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EPISODE 21 - Samira El Gadir - "Il n'y a pas de fatalité" cover
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Sans pluie pas d'arc-en-ciel par Sarah Pébereau

EPISODE 21 - Samira El Gadir - "Il n'y a pas de fatalité"

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1h01 |11/09/2023
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1h01 |11/09/2023
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Description

🌈 Aujourd'hui je reçois Samira el Gadir. Samira a 39 ans, elle est journaliste à TF1 depuis 2008 et s’occupe du fact checking, la lutte contre la fake news. 


Samira vient nous parler de sa tempête - un long parcours pour avoir un bébé - 10 ans en tout. Après avoir essayé naturellement pendant 2 ans, elle entre dans un parcours de PMA. Le protocole consiste en un traitement quotidien d’injections, de visites régulières à l'hôpital pour vérifier l'évolution puis la ponction d’ovocytes et le transfert d'embryons - le tout avec un corps médical parfois maladroit voire froid et des remarques parfois blessantes de l’entourage qui ne sait rien de ce parcours car, avec son son mari, ils choisissent de le garder secret. Après plusieurs années et échecs, elle fait une pause qui s'avère salutaire, tant personnellement que professionnellement, pour se reconstruire, en dehors de son désir d’enfant. Son phare a été à ce moment-là, un suivi psychologique qui était proposé dans l'hôpital où elle était. “On en parle pas forcément quand on vit la PMA, nous dit elle, parce que c’est encore tabou aujourd'hui pour plein de raisons donc avoir une écoute, quelqu'un à qui on peut en parler dont c’est le métier de t'aiguiller de t'aider de t’écouter c’est génial.” En parallèle, elle suit une formation sur le fact-checking. Après cette pause, elle décide avec son mari de reprendre la PMA en s’accordant davantage le temps pour cela. 


Son arc-en-ciel, c'est sa fille qui va avoir 1 an et demi. Un enfant précieux car après un si long combat, il y a un côté un peu sacré comme nous le confie Samira. 


Ses conseils : écoutez-vous, pour le couple parlez-vous, ça peut aussi aider de parler avec d’autres couples qui vivent la même chose que nous et ne pas tout sacrifier pour ça, réaliser d’autres choses. Samira El Gadir : “Il n’y a pas de fatalité”. 


Merci Samira pour ton généreux témoignage riche en émotions qui, je n'en doute pas, va transmettre beaucoup d'espoir aux femmes traversant cette même tempête ou une autre 🫶


Si vous aimez le podcast : prenez 1 minute pour me soutenir, mettez une super note - 5/5 - sur les plateformes d'écoute et parlez-en autour de vous sur vos réseaux et dans la vraie vie! Merci à tous 🙏 ✨🌈


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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🌈 Aujourd'hui je reçois Samira el Gadir. Samira a 39 ans, elle est journaliste à TF1 depuis 2008 et s’occupe du fact checking, la lutte contre la fake news. 


Samira vient nous parler de sa tempête - un long parcours pour avoir un bébé - 10 ans en tout. Après avoir essayé naturellement pendant 2 ans, elle entre dans un parcours de PMA. Le protocole consiste en un traitement quotidien d’injections, de visites régulières à l'hôpital pour vérifier l'évolution puis la ponction d’ovocytes et le transfert d'embryons - le tout avec un corps médical parfois maladroit voire froid et des remarques parfois blessantes de l’entourage qui ne sait rien de ce parcours car, avec son son mari, ils choisissent de le garder secret. Après plusieurs années et échecs, elle fait une pause qui s'avère salutaire, tant personnellement que professionnellement, pour se reconstruire, en dehors de son désir d’enfant. Son phare a été à ce moment-là, un suivi psychologique qui était proposé dans l'hôpital où elle était. “On en parle pas forcément quand on vit la PMA, nous dit elle, parce que c’est encore tabou aujourd'hui pour plein de raisons donc avoir une écoute, quelqu'un à qui on peut en parler dont c’est le métier de t'aiguiller de t'aider de t’écouter c’est génial.” En parallèle, elle suit une formation sur le fact-checking. Après cette pause, elle décide avec son mari de reprendre la PMA en s’accordant davantage le temps pour cela. 


Son arc-en-ciel, c'est sa fille qui va avoir 1 an et demi. Un enfant précieux car après un si long combat, il y a un côté un peu sacré comme nous le confie Samira. 


Ses conseils : écoutez-vous, pour le couple parlez-vous, ça peut aussi aider de parler avec d’autres couples qui vivent la même chose que nous et ne pas tout sacrifier pour ça, réaliser d’autres choses. Samira El Gadir : “Il n’y a pas de fatalité”. 


Merci Samira pour ton généreux témoignage riche en émotions qui, je n'en doute pas, va transmettre beaucoup d'espoir aux femmes traversant cette même tempête ou une autre 🫶


Si vous aimez le podcast : prenez 1 minute pour me soutenir, mettez une super note - 5/5 - sur les plateformes d'écoute et parlez-en autour de vous sur vos réseaux et dans la vraie vie! Merci à tous 🙏 ✨🌈


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Samira vient nous parler de sa tempête - un long parcours pour avoir un bébé - 10 ans en tout. Après avoir essayé naturellement pendant 2 ans, elle entre dans un parcours de PMA. Le protocole consiste en un traitement quotidien d’injections, de visites régulières à l'hôpital pour vérifier l'évolution puis la ponction d’ovocytes et le transfert d'embryons - le tout avec un corps médical parfois maladroit voire froid et des remarques parfois blessantes de l’entourage qui ne sait rien de ce parcours car, avec son son mari, ils choisissent de le garder secret. Après plusieurs années et échecs, elle fait une pause qui s'avère salutaire, tant personnellement que professionnellement, pour se reconstruire, en dehors de son désir d’enfant. Son phare a été à ce moment-là, un suivi psychologique qui était proposé dans l'hôpital où elle était. “On en parle pas forcément quand on vit la PMA, nous dit elle, parce que c’est encore tabou aujourd'hui pour plein de raisons donc avoir une écoute, quelqu'un à qui on peut en parler dont c’est le métier de t'aiguiller de t'aider de t’écouter c’est génial.” En parallèle, elle suit une formation sur le fact-checking. Après cette pause, elle décide avec son mari de reprendre la PMA en s’accordant davantage le temps pour cela. 


Son arc-en-ciel, c'est sa fille qui va avoir 1 an et demi. Un enfant précieux car après un si long combat, il y a un côté un peu sacré comme nous le confie Samira. 


Ses conseils : écoutez-vous, pour le couple parlez-vous, ça peut aussi aider de parler avec d’autres couples qui vivent la même chose que nous et ne pas tout sacrifier pour ça, réaliser d’autres choses. Samira El Gadir : “Il n’y a pas de fatalité”. 


Merci Samira pour ton généreux témoignage riche en émotions qui, je n'en doute pas, va transmettre beaucoup d'espoir aux femmes traversant cette même tempête ou une autre 🫶


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Samira vient nous parler de sa tempête - un long parcours pour avoir un bébé - 10 ans en tout. Après avoir essayé naturellement pendant 2 ans, elle entre dans un parcours de PMA. Le protocole consiste en un traitement quotidien d’injections, de visites régulières à l'hôpital pour vérifier l'évolution puis la ponction d’ovocytes et le transfert d'embryons - le tout avec un corps médical parfois maladroit voire froid et des remarques parfois blessantes de l’entourage qui ne sait rien de ce parcours car, avec son son mari, ils choisissent de le garder secret. Après plusieurs années et échecs, elle fait une pause qui s'avère salutaire, tant personnellement que professionnellement, pour se reconstruire, en dehors de son désir d’enfant. Son phare a été à ce moment-là, un suivi psychologique qui était proposé dans l'hôpital où elle était. “On en parle pas forcément quand on vit la PMA, nous dit elle, parce que c’est encore tabou aujourd'hui pour plein de raisons donc avoir une écoute, quelqu'un à qui on peut en parler dont c’est le métier de t'aiguiller de t'aider de t’écouter c’est génial.” En parallèle, elle suit une formation sur le fact-checking. Après cette pause, elle décide avec son mari de reprendre la PMA en s’accordant davantage le temps pour cela. 


Son arc-en-ciel, c'est sa fille qui va avoir 1 an et demi. Un enfant précieux car après un si long combat, il y a un côté un peu sacré comme nous le confie Samira. 


Ses conseils : écoutez-vous, pour le couple parlez-vous, ça peut aussi aider de parler avec d’autres couples qui vivent la même chose que nous et ne pas tout sacrifier pour ça, réaliser d’autres choses. Samira El Gadir : “Il n’y a pas de fatalité”. 


Merci Samira pour ton généreux témoignage riche en émotions qui, je n'en doute pas, va transmettre beaucoup d'espoir aux femmes traversant cette même tempête ou une autre 🫶


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