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Réveille ta nature

49. Passer l’hiver sans le blues qui va avec !

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24min |06/11/2024|

37

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Description

🎙️ Dans cet épisode, découvre comment garder le moral et chasser la fatigue saisonnière grâce à des astuces concrètes et bienveillantes ! Je t'invite à explorer les énergies qui sont présentes en ce moment, d'aller observer ses ombres et surtout d'apporter de la douceur dans cette période propice au ralentissement d'entrée dans l'hiver !


Je mets également en lumière des pistes de réflexion et conseil pour traverser cette période avec plus de fluidité et de légèreté !

On parlera de l’art de ralentir pour mieux se ressourcer, des techniques simples de relaxation et de l’importance de s’accorder des moments « cocooning ». Je partage aussi l'importance d'intégrer plus de lumière dans ton quotidien que cela soit dans ta maison que dans ton cœur en adoptant de nouveaux rituels et sans oublier de sociabiliser et de tisser du lien, même si tu as seulement envie de rester posé dans ton canapé !


👉 Si ça n'est pas déjà fait et si c'est le moment pour toi, tu peux prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥


🍁 Le dimanche 24 Novembre de 9h30 à 17h30 aura lieu la journée Chaud-doudou, une journée juste pour toi où tu pourras profiter de cercle de femmes, d'activités créatives réconfortantes, de bains sonores, de rituels de connexion à soi et à la Nature le tout dans un environnement calme et en petit comité !
Retrouve toutes les infos et la possibilité de réserver juste ici : https://aurore-bioty.systeme.io/journee-chauddoudou


Prêt(e) à transformer cette saison en un moment de douceur et d’énergie positive ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    bienvenue dans le podcast pétillant et authentique réveille ta nature telle une petite fée clochette j'ai à coeur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexion au coeur je suis aurore praticienne bien-être et coach j'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur coeur dans leur corps et dans leur esprit je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie d'explorer la thématique des ombres et surtout aussi d'aller explorer justement comment traverser cette période-là, cette étape-là, avec un peu plus de légèreté. Donc comment passer un peu l'hiver sans le blues qui va avec. J'aime bien le rappeler, on est des êtres cycliques, donc après toute contraction, il y a des expansions, et donc il y a des possibilités aussi de voir de la lumière dans ces moments-là, et d'ailleurs on voit la lumière que quand on traverse des périodes d'ombre, c'est obligé, si t'es dans la lumière, si t'es dans le soleil, tu pourras pas voir autant de lumière, parce que tu seras dedans en fait. Donc c'est comme si tu voyais un tunnel noir, au bout il y a de la lumière, tu vois la lumière, mais si t'es dedans, tu peux pas le voir. Donc c'est vrai que c'est important aussi de rappeler cette notion de cyclicité, que le fait que les choses bougent sans arrêt, et que moi en tout cas ça m'aide énormément à me dire qu'il y a d'autres choses après, il y a des apprentissages, il y a des cadeaux qui vont arriver après, et c'est vrai que moi en tout cas ça m'aide à traverser ces moments-là, avec plus de douceur, avec plus d'amour aussi, et de ne pas être dans une forme de... de culpabilité ou d'autoflagellation parce que ça c'est un peu nos parts d'ombre, c'est des parts qui sont peut-être là pour nous protéger mais qui ne nous font pas forcément du bien, donc c'est important de prendre un temps de recul, d'aller les observer pour moi et de ne pas leur laisser prendre toute la place parce que ça a tendance à vraiment drainer notre énergie, en tout cas moi je te parle de mon expérience personnelle. Et je voulais partager une image un peu différente, donc là je te partageais un peu la notion des cycles, mais c'est aussi relié beaucoup à la notion du ying et du yang que je partage énormément dans mes transmissions, c'est qu'il y a forcément, l'un ne va pas sans l'autre en fait, il y a forcément une justesse, une intelligence là-dedans, et souvent on est dans une société, on est dans une dynamique où on ne nous a pas forcément appris à se poser, à ne rien faire et à accepter. de ne rien faire en fait, des fois il y a des moments de vie où juste il faut que ça passe, il n'y a rien à faire en fait c'est extérieur ou c'est un temps d'infusion et il n'y a pas de dynamique d'action on n'est pas dans une énergie yang on n'est pas dans une énergie d'action, de productivité de d'établir des plans, de planifier des choses, des fois oui mais des fois non et des fois on est dans des périodes où on a besoin d'être avec nous, de lâcher des choses et c'est exactement les dynamiques qu'il y a en ce moment c'est exactement les dynamiques que qu'on a quand on rentre dans l'hiver, quand il y a moins de lumière, d'ailleurs là aussi, une petite image, il y a moins de lumière, on rentre dans une forme d'obscurité, et il y a forcément des outils, il y a forcément des choses qui vont t'aider, qui vont t'accompagner à mieux traverser ça, mais je pense qu'il y a aussi beaucoup, encore une fois, de lâcher prise et de qualité d'être à développer à ce moment-là. Parce qu'on n'est pas dans une dynamique d'action, de mettre en place des choses. Alors oui, on va pouvoir mettre en place des choses, et je vais te partager juste après des formes de conseils, des choses qu'on peut mettre en place justement pour passer l'hiver avec plus de fluidité et sans le blues qui va avec, mais on est quand même dans une énergie où il faut laisser aller. En fait, il n'y a pas le choix de laisser aller. Et d'ailleurs, quand on observe la nature, quand on observe les animaux, il y a énormément d'animaux qui hibernent. La nature, elle se délaisse de ses feuilles. Il y a des choses qui tombent et en fait c'est tout. C'est un cycle qui passe et il n'y a rien à faire. Et ce n'est pas en s'agitant dans tous les sens, en courant, en essayant de trouver des solutions, en étant dans cette énergie un peu d'action masculine où en fait il faut planifier machin. En fait non, ce n'est pas le moment. Est-ce que je reprends l'image que j'avais eue d'un de... Une personne que je suis qui s'appelle François Lemay, qui est un conférencier québécois que j'aime beaucoup, qui utilise énormément l'humour d'ailleurs dans ses transmissions, il vulgarise énormément de choses, et lors d'une de ses conférences, il avait donné l'image d'un arbre qui était là en train de paniquer parce qu'il perdait ses feuilles. En fait, non, l'arbre n'est pas en mode Ah mon dieu, je perds mes feuilles, comment je vais faire ? Qu'est-ce que je vais devenir ? en fait il vit le cycle et je pense que ça c'est vraiment une grande enseignante, à chaque fois je le dis de toute façon que la nature est une grande enseignante mais c'est aussi d'accepter l'impermanence des choses et c'est hyper compliqué mais d'accepter qu'il y a des cycles et qu'il y a des moments pour se détendre, se reposer, se régénérer juste être dans la contemplation de ce qui est et des moments où on planifie, on organise, on met en place des choses... Et si on ne respecte pas cette dynamique-là, souvent, on va se drainer et on va s'épuiser. Et je te dis ça en connaissance de cause aussi, parce qu'on a beau le savoir, on est tous pareils, on a des mécanismes, des fois inconscients, ou des choses qu'on met en place un peu en mode automatique. Et moi aussi, des fois, je suis dans cette dynamique où je fais, je suis dans l'action, et en fait, c'est ok de faire, des fois, on n'a pas le choix de se mettre en action, mais c'est de se dire, quelle est ma limite ? Où est-ce que je vais ? Jusque où ? Est-ce que je m'étais dit que j'allais travailler ou que j'allais faire telle chose jusqu'à 17h, mais est-ce que finalement le soleil se couche 17h30, est-ce que j'ai envie de travailler jusqu'à cette heure-là quand il fait noir alors que peut-être en plus je ne suis pas forcément efficace à ce moment-là de la journée. Donc c'est aussi apprendre à observer ses propres rythmes, à observer ce qui est présent pour soi, notre énergie, parce que finalement des fois on va s'acharner à faire quelque chose et on ne va pas... être efficace. Donc en fait, c'est de la perte de temps. Ça aurait été plus bénéfique pour soi de se reposer, de se détendre, de faire une activité peut-être qui demande un peu moins de concentration parce qu'on va se régénérer et parce que ça va nous apporter énormément de recharge. C'est comme si on se rechargeait, c'est comme si on était un téléphone. On se recharge et après, on aura plus d'énergie pour ce qui suit et pour peut-être mettre en place des choses et être dans l'action. Mais c'est toujours encore une forme un peu d'équilibre et d'écoute de soi surtout. Et surtout maintenant, en fait. Là, on est dans une période où on va rentrer, justement, dans une période un peu plus yin, un peu plus féminine, un peu plus dans l'être et moins dans le faire. On est dans une période comme ça, là, actuellement. Il y a eu le changement d'heure, il y a moins de luminosité. Et en fait, ça joue énormément sur notre cycle, et c'est biologique, en fait. Donc, aller contre ça, c'est aller contre soi. Et c'est hyper violent, finalement, c'est dur. Et d'ailleurs, peut-être que tu te reconnaîtras en ce moment, peut-être qu'il y a des mots, peut-être qu'il y a des choses qui se manifestent dans le corps, ou peut-être dans le mental, ou peut-être plus d'émotions, peut-être que tu te sens un peu plus perdue, parce qu'en fait, on a besoin de prendre ce temps pour ralentir. Et ça, c'est hyper, hyper important, en fait. Et c'est une des premières... choses, des premiers conseils que j'ai envie de te partager, c'est de t'accorder des moments de pause et de ralentir. Alors on le sait, j'arrête pas de le répéter tout le temps, mais en fait je pense qu'on a besoin aussi de se répéter les choses, parce qu'on n'est pas habitués en fait, on nous a pas appris ça, et on doit être productif en fait, on continue à travailler en fait, on a des choses à faire, donc c'est ok, mais en fait peut-être qu'on peut s'accorder un peu plus de temps de pause, peut-être qu'on peut s'instaurer de nouvelles routines. peut-être qu'on peut prendre soin de soi qu'on peut se faire des petits temps je sais pas pour prendre des bains pour s'allumer une bougie pour contempler le mouvement de la bougie pour peut-être aller observer les feuilles qui tombent pour aller marcher au bord du soir et pas d'être dans une dynamique d'action alors encore une fois des fois on fait ce qu'on peut je me doute bien que c'est pas forcément toujours évident et on peut peut-être pas forcément le faire tous les jours mais déjà observer et se dire, là, en fait, cool. Je n'ai pas forcément envie de m'agiter dans tous les sens. Et j'ai besoin de m'accorder des moments de détente, des moments pour moi, des moments cocooning. Et c'est OK, en fait. Et on n'est pas, encore une fois, dans une forme de culpabilisation. C'est juste d'observer, de faire un état d'élu de ce qui est là maintenant. Peut-être que... C'est une vie bien remplie, sûrement, parce qu'on en a tous, mais c'est de se dire, bon allez là, je sens que les besoins de mon corps, ils sont là, et de ne pas aller contre. Je te parlais de la luminosité qui était moins présente, et ça c'est pareil, c'est un point qui est important, c'est de, pour avoir un peu plus de vitalité, c'est aussi de peut-être changer ses routines. Peut-être que le matin, tu auras besoin de... de t'étirer si tu ne faisais pas, peut-être que tu auras envie aussi de remettre un peu de mouvement, d'avoir une activité un peu douce pour toi, d'être plus dans une forme de... De créativité ou de lenteur, ça peut passer par plein de choses la lenteur. C'est pas forcément faire de la méditation et du yoga et tout. Ça peut être juste être en présence, être en conscience dans ce que tu fais, dans les moments où je sais pas, tu vas faire ta vaisselle, tu vas te laver, sentir l'eau qui coule sur toi, être dans un moment de présence et pas forcément être en train de projeter de ce que tu vas faire après ou de penser à ce qu'il y a un truc qui s'est passé avant. Et ça c'est hyper riche aussi parce que... Dans les personnes que j'accompagne, des fois, on a du mal à... Surtout quand les personnes sont beaucoup dans le mental, on a du mal à visualiser ou à se détendre, parce qu'en fait, il y a trop de mouvements dans la tête, et c'est le corps, limite, qui a besoin d'être en mouvement. Donc des fois, ça peut passer par faire des mouvements lents physiques, ça peut passer par mettre de la présence dans ce qu'on fait, et de ne pas faire 15 trucs en même temps, parce que ça aussi, en fait, ça contribue au besoin de ralentir. C'est de... D'arrêter de faire qu'un truc en même temps. Et là, depuis les réseaux sociaux, c'est quand même un enfer, les smartphones. Parce que, je le dis, mais moi ça m'arrive de le faire aussi. Je ne suis pas au-dessus de vous. C'est aussi un enseignement que je me partage à moi-même. Mais c'est d'arrêter de faire qu'un truc en même temps, en fait. D'être en train de, je ne sais pas, de caresser son chat, puis en train de répondre à des messages. Est-ce que peut-être on ne peut pas profiter pleinement d'être avec les gens qu'on aime ? D'être avec nos animaux aussi, parce que moi, mon chat, c'est aussi une personne, donc j'en prends soin et j'ai envie d'être pleinement présente avec elle. Et en fait, c'est pas en faisant deux trucs à la fois, c'est pas ok. En fait, notre énergie, elle se disperse. Et là, on a besoin d'aller à l'intérieur, on a besoin de se régénérer, on a besoin de ramener toutes nos petites particules d'énergie qui se dispersent, qui vont dans tous les sens, à l'intérieur. Et c'est hyper important, encore une fois, d'être en présence, d'observer ce qui est présent là, et aussi d'observer que la cyclicité, la saisonnalité extérieure, donc là le fait d'avoir moins de lumière, ça va impacter notre énergie. On ne peut pas se culpabiliser d'avoir moins d'énergie, alors qu'en fait on n'a pas de lumière à l'extérieur. La lumière, elle nous donne de la vitalité, elle nous apporte énormément de choses, et c'est vrai que là on est moins en contact, donc on a moins de vitalité, et c'est ok. Alors bien sûr, il y a des solutions, on peut s'autoriser, on peut peut-être se lever un peu plus tôt, aller profiter de la lumière extérieure, peut-être aller marcher un peu à l'extérieur aussi, promener en nature si on a l'occasion. On peut aussi faire des séances de luminothérapie, on peut aussi prendre des compléments alimentaires, notamment de la vitamine D qui va compenser la vitamine D3 avec du K2, c'est mieux, c'est mieux assimilé. Pour justement nous apporter ces carences, pour compenser cette carence de luminosité. Donc ça c'est ok, mais il y a d'autres choses aussi. C'est bien beau de prendre des compléments alimentaires, encore une fois, d'être dans une optique de rajouter, alors qu'en fait on a besoin de se délester. Rappelle-toi les feuilles qui tombent, on a besoin de se délester, on n'a pas besoin de rajouter des choses. Donc si tu prends des compléments alimentaires, moi c'est ce que je fais, c'est complètement ok, c'est un soutien, on en a besoin. Mais c'est aussi peut-être de revenir encore une fois aux bases. Et je t'invite à réécouter l'épisode de podcast précédent si tu ne l'as pas fait. Mais c'est d'être dans une optique de ralentissement et de laisser aller les choses et de ne pas être dans une optique de rajouter. Donc après, il y a des choses de base. Il y a le fait de s'octroyer des temps de pause, mais aussi de bien dormir, de préparer son sommeil, de ne pas être en hyperactivité le soir. Parce que normalement, c'est vrai que... On suit le rythme du soleil. Donc là, comme le soleil se couche plus tôt, on va être fatigué plus tôt. En fait, c'est OK, c'est normal. Et c'est d'écouter ça, encore une fois, c'est dans une dynamique d'écoute de soi et c'est d'être aussi présent à ce qui se passe à l'extérieur, à l'intérieur. Encore une fois, je le répète, mais la nature, elle est tellement... C'est tellement une enseignante, en fait. Il y a vraiment... des choses en fait on est la nature en fait on est en fait partie de ça donc on n'est pas déconnecté en fait non on s'est fait croire ça avec avec les villes avec notre rythme avec notre notre travail tout ça il y a des rythmes mais on est la nature donc à un moment donné c'est aussi important d'essayer de se réaligner avec elle et de pas faire comme si en fait on était des automates à production là et c'est pas c'est pas juste en fait c'est pas ok Donc qu'est-ce qu'on peut faire pour mieux traverser cette étape-là, ces moments-là ? C'est d'observer déjà ce qui est, d'observer aussi les peurs, parce que justement, dans l'entrée dans l'hiver, et je l'ai vu, j'avais fait quelques sondages sur Instagram aussi, il y a beaucoup de personnes qui se sentent fatiguées, on l'a vu, mais il y a aussi un sentiment peut-être de manque de clarté, d'être dans ses peurs, d'être dans un flou, d'être un peu perdue. Peut-être une forme d'agitation aussi mentale, d'agitation extérieure. On est dans une période, pour les personnes à qui ça va parler, Vata, où il peut y avoir du mouvement, et c'est pour ça que c'est essentiel de ralentir, en fait, encore une fois, j'insiste, parce qu'il y a des personnes, voilà, qui vont avoir plus de rumination, de peur, qui vont peut-être avoir des douleurs aussi, qui vont se réveiller, peut-être au niveau des articulations, peut-être au niveau... du bas-ventre, du bassin, c'est très localisé là, souvent, ou une forme de sécheresse, il y a vraiment une forme de dessèchement, ça encore une fois, un peu avec les images de la nature, mais de choses qui tombent, qui se laissent aller, et c'est là aussi peut-être d'aller observer nos parts, c'est un moment intéressant pour aller observer nos parts d'ombre et des choses qu'on se raconte aussi, parce que comme on est dans une période où on se déleste, Il y a aussi peut-être des versions de nous qui ont besoin d'être nettoyées, d'être balayées, ou peut-être des masques, ou peut-être des systèmes de défense qui étaient présents et qui nous ont servi avant, mais qui peuvent être transformés aujourd'hui. Donc c'est vrai que souvent on entend parler du shadow work, le travail de l'ombre, et le fait d'aller observer ses pardons, ses masques, à ces moments-là de l'année aussi, parce que... Dans les moments de transition comme ça, en fait, on se déleste. Donc c'est, encore une fois, une forme d'observation et de lâcher prise. On n'est pas dans une dynamique d'action. Et ça, c'est compliqué, pour moi aussi. On n'est pas dans une dynamique où on cherche des solutions. C'est juste une dynamique d'observer ce qui est et peut-être se dire, bon, alors comment je peux transformer ça ? Et il y a plein d'outils qui peuvent être utilisés. Les outils de libération, il peut y en avoir. plein, le fait d'aller voir un thérapeute, le fait d'aller faire des rituels aussi de libération, d'écrire ce dont on ne veut plus, d'aller le brûler, d'aller le jeter. Ça me fait penser aussi à l'enfant intérieur, le fait d'être dans une dynamique de douceur, parce que là aussi, on va en parler, mais l'hiver, ces périodes-là, elles sont faites aussi pour s'apporter de la douceur et du réconfort. Et on n'est pas forcément dans le travail dur à chaque fois d'aller explorer les trucs qui ne sont pas forcément confortables, mais c'est aussi justement de s'apporter de la rondeur, de s'apporter de la douceur, d'apprendre peut-être aussi à se questionner sur qu'est-ce qui nous fait du bien. Moi je sais que récemment, là je me suis fait un plaisir avec mes dessins animés d'enfance, ma bougie, je me mets devant ma télé, alors je ne suis pas très télé, souvent la télé reste éteinte 6 mois dans l'année. Mais là, en ce moment, j'ai eu envie de me reconnecter aux films. Pas forcément des films de Noël, mais pour moi, en tout cas, c'était des dessins animés, ma bougie, mon diffuseur d'huile essentielle, mon chat qui me fait des ronrons, qui fait des câlins. Et ça, c'est vraiment, pour moi, c'est doudou, en fait. Ça me fait énormément de bien. Alors souvent, il y a un petit peu de sucre aussi, parce qu'on ne va pas se mentir. Ça fait toujours plaisir d'avoir un petit chocolat chaud, d'avoir un petit... une petite sucrerie pour apporter un peu de rondeur, apporter un peu de douceur. Mais c'est ça aussi, finalement, c'est d'être dans une dynamique de réconfort, de se faire du bien, et ça passe aussi par le lien à l'autre. C'est d'apprendre aussi à peut-être créer du lien, associabiliser, même si on est moins dans cette dynamique-là, parce que c'est vrai qu'on a plus envie de faire des choses quand c'est l'été, quand c'est le printemps, quand il fait bon, mais c'est d'entretenir encore des liens avec l'extérieur, donc peut-être que ce sera des... Des choses qu'on n'a pas forcément l'habitude de faire, et ça peut passer par le fait d'aller boire un café, d'aller se réchauffer, d'aller au cinéma, de faire des soirées de jeux de société, avec des amis, avec la famille. Il y a vraiment cette dynamique aussi, c'est important de ne pas rester seul et d'être entouré d'une famille d'âmes ou d'une famille de sang ou de cœur, comme tu le souhaites, et de ne pas rester seul dans ces moments-là. On a besoin d'être lové, on a besoin de douceur, de câlins, d'amour. Alors oui, l'amour, on se le donne à soi, mais c'est important. Mais il y a aussi l'amour avec les autres. Pour moi, j'ai un peu plus de mal à dissocier, parce que l'amour de soi, oui, c'est intéressant, l'amour de soi, mais c'est de l'amour, en fait. Et c'est aussi d'être dans le partage et d'être dans l'échange avec l'autre. Donc ça, c'est, pour moi... essentiel aussi dans ces moments-là, un peu plus sombre, dans ces moments où il y a moins de lumière à l'extérieur, de créer la lumière à l'intérieur. Donc de se créer un environnement chaleureux, d'être dans la douceur avec soi, de sortir de ces mécanismes où on se flagelle, où on est dur avec soi, et d'apporter un peu plus de douceur et d'amour en fait. C'est ça, il y a vraiment cette question-là. Peut-être mettre en place, comme je le disais, je me répète un peu, des routines, des choses qui te font du bien. Ça peut être aussi mettre en place des activités créatives. Moi, j'ai repris le dessin et ça me fait énormément de bien. Je pense que j'en avais déjà parlé ici. Mais ça peut être ça, ça peut être le fait de noter des gratitudes. Ça peut être le fait peut-être de reprendre une activité physique douce pour suivre un peu ton rythme. Peut-être t'étirer, faire du yoga. prendre un temps pour méditer ou pour être en pleine présence. T'es pas obligé de faire des méditations d'une demi-heure si c'est pas ton truc. C'est juste être dans la pleine présence et de pas être dans le passé ni dans le futur. Et c'est hyper compliqué. Parce qu'on n'est pas habitué à projeter ou à ruminer des choses du passé. Mais c'est déjà être là, c'est un sacré exercice d'apprendre à être dans le présent, d'apprendre à savourer. finalement, même ces moments-là où on n'aime pas. Moi, je sais que je n'aime pas le mois de novembre. Je déteste. Je déteste parce qu'il fait noir à 15h. Peut-être pas quand même. Il fait noir à 16h, 30h, 17h. Et je trouve que c'est long. Mais il y a d'autres choses en fait. Et c'est aussi apprendre à voir les choses autrement, à prendre un temps de recul et à se dire, bon, ok, c'est pas forcément ce que je préfère, mais comment je peux apporter un peu plus de douceur, un peu plus de... de rondeur et d'amour dans ces moments-là où c'est peut-être un peu moins fluide pour moi, où c'est moins facile. Et pour tout ça, je vais conclure cet épisode avec ça, il faut du temps où on est connecté à sa partie plus intuitive, cette partie qui prend le temps, qui est plus dans cette énergie un peu plus féminine, peut-être si ça parle à certaines, et de sortir de cette course infernale et de sortir de ce... cette productivité, cette action incessante, et d'observer surtout ce qui est. Est-ce qu'on a tendance à courir partout, aller dans tous les sens ? Est-ce qu'on arrive à prioriser ? Est-ce que peut-être... Oui, on se rend compte qu'on est un peu dans un mécanisme et des automatismes qui ne sont pas forcément bons pour nous. Donc ça, ça peut être intéressant d'aller observer. Et si peut-être tu as un peu de mal à identifier, si c'est un peu compliqué pour toi, sache que c'est toujours possible d'aller réserver... ton appel, ton créneau, ta session exploration, où on explore justement un challenge que tu traverses en ce moment et où on pose déjà des premières graines de transformation. C'est un appel de 45 minutes qui est offert, donc si tu sens que c'est le moment pour toi, si tu sens que ça t'appelle, tu pourras retrouver le lien dans la description. Une autre chose aussi, c'est que je propose le 24 novembre 2024, donc je ne sais pas à quel moment tu vas écouter cet épisode, mais je propose à cette date une journée que j'appelle chaudoudou justement pour rentrer dans l'hiver. Donc c'est vraiment en lien avec les énergies du moment, en lien avec ce que j'ai pu te partager dans cet épisode de podcast où on va se retrouver en fait en petit comité à seulement maximum six personnes où on va aller justement prendre le temps pour se lever, prendre le temps pour prendre soin de soi via diverses activités, via divers ateliers créatifs, via divers ateliers sonores olfactifs. Ça dure toute la journée, c'est un dimanche. Et si t'as envie de nous rejoindre, c'est pareil, je te mets le lien juste en dessous de l'épisode. Ce sera un plaisir de t'accueillir et de partager ce moment en vrai dans une petite bulle un peu hors du temps. C'est vraiment mon envie. Je trouve que c'est important de prendre ce temps-là. On peut le faire des fois avec les proches et des fois ça peut être aussi intéressant d'aller, d'être curieux et de se connecter avec des personnes qui vont avoir... Des problématiques peut-être similaires ou du moins il y aura des résonances. Et c'est toujours très très riche. Et je te partage ça maintenant parce que j'ai déjà pu bénéficier de cercles de femmes ou d'échanges. Et aussi d'organiser des retraites. Et c'est toujours ce qui ressort et je trouve ça assez magique. C'est un peu un truc magique là-dedans. C'est que dans le lien il y a des libérations qui se font. Il y a des révélations qui se font et peut-être des confirmations aussi. Donc c'est toujours... des moments qui sont très très riches et très puissants et c'est pour ça que j'avais envie d'ouvrir ces espaces là j'espère que cet épisode t'aura plu et qu'il t'aura peut-être apporté des confirmations, peut-être des prises de conscience c'est ce que j'espère en tout cas je te remercie pour ton écoute et je te dis à très bientôt dans un nouvel épisode si tu entends ce message c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode donc je te remercie si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche je t'invite à le partager tu peux également Mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

Description

🎙️ Dans cet épisode, découvre comment garder le moral et chasser la fatigue saisonnière grâce à des astuces concrètes et bienveillantes ! Je t'invite à explorer les énergies qui sont présentes en ce moment, d'aller observer ses ombres et surtout d'apporter de la douceur dans cette période propice au ralentissement d'entrée dans l'hiver !


Je mets également en lumière des pistes de réflexion et conseil pour traverser cette période avec plus de fluidité et de légèreté !

On parlera de l’art de ralentir pour mieux se ressourcer, des techniques simples de relaxation et de l’importance de s’accorder des moments « cocooning ». Je partage aussi l'importance d'intégrer plus de lumière dans ton quotidien que cela soit dans ta maison que dans ton cœur en adoptant de nouveaux rituels et sans oublier de sociabiliser et de tisser du lien, même si tu as seulement envie de rester posé dans ton canapé !


👉 Si ça n'est pas déjà fait et si c'est le moment pour toi, tu peux prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥


🍁 Le dimanche 24 Novembre de 9h30 à 17h30 aura lieu la journée Chaud-doudou, une journée juste pour toi où tu pourras profiter de cercle de femmes, d'activités créatives réconfortantes, de bains sonores, de rituels de connexion à soi et à la Nature le tout dans un environnement calme et en petit comité !
Retrouve toutes les infos et la possibilité de réserver juste ici : https://aurore-bioty.systeme.io/journee-chauddoudou


Prêt(e) à transformer cette saison en un moment de douceur et d’énergie positive ?


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Transcription

  • Speaker #0

    bienvenue dans le podcast pétillant et authentique réveille ta nature telle une petite fée clochette j'ai à coeur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexion au coeur je suis aurore praticienne bien-être et coach j'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur coeur dans leur corps et dans leur esprit je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie d'explorer la thématique des ombres et surtout aussi d'aller explorer justement comment traverser cette période-là, cette étape-là, avec un peu plus de légèreté. Donc comment passer un peu l'hiver sans le blues qui va avec. J'aime bien le rappeler, on est des êtres cycliques, donc après toute contraction, il y a des expansions, et donc il y a des possibilités aussi de voir de la lumière dans ces moments-là, et d'ailleurs on voit la lumière que quand on traverse des périodes d'ombre, c'est obligé, si t'es dans la lumière, si t'es dans le soleil, tu pourras pas voir autant de lumière, parce que tu seras dedans en fait. Donc c'est comme si tu voyais un tunnel noir, au bout il y a de la lumière, tu vois la lumière, mais si t'es dedans, tu peux pas le voir. Donc c'est vrai que c'est important aussi de rappeler cette notion de cyclicité, que le fait que les choses bougent sans arrêt, et que moi en tout cas ça m'aide énormément à me dire qu'il y a d'autres choses après, il y a des apprentissages, il y a des cadeaux qui vont arriver après, et c'est vrai que moi en tout cas ça m'aide à traverser ces moments-là, avec plus de douceur, avec plus d'amour aussi, et de ne pas être dans une forme de... de culpabilité ou d'autoflagellation parce que ça c'est un peu nos parts d'ombre, c'est des parts qui sont peut-être là pour nous protéger mais qui ne nous font pas forcément du bien, donc c'est important de prendre un temps de recul, d'aller les observer pour moi et de ne pas leur laisser prendre toute la place parce que ça a tendance à vraiment drainer notre énergie, en tout cas moi je te parle de mon expérience personnelle. Et je voulais partager une image un peu différente, donc là je te partageais un peu la notion des cycles, mais c'est aussi relié beaucoup à la notion du ying et du yang que je partage énormément dans mes transmissions, c'est qu'il y a forcément, l'un ne va pas sans l'autre en fait, il y a forcément une justesse, une intelligence là-dedans, et souvent on est dans une société, on est dans une dynamique où on ne nous a pas forcément appris à se poser, à ne rien faire et à accepter. de ne rien faire en fait, des fois il y a des moments de vie où juste il faut que ça passe, il n'y a rien à faire en fait c'est extérieur ou c'est un temps d'infusion et il n'y a pas de dynamique d'action on n'est pas dans une énergie yang on n'est pas dans une énergie d'action, de productivité de d'établir des plans, de planifier des choses, des fois oui mais des fois non et des fois on est dans des périodes où on a besoin d'être avec nous, de lâcher des choses et c'est exactement les dynamiques qu'il y a en ce moment c'est exactement les dynamiques que qu'on a quand on rentre dans l'hiver, quand il y a moins de lumière, d'ailleurs là aussi, une petite image, il y a moins de lumière, on rentre dans une forme d'obscurité, et il y a forcément des outils, il y a forcément des choses qui vont t'aider, qui vont t'accompagner à mieux traverser ça, mais je pense qu'il y a aussi beaucoup, encore une fois, de lâcher prise et de qualité d'être à développer à ce moment-là. Parce qu'on n'est pas dans une dynamique d'action, de mettre en place des choses. Alors oui, on va pouvoir mettre en place des choses, et je vais te partager juste après des formes de conseils, des choses qu'on peut mettre en place justement pour passer l'hiver avec plus de fluidité et sans le blues qui va avec, mais on est quand même dans une énergie où il faut laisser aller. En fait, il n'y a pas le choix de laisser aller. Et d'ailleurs, quand on observe la nature, quand on observe les animaux, il y a énormément d'animaux qui hibernent. La nature, elle se délaisse de ses feuilles. Il y a des choses qui tombent et en fait c'est tout. C'est un cycle qui passe et il n'y a rien à faire. Et ce n'est pas en s'agitant dans tous les sens, en courant, en essayant de trouver des solutions, en étant dans cette énergie un peu d'action masculine où en fait il faut planifier machin. En fait non, ce n'est pas le moment. Est-ce que je reprends l'image que j'avais eue d'un de... Une personne que je suis qui s'appelle François Lemay, qui est un conférencier québécois que j'aime beaucoup, qui utilise énormément l'humour d'ailleurs dans ses transmissions, il vulgarise énormément de choses, et lors d'une de ses conférences, il avait donné l'image d'un arbre qui était là en train de paniquer parce qu'il perdait ses feuilles. En fait, non, l'arbre n'est pas en mode Ah mon dieu, je perds mes feuilles, comment je vais faire ? Qu'est-ce que je vais devenir ? en fait il vit le cycle et je pense que ça c'est vraiment une grande enseignante, à chaque fois je le dis de toute façon que la nature est une grande enseignante mais c'est aussi d'accepter l'impermanence des choses et c'est hyper compliqué mais d'accepter qu'il y a des cycles et qu'il y a des moments pour se détendre, se reposer, se régénérer juste être dans la contemplation de ce qui est et des moments où on planifie, on organise, on met en place des choses... Et si on ne respecte pas cette dynamique-là, souvent, on va se drainer et on va s'épuiser. Et je te dis ça en connaissance de cause aussi, parce qu'on a beau le savoir, on est tous pareils, on a des mécanismes, des fois inconscients, ou des choses qu'on met en place un peu en mode automatique. Et moi aussi, des fois, je suis dans cette dynamique où je fais, je suis dans l'action, et en fait, c'est ok de faire, des fois, on n'a pas le choix de se mettre en action, mais c'est de se dire, quelle est ma limite ? Où est-ce que je vais ? Jusque où ? Est-ce que je m'étais dit que j'allais travailler ou que j'allais faire telle chose jusqu'à 17h, mais est-ce que finalement le soleil se couche 17h30, est-ce que j'ai envie de travailler jusqu'à cette heure-là quand il fait noir alors que peut-être en plus je ne suis pas forcément efficace à ce moment-là de la journée. Donc c'est aussi apprendre à observer ses propres rythmes, à observer ce qui est présent pour soi, notre énergie, parce que finalement des fois on va s'acharner à faire quelque chose et on ne va pas... être efficace. Donc en fait, c'est de la perte de temps. Ça aurait été plus bénéfique pour soi de se reposer, de se détendre, de faire une activité peut-être qui demande un peu moins de concentration parce qu'on va se régénérer et parce que ça va nous apporter énormément de recharge. C'est comme si on se rechargeait, c'est comme si on était un téléphone. On se recharge et après, on aura plus d'énergie pour ce qui suit et pour peut-être mettre en place des choses et être dans l'action. Mais c'est toujours encore une forme un peu d'équilibre et d'écoute de soi surtout. Et surtout maintenant, en fait. Là, on est dans une période où on va rentrer, justement, dans une période un peu plus yin, un peu plus féminine, un peu plus dans l'être et moins dans le faire. On est dans une période comme ça, là, actuellement. Il y a eu le changement d'heure, il y a moins de luminosité. Et en fait, ça joue énormément sur notre cycle, et c'est biologique, en fait. Donc, aller contre ça, c'est aller contre soi. Et c'est hyper violent, finalement, c'est dur. Et d'ailleurs, peut-être que tu te reconnaîtras en ce moment, peut-être qu'il y a des mots, peut-être qu'il y a des choses qui se manifestent dans le corps, ou peut-être dans le mental, ou peut-être plus d'émotions, peut-être que tu te sens un peu plus perdue, parce qu'en fait, on a besoin de prendre ce temps pour ralentir. Et ça, c'est hyper, hyper important, en fait. Et c'est une des premières... choses, des premiers conseils que j'ai envie de te partager, c'est de t'accorder des moments de pause et de ralentir. Alors on le sait, j'arrête pas de le répéter tout le temps, mais en fait je pense qu'on a besoin aussi de se répéter les choses, parce qu'on n'est pas habitués en fait, on nous a pas appris ça, et on doit être productif en fait, on continue à travailler en fait, on a des choses à faire, donc c'est ok, mais en fait peut-être qu'on peut s'accorder un peu plus de temps de pause, peut-être qu'on peut s'instaurer de nouvelles routines. peut-être qu'on peut prendre soin de soi qu'on peut se faire des petits temps je sais pas pour prendre des bains pour s'allumer une bougie pour contempler le mouvement de la bougie pour peut-être aller observer les feuilles qui tombent pour aller marcher au bord du soir et pas d'être dans une dynamique d'action alors encore une fois des fois on fait ce qu'on peut je me doute bien que c'est pas forcément toujours évident et on peut peut-être pas forcément le faire tous les jours mais déjà observer et se dire, là, en fait, cool. Je n'ai pas forcément envie de m'agiter dans tous les sens. Et j'ai besoin de m'accorder des moments de détente, des moments pour moi, des moments cocooning. Et c'est OK, en fait. Et on n'est pas, encore une fois, dans une forme de culpabilisation. C'est juste d'observer, de faire un état d'élu de ce qui est là maintenant. Peut-être que... C'est une vie bien remplie, sûrement, parce qu'on en a tous, mais c'est de se dire, bon allez là, je sens que les besoins de mon corps, ils sont là, et de ne pas aller contre. Je te parlais de la luminosité qui était moins présente, et ça c'est pareil, c'est un point qui est important, c'est de, pour avoir un peu plus de vitalité, c'est aussi de peut-être changer ses routines. Peut-être que le matin, tu auras besoin de... de t'étirer si tu ne faisais pas, peut-être que tu auras envie aussi de remettre un peu de mouvement, d'avoir une activité un peu douce pour toi, d'être plus dans une forme de... De créativité ou de lenteur, ça peut passer par plein de choses la lenteur. C'est pas forcément faire de la méditation et du yoga et tout. Ça peut être juste être en présence, être en conscience dans ce que tu fais, dans les moments où je sais pas, tu vas faire ta vaisselle, tu vas te laver, sentir l'eau qui coule sur toi, être dans un moment de présence et pas forcément être en train de projeter de ce que tu vas faire après ou de penser à ce qu'il y a un truc qui s'est passé avant. Et ça c'est hyper riche aussi parce que... Dans les personnes que j'accompagne, des fois, on a du mal à... Surtout quand les personnes sont beaucoup dans le mental, on a du mal à visualiser ou à se détendre, parce qu'en fait, il y a trop de mouvements dans la tête, et c'est le corps, limite, qui a besoin d'être en mouvement. Donc des fois, ça peut passer par faire des mouvements lents physiques, ça peut passer par mettre de la présence dans ce qu'on fait, et de ne pas faire 15 trucs en même temps, parce que ça aussi, en fait, ça contribue au besoin de ralentir. C'est de... D'arrêter de faire qu'un truc en même temps. Et là, depuis les réseaux sociaux, c'est quand même un enfer, les smartphones. Parce que, je le dis, mais moi ça m'arrive de le faire aussi. Je ne suis pas au-dessus de vous. C'est aussi un enseignement que je me partage à moi-même. Mais c'est d'arrêter de faire qu'un truc en même temps, en fait. D'être en train de, je ne sais pas, de caresser son chat, puis en train de répondre à des messages. Est-ce que peut-être on ne peut pas profiter pleinement d'être avec les gens qu'on aime ? D'être avec nos animaux aussi, parce que moi, mon chat, c'est aussi une personne, donc j'en prends soin et j'ai envie d'être pleinement présente avec elle. Et en fait, c'est pas en faisant deux trucs à la fois, c'est pas ok. En fait, notre énergie, elle se disperse. Et là, on a besoin d'aller à l'intérieur, on a besoin de se régénérer, on a besoin de ramener toutes nos petites particules d'énergie qui se dispersent, qui vont dans tous les sens, à l'intérieur. Et c'est hyper important, encore une fois, d'être en présence, d'observer ce qui est présent là, et aussi d'observer que la cyclicité, la saisonnalité extérieure, donc là le fait d'avoir moins de lumière, ça va impacter notre énergie. On ne peut pas se culpabiliser d'avoir moins d'énergie, alors qu'en fait on n'a pas de lumière à l'extérieur. La lumière, elle nous donne de la vitalité, elle nous apporte énormément de choses, et c'est vrai que là on est moins en contact, donc on a moins de vitalité, et c'est ok. Alors bien sûr, il y a des solutions, on peut s'autoriser, on peut peut-être se lever un peu plus tôt, aller profiter de la lumière extérieure, peut-être aller marcher un peu à l'extérieur aussi, promener en nature si on a l'occasion. On peut aussi faire des séances de luminothérapie, on peut aussi prendre des compléments alimentaires, notamment de la vitamine D qui va compenser la vitamine D3 avec du K2, c'est mieux, c'est mieux assimilé. Pour justement nous apporter ces carences, pour compenser cette carence de luminosité. Donc ça c'est ok, mais il y a d'autres choses aussi. C'est bien beau de prendre des compléments alimentaires, encore une fois, d'être dans une optique de rajouter, alors qu'en fait on a besoin de se délester. Rappelle-toi les feuilles qui tombent, on a besoin de se délester, on n'a pas besoin de rajouter des choses. Donc si tu prends des compléments alimentaires, moi c'est ce que je fais, c'est complètement ok, c'est un soutien, on en a besoin. Mais c'est aussi peut-être de revenir encore une fois aux bases. Et je t'invite à réécouter l'épisode de podcast précédent si tu ne l'as pas fait. Mais c'est d'être dans une optique de ralentissement et de laisser aller les choses et de ne pas être dans une optique de rajouter. Donc après, il y a des choses de base. Il y a le fait de s'octroyer des temps de pause, mais aussi de bien dormir, de préparer son sommeil, de ne pas être en hyperactivité le soir. Parce que normalement, c'est vrai que... On suit le rythme du soleil. Donc là, comme le soleil se couche plus tôt, on va être fatigué plus tôt. En fait, c'est OK, c'est normal. Et c'est d'écouter ça, encore une fois, c'est dans une dynamique d'écoute de soi et c'est d'être aussi présent à ce qui se passe à l'extérieur, à l'intérieur. Encore une fois, je le répète, mais la nature, elle est tellement... C'est tellement une enseignante, en fait. Il y a vraiment... des choses en fait on est la nature en fait on est en fait partie de ça donc on n'est pas déconnecté en fait non on s'est fait croire ça avec avec les villes avec notre rythme avec notre notre travail tout ça il y a des rythmes mais on est la nature donc à un moment donné c'est aussi important d'essayer de se réaligner avec elle et de pas faire comme si en fait on était des automates à production là et c'est pas c'est pas juste en fait c'est pas ok Donc qu'est-ce qu'on peut faire pour mieux traverser cette étape-là, ces moments-là ? C'est d'observer déjà ce qui est, d'observer aussi les peurs, parce que justement, dans l'entrée dans l'hiver, et je l'ai vu, j'avais fait quelques sondages sur Instagram aussi, il y a beaucoup de personnes qui se sentent fatiguées, on l'a vu, mais il y a aussi un sentiment peut-être de manque de clarté, d'être dans ses peurs, d'être dans un flou, d'être un peu perdue. Peut-être une forme d'agitation aussi mentale, d'agitation extérieure. On est dans une période, pour les personnes à qui ça va parler, Vata, où il peut y avoir du mouvement, et c'est pour ça que c'est essentiel de ralentir, en fait, encore une fois, j'insiste, parce qu'il y a des personnes, voilà, qui vont avoir plus de rumination, de peur, qui vont peut-être avoir des douleurs aussi, qui vont se réveiller, peut-être au niveau des articulations, peut-être au niveau... du bas-ventre, du bassin, c'est très localisé là, souvent, ou une forme de sécheresse, il y a vraiment une forme de dessèchement, ça encore une fois, un peu avec les images de la nature, mais de choses qui tombent, qui se laissent aller, et c'est là aussi peut-être d'aller observer nos parts, c'est un moment intéressant pour aller observer nos parts d'ombre et des choses qu'on se raconte aussi, parce que comme on est dans une période où on se déleste, Il y a aussi peut-être des versions de nous qui ont besoin d'être nettoyées, d'être balayées, ou peut-être des masques, ou peut-être des systèmes de défense qui étaient présents et qui nous ont servi avant, mais qui peuvent être transformés aujourd'hui. Donc c'est vrai que souvent on entend parler du shadow work, le travail de l'ombre, et le fait d'aller observer ses pardons, ses masques, à ces moments-là de l'année aussi, parce que... Dans les moments de transition comme ça, en fait, on se déleste. Donc c'est, encore une fois, une forme d'observation et de lâcher prise. On n'est pas dans une dynamique d'action. Et ça, c'est compliqué, pour moi aussi. On n'est pas dans une dynamique où on cherche des solutions. C'est juste une dynamique d'observer ce qui est et peut-être se dire, bon, alors comment je peux transformer ça ? Et il y a plein d'outils qui peuvent être utilisés. Les outils de libération, il peut y en avoir. plein, le fait d'aller voir un thérapeute, le fait d'aller faire des rituels aussi de libération, d'écrire ce dont on ne veut plus, d'aller le brûler, d'aller le jeter. Ça me fait penser aussi à l'enfant intérieur, le fait d'être dans une dynamique de douceur, parce que là aussi, on va en parler, mais l'hiver, ces périodes-là, elles sont faites aussi pour s'apporter de la douceur et du réconfort. Et on n'est pas forcément dans le travail dur à chaque fois d'aller explorer les trucs qui ne sont pas forcément confortables, mais c'est aussi justement de s'apporter de la rondeur, de s'apporter de la douceur, d'apprendre peut-être aussi à se questionner sur qu'est-ce qui nous fait du bien. Moi je sais que récemment, là je me suis fait un plaisir avec mes dessins animés d'enfance, ma bougie, je me mets devant ma télé, alors je ne suis pas très télé, souvent la télé reste éteinte 6 mois dans l'année. Mais là, en ce moment, j'ai eu envie de me reconnecter aux films. Pas forcément des films de Noël, mais pour moi, en tout cas, c'était des dessins animés, ma bougie, mon diffuseur d'huile essentielle, mon chat qui me fait des ronrons, qui fait des câlins. Et ça, c'est vraiment, pour moi, c'est doudou, en fait. Ça me fait énormément de bien. Alors souvent, il y a un petit peu de sucre aussi, parce qu'on ne va pas se mentir. Ça fait toujours plaisir d'avoir un petit chocolat chaud, d'avoir un petit... une petite sucrerie pour apporter un peu de rondeur, apporter un peu de douceur. Mais c'est ça aussi, finalement, c'est d'être dans une dynamique de réconfort, de se faire du bien, et ça passe aussi par le lien à l'autre. C'est d'apprendre aussi à peut-être créer du lien, associabiliser, même si on est moins dans cette dynamique-là, parce que c'est vrai qu'on a plus envie de faire des choses quand c'est l'été, quand c'est le printemps, quand il fait bon, mais c'est d'entretenir encore des liens avec l'extérieur, donc peut-être que ce sera des... Des choses qu'on n'a pas forcément l'habitude de faire, et ça peut passer par le fait d'aller boire un café, d'aller se réchauffer, d'aller au cinéma, de faire des soirées de jeux de société, avec des amis, avec la famille. Il y a vraiment cette dynamique aussi, c'est important de ne pas rester seul et d'être entouré d'une famille d'âmes ou d'une famille de sang ou de cœur, comme tu le souhaites, et de ne pas rester seul dans ces moments-là. On a besoin d'être lové, on a besoin de douceur, de câlins, d'amour. Alors oui, l'amour, on se le donne à soi, mais c'est important. Mais il y a aussi l'amour avec les autres. Pour moi, j'ai un peu plus de mal à dissocier, parce que l'amour de soi, oui, c'est intéressant, l'amour de soi, mais c'est de l'amour, en fait. Et c'est aussi d'être dans le partage et d'être dans l'échange avec l'autre. Donc ça, c'est, pour moi... essentiel aussi dans ces moments-là, un peu plus sombre, dans ces moments où il y a moins de lumière à l'extérieur, de créer la lumière à l'intérieur. Donc de se créer un environnement chaleureux, d'être dans la douceur avec soi, de sortir de ces mécanismes où on se flagelle, où on est dur avec soi, et d'apporter un peu plus de douceur et d'amour en fait. C'est ça, il y a vraiment cette question-là. Peut-être mettre en place, comme je le disais, je me répète un peu, des routines, des choses qui te font du bien. Ça peut être aussi mettre en place des activités créatives. Moi, j'ai repris le dessin et ça me fait énormément de bien. Je pense que j'en avais déjà parlé ici. Mais ça peut être ça, ça peut être le fait de noter des gratitudes. Ça peut être le fait peut-être de reprendre une activité physique douce pour suivre un peu ton rythme. Peut-être t'étirer, faire du yoga. prendre un temps pour méditer ou pour être en pleine présence. T'es pas obligé de faire des méditations d'une demi-heure si c'est pas ton truc. C'est juste être dans la pleine présence et de pas être dans le passé ni dans le futur. Et c'est hyper compliqué. Parce qu'on n'est pas habitué à projeter ou à ruminer des choses du passé. Mais c'est déjà être là, c'est un sacré exercice d'apprendre à être dans le présent, d'apprendre à savourer. finalement, même ces moments-là où on n'aime pas. Moi, je sais que je n'aime pas le mois de novembre. Je déteste. Je déteste parce qu'il fait noir à 15h. Peut-être pas quand même. Il fait noir à 16h, 30h, 17h. Et je trouve que c'est long. Mais il y a d'autres choses en fait. Et c'est aussi apprendre à voir les choses autrement, à prendre un temps de recul et à se dire, bon, ok, c'est pas forcément ce que je préfère, mais comment je peux apporter un peu plus de douceur, un peu plus de... de rondeur et d'amour dans ces moments-là où c'est peut-être un peu moins fluide pour moi, où c'est moins facile. Et pour tout ça, je vais conclure cet épisode avec ça, il faut du temps où on est connecté à sa partie plus intuitive, cette partie qui prend le temps, qui est plus dans cette énergie un peu plus féminine, peut-être si ça parle à certaines, et de sortir de cette course infernale et de sortir de ce... cette productivité, cette action incessante, et d'observer surtout ce qui est. Est-ce qu'on a tendance à courir partout, aller dans tous les sens ? Est-ce qu'on arrive à prioriser ? Est-ce que peut-être... Oui, on se rend compte qu'on est un peu dans un mécanisme et des automatismes qui ne sont pas forcément bons pour nous. Donc ça, ça peut être intéressant d'aller observer. Et si peut-être tu as un peu de mal à identifier, si c'est un peu compliqué pour toi, sache que c'est toujours possible d'aller réserver... ton appel, ton créneau, ta session exploration, où on explore justement un challenge que tu traverses en ce moment et où on pose déjà des premières graines de transformation. C'est un appel de 45 minutes qui est offert, donc si tu sens que c'est le moment pour toi, si tu sens que ça t'appelle, tu pourras retrouver le lien dans la description. Une autre chose aussi, c'est que je propose le 24 novembre 2024, donc je ne sais pas à quel moment tu vas écouter cet épisode, mais je propose à cette date une journée que j'appelle chaudoudou justement pour rentrer dans l'hiver. Donc c'est vraiment en lien avec les énergies du moment, en lien avec ce que j'ai pu te partager dans cet épisode de podcast où on va se retrouver en fait en petit comité à seulement maximum six personnes où on va aller justement prendre le temps pour se lever, prendre le temps pour prendre soin de soi via diverses activités, via divers ateliers créatifs, via divers ateliers sonores olfactifs. Ça dure toute la journée, c'est un dimanche. Et si t'as envie de nous rejoindre, c'est pareil, je te mets le lien juste en dessous de l'épisode. Ce sera un plaisir de t'accueillir et de partager ce moment en vrai dans une petite bulle un peu hors du temps. C'est vraiment mon envie. Je trouve que c'est important de prendre ce temps-là. On peut le faire des fois avec les proches et des fois ça peut être aussi intéressant d'aller, d'être curieux et de se connecter avec des personnes qui vont avoir... Des problématiques peut-être similaires ou du moins il y aura des résonances. Et c'est toujours très très riche. Et je te partage ça maintenant parce que j'ai déjà pu bénéficier de cercles de femmes ou d'échanges. Et aussi d'organiser des retraites. Et c'est toujours ce qui ressort et je trouve ça assez magique. C'est un peu un truc magique là-dedans. C'est que dans le lien il y a des libérations qui se font. Il y a des révélations qui se font et peut-être des confirmations aussi. Donc c'est toujours... des moments qui sont très très riches et très puissants et c'est pour ça que j'avais envie d'ouvrir ces espaces là j'espère que cet épisode t'aura plu et qu'il t'aura peut-être apporté des confirmations, peut-être des prises de conscience c'est ce que j'espère en tout cas je te remercie pour ton écoute et je te dis à très bientôt dans un nouvel épisode si tu entends ce message c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode donc je te remercie si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche je t'invite à le partager tu peux également Mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

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🎙️ Dans cet épisode, découvre comment garder le moral et chasser la fatigue saisonnière grâce à des astuces concrètes et bienveillantes ! Je t'invite à explorer les énergies qui sont présentes en ce moment, d'aller observer ses ombres et surtout d'apporter de la douceur dans cette période propice au ralentissement d'entrée dans l'hiver !


Je mets également en lumière des pistes de réflexion et conseil pour traverser cette période avec plus de fluidité et de légèreté !

On parlera de l’art de ralentir pour mieux se ressourcer, des techniques simples de relaxation et de l’importance de s’accorder des moments « cocooning ». Je partage aussi l'importance d'intégrer plus de lumière dans ton quotidien que cela soit dans ta maison que dans ton cœur en adoptant de nouveaux rituels et sans oublier de sociabiliser et de tisser du lien, même si tu as seulement envie de rester posé dans ton canapé !


👉 Si ça n'est pas déjà fait et si c'est le moment pour toi, tu peux prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥


🍁 Le dimanche 24 Novembre de 9h30 à 17h30 aura lieu la journée Chaud-doudou, une journée juste pour toi où tu pourras profiter de cercle de femmes, d'activités créatives réconfortantes, de bains sonores, de rituels de connexion à soi et à la Nature le tout dans un environnement calme et en petit comité !
Retrouve toutes les infos et la possibilité de réserver juste ici : https://aurore-bioty.systeme.io/journee-chauddoudou


Prêt(e) à transformer cette saison en un moment de douceur et d’énergie positive ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    bienvenue dans le podcast pétillant et authentique réveille ta nature telle une petite fée clochette j'ai à coeur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexion au coeur je suis aurore praticienne bien-être et coach j'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur coeur dans leur corps et dans leur esprit je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie d'explorer la thématique des ombres et surtout aussi d'aller explorer justement comment traverser cette période-là, cette étape-là, avec un peu plus de légèreté. Donc comment passer un peu l'hiver sans le blues qui va avec. J'aime bien le rappeler, on est des êtres cycliques, donc après toute contraction, il y a des expansions, et donc il y a des possibilités aussi de voir de la lumière dans ces moments-là, et d'ailleurs on voit la lumière que quand on traverse des périodes d'ombre, c'est obligé, si t'es dans la lumière, si t'es dans le soleil, tu pourras pas voir autant de lumière, parce que tu seras dedans en fait. Donc c'est comme si tu voyais un tunnel noir, au bout il y a de la lumière, tu vois la lumière, mais si t'es dedans, tu peux pas le voir. Donc c'est vrai que c'est important aussi de rappeler cette notion de cyclicité, que le fait que les choses bougent sans arrêt, et que moi en tout cas ça m'aide énormément à me dire qu'il y a d'autres choses après, il y a des apprentissages, il y a des cadeaux qui vont arriver après, et c'est vrai que moi en tout cas ça m'aide à traverser ces moments-là, avec plus de douceur, avec plus d'amour aussi, et de ne pas être dans une forme de... de culpabilité ou d'autoflagellation parce que ça c'est un peu nos parts d'ombre, c'est des parts qui sont peut-être là pour nous protéger mais qui ne nous font pas forcément du bien, donc c'est important de prendre un temps de recul, d'aller les observer pour moi et de ne pas leur laisser prendre toute la place parce que ça a tendance à vraiment drainer notre énergie, en tout cas moi je te parle de mon expérience personnelle. Et je voulais partager une image un peu différente, donc là je te partageais un peu la notion des cycles, mais c'est aussi relié beaucoup à la notion du ying et du yang que je partage énormément dans mes transmissions, c'est qu'il y a forcément, l'un ne va pas sans l'autre en fait, il y a forcément une justesse, une intelligence là-dedans, et souvent on est dans une société, on est dans une dynamique où on ne nous a pas forcément appris à se poser, à ne rien faire et à accepter. de ne rien faire en fait, des fois il y a des moments de vie où juste il faut que ça passe, il n'y a rien à faire en fait c'est extérieur ou c'est un temps d'infusion et il n'y a pas de dynamique d'action on n'est pas dans une énergie yang on n'est pas dans une énergie d'action, de productivité de d'établir des plans, de planifier des choses, des fois oui mais des fois non et des fois on est dans des périodes où on a besoin d'être avec nous, de lâcher des choses et c'est exactement les dynamiques qu'il y a en ce moment c'est exactement les dynamiques que qu'on a quand on rentre dans l'hiver, quand il y a moins de lumière, d'ailleurs là aussi, une petite image, il y a moins de lumière, on rentre dans une forme d'obscurité, et il y a forcément des outils, il y a forcément des choses qui vont t'aider, qui vont t'accompagner à mieux traverser ça, mais je pense qu'il y a aussi beaucoup, encore une fois, de lâcher prise et de qualité d'être à développer à ce moment-là. Parce qu'on n'est pas dans une dynamique d'action, de mettre en place des choses. Alors oui, on va pouvoir mettre en place des choses, et je vais te partager juste après des formes de conseils, des choses qu'on peut mettre en place justement pour passer l'hiver avec plus de fluidité et sans le blues qui va avec, mais on est quand même dans une énergie où il faut laisser aller. En fait, il n'y a pas le choix de laisser aller. Et d'ailleurs, quand on observe la nature, quand on observe les animaux, il y a énormément d'animaux qui hibernent. La nature, elle se délaisse de ses feuilles. Il y a des choses qui tombent et en fait c'est tout. C'est un cycle qui passe et il n'y a rien à faire. Et ce n'est pas en s'agitant dans tous les sens, en courant, en essayant de trouver des solutions, en étant dans cette énergie un peu d'action masculine où en fait il faut planifier machin. En fait non, ce n'est pas le moment. Est-ce que je reprends l'image que j'avais eue d'un de... Une personne que je suis qui s'appelle François Lemay, qui est un conférencier québécois que j'aime beaucoup, qui utilise énormément l'humour d'ailleurs dans ses transmissions, il vulgarise énormément de choses, et lors d'une de ses conférences, il avait donné l'image d'un arbre qui était là en train de paniquer parce qu'il perdait ses feuilles. En fait, non, l'arbre n'est pas en mode Ah mon dieu, je perds mes feuilles, comment je vais faire ? Qu'est-ce que je vais devenir ? en fait il vit le cycle et je pense que ça c'est vraiment une grande enseignante, à chaque fois je le dis de toute façon que la nature est une grande enseignante mais c'est aussi d'accepter l'impermanence des choses et c'est hyper compliqué mais d'accepter qu'il y a des cycles et qu'il y a des moments pour se détendre, se reposer, se régénérer juste être dans la contemplation de ce qui est et des moments où on planifie, on organise, on met en place des choses... Et si on ne respecte pas cette dynamique-là, souvent, on va se drainer et on va s'épuiser. Et je te dis ça en connaissance de cause aussi, parce qu'on a beau le savoir, on est tous pareils, on a des mécanismes, des fois inconscients, ou des choses qu'on met en place un peu en mode automatique. Et moi aussi, des fois, je suis dans cette dynamique où je fais, je suis dans l'action, et en fait, c'est ok de faire, des fois, on n'a pas le choix de se mettre en action, mais c'est de se dire, quelle est ma limite ? Où est-ce que je vais ? Jusque où ? Est-ce que je m'étais dit que j'allais travailler ou que j'allais faire telle chose jusqu'à 17h, mais est-ce que finalement le soleil se couche 17h30, est-ce que j'ai envie de travailler jusqu'à cette heure-là quand il fait noir alors que peut-être en plus je ne suis pas forcément efficace à ce moment-là de la journée. Donc c'est aussi apprendre à observer ses propres rythmes, à observer ce qui est présent pour soi, notre énergie, parce que finalement des fois on va s'acharner à faire quelque chose et on ne va pas... être efficace. Donc en fait, c'est de la perte de temps. Ça aurait été plus bénéfique pour soi de se reposer, de se détendre, de faire une activité peut-être qui demande un peu moins de concentration parce qu'on va se régénérer et parce que ça va nous apporter énormément de recharge. C'est comme si on se rechargeait, c'est comme si on était un téléphone. On se recharge et après, on aura plus d'énergie pour ce qui suit et pour peut-être mettre en place des choses et être dans l'action. Mais c'est toujours encore une forme un peu d'équilibre et d'écoute de soi surtout. Et surtout maintenant, en fait. Là, on est dans une période où on va rentrer, justement, dans une période un peu plus yin, un peu plus féminine, un peu plus dans l'être et moins dans le faire. On est dans une période comme ça, là, actuellement. Il y a eu le changement d'heure, il y a moins de luminosité. Et en fait, ça joue énormément sur notre cycle, et c'est biologique, en fait. Donc, aller contre ça, c'est aller contre soi. Et c'est hyper violent, finalement, c'est dur. Et d'ailleurs, peut-être que tu te reconnaîtras en ce moment, peut-être qu'il y a des mots, peut-être qu'il y a des choses qui se manifestent dans le corps, ou peut-être dans le mental, ou peut-être plus d'émotions, peut-être que tu te sens un peu plus perdue, parce qu'en fait, on a besoin de prendre ce temps pour ralentir. Et ça, c'est hyper, hyper important, en fait. Et c'est une des premières... choses, des premiers conseils que j'ai envie de te partager, c'est de t'accorder des moments de pause et de ralentir. Alors on le sait, j'arrête pas de le répéter tout le temps, mais en fait je pense qu'on a besoin aussi de se répéter les choses, parce qu'on n'est pas habitués en fait, on nous a pas appris ça, et on doit être productif en fait, on continue à travailler en fait, on a des choses à faire, donc c'est ok, mais en fait peut-être qu'on peut s'accorder un peu plus de temps de pause, peut-être qu'on peut s'instaurer de nouvelles routines. peut-être qu'on peut prendre soin de soi qu'on peut se faire des petits temps je sais pas pour prendre des bains pour s'allumer une bougie pour contempler le mouvement de la bougie pour peut-être aller observer les feuilles qui tombent pour aller marcher au bord du soir et pas d'être dans une dynamique d'action alors encore une fois des fois on fait ce qu'on peut je me doute bien que c'est pas forcément toujours évident et on peut peut-être pas forcément le faire tous les jours mais déjà observer et se dire, là, en fait, cool. Je n'ai pas forcément envie de m'agiter dans tous les sens. Et j'ai besoin de m'accorder des moments de détente, des moments pour moi, des moments cocooning. Et c'est OK, en fait. Et on n'est pas, encore une fois, dans une forme de culpabilisation. C'est juste d'observer, de faire un état d'élu de ce qui est là maintenant. Peut-être que... C'est une vie bien remplie, sûrement, parce qu'on en a tous, mais c'est de se dire, bon allez là, je sens que les besoins de mon corps, ils sont là, et de ne pas aller contre. Je te parlais de la luminosité qui était moins présente, et ça c'est pareil, c'est un point qui est important, c'est de, pour avoir un peu plus de vitalité, c'est aussi de peut-être changer ses routines. Peut-être que le matin, tu auras besoin de... de t'étirer si tu ne faisais pas, peut-être que tu auras envie aussi de remettre un peu de mouvement, d'avoir une activité un peu douce pour toi, d'être plus dans une forme de... De créativité ou de lenteur, ça peut passer par plein de choses la lenteur. C'est pas forcément faire de la méditation et du yoga et tout. Ça peut être juste être en présence, être en conscience dans ce que tu fais, dans les moments où je sais pas, tu vas faire ta vaisselle, tu vas te laver, sentir l'eau qui coule sur toi, être dans un moment de présence et pas forcément être en train de projeter de ce que tu vas faire après ou de penser à ce qu'il y a un truc qui s'est passé avant. Et ça c'est hyper riche aussi parce que... Dans les personnes que j'accompagne, des fois, on a du mal à... Surtout quand les personnes sont beaucoup dans le mental, on a du mal à visualiser ou à se détendre, parce qu'en fait, il y a trop de mouvements dans la tête, et c'est le corps, limite, qui a besoin d'être en mouvement. Donc des fois, ça peut passer par faire des mouvements lents physiques, ça peut passer par mettre de la présence dans ce qu'on fait, et de ne pas faire 15 trucs en même temps, parce que ça aussi, en fait, ça contribue au besoin de ralentir. C'est de... D'arrêter de faire qu'un truc en même temps. Et là, depuis les réseaux sociaux, c'est quand même un enfer, les smartphones. Parce que, je le dis, mais moi ça m'arrive de le faire aussi. Je ne suis pas au-dessus de vous. C'est aussi un enseignement que je me partage à moi-même. Mais c'est d'arrêter de faire qu'un truc en même temps, en fait. D'être en train de, je ne sais pas, de caresser son chat, puis en train de répondre à des messages. Est-ce que peut-être on ne peut pas profiter pleinement d'être avec les gens qu'on aime ? D'être avec nos animaux aussi, parce que moi, mon chat, c'est aussi une personne, donc j'en prends soin et j'ai envie d'être pleinement présente avec elle. Et en fait, c'est pas en faisant deux trucs à la fois, c'est pas ok. En fait, notre énergie, elle se disperse. Et là, on a besoin d'aller à l'intérieur, on a besoin de se régénérer, on a besoin de ramener toutes nos petites particules d'énergie qui se dispersent, qui vont dans tous les sens, à l'intérieur. Et c'est hyper important, encore une fois, d'être en présence, d'observer ce qui est présent là, et aussi d'observer que la cyclicité, la saisonnalité extérieure, donc là le fait d'avoir moins de lumière, ça va impacter notre énergie. On ne peut pas se culpabiliser d'avoir moins d'énergie, alors qu'en fait on n'a pas de lumière à l'extérieur. La lumière, elle nous donne de la vitalité, elle nous apporte énormément de choses, et c'est vrai que là on est moins en contact, donc on a moins de vitalité, et c'est ok. Alors bien sûr, il y a des solutions, on peut s'autoriser, on peut peut-être se lever un peu plus tôt, aller profiter de la lumière extérieure, peut-être aller marcher un peu à l'extérieur aussi, promener en nature si on a l'occasion. On peut aussi faire des séances de luminothérapie, on peut aussi prendre des compléments alimentaires, notamment de la vitamine D qui va compenser la vitamine D3 avec du K2, c'est mieux, c'est mieux assimilé. Pour justement nous apporter ces carences, pour compenser cette carence de luminosité. Donc ça c'est ok, mais il y a d'autres choses aussi. C'est bien beau de prendre des compléments alimentaires, encore une fois, d'être dans une optique de rajouter, alors qu'en fait on a besoin de se délester. Rappelle-toi les feuilles qui tombent, on a besoin de se délester, on n'a pas besoin de rajouter des choses. Donc si tu prends des compléments alimentaires, moi c'est ce que je fais, c'est complètement ok, c'est un soutien, on en a besoin. Mais c'est aussi peut-être de revenir encore une fois aux bases. Et je t'invite à réécouter l'épisode de podcast précédent si tu ne l'as pas fait. Mais c'est d'être dans une optique de ralentissement et de laisser aller les choses et de ne pas être dans une optique de rajouter. Donc après, il y a des choses de base. Il y a le fait de s'octroyer des temps de pause, mais aussi de bien dormir, de préparer son sommeil, de ne pas être en hyperactivité le soir. Parce que normalement, c'est vrai que... On suit le rythme du soleil. Donc là, comme le soleil se couche plus tôt, on va être fatigué plus tôt. En fait, c'est OK, c'est normal. Et c'est d'écouter ça, encore une fois, c'est dans une dynamique d'écoute de soi et c'est d'être aussi présent à ce qui se passe à l'extérieur, à l'intérieur. Encore une fois, je le répète, mais la nature, elle est tellement... C'est tellement une enseignante, en fait. Il y a vraiment... des choses en fait on est la nature en fait on est en fait partie de ça donc on n'est pas déconnecté en fait non on s'est fait croire ça avec avec les villes avec notre rythme avec notre notre travail tout ça il y a des rythmes mais on est la nature donc à un moment donné c'est aussi important d'essayer de se réaligner avec elle et de pas faire comme si en fait on était des automates à production là et c'est pas c'est pas juste en fait c'est pas ok Donc qu'est-ce qu'on peut faire pour mieux traverser cette étape-là, ces moments-là ? C'est d'observer déjà ce qui est, d'observer aussi les peurs, parce que justement, dans l'entrée dans l'hiver, et je l'ai vu, j'avais fait quelques sondages sur Instagram aussi, il y a beaucoup de personnes qui se sentent fatiguées, on l'a vu, mais il y a aussi un sentiment peut-être de manque de clarté, d'être dans ses peurs, d'être dans un flou, d'être un peu perdue. Peut-être une forme d'agitation aussi mentale, d'agitation extérieure. On est dans une période, pour les personnes à qui ça va parler, Vata, où il peut y avoir du mouvement, et c'est pour ça que c'est essentiel de ralentir, en fait, encore une fois, j'insiste, parce qu'il y a des personnes, voilà, qui vont avoir plus de rumination, de peur, qui vont peut-être avoir des douleurs aussi, qui vont se réveiller, peut-être au niveau des articulations, peut-être au niveau... du bas-ventre, du bassin, c'est très localisé là, souvent, ou une forme de sécheresse, il y a vraiment une forme de dessèchement, ça encore une fois, un peu avec les images de la nature, mais de choses qui tombent, qui se laissent aller, et c'est là aussi peut-être d'aller observer nos parts, c'est un moment intéressant pour aller observer nos parts d'ombre et des choses qu'on se raconte aussi, parce que comme on est dans une période où on se déleste, Il y a aussi peut-être des versions de nous qui ont besoin d'être nettoyées, d'être balayées, ou peut-être des masques, ou peut-être des systèmes de défense qui étaient présents et qui nous ont servi avant, mais qui peuvent être transformés aujourd'hui. Donc c'est vrai que souvent on entend parler du shadow work, le travail de l'ombre, et le fait d'aller observer ses pardons, ses masques, à ces moments-là de l'année aussi, parce que... Dans les moments de transition comme ça, en fait, on se déleste. Donc c'est, encore une fois, une forme d'observation et de lâcher prise. On n'est pas dans une dynamique d'action. Et ça, c'est compliqué, pour moi aussi. On n'est pas dans une dynamique où on cherche des solutions. C'est juste une dynamique d'observer ce qui est et peut-être se dire, bon, alors comment je peux transformer ça ? Et il y a plein d'outils qui peuvent être utilisés. Les outils de libération, il peut y en avoir. plein, le fait d'aller voir un thérapeute, le fait d'aller faire des rituels aussi de libération, d'écrire ce dont on ne veut plus, d'aller le brûler, d'aller le jeter. Ça me fait penser aussi à l'enfant intérieur, le fait d'être dans une dynamique de douceur, parce que là aussi, on va en parler, mais l'hiver, ces périodes-là, elles sont faites aussi pour s'apporter de la douceur et du réconfort. Et on n'est pas forcément dans le travail dur à chaque fois d'aller explorer les trucs qui ne sont pas forcément confortables, mais c'est aussi justement de s'apporter de la rondeur, de s'apporter de la douceur, d'apprendre peut-être aussi à se questionner sur qu'est-ce qui nous fait du bien. Moi je sais que récemment, là je me suis fait un plaisir avec mes dessins animés d'enfance, ma bougie, je me mets devant ma télé, alors je ne suis pas très télé, souvent la télé reste éteinte 6 mois dans l'année. Mais là, en ce moment, j'ai eu envie de me reconnecter aux films. Pas forcément des films de Noël, mais pour moi, en tout cas, c'était des dessins animés, ma bougie, mon diffuseur d'huile essentielle, mon chat qui me fait des ronrons, qui fait des câlins. Et ça, c'est vraiment, pour moi, c'est doudou, en fait. Ça me fait énormément de bien. Alors souvent, il y a un petit peu de sucre aussi, parce qu'on ne va pas se mentir. Ça fait toujours plaisir d'avoir un petit chocolat chaud, d'avoir un petit... une petite sucrerie pour apporter un peu de rondeur, apporter un peu de douceur. Mais c'est ça aussi, finalement, c'est d'être dans une dynamique de réconfort, de se faire du bien, et ça passe aussi par le lien à l'autre. C'est d'apprendre aussi à peut-être créer du lien, associabiliser, même si on est moins dans cette dynamique-là, parce que c'est vrai qu'on a plus envie de faire des choses quand c'est l'été, quand c'est le printemps, quand il fait bon, mais c'est d'entretenir encore des liens avec l'extérieur, donc peut-être que ce sera des... Des choses qu'on n'a pas forcément l'habitude de faire, et ça peut passer par le fait d'aller boire un café, d'aller se réchauffer, d'aller au cinéma, de faire des soirées de jeux de société, avec des amis, avec la famille. Il y a vraiment cette dynamique aussi, c'est important de ne pas rester seul et d'être entouré d'une famille d'âmes ou d'une famille de sang ou de cœur, comme tu le souhaites, et de ne pas rester seul dans ces moments-là. On a besoin d'être lové, on a besoin de douceur, de câlins, d'amour. Alors oui, l'amour, on se le donne à soi, mais c'est important. Mais il y a aussi l'amour avec les autres. Pour moi, j'ai un peu plus de mal à dissocier, parce que l'amour de soi, oui, c'est intéressant, l'amour de soi, mais c'est de l'amour, en fait. Et c'est aussi d'être dans le partage et d'être dans l'échange avec l'autre. Donc ça, c'est, pour moi... essentiel aussi dans ces moments-là, un peu plus sombre, dans ces moments où il y a moins de lumière à l'extérieur, de créer la lumière à l'intérieur. Donc de se créer un environnement chaleureux, d'être dans la douceur avec soi, de sortir de ces mécanismes où on se flagelle, où on est dur avec soi, et d'apporter un peu plus de douceur et d'amour en fait. C'est ça, il y a vraiment cette question-là. Peut-être mettre en place, comme je le disais, je me répète un peu, des routines, des choses qui te font du bien. Ça peut être aussi mettre en place des activités créatives. Moi, j'ai repris le dessin et ça me fait énormément de bien. Je pense que j'en avais déjà parlé ici. Mais ça peut être ça, ça peut être le fait de noter des gratitudes. Ça peut être le fait peut-être de reprendre une activité physique douce pour suivre un peu ton rythme. Peut-être t'étirer, faire du yoga. prendre un temps pour méditer ou pour être en pleine présence. T'es pas obligé de faire des méditations d'une demi-heure si c'est pas ton truc. C'est juste être dans la pleine présence et de pas être dans le passé ni dans le futur. Et c'est hyper compliqué. Parce qu'on n'est pas habitué à projeter ou à ruminer des choses du passé. Mais c'est déjà être là, c'est un sacré exercice d'apprendre à être dans le présent, d'apprendre à savourer. finalement, même ces moments-là où on n'aime pas. Moi, je sais que je n'aime pas le mois de novembre. Je déteste. Je déteste parce qu'il fait noir à 15h. Peut-être pas quand même. Il fait noir à 16h, 30h, 17h. Et je trouve que c'est long. Mais il y a d'autres choses en fait. Et c'est aussi apprendre à voir les choses autrement, à prendre un temps de recul et à se dire, bon, ok, c'est pas forcément ce que je préfère, mais comment je peux apporter un peu plus de douceur, un peu plus de... de rondeur et d'amour dans ces moments-là où c'est peut-être un peu moins fluide pour moi, où c'est moins facile. Et pour tout ça, je vais conclure cet épisode avec ça, il faut du temps où on est connecté à sa partie plus intuitive, cette partie qui prend le temps, qui est plus dans cette énergie un peu plus féminine, peut-être si ça parle à certaines, et de sortir de cette course infernale et de sortir de ce... cette productivité, cette action incessante, et d'observer surtout ce qui est. Est-ce qu'on a tendance à courir partout, aller dans tous les sens ? Est-ce qu'on arrive à prioriser ? Est-ce que peut-être... Oui, on se rend compte qu'on est un peu dans un mécanisme et des automatismes qui ne sont pas forcément bons pour nous. Donc ça, ça peut être intéressant d'aller observer. Et si peut-être tu as un peu de mal à identifier, si c'est un peu compliqué pour toi, sache que c'est toujours possible d'aller réserver... ton appel, ton créneau, ta session exploration, où on explore justement un challenge que tu traverses en ce moment et où on pose déjà des premières graines de transformation. C'est un appel de 45 minutes qui est offert, donc si tu sens que c'est le moment pour toi, si tu sens que ça t'appelle, tu pourras retrouver le lien dans la description. Une autre chose aussi, c'est que je propose le 24 novembre 2024, donc je ne sais pas à quel moment tu vas écouter cet épisode, mais je propose à cette date une journée que j'appelle chaudoudou justement pour rentrer dans l'hiver. Donc c'est vraiment en lien avec les énergies du moment, en lien avec ce que j'ai pu te partager dans cet épisode de podcast où on va se retrouver en fait en petit comité à seulement maximum six personnes où on va aller justement prendre le temps pour se lever, prendre le temps pour prendre soin de soi via diverses activités, via divers ateliers créatifs, via divers ateliers sonores olfactifs. Ça dure toute la journée, c'est un dimanche. Et si t'as envie de nous rejoindre, c'est pareil, je te mets le lien juste en dessous de l'épisode. Ce sera un plaisir de t'accueillir et de partager ce moment en vrai dans une petite bulle un peu hors du temps. C'est vraiment mon envie. Je trouve que c'est important de prendre ce temps-là. On peut le faire des fois avec les proches et des fois ça peut être aussi intéressant d'aller, d'être curieux et de se connecter avec des personnes qui vont avoir... Des problématiques peut-être similaires ou du moins il y aura des résonances. Et c'est toujours très très riche. Et je te partage ça maintenant parce que j'ai déjà pu bénéficier de cercles de femmes ou d'échanges. Et aussi d'organiser des retraites. Et c'est toujours ce qui ressort et je trouve ça assez magique. C'est un peu un truc magique là-dedans. C'est que dans le lien il y a des libérations qui se font. Il y a des révélations qui se font et peut-être des confirmations aussi. Donc c'est toujours... des moments qui sont très très riches et très puissants et c'est pour ça que j'avais envie d'ouvrir ces espaces là j'espère que cet épisode t'aura plu et qu'il t'aura peut-être apporté des confirmations, peut-être des prises de conscience c'est ce que j'espère en tout cas je te remercie pour ton écoute et je te dis à très bientôt dans un nouvel épisode si tu entends ce message c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode donc je te remercie si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche je t'invite à le partager tu peux également Mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

Description

🎙️ Dans cet épisode, découvre comment garder le moral et chasser la fatigue saisonnière grâce à des astuces concrètes et bienveillantes ! Je t'invite à explorer les énergies qui sont présentes en ce moment, d'aller observer ses ombres et surtout d'apporter de la douceur dans cette période propice au ralentissement d'entrée dans l'hiver !


Je mets également en lumière des pistes de réflexion et conseil pour traverser cette période avec plus de fluidité et de légèreté !

On parlera de l’art de ralentir pour mieux se ressourcer, des techniques simples de relaxation et de l’importance de s’accorder des moments « cocooning ». Je partage aussi l'importance d'intégrer plus de lumière dans ton quotidien que cela soit dans ta maison que dans ton cœur en adoptant de nouveaux rituels et sans oublier de sociabiliser et de tisser du lien, même si tu as seulement envie de rester posé dans ton canapé !


👉 Si ça n'est pas déjà fait et si c'est le moment pour toi, tu peux prendre rendez-vous avec moi pour une session exploration !
On échangera sur tes challenges actuels et on posera un plan d'action concret pour te créer un quotidien plus aligné et prendre la direction de ce que tu as envie de créer dans ta vie, c'est parti ! 🔥


🍁 Le dimanche 24 Novembre de 9h30 à 17h30 aura lieu la journée Chaud-doudou, une journée juste pour toi où tu pourras profiter de cercle de femmes, d'activités créatives réconfortantes, de bains sonores, de rituels de connexion à soi et à la Nature le tout dans un environnement calme et en petit comité !
Retrouve toutes les infos et la possibilité de réserver juste ici : https://aurore-bioty.systeme.io/journee-chauddoudou


Prêt(e) à transformer cette saison en un moment de douceur et d’énergie positive ?


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    bienvenue dans le podcast pétillant et authentique réveille ta nature telle une petite fée clochette j'ai à coeur de t'emmener dans mon univers et à te guider vers plus de paillettes et de connexion au coeur je suis aurore praticienne bien-être et coach j'accompagne les femmes qui souhaitent s'épanouir dans leur coeur dans leur corps et dans leur esprit je t'invite à cliquer dans la description pour avoir plus d'infos sur mes actualités Tu me suis ? Bienvenue à toi dans ce nouvel épisode de podcast. Aujourd'hui, j'avais envie d'explorer la thématique des ombres et surtout aussi d'aller explorer justement comment traverser cette période-là, cette étape-là, avec un peu plus de légèreté. Donc comment passer un peu l'hiver sans le blues qui va avec. J'aime bien le rappeler, on est des êtres cycliques, donc après toute contraction, il y a des expansions, et donc il y a des possibilités aussi de voir de la lumière dans ces moments-là, et d'ailleurs on voit la lumière que quand on traverse des périodes d'ombre, c'est obligé, si t'es dans la lumière, si t'es dans le soleil, tu pourras pas voir autant de lumière, parce que tu seras dedans en fait. Donc c'est comme si tu voyais un tunnel noir, au bout il y a de la lumière, tu vois la lumière, mais si t'es dedans, tu peux pas le voir. Donc c'est vrai que c'est important aussi de rappeler cette notion de cyclicité, que le fait que les choses bougent sans arrêt, et que moi en tout cas ça m'aide énormément à me dire qu'il y a d'autres choses après, il y a des apprentissages, il y a des cadeaux qui vont arriver après, et c'est vrai que moi en tout cas ça m'aide à traverser ces moments-là, avec plus de douceur, avec plus d'amour aussi, et de ne pas être dans une forme de... de culpabilité ou d'autoflagellation parce que ça c'est un peu nos parts d'ombre, c'est des parts qui sont peut-être là pour nous protéger mais qui ne nous font pas forcément du bien, donc c'est important de prendre un temps de recul, d'aller les observer pour moi et de ne pas leur laisser prendre toute la place parce que ça a tendance à vraiment drainer notre énergie, en tout cas moi je te parle de mon expérience personnelle. Et je voulais partager une image un peu différente, donc là je te partageais un peu la notion des cycles, mais c'est aussi relié beaucoup à la notion du ying et du yang que je partage énormément dans mes transmissions, c'est qu'il y a forcément, l'un ne va pas sans l'autre en fait, il y a forcément une justesse, une intelligence là-dedans, et souvent on est dans une société, on est dans une dynamique où on ne nous a pas forcément appris à se poser, à ne rien faire et à accepter. de ne rien faire en fait, des fois il y a des moments de vie où juste il faut que ça passe, il n'y a rien à faire en fait c'est extérieur ou c'est un temps d'infusion et il n'y a pas de dynamique d'action on n'est pas dans une énergie yang on n'est pas dans une énergie d'action, de productivité de d'établir des plans, de planifier des choses, des fois oui mais des fois non et des fois on est dans des périodes où on a besoin d'être avec nous, de lâcher des choses et c'est exactement les dynamiques qu'il y a en ce moment c'est exactement les dynamiques que qu'on a quand on rentre dans l'hiver, quand il y a moins de lumière, d'ailleurs là aussi, une petite image, il y a moins de lumière, on rentre dans une forme d'obscurité, et il y a forcément des outils, il y a forcément des choses qui vont t'aider, qui vont t'accompagner à mieux traverser ça, mais je pense qu'il y a aussi beaucoup, encore une fois, de lâcher prise et de qualité d'être à développer à ce moment-là. Parce qu'on n'est pas dans une dynamique d'action, de mettre en place des choses. Alors oui, on va pouvoir mettre en place des choses, et je vais te partager juste après des formes de conseils, des choses qu'on peut mettre en place justement pour passer l'hiver avec plus de fluidité et sans le blues qui va avec, mais on est quand même dans une énergie où il faut laisser aller. En fait, il n'y a pas le choix de laisser aller. Et d'ailleurs, quand on observe la nature, quand on observe les animaux, il y a énormément d'animaux qui hibernent. La nature, elle se délaisse de ses feuilles. Il y a des choses qui tombent et en fait c'est tout. C'est un cycle qui passe et il n'y a rien à faire. Et ce n'est pas en s'agitant dans tous les sens, en courant, en essayant de trouver des solutions, en étant dans cette énergie un peu d'action masculine où en fait il faut planifier machin. En fait non, ce n'est pas le moment. Est-ce que je reprends l'image que j'avais eue d'un de... Une personne que je suis qui s'appelle François Lemay, qui est un conférencier québécois que j'aime beaucoup, qui utilise énormément l'humour d'ailleurs dans ses transmissions, il vulgarise énormément de choses, et lors d'une de ses conférences, il avait donné l'image d'un arbre qui était là en train de paniquer parce qu'il perdait ses feuilles. En fait, non, l'arbre n'est pas en mode Ah mon dieu, je perds mes feuilles, comment je vais faire ? Qu'est-ce que je vais devenir ? en fait il vit le cycle et je pense que ça c'est vraiment une grande enseignante, à chaque fois je le dis de toute façon que la nature est une grande enseignante mais c'est aussi d'accepter l'impermanence des choses et c'est hyper compliqué mais d'accepter qu'il y a des cycles et qu'il y a des moments pour se détendre, se reposer, se régénérer juste être dans la contemplation de ce qui est et des moments où on planifie, on organise, on met en place des choses... Et si on ne respecte pas cette dynamique-là, souvent, on va se drainer et on va s'épuiser. Et je te dis ça en connaissance de cause aussi, parce qu'on a beau le savoir, on est tous pareils, on a des mécanismes, des fois inconscients, ou des choses qu'on met en place un peu en mode automatique. Et moi aussi, des fois, je suis dans cette dynamique où je fais, je suis dans l'action, et en fait, c'est ok de faire, des fois, on n'a pas le choix de se mettre en action, mais c'est de se dire, quelle est ma limite ? Où est-ce que je vais ? Jusque où ? Est-ce que je m'étais dit que j'allais travailler ou que j'allais faire telle chose jusqu'à 17h, mais est-ce que finalement le soleil se couche 17h30, est-ce que j'ai envie de travailler jusqu'à cette heure-là quand il fait noir alors que peut-être en plus je ne suis pas forcément efficace à ce moment-là de la journée. Donc c'est aussi apprendre à observer ses propres rythmes, à observer ce qui est présent pour soi, notre énergie, parce que finalement des fois on va s'acharner à faire quelque chose et on ne va pas... être efficace. Donc en fait, c'est de la perte de temps. Ça aurait été plus bénéfique pour soi de se reposer, de se détendre, de faire une activité peut-être qui demande un peu moins de concentration parce qu'on va se régénérer et parce que ça va nous apporter énormément de recharge. C'est comme si on se rechargeait, c'est comme si on était un téléphone. On se recharge et après, on aura plus d'énergie pour ce qui suit et pour peut-être mettre en place des choses et être dans l'action. Mais c'est toujours encore une forme un peu d'équilibre et d'écoute de soi surtout. Et surtout maintenant, en fait. Là, on est dans une période où on va rentrer, justement, dans une période un peu plus yin, un peu plus féminine, un peu plus dans l'être et moins dans le faire. On est dans une période comme ça, là, actuellement. Il y a eu le changement d'heure, il y a moins de luminosité. Et en fait, ça joue énormément sur notre cycle, et c'est biologique, en fait. Donc, aller contre ça, c'est aller contre soi. Et c'est hyper violent, finalement, c'est dur. Et d'ailleurs, peut-être que tu te reconnaîtras en ce moment, peut-être qu'il y a des mots, peut-être qu'il y a des choses qui se manifestent dans le corps, ou peut-être dans le mental, ou peut-être plus d'émotions, peut-être que tu te sens un peu plus perdue, parce qu'en fait, on a besoin de prendre ce temps pour ralentir. Et ça, c'est hyper, hyper important, en fait. Et c'est une des premières... choses, des premiers conseils que j'ai envie de te partager, c'est de t'accorder des moments de pause et de ralentir. Alors on le sait, j'arrête pas de le répéter tout le temps, mais en fait je pense qu'on a besoin aussi de se répéter les choses, parce qu'on n'est pas habitués en fait, on nous a pas appris ça, et on doit être productif en fait, on continue à travailler en fait, on a des choses à faire, donc c'est ok, mais en fait peut-être qu'on peut s'accorder un peu plus de temps de pause, peut-être qu'on peut s'instaurer de nouvelles routines. peut-être qu'on peut prendre soin de soi qu'on peut se faire des petits temps je sais pas pour prendre des bains pour s'allumer une bougie pour contempler le mouvement de la bougie pour peut-être aller observer les feuilles qui tombent pour aller marcher au bord du soir et pas d'être dans une dynamique d'action alors encore une fois des fois on fait ce qu'on peut je me doute bien que c'est pas forcément toujours évident et on peut peut-être pas forcément le faire tous les jours mais déjà observer et se dire, là, en fait, cool. Je n'ai pas forcément envie de m'agiter dans tous les sens. Et j'ai besoin de m'accorder des moments de détente, des moments pour moi, des moments cocooning. Et c'est OK, en fait. Et on n'est pas, encore une fois, dans une forme de culpabilisation. C'est juste d'observer, de faire un état d'élu de ce qui est là maintenant. Peut-être que... C'est une vie bien remplie, sûrement, parce qu'on en a tous, mais c'est de se dire, bon allez là, je sens que les besoins de mon corps, ils sont là, et de ne pas aller contre. Je te parlais de la luminosité qui était moins présente, et ça c'est pareil, c'est un point qui est important, c'est de, pour avoir un peu plus de vitalité, c'est aussi de peut-être changer ses routines. Peut-être que le matin, tu auras besoin de... de t'étirer si tu ne faisais pas, peut-être que tu auras envie aussi de remettre un peu de mouvement, d'avoir une activité un peu douce pour toi, d'être plus dans une forme de... De créativité ou de lenteur, ça peut passer par plein de choses la lenteur. C'est pas forcément faire de la méditation et du yoga et tout. Ça peut être juste être en présence, être en conscience dans ce que tu fais, dans les moments où je sais pas, tu vas faire ta vaisselle, tu vas te laver, sentir l'eau qui coule sur toi, être dans un moment de présence et pas forcément être en train de projeter de ce que tu vas faire après ou de penser à ce qu'il y a un truc qui s'est passé avant. Et ça c'est hyper riche aussi parce que... Dans les personnes que j'accompagne, des fois, on a du mal à... Surtout quand les personnes sont beaucoup dans le mental, on a du mal à visualiser ou à se détendre, parce qu'en fait, il y a trop de mouvements dans la tête, et c'est le corps, limite, qui a besoin d'être en mouvement. Donc des fois, ça peut passer par faire des mouvements lents physiques, ça peut passer par mettre de la présence dans ce qu'on fait, et de ne pas faire 15 trucs en même temps, parce que ça aussi, en fait, ça contribue au besoin de ralentir. C'est de... D'arrêter de faire qu'un truc en même temps. Et là, depuis les réseaux sociaux, c'est quand même un enfer, les smartphones. Parce que, je le dis, mais moi ça m'arrive de le faire aussi. Je ne suis pas au-dessus de vous. C'est aussi un enseignement que je me partage à moi-même. Mais c'est d'arrêter de faire qu'un truc en même temps, en fait. D'être en train de, je ne sais pas, de caresser son chat, puis en train de répondre à des messages. Est-ce que peut-être on ne peut pas profiter pleinement d'être avec les gens qu'on aime ? D'être avec nos animaux aussi, parce que moi, mon chat, c'est aussi une personne, donc j'en prends soin et j'ai envie d'être pleinement présente avec elle. Et en fait, c'est pas en faisant deux trucs à la fois, c'est pas ok. En fait, notre énergie, elle se disperse. Et là, on a besoin d'aller à l'intérieur, on a besoin de se régénérer, on a besoin de ramener toutes nos petites particules d'énergie qui se dispersent, qui vont dans tous les sens, à l'intérieur. Et c'est hyper important, encore une fois, d'être en présence, d'observer ce qui est présent là, et aussi d'observer que la cyclicité, la saisonnalité extérieure, donc là le fait d'avoir moins de lumière, ça va impacter notre énergie. On ne peut pas se culpabiliser d'avoir moins d'énergie, alors qu'en fait on n'a pas de lumière à l'extérieur. La lumière, elle nous donne de la vitalité, elle nous apporte énormément de choses, et c'est vrai que là on est moins en contact, donc on a moins de vitalité, et c'est ok. Alors bien sûr, il y a des solutions, on peut s'autoriser, on peut peut-être se lever un peu plus tôt, aller profiter de la lumière extérieure, peut-être aller marcher un peu à l'extérieur aussi, promener en nature si on a l'occasion. On peut aussi faire des séances de luminothérapie, on peut aussi prendre des compléments alimentaires, notamment de la vitamine D qui va compenser la vitamine D3 avec du K2, c'est mieux, c'est mieux assimilé. Pour justement nous apporter ces carences, pour compenser cette carence de luminosité. Donc ça c'est ok, mais il y a d'autres choses aussi. C'est bien beau de prendre des compléments alimentaires, encore une fois, d'être dans une optique de rajouter, alors qu'en fait on a besoin de se délester. Rappelle-toi les feuilles qui tombent, on a besoin de se délester, on n'a pas besoin de rajouter des choses. Donc si tu prends des compléments alimentaires, moi c'est ce que je fais, c'est complètement ok, c'est un soutien, on en a besoin. Mais c'est aussi peut-être de revenir encore une fois aux bases. Et je t'invite à réécouter l'épisode de podcast précédent si tu ne l'as pas fait. Mais c'est d'être dans une optique de ralentissement et de laisser aller les choses et de ne pas être dans une optique de rajouter. Donc après, il y a des choses de base. Il y a le fait de s'octroyer des temps de pause, mais aussi de bien dormir, de préparer son sommeil, de ne pas être en hyperactivité le soir. Parce que normalement, c'est vrai que... On suit le rythme du soleil. Donc là, comme le soleil se couche plus tôt, on va être fatigué plus tôt. En fait, c'est OK, c'est normal. Et c'est d'écouter ça, encore une fois, c'est dans une dynamique d'écoute de soi et c'est d'être aussi présent à ce qui se passe à l'extérieur, à l'intérieur. Encore une fois, je le répète, mais la nature, elle est tellement... C'est tellement une enseignante, en fait. Il y a vraiment... des choses en fait on est la nature en fait on est en fait partie de ça donc on n'est pas déconnecté en fait non on s'est fait croire ça avec avec les villes avec notre rythme avec notre notre travail tout ça il y a des rythmes mais on est la nature donc à un moment donné c'est aussi important d'essayer de se réaligner avec elle et de pas faire comme si en fait on était des automates à production là et c'est pas c'est pas juste en fait c'est pas ok Donc qu'est-ce qu'on peut faire pour mieux traverser cette étape-là, ces moments-là ? C'est d'observer déjà ce qui est, d'observer aussi les peurs, parce que justement, dans l'entrée dans l'hiver, et je l'ai vu, j'avais fait quelques sondages sur Instagram aussi, il y a beaucoup de personnes qui se sentent fatiguées, on l'a vu, mais il y a aussi un sentiment peut-être de manque de clarté, d'être dans ses peurs, d'être dans un flou, d'être un peu perdue. Peut-être une forme d'agitation aussi mentale, d'agitation extérieure. On est dans une période, pour les personnes à qui ça va parler, Vata, où il peut y avoir du mouvement, et c'est pour ça que c'est essentiel de ralentir, en fait, encore une fois, j'insiste, parce qu'il y a des personnes, voilà, qui vont avoir plus de rumination, de peur, qui vont peut-être avoir des douleurs aussi, qui vont se réveiller, peut-être au niveau des articulations, peut-être au niveau... du bas-ventre, du bassin, c'est très localisé là, souvent, ou une forme de sécheresse, il y a vraiment une forme de dessèchement, ça encore une fois, un peu avec les images de la nature, mais de choses qui tombent, qui se laissent aller, et c'est là aussi peut-être d'aller observer nos parts, c'est un moment intéressant pour aller observer nos parts d'ombre et des choses qu'on se raconte aussi, parce que comme on est dans une période où on se déleste, Il y a aussi peut-être des versions de nous qui ont besoin d'être nettoyées, d'être balayées, ou peut-être des masques, ou peut-être des systèmes de défense qui étaient présents et qui nous ont servi avant, mais qui peuvent être transformés aujourd'hui. Donc c'est vrai que souvent on entend parler du shadow work, le travail de l'ombre, et le fait d'aller observer ses pardons, ses masques, à ces moments-là de l'année aussi, parce que... Dans les moments de transition comme ça, en fait, on se déleste. Donc c'est, encore une fois, une forme d'observation et de lâcher prise. On n'est pas dans une dynamique d'action. Et ça, c'est compliqué, pour moi aussi. On n'est pas dans une dynamique où on cherche des solutions. C'est juste une dynamique d'observer ce qui est et peut-être se dire, bon, alors comment je peux transformer ça ? Et il y a plein d'outils qui peuvent être utilisés. Les outils de libération, il peut y en avoir. plein, le fait d'aller voir un thérapeute, le fait d'aller faire des rituels aussi de libération, d'écrire ce dont on ne veut plus, d'aller le brûler, d'aller le jeter. Ça me fait penser aussi à l'enfant intérieur, le fait d'être dans une dynamique de douceur, parce que là aussi, on va en parler, mais l'hiver, ces périodes-là, elles sont faites aussi pour s'apporter de la douceur et du réconfort. Et on n'est pas forcément dans le travail dur à chaque fois d'aller explorer les trucs qui ne sont pas forcément confortables, mais c'est aussi justement de s'apporter de la rondeur, de s'apporter de la douceur, d'apprendre peut-être aussi à se questionner sur qu'est-ce qui nous fait du bien. Moi je sais que récemment, là je me suis fait un plaisir avec mes dessins animés d'enfance, ma bougie, je me mets devant ma télé, alors je ne suis pas très télé, souvent la télé reste éteinte 6 mois dans l'année. Mais là, en ce moment, j'ai eu envie de me reconnecter aux films. Pas forcément des films de Noël, mais pour moi, en tout cas, c'était des dessins animés, ma bougie, mon diffuseur d'huile essentielle, mon chat qui me fait des ronrons, qui fait des câlins. Et ça, c'est vraiment, pour moi, c'est doudou, en fait. Ça me fait énormément de bien. Alors souvent, il y a un petit peu de sucre aussi, parce qu'on ne va pas se mentir. Ça fait toujours plaisir d'avoir un petit chocolat chaud, d'avoir un petit... une petite sucrerie pour apporter un peu de rondeur, apporter un peu de douceur. Mais c'est ça aussi, finalement, c'est d'être dans une dynamique de réconfort, de se faire du bien, et ça passe aussi par le lien à l'autre. C'est d'apprendre aussi à peut-être créer du lien, associabiliser, même si on est moins dans cette dynamique-là, parce que c'est vrai qu'on a plus envie de faire des choses quand c'est l'été, quand c'est le printemps, quand il fait bon, mais c'est d'entretenir encore des liens avec l'extérieur, donc peut-être que ce sera des... Des choses qu'on n'a pas forcément l'habitude de faire, et ça peut passer par le fait d'aller boire un café, d'aller se réchauffer, d'aller au cinéma, de faire des soirées de jeux de société, avec des amis, avec la famille. Il y a vraiment cette dynamique aussi, c'est important de ne pas rester seul et d'être entouré d'une famille d'âmes ou d'une famille de sang ou de cœur, comme tu le souhaites, et de ne pas rester seul dans ces moments-là. On a besoin d'être lové, on a besoin de douceur, de câlins, d'amour. Alors oui, l'amour, on se le donne à soi, mais c'est important. Mais il y a aussi l'amour avec les autres. Pour moi, j'ai un peu plus de mal à dissocier, parce que l'amour de soi, oui, c'est intéressant, l'amour de soi, mais c'est de l'amour, en fait. Et c'est aussi d'être dans le partage et d'être dans l'échange avec l'autre. Donc ça, c'est, pour moi... essentiel aussi dans ces moments-là, un peu plus sombre, dans ces moments où il y a moins de lumière à l'extérieur, de créer la lumière à l'intérieur. Donc de se créer un environnement chaleureux, d'être dans la douceur avec soi, de sortir de ces mécanismes où on se flagelle, où on est dur avec soi, et d'apporter un peu plus de douceur et d'amour en fait. C'est ça, il y a vraiment cette question-là. Peut-être mettre en place, comme je le disais, je me répète un peu, des routines, des choses qui te font du bien. Ça peut être aussi mettre en place des activités créatives. Moi, j'ai repris le dessin et ça me fait énormément de bien. Je pense que j'en avais déjà parlé ici. Mais ça peut être ça, ça peut être le fait de noter des gratitudes. Ça peut être le fait peut-être de reprendre une activité physique douce pour suivre un peu ton rythme. Peut-être t'étirer, faire du yoga. prendre un temps pour méditer ou pour être en pleine présence. T'es pas obligé de faire des méditations d'une demi-heure si c'est pas ton truc. C'est juste être dans la pleine présence et de pas être dans le passé ni dans le futur. Et c'est hyper compliqué. Parce qu'on n'est pas habitué à projeter ou à ruminer des choses du passé. Mais c'est déjà être là, c'est un sacré exercice d'apprendre à être dans le présent, d'apprendre à savourer. finalement, même ces moments-là où on n'aime pas. Moi, je sais que je n'aime pas le mois de novembre. Je déteste. Je déteste parce qu'il fait noir à 15h. Peut-être pas quand même. Il fait noir à 16h, 30h, 17h. Et je trouve que c'est long. Mais il y a d'autres choses en fait. Et c'est aussi apprendre à voir les choses autrement, à prendre un temps de recul et à se dire, bon, ok, c'est pas forcément ce que je préfère, mais comment je peux apporter un peu plus de douceur, un peu plus de... de rondeur et d'amour dans ces moments-là où c'est peut-être un peu moins fluide pour moi, où c'est moins facile. Et pour tout ça, je vais conclure cet épisode avec ça, il faut du temps où on est connecté à sa partie plus intuitive, cette partie qui prend le temps, qui est plus dans cette énergie un peu plus féminine, peut-être si ça parle à certaines, et de sortir de cette course infernale et de sortir de ce... cette productivité, cette action incessante, et d'observer surtout ce qui est. Est-ce qu'on a tendance à courir partout, aller dans tous les sens ? Est-ce qu'on arrive à prioriser ? Est-ce que peut-être... Oui, on se rend compte qu'on est un peu dans un mécanisme et des automatismes qui ne sont pas forcément bons pour nous. Donc ça, ça peut être intéressant d'aller observer. Et si peut-être tu as un peu de mal à identifier, si c'est un peu compliqué pour toi, sache que c'est toujours possible d'aller réserver... ton appel, ton créneau, ta session exploration, où on explore justement un challenge que tu traverses en ce moment et où on pose déjà des premières graines de transformation. C'est un appel de 45 minutes qui est offert, donc si tu sens que c'est le moment pour toi, si tu sens que ça t'appelle, tu pourras retrouver le lien dans la description. Une autre chose aussi, c'est que je propose le 24 novembre 2024, donc je ne sais pas à quel moment tu vas écouter cet épisode, mais je propose à cette date une journée que j'appelle chaudoudou justement pour rentrer dans l'hiver. Donc c'est vraiment en lien avec les énergies du moment, en lien avec ce que j'ai pu te partager dans cet épisode de podcast où on va se retrouver en fait en petit comité à seulement maximum six personnes où on va aller justement prendre le temps pour se lever, prendre le temps pour prendre soin de soi via diverses activités, via divers ateliers créatifs, via divers ateliers sonores olfactifs. Ça dure toute la journée, c'est un dimanche. Et si t'as envie de nous rejoindre, c'est pareil, je te mets le lien juste en dessous de l'épisode. Ce sera un plaisir de t'accueillir et de partager ce moment en vrai dans une petite bulle un peu hors du temps. C'est vraiment mon envie. Je trouve que c'est important de prendre ce temps-là. On peut le faire des fois avec les proches et des fois ça peut être aussi intéressant d'aller, d'être curieux et de se connecter avec des personnes qui vont avoir... Des problématiques peut-être similaires ou du moins il y aura des résonances. Et c'est toujours très très riche. Et je te partage ça maintenant parce que j'ai déjà pu bénéficier de cercles de femmes ou d'échanges. Et aussi d'organiser des retraites. Et c'est toujours ce qui ressort et je trouve ça assez magique. C'est un peu un truc magique là-dedans. C'est que dans le lien il y a des libérations qui se font. Il y a des révélations qui se font et peut-être des confirmations aussi. Donc c'est toujours... des moments qui sont très très riches et très puissants et c'est pour ça que j'avais envie d'ouvrir ces espaces là j'espère que cet épisode t'aura plu et qu'il t'aura peut-être apporté des confirmations, peut-être des prises de conscience c'est ce que j'espère en tout cas je te remercie pour ton écoute et je te dis à très bientôt dans un nouvel épisode si tu entends ce message c'est que tu es resté jusqu'à la fin de l'épisode donc je te remercie si cet épisode t'a plu ou si tu penses qu'il pourrait inspirer un proche je t'invite à le partager tu peux également Mettre un 5 étoiles bien sûr. A très bientôt dans le prochain épisode.

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