Speaker #0Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast, j'avais envie de te créer un épisode en lien avec l'actualité et en lien avec le pouvoir personnel. Donc comment garder son pouvoir personnel quand c'est la merde à l'extérieur. Parce que clairement, je rebondis sur l'actualité, si tu me suis, si tu me connais un petit peu, tu sauras très bien que la planète, que les animaux, que le vivant de manière générale, que la santé, c'est un élément, ce sont des valeurs qui sont très très importantes pour moi. il n'y a pas de vie, il n'y a pas de... humain, il n'y a pas d'animaux, il n'y a pas de vivants sans la terre. Je ne t'apprends rien, bien évidemment. Mais du coup, moi, ça me met hors de moi et ça me met vraiment en colère quand je vois qu'il y a des réformes et des lois qui sont passées contre le vivant alors qu'on sait pertinemment que ça va contre la santé et contre le vivant et contre les animaux et tout ça. Donc, je me suis dit allez, Aurore, ne reste pas dans cette colère, ne reste pas dans cette tristesse, faisons quelque chose. Donc, c'est pour ça que j'avais envie de te tourner un épisode aujourd'hui. C'est vrai que ça peut être très démoralisant et très... On peut être défaitiste, moi je suis de nature optimiste à la base, et c'est vrai que quand on voit des choses comme ça, je trouve que c'est hyper violent de recevoir ces informations-là parce qu'on se rend compte que finalement il n'y a pas de soutien, il y a une forme d'injustice, parce qu'on ne va pas me dire que le gouvernement... Qu'en fait, ils en ont quelque chose à faire de la santé, c'est faux. C'est l'argent qui prime, toujours. Et c'est leurs besoins qui passent avant les besoins de santé de la population. Moi, je trouve ça hyper grave. Pour moi, c'est limite un crime contre l'humanité d'autoriser ce type de produit, alors qu'on sait pertinemment que ça joue sur la santé des fœtus, ça joue sur le vivant, sur les abeilles, sur la pollinisation, sur les oiseaux, bref. C'est vraiment quelque chose qui me met hors de moi. Et hier, j'étais dans un état pas possible. Je me suis dit, bon... Et c'est ça, en fait, déjà, peut-être, tu vois, la première bride de réponse à chaud de cet épisode-là, c'est comment, justement, garder son pouvoir personnel va s'y s'autoriser à être dans son émotion, en fait. Et ça, c'est toujours valable pour tout. C'est d'accueillir ce qui est là, d'accueillir ses émotions, d'accueillir... ces ressentis et de ne pas les juger. Peut-être que d'extérieur, il y a des personnes qui trouveront ça disproportionné ou too much, mais on s'en fout. Le plus important dans toutes les situations, c'est le ressenti et comment tu vis les choses. On s'en fout finalement de l'événement en question. C'est plus ton ressenti à toi qui passe, même si tu te dis que c'est débile ou que tu te juges sur le fait de ce que tu ressens. Bah non, en fait, si tu le ressens, c'est que ça touche quelque chose en toi, donc c'est complètement juste. Moi, personnellement, hier, ce qui m'a touchée, c'était ce sentiment d'injustice, en fait, qui est déjà une blessure qui est présente en moi, parce que pour moi, en fait, dans ma version idéale, ce serait de... En fait, forcément, ceux qui sont tout en haut de l'échelle, en fait, ils sont censés protéger les individus, en fait, la population. Et là, en fait, je me suis dit, c'est inadmissible, parce que c'est pas ça, ils s'en foutent. Et vraiment, j'ai ressenti une forme de... Pourtant, je te dis, je suis très optimiste et j'ai toujours tendance à dire, oui, il faut faire sa part, il faut aller, il faut mettre en place des choses parce qu'on n'a rien à attendre de ces personnes-là. Et encore une fois, ça le confirme, je le sais. Mais là, je trouvais que c'était d'une extrême violence, ce qui s'est passé. Et après, peut-être que ce n'est pas fini. J'espère que ce n'est pas fini et j'espère qu'il y aura des... Je pense qu'il y a énormément de monde qui se soulève. contre cette loi-là qui est censée passer et qui pourrit la santé et qui crée des cancers, bref. Donc voilà, encore une fois, c'est l'extérieur. Je n'ai pas la main mise et c'est ça aussi que je voulais te dire. C'est pour ça que je faisais cet épisode de podcast aussi, pour te donner des outils. Peut-être que tu es dans la même situation que moi ou peut-être que c'est un autre événement qui te fait réagir comme ça. Et encore une fois, les premières pistes à explorer, c'est d'accueillir ce qui est là, à te laisser vivre, à laisser traverser ton émotion. Donc il y a plein d'outils, il y a plein de possibilités pour extérioriser. Tu vas avoir des techniques corporelles, tu peux aussi avoir des choses beaucoup plus simples. Il n'y a pas forcément toujours des techniques de libération, c'est toujours bien de les avoir en tête, d'aller faire du shaking, d'aller taper dans un coussin, d'aller pousser le mur. C'est des techniques dont je parle dans mes accompagnements qui permettent d'extérioriser la colère, mais il n'y a pas que ça, il y a tellement de choses. Ça peut libérer sur le moment. Et tu peux aussi mettre en place plein de choses. Ça peut être l'écriture, ça peut être aller marcher, ça peut être te créer une bulle, ça peut être aller faire de la boxe, je n'en sais rien, il y a tellement de possibilités. Là, je ne te parle vraiment plus de la colère, parce que c'est l'énergie qui est présente pour moi en ce moment, mais pour toutes les émotions, il y a moyen de décharger, il y a moyen de laisser aller les choses. Et je pense que c'est la solution... L'étape importante, qui me paraît essentielle, et qui va te permettre de plus être dans l'émotionnel, parce que là, même là, je sens que je le suis encore un petit peu. Tu ne peux pas, entre guillemets, souvent dans ces situations-là, tu vas vouloir trouver des solutions, toujours tout de suite trouver des solutions. Qu'est-ce qu'on peut faire ? Moi, c'était mon premier réflexe hier. Mais qu'est-ce qu'on peut faire ? On ne peut pas laisser passer ça. Oui, en fait, c'est peut-être... C'est bien de vouloir trouver des solutions, mais c'est pour après. Je pense que c'est déjà hyper important d'arriver à canaliser du moins le trop-plein, le laisser sortir, parce que pour pas que ça fasse cocotte minute, tout simplement, ou pour pas que ça se somatise dans le corps. Donc déjà, pour moi, la première étape, c'est ça, c'est de laisser aller. Et une fois que ça s'est passé, c'est après se demander en effet de... Toi, qu'est-ce que tu peux mettre en place dans ton quotidien ? Qu'est-ce que tu peux mettre en place déjà pour toi, même si ça semble être une goutte d'eau, clairement. Moi, c'est ce que je me suis dit hier. Je me suis dit, en fait, à quoi bon ? C'était la tristesse qui parlait. Mais je me suis dit, à quoi bon, en fait, vouloir mettre en place des choses si, en fait, il y a des actions comme ça, en fait, à échelle, à hyper grande échelle, qui sont mises en place et, en fait, on ne fait pas le poids. Et je pense que je vais modérer mes propos par rapport à hier où j'étais justement beaucoup dans l'émotionnel. Je pense que ce n'est pas juste parce que je pense qu'il y a énormément de personnes qui sont révoltées, qui sont outrées de ce qui se passe. Et je pense qu'en fait, on a les moyens d'aider justement les agriculteurs, d'aider les personnes qui veulent, qui sont avec le vivant. Parce que les agriculteurs, ce qu'ils mettent en avant, c'est de l'agriculture intensive. Mais encore une fois, si tu veux aller... chercher tes légumes dans une ferme, si tu vas dans un magasin bio, c'est d'acheter aussi, d'avoir une consommation qui est alignée avec qui tu es. Et c'est de faire l'effort aussi de t'alimenter convenablement et de contribuer. C'est vraiment cette contribution. Moi, pendant pas mal d'années, j'étais membre d'une association, d'une AMAP. C'est un réseau de maraîchers qui sont pour le vivant, qui ne sont pas forcément labellisés bio parce que ça coûte excessivement cher, mais qui sont dans une démarche de respect du sol. Ça peut être ça, ça peut être bien manger, ça peut être des décisions qui peuvent paraître simples à mettre en place, qui peuvent paraître cohérents. Et si tu as, je ne sais pas, là pour le coup j'entends les oiseaux de ma fenêtre. Je vis quand même en ville, mais c'est peut-être justement soutenir les animaux, de mettre de l'eau, de mettre... Alors, ce n'est pas forcément la période pour mettre des graines, mais d'être pour le vivant et peut-être de planter des graines, planter des coquelicots, des fleurs sauvages dans ton jardin, si tu en as. Et si tu n'as pas de jardin, peut-être aller les jeter des graines partout où tu vas. Il y a tellement de choses qui peuvent te remettre dans une forme de pouvoir personnel. Rien que de te le dire, j'ai les frissons qui me montent, qui me traversent. Je pense qu'en fait, c'est toutes des choses comme ça. Et puis, c'est de s'informer sur tout. Alors, je sais que ça peut être plombant des fois et on peut avoir l'impression de tout contrôler. Mais tu vois, de mettre la main sur ce que tu utilises, ce que tu consommes pendant longtemps. Mon métier de base, c'est d'être masseuse et d'être esthéticienne. Donc, je sais en fait au niveau de ce qui est bon et ce qui n'est pas bon pour la peau, par exemple, parce qu'il y a des choses qui sont très nocives dans les cosmétiques. qui sont autorisés mais qui à long terme encore une fois c'est l'effet cocktail en fait qui est pas bon donc tu vois c'est de revenir sur des choses simples en fait des huiles de l'aloe vera des choses très simples et surtout de faire ce qui est juste pour toi là je te parle vraiment dans une dimension écologique parce que je rebondis sur l'actualité mais ça peut être valable sur plein de choses en fait c'est d'écouter justement qu'est ce qui te fait réagir et d'agir en ce sens même si tu as l'impression que tout le monde autour de toi si tu as l'impression d'être une extraterrestre et d'être incomprise bah en fait fais le quand même en fait reste aligné avec toi Et je pense que ça, c'est vraiment le plus important. Donc, en tout cas, moi, c'est ce que j'ai envie de remettre en place que pour le coup. Dans cette démarche que j'ai là, en fait, j'ai encore envie de faire plus que ce que je fais, tu vois. Ou remettre un peu plus de conscience. Parce que pendant longtemps, j'étais dans le zéro déchet. Enfin, j'étais dans le zéro déchet, on s'entend. J'allais faire toutes mes courses en vrac, il y a un moment donné. Mais là, peut-être que ça se passe par autre chose. En fait, c'est peut-être pas forcément par là. En effet, j'achète déjà les légumes à la ferme. J'essaie de limiter au maximum le plastique. Je pense qu'on pourrait faire mieux. Mais déjà, en fait, après, tu vois, c'est de trouver aussi la limite de ne pas que ce soit non plus... qui est la culpabilité ou trop de contraintes. Moi, je sais qu'à un moment donné, ça m'apportait trop de contraintes. Je me suis dit, comment je peux trouver mon propre équilibre et comment je peux me dire, là, ça me paraît juste. OK, tant pis, j'ai un peu de plastique. Clairement, je jette, j'achète des choses, des produits de la fêta, des machins comme ça. Forcément, c'est emballé dans du plastique. Je ne vois pas trop comment je peux faire autrement. Et c'est arrivé aussi à lâcher prise de ne pas être parfait. De se dire, on est dans un écosystème, on fait ce qu'on peut et on fait au mieux. Et justement, ça passe par s'informer, ça passe par peut-être reprendre des actions que tu avais peut-être mis de côté. Je parlais, tu vois, des boules de graines, ça c'est des choses toutes bêtes. En plus, ça peut être ludique à faire, tu vois, de jeter des boules de graines un peu partout. Bon là, il fait un peu sec, peut-être que c'est mieux de le faire au printemps. Mais encore une fois, tu vois, il y a plein de choses qui peuvent être mises en place. Tu peux remettre un fond d'eau pour les oiseaux. Je sais que ça peut paraître une goutte dans l'océan, et je sais qu'on se dit, bon, à quoi bon faire tout ça ? Mais je pense aussi que l'effet de masse peut avoir un impact hyper important. Le fait qu'il y ait de plus en plus de personnes qui sont en conscience, qui mettent en place des choses comme ça, alors j'entends qu'on a un quotidien bien rempli, mais c'est encore une fois, il y a des choses qui sont simples, en fait. Il n'y a pas forcément, tu vois, je te parlais des cosmétiques, c'est simple, je te parlais de de ne pas trop consommer d'eau, c'est faisable. Il y a des choses qui peuvent être mises en place. Encore une fois, c'est trouver une forme d'équilibre entre ce qui est possible de faire et de ne pas non plus se rendre malade, de ne pas tout faire parfaitement, parce que ça, ce ne sera pas possible. Mais je pense que déjà, faire ça à son échelle, c'est complètement fou. Et je pense que aussi, peut-être s'investir, des fois, je me pose de plus en plus la question de contribuer à échelle collective. Il y a plein de choses qui existent, il y a des assos qui existent, il y a plein de trucs. Je suis encore un peu nulle là-dedans, je ne sais pas trop ce qui peut se faire même à côté de chez moi, mais je pense vraiment qu'il y a des solutions et je pense que l'effet de masse, il ne faut pas le négliger, il ne faut pas du coup le mettre de côté parce qu'il est hyper puissant en fait. Et je pense aussi que c'est hyper important de s'entourer de personnes qui sont dans la même vibe que nous. Peut-être que là, actuellement, en règle générale, on se lie de personnes qui ont des sens d'intérêt communs. Mais si, en tout cas, tu es dans un environnement où, justement, on minimise ce que tu ressens, où on te dit « c'est bon, ce n'est pas grave, de toute façon, on va tous mourir de quelque chose » . J'exagère, je suis dans la caricature et dans l'extrême. Mais c'est aussi de s'entourer de personnes qui sont dans cette même énergie-là. Et donc, je pense que oui, après, il peut y avoir les assauts, mais il peut y avoir... Justement, je repense aussi à la collecte des déchets. Il y a une journée exprès pour ça. Je trouve que c'est bien de le faire un peu tout le temps. Mais il y a des choses qui peuvent être mises en place, encore une fois. Je pense que là, dans la situation actuelle où on est, je pense que ça devient indispensable de trouver, d'avoir des espaces pour contribuer. De le faire déjà chez soi, de contribuer chez soi, de mettre en place des choses qui... qui permettent de limiter les dégâts. Et je pense que c'est aussi hyper important de contribuer, en fait. Même si, quand on voit l'état des sols, quand on voit l'état, je pense, aux déchets, notamment, on se dit, bon, c'est pas une perdure, parce que... Moi, c'est quelque chose qui peut mettre en colère. Du coup, c'est vrai que je me dis, bon, est-ce que c'est une bonne idée de faire ça ? Parce que je me dis, en fait, il y en aura toujours. Mais d'un autre côté, encore une fois, c'est cet effet de masse. De se dire, bah... C'est toujours ça de moi, en fait, qu'il y a dans la nature. Même s'il y a toujours des gros bolosses qui jettent leur sac de McDo à travers leur fenêtre de voiture. Mais bon, ça, c'est un autre débat. On ne va pas s'attarder là-dessus. Je pense que ça ne sert à rien. Je pense, encore une fois, le plus important, c'est de se centrer sur ce qu'on fait, nous. Et après, peut-être de changer d'environnement. Si à moi, c'est quelque chose que je me posais comme question, est-ce que finalement, d'être dans un endroit, dans un espace où... où il y a des gens, où il y a plus de respect de l'environnement, où c'est plus dans la nature. En fait, c'est de trouver un environnement qui te convienne à toi. Et c'est toujours pareil, c'est d'adapter son environnement à ses besoins. Et c'est de là où je voulais revenir. C'était de se créer un espace où on se sent bien. Et ça peut être... Alors forcément, ça va être le quartier, ça va être l'environnement extérieur. Après, si vraiment pour toi, là, c'est compliqué, parce que tu ne peux pas déménager, parce que tu as des contraintes et parce que tu n'as pas le choix que de rester où tu es, C'est de te créer un environnement, même si t'es en appartement, où tu te sens bien, en fait. C'est ça, c'est son cocon, c'est la bulle. Donc, je pense qu'on a la main mise, on a la main sur énormément de choses. Donc là, c'est la question que je voulais te poser ici, c'est sur quoi t'as la main ? Qu'est-ce que tu peux mettre en place ? qui tu peux être, tu vois, pour que ça pèse moins, pour que ce soit moins lourd à l'extérieur. Parce qu'en gros, si tu fais, si t'es déjà alignée avec tes valeurs et si tu fais tout ce que t'en possibles, entre guillemets, pour être alignée, en fait, il y a une forme de lâcher prise qui se met en place, que c'est pas ton sort, en fait. Donc, tu peux pas... Tu vas forcément te sentir triste s'il y a quelque chose qui te touche de l'extérieur, mais ce sera... Peut-être un peu plus doux ou moins long. Et je pense que c'est important aussi de se rappeler de ça. Donc voilà, c'était surtout clôturer un peu cette partie-là. Ça dont je voulais te parler, c'est qu'on a la main sur certaines choses. Et même si ça peut être désespérant autour, même si on se dit que c'est peine perdue, je pense qu'il y a toujours des solutions. Et je pense que les grands changements se sont mis en place parce qu'il y avait des personnes qui s'autorisaient à rêver, qui s'autorisaient à dire que c'était possible. Et là, moi, j'ai envie de te dire que c'est possible qu'il y ait des choses qui peuvent être encore changées. Regarde, ils ont bien réussi à... Il y avait une loi qui avait été passée pour interdire. Ils ont réussi à mettre en place, du coup, des produits qui étaient interdits. Donc bref, je pense que s'ils arrivent à faire ça, nous, en tant que personnes qui ont des bonnes intentions, je pense qu'on peut faire énormément de choses. Donc voilà, fais déjà dans ton espace à toi. Connecte-toi à des personnes qui ont peut-être les mêmes valeurs et les mêmes envies que toi. Et peut-être une autre chose, c'est de cultiver la foi aussi. Ça, je ne t'en ai pas parlé encore, je vais finir là-dessus. C'est de cultiver la foi, parce que je pense que c'est ce dicton qui dit que tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir. Et je pense que tant qu'il y a de l'espoir, il y a de la vie aussi. C'est dans ce sens-là aussi que je voulais te le partager. Parce que c'est quand on baisse les bras ou quand on se dit que c'est mort, c'est fini, que là finalement, il n'y a plus rien à faire, c'est fini. et tandis que si tu travailles ta foi si Moi, je fais souvent ça, de me connecter à une version plus sage de moi, qui va me donner des bonnes réponses, à me connecter à mon intuition. Donc, ça va être des choses très simples, de temps de respiration, où je me connecte, par exemple, moi, je me rappelle, quand j'étais petite, dans mon jardin, il y avait plein de coccinelles, par exemple. Et je me connecte à une version comme ça, où je m'imagine un grand jardin, un grand espace, où il y a plein d'insectes, plein de coccinelles, plein d'animaux, d'oiseaux, les oiseaux, ils chantent. Tu vois, rien que de t'en parler, j'ai des frissons. Je me dis en fait que c'est possible de créer des espaces comme ça, parce que ça existe. Les personnes qui font de la permaculture, les personnes qui agissent pour le vivant, ils réussissent à créer des espaces comme ça. Alors oui, peut-être qu'à l'échelle mondiale, c'est rien. Mais je pense que si on est, tu vois, 10, 20, 30, 50, 100, 1000, 10 000 personnes à faire ça, en fait, il y a forcément des choses qui arrivent. et des choses qui se créent, des belles choses. Donc voilà, c'est d'apprendre à cultiver la foi, même quand c'est dur. Peut-être que ça pourrait être le sujet d'un autre épisode de podcast. Mais en tout cas, moi, ce qui m'aide beaucoup, c'est de me connecter, de fermer les yeux et de me projeter. Je me dis toujours que les pensées créent ma réalité. C'est ça, en fait. C'est si, finalement, là, on se pense... Enfin, on visualise un... comment dire, un espace de guerre, un espace où il n'y a plus rien, où tout est aride, tout est sec. Ça va alimenter le truc aussi d'anxiété. Et en fait, là, c'est très compliqué d'arriver à avoir plus de positifs. Donc, c'est d'arriver peut-être à se reconnecter à des espaces qui existent déjà ou dans ton imaginaire, à te dire que l'être humain, il est aussi capable de choses magnifiques. c'est de quel côté tu te places, de quel côté tu es. Et voilà, je pense que je vais te laisser avec ça aujourd'hui. Je suis déjà presque à 20 minutes de papotage. Donc j'espère que cet épisode t'a plu, j'espère que cet épisode t'aura fait du bien. Je suis ouverte aux messages. N'hésite pas à me partager tes ressentis, à m'envoyer un message. Je te mettrai les coordonnées dans le lien de l'épisode. De toute façon, tu peux aussi m'envoyer un message sur Instagram où je suis assez présente. par mail, je serai curieuse d'avoir tes retours. Je t'envoie plein de force, plein d'amour, plein de courage, et je te dis à très bientôt.