts permanents, et ça va forcément générer du stress et de l'anxiété. Donc si en plus... Déjà, dans ce quotidien, il y a énormément de choses et qu'en plus, on va se challenger, on va avoir besoin de... On va avoir besoin, on va se sentir obligé de faire toujours plus, d'être... Je ne sais pas, j'ai l'image du sketch de Gad Elmaleh, avec le blond, avec le mec parfait qui fait tout bien. Forcément, ça va vraiment générer énormément de tensions à l'intérieur. Et pour moi, ça, ce n'est pas forcément OK, parce que c'est logique, en fait, ça va... Avoir énormément d'effets, peut-être pas sur le court terme, mais sur du moyen long terme, c'est là où on va commencer à avoir des tensions, on va avoir des maux. Pour moi, rester dans sa zone de confort aussi et de ne pas trop se challenger ou être trop dans la performance, ça va énormément réduire le stress, l'anxiété. Et ça va aussi forcément avoir des conséquences sur ton espace mental, tes plaisirs aussi dans ce que tu fais au quotidien. Parce que quand... On est dans des moments de vie où, encore une fois, ça peut arriver d'être dans des moments de vie où il y a beaucoup de mouvements, il y a du stress, il y a des changements de vie, donc forcément ça génère du stress. Donc là je te parle plus de stress chronique, d'une sorte de pression sous-jacente qui est tout le temps présente, qui est tout le temps là. Forcément tu te coupes du plaisir, tu te coupes de ce qui est bon, tu te coupes aussi de tes petites victoires du quotidien, de ce qui est beau, de ce qui fait qu'on est dans la présence et qu'on est ici et maintenant. Maintenant, en fait, quand on est dans cette dynamique, toujours de projeter ce qu'il faut faire ou de projeter dans le futur, forcément, ça va générer énormément de stress. Donc voilà, déjà pour moi, le fait de rester dans sa zone de confort, ça va vraiment permettre de réduire le stress et l'anxiété. Encore une fois, rester dans sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire rester figé, rester statique. On peut apporter des nuances et se mettre en mouvement aussi, mais apporter plus de douceur, justement. Du coup, en deuxième point, moi, ce que je voulais te partager aussi, c'était finalement... La prévention un peu des faux défis. Des fois, on se met trop de choses. Moi, j'avais tendance à faire ça souvent, de me faire des to-do listes à rallonge, de mettre énormément de choses et d'être dans une dynamique où il y avait toujours plus encore. Il y avait cette question de toujours plus. Et je me coupais finalement de ce dont j'avais besoin au quotidien et je me coupais surtout de la quantité d'énergie que j'avais à ma disposition. Parce que c'est ça aussi. Il y a cette phrase qui dit qu'on ne peut pas remplir le bol de quelqu'un quand le sien est vide. Et moi, je suis complètement OK avec ça. C'est que souvent, c'est valoriser, de prendre soin des autres, d'être dans une dynamique où on va être là pour l'autre. Mais du coup, on ne respecte pas ses besoins, on ne pose pas ses limites. Et c'est vrai que ça peut générer encore plus de tâches à faire. Tu vois, on va s'engager dans des choses. Ou alors, finalement, on n'avait pas forcément l'espace-temps. Et ça va drainer énormément d'énergie. Et on s'impose des choses. Des fois, on a l'impression que, sous prétexte qu'on va paraître moins bien, sous prétexte qu'on va paraître pas sympa, pas généreux, on va s'investir, on va s'engager dans des projets, dans des choses, en fait, où on n'avait pas forcément l'envie. Tout simplement parce qu'on s'est mis dans cette image de oui, je veux, je suis la personne, alors je parle pour moi, en fonction de mon expérience de vie. Je ne l'ai pas mentionné, mais forcément, je parle en fonction de ce que moi, j'ai pu vivre. Mais je voulais paraître pour la personne qui était sympa, la personne qui était généreuse, la personne qui aimait des autres, parce que j'avais ce besoin-là. On a tous besoin d'être aimé, mais j'avais vraiment ce truc un peu à outrance d'être appréciée. En fait, il fallait que je sois appréciée. Je ne supportais pas que des personnes ne m'apprécient pas. Je pensais qu'en fait, vu que j'étais cool et que j'étais sympa et que machin, que j'allais être appréciée. Mais du coup, ça crée énormément de pression à l'intérieur. Donc là, tu vois, c'est par rapport à mon entourage. J'ai déjà pu vivre ça. Mais il y avait aussi beaucoup ça dans... Je reprends l'exemple de l'école parce que... Même là, si tu fais des formations, si tu es en changement de devis, c'est parlant aussi. Mais il y a ce truc de oui, il faut tenir bon, il faut être bon, il faut être parfait. Le fameux sois parfait je l'avais énormément. Je l'ai encore, mais je sais la différence aujourd'hui. C'est qu'elle est là, cette facette de moi, mais je ne me laisse plus guider par elle. Je sais qu'elle est là et je sais que je me reprends quand je vais trop loin ou quand je passe trop. de temps justement à quelque chose qui n'est pas important. Donc c'est ça aussi la question qu'on peut se poser dans cette dynamique-là, c'est qu'est-ce qui est important ? Est-ce que tu vois, c'est passer du temps en famille ? Est-ce que c'est prendre du temps pour toi ? Il peut y avoir plein de choses, mais c'est vrai que du coup, des fois, on peut se laisser happer, on peut se laisser entre guillemets, aspirer par des choses extérieures qui ne sont pas forcément importantes, mais qu'on fait parce qu'on se dit qu'il faut le faire. Donc c'était surtout ça pour moi le deuxième point, l'avantage aussi. C'est que quand on reste un peu dans cette zone de confort-là, on ne va pas être dans cette dynamique-là où on va vouloir faire plus ou se mettre énormément, tu vois, se mettre la barre hyper haut pour faire des choses, se mettre énormément de pression. Donc, on est vraiment dans cette dynamique de garder de l'énergie, de conserver son énergie et de ne pas se mettre dans des projets finalement qu'on n'avait pas forcément envie ou des projets. qui vont justement drainer trop d'énergie ou qui vont te prendre trop de temps. Donc, pour moi, c'est vraiment aussi une sorte un peu de prévention quand on est dans cette zone de confort-là, de ne pas s'engager dans des choses, finalement, qui ne nous correspondent pas. Aussi, il y a énormément la question de sécurité. D'ailleurs, souvent, c'est ça qu'on met en valeur aussi, qu'on met en avant dans les partages sur les réseaux, c'est qu'il y a cette question de sécurité, finalement. Qu'est-ce qu'on choisit ? Est-ce qu'on choisit la sécurité ou est-ce qu'on choisit... Le fait de suivre ses élans de vie, de suivre ses rêves. Et là aussi, tu vois, pour moi, ce n'est pas opposé. Ce n'est pas parce que tu as un fort besoin de sécurité que tu vas devoir absolument... Que tu restes le cul dans ton canapé et que tu ne fous rien, en fait. Il y a encore une fois des nuances à poser. Parce que selon moi, en fait, tu peux avoir un besoin de sécurité, mais tu peux aussi te mettre en mouvement. Donc te mettre en mouvement, mais à ton rythme, encore une fois. Pas dans cette dynamique de forcer, de comparer à des personnes. que tu peux suivre peut-être sur les réseaux, ou des personnes de ton entourage, de ta famille, selon moi, ce sentiment de sécurité, il va travailler l'ancrage, il va travailler la stabilité, aussi au niveau des émotions, en fait. Pour moi, la zone de confort, en fait, elle va permettre une forme d'ancrage, une forme de sécurité. Et j'avais parlé dans l'épisode 40 du fait de traverser ses peurs, et j'avais parlé aussi de la question de la sécurité intérieure, pour moi, qui ne me paraissait pas forcément juste, et je voulais apporter une nuance ici, parce que... Il y a des éléments extérieurs forcément qui vont jouer dans ce sentiment de sécurité intérieure. Mais au plus on va instaurer des choses au quotidien, au plus on va prendre de l'espace pour finalement ancrer ce qui est déjà là, et c'est le point suivant, mais c'est en lien avec ce que je te partage là, c'est que pour moi forcément ce sentiment d'ancrage, ce sentiment de sécurité, il va être obligatoire, il va être un socle vraiment pour... pour aller traverser différentes choses, pour peut-être te mettre en mouvement. Donc c'est vrai que c'est aussi un avantage quand on est dans cette zone de confort, c'est qu'on peut travailler sa sécurité, entre guillemets, intérieure. Le fait d'instaurer ses routines, d'instaurer des choses pour être avec soi, pour se connecter à son intériorité, ça va vraiment, pour moi, être un socle, même si ça ne fait pas tout. Comme je te disais, il y a des cycles de vie extérieurs aussi. Mais dans les moments où c'est un peu plus calme, dans les moments où... où on a envie d'instaurer des changements, mais de façon plus douce, ça va permettre d'être plus ancré, de mieux respecter aussi ses limites. Parce que quand on est dans cette forme-là d'être dans sa zone de confort, on va être dans une dynamique de... On respecte ses limites, on va s'écouter. Qu'est-ce qui fonctionne pour moi ? Qu'est-ce qui ne fonctionne pas pour moi ? De quoi j'ai besoin, en fait, finalement, là, maintenant ? C'est vrai qu'au moins, on respecte, on ne dépasse pas ses limites, on est dans une dynamique où on s'écoute. Encore une fois, il y a une nuance à poser parce qu'on peut peut-être tomber dans de la procrastination à long terme, mais bon, ce n'est pas forcément le thème de cet épisode. Mais en tout cas, ce bénéfice-là, cet avantage-là d'être dans une question de sécurité, d'être aussi dans un confort entre guillemets émotionnel, on n'est pas trop balotté parce que des fois, quand on a une sensibilité qui est assez importante... Et quand on se challenge ou quand on a des changements de vie, on peut se sentir balotté, ça peut être assez intense. Donc c'est important aussi dans les phases de creux d'être avec soi, de se foutre la paix, d'être dans une forme de... de bonbons, de doudous, en fait, d'être dans une forme de compassion envers soi, ça permet aussi d'instaurer peut-être des changements par la suite, ou même d'instaurer déjà des graines de changement, même dans, justement, dans la période plus tranquille, mais de façon plus mature, de façon plus intelligente, en fait, il y a vraiment le féminin qui est au service du masculin, tu vois, c'est de passer à l'action dans certaines choses, mais d'être... d'être aussi dans la douceur, d'être dans l'écoute de soi, de ses ressentis, quels sont mes besoins, de quoi, qu'est-ce qui me paraît important pour moi en ce moment. Donc ça va vraiment apporter un sentiment de compréhension de ses émotions peut-être, ou d'accueil de ses émotions du moins, parce que là c'est pas forcément cérébral, c'est plus d'accueil de ce qui est, et ça va permettre vraiment un ancrage. Donc ça c'est un point qui était important que je voulais te partager, et dans cet ancrage, c'est aussi d'être dans... dans l'attention de ce qui est déjà là en fait. Dans cet espace-là où on n'est pas dans la performance et où on est dans une énergie un peu plus slow, on va peut-être plus intégrer, plus infuser. Moi j'utilise souvent ce terme-là d'infuser, d'infusion, parce que je trouve que c'est très juste. Tu vois, quand tu vas mettre un thé ou quand tu vas mettre une infusion, un sachet de thé dans de l'eau, Au début, c'est un peu clair et au plus tu vas laisser infuser, au plus ça va être intense et au plus ça va être concentré. Et là, pour moi, c'est ça aussi, c'est que ça va permettre d'ancrer finalement ce que tu as traversé ou ce que tu as envie. Ça va peut-être permettre aussi de gagner en clarté sur ce que tu veux aussi par la suite et de respecter les lois du vivant. Donc quand je parle des lois du vivant, ça peut être de respecter les cycles, tu vois, on est contraction, expansion. Il y a des fois peut-être un moment où c'est important, c'est essentiel pour son équilibre encore une fois émotionnel, d'être dans une période plus cool et de se foutre la paix en fait, et d'arrêter de vouloir absolument se challenger et d'être dans le faire. Parce qu'il y a cette question encore une fois d'être dans le faire, d'être en mouvement. Parce que là tu vois je te parlais de performance, je te parlais d'être dans une sorte de zone de confort, mais ça peut être... aussi d'être dans une forme d'agitation, d'avoir besoin de toujours faire quelque chose, d'être toujours en train de bouger, d'être toujours en train d'être dans tous les sens. En fait, là, c'est vraiment pour moi un manque d'ancrage. Et c'est vrai que le fait de rester dans cette zone-là de confort, des choses qu'on connaît, ça va permettre d'ancrer, en tout cas, nos talents, nos compétences, ce qu'on a pu traverser, nos expériences de vie. Ça va permettre aussi de respecter les cycles. Encore une fois, ce que je partageais maintenant, de laisser... Aussi un temps de gestation, ça c'est pareil, ça fait partie du cycle de laisser un temps de gestation pour justement faire naître d'autres choses après. Et je trouve que quand on est dans cette dynamique-là, on n'est plus dans une course infernale à l'accomplissement, tu vois, c'est ça aussi, qu'on peut voir aussi sur les réseaux, et moi j'ai énormément de mal avec ça, avec ce truc d'être la meilleure version de soi-même et machin et truc, ou d'accepter sa lumière et d'être dans sa lumière. Alors oui, il faut être dans sa lumière, c'est bien d'être dans sa lumière. C'est même pas ifo, en fait, c'est bien d'être dans sa lumière. Mais pour être dans sa lumière, il faut aussi accepter, il faut aussi voir ses parts d'ombre. Et si on va pas voir ça, bah en fait, c'est comme le yin et yang, en fait, ça ne marche pas, parce que c'est la même pièce, c'est juste que c'est la phase opposée. Donc, et on rentre dans une course, finalement. Tu vois, finalement, cette quête-là de bien-être, d'être toujours dans le bien-être, d'être dans une dynamique, finalement, où... Pareil, on est dans le faire en fait. Ah oui, il faut faire du yoga, il faut faire ci, il faut faire ça, il faut remplir son planning. En fait, non. On rentre dans une course, encore une fois, au développement personnel et c'est la même chose en fait. C'est la même chose. C'est aussi de la performance. On est juste dans la performance de bien-être. Et ce n'est pas ça qu'on veut. Là, c'est être dans l'instant présent. Donc, c'est vrai que le fait d'être dans ces zones de confort-là, ça permet d'être, de se reposer sur ce qu'on connaît, d'aussi apprendre à apprécier ce qui est là et de plus... vouloir chercher, encore une fois, cette quête, d'être toujours dans cette quête de mieux, de bien-être et de mieux. Et surtout de faire, en fait, dans des activités, d'être toujours dans cette dynamique où il n'y a pas d'espace. Il n'y a pas d'espace pour respirer, en fait. On est toujours en contraction de oui, il faut faire ci, il faut que j'aille là. Donc, encore une fois, c'est faire de la place et ça permet de... Ces espaces-là, ils permettent d'ancrer plus en profondeur, tu vois, d'être dans tes racines, d'ancrer vraiment tes expériences et d'être aussi plus dans l'instant présent. Donc ça, c'était aussi un point que je voulais explorer ici. Et ça permet du coup d'être plus focus sur l'essentiel, tu vois. On n'est plus dans une quête d'amélioration, d'accomplir de nouveaux défis. On est dans une quête où... On est sur le bien-être immédiat et du coup, on est dans une forme de gratitude, de célébration de ce qu'on a et peut-être aussi de célébrer, tu vois, les petites choses du quotidien. On est plus dans cette dynamique-là quand on est justement dans cet espace où c'est connu, dans cet espace où c'est stable, dans cet espace où on ne se met pas la pression, où on n'est pas tout le temps en train de bouger, tout le temps en train de faire. Et cet espace-là, il va permettre aussi de... De prendre du temps pour soi, justement, de prendre du temps pour aller se promener en nature, de prendre du temps pour passer du temps, justement, avec ses enfants, avec sa famille, avec ses amis, de passer du temps de qualité et de plus être dans cette dynamique de toujours, encore une fois, remplir, mais d'être plus dans une vision qualité que dans une vision quantité. Et c'est vrai que ça permet vraiment de se focaliser sur qu'est-ce qui est important, encore une fois. Qu'est-ce qui est important pour moi ? Est-ce que finalement la richesse n'est pas là aussi dans les plaisirs simples, dans le fait de passer un quotidien serein, d'être bien avec soi, d'être en sérénité avec soi, et de ne plus être dans cette quête finalement, encore une fois, de gagner 10 000 cas par mois, de vivre à Bali sur une île paradisiaque, c'est cool. Après peut-être que si c'est ton projet c'est bien, tant mieux, et si c'est ok pour toi c'est bien. Mais en fait, là, ce que je veux mettre en lumière, c'est de ne pas être dans cette comparaison de ce qu'on peut voir, en fait, et de ne pas s'approprier les rêves des autres. Parce que des fois, ça peut être ça aussi. On peut avoir l'impression, entre guillemets, d'être pas assez, d'être nul, parce qu'on va avoir des personnes qui n'ont pas les mêmes visions de vie, les mêmes envies que soi. Mais en fait, c'est complètement juste, tu vois, ce truc de mission de vie, moi, j'utilise pas forcément ce mot-là, parce que je suis pas à l'aise, pour moi, on n'a pas qu'une mission de vie, et pour moi, la mission de vie, c'est comme si on devait accomplir de grandes choses, alors qu'on peut accomplir des choses au quotidien, on peut, tu vois, tu peux t'investir dans la, je sais pas, dans ta mairie, dans une association, et ça peut enclencher dans un monde de changement, en fait, sur cette petite échelle-là, sur l'échelle de la ville, c'est déjà énorme au niveau du collectif. Donc ça sert à rien, tu vois, de... d'être dans cette... Enfin, c'est pas que ça sert à rien, tu vois, c'est pas le bon mot, mais c'est important, encore une fois, d'avoir ce recul pour observer, finalement, qu'est-ce que je veux, qu'est-ce qui est important, en fait. Et il y a aussi, du coup, le dernier point, pour moi, qui me paraît essentiel, c'est, justement, que ça va renforcer les liens avec soi et les liens avec les autres. Quand t'es dans cet espace où t'es bien avec toi, où t'es dans ta zone de confort, où t'es pas dans cet espace, en fait, où tu te challenges trop, où t'es pas dans le faire, où tu performes, Ça ouvre énormément de portes, finalement, de connexion avec soi, de connexion avec les autres. Je te parlais d'être plus dans la qualité que dans la quantité. C'est de, encore une fois, qu'est-ce qui est important pour toi ? Est-ce que peut-être que ta vie familiale, elle est là, mais en fait, vous ne prenez pas forcément de temps qualité ensemble parce que vous n'avez pas le temps ? Peut-être que, justement, ça permet aussi d'être plus dans des relations plus profondes, plus authentiques. On n'est plus hyper sollicité par des choses à l'extérieur. Par exemple, si pour toi, c'est le pilier famille qui est hyper important, peut-être que c'est là où il faut mettre ton énergie pour que la communication soit là, pour être dans des moments qualitatifs comme ça. Et peut-être que ça passe par faire des choix et prendre des décisions, de ne pas accepter trop de choses, d'arriver, comme je le disais précédemment, à poser ses limites et à identifier vraiment ce qui est important. Donc ça permet de créer des liens qui sont plus qualitatifs avec les autres, selon moi. Ça permet aussi d'être dans un renforcement, pour moi, de l'estime de soi. Tout simplement parce qu'on est plus, en fait, dans quelque chose d'authentique et de, entre guillemets, simple, de ce dont on a besoin, en fait. On accepte, finalement, qui on est, dans ses parts d'ombre et dans ses parts de lumière, et on va, en fait, être dans un espace plus neutre et de... où il y aura moins de jugement, en fait. Tout simplement parce que, quand on est dans cet espace-là, on sait ce qui est juste pour nous. On sait, on a pris le recul nécessaire, on sait qu'on n'a pas forcément, peut-être, envie d'être président de la République, et c'est OK, en fait. On est qui on est, on a nos envies, on a nos aspirations. C'est pas pour autant que, quand on reste dans cette zone-là, où c'est un peu plus... où on ne va pas explorer de grandes, grandes choses, qu'on reste dans l'inertie, et ça, on va en parler après. Mais on va sortir finalement de cette image d'être entre guillemets la meilleure version de soi-même ou que sais-je, ou d'être, tu vois, je sais pas, la personne qui va faire, comme je disais, 10 cas par mois, ou la personne qui va avoir une famille parfaite, avoir un quotidien parfait, qui va faire ses morning routines le matin à 5h. Enfin, et encore, si ton truc, c'est OK, tu vois, mais c'est juste sortir de cette comparaison qui est pas forcément bonne et qui va... générer encore une fois un esprit de un peu de compétition de comparaison et ça permet vraiment quand on est dans cet espace là de prendre un temps de recul et de se concentrer sur autre chose en fait et d'apprécier le chemin qu'on emprunte d'apprécier ce dont on a envie d'apprécier ce qui nous fait du bien en fait et moi j'adore passer par exemple un dimanche après m'a fait du coloriage à me faire des petites crêpe c'est mon petit plaisir je vais pas me culpabiliser de ça parce qu'il y en a qui vont faire un marathon de 30 km le matin en fait bah moi c'est pas mon truc c'est pas mon truc c'est pas grave en fait c'est ok et ça permet vraiment aussi pour selon moi de consolider la confiance finalement dans ce qu'on sait faire dans ce qu'on aime dans nos valeurs dans nos talents et sans vouloir encore une fois se prouver ou prouver à autrui que on est comme si on est comme ça et de porter un masque qui n'est pas à soi, en fait. Ce n'est pas à soi d'être dans une dynamique où on veut absolument tout le temps faire ou performer ou avoir de grandes ambitions. Alors peut-être que c'est ton truc et c'est OK, mais c'est vrai que moi, je te partage ma vision des choses, là. Parce que j'ai pu beaucoup être dans cet espace-là de comparaison et de moi, finalement, qu'est-ce que je veux ? Et est-ce que c'est grave, tu vois, si... Je n'ai pas des ambitions de ouf. J'en ai des ambitions, mais je n'ai pas... En fait, j'avais une image des personnes ambitieuses comme des personnes, tu vois, qui vivent à Dubaï et qui ont, je ne sais pas, qui font, ouais, je ne sais pas, 50 000 euros par mois de chiffres. Enfin bref, c'était complètement hors de ma réalité. Donc c'est déjà de revenir à ici et maintenant. Qu'est-ce que je veux ? Qu'est-ce qui est important pour moi ? Et en fait, ça va débloquer des choses et ça va permettre aussi de se mettre en mouvement. Et d'ailleurs, quand je te parle de mouvement, là, je vais te partager... des conseils justement pour avancer, parce que là je t'ai partagé ma façon de voir les avantages qu'il y a à rester dans cette dynamique un peu de zone de confort et à ne pas trop se bousculer, mais c'est pas parce qu'on est dans cette dynamique là qu'on va rester complètement figé et qu'on va être un peu en mode grosse larve devant son canapé à manger des chips et à rien faire, c'est pas du tout ça, c'est juste que moi je suis dans une approche plus douce, je pense que c'est hyper important de de, encore une fois, consolider ses racines, d'être dans l'écoute de soi, d'être dans son écoute de la part de soi qui a besoin d'être rassurée, et de poser des actions pour avancer. Donc comment, moi, je fais concrètement pour me mettre en mouvement, ne pas trop me challenger, mais qui ait quand même une dynamique qui me connecte à ma vision, qui me connecte à ce qui est important pour moi. Parce que pour moi, rester dans sa zone de confort, ça peut être OK du moment que ça ne nous pénalise pas, que ça ne nous draine pas et qu'on n'est pas dans un système un peu de je me contente d'eux, en fait. Ou oui, de se trouver des excuses, tu vois, parce qu'il y a des personnes aussi qui peuvent se dire ah bah oui, non, mais je suis à l'écoute de mon énergie, je fais attention à moi, mais du coup, elles ne mettent rien en place. Alors là, tu vois, pour moi, il y a un déséquilibre. Il y a un déséquilibre quand on est trop dans le faire, quand on est trop dans la performance et qu'on veut aller trop, trop, trop. Mais il y a aussi un déséquilibre dans l'autre sens, où on est dans une forme de léthargie, où on ne met pas de choses en place. Donc là, moi, je vais te partager ce que je fais et mes conseils pour avancer. Pour moi, la première chose, ça va être de se créer de l'espace, du temps pour soi. En fait, le fait de prévoir des temps d'imprévu dans son quotidien, ça va vraiment permettre d'observer où part notre temps, d'observer notre énergie, à quel moment j'ai plus d'énergie, à quel moment je suis moins en énergie, et de ne pas faire des choses ou de ne pas être dans des choses productives au moment où je n'ai pas beaucoup d'énergie parce que ça va me drainer énormément. Donc ça, c'est une phase d'observation, encore une fois. de ses fonctionnements, de son énergie, de qui on est, et de l'énergie qu'on a à disposition. Cette énergie, elle va fluctuer en fonction peut-être de la période du mois, en fonction de ce qui nous traverse en ce moment, de nos challenges. Donc encore une fois, c'est d'être dans une observation de soi, sans jugement, et dans la douceur, en fait, et de ne pas être dans la culpabilité de se dire Ah oui, j'aurais pu faire ci, j'aurais pu faire ça Non, là, en fait, ce temps-là d'observation, pour moi, il fait partie du process, ce temps-là de... D'observer, de se régénérer, il est essentiel pour justement construire des choses après et pour se mettre en mouvement. Donc c'est hyper important de se poser aussi pour décharger, tu vois, dans les moments un peu plus down, dans les moments où il y a pas mal de choses à gérer. Donc c'est important pour moi de ne pas rester avec ça à l'intérieur et de s'autoriser à décharger. Donc le mental, les émotions, tu vois, tous ces corps-là qui peuvent avoir tendance à... À se cristalliser ou à se bloquer quand on n'a pas l'espace, en fait. Quand on n'a pas l'espace, forcément, on ne va pas avoir le temps pour décharger ses émotions, du moins de façon saine. On ne va pas avoir le temps de poser son mood, tu vois, sur son cahier. Enfin, ça, je trouve que c'est hyper riche aussi. Quand il y a des choses qui tournent dans notre tête ou quand il y a de la lourdeur, de poser, en fait, de verbaliser les choses. À soi, ça peut être de soi à soi dans un cahier. Ça peut être avec un proche. Ça peut être avec un thérapeute. Ça peut être plein de choses. Mais pour moi, c'est hyper important de faire une sorte d'état des lieux, de faire une sorte de tri pour savoir finalement comment je me sens, qu'est-ce qui est présent pour moi en ce moment, est-ce qu'il y a des choses qui ont tendance peut-être à me drainer mon énergie, est-ce qu'il y a des choses qui peuvent m'en apporter. Et tous ces questionnements-là, ils ne peuvent pas être faits quand on est dans une course infernale en fait, où on n'a pas le temps, où on ne prend pas le temps surtout. Et c'est pour ça que moi, c'est ce que je propose aux personnes que j'accompagne, c'est de créer vraiment cette loupe-là sur soi, d'aller voir, d'aller explorer. finalement, où part mon énergie, qu'est-ce qui me draine, comment je me sens en fait. De trouver cet espace-là, c'est un espace hyper précieux aujourd'hui, parce qu'on est dans une course infernale tout le temps, il y a toujours énormément de choses à faire, on est hyper sollicité de partout, par le téléphone, par le travail, par, bref, les éléments qui peuvent interagir dans notre quotidien. On a beaucoup plus d'occupation, on a beaucoup plus de choses à gérer qu'avant, ils étaient beaucoup plus dans l'instant présent. Donc ça, les nouvelles technologies, elles jouent aussi un peu contre nous de ce côté-là. C'est pour ça que c'est important de se discipliner et c'est aussi important de savoir quel temps on dispose dans la semaine, en fait. Et ça, pour moi, c'est aussi un pilier qu'on explore dans l'accompagnement Réveille ta nature, c'est de savoir où part le temps, de poser un planning qui est aligné avec soi, qui est aligné avec ce qui est important. avec ce qui est urgent, d'apprendre peut-être à déléguer. Bref, il y a des pistes à explorer là-dessus aussi. C'est de savoir combien de temps tu as dans ta semaine. Est-ce que tu as des temps pour toi ? Est-ce qu'il y a des équilibres ? Est-ce qu'il y a des choses qui te pèsent ? Parce que ça, c'est pareil, ça va bloquer énormément de choses quand tu es drainé comme ça pour avancer sur certains projets, pour poser un plan d'action, pour mettre en place des choses. Tu n'auras pas l'espace temps, tu n'auras pas l'espace mental pour faire ça parce qu'il y a une forme de débordement. donc ça aussi tu vois c'est aussi un conseil que je peux te partager c'est de faire une chose à la fois et de pas disperser ton énergie parce que ça je sais que ça peut être compliqué pour certaines d'entre vous c'est que on commence un truc comme je le disais on est sollicité ah bah je pense à ça donc je vais faire autre chose et il y a une forme un peu de mouvement, d'excès de ouais de mouvement et de d'ancrage qui manque dû à un manque de clarté finalement de ce qui est important de ce qu'on doit faire Donc, ça va générer énormément de dispersion d'énergie et on va finir par ne plus savoir quoi faire. Ça va nous fatiguer, ça va nous drainer. Donc là, c'est pareil, quand tu commences quelque chose, c'est de le faire pleinement jusqu'au bout. Et si tu n'as pas forcément le temps de le reprogrammer à un autre moment, mais ça me paraît vraiment essentiel d'être dans cette dynamique-là parce que sinon, tu ne vas pas aller jusqu'au bout des choses. Et ça va être compliqué d'instaurer des... de mettre de l'énergie dans des choses qui te tiennent à cœur, de mettre de l'énergie dans des projets qui contribuent à ta vision, s'il y a une dispersion et s'il y a un manque d'ancrage. Donc les uns vont avec les autres. Et pour moi, pour se faire, pour arriver dans cette dynamique-là, il faut du passage à l'action. Sinon, ça reste de la procrastination. Si vraiment, tu vois, je te donnais l'image, un peu du gros flanc devant sa télé qui mange ses chips, il va y avoir en fait une sorte de lourdeur, ou une sorte de forme de procrastination, une forme de lassitude, s'il n'y a pas de passage à l'action en fait. Et c'est pour ça, pour moi, c'est hyper important de se poser des objectifs smart, des objectifs qui sont alignés avec qui on est. Donc des objectifs qui vont être mesurables, qui vont être spécifiques, qui vont être ambitieux, qui te motivent, qui vont être réalistes. Donc est-ce que ce sera faisable de le faire ou pas ? Est-ce qu'il va y avoir aussi une deadline au niveau de ce que tu as prévu ? En fait, c'est d'être dans le concret. On a besoin d'être dans le concret. Et de poser des actions quand même. Encore une fois, dans le respect de son énergie, on ne va pas se mettre 15 objectifs par mois. En fait, c'est beaucoup trop. Le but, c'est d'être dans une dynamique où il y a du mouvement, mais on va respecter son énergie. Donc moi, souvent, je conseille de ne pas dépasser 3. Et ça dépend, encore une fois, le projet que tu as. Parce qu'après, on peut mettre des sous-objectifs. Donc ça, c'est des choses qui sont intéressantes à aller explorer. Et pour moi, il y a une dernière chose qui me paraît. essentiel, c'est de célébrer ces victoires au quotidien en fait pour ne pas être dans cette dynamique de oui on n'avance pas, souvent on a tendance à voir, on a l'impression qu'on n'avance pas, on a l'impression qu'on ne met pas assez de choses en place, on peut retourner finalement dans ce syndrome un peu de performance qui n'est pas forcément ok c'est important de noter ces victoires au quotidien, de noter ce qui nous fait du bien de noter ces 3 kiffs par jour comme je le partage dans mes accompagnements, d'être dans cette dynamique d'habitude en fait, de voir... ce qu'on a fait, ce qu'on a réussi, ce qui nous a fait du bien, ce qui nous a fait plaisir dans notre journée, parce que c'est dans cette dynamique-là qu'on va pouvoir changer de lunettes, de mettre ses lunettes roses, comme j'aime l'appeler, et pour voir finalement ce qu'on a réussi à faire et les choses qui nous font du bien au quotidien. On n'a pas besoin de grandes choses en règle générale, on a besoin de revenir à soi, on a besoin de se connecter avec les autres, avec les gens qu'on aime. de se reconnecter aussi peut-être à la gratitude d'avoir un toit, à la gratitude d'avoir à manger, de pouvoir se faire plaisir, d'avoir du temps libre. C'est des choses qui sont très très simples. Donc pour moi déjà se connecter à ça, ça permet d'être dans une autre dynamique et de ne pas être focus sur ce qui manque, de ne pas être dans une dynamique de il me manque quelque chose et de lourdeur, mais plus dans une dynamique élevante de dire en fait j'ai déjà ça et c'est énorme en fait. J'ai déjà ce dont j'ai besoin pour être bien. Et après c'est hyper... Ça donne énormément d'énergie, en fait, je trouve, pour concrétiser d'autres choses, pour mettre en place, pour être encore plus aligné, pour être encore plus épanoui dans sa vie et pour mettre un plan d'action vers ce qui nous fait du bien quand on est dans cette dynamique-là de faire de la place, d'observer finalement qu'on est bien, qu'on a de la gratitude pour certaines choses. Et pour moi, ça, ça change tout parce qu'on est dans une dynamique élevante, on a une posture différente. On n'est plus dans une posture de, tu vois, un peu avachie de, entre guillemets, de victime, de je ne peux pas faire ci, je ne peux pas faire ça, d'être dans cette limitation. On est dans une dynamique plus de queen, en fait, d'être dans une posture qui nous élève, d'être dans notre puissance. Et ça, voilà, c'est ce que je transmets dans mes partages, c'est ce que j'essaie de transmettre au mieux dans mes partages ici, dans mes accompagnements. Et... Et je pense que si tout le monde se permettait ça, si tout le monde mettait en place des habitudes de vie au quotidien pour être dans sa puissance, on ne serait pas du tout dans la situation dans laquelle on serait aujourd'hui. Et il y aurait beaucoup plus d'épanouissement, beaucoup plus de choses élevantes dans notre environnement. Donc si toi en tout cas ça te parle, si toi tu as envie d'aller explorer ça aussi, si tu sens que tu es concerné dans ce que j'ai pu exprimer. que des fois, tu as peut-être l'impression d'être un peu englué dans cette zone de confort, que ça t'apporte du bien, mais tu sens que tu aimerais avoir un peu plus de mouvement, on peut en discuter. Je propose des appels exploration où on explore ensemble tes problématiques actuelles, tes challenges actuels et où on pose des graines de changement ensemble. Donc, si tu es intéressé, je vais te mettre le lien dans la description de cet épisode. J'espère en tout cas que tout ça t'a plu. Je voulais un peu... Déculpabiliser, en fait. Je pense que c'est important d'être doux avec soi, encore une fois, d'être dans une dynamique de soutien envers soi que d'être en mode flagellation, à se dire qu'on n'est pas assez, à se dire qu'on pourrait mieux faire. Et de mettre la lumière, de mettre notre attention sur ce dont on a la main et de mettre aussi en valeur les temps qu'on s'octroie, en fait, pour soi, qui sont des temps précieux, finalement, pour... pour construire des choses qu'on a envie et pour surtout être heureux parce qu'il n'y a pas que la projection, il n'y a pas que le fait d'être dans l'action. Il y a le fait d'être aussi et le fait d'être, ça permet énormément de choses, ça ouvre énormément de portes. Donc j'espère que cet épisode t'aura permis de mettre en lumière certaines choses et d'apporter peut-être un peu plus de souplesse. Si tu entends ce message, c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode. Donc je te remercie. Si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche, je t'invite à le partager. Tu peux également mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

Description

🎙️ Et si on arrêtait de se mettre la pression pour sortir en permanence de sa zone de confort ?
Dans cet épisode, on déconstruit le mythe du dépassement de soi à tout prix et on explore les bienfaits souvent ignorés de rester dans un cadre familier. Moins de stress, plus de stabilité émotionnelle, et une véritable reconnexion à soi-même.

Je te partage ici 6 avantages à rester dans sa zone de confort et te propose des pistes d'exploration pour avancer avec plus de douceur et de respect de soi même.
Découvre pourquoi ta zone de confort n'est pas synonyme de stagnation, mais peut être un espace d'évolution, de bien-être et de renforcement personnel. Oublie la pression sociale et fais la paix avec toi-même, tout en te concentrant sur ce qui compte vraiment, c'est ça le plus important !

👉 Dans cet épisode, je fais un pont avec l'épisode 40 que je t'invite à écouter si ça n'est pas déjà fait !
Tu peux aussi prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥

Cet épisode est une invitation à te foutre la paix, à cultiver ce qui te nourrit déjà et à te recentrer sur tes vrais besoins. 💪


Belle écoute ✨


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast pétillant et authentique Réveille ta nature. Telle une petite fée clochette, j'ai à cœur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexions au cœur. Je suis Aurore, praticienne bien-être et coach. J'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur cœur, dans leur corps et dans leur esprit. Je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités. Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, c'est une thématique un peu spéciale. Je voulais aller un petit peu à contre-courant parce que, tout simplement, on voit beaucoup, là, avec la rentrée, il y a beaucoup de nouvelles habitudes qui se créent et c'est génial. Moi, je trouve ça... Je trouve que c'est hyper intéressant d'être dans une dynamique de mouvement et d'instaurer de nouvelles choses au moment de la rentrée. Mais il peut y avoir aussi un peu de sentiments de culpabilité. ou un peu ce syndrome un peu de performance où il faut faire toujours plus, où il faut faire toujours mieux. Et c'est surtout ça que je voulais aborder aujourd'hui. Donc je voulais te partager dans un premier temps 6 raisons de rester dans sa zone de confort. Et après je vais te partager aussi des conseils pour te mettre en mouvement, pour qu'il y ait des choses quand même qui se mettent en place. Mais dans le respect de qui tu es, dans le respect de ton énergie et sans te comparer à ce que tu peux voir à l'extérieur. On sait tous que ce n'est pas forcément évident. Parce que, comme je te le partageais, on peut avoir tendance à se comparer à son entourage, à ce qu'on peut voir sur les réseaux. Donc là, en fait, c'est pour moi hyper essentiel de faire un focus sur soi et d'arrêter de voir forcément à l'extérieur. Je voulais apporter aussi une nuance par rapport à cette fameuse zone de confort. Pour moi, elle est parfois nécessaire. Encore une fois, le but, ce n'est pas d'être dans... Dans du noir ou blanc, il faut apporter de la nuance dans tout ça. Mais en fait, on peut sortir de sa zone de confort sans pour autant avoir de super grandes ambitions ou de tout changer du jour au lendemain. Moi, je suis plus dans une dynamique en douceur à faire un plan d'action, mettre des choses en place, à bouger, à se challenger. Mais sur un projet de vie, par exemple, et sur un domaine de vie, et pas être dans la performance du toujours plus et être forcément dans la... dans la souffrance ou dans la contraction, parce que tout ça, on va le voir, mais ça coupe énormément du plaisir, ça coupe énormément de la joie, de la gratitude de ce qu'on a au quotidien, et je ne trouve pas forcément ça juste. Je pense que c'est hyper important de se reconditionner là-dessus. Moi, j'ai vraiment cette image-là de moi, enfant, ou moi, ado, qui devait faire ses devoirs, qui devait galérer. Je sais qu'à l'école, j'étais dans... Dans la moyenne, mais je sais que je devais travailler énormément, que je devais bûcher beaucoup parce que j'avais beaucoup de difficultés à me concentrer. Surtout arrivé au lycée où c'était très compliqué. En plus, j'étais dans un lycée privé où il y avait énormément de pression scolaire. Et c'est vrai que pour moi, la réussite, elle a été vraiment associée à la labeur, au fait de voilà, il faut en chier, il faut galérer pour réussir vraiment. Et bon, c'est des choses que j'ai déconstruites et j'en ai bien conscience. Mais c'est des voilà. il peut y avoir des mécanismes qui restent quand même ancrés malgré tout et c'est pour ça que ça me paraissait aussi important de faire ce podcast-là, de faire cet épisode-là parce que je pense que je suis loin d'être la seule. Je pense qu'il y a énormément d'enfants qui ont souffert et qui souffrent encore d'ailleurs de cette dynamique-là de performance et de mettre finalement l'intelligence dans une case. Finalement, il n'y a que l'intelligence cartésienne qui est mise en valeur. Le fait d'être bon en chimie, le fait d'être bon en maths, Le fait d'être scientifique, c'était beaucoup plus valorisé à mon époque que par exemple de faire du littéraire, alors que c'est tout à fait prestigieux aussi, il n'y a pas de moins bien. Et je pense que c'est aussi la même chose, je me suis fait la réflexion par rapport à ma créativité aussi, que j'étais beaucoup moins valorisée quand j'étais dans ma créativité que quand justement je travaillais ou que je faisais une disserte ou que j'étais dans quelque chose de plus cérébral. Pour moi, cet épisode, c'est aussi ça, c'est aussi un bonbon, c'est aussi faire preuve de douceur avec soi-même, c'est d'être dans son énergie féminine et d'être dans une dynamique de douceur et de compassion, de bienveillance envers soi et d'observation. Bienveillance ne veut pas dire bienveillance à tout prix, d'être dans le déni ou quoi, c'est juste d'apporter un petit peu de douceur et d'être moins dans cette dynamique yang, mais un peu qui force, qui est dans l'action, mais sans réfléchir finalement à ce qu'il fait. Et pour moi, ça, c'est une des premières raisons. Et c'est une raison qui est hyper essentielle. C'est de diminuer le stress et l'anxiété. Parce que quand on est dans une dynamique comme ça, où on force quelque chose, où on veut toujours être plus, où on veut se prouver à soi ou aux autres, aux proches, qu'on est bon, qu'on est meilleur que les autres, qu'on est dans une dynamique aussi où on est fort, où on sait braver un peu les tempêtes. On est dans une énergie où on force, et moi j'ai vraiment cette image du guerrier ou de la guerrière d'ailleurs, qui pousse, qui pousse, qui pousse, mais qui va contre finalement les lois du vivant, et ça crée énormément de tensions, ça crée énormément de crispations à l'intérieur, autant au niveau du corps qu'au niveau du mental. Donc c'est vrai que le fait de vouloir absolument d'avoir des objectifs trop gros par exemple, ou d'avoir trop... de se mettre énormément de choses sur le dos, d'avoir énormément de tâches à faire, ça peut passer par plein de choses, ça va forcément générer énormément de stress et d'anxiété, la fameuse aussi charge mentale, bon il y a des choses qu'on peut pas forcément éviter quand on a des choses à gérer au quotidien, mais c'est vrai que ça demande une vigilance constante, des efforts permanents, et ça va forcément générer du stress et de l'anxiété. Donc si en plus... Déjà, dans ce quotidien, il y a énormément de choses et qu'en plus, on va se challenger, on va avoir besoin de... On va avoir besoin, on va se sentir obligé de faire toujours plus, d'être... Je ne sais pas, j'ai l'image du sketch de Gad Elmaleh, avec le blond, avec le mec parfait qui fait tout bien. Forcément, ça va vraiment générer énormément de tensions à l'intérieur. Et pour moi, ça, ce n'est pas forcément OK, parce que c'est logique, en fait, ça va... Avoir énormément d'effets, peut-être pas sur le court terme, mais sur du moyen long terme, c'est là où on va commencer à avoir des tensions, on va avoir des maux. Pour moi, rester dans sa zone de confort aussi et de ne pas trop se challenger ou être trop dans la performance, ça va énormément réduire le stress, l'anxiété. Et ça va aussi forcément avoir des conséquences sur ton espace mental, tes plaisirs aussi dans ce que tu fais au quotidien. Parce que quand... On est dans des moments de vie où, encore une fois, ça peut arriver d'être dans des moments de vie où il y a beaucoup de mouvements, il y a du stress, il y a des changements de vie, donc forcément ça génère du stress. Donc là je te parle plus de stress chronique, d'une sorte de pression sous-jacente qui est tout le temps présente, qui est tout le temps là. Forcément tu te coupes du plaisir, tu te coupes de ce qui est bon, tu te coupes aussi de tes petites victoires du quotidien, de ce qui est beau, de ce qui fait qu'on est dans la présence et qu'on est ici et maintenant. Maintenant, en fait, quand on est dans cette dynamique, toujours de projeter ce qu'il faut faire ou de projeter dans le futur, forcément, ça va générer énormément de stress. Donc voilà, déjà pour moi, le fait de rester dans sa zone de confort, ça va vraiment permettre de réduire le stress et l'anxiété. Encore une fois, rester dans sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire rester figé, rester statique. On peut apporter des nuances et se mettre en mouvement aussi, mais apporter plus de douceur, justement. Du coup, en deuxième point, moi, ce que je voulais te partager aussi, c'était finalement... La prévention un peu des faux défis. Des fois, on se met trop de choses. Moi, j'avais tendance à faire ça souvent, de me faire des to-do listes à rallonge, de mettre énormément de choses et d'être dans une dynamique où il y avait toujours plus encore. Il y avait cette question de toujours plus. Et je me coupais finalement de ce dont j'avais besoin au quotidien et je me coupais surtout de la quantité d'énergie que j'avais à ma disposition. Parce que c'est ça aussi. Il y a cette phrase qui dit qu'on ne peut pas remplir le bol de quelqu'un quand le sien est vide. Et moi, je suis complètement OK avec ça. C'est que souvent, c'est valoriser, de prendre soin des autres, d'être dans une dynamique où on va être là pour l'autre. Mais du coup, on ne respecte pas ses besoins, on ne pose pas ses limites. Et c'est vrai que ça peut générer encore plus de tâches à faire. Tu vois, on va s'engager dans des choses. Ou alors, finalement, on n'avait pas forcément l'espace-temps. Et ça va drainer énormément d'énergie. Et on s'impose des choses. Des fois, on a l'impression que, sous prétexte qu'on va paraître moins bien, sous prétexte qu'on va paraître pas sympa, pas généreux, on va s'investir, on va s'engager dans des projets, dans des choses, en fait, où on n'avait pas forcément l'envie. Tout simplement parce qu'on s'est mis dans cette image de oui, je veux, je suis la personne, alors je parle pour moi, en fonction de mon expérience de vie. Je ne l'ai pas mentionné, mais forcément, je parle en fonction de ce que moi, j'ai pu vivre. Mais je voulais paraître pour la personne qui était sympa, la personne qui était généreuse, la personne qui aimait des autres, parce que j'avais ce besoin-là. On a tous besoin d'être aimé, mais j'avais vraiment ce truc un peu à outrance d'être appréciée. En fait, il fallait que je sois appréciée. Je ne supportais pas que des personnes ne m'apprécient pas. Je pensais qu'en fait, vu que j'étais cool et que j'étais sympa et que machin, que j'allais être appréciée. Mais du coup, ça crée énormément de pression à l'intérieur. Donc là, tu vois, c'est par rapport à mon entourage. J'ai déjà pu vivre ça. Mais il y avait aussi beaucoup ça dans... Je reprends l'exemple de l'école parce que... Même là, si tu fais des formations, si tu es en changement de devis, c'est parlant aussi. Mais il y a ce truc de oui, il faut tenir bon, il faut être bon, il faut être parfait. Le fameux sois parfait je l'avais énormément. Je l'ai encore, mais je sais la différence aujourd'hui. C'est qu'elle est là, cette facette de moi, mais je ne me laisse plus guider par elle. Je sais qu'elle est là et je sais que je me reprends quand je vais trop loin ou quand je passe trop. de temps justement à quelque chose qui n'est pas important. Donc c'est ça aussi la question qu'on peut se poser dans cette dynamique-là, c'est qu'est-ce qui est important ? Est-ce que tu vois, c'est passer du temps en famille ? Est-ce que c'est prendre du temps pour toi ? Il peut y avoir plein de choses, mais c'est vrai que du coup, des fois, on peut se laisser happer, on peut se laisser entre guillemets, aspirer par des choses extérieures qui ne sont pas forcément importantes, mais qu'on fait parce qu'on se dit qu'il faut le faire. Donc c'était surtout ça pour moi le deuxième point, l'avantage aussi. C'est que quand on reste un peu dans cette zone de confort-là, on ne va pas être dans cette dynamique-là où on va vouloir faire plus ou se mettre énormément, tu vois, se mettre la barre hyper haut pour faire des choses, se mettre énormément de pression. Donc, on est vraiment dans cette dynamique de garder de l'énergie, de conserver son énergie et de ne pas se mettre dans des projets finalement qu'on n'avait pas forcément envie ou des projets. qui vont justement drainer trop d'énergie ou qui vont te prendre trop de temps. Donc, pour moi, c'est vraiment aussi une sorte un peu de prévention quand on est dans cette zone de confort-là, de ne pas s'engager dans des choses, finalement, qui ne nous correspondent pas. Aussi, il y a énormément la question de sécurité. D'ailleurs, souvent, c'est ça qu'on met en valeur aussi, qu'on met en avant dans les partages sur les réseaux, c'est qu'il y a cette question de sécurité, finalement. Qu'est-ce qu'on choisit ? Est-ce qu'on choisit la sécurité ou est-ce qu'on choisit... Le fait de suivre ses élans de vie, de suivre ses rêves. Et là aussi, tu vois, pour moi, ce n'est pas opposé. Ce n'est pas parce que tu as un fort besoin de sécurité que tu vas devoir absolument... Que tu restes le cul dans ton canapé et que tu ne fous rien, en fait. Il y a encore une fois des nuances à poser. Parce que selon moi, en fait, tu peux avoir un besoin de sécurité, mais tu peux aussi te mettre en mouvement. Donc te mettre en mouvement, mais à ton rythme, encore une fois. Pas dans cette dynamique de forcer, de comparer à des personnes. que tu peux suivre peut-être sur les réseaux, ou des personnes de ton entourage, de ta famille, selon moi, ce sentiment de sécurité, il va travailler l'ancrage, il va travailler la stabilité, aussi au niveau des émotions, en fait. Pour moi, la zone de confort, en fait, elle va permettre une forme d'ancrage, une forme de sécurité. Et j'avais parlé dans l'épisode 40 du fait de traverser ses peurs, et j'avais parlé aussi de la question de la sécurité intérieure, pour moi, qui ne me paraissait pas forcément juste, et je voulais apporter une nuance ici, parce que... Il y a des éléments extérieurs forcément qui vont jouer dans ce sentiment de sécurité intérieure. Mais au plus on va instaurer des choses au quotidien, au plus on va prendre de l'espace pour finalement ancrer ce qui est déjà là, et c'est le point suivant, mais c'est en lien avec ce que je te partage là, c'est que pour moi forcément ce sentiment d'ancrage, ce sentiment de sécurité, il va être obligatoire, il va être un socle vraiment pour... pour aller traverser différentes choses, pour peut-être te mettre en mouvement. Donc c'est vrai que c'est aussi un avantage quand on est dans cette zone de confort, c'est qu'on peut travailler sa sécurité, entre guillemets, intérieure. Le fait d'instaurer ses routines, d'instaurer des choses pour être avec soi, pour se connecter à son intériorité, ça va vraiment, pour moi, être un socle, même si ça ne fait pas tout. Comme je te disais, il y a des cycles de vie extérieurs aussi. Mais dans les moments où c'est un peu plus calme, dans les moments où... où on a envie d'instaurer des changements, mais de façon plus douce, ça va permettre d'être plus ancré, de mieux respecter aussi ses limites. Parce que quand on est dans cette forme-là d'être dans sa zone de confort, on va être dans une dynamique de... On respecte ses limites, on va s'écouter. Qu'est-ce qui fonctionne pour moi ? Qu'est-ce qui ne fonctionne pas pour moi ? De quoi j'ai besoin, en fait, finalement, là, maintenant ? C'est vrai qu'au moins, on respecte, on ne dépasse pas ses limites, on est dans une dynamique où on s'écoute. Encore une fois, il y a une nuance à poser parce qu'on peut peut-être tomber dans de la procrastination à long terme, mais bon, ce n'est pas forcément le thème de cet épisode. Mais en tout cas, ce bénéfice-là, cet avantage-là d'être dans une question de sécurité, d'être aussi dans un confort entre guillemets émotionnel, on n'est pas trop balotté parce que des fois, quand on a une sensibilité qui est assez importante... Et quand on se challenge ou quand on a des changements de vie, on peut se sentir balotté, ça peut être assez intense. Donc c'est important aussi dans les phases de creux d'être avec soi, de se foutre la paix, d'être dans une forme de... de bonbons, de doudous, en fait, d'être dans une forme de compassion envers soi, ça permet aussi d'instaurer peut-être des changements par la suite, ou même d'instaurer déjà des graines de changement, même dans, justement, dans la période plus tranquille, mais de façon plus mature, de façon plus intelligente, en fait, il y a vraiment le féminin qui est au service du masculin, tu vois, c'est de passer à l'action dans certaines choses, mais d'être... d'être aussi dans la douceur, d'être dans l'écoute de soi, de ses ressentis, quels sont mes besoins, de quoi, qu'est-ce qui me paraît important pour moi en ce moment. Donc ça va vraiment apporter un sentiment de compréhension de ses émotions peut-être, ou d'accueil de ses émotions du moins, parce que là c'est pas forcément cérébral, c'est plus d'accueil de ce qui est, et ça va permettre vraiment un ancrage. Donc ça c'est un point qui était important que je voulais te partager, et dans cet ancrage, c'est aussi d'être dans... dans l'attention de ce qui est déjà là en fait. Dans cet espace-là où on n'est pas dans la performance et où on est dans une énergie un peu plus slow, on va peut-être plus intégrer, plus infuser. Moi j'utilise souvent ce terme-là d'infuser, d'infusion, parce que je trouve que c'est très juste. Tu vois, quand tu vas mettre un thé ou quand tu vas mettre une infusion, un sachet de thé dans de l'eau, Au début, c'est un peu clair et au plus tu vas laisser infuser, au plus ça va être intense et au plus ça va être concentré. Et là, pour moi, c'est ça aussi, c'est que ça va permettre d'ancrer finalement ce que tu as traversé ou ce que tu as envie. Ça va peut-être permettre aussi de gagner en clarté sur ce que tu veux aussi par la suite et de respecter les lois du vivant. Donc quand je parle des lois du vivant, ça peut être de respecter les cycles, tu vois, on est contraction, expansion. Il y a des fois peut-être un moment où c'est important, c'est essentiel pour son équilibre encore une fois émotionnel, d'être dans une période plus cool et de se foutre la paix en fait, et d'arrêter de vouloir absolument se challenger et d'être dans le faire. Parce qu'il y a cette question encore une fois d'être dans le faire, d'être en mouvement. Parce que là tu vois je te parlais de performance, je te parlais d'être dans une sorte de zone de confort, mais ça peut être... aussi d'être dans une forme d'agitation, d'avoir besoin de toujours faire quelque chose, d'être toujours en train de bouger, d'être toujours en train d'être dans tous les sens. En fait, là, c'est vraiment pour moi un manque d'ancrage. Et c'est vrai que le fait de rester dans cette zone-là de confort, des choses qu'on connaît, ça va permettre d'ancrer, en tout cas, nos talents, nos compétences, ce qu'on a pu traverser, nos expériences de vie. Ça va permettre aussi de respecter les cycles. Encore une fois, ce que je partageais maintenant, de laisser... Aussi un temps de gestation, ça c'est pareil, ça fait partie du cycle de laisser un temps de gestation pour justement faire naître d'autres choses après. Et je trouve que quand on est dans cette dynamique-là, on n'est plus dans une course infernale à l'accomplissement, tu vois, c'est ça aussi, qu'on peut voir aussi sur les réseaux, et moi j'ai énormément de mal avec ça, avec ce truc d'être la meilleure version de soi-même et machin et truc, ou d'accepter sa lumière et d'être dans sa lumière. Alors oui, il faut être dans sa lumière, c'est bien d'être dans sa lumière. C'est même pas ifo, en fait, c'est bien d'être dans sa lumière. Mais pour être dans sa lumière, il faut aussi accepter, il faut aussi voir ses parts d'ombre. Et si on va pas voir ça, bah en fait, c'est comme le yin et yang, en fait, ça ne marche pas, parce que c'est la même pièce, c'est juste que c'est la phase opposée. Donc, et on rentre dans une course, finalement. Tu vois, finalement, cette quête-là de bien-être, d'être toujours dans le bien-être, d'être dans une dynamique, finalement, où... Pareil, on est dans le faire en fait. Ah oui, il faut faire du yoga, il faut faire ci, il faut faire ça, il faut remplir son planning. En fait, non. On rentre dans une course, encore une fois, au développement personnel et c'est la même chose en fait. C'est la même chose. C'est aussi de la performance. On est juste dans la performance de bien-être. Et ce n'est pas ça qu'on veut. Là, c'est être dans l'instant présent. Donc, c'est vrai que le fait d'être dans ces zones de confort-là, ça permet d'être, de se reposer sur ce qu'on connaît, d'aussi apprendre à apprécier ce qui est là et de plus... vouloir chercher, encore une fois, cette quête, d'être toujours dans cette quête de mieux, de bien-être et de mieux. Et surtout de faire, en fait, dans des activités, d'être toujours dans cette dynamique où il n'y a pas d'espace. Il n'y a pas d'espace pour respirer, en fait. On est toujours en contraction de oui, il faut faire ci, il faut que j'aille là. Donc, encore une fois, c'est faire de la place et ça permet de... Ces espaces-là, ils permettent d'ancrer plus en profondeur, tu vois, d'être dans tes racines, d'ancrer vraiment tes expériences et d'être aussi plus dans l'instant présent. Donc ça, c'était aussi un point que je voulais explorer ici. Et ça permet du coup d'être plus focus sur l'essentiel, tu vois. On n'est plus dans une quête d'amélioration, d'accomplir de nouveaux défis. On est dans une quête où... On est sur le bien-être immédiat et du coup, on est dans une forme de gratitude, de célébration de ce qu'on a et peut-être aussi de célébrer, tu vois, les petites choses du quotidien. On est plus dans cette dynamique-là quand on est justement dans cet espace où c'est connu, dans cet espace où c'est stable, dans cet espace où on ne se met pas la pression, où on n'est pas tout le temps en train de bouger, tout le temps en train de faire. Et cet espace-là, il va permettre aussi de... De prendre du temps pour soi, justement, de prendre du temps pour aller se promener en nature, de prendre du temps pour passer du temps, justement, avec ses enfants, avec sa famille, avec ses amis, de passer du temps de qualité et de plus être dans cette dynamique de toujours, encore une fois, remplir, mais d'être plus dans une vision qualité que dans une vision quantité. Et c'est vrai que ça permet vraiment de se focaliser sur qu'est-ce qui est important, encore une fois. Qu'est-ce qui est important pour moi ? Est-ce que finalement la richesse n'est pas là aussi dans les plaisirs simples, dans le fait de passer un quotidien serein, d'être bien avec soi, d'être en sérénité avec soi, et de ne plus être dans cette quête finalement, encore une fois, de gagner 10 000 cas par mois, de vivre à Bali sur une île paradisiaque, c'est cool. Après peut-être que si c'est ton projet c'est bien, tant mieux, et si c'est ok pour toi c'est bien. Mais en fait, là, ce que je veux mettre en lumière, c'est de ne pas être dans cette comparaison de ce qu'on peut voir, en fait, et de ne pas s'approprier les rêves des autres. Parce que des fois, ça peut être ça aussi. On peut avoir l'impression, entre guillemets, d'être pas assez, d'être nul, parce qu'on va avoir des personnes qui n'ont pas les mêmes visions de vie, les mêmes envies que soi. Mais en fait, c'est complètement juste, tu vois, ce truc de mission de vie, moi, j'utilise pas forcément ce mot-là, parce que je suis pas à l'aise, pour moi, on n'a pas qu'une mission de vie, et pour moi, la mission de vie, c'est comme si on devait accomplir de grandes choses, alors qu'on peut accomplir des choses au quotidien, on peut, tu vois, tu peux t'investir dans la, je sais pas, dans ta mairie, dans une association, et ça peut enclencher dans un monde de changement, en fait, sur cette petite échelle-là, sur l'échelle de la ville, c'est déjà énorme au niveau du collectif. Donc ça sert à rien, tu vois, de... d'être dans cette... Enfin, c'est pas que ça sert à rien, tu vois, c'est pas le bon mot, mais c'est important, encore une fois, d'avoir ce recul pour observer, finalement, qu'est-ce que je veux, qu'est-ce qui est important, en fait. Et il y a aussi, du coup, le dernier point, pour moi, qui me paraît essentiel, c'est, justement, que ça va renforcer les liens avec soi et les liens avec les autres. Quand t'es dans cet espace où t'es bien avec toi, où t'es dans ta zone de confort, où t'es pas dans cet espace, en fait, où tu te challenges trop, où t'es pas dans le faire, où tu performes, Ça ouvre énormément de portes, finalement, de connexion avec soi, de connexion avec les autres. Je te parlais d'être plus dans la qualité que dans la quantité. C'est de, encore une fois, qu'est-ce qui est important pour toi ? Est-ce que peut-être que ta vie familiale, elle est là, mais en fait, vous ne prenez pas forcément de temps qualité ensemble parce que vous n'avez pas le temps ? Peut-être que, justement, ça permet aussi d'être plus dans des relations plus profondes, plus authentiques. On n'est plus hyper sollicité par des choses à l'extérieur. Par exemple, si pour toi, c'est le pilier famille qui est hyper important, peut-être que c'est là où il faut mettre ton énergie pour que la communication soit là, pour être dans des moments qualitatifs comme ça. Et peut-être que ça passe par faire des choix et prendre des décisions, de ne pas accepter trop de choses, d'arriver, comme je le disais précédemment, à poser ses limites et à identifier vraiment ce qui est important. Donc ça permet de créer des liens qui sont plus qualitatifs avec les autres, selon moi. Ça permet aussi d'être dans un renforcement, pour moi, de l'estime de soi. Tout simplement parce qu'on est plus, en fait, dans quelque chose d'authentique et de, entre guillemets, simple, de ce dont on a besoin, en fait. On accepte, finalement, qui on est, dans ses parts d'ombre et dans ses parts de lumière, et on va, en fait, être dans un espace plus neutre et de... où il y aura moins de jugement, en fait. Tout simplement parce que, quand on est dans cet espace-là, on sait ce qui est juste pour nous. On sait, on a pris le recul nécessaire, on sait qu'on n'a pas forcément, peut-être, envie d'être président de la République, et c'est OK, en fait. On est qui on est, on a nos envies, on a nos aspirations. C'est pas pour autant que, quand on reste dans cette zone-là, où c'est un peu plus... où on ne va pas explorer de grandes, grandes choses, qu'on reste dans l'inertie, et ça, on va en parler après. Mais on va sortir finalement de cette image d'être entre guillemets la meilleure version de soi-même ou que sais-je, ou d'être, tu vois, je sais pas, la personne qui va faire, comme je disais, 10 cas par mois, ou la personne qui va avoir une famille parfaite, avoir un quotidien parfait, qui va faire ses morning routines le matin à 5h. Enfin, et encore, si ton truc, c'est OK, tu vois, mais c'est juste sortir de cette comparaison qui est pas forcément bonne et qui va... générer encore une fois un esprit de un peu de compétition de comparaison et ça permet vraiment quand on est dans cet espace là de prendre un temps de recul et de se concentrer sur autre chose en fait et d'apprécier le chemin qu'on emprunte d'apprécier ce dont on a envie d'apprécier ce qui nous fait du bien en fait et moi j'adore passer par exemple un dimanche après m'a fait du coloriage à me faire des petites crêpe c'est mon petit plaisir je vais pas me culpabiliser de ça parce qu'il y en a qui vont faire un marathon de 30 km le matin en fait bah moi c'est pas mon truc c'est pas mon truc c'est pas grave en fait c'est ok et ça permet vraiment aussi pour selon moi de consolider la confiance finalement dans ce qu'on sait faire dans ce qu'on aime dans nos valeurs dans nos talents et sans vouloir encore une fois se prouver ou prouver à autrui que on est comme si on est comme ça et de porter un masque qui n'est pas à soi, en fait. Ce n'est pas à soi d'être dans une dynamique où on veut absolument tout le temps faire ou performer ou avoir de grandes ambitions. Alors peut-être que c'est ton truc et c'est OK, mais c'est vrai que moi, je te partage ma vision des choses, là. Parce que j'ai pu beaucoup être dans cet espace-là de comparaison et de moi, finalement, qu'est-ce que je veux ? Et est-ce que c'est grave, tu vois, si... Je n'ai pas des ambitions de ouf. J'en ai des ambitions, mais je n'ai pas... En fait, j'avais une image des personnes ambitieuses comme des personnes, tu vois, qui vivent à Dubaï et qui ont, je ne sais pas, qui font, ouais, je ne sais pas, 50 000 euros par mois de chiffres. Enfin bref, c'était complètement hors de ma réalité. Donc c'est déjà de revenir à ici et maintenant. Qu'est-ce que je veux ? Qu'est-ce qui est important pour moi ? Et en fait, ça va débloquer des choses et ça va permettre aussi de se mettre en mouvement. Et d'ailleurs, quand je te parle de mouvement, là, je vais te partager... des conseils justement pour avancer, parce que là je t'ai partagé ma façon de voir les avantages qu'il y a à rester dans cette dynamique un peu de zone de confort et à ne pas trop se bousculer, mais c'est pas parce qu'on est dans cette dynamique là qu'on va rester complètement figé et qu'on va être un peu en mode grosse larve devant son canapé à manger des chips et à rien faire, c'est pas du tout ça, c'est juste que moi je suis dans une approche plus douce, je pense que c'est hyper important de de, encore une fois, consolider ses racines, d'être dans l'écoute de soi, d'être dans son écoute de la part de soi qui a besoin d'être rassurée, et de poser des actions pour avancer. Donc comment, moi, je fais concrètement pour me mettre en mouvement, ne pas trop me challenger, mais qui ait quand même une dynamique qui me connecte à ma vision, qui me connecte à ce qui est important pour moi. Parce que pour moi, rester dans sa zone de confort, ça peut être OK du moment que ça ne nous pénalise pas, que ça ne nous draine pas et qu'on n'est pas dans un système un peu de je me contente d'eux, en fait. Ou oui, de se trouver des excuses, tu vois, parce qu'il y a des personnes aussi qui peuvent se dire ah bah oui, non, mais je suis à l'écoute de mon énergie, je fais attention à moi, mais du coup, elles ne mettent rien en place. Alors là, tu vois, pour moi, il y a un déséquilibre. Il y a un déséquilibre quand on est trop dans le faire, quand on est trop dans la performance et qu'on veut aller trop, trop, trop. Mais il y a aussi un déséquilibre dans l'autre sens, où on est dans une forme de léthargie, où on ne met pas de choses en place. Donc là, moi, je vais te partager ce que je fais et mes conseils pour avancer. Pour moi, la première chose, ça va être de se créer de l'espace, du temps pour soi. En fait, le fait de prévoir des temps d'imprévu dans son quotidien, ça va vraiment permettre d'observer où part notre temps, d'observer notre énergie, à quel moment j'ai plus d'énergie, à quel moment je suis moins en énergie, et de ne pas faire des choses ou de ne pas être dans des choses productives au moment où je n'ai pas beaucoup d'énergie parce que ça va me drainer énormément. Donc ça, c'est une phase d'observation, encore une fois. de ses fonctionnements, de son énergie, de qui on est, et de l'énergie qu'on a à disposition. Cette énergie, elle va fluctuer en fonction peut-être de la période du mois, en fonction de ce qui nous traverse en ce moment, de nos challenges. Donc encore une fois, c'est d'être dans une observation de soi, sans jugement, et dans la douceur, en fait, et de ne pas être dans la culpabilité de se dire Ah oui, j'aurais pu faire ci, j'aurais pu faire ça Non, là, en fait, ce temps-là d'observation, pour moi, il fait partie du process, ce temps-là de... D'observer, de se régénérer, il est essentiel pour justement construire des choses après et pour se mettre en mouvement. Donc c'est hyper important de se poser aussi pour décharger, tu vois, dans les moments un peu plus down, dans les moments où il y a pas mal de choses à gérer. Donc c'est important pour moi de ne pas rester avec ça à l'intérieur et de s'autoriser à décharger. Donc le mental, les émotions, tu vois, tous ces corps-là qui peuvent avoir tendance à... À se cristalliser ou à se bloquer quand on n'a pas l'espace, en fait. Quand on n'a pas l'espace, forcément, on ne va pas avoir le temps pour décharger ses émotions, du moins de façon saine. On ne va pas avoir le temps de poser son mood, tu vois, sur son cahier. Enfin, ça, je trouve que c'est hyper riche aussi. Quand il y a des choses qui tournent dans notre tête ou quand il y a de la lourdeur, de poser, en fait, de verbaliser les choses. À soi, ça peut être de soi à soi dans un cahier. Ça peut être avec un proche. Ça peut être avec un thérapeute. Ça peut être plein de choses. Mais pour moi, c'est hyper important de faire une sorte d'état des lieux, de faire une sorte de tri pour savoir finalement comment je me sens, qu'est-ce qui est présent pour moi en ce moment, est-ce qu'il y a des choses qui ont tendance peut-être à me drainer mon énergie, est-ce qu'il y a des choses qui peuvent m'en apporter. Et tous ces questionnements-là, ils ne peuvent pas être faits quand on est dans une course infernale en fait, où on n'a pas le temps, où on ne prend pas le temps surtout. Et c'est pour ça que moi, c'est ce que je propose aux personnes que j'accompagne, c'est de créer vraiment cette loupe-là sur soi, d'aller voir, d'aller explorer. finalement, où part mon énergie, qu'est-ce qui me draine, comment je me sens en fait. De trouver cet espace-là, c'est un espace hyper précieux aujourd'hui, parce qu'on est dans une course infernale tout le temps, il y a toujours énormément de choses à faire, on est hyper sollicité de partout, par le téléphone, par le travail, par, bref, les éléments qui peuvent interagir dans notre quotidien. On a beaucoup plus d'occupation, on a beaucoup plus de choses à gérer qu'avant, ils étaient beaucoup plus dans l'instant présent. Donc ça, les nouvelles technologies, elles jouent aussi un peu contre nous de ce côté-là. C'est pour ça que c'est important de se discipliner et c'est aussi important de savoir quel temps on dispose dans la semaine, en fait. Et ça, pour moi, c'est aussi un pilier qu'on explore dans l'accompagnement Réveille ta nature, c'est de savoir où part le temps, de poser un planning qui est aligné avec soi, qui est aligné avec ce qui est important. avec ce qui est urgent, d'apprendre peut-être à déléguer. Bref, il y a des pistes à explorer là-dessus aussi. C'est de savoir combien de temps tu as dans ta semaine. Est-ce que tu as des temps pour toi ? Est-ce qu'il y a des équilibres ? Est-ce qu'il y a des choses qui te pèsent ? Parce que ça, c'est pareil, ça va bloquer énormément de choses quand tu es drainé comme ça pour avancer sur certains projets, pour poser un plan d'action, pour mettre en place des choses. Tu n'auras pas l'espace temps, tu n'auras pas l'espace mental pour faire ça parce qu'il y a une forme de débordement. donc ça aussi tu vois c'est aussi un conseil que je peux te partager c'est de faire une chose à la fois et de pas disperser ton énergie parce que ça je sais que ça peut être compliqué pour certaines d'entre vous c'est que on commence un truc comme je le disais on est sollicité ah bah je pense à ça donc je vais faire autre chose et il y a une forme un peu de mouvement, d'excès de ouais de mouvement et de d'ancrage qui manque dû à un manque de clarté finalement de ce qui est important de ce qu'on doit faire Donc, ça va générer énormément de dispersion d'énergie et on va finir par ne plus savoir quoi faire. Ça va nous fatiguer, ça va nous drainer. Donc là, c'est pareil, quand tu commences quelque chose, c'est de le faire pleinement jusqu'au bout. Et si tu n'as pas forcément le temps de le reprogrammer à un autre moment, mais ça me paraît vraiment essentiel d'être dans cette dynamique-là parce que sinon, tu ne vas pas aller jusqu'au bout des choses. Et ça va être compliqué d'instaurer des... de mettre de l'énergie dans des choses qui te tiennent à cœur, de mettre de l'énergie dans des projets qui contribuent à ta vision, s'il y a une dispersion et s'il y a un manque d'ancrage. Donc les uns vont avec les autres. Et pour moi, pour se faire, pour arriver dans cette dynamique-là, il faut du passage à l'action. Sinon, ça reste de la procrastination. Si vraiment, tu vois, je te donnais l'image, un peu du gros flanc devant sa télé qui mange ses chips, il va y avoir en fait une sorte de lourdeur, ou une sorte de forme de procrastination, une forme de lassitude, s'il n'y a pas de passage à l'action en fait. Et c'est pour ça, pour moi, c'est hyper important de se poser des objectifs smart, des objectifs qui sont alignés avec qui on est. Donc des objectifs qui vont être mesurables, qui vont être spécifiques, qui vont être ambitieux, qui te motivent, qui vont être réalistes. Donc est-ce que ce sera faisable de le faire ou pas ? Est-ce qu'il va y avoir aussi une deadline au niveau de ce que tu as prévu ? En fait, c'est d'être dans le concret. On a besoin d'être dans le concret. Et de poser des actions quand même. Encore une fois, dans le respect de son énergie, on ne va pas se mettre 15 objectifs par mois. En fait, c'est beaucoup trop. Le but, c'est d'être dans une dynamique où il y a du mouvement, mais on va respecter son énergie. Donc moi, souvent, je conseille de ne pas dépasser 3. Et ça dépend, encore une fois, le projet que tu as. Parce qu'après, on peut mettre des sous-objectifs. Donc ça, c'est des choses qui sont intéressantes à aller explorer. Et pour moi, il y a une dernière chose qui me paraît. essentiel, c'est de célébrer ces victoires au quotidien en fait pour ne pas être dans cette dynamique de oui on n'avance pas, souvent on a tendance à voir, on a l'impression qu'on n'avance pas, on a l'impression qu'on ne met pas assez de choses en place, on peut retourner finalement dans ce syndrome un peu de performance qui n'est pas forcément ok c'est important de noter ces victoires au quotidien, de noter ce qui nous fait du bien de noter ces 3 kiffs par jour comme je le partage dans mes accompagnements, d'être dans cette dynamique d'habitude en fait, de voir... ce qu'on a fait, ce qu'on a réussi, ce qui nous a fait du bien, ce qui nous a fait plaisir dans notre journée, parce que c'est dans cette dynamique-là qu'on va pouvoir changer de lunettes, de mettre ses lunettes roses, comme j'aime l'appeler, et pour voir finalement ce qu'on a réussi à faire et les choses qui nous font du bien au quotidien. On n'a pas besoin de grandes choses en règle générale, on a besoin de revenir à soi, on a besoin de se connecter avec les autres, avec les gens qu'on aime. de se reconnecter aussi peut-être à la gratitude d'avoir un toit, à la gratitude d'avoir à manger, de pouvoir se faire plaisir, d'avoir du temps libre. C'est des choses qui sont très très simples. Donc pour moi déjà se connecter à ça, ça permet d'être dans une autre dynamique et de ne pas être focus sur ce qui manque, de ne pas être dans une dynamique de il me manque quelque chose et de lourdeur, mais plus dans une dynamique élevante de dire en fait j'ai déjà ça et c'est énorme en fait. J'ai déjà ce dont j'ai besoin pour être bien. Et après c'est hyper... Ça donne énormément d'énergie, en fait, je trouve, pour concrétiser d'autres choses, pour mettre en place, pour être encore plus aligné, pour être encore plus épanoui dans sa vie et pour mettre un plan d'action vers ce qui nous fait du bien quand on est dans cette dynamique-là de faire de la place, d'observer finalement qu'on est bien, qu'on a de la gratitude pour certaines choses. Et pour moi, ça, ça change tout parce qu'on est dans une dynamique élevante, on a une posture différente. On n'est plus dans une posture de, tu vois, un peu avachie de, entre guillemets, de victime, de je ne peux pas faire ci, je ne peux pas faire ça, d'être dans cette limitation. On est dans une dynamique plus de queen, en fait, d'être dans une posture qui nous élève, d'être dans notre puissance. Et ça, voilà, c'est ce que je transmets dans mes partages, c'est ce que j'essaie de transmettre au mieux dans mes partages ici, dans mes accompagnements. Et... Et je pense que si tout le monde se permettait ça, si tout le monde mettait en place des habitudes de vie au quotidien pour être dans sa puissance, on ne serait pas du tout dans la situation dans laquelle on serait aujourd'hui. Et il y aurait beaucoup plus d'épanouissement, beaucoup plus de choses élevantes dans notre environnement. Donc si toi en tout cas ça te parle, si toi tu as envie d'aller explorer ça aussi, si tu sens que tu es concerné dans ce que j'ai pu exprimer. que des fois, tu as peut-être l'impression d'être un peu englué dans cette zone de confort, que ça t'apporte du bien, mais tu sens que tu aimerais avoir un peu plus de mouvement, on peut en discuter. Je propose des appels exploration où on explore ensemble tes problématiques actuelles, tes challenges actuels et où on pose des graines de changement ensemble. Donc, si tu es intéressé, je vais te mettre le lien dans la description de cet épisode. J'espère en tout cas que tout ça t'a plu. Je voulais un peu... Déculpabiliser, en fait. Je pense que c'est important d'être doux avec soi, encore une fois, d'être dans une dynamique de soutien envers soi que d'être en mode flagellation, à se dire qu'on n'est pas assez, à se dire qu'on pourrait mieux faire. Et de mettre la lumière, de mettre notre attention sur ce dont on a la main et de mettre aussi en valeur les temps qu'on s'octroie, en fait, pour soi, qui sont des temps précieux, finalement, pour... pour construire des choses qu'on a envie et pour surtout être heureux parce qu'il n'y a pas que la projection, il n'y a pas que le fait d'être dans l'action. Il y a le fait d'être aussi et le fait d'être, ça permet énormément de choses, ça ouvre énormément de portes. Donc j'espère que cet épisode t'aura permis de mettre en lumière certaines choses et d'apporter peut-être un peu plus de souplesse. Si tu entends ce message, c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode. Donc je te remercie. Si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche, je t'invite à le partager. Tu peux également mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

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🎙️ Et si on arrêtait de se mettre la pression pour sortir en permanence de sa zone de confort ?
Dans cet épisode, on déconstruit le mythe du dépassement de soi à tout prix et on explore les bienfaits souvent ignorés de rester dans un cadre familier. Moins de stress, plus de stabilité émotionnelle, et une véritable reconnexion à soi-même.

Je te partage ici 6 avantages à rester dans sa zone de confort et te propose des pistes d'exploration pour avancer avec plus de douceur et de respect de soi même.
Découvre pourquoi ta zone de confort n'est pas synonyme de stagnation, mais peut être un espace d'évolution, de bien-être et de renforcement personnel. Oublie la pression sociale et fais la paix avec toi-même, tout en te concentrant sur ce qui compte vraiment, c'est ça le plus important !

👉 Dans cet épisode, je fais un pont avec l'épisode 40 que je t'invite à écouter si ça n'est pas déjà fait !
Tu peux aussi prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥

Cet épisode est une invitation à te foutre la paix, à cultiver ce qui te nourrit déjà et à te recentrer sur tes vrais besoins. 💪


Belle écoute ✨


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast pétillant et authentique Réveille ta nature. Telle une petite fée clochette, j'ai à cœur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexions au cœur. Je suis Aurore, praticienne bien-être et coach. J'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur cœur, dans leur corps et dans leur esprit. Je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités. Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, c'est une thématique un peu spéciale. Je voulais aller un petit peu à contre-courant parce que, tout simplement, on voit beaucoup, là, avec la rentrée, il y a beaucoup de nouvelles habitudes qui se créent et c'est génial. Moi, je trouve ça... Je trouve que c'est hyper intéressant d'être dans une dynamique de mouvement et d'instaurer de nouvelles choses au moment de la rentrée. Mais il peut y avoir aussi un peu de sentiments de culpabilité. ou un peu ce syndrome un peu de performance où il faut faire toujours plus, où il faut faire toujours mieux. Et c'est surtout ça que je voulais aborder aujourd'hui. Donc je voulais te partager dans un premier temps 6 raisons de rester dans sa zone de confort. Et après je vais te partager aussi des conseils pour te mettre en mouvement, pour qu'il y ait des choses quand même qui se mettent en place. Mais dans le respect de qui tu es, dans le respect de ton énergie et sans te comparer à ce que tu peux voir à l'extérieur. On sait tous que ce n'est pas forcément évident. Parce que, comme je te le partageais, on peut avoir tendance à se comparer à son entourage, à ce qu'on peut voir sur les réseaux. Donc là, en fait, c'est pour moi hyper essentiel de faire un focus sur soi et d'arrêter de voir forcément à l'extérieur. Je voulais apporter aussi une nuance par rapport à cette fameuse zone de confort. Pour moi, elle est parfois nécessaire. Encore une fois, le but, ce n'est pas d'être dans... Dans du noir ou blanc, il faut apporter de la nuance dans tout ça. Mais en fait, on peut sortir de sa zone de confort sans pour autant avoir de super grandes ambitions ou de tout changer du jour au lendemain. Moi, je suis plus dans une dynamique en douceur à faire un plan d'action, mettre des choses en place, à bouger, à se challenger. Mais sur un projet de vie, par exemple, et sur un domaine de vie, et pas être dans la performance du toujours plus et être forcément dans la... dans la souffrance ou dans la contraction, parce que tout ça, on va le voir, mais ça coupe énormément du plaisir, ça coupe énormément de la joie, de la gratitude de ce qu'on a au quotidien, et je ne trouve pas forcément ça juste. Je pense que c'est hyper important de se reconditionner là-dessus. Moi, j'ai vraiment cette image-là de moi, enfant, ou moi, ado, qui devait faire ses devoirs, qui devait galérer. Je sais qu'à l'école, j'étais dans... Dans la moyenne, mais je sais que je devais travailler énormément, que je devais bûcher beaucoup parce que j'avais beaucoup de difficultés à me concentrer. Surtout arrivé au lycée où c'était très compliqué. En plus, j'étais dans un lycée privé où il y avait énormément de pression scolaire. Et c'est vrai que pour moi, la réussite, elle a été vraiment associée à la labeur, au fait de voilà, il faut en chier, il faut galérer pour réussir vraiment. Et bon, c'est des choses que j'ai déconstruites et j'en ai bien conscience. Mais c'est des voilà. il peut y avoir des mécanismes qui restent quand même ancrés malgré tout et c'est pour ça que ça me paraissait aussi important de faire ce podcast-là, de faire cet épisode-là parce que je pense que je suis loin d'être la seule. Je pense qu'il y a énormément d'enfants qui ont souffert et qui souffrent encore d'ailleurs de cette dynamique-là de performance et de mettre finalement l'intelligence dans une case. Finalement, il n'y a que l'intelligence cartésienne qui est mise en valeur. Le fait d'être bon en chimie, le fait d'être bon en maths, Le fait d'être scientifique, c'était beaucoup plus valorisé à mon époque que par exemple de faire du littéraire, alors que c'est tout à fait prestigieux aussi, il n'y a pas de moins bien. Et je pense que c'est aussi la même chose, je me suis fait la réflexion par rapport à ma créativité aussi, que j'étais beaucoup moins valorisée quand j'étais dans ma créativité que quand justement je travaillais ou que je faisais une disserte ou que j'étais dans quelque chose de plus cérébral. Pour moi, cet épisode, c'est aussi ça, c'est aussi un bonbon, c'est aussi faire preuve de douceur avec soi-même, c'est d'être dans son énergie féminine et d'être dans une dynamique de douceur et de compassion, de bienveillance envers soi et d'observation. Bienveillance ne veut pas dire bienveillance à tout prix, d'être dans le déni ou quoi, c'est juste d'apporter un petit peu de douceur et d'être moins dans cette dynamique yang, mais un peu qui force, qui est dans l'action, mais sans réfléchir finalement à ce qu'il fait. Et pour moi, ça, c'est une des premières raisons. Et c'est une raison qui est hyper essentielle. C'est de diminuer le stress et l'anxiété. Parce que quand on est dans une dynamique comme ça, où on force quelque chose, où on veut toujours être plus, où on veut se prouver à soi ou aux autres, aux proches, qu'on est bon, qu'on est meilleur que les autres, qu'on est dans une dynamique aussi où on est fort, où on sait braver un peu les tempêtes. On est dans une énergie où on force, et moi j'ai vraiment cette image du guerrier ou de la guerrière d'ailleurs, qui pousse, qui pousse, qui pousse, mais qui va contre finalement les lois du vivant, et ça crée énormément de tensions, ça crée énormément de crispations à l'intérieur, autant au niveau du corps qu'au niveau du mental. Donc c'est vrai que le fait de vouloir absolument d'avoir des objectifs trop gros par exemple, ou d'avoir trop... de se mettre énormément de choses sur le dos, d'avoir énormément de tâches à faire, ça peut passer par plein de choses, ça va forcément générer énormément de stress et d'anxiété, la fameuse aussi charge mentale, bon il y a des choses qu'on peut pas forcément éviter quand on a des choses à gérer au quotidien, mais c'est vrai que ça demande une vigilance constante, des efforts permanents, et ça va forcément générer du stress et de l'anxiété. Donc si en plus... Déjà, dans ce quotidien, il y a énormément de choses et qu'en plus, on va se challenger, on va avoir besoin de... On va avoir besoin, on va se sentir obligé de faire toujours plus, d'être... Je ne sais pas, j'ai l'image du sketch de Gad Elmaleh, avec le blond, avec le mec parfait qui fait tout bien. Forcément, ça va vraiment générer énormément de tensions à l'intérieur. Et pour moi, ça, ce n'est pas forcément OK, parce que c'est logique, en fait, ça va... Avoir énormément d'effets, peut-être pas sur le court terme, mais sur du moyen long terme, c'est là où on va commencer à avoir des tensions, on va avoir des maux. Pour moi, rester dans sa zone de confort aussi et de ne pas trop se challenger ou être trop dans la performance, ça va énormément réduire le stress, l'anxiété. Et ça va aussi forcément avoir des conséquences sur ton espace mental, tes plaisirs aussi dans ce que tu fais au quotidien. Parce que quand... On est dans des moments de vie où, encore une fois, ça peut arriver d'être dans des moments de vie où il y a beaucoup de mouvements, il y a du stress, il y a des changements de vie, donc forcément ça génère du stress. Donc là je te parle plus de stress chronique, d'une sorte de pression sous-jacente qui est tout le temps présente, qui est tout le temps là. Forcément tu te coupes du plaisir, tu te coupes de ce qui est bon, tu te coupes aussi de tes petites victoires du quotidien, de ce qui est beau, de ce qui fait qu'on est dans la présence et qu'on est ici et maintenant. Maintenant, en fait, quand on est dans cette dynamique, toujours de projeter ce qu'il faut faire ou de projeter dans le futur, forcément, ça va générer énormément de stress. Donc voilà, déjà pour moi, le fait de rester dans sa zone de confort, ça va vraiment permettre de réduire le stress et l'anxiété. Encore une fois, rester dans sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire rester figé, rester statique. On peut apporter des nuances et se mettre en mouvement aussi, mais apporter plus de douceur, justement. Du coup, en deuxième point, moi, ce que je voulais te partager aussi, c'était finalement... La prévention un peu des faux défis. Des fois, on se met trop de choses. Moi, j'avais tendance à faire ça souvent, de me faire des to-do listes à rallonge, de mettre énormément de choses et d'être dans une dynamique où il y avait toujours plus encore. Il y avait cette question de toujours plus. Et je me coupais finalement de ce dont j'avais besoin au quotidien et je me coupais surtout de la quantité d'énergie que j'avais à ma disposition. Parce que c'est ça aussi. Il y a cette phrase qui dit qu'on ne peut pas remplir le bol de quelqu'un quand le sien est vide. Et moi, je suis complètement OK avec ça. C'est que souvent, c'est valoriser, de prendre soin des autres, d'être dans une dynamique où on va être là pour l'autre. Mais du coup, on ne respecte pas ses besoins, on ne pose pas ses limites. Et c'est vrai que ça peut générer encore plus de tâches à faire. Tu vois, on va s'engager dans des choses. Ou alors, finalement, on n'avait pas forcément l'espace-temps. Et ça va drainer énormément d'énergie. Et on s'impose des choses. Des fois, on a l'impression que, sous prétexte qu'on va paraître moins bien, sous prétexte qu'on va paraître pas sympa, pas généreux, on va s'investir, on va s'engager dans des projets, dans des choses, en fait, où on n'avait pas forcément l'envie. Tout simplement parce qu'on s'est mis dans cette image de oui, je veux, je suis la personne, alors je parle pour moi, en fonction de mon expérience de vie. Je ne l'ai pas mentionné, mais forcément, je parle en fonction de ce que moi, j'ai pu vivre. Mais je voulais paraître pour la personne qui était sympa, la personne qui était généreuse, la personne qui aimait des autres, parce que j'avais ce besoin-là. On a tous besoin d'être aimé, mais j'avais vraiment ce truc un peu à outrance d'être appréciée. En fait, il fallait que je sois appréciée. Je ne supportais pas que des personnes ne m'apprécient pas. Je pensais qu'en fait, vu que j'étais cool et que j'étais sympa et que machin, que j'allais être appréciée. Mais du coup, ça crée énormément de pression à l'intérieur. Donc là, tu vois, c'est par rapport à mon entourage. J'ai déjà pu vivre ça. Mais il y avait aussi beaucoup ça dans... Je reprends l'exemple de l'école parce que... Même là, si tu fais des formations, si tu es en changement de devis, c'est parlant aussi. Mais il y a ce truc de oui, il faut tenir bon, il faut être bon, il faut être parfait. Le fameux sois parfait je l'avais énormément. Je l'ai encore, mais je sais la différence aujourd'hui. C'est qu'elle est là, cette facette de moi, mais je ne me laisse plus guider par elle. Je sais qu'elle est là et je sais que je me reprends quand je vais trop loin ou quand je passe trop. de temps justement à quelque chose qui n'est pas important. Donc c'est ça aussi la question qu'on peut se poser dans cette dynamique-là, c'est qu'est-ce qui est important ? Est-ce que tu vois, c'est passer du temps en famille ? Est-ce que c'est prendre du temps pour toi ? Il peut y avoir plein de choses, mais c'est vrai que du coup, des fois, on peut se laisser happer, on peut se laisser entre guillemets, aspirer par des choses extérieures qui ne sont pas forcément importantes, mais qu'on fait parce qu'on se dit qu'il faut le faire. Donc c'était surtout ça pour moi le deuxième point, l'avantage aussi. C'est que quand on reste un peu dans cette zone de confort-là, on ne va pas être dans cette dynamique-là où on va vouloir faire plus ou se mettre énormément, tu vois, se mettre la barre hyper haut pour faire des choses, se mettre énormément de pression. Donc, on est vraiment dans cette dynamique de garder de l'énergie, de conserver son énergie et de ne pas se mettre dans des projets finalement qu'on n'avait pas forcément envie ou des projets. qui vont justement drainer trop d'énergie ou qui vont te prendre trop de temps. Donc, pour moi, c'est vraiment aussi une sorte un peu de prévention quand on est dans cette zone de confort-là, de ne pas s'engager dans des choses, finalement, qui ne nous correspondent pas. Aussi, il y a énormément la question de sécurité. D'ailleurs, souvent, c'est ça qu'on met en valeur aussi, qu'on met en avant dans les partages sur les réseaux, c'est qu'il y a cette question de sécurité, finalement. Qu'est-ce qu'on choisit ? Est-ce qu'on choisit la sécurité ou est-ce qu'on choisit... Le fait de suivre ses élans de vie, de suivre ses rêves. Et là aussi, tu vois, pour moi, ce n'est pas opposé. Ce n'est pas parce que tu as un fort besoin de sécurité que tu vas devoir absolument... Que tu restes le cul dans ton canapé et que tu ne fous rien, en fait. Il y a encore une fois des nuances à poser. Parce que selon moi, en fait, tu peux avoir un besoin de sécurité, mais tu peux aussi te mettre en mouvement. Donc te mettre en mouvement, mais à ton rythme, encore une fois. Pas dans cette dynamique de forcer, de comparer à des personnes. que tu peux suivre peut-être sur les réseaux, ou des personnes de ton entourage, de ta famille, selon moi, ce sentiment de sécurité, il va travailler l'ancrage, il va travailler la stabilité, aussi au niveau des émotions, en fait. Pour moi, la zone de confort, en fait, elle va permettre une forme d'ancrage, une forme de sécurité. Et j'avais parlé dans l'épisode 40 du fait de traverser ses peurs, et j'avais parlé aussi de la question de la sécurité intérieure, pour moi, qui ne me paraissait pas forcément juste, et je voulais apporter une nuance ici, parce que... Il y a des éléments extérieurs forcément qui vont jouer dans ce sentiment de sécurité intérieure. Mais au plus on va instaurer des choses au quotidien, au plus on va prendre de l'espace pour finalement ancrer ce qui est déjà là, et c'est le point suivant, mais c'est en lien avec ce que je te partage là, c'est que pour moi forcément ce sentiment d'ancrage, ce sentiment de sécurité, il va être obligatoire, il va être un socle vraiment pour... pour aller traverser différentes choses, pour peut-être te mettre en mouvement. Donc c'est vrai que c'est aussi un avantage quand on est dans cette zone de confort, c'est qu'on peut travailler sa sécurité, entre guillemets, intérieure. Le fait d'instaurer ses routines, d'instaurer des choses pour être avec soi, pour se connecter à son intériorité, ça va vraiment, pour moi, être un socle, même si ça ne fait pas tout. Comme je te disais, il y a des cycles de vie extérieurs aussi. Mais dans les moments où c'est un peu plus calme, dans les moments où... où on a envie d'instaurer des changements, mais de façon plus douce, ça va permettre d'être plus ancré, de mieux respecter aussi ses limites. Parce que quand on est dans cette forme-là d'être dans sa zone de confort, on va être dans une dynamique de... On respecte ses limites, on va s'écouter. Qu'est-ce qui fonctionne pour moi ? Qu'est-ce qui ne fonctionne pas pour moi ? De quoi j'ai besoin, en fait, finalement, là, maintenant ? C'est vrai qu'au moins, on respecte, on ne dépasse pas ses limites, on est dans une dynamique où on s'écoute. Encore une fois, il y a une nuance à poser parce qu'on peut peut-être tomber dans de la procrastination à long terme, mais bon, ce n'est pas forcément le thème de cet épisode. Mais en tout cas, ce bénéfice-là, cet avantage-là d'être dans une question de sécurité, d'être aussi dans un confort entre guillemets émotionnel, on n'est pas trop balotté parce que des fois, quand on a une sensibilité qui est assez importante... Et quand on se challenge ou quand on a des changements de vie, on peut se sentir balotté, ça peut être assez intense. Donc c'est important aussi dans les phases de creux d'être avec soi, de se foutre la paix, d'être dans une forme de... de bonbons, de doudous, en fait, d'être dans une forme de compassion envers soi, ça permet aussi d'instaurer peut-être des changements par la suite, ou même d'instaurer déjà des graines de changement, même dans, justement, dans la période plus tranquille, mais de façon plus mature, de façon plus intelligente, en fait, il y a vraiment le féminin qui est au service du masculin, tu vois, c'est de passer à l'action dans certaines choses, mais d'être... d'être aussi dans la douceur, d'être dans l'écoute de soi, de ses ressentis, quels sont mes besoins, de quoi, qu'est-ce qui me paraît important pour moi en ce moment. Donc ça va vraiment apporter un sentiment de compréhension de ses émotions peut-être, ou d'accueil de ses émotions du moins, parce que là c'est pas forcément cérébral, c'est plus d'accueil de ce qui est, et ça va permettre vraiment un ancrage. Donc ça c'est un point qui était important que je voulais te partager, et dans cet ancrage, c'est aussi d'être dans... dans l'attention de ce qui est déjà là en fait. Dans cet espace-là où on n'est pas dans la performance et où on est dans une énergie un peu plus slow, on va peut-être plus intégrer, plus infuser. Moi j'utilise souvent ce terme-là d'infuser, d'infusion, parce que je trouve que c'est très juste. Tu vois, quand tu vas mettre un thé ou quand tu vas mettre une infusion, un sachet de thé dans de l'eau, Au début, c'est un peu clair et au plus tu vas laisser infuser, au plus ça va être intense et au plus ça va être concentré. Et là, pour moi, c'est ça aussi, c'est que ça va permettre d'ancrer finalement ce que tu as traversé ou ce que tu as envie. Ça va peut-être permettre aussi de gagner en clarté sur ce que tu veux aussi par la suite et de respecter les lois du vivant. Donc quand je parle des lois du vivant, ça peut être de respecter les cycles, tu vois, on est contraction, expansion. Il y a des fois peut-être un moment où c'est important, c'est essentiel pour son équilibre encore une fois émotionnel, d'être dans une période plus cool et de se foutre la paix en fait, et d'arrêter de vouloir absolument se challenger et d'être dans le faire. Parce qu'il y a cette question encore une fois d'être dans le faire, d'être en mouvement. Parce que là tu vois je te parlais de performance, je te parlais d'être dans une sorte de zone de confort, mais ça peut être... aussi d'être dans une forme d'agitation, d'avoir besoin de toujours faire quelque chose, d'être toujours en train de bouger, d'être toujours en train d'être dans tous les sens. En fait, là, c'est vraiment pour moi un manque d'ancrage. Et c'est vrai que le fait de rester dans cette zone-là de confort, des choses qu'on connaît, ça va permettre d'ancrer, en tout cas, nos talents, nos compétences, ce qu'on a pu traverser, nos expériences de vie. Ça va permettre aussi de respecter les cycles. Encore une fois, ce que je partageais maintenant, de laisser... Aussi un temps de gestation, ça c'est pareil, ça fait partie du cycle de laisser un temps de gestation pour justement faire naître d'autres choses après. Et je trouve que quand on est dans cette dynamique-là, on n'est plus dans une course infernale à l'accomplissement, tu vois, c'est ça aussi, qu'on peut voir aussi sur les réseaux, et moi j'ai énormément de mal avec ça, avec ce truc d'être la meilleure version de soi-même et machin et truc, ou d'accepter sa lumière et d'être dans sa lumière. Alors oui, il faut être dans sa lumière, c'est bien d'être dans sa lumière. C'est même pas ifo, en fait, c'est bien d'être dans sa lumière. Mais pour être dans sa lumière, il faut aussi accepter, il faut aussi voir ses parts d'ombre. Et si on va pas voir ça, bah en fait, c'est comme le yin et yang, en fait, ça ne marche pas, parce que c'est la même pièce, c'est juste que c'est la phase opposée. Donc, et on rentre dans une course, finalement. Tu vois, finalement, cette quête-là de bien-être, d'être toujours dans le bien-être, d'être dans une dynamique, finalement, où... Pareil, on est dans le faire en fait. Ah oui, il faut faire du yoga, il faut faire ci, il faut faire ça, il faut remplir son planning. En fait, non. On rentre dans une course, encore une fois, au développement personnel et c'est la même chose en fait. C'est la même chose. C'est aussi de la performance. On est juste dans la performance de bien-être. Et ce n'est pas ça qu'on veut. Là, c'est être dans l'instant présent. Donc, c'est vrai que le fait d'être dans ces zones de confort-là, ça permet d'être, de se reposer sur ce qu'on connaît, d'aussi apprendre à apprécier ce qui est là et de plus... vouloir chercher, encore une fois, cette quête, d'être toujours dans cette quête de mieux, de bien-être et de mieux. Et surtout de faire, en fait, dans des activités, d'être toujours dans cette dynamique où il n'y a pas d'espace. Il n'y a pas d'espace pour respirer, en fait. On est toujours en contraction de oui, il faut faire ci, il faut que j'aille là. Donc, encore une fois, c'est faire de la place et ça permet de... Ces espaces-là, ils permettent d'ancrer plus en profondeur, tu vois, d'être dans tes racines, d'ancrer vraiment tes expériences et d'être aussi plus dans l'instant présent. Donc ça, c'était aussi un point que je voulais explorer ici. Et ça permet du coup d'être plus focus sur l'essentiel, tu vois. On n'est plus dans une quête d'amélioration, d'accomplir de nouveaux défis. On est dans une quête où... On est sur le bien-être immédiat et du coup, on est dans une forme de gratitude, de célébration de ce qu'on a et peut-être aussi de célébrer, tu vois, les petites choses du quotidien. On est plus dans cette dynamique-là quand on est justement dans cet espace où c'est connu, dans cet espace où c'est stable, dans cet espace où on ne se met pas la pression, où on n'est pas tout le temps en train de bouger, tout le temps en train de faire. Et cet espace-là, il va permettre aussi de... De prendre du temps pour soi, justement, de prendre du temps pour aller se promener en nature, de prendre du temps pour passer du temps, justement, avec ses enfants, avec sa famille, avec ses amis, de passer du temps de qualité et de plus être dans cette dynamique de toujours, encore une fois, remplir, mais d'être plus dans une vision qualité que dans une vision quantité. Et c'est vrai que ça permet vraiment de se focaliser sur qu'est-ce qui est important, encore une fois. Qu'est-ce qui est important pour moi ? Est-ce que finalement la richesse n'est pas là aussi dans les plaisirs simples, dans le fait de passer un quotidien serein, d'être bien avec soi, d'être en sérénité avec soi, et de ne plus être dans cette quête finalement, encore une fois, de gagner 10 000 cas par mois, de vivre à Bali sur une île paradisiaque, c'est cool. Après peut-être que si c'est ton projet c'est bien, tant mieux, et si c'est ok pour toi c'est bien. Mais en fait, là, ce que je veux mettre en lumière, c'est de ne pas être dans cette comparaison de ce qu'on peut voir, en fait, et de ne pas s'approprier les rêves des autres. Parce que des fois, ça peut être ça aussi. On peut avoir l'impression, entre guillemets, d'être pas assez, d'être nul, parce qu'on va avoir des personnes qui n'ont pas les mêmes visions de vie, les mêmes envies que soi. Mais en fait, c'est complètement juste, tu vois, ce truc de mission de vie, moi, j'utilise pas forcément ce mot-là, parce que je suis pas à l'aise, pour moi, on n'a pas qu'une mission de vie, et pour moi, la mission de vie, c'est comme si on devait accomplir de grandes choses, alors qu'on peut accomplir des choses au quotidien, on peut, tu vois, tu peux t'investir dans la, je sais pas, dans ta mairie, dans une association, et ça peut enclencher dans un monde de changement, en fait, sur cette petite échelle-là, sur l'échelle de la ville, c'est déjà énorme au niveau du collectif. Donc ça sert à rien, tu vois, de... d'être dans cette... Enfin, c'est pas que ça sert à rien, tu vois, c'est pas le bon mot, mais c'est important, encore une fois, d'avoir ce recul pour observer, finalement, qu'est-ce que je veux, qu'est-ce qui est important, en fait. Et il y a aussi, du coup, le dernier point, pour moi, qui me paraît essentiel, c'est, justement, que ça va renforcer les liens avec soi et les liens avec les autres. Quand t'es dans cet espace où t'es bien avec toi, où t'es dans ta zone de confort, où t'es pas dans cet espace, en fait, où tu te challenges trop, où t'es pas dans le faire, où tu performes, Ça ouvre énormément de portes, finalement, de connexion avec soi, de connexion avec les autres. Je te parlais d'être plus dans la qualité que dans la quantité. C'est de, encore une fois, qu'est-ce qui est important pour toi ? Est-ce que peut-être que ta vie familiale, elle est là, mais en fait, vous ne prenez pas forcément de temps qualité ensemble parce que vous n'avez pas le temps ? Peut-être que, justement, ça permet aussi d'être plus dans des relations plus profondes, plus authentiques. On n'est plus hyper sollicité par des choses à l'extérieur. Par exemple, si pour toi, c'est le pilier famille qui est hyper important, peut-être que c'est là où il faut mettre ton énergie pour que la communication soit là, pour être dans des moments qualitatifs comme ça. Et peut-être que ça passe par faire des choix et prendre des décisions, de ne pas accepter trop de choses, d'arriver, comme je le disais précédemment, à poser ses limites et à identifier vraiment ce qui est important. Donc ça permet de créer des liens qui sont plus qualitatifs avec les autres, selon moi. Ça permet aussi d'être dans un renforcement, pour moi, de l'estime de soi. Tout simplement parce qu'on est plus, en fait, dans quelque chose d'authentique et de, entre guillemets, simple, de ce dont on a besoin, en fait. On accepte, finalement, qui on est, dans ses parts d'ombre et dans ses parts de lumière, et on va, en fait, être dans un espace plus neutre et de... où il y aura moins de jugement, en fait. Tout simplement parce que, quand on est dans cet espace-là, on sait ce qui est juste pour nous. On sait, on a pris le recul nécessaire, on sait qu'on n'a pas forcément, peut-être, envie d'être président de la République, et c'est OK, en fait. On est qui on est, on a nos envies, on a nos aspirations. C'est pas pour autant que, quand on reste dans cette zone-là, où c'est un peu plus... où on ne va pas explorer de grandes, grandes choses, qu'on reste dans l'inertie, et ça, on va en parler après. Mais on va sortir finalement de cette image d'être entre guillemets la meilleure version de soi-même ou que sais-je, ou d'être, tu vois, je sais pas, la personne qui va faire, comme je disais, 10 cas par mois, ou la personne qui va avoir une famille parfaite, avoir un quotidien parfait, qui va faire ses morning routines le matin à 5h. Enfin, et encore, si ton truc, c'est OK, tu vois, mais c'est juste sortir de cette comparaison qui est pas forcément bonne et qui va... générer encore une fois un esprit de un peu de compétition de comparaison et ça permet vraiment quand on est dans cet espace là de prendre un temps de recul et de se concentrer sur autre chose en fait et d'apprécier le chemin qu'on emprunte d'apprécier ce dont on a envie d'apprécier ce qui nous fait du bien en fait et moi j'adore passer par exemple un dimanche après m'a fait du coloriage à me faire des petites crêpe c'est mon petit plaisir je vais pas me culpabiliser de ça parce qu'il y en a qui vont faire un marathon de 30 km le matin en fait bah moi c'est pas mon truc c'est pas mon truc c'est pas grave en fait c'est ok et ça permet vraiment aussi pour selon moi de consolider la confiance finalement dans ce qu'on sait faire dans ce qu'on aime dans nos valeurs dans nos talents et sans vouloir encore une fois se prouver ou prouver à autrui que on est comme si on est comme ça et de porter un masque qui n'est pas à soi, en fait. Ce n'est pas à soi d'être dans une dynamique où on veut absolument tout le temps faire ou performer ou avoir de grandes ambitions. Alors peut-être que c'est ton truc et c'est OK, mais c'est vrai que moi, je te partage ma vision des choses, là. Parce que j'ai pu beaucoup être dans cet espace-là de comparaison et de moi, finalement, qu'est-ce que je veux ? Et est-ce que c'est grave, tu vois, si... Je n'ai pas des ambitions de ouf. J'en ai des ambitions, mais je n'ai pas... En fait, j'avais une image des personnes ambitieuses comme des personnes, tu vois, qui vivent à Dubaï et qui ont, je ne sais pas, qui font, ouais, je ne sais pas, 50 000 euros par mois de chiffres. Enfin bref, c'était complètement hors de ma réalité. Donc c'est déjà de revenir à ici et maintenant. Qu'est-ce que je veux ? Qu'est-ce qui est important pour moi ? Et en fait, ça va débloquer des choses et ça va permettre aussi de se mettre en mouvement. Et d'ailleurs, quand je te parle de mouvement, là, je vais te partager... des conseils justement pour avancer, parce que là je t'ai partagé ma façon de voir les avantages qu'il y a à rester dans cette dynamique un peu de zone de confort et à ne pas trop se bousculer, mais c'est pas parce qu'on est dans cette dynamique là qu'on va rester complètement figé et qu'on va être un peu en mode grosse larve devant son canapé à manger des chips et à rien faire, c'est pas du tout ça, c'est juste que moi je suis dans une approche plus douce, je pense que c'est hyper important de de, encore une fois, consolider ses racines, d'être dans l'écoute de soi, d'être dans son écoute de la part de soi qui a besoin d'être rassurée, et de poser des actions pour avancer. Donc comment, moi, je fais concrètement pour me mettre en mouvement, ne pas trop me challenger, mais qui ait quand même une dynamique qui me connecte à ma vision, qui me connecte à ce qui est important pour moi. Parce que pour moi, rester dans sa zone de confort, ça peut être OK du moment que ça ne nous pénalise pas, que ça ne nous draine pas et qu'on n'est pas dans un système un peu de je me contente d'eux, en fait. Ou oui, de se trouver des excuses, tu vois, parce qu'il y a des personnes aussi qui peuvent se dire ah bah oui, non, mais je suis à l'écoute de mon énergie, je fais attention à moi, mais du coup, elles ne mettent rien en place. Alors là, tu vois, pour moi, il y a un déséquilibre. Il y a un déséquilibre quand on est trop dans le faire, quand on est trop dans la performance et qu'on veut aller trop, trop, trop. Mais il y a aussi un déséquilibre dans l'autre sens, où on est dans une forme de léthargie, où on ne met pas de choses en place. Donc là, moi, je vais te partager ce que je fais et mes conseils pour avancer. Pour moi, la première chose, ça va être de se créer de l'espace, du temps pour soi. En fait, le fait de prévoir des temps d'imprévu dans son quotidien, ça va vraiment permettre d'observer où part notre temps, d'observer notre énergie, à quel moment j'ai plus d'énergie, à quel moment je suis moins en énergie, et de ne pas faire des choses ou de ne pas être dans des choses productives au moment où je n'ai pas beaucoup d'énergie parce que ça va me drainer énormément. Donc ça, c'est une phase d'observation, encore une fois. de ses fonctionnements, de son énergie, de qui on est, et de l'énergie qu'on a à disposition. Cette énergie, elle va fluctuer en fonction peut-être de la période du mois, en fonction de ce qui nous traverse en ce moment, de nos challenges. Donc encore une fois, c'est d'être dans une observation de soi, sans jugement, et dans la douceur, en fait, et de ne pas être dans la culpabilité de se dire Ah oui, j'aurais pu faire ci, j'aurais pu faire ça Non, là, en fait, ce temps-là d'observation, pour moi, il fait partie du process, ce temps-là de... D'observer, de se régénérer, il est essentiel pour justement construire des choses après et pour se mettre en mouvement. Donc c'est hyper important de se poser aussi pour décharger, tu vois, dans les moments un peu plus down, dans les moments où il y a pas mal de choses à gérer. Donc c'est important pour moi de ne pas rester avec ça à l'intérieur et de s'autoriser à décharger. Donc le mental, les émotions, tu vois, tous ces corps-là qui peuvent avoir tendance à... À se cristalliser ou à se bloquer quand on n'a pas l'espace, en fait. Quand on n'a pas l'espace, forcément, on ne va pas avoir le temps pour décharger ses émotions, du moins de façon saine. On ne va pas avoir le temps de poser son mood, tu vois, sur son cahier. Enfin, ça, je trouve que c'est hyper riche aussi. Quand il y a des choses qui tournent dans notre tête ou quand il y a de la lourdeur, de poser, en fait, de verbaliser les choses. À soi, ça peut être de soi à soi dans un cahier. Ça peut être avec un proche. Ça peut être avec un thérapeute. Ça peut être plein de choses. Mais pour moi, c'est hyper important de faire une sorte d'état des lieux, de faire une sorte de tri pour savoir finalement comment je me sens, qu'est-ce qui est présent pour moi en ce moment, est-ce qu'il y a des choses qui ont tendance peut-être à me drainer mon énergie, est-ce qu'il y a des choses qui peuvent m'en apporter. Et tous ces questionnements-là, ils ne peuvent pas être faits quand on est dans une course infernale en fait, où on n'a pas le temps, où on ne prend pas le temps surtout. Et c'est pour ça que moi, c'est ce que je propose aux personnes que j'accompagne, c'est de créer vraiment cette loupe-là sur soi, d'aller voir, d'aller explorer. finalement, où part mon énergie, qu'est-ce qui me draine, comment je me sens en fait. De trouver cet espace-là, c'est un espace hyper précieux aujourd'hui, parce qu'on est dans une course infernale tout le temps, il y a toujours énormément de choses à faire, on est hyper sollicité de partout, par le téléphone, par le travail, par, bref, les éléments qui peuvent interagir dans notre quotidien. On a beaucoup plus d'occupation, on a beaucoup plus de choses à gérer qu'avant, ils étaient beaucoup plus dans l'instant présent. Donc ça, les nouvelles technologies, elles jouent aussi un peu contre nous de ce côté-là. C'est pour ça que c'est important de se discipliner et c'est aussi important de savoir quel temps on dispose dans la semaine, en fait. Et ça, pour moi, c'est aussi un pilier qu'on explore dans l'accompagnement Réveille ta nature, c'est de savoir où part le temps, de poser un planning qui est aligné avec soi, qui est aligné avec ce qui est important. avec ce qui est urgent, d'apprendre peut-être à déléguer. Bref, il y a des pistes à explorer là-dessus aussi. C'est de savoir combien de temps tu as dans ta semaine. Est-ce que tu as des temps pour toi ? Est-ce qu'il y a des équilibres ? Est-ce qu'il y a des choses qui te pèsent ? Parce que ça, c'est pareil, ça va bloquer énormément de choses quand tu es drainé comme ça pour avancer sur certains projets, pour poser un plan d'action, pour mettre en place des choses. Tu n'auras pas l'espace temps, tu n'auras pas l'espace mental pour faire ça parce qu'il y a une forme de débordement. donc ça aussi tu vois c'est aussi un conseil que je peux te partager c'est de faire une chose à la fois et de pas disperser ton énergie parce que ça je sais que ça peut être compliqué pour certaines d'entre vous c'est que on commence un truc comme je le disais on est sollicité ah bah je pense à ça donc je vais faire autre chose et il y a une forme un peu de mouvement, d'excès de ouais de mouvement et de d'ancrage qui manque dû à un manque de clarté finalement de ce qui est important de ce qu'on doit faire Donc, ça va générer énormément de dispersion d'énergie et on va finir par ne plus savoir quoi faire. Ça va nous fatiguer, ça va nous drainer. Donc là, c'est pareil, quand tu commences quelque chose, c'est de le faire pleinement jusqu'au bout. Et si tu n'as pas forcément le temps de le reprogrammer à un autre moment, mais ça me paraît vraiment essentiel d'être dans cette dynamique-là parce que sinon, tu ne vas pas aller jusqu'au bout des choses. Et ça va être compliqué d'instaurer des... de mettre de l'énergie dans des choses qui te tiennent à cœur, de mettre de l'énergie dans des projets qui contribuent à ta vision, s'il y a une dispersion et s'il y a un manque d'ancrage. Donc les uns vont avec les autres. Et pour moi, pour se faire, pour arriver dans cette dynamique-là, il faut du passage à l'action. Sinon, ça reste de la procrastination. Si vraiment, tu vois, je te donnais l'image, un peu du gros flanc devant sa télé qui mange ses chips, il va y avoir en fait une sorte de lourdeur, ou une sorte de forme de procrastination, une forme de lassitude, s'il n'y a pas de passage à l'action en fait. Et c'est pour ça, pour moi, c'est hyper important de se poser des objectifs smart, des objectifs qui sont alignés avec qui on est. Donc des objectifs qui vont être mesurables, qui vont être spécifiques, qui vont être ambitieux, qui te motivent, qui vont être réalistes. Donc est-ce que ce sera faisable de le faire ou pas ? Est-ce qu'il va y avoir aussi une deadline au niveau de ce que tu as prévu ? En fait, c'est d'être dans le concret. On a besoin d'être dans le concret. Et de poser des actions quand même. Encore une fois, dans le respect de son énergie, on ne va pas se mettre 15 objectifs par mois. En fait, c'est beaucoup trop. Le but, c'est d'être dans une dynamique où il y a du mouvement, mais on va respecter son énergie. Donc moi, souvent, je conseille de ne pas dépasser 3. Et ça dépend, encore une fois, le projet que tu as. Parce qu'après, on peut mettre des sous-objectifs. Donc ça, c'est des choses qui sont intéressantes à aller explorer. Et pour moi, il y a une dernière chose qui me paraît. essentiel, c'est de célébrer ces victoires au quotidien en fait pour ne pas être dans cette dynamique de oui on n'avance pas, souvent on a tendance à voir, on a l'impression qu'on n'avance pas, on a l'impression qu'on ne met pas assez de choses en place, on peut retourner finalement dans ce syndrome un peu de performance qui n'est pas forcément ok c'est important de noter ces victoires au quotidien, de noter ce qui nous fait du bien de noter ces 3 kiffs par jour comme je le partage dans mes accompagnements, d'être dans cette dynamique d'habitude en fait, de voir... ce qu'on a fait, ce qu'on a réussi, ce qui nous a fait du bien, ce qui nous a fait plaisir dans notre journée, parce que c'est dans cette dynamique-là qu'on va pouvoir changer de lunettes, de mettre ses lunettes roses, comme j'aime l'appeler, et pour voir finalement ce qu'on a réussi à faire et les choses qui nous font du bien au quotidien. On n'a pas besoin de grandes choses en règle générale, on a besoin de revenir à soi, on a besoin de se connecter avec les autres, avec les gens qu'on aime. de se reconnecter aussi peut-être à la gratitude d'avoir un toit, à la gratitude d'avoir à manger, de pouvoir se faire plaisir, d'avoir du temps libre. C'est des choses qui sont très très simples. Donc pour moi déjà se connecter à ça, ça permet d'être dans une autre dynamique et de ne pas être focus sur ce qui manque, de ne pas être dans une dynamique de il me manque quelque chose et de lourdeur, mais plus dans une dynamique élevante de dire en fait j'ai déjà ça et c'est énorme en fait. J'ai déjà ce dont j'ai besoin pour être bien. Et après c'est hyper... Ça donne énormément d'énergie, en fait, je trouve, pour concrétiser d'autres choses, pour mettre en place, pour être encore plus aligné, pour être encore plus épanoui dans sa vie et pour mettre un plan d'action vers ce qui nous fait du bien quand on est dans cette dynamique-là de faire de la place, d'observer finalement qu'on est bien, qu'on a de la gratitude pour certaines choses. Et pour moi, ça, ça change tout parce qu'on est dans une dynamique élevante, on a une posture différente. On n'est plus dans une posture de, tu vois, un peu avachie de, entre guillemets, de victime, de je ne peux pas faire ci, je ne peux pas faire ça, d'être dans cette limitation. On est dans une dynamique plus de queen, en fait, d'être dans une posture qui nous élève, d'être dans notre puissance. Et ça, voilà, c'est ce que je transmets dans mes partages, c'est ce que j'essaie de transmettre au mieux dans mes partages ici, dans mes accompagnements. Et... Et je pense que si tout le monde se permettait ça, si tout le monde mettait en place des habitudes de vie au quotidien pour être dans sa puissance, on ne serait pas du tout dans la situation dans laquelle on serait aujourd'hui. Et il y aurait beaucoup plus d'épanouissement, beaucoup plus de choses élevantes dans notre environnement. Donc si toi en tout cas ça te parle, si toi tu as envie d'aller explorer ça aussi, si tu sens que tu es concerné dans ce que j'ai pu exprimer. que des fois, tu as peut-être l'impression d'être un peu englué dans cette zone de confort, que ça t'apporte du bien, mais tu sens que tu aimerais avoir un peu plus de mouvement, on peut en discuter. Je propose des appels exploration où on explore ensemble tes problématiques actuelles, tes challenges actuels et où on pose des graines de changement ensemble. Donc, si tu es intéressé, je vais te mettre le lien dans la description de cet épisode. J'espère en tout cas que tout ça t'a plu. Je voulais un peu... Déculpabiliser, en fait. Je pense que c'est important d'être doux avec soi, encore une fois, d'être dans une dynamique de soutien envers soi que d'être en mode flagellation, à se dire qu'on n'est pas assez, à se dire qu'on pourrait mieux faire. Et de mettre la lumière, de mettre notre attention sur ce dont on a la main et de mettre aussi en valeur les temps qu'on s'octroie, en fait, pour soi, qui sont des temps précieux, finalement, pour... pour construire des choses qu'on a envie et pour surtout être heureux parce qu'il n'y a pas que la projection, il n'y a pas que le fait d'être dans l'action. Il y a le fait d'être aussi et le fait d'être, ça permet énormément de choses, ça ouvre énormément de portes. Donc j'espère que cet épisode t'aura permis de mettre en lumière certaines choses et d'apporter peut-être un peu plus de souplesse. Si tu entends ce message, c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode. Donc je te remercie. Si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche, je t'invite à le partager. Tu peux également mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

Description

🎙️ Et si on arrêtait de se mettre la pression pour sortir en permanence de sa zone de confort ?
Dans cet épisode, on déconstruit le mythe du dépassement de soi à tout prix et on explore les bienfaits souvent ignorés de rester dans un cadre familier. Moins de stress, plus de stabilité émotionnelle, et une véritable reconnexion à soi-même.

Je te partage ici 6 avantages à rester dans sa zone de confort et te propose des pistes d'exploration pour avancer avec plus de douceur et de respect de soi même.
Découvre pourquoi ta zone de confort n'est pas synonyme de stagnation, mais peut être un espace d'évolution, de bien-être et de renforcement personnel. Oublie la pression sociale et fais la paix avec toi-même, tout en te concentrant sur ce qui compte vraiment, c'est ça le plus important !

👉 Dans cet épisode, je fais un pont avec l'épisode 40 que je t'invite à écouter si ça n'est pas déjà fait !
Tu peux aussi prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥

Cet épisode est une invitation à te foutre la paix, à cultiver ce qui te nourrit déjà et à te recentrer sur tes vrais besoins. 💪


Belle écoute ✨


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans le podcast pétillant et authentique Réveille ta nature. Telle une petite fée clochette, j'ai à cœur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexions au cœur. Je suis Aurore, praticienne bien-être et coach. J'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur cœur, dans leur corps et dans leur esprit. Je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités. Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, c'est une thématique un peu spéciale. Je voulais aller un petit peu à contre-courant parce que, tout simplement, on voit beaucoup, là, avec la rentrée, il y a beaucoup de nouvelles habitudes qui se créent et c'est génial. Moi, je trouve ça... Je trouve que c'est hyper intéressant d'être dans une dynamique de mouvement et d'instaurer de nouvelles choses au moment de la rentrée. Mais il peut y avoir aussi un peu de sentiments de culpabilité. ou un peu ce syndrome un peu de performance où il faut faire toujours plus, où il faut faire toujours mieux. Et c'est surtout ça que je voulais aborder aujourd'hui. Donc je voulais te partager dans un premier temps 6 raisons de rester dans sa zone de confort. Et après je vais te partager aussi des conseils pour te mettre en mouvement, pour qu'il y ait des choses quand même qui se mettent en place. Mais dans le respect de qui tu es, dans le respect de ton énergie et sans te comparer à ce que tu peux voir à l'extérieur. On sait tous que ce n'est pas forcément évident. Parce que, comme je te le partageais, on peut avoir tendance à se comparer à son entourage, à ce qu'on peut voir sur les réseaux. Donc là, en fait, c'est pour moi hyper essentiel de faire un focus sur soi et d'arrêter de voir forcément à l'extérieur. Je voulais apporter aussi une nuance par rapport à cette fameuse zone de confort. Pour moi, elle est parfois nécessaire. Encore une fois, le but, ce n'est pas d'être dans... Dans du noir ou blanc, il faut apporter de la nuance dans tout ça. Mais en fait, on peut sortir de sa zone de confort sans pour autant avoir de super grandes ambitions ou de tout changer du jour au lendemain. Moi, je suis plus dans une dynamique en douceur à faire un plan d'action, mettre des choses en place, à bouger, à se challenger. Mais sur un projet de vie, par exemple, et sur un domaine de vie, et pas être dans la performance du toujours plus et être forcément dans la... dans la souffrance ou dans la contraction, parce que tout ça, on va le voir, mais ça coupe énormément du plaisir, ça coupe énormément de la joie, de la gratitude de ce qu'on a au quotidien, et je ne trouve pas forcément ça juste. Je pense que c'est hyper important de se reconditionner là-dessus. Moi, j'ai vraiment cette image-là de moi, enfant, ou moi, ado, qui devait faire ses devoirs, qui devait galérer. Je sais qu'à l'école, j'étais dans... Dans la moyenne, mais je sais que je devais travailler énormément, que je devais bûcher beaucoup parce que j'avais beaucoup de difficultés à me concentrer. Surtout arrivé au lycée où c'était très compliqué. En plus, j'étais dans un lycée privé où il y avait énormément de pression scolaire. Et c'est vrai que pour moi, la réussite, elle a été vraiment associée à la labeur, au fait de voilà, il faut en chier, il faut galérer pour réussir vraiment. Et bon, c'est des choses que j'ai déconstruites et j'en ai bien conscience. Mais c'est des voilà. il peut y avoir des mécanismes qui restent quand même ancrés malgré tout et c'est pour ça que ça me paraissait aussi important de faire ce podcast-là, de faire cet épisode-là parce que je pense que je suis loin d'être la seule. Je pense qu'il y a énormément d'enfants qui ont souffert et qui souffrent encore d'ailleurs de cette dynamique-là de performance et de mettre finalement l'intelligence dans une case. Finalement, il n'y a que l'intelligence cartésienne qui est mise en valeur. Le fait d'être bon en chimie, le fait d'être bon en maths, Le fait d'être scientifique, c'était beaucoup plus valorisé à mon époque que par exemple de faire du littéraire, alors que c'est tout à fait prestigieux aussi, il n'y a pas de moins bien. Et je pense que c'est aussi la même chose, je me suis fait la réflexion par rapport à ma créativité aussi, que j'étais beaucoup moins valorisée quand j'étais dans ma créativité que quand justement je travaillais ou que je faisais une disserte ou que j'étais dans quelque chose de plus cérébral. Pour moi, cet épisode, c'est aussi ça, c'est aussi un bonbon, c'est aussi faire preuve de douceur avec soi-même, c'est d'être dans son énergie féminine et d'être dans une dynamique de douceur et de compassion, de bienveillance envers soi et d'observation. Bienveillance ne veut pas dire bienveillance à tout prix, d'être dans le déni ou quoi, c'est juste d'apporter un petit peu de douceur et d'être moins dans cette dynamique yang, mais un peu qui force, qui est dans l'action, mais sans réfléchir finalement à ce qu'il fait. Et pour moi, ça, c'est une des premières raisons. Et c'est une raison qui est hyper essentielle. C'est de diminuer le stress et l'anxiété. Parce que quand on est dans une dynamique comme ça, où on force quelque chose, où on veut toujours être plus, où on veut se prouver à soi ou aux autres, aux proches, qu'on est bon, qu'on est meilleur que les autres, qu'on est dans une dynamique aussi où on est fort, où on sait braver un peu les tempêtes. On est dans une énergie où on force, et moi j'ai vraiment cette image du guerrier ou de la guerrière d'ailleurs, qui pousse, qui pousse, qui pousse, mais qui va contre finalement les lois du vivant, et ça crée énormément de tensions, ça crée énormément de crispations à l'intérieur, autant au niveau du corps qu'au niveau du mental. Donc c'est vrai que le fait de vouloir absolument d'avoir des objectifs trop gros par exemple, ou d'avoir trop... de se mettre énormément de choses sur le dos, d'avoir énormément de tâches à faire, ça peut passer par plein de choses, ça va forcément générer énormément de stress et d'anxiété, la fameuse aussi charge mentale, bon il y a des choses qu'on peut pas forcément éviter quand on a des choses à gérer au quotidien, mais c'est vrai que ça demande une vigilance constante, des efforts permanents, et ça va forcément générer du stress et de l'anxiété. Donc si en plus... Déjà, dans ce quotidien, il y a énormément de choses et qu'en plus, on va se challenger, on va avoir besoin de... On va avoir besoin, on va se sentir obligé de faire toujours plus, d'être... Je ne sais pas, j'ai l'image du sketch de Gad Elmaleh, avec le blond, avec le mec parfait qui fait tout bien. Forcément, ça va vraiment générer énormément de tensions à l'intérieur. Et pour moi, ça, ce n'est pas forcément OK, parce que c'est logique, en fait, ça va... Avoir énormément d'effets, peut-être pas sur le court terme, mais sur du moyen long terme, c'est là où on va commencer à avoir des tensions, on va avoir des maux. Pour moi, rester dans sa zone de confort aussi et de ne pas trop se challenger ou être trop dans la performance, ça va énormément réduire le stress, l'anxiété. Et ça va aussi forcément avoir des conséquences sur ton espace mental, tes plaisirs aussi dans ce que tu fais au quotidien. Parce que quand... On est dans des moments de vie où, encore une fois, ça peut arriver d'être dans des moments de vie où il y a beaucoup de mouvements, il y a du stress, il y a des changements de vie, donc forcément ça génère du stress. Donc là je te parle plus de stress chronique, d'une sorte de pression sous-jacente qui est tout le temps présente, qui est tout le temps là. Forcément tu te coupes du plaisir, tu te coupes de ce qui est bon, tu te coupes aussi de tes petites victoires du quotidien, de ce qui est beau, de ce qui fait qu'on est dans la présence et qu'on est ici et maintenant. Maintenant, en fait, quand on est dans cette dynamique, toujours de projeter ce qu'il faut faire ou de projeter dans le futur, forcément, ça va générer énormément de stress. Donc voilà, déjà pour moi, le fait de rester dans sa zone de confort, ça va vraiment permettre de réduire le stress et l'anxiété. Encore une fois, rester dans sa zone de confort, ça ne veut pas forcément dire rester figé, rester statique. On peut apporter des nuances et se mettre en mouvement aussi, mais apporter plus de douceur, justement. Du coup, en deuxième point, moi, ce que je voulais te partager aussi, c'était finalement... La prévention un peu des faux défis. Des fois, on se met trop de choses. Moi, j'avais tendance à faire ça souvent, de me faire des to-do listes à rallonge, de mettre énormément de choses et d'être dans une dynamique où il y avait toujours plus encore. Il y avait cette question de toujours plus. Et je me coupais finalement de ce dont j'avais besoin au quotidien et je me coupais surtout de la quantité d'énergie que j'avais à ma disposition. Parce que c'est ça aussi. Il y a cette phrase qui dit qu'on ne peut pas remplir le bol de quelqu'un quand le sien est vide. Et moi, je suis complètement OK avec ça. C'est que souvent, c'est valoriser, de prendre soin des autres, d'être dans une dynamique où on va être là pour l'autre. Mais du coup, on ne respecte pas ses besoins, on ne pose pas ses limites. Et c'est vrai que ça peut générer encore plus de tâches à faire. Tu vois, on va s'engager dans des choses. Ou alors, finalement, on n'avait pas forcément l'espace-temps. Et ça va drainer énormément d'énergie. Et on s'impose des choses. Des fois, on a l'impression que, sous prétexte qu'on va paraître moins bien, sous prétexte qu'on va paraître pas sympa, pas généreux, on va s'investir, on va s'engager dans des projets, dans des choses, en fait, où on n'avait pas forcément l'envie. Tout simplement parce qu'on s'est mis dans cette image de oui, je veux, je suis la personne, alors je parle pour moi, en fonction de mon expérience de vie. Je ne l'ai pas mentionné, mais forcément, je parle en fonction de ce que moi, j'ai pu vivre. Mais je voulais paraître pour la personne qui était sympa, la personne qui était généreuse, la personne qui aimait des autres, parce que j'avais ce besoin-là. On a tous besoin d'être aimé, mais j'avais vraiment ce truc un peu à outrance d'être appréciée. En fait, il fallait que je sois appréciée. Je ne supportais pas que des personnes ne m'apprécient pas. Je pensais qu'en fait, vu que j'étais cool et que j'étais sympa et que machin, que j'allais être appréciée. Mais du coup, ça crée énormément de pression à l'intérieur. Donc là, tu vois, c'est par rapport à mon entourage. J'ai déjà pu vivre ça. Mais il y avait aussi beaucoup ça dans... Je reprends l'exemple de l'école parce que... Même là, si tu fais des formations, si tu es en changement de devis, c'est parlant aussi. Mais il y a ce truc de oui, il faut tenir bon, il faut être bon, il faut être parfait. Le fameux sois parfait je l'avais énormément. Je l'ai encore, mais je sais la différence aujourd'hui. C'est qu'elle est là, cette facette de moi, mais je ne me laisse plus guider par elle. Je sais qu'elle est là et je sais que je me reprends quand je vais trop loin ou quand je passe trop. de temps justement à quelque chose qui n'est pas important. Donc c'est ça aussi la question qu'on peut se poser dans cette dynamique-là, c'est qu'est-ce qui est important ? Est-ce que tu vois, c'est passer du temps en famille ? Est-ce que c'est prendre du temps pour toi ? Il peut y avoir plein de choses, mais c'est vrai que du coup, des fois, on peut se laisser happer, on peut se laisser entre guillemets, aspirer par des choses extérieures qui ne sont pas forcément importantes, mais qu'on fait parce qu'on se dit qu'il faut le faire. Donc c'était surtout ça pour moi le deuxième point, l'avantage aussi. C'est que quand on reste un peu dans cette zone de confort-là, on ne va pas être dans cette dynamique-là où on va vouloir faire plus ou se mettre énormément, tu vois, se mettre la barre hyper haut pour faire des choses, se mettre énormément de pression. Donc, on est vraiment dans cette dynamique de garder de l'énergie, de conserver son énergie et de ne pas se mettre dans des projets finalement qu'on n'avait pas forcément envie ou des projets. qui vont justement drainer trop d'énergie ou qui vont te prendre trop de temps. Donc, pour moi, c'est vraiment aussi une sorte un peu de prévention quand on est dans cette zone de confort-là, de ne pas s'engager dans des choses, finalement, qui ne nous correspondent pas. Aussi, il y a énormément la question de sécurité. D'ailleurs, souvent, c'est ça qu'on met en valeur aussi, qu'on met en avant dans les partages sur les réseaux, c'est qu'il y a cette question de sécurité, finalement. Qu'est-ce qu'on choisit ? Est-ce qu'on choisit la sécurité ou est-ce qu'on choisit... Le fait de suivre ses élans de vie, de suivre ses rêves. Et là aussi, tu vois, pour moi, ce n'est pas opposé. Ce n'est pas parce que tu as un fort besoin de sécurité que tu vas devoir absolument... Que tu restes le cul dans ton canapé et que tu ne fous rien, en fait. Il y a encore une fois des nuances à poser. Parce que selon moi, en fait, tu peux avoir un besoin de sécurité, mais tu peux aussi te mettre en mouvement. Donc te mettre en mouvement, mais à ton rythme, encore une fois. Pas dans cette dynamique de forcer, de comparer à des personnes. que tu peux suivre peut-être sur les réseaux, ou des personnes de ton entourage, de ta famille, selon moi, ce sentiment de sécurité, il va travailler l'ancrage, il va travailler la stabilité, aussi au niveau des émotions, en fait. Pour moi, la zone de confort, en fait, elle va permettre une forme d'ancrage, une forme de sécurité. Et j'avais parlé dans l'épisode 40 du fait de traverser ses peurs, et j'avais parlé aussi de la question de la sécurité intérieure, pour moi, qui ne me paraissait pas forcément juste, et je voulais apporter une nuance ici, parce que... Il y a des éléments extérieurs forcément qui vont jouer dans ce sentiment de sécurité intérieure. Mais au plus on va instaurer des choses au quotidien, au plus on va prendre de l'espace pour finalement ancrer ce qui est déjà là, et c'est le point suivant, mais c'est en lien avec ce que je te partage là, c'est que pour moi forcément ce sentiment d'ancrage, ce sentiment de sécurité, il va être obligatoire, il va être un socle vraiment pour... pour aller traverser différentes choses, pour peut-être te mettre en mouvement. Donc c'est vrai que c'est aussi un avantage quand on est dans cette zone de confort, c'est qu'on peut travailler sa sécurité, entre guillemets, intérieure. Le fait d'instaurer ses routines, d'instaurer des choses pour être avec soi, pour se connecter à son intériorité, ça va vraiment, pour moi, être un socle, même si ça ne fait pas tout. Comme je te disais, il y a des cycles de vie extérieurs aussi. Mais dans les moments où c'est un peu plus calme, dans les moments où... où on a envie d'instaurer des changements, mais de façon plus douce, ça va permettre d'être plus ancré, de mieux respecter aussi ses limites. Parce que quand on est dans cette forme-là d'être dans sa zone de confort, on va être dans une dynamique de... On respecte ses limites, on va s'écouter. Qu'est-ce qui fonctionne pour moi ? Qu'est-ce qui ne fonctionne pas pour moi ? De quoi j'ai besoin, en fait, finalement, là, maintenant ? C'est vrai qu'au moins, on respecte, on ne dépasse pas ses limites, on est dans une dynamique où on s'écoute. Encore une fois, il y a une nuance à poser parce qu'on peut peut-être tomber dans de la procrastination à long terme, mais bon, ce n'est pas forcément le thème de cet épisode. Mais en tout cas, ce bénéfice-là, cet avantage-là d'être dans une question de sécurité, d'être aussi dans un confort entre guillemets émotionnel, on n'est pas trop balotté parce que des fois, quand on a une sensibilité qui est assez importante... Et quand on se challenge ou quand on a des changements de vie, on peut se sentir balotté, ça peut être assez intense. Donc c'est important aussi dans les phases de creux d'être avec soi, de se foutre la paix, d'être dans une forme de... de bonbons, de doudous, en fait, d'être dans une forme de compassion envers soi, ça permet aussi d'instaurer peut-être des changements par la suite, ou même d'instaurer déjà des graines de changement, même dans, justement, dans la période plus tranquille, mais de façon plus mature, de façon plus intelligente, en fait, il y a vraiment le féminin qui est au service du masculin, tu vois, c'est de passer à l'action dans certaines choses, mais d'être... d'être aussi dans la douceur, d'être dans l'écoute de soi, de ses ressentis, quels sont mes besoins, de quoi, qu'est-ce qui me paraît important pour moi en ce moment. Donc ça va vraiment apporter un sentiment de compréhension de ses émotions peut-être, ou d'accueil de ses émotions du moins, parce que là c'est pas forcément cérébral, c'est plus d'accueil de ce qui est, et ça va permettre vraiment un ancrage. Donc ça c'est un point qui était important que je voulais te partager, et dans cet ancrage, c'est aussi d'être dans... dans l'attention de ce qui est déjà là en fait. Dans cet espace-là où on n'est pas dans la performance et où on est dans une énergie un peu plus slow, on va peut-être plus intégrer, plus infuser. Moi j'utilise souvent ce terme-là d'infuser, d'infusion, parce que je trouve que c'est très juste. Tu vois, quand tu vas mettre un thé ou quand tu vas mettre une infusion, un sachet de thé dans de l'eau, Au début, c'est un peu clair et au plus tu vas laisser infuser, au plus ça va être intense et au plus ça va être concentré. Et là, pour moi, c'est ça aussi, c'est que ça va permettre d'ancrer finalement ce que tu as traversé ou ce que tu as envie. Ça va peut-être permettre aussi de gagner en clarté sur ce que tu veux aussi par la suite et de respecter les lois du vivant. Donc quand je parle des lois du vivant, ça peut être de respecter les cycles, tu vois, on est contraction, expansion. Il y a des fois peut-être un moment où c'est important, c'est essentiel pour son équilibre encore une fois émotionnel, d'être dans une période plus cool et de se foutre la paix en fait, et d'arrêter de vouloir absolument se challenger et d'être dans le faire. Parce qu'il y a cette question encore une fois d'être dans le faire, d'être en mouvement. Parce que là tu vois je te parlais de performance, je te parlais d'être dans une sorte de zone de confort, mais ça peut être... aussi d'être dans une forme d'agitation, d'avoir besoin de toujours faire quelque chose, d'être toujours en train de bouger, d'être toujours en train d'être dans tous les sens. En fait, là, c'est vraiment pour moi un manque d'ancrage. Et c'est vrai que le fait de rester dans cette zone-là de confort, des choses qu'on connaît, ça va permettre d'ancrer, en tout cas, nos talents, nos compétences, ce qu'on a pu traverser, nos expériences de vie. Ça va permettre aussi de respecter les cycles. Encore une fois, ce que je partageais maintenant, de laisser... Aussi un temps de gestation, ça c'est pareil, ça fait partie du cycle de laisser un temps de gestation pour justement faire naître d'autres choses après. Et je trouve que quand on est dans cette dynamique-là, on n'est plus dans une course infernale à l'accomplissement, tu vois, c'est ça aussi, qu'on peut voir aussi sur les réseaux, et moi j'ai énormément de mal avec ça, avec ce truc d'être la meilleure version de soi-même et machin et truc, ou d'accepter sa lumière et d'être dans sa lumière. Alors oui, il faut être dans sa lumière, c'est bien d'être dans sa lumière. C'est même pas ifo, en fait, c'est bien d'être dans sa lumière. Mais pour être dans sa lumière, il faut aussi accepter, il faut aussi voir ses parts d'ombre. Et si on va pas voir ça, bah en fait, c'est comme le yin et yang, en fait, ça ne marche pas, parce que c'est la même pièce, c'est juste que c'est la phase opposée. Donc, et on rentre dans une course, finalement. Tu vois, finalement, cette quête-là de bien-être, d'être toujours dans le bien-être, d'être dans une dynamique, finalement, où... Pareil, on est dans le faire en fait. Ah oui, il faut faire du yoga, il faut faire ci, il faut faire ça, il faut remplir son planning. En fait, non. On rentre dans une course, encore une fois, au développement personnel et c'est la même chose en fait. C'est la même chose. C'est aussi de la performance. On est juste dans la performance de bien-être. Et ce n'est pas ça qu'on veut. Là, c'est être dans l'instant présent. Donc, c'est vrai que le fait d'être dans ces zones de confort-là, ça permet d'être, de se reposer sur ce qu'on connaît, d'aussi apprendre à apprécier ce qui est là et de plus... vouloir chercher, encore une fois, cette quête, d'être toujours dans cette quête de mieux, de bien-être et de mieux. Et surtout de faire, en fait, dans des activités, d'être toujours dans cette dynamique où il n'y a pas d'espace. Il n'y a pas d'espace pour respirer, en fait. On est toujours en contraction de oui, il faut faire ci, il faut que j'aille là. Donc, encore une fois, c'est faire de la place et ça permet de... Ces espaces-là, ils permettent d'ancrer plus en profondeur, tu vois, d'être dans tes racines, d'ancrer vraiment tes expériences et d'être aussi plus dans l'instant présent. Donc ça, c'était aussi un point que je voulais explorer ici. Et ça permet du coup d'être plus focus sur l'essentiel, tu vois. On n'est plus dans une quête d'amélioration, d'accomplir de nouveaux défis. On est dans une quête où... On est sur le bien-être immédiat et du coup, on est dans une forme de gratitude, de célébration de ce qu'on a et peut-être aussi de célébrer, tu vois, les petites choses du quotidien. On est plus dans cette dynamique-là quand on est justement dans cet espace où c'est connu, dans cet espace où c'est stable, dans cet espace où on ne se met pas la pression, où on n'est pas tout le temps en train de bouger, tout le temps en train de faire. Et cet espace-là, il va permettre aussi de... De prendre du temps pour soi, justement, de prendre du temps pour aller se promener en nature, de prendre du temps pour passer du temps, justement, avec ses enfants, avec sa famille, avec ses amis, de passer du temps de qualité et de plus être dans cette dynamique de toujours, encore une fois, remplir, mais d'être plus dans une vision qualité que dans une vision quantité. Et c'est vrai que ça permet vraiment de se focaliser sur qu'est-ce qui est important, encore une fois. Qu'est-ce qui est important pour moi ? Est-ce que finalement la richesse n'est pas là aussi dans les plaisirs simples, dans le fait de passer un quotidien serein, d'être bien avec soi, d'être en sérénité avec soi, et de ne plus être dans cette quête finalement, encore une fois, de gagner 10 000 cas par mois, de vivre à Bali sur une île paradisiaque, c'est cool. Après peut-être que si c'est ton projet c'est bien, tant mieux, et si c'est ok pour toi c'est bien. Mais en fait, là, ce que je veux mettre en lumière, c'est de ne pas être dans cette comparaison de ce qu'on peut voir, en fait, et de ne pas s'approprier les rêves des autres. Parce que des fois, ça peut être ça aussi. On peut avoir l'impression, entre guillemets, d'être pas assez, d'être nul, parce qu'on va avoir des personnes qui n'ont pas les mêmes visions de vie, les mêmes envies que soi. Mais en fait, c'est complètement juste, tu vois, ce truc de mission de vie, moi, j'utilise pas forcément ce mot-là, parce que je suis pas à l'aise, pour moi, on n'a pas qu'une mission de vie, et pour moi, la mission de vie, c'est comme si on devait accomplir de grandes choses, alors qu'on peut accomplir des choses au quotidien, on peut, tu vois, tu peux t'investir dans la, je sais pas, dans ta mairie, dans une association, et ça peut enclencher dans un monde de changement, en fait, sur cette petite échelle-là, sur l'échelle de la ville, c'est déjà énorme au niveau du collectif. Donc ça sert à rien, tu vois, de... d'être dans cette... Enfin, c'est pas que ça sert à rien, tu vois, c'est pas le bon mot, mais c'est important, encore une fois, d'avoir ce recul pour observer, finalement, qu'est-ce que je veux, qu'est-ce qui est important, en fait. Et il y a aussi, du coup, le dernier point, pour moi, qui me paraît essentiel, c'est, justement, que ça va renforcer les liens avec soi et les liens avec les autres. Quand t'es dans cet espace où t'es bien avec toi, où t'es dans ta zone de confort, où t'es pas dans cet espace, en fait, où tu te challenges trop, où t'es pas dans le faire, où tu performes, Ça ouvre énormément de portes, finalement, de connexion avec soi, de connexion avec les autres. Je te parlais d'être plus dans la qualité que dans la quantité. C'est de, encore une fois, qu'est-ce qui est important pour toi ? Est-ce que peut-être que ta vie familiale, elle est là, mais en fait, vous ne prenez pas forcément de temps qualité ensemble parce que vous n'avez pas le temps ? Peut-être que, justement, ça permet aussi d'être plus dans des relations plus profondes, plus authentiques. On n'est plus hyper sollicité par des choses à l'extérieur. Par exemple, si pour toi, c'est le pilier famille qui est hyper important, peut-être que c'est là où il faut mettre ton énergie pour que la communication soit là, pour être dans des moments qualitatifs comme ça. Et peut-être que ça passe par faire des choix et prendre des décisions, de ne pas accepter trop de choses, d'arriver, comme je le disais précédemment, à poser ses limites et à identifier vraiment ce qui est important. Donc ça permet de créer des liens qui sont plus qualitatifs avec les autres, selon moi. Ça permet aussi d'être dans un renforcement, pour moi, de l'estime de soi. Tout simplement parce qu'on est plus, en fait, dans quelque chose d'authentique et de, entre guillemets, simple, de ce dont on a besoin, en fait. On accepte, finalement, qui on est, dans ses parts d'ombre et dans ses parts de lumière, et on va, en fait, être dans un espace plus neutre et de... où il y aura moins de jugement, en fait. Tout simplement parce que, quand on est dans cet espace-là, on sait ce qui est juste pour nous. On sait, on a pris le recul nécessaire, on sait qu'on n'a pas forcément, peut-être, envie d'être président de la République, et c'est OK, en fait. On est qui on est, on a nos envies, on a nos aspirations. C'est pas pour autant que, quand on reste dans cette zone-là, où c'est un peu plus... où on ne va pas explorer de grandes, grandes choses, qu'on reste dans l'inertie, et ça, on va en parler après. Mais on va sortir finalement de cette image d'être entre guillemets la meilleure version de soi-même ou que sais-je, ou d'être, tu vois, je sais pas, la personne qui va faire, comme je disais, 10 cas par mois, ou la personne qui va avoir une famille parfaite, avoir un quotidien parfait, qui va faire ses morning routines le matin à 5h. Enfin, et encore, si ton truc, c'est OK, tu vois, mais c'est juste sortir de cette comparaison qui est pas forcément bonne et qui va... générer encore une fois un esprit de un peu de compétition de comparaison et ça permet vraiment quand on est dans cet espace là de prendre un temps de recul et de se concentrer sur autre chose en fait et d'apprécier le chemin qu'on emprunte d'apprécier ce dont on a envie d'apprécier ce qui nous fait du bien en fait et moi j'adore passer par exemple un dimanche après m'a fait du coloriage à me faire des petites crêpe c'est mon petit plaisir je vais pas me culpabiliser de ça parce qu'il y en a qui vont faire un marathon de 30 km le matin en fait bah moi c'est pas mon truc c'est pas mon truc c'est pas grave en fait c'est ok et ça permet vraiment aussi pour selon moi de consolider la confiance finalement dans ce qu'on sait faire dans ce qu'on aime dans nos valeurs dans nos talents et sans vouloir encore une fois se prouver ou prouver à autrui que on est comme si on est comme ça et de porter un masque qui n'est pas à soi, en fait. Ce n'est pas à soi d'être dans une dynamique où on veut absolument tout le temps faire ou performer ou avoir de grandes ambitions. Alors peut-être que c'est ton truc et c'est OK, mais c'est vrai que moi, je te partage ma vision des choses, là. Parce que j'ai pu beaucoup être dans cet espace-là de comparaison et de moi, finalement, qu'est-ce que je veux ? Et est-ce que c'est grave, tu vois, si... Je n'ai pas des ambitions de ouf. J'en ai des ambitions, mais je n'ai pas... En fait, j'avais une image des personnes ambitieuses comme des personnes, tu vois, qui vivent à Dubaï et qui ont, je ne sais pas, qui font, ouais, je ne sais pas, 50 000 euros par mois de chiffres. Enfin bref, c'était complètement hors de ma réalité. Donc c'est déjà de revenir à ici et maintenant. Qu'est-ce que je veux ? Qu'est-ce qui est important pour moi ? Et en fait, ça va débloquer des choses et ça va permettre aussi de se mettre en mouvement. Et d'ailleurs, quand je te parle de mouvement, là, je vais te partager... des conseils justement pour avancer, parce que là je t'ai partagé ma façon de voir les avantages qu'il y a à rester dans cette dynamique un peu de zone de confort et à ne pas trop se bousculer, mais c'est pas parce qu'on est dans cette dynamique là qu'on va rester complètement figé et qu'on va être un peu en mode grosse larve devant son canapé à manger des chips et à rien faire, c'est pas du tout ça, c'est juste que moi je suis dans une approche plus douce, je pense que c'est hyper important de de, encore une fois, consolider ses racines, d'être dans l'écoute de soi, d'être dans son écoute de la part de soi qui a besoin d'être rassurée, et de poser des actions pour avancer. Donc comment, moi, je fais concrètement pour me mettre en mouvement, ne pas trop me challenger, mais qui ait quand même une dynamique qui me connecte à ma vision, qui me connecte à ce qui est important pour moi. Parce que pour moi, rester dans sa zone de confort, ça peut être OK du moment que ça ne nous pénalise pas, que ça ne nous draine pas et qu'on n'est pas dans un système un peu de je me contente d'eux, en fait. Ou oui, de se trouver des excuses, tu vois, parce qu'il y a des personnes aussi qui peuvent se dire ah bah oui, non, mais je suis à l'écoute de mon énergie, je fais attention à moi, mais du coup, elles ne mettent rien en place. Alors là, tu vois, pour moi, il y a un déséquilibre. Il y a un déséquilibre quand on est trop dans le faire, quand on est trop dans la performance et qu'on veut aller trop, trop, trop. Mais il y a aussi un déséquilibre dans l'autre sens, où on est dans une forme de léthargie, où on ne met pas de choses en place. Donc là, moi, je vais te partager ce que je fais et mes conseils pour avancer. Pour moi, la première chose, ça va être de se créer de l'espace, du temps pour soi. En fait, le fait de prévoir des temps d'imprévu dans son quotidien, ça va vraiment permettre d'observer où part notre temps, d'observer notre énergie, à quel moment j'ai plus d'énergie, à quel moment je suis moins en énergie, et de ne pas faire des choses ou de ne pas être dans des choses productives au moment où je n'ai pas beaucoup d'énergie parce que ça va me drainer énormément. Donc ça, c'est une phase d'observation, encore une fois. de ses fonctionnements, de son énergie, de qui on est, et de l'énergie qu'on a à disposition. Cette énergie, elle va fluctuer en fonction peut-être de la période du mois, en fonction de ce qui nous traverse en ce moment, de nos challenges. Donc encore une fois, c'est d'être dans une observation de soi, sans jugement, et dans la douceur, en fait, et de ne pas être dans la culpabilité de se dire Ah oui, j'aurais pu faire ci, j'aurais pu faire ça Non, là, en fait, ce temps-là d'observation, pour moi, il fait partie du process, ce temps-là de... D'observer, de se régénérer, il est essentiel pour justement construire des choses après et pour se mettre en mouvement. Donc c'est hyper important de se poser aussi pour décharger, tu vois, dans les moments un peu plus down, dans les moments où il y a pas mal de choses à gérer. Donc c'est important pour moi de ne pas rester avec ça à l'intérieur et de s'autoriser à décharger. Donc le mental, les émotions, tu vois, tous ces corps-là qui peuvent avoir tendance à... À se cristalliser ou à se bloquer quand on n'a pas l'espace, en fait. Quand on n'a pas l'espace, forcément, on ne va pas avoir le temps pour décharger ses émotions, du moins de façon saine. On ne va pas avoir le temps de poser son mood, tu vois, sur son cahier. Enfin, ça, je trouve que c'est hyper riche aussi. Quand il y a des choses qui tournent dans notre tête ou quand il y a de la lourdeur, de poser, en fait, de verbaliser les choses. À soi, ça peut être de soi à soi dans un cahier. Ça peut être avec un proche. Ça peut être avec un thérapeute. Ça peut être plein de choses. Mais pour moi, c'est hyper important de faire une sorte d'état des lieux, de faire une sorte de tri pour savoir finalement comment je me sens, qu'est-ce qui est présent pour moi en ce moment, est-ce qu'il y a des choses qui ont tendance peut-être à me drainer mon énergie, est-ce qu'il y a des choses qui peuvent m'en apporter. Et tous ces questionnements-là, ils ne peuvent pas être faits quand on est dans une course infernale en fait, où on n'a pas le temps, où on ne prend pas le temps surtout. Et c'est pour ça que moi, c'est ce que je propose aux personnes que j'accompagne, c'est de créer vraiment cette loupe-là sur soi, d'aller voir, d'aller explorer. finalement, où part mon énergie, qu'est-ce qui me draine, comment je me sens en fait. De trouver cet espace-là, c'est un espace hyper précieux aujourd'hui, parce qu'on est dans une course infernale tout le temps, il y a toujours énormément de choses à faire, on est hyper sollicité de partout, par le téléphone, par le travail, par, bref, les éléments qui peuvent interagir dans notre quotidien. On a beaucoup plus d'occupation, on a beaucoup plus de choses à gérer qu'avant, ils étaient beaucoup plus dans l'instant présent. Donc ça, les nouvelles technologies, elles jouent aussi un peu contre nous de ce côté-là. C'est pour ça que c'est important de se discipliner et c'est aussi important de savoir quel temps on dispose dans la semaine, en fait. Et ça, pour moi, c'est aussi un pilier qu'on explore dans l'accompagnement Réveille ta nature, c'est de savoir où part le temps, de poser un planning qui est aligné avec soi, qui est aligné avec ce qui est important. avec ce qui est urgent, d'apprendre peut-être à déléguer. Bref, il y a des pistes à explorer là-dessus aussi. C'est de savoir combien de temps tu as dans ta semaine. Est-ce que tu as des temps pour toi ? Est-ce qu'il y a des équilibres ? Est-ce qu'il y a des choses qui te pèsent ? Parce que ça, c'est pareil, ça va bloquer énormément de choses quand tu es drainé comme ça pour avancer sur certains projets, pour poser un plan d'action, pour mettre en place des choses. Tu n'auras pas l'espace temps, tu n'auras pas l'espace mental pour faire ça parce qu'il y a une forme de débordement. donc ça aussi tu vois c'est aussi un conseil que je peux te partager c'est de faire une chose à la fois et de pas disperser ton énergie parce que ça je sais que ça peut être compliqué pour certaines d'entre vous c'est que on commence un truc comme je le disais on est sollicité ah bah je pense à ça donc je vais faire autre chose et il y a une forme un peu de mouvement, d'excès de ouais de mouvement et de d'ancrage qui manque dû à un manque de clarté finalement de ce qui est important de ce qu'on doit faire Donc, ça va générer énormément de dispersion d'énergie et on va finir par ne plus savoir quoi faire. Ça va nous fatiguer, ça va nous drainer. Donc là, c'est pareil, quand tu commences quelque chose, c'est de le faire pleinement jusqu'au bout. Et si tu n'as pas forcément le temps de le reprogrammer à un autre moment, mais ça me paraît vraiment essentiel d'être dans cette dynamique-là parce que sinon, tu ne vas pas aller jusqu'au bout des choses. Et ça va être compliqué d'instaurer des... de mettre de l'énergie dans des choses qui te tiennent à cœur, de mettre de l'énergie dans des projets qui contribuent à ta vision, s'il y a une dispersion et s'il y a un manque d'ancrage. Donc les uns vont avec les autres. Et pour moi, pour se faire, pour arriver dans cette dynamique-là, il faut du passage à l'action. Sinon, ça reste de la procrastination. Si vraiment, tu vois, je te donnais l'image, un peu du gros flanc devant sa télé qui mange ses chips, il va y avoir en fait une sorte de lourdeur, ou une sorte de forme de procrastination, une forme de lassitude, s'il n'y a pas de passage à l'action en fait. Et c'est pour ça, pour moi, c'est hyper important de se poser des objectifs smart, des objectifs qui sont alignés avec qui on est. Donc des objectifs qui vont être mesurables, qui vont être spécifiques, qui vont être ambitieux, qui te motivent, qui vont être réalistes. Donc est-ce que ce sera faisable de le faire ou pas ? Est-ce qu'il va y avoir aussi une deadline au niveau de ce que tu as prévu ? En fait, c'est d'être dans le concret. On a besoin d'être dans le concret. Et de poser des actions quand même. Encore une fois, dans le respect de son énergie, on ne va pas se mettre 15 objectifs par mois. En fait, c'est beaucoup trop. Le but, c'est d'être dans une dynamique où il y a du mouvement, mais on va respecter son énergie. Donc moi, souvent, je conseille de ne pas dépasser 3. Et ça dépend, encore une fois, le projet que tu as. Parce qu'après, on peut mettre des sous-objectifs. Donc ça, c'est des choses qui sont intéressantes à aller explorer. Et pour moi, il y a une dernière chose qui me paraît. essentiel, c'est de célébrer ces victoires au quotidien en fait pour ne pas être dans cette dynamique de oui on n'avance pas, souvent on a tendance à voir, on a l'impression qu'on n'avance pas, on a l'impression qu'on ne met pas assez de choses en place, on peut retourner finalement dans ce syndrome un peu de performance qui n'est pas forcément ok c'est important de noter ces victoires au quotidien, de noter ce qui nous fait du bien de noter ces 3 kiffs par jour comme je le partage dans mes accompagnements, d'être dans cette dynamique d'habitude en fait, de voir... ce qu'on a fait, ce qu'on a réussi, ce qui nous a fait du bien, ce qui nous a fait plaisir dans notre journée, parce que c'est dans cette dynamique-là qu'on va pouvoir changer de lunettes, de mettre ses lunettes roses, comme j'aime l'appeler, et pour voir finalement ce qu'on a réussi à faire et les choses qui nous font du bien au quotidien. On n'a pas besoin de grandes choses en règle générale, on a besoin de revenir à soi, on a besoin de se connecter avec les autres, avec les gens qu'on aime. de se reconnecter aussi peut-être à la gratitude d'avoir un toit, à la gratitude d'avoir à manger, de pouvoir se faire plaisir, d'avoir du temps libre. C'est des choses qui sont très très simples. Donc pour moi déjà se connecter à ça, ça permet d'être dans une autre dynamique et de ne pas être focus sur ce qui manque, de ne pas être dans une dynamique de il me manque quelque chose et de lourdeur, mais plus dans une dynamique élevante de dire en fait j'ai déjà ça et c'est énorme en fait. J'ai déjà ce dont j'ai besoin pour être bien. Et après c'est hyper... Ça donne énormément d'énergie, en fait, je trouve, pour concrétiser d'autres choses, pour mettre en place, pour être encore plus aligné, pour être encore plus épanoui dans sa vie et pour mettre un plan d'action vers ce qui nous fait du bien quand on est dans cette dynamique-là de faire de la place, d'observer finalement qu'on est bien, qu'on a de la gratitude pour certaines choses. Et pour moi, ça, ça change tout parce qu'on est dans une dynamique élevante, on a une posture différente. On n'est plus dans une posture de, tu vois, un peu avachie de, entre guillemets, de victime, de je ne peux pas faire ci, je ne peux pas faire ça, d'être dans cette limitation. On est dans une dynamique plus de queen, en fait, d'être dans une posture qui nous élève, d'être dans notre puissance. Et ça, voilà, c'est ce que je transmets dans mes partages, c'est ce que j'essaie de transmettre au mieux dans mes partages ici, dans mes accompagnements. Et... Et je pense que si tout le monde se permettait ça, si tout le monde mettait en place des habitudes de vie au quotidien pour être dans sa puissance, on ne serait pas du tout dans la situation dans laquelle on serait aujourd'hui. Et il y aurait beaucoup plus d'épanouissement, beaucoup plus de choses élevantes dans notre environnement. Donc si toi en tout cas ça te parle, si toi tu as envie d'aller explorer ça aussi, si tu sens que tu es concerné dans ce que j'ai pu exprimer. que des fois, tu as peut-être l'impression d'être un peu englué dans cette zone de confort, que ça t'apporte du bien, mais tu sens que tu aimerais avoir un peu plus de mouvement, on peut en discuter. Je propose des appels exploration où on explore ensemble tes problématiques actuelles, tes challenges actuels et où on pose des graines de changement ensemble. Donc, si tu es intéressé, je vais te mettre le lien dans la description de cet épisode. J'espère en tout cas que tout ça t'a plu. Je voulais un peu... Déculpabiliser, en fait. Je pense que c'est important d'être doux avec soi, encore une fois, d'être dans une dynamique de soutien envers soi que d'être en mode flagellation, à se dire qu'on n'est pas assez, à se dire qu'on pourrait mieux faire. Et de mettre la lumière, de mettre notre attention sur ce dont on a la main et de mettre aussi en valeur les temps qu'on s'octroie, en fait, pour soi, qui sont des temps précieux, finalement, pour... pour construire des choses qu'on a envie et pour surtout être heureux parce qu'il n'y a pas que la projection, il n'y a pas que le fait d'être dans l'action. Il y a le fait d'être aussi et le fait d'être, ça permet énormément de choses, ça ouvre énormément de portes. Donc j'espère que cet épisode t'aura permis de mettre en lumière certaines choses et d'apporter peut-être un peu plus de souplesse. Si tu entends ce message, c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode. Donc je te remercie. Si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche, je t'invite à le partager. Tu peux également mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

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