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Bienvenue dans Sans Compromis,
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le podcast qui explore l'art de la relation à soi et à l'autre,
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pour apprendre à grandir ensemble,
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tout en restant chacun soi-même. La place du toucher et de la connexion par le corps dans la relation.
- Speaker #0
On pourrait mettre beaucoup de définitions derrière cette place du toucher. Est-ce que c'est une question d'affection ? Est-ce que c'est une question de relation, tout simplement ?
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Ou une question de connexion. Pour moi, c'est vraiment la sensation de toucher, de toucher le corps de l'autre, d'avoir nos corps en contact. Notamment sur le... Le pot à pot, pour moi, c'est ça que ça renferme, cette connexion par nos sens tactiles.
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Oui, c'est vrai que j'ai expérimenté par mes différentes relations, finalement, un partage assez différent entre moi et ma partenaire, en fonction de comment chacun l'envisage. Et je sais que ça a été régulièrement un sujet dans mes différentes relations. J'ai senti régulièrement un endroit où je ne me sentais pas toujours très à l'aise vis-à-vis de l'affectivité, le côté corps à corps, je ne sais pas si on peut dire ça, ou le côté peau à peau.
- Speaker #1
Pour moi, je me souviens en tout cas d'une relation où au début il y avait effectivement cette effusion, cette connexion des corps, qui est aussi le temps de la rencontre. de vivre peu à peu dans le quotidien, ce mode pilote automatique. Je me souviens de mon côté d'un couple où, effectivement, au début, dans cette relation, il y avait l'effusion des corps, cette envie du poids à peau, de l'odeur du corps de l'autre, de se sentir proche. Et ensuite, je sais que pour moi, par la suite, il y a eu cette plongée presque dans un quotidien, dans une normalisation. De sortir de l'émerveillement finalement de ces moments-là. Et puis de se laisser rattraper par le quotidien, le pilote automatique, de ces moments de contact qui deviennent plus rares. Et pour ma part qui étaient au bout d'un moment restreints, au moment du coucher, du lever. Et même, je me souviens, au bout d'un moment, presque perdre de l'intérêt ou y mettre moins d'attention. Et puis, me lever le matin, droite comme un i, partir pour ma journée, aller faire du yoga, me connecter au corps. Mais c'était intéressant, c'était comme connecter à mon propre corps. Mais que dans la relation du couple, en tout cas, je perdais finalement l'envie et aussi la connexion, l'envie d'être en peau à peau, en corps à corps, dans mon couple et rétrospectivement. Je sais que ça m'a... Ça a participé aussi de l'éloignement, de me dire de commencer à faire ma vie de mon côté et finalement avec mon propre corps aussi, et de provoquer de perdre un lien en tout cas à cet endroit-là.
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Après, effectivement, tu évoques cette évolution de la relation et de la proximité. Après, moi, ça me fait aussi penser à... au fait que ce n'était pas si évident que ça d'aborder la proximité avec une femme au début, parce que je n'en avais pas tant que ça l'habitude, et que finalement au début c'était plutôt déstabilisant. J'ai plutôt ce souvenir-là, et qu'il a fallu apprivoiser ce que ça signifiait d'être au contact de l'autre, et de l'émotionnel que ça créait. du ressenti que ça créait, de l'attachement que ça créait, peut-être même parfois de, je dirais, de la... comment dire... pas de l'addiction, mais du besoin d'avoir ce toucher qui n'était pas forcément très centré. Quelque chose où c'était un peu presque addictif, comme si l'autre était une surface où je pouvais me sentir mieux. Et donc, je ne sais pas si c'était du coup... une affectivité qui était un peu décentrée, un peu liée à qu'est-ce que l'autre va m'apporter à travers l'affectivité. Et je sais que j'en ai du coup, au début de ces relations, où moi je n'avais pas l'habitude de cette affectivité-là, j'étais plutôt perturbé et du coup plutôt en manque, plutôt que dans quelque chose de... de centrer. C'est ce que ça m'évoque là, comme ça.
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Quand tu en parles, pour moi, ça fait écho aussi à cet épisode qu'on a tourné sur le massage tantrique, qui parlait du toucher. Et ça me fait très écho au fait de donner et recevoir, dans la manière je me souviens que dans cet épisode, effectivement, tu parlais de... On m'avait, je crois, conclu un moment sur le fait que toi, dans ta capacité à donner, une forme de ne pas savoir donner, de mon côté, une forme de ne pas savoir recevoir. Je me rends compte qu'effectivement, dans l'intimité du couple, même dans le rapport au toucher, au câlin, au fait d'être dans les bras, même d'avoir de l'affection par le toucher. Pour moi, pendant très longtemps, il y avait cette dimension où le toucher égale, il va se passer quelque chose, égale désir, égale envie. le fait de recevoir de l'affection par le toucher était quelque chose qui ne faisait pas partie du spectre, en fait. Comme si le fait de recevoir de l'amour dénué de sexualité, dénué d'envie qu'il se passe quelque chose, était quelque chose avec lequel finalement je n'étais pas forcément à l'aise.
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Oui, du coup... Ça me donnait cette sensation quand je sentais effectivement qu'une femme n'avait pas forcément besoin ou envie de cette affectivité comme un rejet. Et du coup, ça a été souvent assez douloureux, en fait, cette partie affectivité. Je ne sais pas si c'est, et on le dit souvent, une forme de je ne me donne pas assez d'affection à moi-même qui fait qu'il y a quelque chose qui n'est pas fluide avec l'autre quand je viens donner ou recevoir de l'affection. Mais c'est vrai que... Je comprends assez aisément que ce soit un endroit qui soit délicat à aborder et puis à explorer à deux, parce que je pense que déjà dans nos éducations, on a tendance à ne pas forcément aborder cette notion du toucher de la même manière. On n'a pas tous connu le même rapport au toucher avec nos parents, avec cette... Cette sensation d'être proche d'un point de vue corporel, c'est plus ou moins naturel. Je sais que ce n'était pas si naturel que ça. C'était tout un chemin de découverte avec chaque partenaire, de redécouvrir ce qu'était le toucher, où est-ce que moi j'avais envie de me positionner.
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Oui, et puis je pense que ça vient toucher pour le coup le rapport à son propre corps. Je me souviens qu'on en parlait beaucoup aussi au début de notre relation. Par exemple, je sais que moi, j'ai un... et ça joue beaucoup dans notre connexion par le corps. Je sais que j'ai besoin de me sentir bien dans mon corps pour sentir que je peux être touchée, touchée par toi. Et c'est intéressant de voir ce que ça raconte aussi des injonctions que je peux me mettre. Je sais que mon rapport à la nourriture, mon rapport à mon corps, c'est quelque chose sur lequel je chemine. Mais c'est vrai que je me souviens de ces discussions où on parlait du rapport au désir. Et par exemple, le fait que je n'ai pas forcément envie d'être touchée pouvait être vécu par toi comme un rejet. Et d'arriver à remettre de l'information, de dire non, en fait, à cet endroit-là, ce n'est pas une question de toi. C'est une question de moi. Est-ce que soit je me sens fatiguée ou on a fait... quelques excès les jours d'avant et je ne me sens pas forcément belle ou désirable ou j'ai l'impression d'être plus en repli sur moi-même et je trouve ça passionnant en fait à cet endroit-là, la notion du lien par le toucher dans la relation qui peut être un espace où il peut y avoir beaucoup de projections où moi je sais que l'histoire que je pouvais me raconter c'était que tiens, je ne sais pas, si un homme me touche et commence à passer du temps à me toucher à me caresser... Il y a une attente qu'il se passe quelque chose de l'ordre d'un acte sexuel derrière. Et ça, je pense que c'est quelque chose que j'ai aussi beaucoup exploré avec toi, dans la dimension que tu as du toucher, d'élargir le spectre que j'en avais. Et presque d'explorer le fait de... Je sais que moi, il y a quelque chose de me déposer finalement dans tes bras, que je vis beaucoup entre nous, qui est une forme d'un rapport au toucher, à la connexion des corps, du peau à peau. qui est un espace où je peux me laisser être vulnérable, un espace où je n'attends rien de moi, je n'attends rien de toi. Et je trouve ça beau, en fait, de sentir une autre forme de désir et de lien amoureux entre nous deux à cet endroit-là, qui pour moi était très nouveau.
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Ce qui amène à une découverte qu'on a explorée peu à peu, qui est que... La connexion de nos deux corps et ce toucher, cette affection, est devenue presque une étape d'accueil quand d'un coup il y a beaucoup de brouillard mental, qu'il peut y avoir du dialogue, de la colère, ou alors de l'émotion forte à l'intérieur, quelque chose de tourbillonnant, comme une sorte de chaos, on en parlait dans l'épisode précédent de ce chaos qui vient. créer du remous dans la relation et qui peut, si on ne fait pas attention, séparer plus ou moins longtemps. C'est ce qu'on disait, on peut très bien s'échapper dans deux pièces de la maison, voir partir faire une activité, rester sur un chaos, laisser le mental tourner en boucle et le corps commencer à se charger chimiquement et créer quelque chose qui, quand on se revoit, ça devient de plus en plus électrique. Finalement, on a du mal à s'en sortir là où on a découvert, nous, que finalement d'aller tout simplement sans rien dire, juste se toucher, juste s'accueillir dans les bras ou avoir une zone d'affection a créé une véritable zone d'accueil, un endroit où on se reconnecte et finalement on revient à une espèce d'essentiel de la relation qui est cette simple... Cette simple connexion des corps qui fait atterrir quelque part un peu le chaos actuel.
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Et ça, c'est vrai que c'est propre à chacun. Finalement, la manière de l'envisager est propre à chaque relation, propre à chacun avec son corps. En tout cas, moi, je trouve que la découverte au-delà même de se dire que c'est une ressource dans les moments de conflit, et là-dessus, ça fera encore écho à l'épisode précédent, c'est de dire est-ce que finalement, tiens, où est-ce que j'en suis dans mon couple ? Ça peut être une question à se poser dans le rapport au toucher. Est-ce que c'est... Quand je ne vais pas bien ou quand il y a un conflit, que finalement, on s'accueille par le corps, on se reconnecte au toucher. Ou est-ce que c'est quelque chose qui fait partie de nos vies ? On en parlait, est-ce qu'en quoi finalement le toucher est aussi un art de vivre ? C'est-à-dire que je vois bien, moi, dans notre couple, que ce n'est pas qu'une question de ah tiens, je ne me sens pas bien, fais-moi un câlin Et je pense que c'est ça qui crée la force de... du toucher et de la connexion des corps, c'est d'une part d'en faire quelque chose qui est plein et entier en soi, c'est-à-dire, et on en parlait dans d'autres épisodes sur la sexualité, c'est-à-dire que ça fait partie d'une dimension pleine et entière, c'est-à-dire qu'un câlin peut être un câlin et il n'y a pas d'attente d'autre chose, en fait, un pot à pot. Je sais qu'on passe du temps à être en pot à pot, et c'est juste plein et entier, et ça fait partie du spectre de notre sensualité, de notre sexualité. Et je pense aussi le fait de l'inclure dans le quotidien, sans attendre qu'il y ait besoin, c'est cultiver, pour moi je vois aussi que c'est comme cultiver notre lien amoureux à un niveau qui effectivement lâche complètement le mental, c'est une question de connexion, moi je dis souvent pour rigoler, j'imagine ça très souvent quand on est en peau à peau, dire oui, de la même manière qu'on se raconte nos journées, ou qu'on se raconte ou qu'on disserte sur des choses intellectuellement. Moi, j'imagine, je me dis qu'à ce moment-là, c'est comme si nos cellules, nos peaux se parlaient. Et il y avait un moment d'échange qui dépasse ce qu'on peut faire avec nos cerveaux, qui est complètement différent et très complémentaire, et de laisser du temps au corps pour être en connexion, pour se parler, pour s'imaginer ce qui se passe à cet endroit-là quand il n'y a plus de mots, mais que ce sont les cellules en contact.
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Oui, c'est vrai, si on reprend un peu physiologiquement, il y a... On dit beaucoup, par exemple, que faire une méditation ensemble, ça synchronise les cerveaux. On le dit beaucoup. Je sais que nous, quand on fait du yoga ensemble tous les matins, c'est un moment où on se synchronise aussi. Il y a quelque chose de synchronisant et il y a de fortes chances. Je serais vraiment curieux d'attendre que des scientifiques fassent des études là-dessus. Quand il y a un échange de corps à corps, de toucher, il y a un autre niveau de synchronisation aussi qui s'effectue, qui n'est pas mental, mais qui est... au niveau du corps et de voir à quel point des couples qui finalement ne se touchent plus, on perçoit en fait un niveau de désynchronisation très important.
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Et surtout ce qui est beau, je me souviens dans un des stages qu'on a animé cette année, De sentir aussi ce qui change quand on commence à aller, à explorer ce chemin de grandir ensemble, de sentir la proximité qui change aussi. Il y a comme je trouve une danse qui s'initie et qui s'entraîne là-dessus sur, tiens, quand on se rapproche, j'aime beaucoup sentir ça moi avec les couples qu'on accompagne, à la volée de sentir même la proximité, le toucher qui s'invite et comment est-ce que quand le toucher s'invite, on gagne aussi en proximité, dans l'ouverture de ce qu'on ressent, dans l'ouverture de ce qu'on a envie de créer ensemble, de notre relation. Et en même temps, on sent qu'aussi, parfois, quand il y a cette ouverture d'exprimer ce qu'on ressent, d'être dans une volonté de grandir ensemble, ça rapproche aussi les corps. Et on le voit dans des gestes plus affectueux, dans une envie de... Ça peut être du toucher, de la présence, un câlin qui... qui se baladent comme ça. J'aime beaucoup, moi, observer ça à la volée dans les stages, parce que je trouve ça magnifique. Je trouve que c'est comme s'il y a une expression inconsciente des corps, en fait. Je me sens bien avec toi, en fait. J'ai envie de cette proximité. C'est intéressant, on dit souvent qu'il le fout la poule, de se dire, tiens, est-ce que il y a une interaction entre, tiens, mentalement, et en même temps, dans le corps, comment je me sens, comment je me sens dans la relation. Oui, je peux l'intellectualiser, mais il y a aussi le corps qui parle, en fait. comment cultiver finalement cet espace et la qualité du lien à cet endroit-là.
- Speaker #0
C'est d'autant plus important dans nos éducations occidentales qu'on est énormément dans le mental. On est énormément dans l'apprentissage par l'intellectuel qu'on apprend assez peu finalement à dialoguer à un autre niveau qui est celui de l'expression corporelle et de ce qu'on peut échanger par, on le voit, une danse. On a expérimenté lors de notre dernière soirée organisée pour les couples, ce moment où l'invitation de se connecter par la danse, par le regard, par le toucher s'invite. Il y a un autre niveau de connexion, on sent d'ailleurs l'atmosphère changer entre les couples, le niveau d'intimité changer, le niveau de dialogue changer.
- Speaker #1
Oui, de le vivre en conscience et dans cette conscience du lien. Je trouve ça magnifique. de s'offrir ça, si on couple, de remettre finalement, j'aime beaucoup dire moi qu'on parle beaucoup de sexualité sacrée, de féminin sacré, de masculin sacré, du sacré, et j'aime beaucoup à dire, le sacré, en fait, il est dans nos quotidiens, en fait, il est apporté de conscience, c'est-à-dire que au moment où en couple, je mets l'attention d'être en présence et de te toucher, de reconnecter finalement à l'émerveillement que c'est. Et à l'honneur, c'est quelque chose qui me connecte aussi beaucoup dans le tantra, au toucher sacré. C'est-à-dire que même on se réveille un matin de faire un pot à pot, c'est de se connecter à la gratitude. Moi, je me connecte souvent de me dire Waouh ! J'ai la chance d'avoir cet être humain avec lequel je me réveille et de pouvoir aller explorer la richesse de la température de sa peau, de sentir ma peau au contact. Et il y a quelque chose pour moi de divin, de sacré, je trouve ça. Ça vaut de le remettre comme quelque chose d'accessible, en fait, qui fait partie de nos vies, si on le décide, et d'inclure ça. Et je trouvais qu'effectivement, dans cette invitation pour les couples de reconnecter à ça, c'est vraiment de remettre de l'émerveillement dans le quotidien et un niveau de connexion encore plus profond.
- Speaker #0
Et il y a plein de degrés différents pour ceux qui sont à l'aise, ceux qui ne sont pas du tout à l'aise. Il y a plein de manières de connecter les corps. En tout cas, on vous invite à trouver chacun votre manière de dialoguer avec les corps et d'explorer quelque chose qui est beaucoup moins mental et beaucoup plus dans... subtil en termes de...
- Speaker #1
Oui, et de s'imaginer ça comme quelque chose de tout terrain, c'est-à-dire que ne serait-ce que, et je sais que nous, quand on dîne à l'extérieur, on est un de nos jeux favoris, c'est d'arriver à trouver la table où on va pouvoir être à côté et pas en face. Parce que, justement, on aime se dire qu'à un moment ensemble, il y a cette dimension tactile, il y a cette dimension de t'avoir aussi à portée de main, de pouvoir... à se connecter par le toucher. La manière que de vivre un... Voilà, ça peut être vivre un concert ensemble, c'est aussi de sentir le rôle qu'a ce toucher, de vivre une expérience ensemble et de pouvoir y ajouter la dimension tactile dans la mesure qui, effectivement, respecte chacun, mais de réexplorer. réexplorer l'émerveillement finalement d'avoir une enveloppe corporelle, d'être sur Terre, dans un corps humain, et d'avoir cette... C'est miraculeux en fait, de pouvoir ressentir tout ça, d'avoir autant de capteurs. Et pour moi, ça renvoie aussi à reprendre du choix sur où est-ce qu'on va chercher aussi, parce qu'on parle d'ocytocine aussi, de tout ce que ça crée chimiquement dans le corps. De pouvoir reprendre du choix sur comment est-ce qu'on cultive finalement ce qui fait du bien à nos corps ensemble. Peut-être parfois plutôt que d'aller le chercher dans les réseaux sociaux, dans le fait de scroller, de se dire finalement est-ce que cette dopamine, cette ocytocine que peut me fournir plein d'activités, tiens et si je me réémerveillais du fait que j'ai une personne à côté de moi et le simple fait de poser ma main au creux de son cou. ou de lui faire un câlin, peut générer tout ça. Et du coup, c'est un choix, je trouve, qui est beau aussi, de se reconnecter à la magie du couple, en fait, et à la magie du toucher dans la relation.
- Speaker #0
Merci d'avoir écouté cet épisode.
- Speaker #1
On vous souhaite, l'éveillant-vous, l'envie de créer des relations qui vous inspirent.
- Speaker #0
Avec vous-même et avec ceux qui vous entourent.