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SATORI

Ce que j'aurais aimé savoir il y a 5 ans pour réussir ma vie pro - JDB#3

Ce que j'aurais aimé savoir il y a 5 ans pour réussir ma vie pro - JDB#3

45min |30/12/2024
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Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que ton Noël s'est bien passé. Écoute, si tu as écouté le dernier journal de bord, sache que le cadeau que j'ai fait à mon père qui était de monter la vidéo de notre trip il y a 7 ans en Géorgie, j'avais tout filmé mais j'avais rien monté, sache que j'ai réussi à avoir en retour des larmes de joie. Et quand tu vois ton père qui te dit c'est des larmes de joie, c'est le plus beau cadeau qu'on m'ait jamais fait, je me suis vraiment dit, waouh, ça valait la peine de se coucher à 4h du mat'pour monter la vidéo le 24. et passer un peu le réveillon avec la gueule dans le cul et pas très frais parce que quant à ça tu te dis la vie c'est vraiment vivre des émotions et que ce soit s'acheter des trucs c'est vraiment ça le plus important c'est pour ça que ça fait longtemps que je n'achète plus de cadeaux dans ma famille je nous offre des moments et du temps ensemble et du coup cette vidéo c'était du moment qu'on s'offrait ensemble à la regarder et puis moi aussi de lui permettre de revivre toutes ces émotions bref Encore un gros big up à Isabelle Sauser de mon collectif Qui m'avait soufflé l'idée C'était vraiment incroyable Je te recommande vivement pour tes prochains Noël Au lieu d'acheter des trucs parce que t'es forcé de les acheter Parce qu'il faut acheter ce jour là Moi déjà ça me rend dingue J'ai un petit problème avec l'autorité Mais plutôt te dire quel moment on peut s'offrir ensemble Avec cette personne là qui nous ferait kiffer Et s'offrir des souvenirs Je trouve ça beaucoup plus fort Cette semaine dans le journal de bord Je te parlerai du bilan de l'année Merci et des leçons que j'en ai tirées, et surtout aussi des bilans qu'on a fait avec mon collectif, parce que j'ai vu qu'il y a des choses un peu génériques qui revenaient, enfin des traits communs qui revenaient, et je me suis dit que ça pouvait être très utile aussi d'en retirer les leçons et les clics qu'on a eus un petit peu tous ensemble. Je voudrais te parler aussi d'Arnold Schwarzenegger. Alors je sais qu'il y a pas mal de femmes qui me suivent et qui vont dire Waouh, super, génial, grosse thématique, ça va vachement me plaire, ça tient Bah détrompe-toi. Je viens de regarder un documentaire sur lui en trois parties, et... vraiment il y a deux trois leçons de vie qui j'ai trouvé très inspirant et que je voulais partager je voulais aussi te partager deux stratégies si tu comptes monétiser une communauté que ce soit à travers des réseaux sociaux à travers une communauté payante généralement deux stratégies à te partager que tu as déjà des gens qui te suivent sur les réseaux ou que tu n'en es pas comment attirer des clients comment créer une communauté saine qui te rapporte de façon naturelle je pense que ça pourra être très utile parce qu'encore une fois je pense qu'on va vraiment en vers un engouement des communautés, de la connexion humaine, comment remettre de l'humain dans ses offres, dans ses accompagnements, dans son activité. Donc je voulais te partager ça. Je voulais te partager également une phrase qui, pour moi, est une pensée limitante de fou. J'ai discuté avec un ami qui est praticien dans le domaine de la spiritualité, études, bien-être, et qui me disait Ouais, mais ça ne sert pas à grand-chose que je commence à créer du contenu sur les réseaux, que je m'affiche, parce qu'il y a tellement de gens. qu'ils le font déjà bien et qu'ils en savent plus que moi. Alors je vois pas pourquoi je n'y mettrais. Et cette pensée limitante, je pense qu'il y en a beaucoup qui l'ont. Et je voulais la tacler parce que c'est vraiment, vraiment très dommage de l'avoir. Et je voulais finir avec deux success stories de personnes de mon collectif. Je voulais te partager dans quoi... Une a réussi vraiment sur les réseaux sociaux, pas qu'un peu d'ailleurs. Et une autre qui a réussi à vivre d'un métier auquel tu t'attendrais jamais, un métier passion, tu dis tu peux pas vivre de ça. Et si... Et je voulais t'en parler, je voulais te dire comment elles ont fait, comme ça j'espère que ça pourra t'inspirer. Et évidemment, je vais finir avec un petit fun fact. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Le bilan de l'année 2020, j'ai commencé à le faire, j'ai pas encore tout à fait fini, mais on a fait un live avec mon collectif. Et je me suis vraiment aperçu qu'il y avait un schéma qui revenait, et surtout une grande leçon qui nous a apparu, tous d'une évidence incroyable avec le collectif. On a fait un live sur ce sujet donc. On s'est vraiment aperçu que réussir dans son activité pro, c'est avant tout savoir gérer son mental et ses émotions. Ce qui est fou, c'est que finalement, comment tu es bon dans ton métier ou quelles compétences tu as, ça reste assez simple. C'est des choses où tu apprends de façon assez bête et méchante, tu le refais, tu répètes. OK. Mais en fait, ce qui va vraiment être la clé du succès ou de l'échec et de l'effondrement, ou du mal-être, ou de la... peur ou de tout ce qui va avec, c'est de te dire comment tu te gères toi à l'intérieur. C'est-à-dire, est-ce que tu as assez confiance en toi pour te lancer ? Est-ce que tu t'aimes assez ou tu t'estimes assez pour aller promouvoir tes offres, te mettre en avant sur les réseaux ? Est-ce que, encore une fois, tu te sens assez motivé pour appeler des clients ? Est-ce que tu gères assez bien ta charge mentale pour ne pas être trop stressé, te sentir submergé et finalement te sentir paralysé par toutes les tâches ? d'avoir vraiment cette clairvoyance. On s'est vraiment aperçus de se dire, waouh, c'est fou à quel point... Et il y a aussi ça, mais il y a aussi le fait d'être aligné. Ça, j'y reviendrai juste après. Mais il y a vraiment ce truc de se dire, en fait... Tu peux avoir toutes les compétences du monde. Si, quand tu te lèves le matin, tu te regardes dans la glace, tu te dis pas, franchement, c'est génial ce que je fais, je suis fier de mon produit, je suis fier de ce que je vends, de mon service, et putain, je suis une bonne personne, je me trouve beau, belle, j'ai confiance en moi, putain, c'est génial la chance que j'ai de pouvoir proposer ce que je propose. Je suis vraiment impatient d'essayer de le vendre aux gens, parce que je sais que ça apporte quelque chose, mais si t'as pas ça en toi, que t'as pas cette motivation, que t'es en mode... Putain, faut que j'appelle les clients ce matin, ça me paralyse encore, j'ai pas envie. Putain, faudrait que je me filme, que je mette en avant, je sais, faut que j'incarne plus mon... Mais il y a des gens qui font ça mieux que moi, puis je suis pas bien, puis je... Et voilà, et puis là je suis fatigué, puis j'ai tellement de trucs, là je suis stressé, je sais pas... Ça en fait, c'est que ces choses-là en fait, où tu t'aperçois que... C'est ce que j'appelle le frein à main émotionnel. C'est à ton business, mais t'avances avec un putain de frein à main émotionnel. Alors que la personne... qui est un peu éclaté au sol dans son métier, et on le voit, tu le sais, tu les vois sur les réseaux, tu sais qu'ils sont pouraves et tu n'entends que des trucs pouraves sur eux, mais eux, ils s'en foutent. Même s'ils savent qu'ils sont pouraves, ils ne doutent de rien. Ils ont confiance. Ils se vendent, ils se survendent, ils se pipotent un peu pour se... Mais ça marche. Parce qu'en fait, qu'est-ce qu'ils ont ? Ils ont potentiellement, à l'instant T, une très bonne gestion émotionnelle de ce qu'ils sont, de comment ils voient les choses, de leur quotidien. Du coup, c'est pas un frein à main émotionnel qu'ils ont. C'est une roquette dans les fesses, mon gars. Et y'a pas de problème, le cerveau, il y va, il les emmène exactement là où il veut l'aller. Et je me suis vraiment rendu compte de me dire, là, moi, comme je te disais dans l'épisode précédent, j'ai vu que j'avais besoin de réduire au maximum ma charge émotionnelle parce que, waouh, j'étais dans une grosse fatigue, j'ai remis un peu le nez dans un burn-out, donc il fallait que j'allège mon quotidien, que j'éclaircisse un peu mes pensées et que... Quand tu baisses ta charge mentale, ton cerveau, c'est comme un enfant que tu libères des devoirs. Oh, il se sent mieux, il a envie de courir partout, il est créatif, il s'amuse, il est content. Ça fait du bien. Mais il y a aussi ce côté, c'est bien sympa, la charge mentale, mais après, il y a aussi ce côté genre, OK, je n'ai pas de charge mentale, mais est-ce que quand je me regarde, j'ai confiance en moi ? Est-ce que je suis prêt à faire les choses ? Est-ce qu'en fait, il y a toutes les choses qu'on me dit de faire, que ce soit Alex Vizeo qui me donne des super conseils sur son podcast, ou dans son collègue qui est fou, dans ses formations. ou n'importe quel gus que j'entends, ou des formations que j'ai achetées, etc. Mais si en fait, on me donne la formule pour courir le 100 mètres en moins de 10 secondes, grâce à l'entraîneur du sandbolt, si tu ne fais pas les tours de stade parce que tu as peur de ne pas courir assez vite, ou que tu as la flemme, ou que tu en as marre, tu ne pourras pas, personne ne pourra passer en dessous des 10 secondes, si ce n'est les personnes qui, eux, ne se posent pas de questions et appliquent. Mais pour appliquer, même si tu as, encore une fois, la formule magique de la potion magique, si tu n'es pas capable, d'avoir le courage, le bien-être, la confiance, pour le mettre en application, il ne se passera rien. Et c'est vraiment là où je me suis aperçu qu'à quel point avoir son activité, être entrepreneur ou entrepreneur, solopreneur, freelance, appelle-le comme tu veux, c'est tellement un bel outil de développement personnel pour aller mieux. Parce que tu n'as pas le choix. Et que ça va vraiment te mettre face à toutes tes pensées limitantes, tous tes murs, toutes tes limites, en fait, tout ce qui te limite. Tu vas voir tes limites, tu vas dire putain là j'y arrive pas. Et que si t'as envie de réussir, il va falloir que tu les surmontes. Et que tu t'aperçois souvent que la barrière de connaissance professionnelle est finalement assez basse. Et que celle des barrières mentales c'est un mur parfois infranchissable. Il y en a beaucoup. Et quand on dit que l'entrepreneuriat, à moi c'est pas fait pour moi, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es pas capable de surmonter le stress, t'es pas capable d'aimer un peu plus, t'es pas capable... D'avoir plus confiance en toi, d'être bien, tu vois, et d'être confiant et de l'assumer, d'être fier. Mais je me dis, mais putain, mais t'imagines que quand tu te dis l'entrepreneuriat, c'est pas pour moi, ça veut dire que t'abandonnes le fait de pouvoir être mieux dans ta peau, d'être fier de ce que tu fais, parce que, et pleinement, alors que moi, je me dis, l'entrepreneuriat, ça va toujours piquer là où ça fait mal. Putain, ça fait mal. Allez, go, il en prend un coup. Allez, limite. Ah là, quand tu te pensais bien, ça va te mettre les yeux dans ton caca et ça va toujours te pointer là où tu dois t'améliorer. Mais je trouve ça formidable. Je trouve ça formidable parce que c'est une aventure sans fin et du coup un jeu sans fin. Et du coup, ça fait plaisir parce que du coup, si c'est un jeu qu'on aime jouer, tout à coup, c'est nourrissant, c'est passionnant, c'est enivrant. On se sent grandir, on se sent évoluer. Il n'y a rien de tel pour nourrir son âme et son esprit. Et c'est vraiment ça que je voulais te partager. C'est que si tu sens que tu galères dans ton activité pro, ne te demande pas ce que tu sais. pas faire en vrai dans ton métier. Demande-toi là où en fait, tu as des limites mentales et débrouille-toi pour les surmonter, les faire exploser, pas les contourner, mais vraiment les résoudre, les embrasser et aller parce que c'est à ça que ça sert en vrai. Et justement, quand je te disais être aligné, Ben, il y a plusieurs personnes dans mon collectif, et moi y compris, ben cette année on a cherché nos offres, on les a peaufinées, on les a testées, on a abandonnées, parce qu'il y a plein de trucs dans lesquels je m'étais embarqué, qui encore une fois, c'était mon égo qui parlait, c'était ah tiens, il y a un tel qui fait ça, ou vas-y si je fais ça, je vais pas rapporter assez d'argent, ou du coup machin, etc. Mais c'était pas aligné en fait. Et le fait de vouloir faire des trucs où t'es pas aligné, parce que souvent c'est à cause de l'argent, Soit c'est parce que tu vois que ça me... Oh, c'est le nouveau, c'est l'objet brillant, il faut absolument que je fasse ça, ou j'ai vu un tel faire ça, mais ça ne te ressemble pas. En fait, un, ça ne marche pas souvent, souvent ça te crée une charge mentale, deux, tu es stressé, parce que tu n'es pas aligné. Et si tu n'es pas aligné, encore une fois, ça te crée des barrières, et tu vas avancer avec un frein à main émotionnel, et ça ne va pas marcher. Et ceux, je vois, qui cartonnent, c'est ceux qui, un, encore une fois, ne se posent pas de questions, et ça, c'est les gens magiques. Malheureusement, ce qui est triste, c'est que souvent... les gens qui sont pas toujours très honnêtes, eux ils se posent pas de questions, ils s'en foutent, bon après ça vient les ronger un peu plus tard, en général c'est coup de karma, ça arrive, mais c'est aussi ceux qui sont toujours dans leur ligne, peu importe les modes, eux ils sont pas avec les modes, ils s'adaptent juste un petit peu, mais normalement c'est comme ça que je vois les choses, c'est cette activité là que je veux faire, et à cette façon avec ces valeurs là, et eux ils finissent toujours par réussir. Et je pense que c'est vraiment quelque chose que j'avais envie de me rappeler, de te partager, parce que c'est ce qui va te faire réussir en 2025, c'est en le gardant à l'esprit. et on a entaclé ces sujets. Notre ami Arnold Schwarzenegger, alors évidemment, ceux qui connaissent de près ou de loin, c'est Bodybuilder, c'est l'acteur Terminator avec des gros guns, mettez la gueule à tout le monde, c'est pour ça que c'est plus la voix de Stallone. Et c'est aussi gouverneur, l'air de rien, de la Californie. J'avais déjà commencé à lire son bouquin, mais il est tellement énervé en mode pavé que ma passion pour la lecture m'avait rattrapé. Mais j'avais commencé à beaucoup aimer ce parcours et quand j'ai vu qu'il y avait un documentaire sur Netflix qui finalement documente ces trois grandes parties de vie qui est l'athlète, le bodybuilder, ensuite l'acteur et ensuite le politicien, j'ai voulu vraiment regarder un peu tout ce parcours et j'ai vraiment été... Si vraiment je me dis qu'il y a un mec qui est né juste après la guerre, la seconde guerre mondiale, en Autriche, donc pays d'Hitler quand même, des nazis, qui arrive à sortir de là... à être champion, à être dix fois champion du monde de bodybuilding, Mister Univers, Mister Univers, Mister Univers, etc. Et que derrière, il arrive à être acteur à Hollywood et même être l'acteur le mieux payé d'Hollywood avec celui qui fait le plus d'argent au box-office et devenir un politicien. Je me dis, en fait, déjà, tout est possible. Parce qu'à chaque fois, on lui a dit, tout ça, c'est impossible. Genre, au début, on était trop petit, trop maigre. pour le bodybuilding, puis après on dit, ah oui non, d'accord, si c'est bien. Après on lui dit, mais mec, acteur, gars, t'as un gros tas de muscles, t'as un accent allemand à couper au couteau, on veut pas de toi, c'est pas des gros muscles, c'est Dustin Hoffman en ce moment, c'est des petits gars tout queues, des Al Pacino, non, bon bah le gars il a quand même réussi, il a jamais lâché. Et puis après, un acteur qui fait des gros films avec des gros guns, qui va devenir politicien, non, non, bah si, il a réussi. Il y a vraiment un truc qui m'a marqué chez lui, c'est... Je pense que c'est quelque chose qui peut être finalement une malédiction et ta plus grande bénédiction. C'est que, un, il ne se satisfait jamais de ses résultats. Deux, il est tout le temps en train d'apprendre des nouvelles choses et de se renseigner des gens. Les témoignages qu'il y avait sur lui, c'était que le mec est toujours en train de poser des questions sur comment tu fais, etc. Et toi, comment tu vois la vie ? Et en fait, au lieu de déblatérer ces trucs, il était toujours en train de demander des conseils et vraiment de puiser de la connaissance des gens. Et la malédiction pour moi c'est ce côté de jamais en avoir assez. Mais il y avait un truc aussi qu'il faisait, c'est que dès le moment où il a commencé à être bodybuilder et faire de la muscu, il a construit son groupe de potes, et ce qu'il disait c'était ses communautés encore une fois. Et il a compris qu'il était très fort à ça. Et il a toujours été le mec qui était fédérateur, c'est construire ses communautés autour de lui, ça lui a toujours permis d'avoir les compétences dont il avait besoin pour construire les choses. C'est-à-dire, quand il a été bodybuilder, après il avait... Il se tapait pour que ses potes puissent venir et être payé comme lui sur des projets, des trucs. Mais derrière, dès qu'il avait besoin, en fait, ce qu'il faut savoir, les gens ne savent pas. Maintenant, Schwarzenegger, après, pendant qu'il était en Californie pour être un peu bodybuilder et donner une autre vergue à sa carrière, le mec, il s'entraînait deux à trois fois par jour. Et après, il allait être dans le bâtiment pour, parce que le peu d'argent qu'il avait, il l'avait investi vraiment dans l'immobilier, à acheter des bâtiments et à tout retaper. Donc le mec, il devait être crevé de ouf. Il a emmené tous ses potes bodybuilders. pour retaper des maisons avec lui, etc. Et en fait, le mec est devenu millionnaire, millionnaire. On ne parle pas d'un gars qui est un peu de millionnaire avant même d'être acteur de Hollywood, parce que tout de suite, le mec... Il a dit, ok, je ne sais pas faire ça, comment on fait ? Vas-y, apprends-moi. Et boum, il s'y est mis. Vient mes potes, la communauté l'a aidé. Et que justement, quand il a voulu être acteur d'Hollywood, qu'est-ce qu'il a fait ? Je ne sais pas bien parler anglais. Ok, je prends des cours. Je prends des cours d'anglais. Jusque-là, rien de fou. Mais il a dit, ok, en fait, si je veux aussi savoir gérer ma carrière, il faut que j'ai des notions de business. Et avec l'argent que je vais faire. Boum, il prend des cours du soir. Donc c'est vraiment cette soif du gars qui est toujours en mode, je m'entoure. J'essaie de toujours bien m'entourer. Des gens qui vont m'aider, des gens que je vais pouvoir aider, des gens qui vont vraiment me tirer vers le haut. Et pareil, t'imagines bien dans la politique, il n'est pas arrivé en mode Coucou ! Il s'est marié avec une Kennedy, donc déjà ça aide à avoir 2-3 connaissances sympas. Et c'est vraiment se dire Je suis toujours en train d'essayer d'apprendre, de donner le meilleur de moi-même, et de tester des nouvelles choses, et surtout, le non ne viendra jamais entacher la vision que j'ai de moi-même. Et la vision, et c'est l'estime, mais c'est la vision que j'ai pour moi. Le gars se voyait à chaque fois la vision qui lui est arrivée, il l'avait déjà avant. Et en fait, tout le monde, vraiment, lui disait, mais non, arrête. Même ses potes, quand il a voulu devenir poéticien, ses potes d'Hollywood, ils se disaient, mais frérot, qu'est-ce que tu fais ? Je disais, mais non, ne fais pas ça. Tu n'es même pas américain. Enfin, on t'a donné l'initialité, mais bon, tu... Il disait, mais non, moi, je m'en fous, en fait. Et ça, je pense que c'est une énorme puissance. Encore une fois, c'est important, c'est pour ça de se connaître et d'aimer la vision qu'on a de nous et de ce qu'on veut faire de notre vie. Et que tous les gens qui vont dire non, c'est juste souvent qu'ils projettent leur propre peur sur ton projet à toi et de se dire si moi j'étais à sa place, mais non, ne le fais pas. C'est rare de se dire, ou alors, c'est-à-dire si moi j'étais à sa place, j'aurais peur de ça, donc ne le fais pas. Ils se projettent à ta place, tu vois, mais non, il va galérer, tout, ne le fais pas. C'est ça que j'ai trouvé très fort chez lui. C'est vraiment... l'apprentissage continu, la construction de communauté et de jamais en fait abandonner sa vision malgré les difficultés et surtout par exemple, il faut comprendre que c'est pas quelques noms qu'il a eu. Quand il a voulu être acteur, ça lui a pris presque 5 ans son rôle. 5 ans, c'est long ! C'est long et en fait, quand tu refais ta rétrospective de ta vie et de sa carrière, on dit oui, ça lui a pris 5 ans. C'est une phrase qui prend trois secondes et après il déroule tous les succès qu'il a eus. C'est ça qui est fort, je trouve. Et je pense que c'est le plus dur. Et je pense que c'est aussi quelque chose qui, moi, en ce moment, c'est une bataille intérieure. C'est qu'il dit, quand ça ne va pas, reste occupé. Keep being busy. Fais des trucs. Avance. Je pense que ça, ça permet effectivement de créer des projets incroyables. d'exploser les murs, d'être comme un tank, etc. Je pense aussi qu'en fonction de ta vie, de ton caractère, ça peut être un peu faire l'autruche, et tu peux te retrouver peut-être à 60, 50 ans ou 70 ans, à avoir réalisé plein de choses, mais à te sentir misérable à l'intérieur. Je ne sais pas à quel point il se sent bien ou pas, notre cher Arnold, mais je pense qu'il y a un juste milieu entre se nourrir de cette soif, de savoir faire taire des émotions qui peuvent t'handicaper, Mais parfois de se dire, tu sais quoi, là, je vais prendre le temps quand même. Parce que, genre, si tu as des émotions qui vont te perturber, tu sais quoi, fais les terres, reste occupé. Noie-toi dans le travail, dans l'apprentissage, etc. Et bon, au moins, ça te permettra d'avancer et ça ne va pas tant... Oui, mais tu vois, il le disait, quand il a dû devenir acteur, en fait, le mec était inexpressif. Parce que c'était un bodybuilder qui vient d'une famille très compliquée, où son père était ultra autoritaire, où il a vu... Il a dû surmonter plein de challenges émotionnels et du coup il les a enfouis. Il n'a jamais exprimé. Et comme il a dû être acteur, il était là en mode... Il ne parlait pas comme ça, mais voilà. On est content, on a compris. Il n'y avait aucune expression sur son visage, dans sa voix. Et un bon acteur, le principe c'est justement de savoir varier, d'adapter son état émotionnel en fonction de la scène, etc. Et le mec disait, il va falloir que je me connecte à des choses qui sont toujours restées enfouies. Et ça revient un peu à... Une des leçons que j'ai partagées dans un des journaux de bord, un des journaux de bord que j'ai refait quand j'ai repris, c'est l'émotionnel. En fonction de quel type d'émotion tu arrives à connecter, c'est vraiment un super pouvoir auquel tu peux te connecter, mais il faut l'utiliser au bon moment. Et je commence à être d'accord avec ce fait de dire Wow, là c'est le moment de pleurer ma peine, de la partager, d'exprimer ma colère, de me connecter à de la joie. Mais des fois, c'est aussi le moment de te dire Non, là c'est le moment de guérir en fait. J'ai besoin de faire une prestation, une compétition, peu importe ce que c'est, et que là je me connecte à l'esprit du guerrier, que la fragilité, nique ta mère, j'arrive plus tard, attends-moi pour le souper, on ira chialer ensemble. Mais c'est vraiment, en fait, ça que j'ai vu. C'est de ce côté où, OK, en fait, je m'aperçois à quel point l'émotionnel est peut-être, encore une fois, un frein à main incroyable et un boulet, un fardeau de fou. Peut être une des plus belles choses, évidemment, qu'on peut vivre. Parce qu'en fait, je m'aperçois aussi que vivre que heureux et tout le temps content, ce qui a été la majorité de ma vie, c'est bien, mais tu ne vis pas toute la vie, en fait. Ce n'est pas que ça, la vie. C'est aussi... éprouver toutes les autres émotions, c'est ça qui fait la richesse de la vie, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Mais faut pas en être victime, il faut savoir se dire ok là je m'autorise et là je le fais taire. Et voilà c'est vraiment ce que j'ai retenu de ce nôtre chez Arnold, c'est vraiment apprentissage permanent, soif du toujours plus et faire savoir faire taire ses émotions au bon moment et puis la communauté. J'espère que ça te servira pour préparer ton AIDEN 2025. Gérer et monétiser sa communauté, c'est vraiment un sujet en ce moment qui me passionne parce que j'aime le côté communauté où tu vis de quelque chose, où en gros tu es en train d'aider non pas des clients ou des personnes comme ça, mais une communauté sur le long terme, comme une équipe, des gens qui t'ont fait confiance et qui vont rester là plus ou moins longtemps. Et ça je trouve ça vraiment beau et je pense que c'est aussi l'avenir et que ça se dirait que sans plus aujourd'hui ça devient le business model le plus facile. à mettre en place. Je t'explique comment. En ce moment, il y a une énorme plateforme qui est en train d'émerger qui s'appelle Skool. C'est vraiment la façon la plus simple de, si tu veux te lancer, de monétiser ta communauté. Parce que c'est une plateforme où tu as toute la partie communautaire, tu as la partie plateforme où tu as tous tes modules de connaissances et tu as aussi tout ce qui va être agenda, des différents événements, des zooms, des lives, etc. Pourquoi c'est le plus simple, c'est parce que souvent quand tu veux vendre de la connaissance, quand tu veux vendre même des prestats freelance tu vas créer une page avec des funnels des trucs, là ce truc là c'est assez simple, t'as une page où t'expliques ce qu'il y a dans ta communauté et en vrai tout ton trafic tu vas le diriger là et derrière ça fait et la facturation et l'abonnement mensuel et il y a tout qui est fait simplement et je trouve ça intéressant parce que des fois un Je vois, quand on veut se lancer, on veut vraiment se dire Waouh, je fais un site internet, je fais des pages de vente, je fais des funnels, des machins. Et en fait, c'est tellement compliqué, des fois, techniquement, et c'est pour ceux qui se lancent, mais pour ceux qui sont déjà lancés. J'ai telle offre, j'en crée une autre, et puis une autre. Et en fait, c'est compliqué. C'est ce qu'on dit dans le business, le plus simple, c'est souvent un levier d'acquisition. Donc souvent, ça correspond à un réseau social et une signature. Et je pense, pour l'instant, de... Je vais voir ce que ça donne, mais que d'une certaine façon, tu peux te faire moins d'argent, clairement moins d'argent, si tu es en mode, tu crées ta communauté avec un abonnement. Que si tu fais, tu sais le truc des webinars, avec des ventes de formation, avec des accompagnements à 1000, 2000 balles, 3000 balles, etc. Que si tu fais évidemment une communauté avec un abonnement à 15 euros, 40 euros, 50 euros, 100 euros, etc. Mais l'avantage, c'est que ça peut évoluer. Et surtout que c'est simple. Et voilà, je te dirais les deux stratégies que tu peux mettre en place parce que je pense que demain, c'est ultra intéressant que tout le monde ait des communautés, soit parce que la communauté est payante directement, mensuellement ou à l'année, soit parce qu'en fait, la communauté est gratuite et la communauté n'ont pas des followers, mais la communauté qui interagit sur ta thématique. En fait, c'est juste là où tu auras tes clients. Et c'est vraiment ça, les deux grandes stratégies. En gros, tu as beaucoup de followers sur les réseaux. En fait, tu vas les amener sur ta communauté payante qui... et on va dire la phrase qui commence à être connue, tu vas leur faire une offre à 100 millions de dollars qui va leur coûter presque rien, et qui serait en fait, c'est une offre qui a tellement de valeur qu'il serait bête de la refuser. Et c'est pour ça que tu vois là sur mon futur collectif, je vais mettre toutes les formations que j'ai à ma disposition, que j'ai créées, que ce soit Brandéo Impact, Fasca M'Expert, Fast & Focus, il y aura tout dedans, il y en a pour plus de 4000 balles de formation, au prix si tu les achètes une par une, et je vais le faire à... 47 euros par mois pour le prix de lancement. Et je me dis, en fait, plus les lives, plus l'interaction. Et je me dis, les gens, s'ils ne prennent pas et qu'ils m'apprécient un minimum et qu'ils ont ces besoins-là, ils seraient vraiment contre de ne pas le prendre. Vraiment, c'est moi qui prends tous les risques, etc. Donc, soit tu as ce côté-là. Et finalement, tu peux, un, avoir ce qu'on appelle des offres low ticket. Et que si tu as envie, derrière, si les gens kiffent, ils kiffent ta communauté, tu peux faire, par exemple, après de l'accompagnement one-one. qui vont être ce qu'on appelle sur du high ticket, donc tu vas être sur des prix sur plusieurs milliers d'euros, ou alors tu peux faire des événements, tu peux faire des masterminds. Donc finalement, tu fais rentrer les gens qui vont être des clients qui ont mis de l'argent dans ta communauté, mais de façon saine, parce qu'en plus, ils rentrent dans ta communauté, putain, c'est chanmé. tout ce que j'ai pour ça. Et en plus, ils ont vraiment cet effet de j'apprécie la personne, j'apprécie le fait que j'ai énormément de valeur pour le prix que je mets. Donc forcément, c'est trop cool, tu crées un lien de confiance vrai. Et derrière, s'ils ont un besoin forcément un peu plus élevé ou d'être accompagnés, parce qu'il y en a toujours qui ont besoin d'accompagnement un peu plus one-one, ça, c'est un super levier d'acquisition naturel. Et qu'est-ce que tu fais en gros ? C'est quoi la stratégie si tu n'as pas vraiment... de followers ou beaucoup de communautés. Là, il va falloir que tu te débrouilles pour l'autre stratégie de faire une communauté qui va être gratuite, où justement tu vas être sur School, tu vas mettre des modules de connaissances, tu vas interagir, tu vas donner beaucoup de valeur à la communauté et tu vas te débrouiller pour l'animer, pour mettre les gens en relation, etc. Et que dans ces gens-là, en fait, toi, ce que tu vas faire quand tu n'as pas beaucoup de communautés, c'est que quand tu commences, tu es obligé de faire ce qu'on appelle des prix et des offres à étiquettes. Les offres à étiquettes, c'est que Soit tu es freelance et tu as des missions, soit derrière tu as des accompagnements qui vont être sur mille ou plusieurs milliers d'euros, évidemment avec ce qui va avec. Pourquoi ? Parce que si tu as peu de gens à 47 euros, si tu as 10 personnes, ça te fait 500 balles par mois, ce n'est pas possible. Par contre, si tu as des offres à 1500 euros, peu importe ce que ça donne, ou même plus, et que tu signes trois clients par mois grâce à cette communauté gratuite de gens qui voient ta valeur, qui voient à quel point tu es impliqué, et qui veulent aller plus loin, qui veulent aller plus vite, qui veulent plus d'accompagnement, quelque chose de plus personnalisé, c'est toi qu'ils vont prendre. Et ça, ça crée vraiment une stratégie ultra saine, ultra dynamique et humaine, qui fait que je le vois en ce moment, tu sais, on se bat souvent à faire beaucoup de contenu sur les réseaux, c'est très bien, c'est de la visibilité, mais ce n'est pas évident en fait d'ailleurs de transformer en client. Pourquoi ? Parce que quand tu es juste à créer du contenu sur les réseaux, Tu es juste en mode, tu pousses ton truc, tu pousses ton truc. Alors que quand les gens rentrent dans une communauté gratuite, où vraiment, ce n'est pas juste, je viens pour consommer, je viens pour apprendre, je viens pour connecter, je viens pour m'améliorer, il y a déjà en fait la démarche de. Parce qu'il y a la démarche de, et que la personne, du coup, quand tout à coup, elle consomme ton contenu et tes méthodes gratuites, sur cette communauté, elle n'est pas dans la même optique. Elle est vraiment là, elle n'est pas juste ton consommateur, elle ne t'a pas juste vu après... Un chat qui vole et un mec qui fait un salto arrière et une meuf qui est à Bali. Genre là, je suis dans le mindset d'apprendre. Je rentre dans cette communauté, intéressant, j'ai connecté à 2-3 nanas. Ok, cool, ça m'a inspiré, ça m'a motivé. J'ai peut-être envie d'aller... Je vois en plus que la personne a un accompagnement privé. Là, il y a des places. Je vais peut-être le prendre. Ça, c'est beaucoup plus sain et c'est beaucoup plus intéressant. C'est vraiment la stratégie que j'ai vue qui se dégageait. Évidemment, après, il y a plein de choses de comment gérer une bonne communauté. J'essaierai de te... t'en donner d'autres conseils, au fur et à mesure aussi que je vais peaufiner moi mes skills-là. Mais si vraiment tu te demandes, ok, finalement, je suis prof de yoga, j'arrive pas forcément, je sais pas, à remplir mes trucs, fais une communauté. Tu es, je sais pas, t'es graphiste ou t'es, tu peux être graphiste, je sais pas, j'ai des trucs qui me viennent comme ça, t'es graphiste, t'arrives pas trop à avoir de clients. Tu peux faire quasiment une communauté, je sais pas, qui est gratuite ou qui est... si t'as pas de communauté ou un petit peu et où tu balances des templates et où les gens facilement en fait ils vont pouvoir récupérer des trucs et tu leur donnes des tips etc mais en fait les gens ils vont s'y mettre, ils vont voir oh putain c'est trop bien les tips etc je peux le faire moi même en fait dès que j'ai un minimum de budget ça va me casser les couilles bah je vais prendre un graphiste en fait et puis je vais le faire avec la personne qui m'a fait les tips tu vois et c'est vraiment de se dire aussi t'es pareil je sais pas t'as un salon t'as un salon t'as un barbeur t'es un barbeur Ben en fait c'est trop cool je sais pas dans ta communauté tu dis mais dans ma vie du coup tu es dans la ville bah si je suis dans la communauté de ce barbeur en fait il ya peut-être des gens sympas que je peux rencontrer parce qu'on sait que je sais pas si tu viens dans ce barbeur il ya une ambiance comme ça il ya tel vibe tel truc donc les mecs qui sont passés dans ce barbeur c'est intéressant parce que le mec qui fait des events c'est pas que le mec le barbeur il a fait les conseils pour être barbeur il va peut-être juste faire une communauté pour créer des events de mec et ça fait plaisir de rencontrer d'autres mecs parce que c'est pas facile quand on est des gars de rencontrer d'autres gars souvent ça va être les dates où ils vont rencontrer des meufs, où tu vas faire un sport mais il suffit que t'arrives quelque part et qu'il n'y ait pas forcément le sport que tu pratiques et c'est pas évident, et d'ailleurs je crois que une des plus grosses communautés payantes Au monde, c'est un barbeur, mais lui, c'est parce qu'il enseigne à d'autres barbeurs comment bien gérer leur barbershop, justement. Donc, c'est vraiment ces deux stratégies que je voulais te partager, parce que si tu galères avec, je ne sais pas comment trop créer des funnels de vente, en fait, je galère sur les réseaux, je ne sais pas comment monétiser, c'est chiant. Commence par faire une communauté gratuite, et après, tu essaies de convertir en montrant ta valeur, en donnant beaucoup de choses gratuitement, sur du high ticket. Et puis, si tu as déjà une communauté... en fait, tu n'as pas envie de te faire chier avec des funnels, etc. parce que tu n'es peut-être pas dans cette phase-là de ta vie comme moi. Tu vois, j'ai fait des webinaires, j'ai fait des funnels. En fait, là, j'ai envie de simplifier et mon temps et ma charge mentale. En fait, j'ai passé sur ce modèle-là pour cette raison-là. Et de me dire, je suis très content parce que de toute façon, c'est moi qui donnerai plus que ce que le client me paye. Et ça aussi, c'est une philosophie que j'aime beaucoup. Jette un oeil, je pense que ça peut être intéressant si tu bloques sur ton business model et qu'il n'y avait peut-être pas encore réfléchi. Cette petite pensée limitante qui nous a tous peut-être un peu traversé l'esprit, moi y compris en vrai, c'est pourquoi je créerais sur les réseaux ? Il y a tellement de gens qui sont déjà plus talentueux que moi, ils savent faire et puis ils sont trop forts et puis ils ont des communautés, pourquoi je le ferais ? Et moi je sais que ça m'est arrivé quand là j'ai arrêté l'influence voyage et que je voulais reprendre un peu le contenu et je me suis vu avec ces pensées limitantes, j'ai dit wow, attends, retombe pas là-dedans Parce que cette pensée limitante, Si tout le monde avait ça, ça serait quand même genre Ah bah de toute façon, il y a Cristiano Ronaldo et il y a Messi, donc bon, à quoi sert d'être joueur de foot ? Ouais bah en fait, il n'y a pas de match du coup, parce qu'il en faut d'autres. C'est vraiment ce côté où tu te dis Mais en fait, vu qu'il y a un gars, ou une personne, une nana, elle le fait bien, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lui laisses tout le marché ? Ça veut dire que toutes les personnes du monde doivent l'aimer ? Ça veut dire que s'il y avait, je sais pas, quand tu vas voir un humoriste, tu dis… Ah bah vas-y, tu sais quoi, il y a Gad Elmaleh, moi j'aime bien Gad Elmaleh. Du coup, il n'y a aucun autre, en fait, à l'époque, qui se serait dit, bah moi je vais être humoriste. Ah bah là, Gad Elmaleh, il est rempli des salles. Ah bah vas-y, son humour, il fait rire des gens. Non mais en fait, il y a des gens à côté, ils veulent rire, pareil que toi. Voilà, je veux, je veux. Mais il ne me fait pas rire, moi. Gad Elmaleh, pas du tout, tu vois. Ou alors, je ne l'aime pas, je n'aime pas sa voix, je n'aime pas sa gueule. Sa gueule, je n'aime pas. Et bah ça, en fait, c'est vraiment de comprendre que tu peux avoir le même métier, tu peux être même moins talentueux. il y a des gens qui vont te préférer toi. Parce que c'est ta voix, c'est ton énergie, c'est ta façon de faire. Et que surtout, il en faut pour tous les goûts. Et que surtout, il n'y a pas de monopole. Et que c'est au contraire de se dire, il y a lui, laisse tomber, il est trop fort, on lui laisse tout. Mais laisse pas tout. Et surtout qu'il faut comprendre que quand t'es à ton compte, on dit souvent que t'as juste besoin de 1000 personnes qui te suivent et qui kiffent ce que tu fais pour pouvoir en vivre. vraiment mille personnes et il ya même une phrase qui dit si tu as 100 fans 100 personnes qui sont des fans de ce que tu fais tu peux et qui vont prendre toutes tes offres tous tes trucs tu peux vraiment en vivre c'est vraiment ça qu'il faut comprendre c'est que les gens se disent ouais mais il ya lui là il prend déjà tellement de gens et c'est comme ça il ya mister beast il a 300 millions d'abonnés sur youtube à quoi ça que je fasse des vidéos mais qu'est ce tu crois qu'on fait après qu'on a regardé une vidéo de mister beast on en regarde d'autres en fait bah ouais Et puis, quand on a testé, je sais pas, un praticien, on a bossé avec un mec, bah c'était peut-être bien, mais j'ai peut-être envie de tester quelqu'un d'autre après. Ou il est pas dispo, ou il est trop cher. Parce que peut-être que le meilleur, il est trop cher pour moi, et il est pas dispo, et du coup, bah c'est là que t'interviens en fait. Donc surtout, quand t'as cette pensée limitante de dire, bah y'a déjà d'autres qui font mieux que moi, bah déjà, arrête. Oui, parce que déjà, c'est certainement vrai, ils sont peut-être meilleurs, ils sont peut-être plus beaux, ils sont peut-être plus forts, mais ça veut pas dire que t'auras pas de clients. Ça veut pas dire qu'il n'y aura pas des gens qui te préféreront, ça veut pas dire que t'arriveras pas à en vivre en fait. Au contraire. Parce que, encore une fois, toi tu vas répondre à un besoin que le meilleur ou la meilleure, ou un, je sais pas à quel niveau, il répond plus. Pas pour qu'une question de prix, de disponibilité, de format d'offres, parce que souvent, les gens qui ont beaucoup de followers ou des grosses communautés, ils font pas de one-one par exemple. C'est fini ces trucs-là. Ou ça va coûter un million, ou cent mille, j'en sais rien. Mais c'est là où toi t'interviens, tu dis moi je fais du one-one en fait. Et puis en vrai, peut-être pas sans expérience, mais j'ai eu des très très bons résultats. Et ça, ça change tout en fait. Quand tu captes en fait qu'il faut, c'est ce qu'on appelle l'échelle de valeur d'une offre. Où tu te mets dans l'échelle des besoins et de valeurs de quelqu'un. À quel moment, si l'autre il est tout en haut de l'échelle de valeur avec son offre, parce qu'il a une communauté de ouf, qu'il a des skills de ouf, etc. Bah toi tu viens avant, sur d'autres types de clients, et sur d'autres types de compétences. Et moi, quand mon pote il m'a dit ça, j'ai regardé et j'ai fait, ça me fait... tellement mal au cœur, j'ai essayé de lui débloquer ça, mais tu sens que c'est tellement profondément ancré qu'on en revient au premier sujet de se dire, ah ouais, je pense qu'il va falloir que tu te pardonnes, que tu t'aimes un peu plus et que tu aies un peu plus confiance en toi. Parce que là, il y a trop de combinés de en fait, c'est trop fort ce que tu fais, mon pote. pour le coup tu es très bon mais en fait toi même tu y crois pas comment tu veux que des gens croient en toi et on en revient à la premier sujet donc si tu as cette pensée là déjà tu as compris lance toi fous toi au bon endroit avec les bons clients par rapport à ce que l'autre ne propose pas qui est soi-disant meilleur que toi et puis deuxièmement va voir ce que ça vient trigger en toi ça vient le truc qui est bloqué le frein à main émotionnel essaie de le repérer et de l'identifier et du mettre un gros coup de tête sa mère Je suis un petit peu vulgaire en cette fin de soirée. Mais c'est ça. Parce que ça me rend dingue. S'empêcher soi-même, on est toujours nos pires ennemis. Essaye de devenir ton meilleur ami pour 2025. Ce serait quand même un bon objectif. Et on va finir ce journal de bord avec deux petites success stories. Avant de finir quand même avec le petit fun fact, évidemment. Que je voulais te partager, qui sont deux personnes de mon collectif. La première, c'est Charlotte Parot. Et l'autre, c'est... C'est Caroli Laurent Design. Je mettrai le lien dans la description du podcast pour que tu puisses aller voir un petit peu ce qu'elles font. Parce que c'est vraiment incroyable. La première, elle vit de quelque chose que même moi, je me disais, ah ouais, on peut vraiment vivre de n'importe quelle passion. Ce n'est pas possible. La meuf vit, alors la meuf est géniale déjà. Je lui fais un bisou, Charlotte, si tu écoutes ce podcast. De l'aquarelle. Non, mais l'aquarelle, les gars. On est d'accord. La meuf est de l'aquarelle. Elle en vit. Comment ? Je ne te parle pas. Elles ne vont pas d'étoiles dans les galeries d'art, des trucs comme ça. Comment tu vis de l'aquarelle ? En fait, un, elle fait des ateliers en physique à Annecy. Si tu es dans le coin, dans la petite région de Haute-Savoie, je te conseille vivement d'y aller. C'est un rayon de soleil. Elle a une voix toute douce, elle est apaisante. Bref, c'est génial ce qu'elle fait. Comment elle remplit ses ateliers ? Évidemment, avec la visibilité qu'elle a sur les réseaux sociaux. Et elle a aussi, parce qu'elle a développé les choses, en étant dans le collectif, elle a mis en place des formations, des petites formations pour se dire comment tu te mets à l'aquarelle. Parce que des fois, on achète du matos, on fait de l'aquarelle, parce que... On est tellement de plus en plus sur nos écrans qu'on cherche tous des activités pour se déconnecter, pour mettre le cerveau de côté, pour juste être concentré sur un truc qui nous fait du bien. Et on n'est pas tous sportifs, on n'est pas tous... Bref, l'aquarelle, ça monte en puissance, ça devient trendy, motherfucker, tu vois. Et elle, elle s'est dit, en fait, venez à mes ateliers, vous allez connecter avec d'autres nanas avec qui on a cette même passion. Et à côté de ça, tiens, l'atelier c'est bien, mais si t'as envie d'avoir les petites techniques de base pour quand même te régaler... savoir comment faire tel dégradé, tel type de forme, comment bien gérer ta peinture, ton pinceau, etc. Boum ! Prends cette petite formation-là. Et je me dis, tu vois, cette meuf-là, elle est l'exemple même de je vais me lancer, j'ai peur mais j'y vais. Et je peux t'assurer, j'ai vu aussi l'évolution de tout le parcours. Elle avait aussi ce syndrome de, tu sais, j'en parlais, tu te sens coupable quand tu ne travailles pas. Parce que je n'ai pas atteint exactement le niveau où je suis safe, safe, où je vais atteindre. Et puis vu que ce niveau-là, safe, safe... Il est toujours en train de reculer ou le montant d'augmenter dans ma tête par rapport à ce que je vois sur les réseaux. Tac, tac, du coup, tu fais que bosser. Elle s'est donnée à fond. Et elle s'est donnée à fond. Et aujourd'hui, elle a un truc qui est aligné avec ce qu'elle est, avec ce qu'elle fait. Elle continue de construire et sa communauté et ses offres. Et c'est tellement un bel exemple de se dire, mais putain, si tu as une passion, un truc qui résonne en toi, mais en fait, ne crois pas que tu ne peux pas en vivre parce qu'elle, elle a réussi. Évidemment, ça demande du temps. Ça demande de l'énergie, ça demande d'enlever le frein à main émotionnel. Et t'inquiète pas que le sien était déjà bien là, tu vois, comme tout le monde. Comme tout le monde ! Elle n'avait pas un truc en plus. Non ! Et elle, tu vois, son p'tit... Le frein à main, tac, boum ! Puis elle a réussi à le dégager, tu sais, à le relâcher un petit peu. Et ça lui a fait avancer. Va voir ce qu'elle fait. Parce que c'est vraiment un bel exemple, je trouve, de réussite. Et donc je suis très fier, et je suis très fier pour elle aussi. Et c'est que le début en plus, c'est ça qui est bien. Le deuxième exemple. C'est Coralie Laurent Design, ancienne nana dans le consulting, dans les grosses boîtes comme Capgemini, qui à un moment donné, je pense qu'elle aurait mis un coup de tête aux gens avec qui elle bossait, parce que comme tous les gens qui restent trop longtemps dans une boîte, qui les saoulent et où il y a des trucs qui ne vont pas, etc., on range notre frein, on attend le dernier moment, et qui s'est lancée dans la décoration d'intérieur, truc où il y en a tellement qui s'y mettent, c'est compliqué. Et bien elle, elle a vraiment réussi, elle s'est lancée il y a vraiment quelques mois, et... et s'est mis à fond dans la création de contenu. Comme tous les gens qui commencent, c'est dur, ça galère, on cherche le type de format. Elle a réussi à bien appliquer, et celle qui le dit, ça m'a fait plutôt très plaisir, je vais t'avouer. Elle a appliqué tous les conseils qu'il y a dans Brandéo Impact, parce que du coup je l'ai mis dans le collectif à disposition. Donc il y a la formation en Personal Branding pour ça, créer du contenu, etc. à dispositionner. Et, waouh, elle est juste une métronome. Allez, trois fois par semaine, bam, ça sort du contenu, ça sort du contenu. Et un jour... Il y en a un, donc c'est passé de 500, 1000 vues, 1500 vues, 2000 vues, tu vois. Et il y en a un, il a fait 2 millions. Allez, terminé. C'est passé de, je ne sais plus, 7K, je crois qu'elle a 22 000 abonnés. Je n'aime plus ça. Bref, je ne sais plus combien d'abonnés. Il faudrait que je regarde pour ne pas te dire de conneries. Mais genre, elle a pris évidemment 7 000 abonnés en quelques jours. Parce que, c'est ça, elle a 22 000 abonnés. Elle était encore à... quelques centaines de même genre à 1000 je sais plus quoi il n'y a pas si longtemps et elle a continué et l'autre après il a fait 300 milles et puis après elle est retombée à entre guillemets retombée à 10000, 20000 et maintenant elle fait tu vois moi qui ai un vieux compte sur instagram avec de la sociale fatigue avec ça fait des années que je suis là que je poste irrégulièrement parce que j'ai pris tellement de postes ces dernières années je fais quoi je fais 15000 vues je fais des 20000 vues 30000 vues tu vois c'est pas énorme entre guillemets elle elle fait plus que moi maintenant Et donc j'ai une meuf dans mon collectif où j'ai la fierté de me dire la meuf elle fait beaucoup plus de vues que moi et elle est beaucoup plus régulière. Et forcément ça lui a attiré quand elle a eu ça, elle a eu l'intelligence de mettre en place un truc, une automatisation qu'on avait vue, elle l'avait vue aussi, pour envoyer directement parce qu'elle propose évidemment ce qu'on appelle des lits de magnètes, donc un petit fascicule, un truc gratuit qui aide les gens à bien décorer leur intérieur. Elle a récupéré des mails, du coup ça a fait grandir sa base mail. à côté de ça elle avait plein de demandes de devis pour la décoration intérieure et puis à côté de ça elle est en train de développer aussi une petite formation pour aider les gens qui au lieu de se payer les services d'une décoratrice d'intérieur parce que des fois ils n'ont pas les moyens c'est juste de dire tiens je te donne les clés pour savoir comment bien agencer comment bien décorer etc pour les plus petits budgets boum elle se positionne sur plusieurs niveaux d'échelle de valeur de ses clients et bam moi quand je suis là je me dis waouh la meuf ça fait à peine quelques mois qu'elle s'est reconvertie et Ce que j'ai vraiment vu, c'est la meuf qui a juste été régulière, qui a pas lâché l'affaire. Genre que ça fasse beaucoup de vues, pas beaucoup de vues, ça poste, ça poste. Et elle dit, ce contenu-là, putain, ça me prend trois heures à le faire. Et au début, je me souviens parce que, évidemment, on l'a suivi avant que ça pète. Elle était en collectif avant que ça pète. Elle dit, ouais, putain, ça me prend du temps, je galère, truc. Sauf que ouais, je galère, c'est quali, ça met du temps. Mais bam, il y a un moment, ma grande, t'as fait deux millions et tu le mérites. Mais ça, ça, c'est un vrai rappel de se dire... Je sais ce que je veux faire et je sais que si je lâche pas l'affaire, justement, ça va réussir, ça va payer. Et surtout, la vie le sait. Même l'algorithme Instagram, qui n'est pas un truc qui est connecté, je pense, au cosmique et aux âmes de l'intergalactique, tout ça, on est plus sur des... Bon, et bien même ça, il le sait. Il voit, il voit, puis on dit, vas-y, donne-lui sa chance, on va voir ce que ça donne. Vas-y, envoie, allez, bam, 2 millions de vues, terminez, bonsoir. Donc, vraiment... Vraiment, ne perds pas espoir. Si toi, tu vois que ça galère dans tes contenus, que tu te dis qu'il y en a d'autres qui font mieux, etc. Continue. Donne-toi du mal. Ça va péter. Il y a un moment donné, ça va péter. C'est juste mathématique. Et pour terminer ce nouveau journal de bord, évidemment, le petit fun fact. Le petit fun fact qui vient d'arriver il y a quelques minutes en plus. J'étais en mode, qu'est-ce que je vais raconter cette semaine ? Bam, il m'est arrivé il y a quelques minutes. Je suis où ? Je suis dans une petite maison, enfin non, une grande maison de campagne dans l'arrière-pays lyonnais. pour passer le nouvel an chez un pote dont la maman à 91 ans elle est posée, ça fume des clopes ça fume 27 clopes par jour la daronne elle a les poumons d'acier elle est increvable et à un moment donné bon évidemment elle marche pas elle marche avec son petit déambulateur elle est vive d'esprit je lui ai dit je suis quand même arrivé je vais vous faire des fleurs j'ai acheté un petit éclair au chocolat on était refait j'avais envie de la mettre bien vu que j'étais Moi mon pote on attendait d'autres amis qui allaient arriver et qui sont arrivés ce soir. En attendant qu'est ce qu'on a fait ? Il y a un jeu que j'aime bien parce que moi j'aime bien jouer. J'aime bien les jeux. J'aime pas jouer de l'argent, j'aime jouer des petits gars, je vous aime bien jouer, c'est ce qui me fait marrer. Je dis tiens, est-ce que ça vous dit de jouer au dé ? Ils me disent bon quoi, je connais pas les dé, je sais pas jouer au dé. Je dis putain ! Je dis vous inquiétez pas ce jeu il est stylé, il est marrant, il est facile à apprendre, il s'appelle le 10000. Big up à tous ceux qui connaissent le 10000. Putain j'ai pris des sacrés gages à ce jeu, je kiffe jouer. Du coup, je suis là. Moi j'aime bien jouer mais j'aime bien gagner tu vois. J'ai pas de problème à perdre même si ça me fait un peu mal à la gueule mais je suis là en mode bon les gars ils ont jamais joué tu vois. Et les dés on va dire oui c'est que de la chance. J'ai envie de me dire dans ma tête qu'il y a un pouvoir au bout des mains, que tu peux visualiser le truc que tu veux faire si t'es vraiment concentré. Le nombre de fois où j'ai appelé mon score c'était fou, c'était digne d'un film de science-fiction tu vois. Donc je suis là, j'apprends les règles, tac tac, on y va, on est trois, on lance les dés, waouh. Françoise, 91 ans. Je la vois, ses petits dés entre les mains, elle les caresse, elle les retourne, elle est là avant de les lancer. Je dis, la meuf, ok, la meuf c'est une marabout, elle a un délire. En termes de magnitude, elle est en train de les trafiquer à son... Elle met un champ magnétique dans les dés, ça va faire des quadruples 6, je suis dans la merde, un truc de ouf. Je suis là, elle balance les dés, elle fait des scores avec des mains, sur des mains, je suis là, je sais pas, c'est pas possible. Moi dans ma tête, j'étais là en mode, je la conseillais au début. Évidemment, je veux qu'elle joue, je veux qu'elle s'amuse. Sauf qu'à la fin, elle est en train de me mettre une touche, je dis Ouais bah vas-y, fais comme tu veux, un peu Françoise, fais un peu au feeling Et puis bon, elle a quand même 80 ans, et puis pas toutes les règles non plus, tu vois. Et puis mon pote JL me fait Mais attends, attends, n'écoute pas, n'écoute pas Alex, en fait, on voit son vrai visage Je dis J'ai pas rien à voir, un vrai visage, t'es un vrai joueur, tu vois Deux parties, on a fait. Françoise nous a démonté les deux parties. Je suis reparti la queue entre les jambes, j'ai été dégoûté, je suis putain, j'ai... Une petite vieille comme ça, toute mignonne, j'offre des fleurs, j'offre un éclairant au café. En plus, c'est quoi la récompense que j'ai ? C'est MFoulato, le jeu que j'aime bien odé. Et putain, ça fait du bien et ça lui a bien fait plaisir en tout cas. Je te fais des gros bisous et je te dis à la semaine prochaine.

Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que ton Noël s'est bien passé. Écoute, si tu as écouté le dernier journal de bord, sache que le cadeau que j'ai fait à mon père qui était de monter la vidéo de notre trip il y a 7 ans en Géorgie, j'avais tout filmé mais j'avais rien monté, sache que j'ai réussi à avoir en retour des larmes de joie. Et quand tu vois ton père qui te dit c'est des larmes de joie, c'est le plus beau cadeau qu'on m'ait jamais fait, je me suis vraiment dit, waouh, ça valait la peine de se coucher à 4h du mat'pour monter la vidéo le 24. et passer un peu le réveillon avec la gueule dans le cul et pas très frais parce que quant à ça tu te dis la vie c'est vraiment vivre des émotions et que ce soit s'acheter des trucs c'est vraiment ça le plus important c'est pour ça que ça fait longtemps que je n'achète plus de cadeaux dans ma famille je nous offre des moments et du temps ensemble et du coup cette vidéo c'était du moment qu'on s'offrait ensemble à la regarder et puis moi aussi de lui permettre de revivre toutes ces émotions bref Encore un gros big up à Isabelle Sauser de mon collectif Qui m'avait soufflé l'idée C'était vraiment incroyable Je te recommande vivement pour tes prochains Noël Au lieu d'acheter des trucs parce que t'es forcé de les acheter Parce qu'il faut acheter ce jour là Moi déjà ça me rend dingue J'ai un petit problème avec l'autorité Mais plutôt te dire quel moment on peut s'offrir ensemble Avec cette personne là qui nous ferait kiffer Et s'offrir des souvenirs Je trouve ça beaucoup plus fort Cette semaine dans le journal de bord Je te parlerai du bilan de l'année Merci et des leçons que j'en ai tirées, et surtout aussi des bilans qu'on a fait avec mon collectif, parce que j'ai vu qu'il y a des choses un peu génériques qui revenaient, enfin des traits communs qui revenaient, et je me suis dit que ça pouvait être très utile aussi d'en retirer les leçons et les clics qu'on a eus un petit peu tous ensemble. Je voudrais te parler aussi d'Arnold Schwarzenegger. Alors je sais qu'il y a pas mal de femmes qui me suivent et qui vont dire Waouh, super, génial, grosse thématique, ça va vachement me plaire, ça tient Bah détrompe-toi. Je viens de regarder un documentaire sur lui en trois parties, et... vraiment il y a deux trois leçons de vie qui j'ai trouvé très inspirant et que je voulais partager je voulais aussi te partager deux stratégies si tu comptes monétiser une communauté que ce soit à travers des réseaux sociaux à travers une communauté payante généralement deux stratégies à te partager que tu as déjà des gens qui te suivent sur les réseaux ou que tu n'en es pas comment attirer des clients comment créer une communauté saine qui te rapporte de façon naturelle je pense que ça pourra être très utile parce qu'encore une fois je pense qu'on va vraiment en vers un engouement des communautés, de la connexion humaine, comment remettre de l'humain dans ses offres, dans ses accompagnements, dans son activité. Donc je voulais te partager ça. Je voulais te partager également une phrase qui, pour moi, est une pensée limitante de fou. J'ai discuté avec un ami qui est praticien dans le domaine de la spiritualité, études, bien-être, et qui me disait Ouais, mais ça ne sert pas à grand-chose que je commence à créer du contenu sur les réseaux, que je m'affiche, parce qu'il y a tellement de gens. qu'ils le font déjà bien et qu'ils en savent plus que moi. Alors je vois pas pourquoi je n'y mettrais. Et cette pensée limitante, je pense qu'il y en a beaucoup qui l'ont. Et je voulais la tacler parce que c'est vraiment, vraiment très dommage de l'avoir. Et je voulais finir avec deux success stories de personnes de mon collectif. Je voulais te partager dans quoi... Une a réussi vraiment sur les réseaux sociaux, pas qu'un peu d'ailleurs. Et une autre qui a réussi à vivre d'un métier auquel tu t'attendrais jamais, un métier passion, tu dis tu peux pas vivre de ça. Et si... Et je voulais t'en parler, je voulais te dire comment elles ont fait, comme ça j'espère que ça pourra t'inspirer. Et évidemment, je vais finir avec un petit fun fact. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Le bilan de l'année 2020, j'ai commencé à le faire, j'ai pas encore tout à fait fini, mais on a fait un live avec mon collectif. Et je me suis vraiment aperçu qu'il y avait un schéma qui revenait, et surtout une grande leçon qui nous a apparu, tous d'une évidence incroyable avec le collectif. On a fait un live sur ce sujet donc. On s'est vraiment aperçu que réussir dans son activité pro, c'est avant tout savoir gérer son mental et ses émotions. Ce qui est fou, c'est que finalement, comment tu es bon dans ton métier ou quelles compétences tu as, ça reste assez simple. C'est des choses où tu apprends de façon assez bête et méchante, tu le refais, tu répètes. OK. Mais en fait, ce qui va vraiment être la clé du succès ou de l'échec et de l'effondrement, ou du mal-être, ou de la... peur ou de tout ce qui va avec, c'est de te dire comment tu te gères toi à l'intérieur. C'est-à-dire, est-ce que tu as assez confiance en toi pour te lancer ? Est-ce que tu t'aimes assez ou tu t'estimes assez pour aller promouvoir tes offres, te mettre en avant sur les réseaux ? Est-ce que, encore une fois, tu te sens assez motivé pour appeler des clients ? Est-ce que tu gères assez bien ta charge mentale pour ne pas être trop stressé, te sentir submergé et finalement te sentir paralysé par toutes les tâches ? d'avoir vraiment cette clairvoyance. On s'est vraiment aperçus de se dire, waouh, c'est fou à quel point... Et il y a aussi ça, mais il y a aussi le fait d'être aligné. Ça, j'y reviendrai juste après. Mais il y a vraiment ce truc de se dire, en fait... Tu peux avoir toutes les compétences du monde. Si, quand tu te lèves le matin, tu te regardes dans la glace, tu te dis pas, franchement, c'est génial ce que je fais, je suis fier de mon produit, je suis fier de ce que je vends, de mon service, et putain, je suis une bonne personne, je me trouve beau, belle, j'ai confiance en moi, putain, c'est génial la chance que j'ai de pouvoir proposer ce que je propose. Je suis vraiment impatient d'essayer de le vendre aux gens, parce que je sais que ça apporte quelque chose, mais si t'as pas ça en toi, que t'as pas cette motivation, que t'es en mode... Putain, faut que j'appelle les clients ce matin, ça me paralyse encore, j'ai pas envie. Putain, faudrait que je me filme, que je mette en avant, je sais, faut que j'incarne plus mon... Mais il y a des gens qui font ça mieux que moi, puis je suis pas bien, puis je... Et voilà, et puis là je suis fatigué, puis j'ai tellement de trucs, là je suis stressé, je sais pas... Ça en fait, c'est que ces choses-là en fait, où tu t'aperçois que... C'est ce que j'appelle le frein à main émotionnel. C'est à ton business, mais t'avances avec un putain de frein à main émotionnel. Alors que la personne... qui est un peu éclaté au sol dans son métier, et on le voit, tu le sais, tu les vois sur les réseaux, tu sais qu'ils sont pouraves et tu n'entends que des trucs pouraves sur eux, mais eux, ils s'en foutent. Même s'ils savent qu'ils sont pouraves, ils ne doutent de rien. Ils ont confiance. Ils se vendent, ils se survendent, ils se pipotent un peu pour se... Mais ça marche. Parce qu'en fait, qu'est-ce qu'ils ont ? Ils ont potentiellement, à l'instant T, une très bonne gestion émotionnelle de ce qu'ils sont, de comment ils voient les choses, de leur quotidien. Du coup, c'est pas un frein à main émotionnel qu'ils ont. C'est une roquette dans les fesses, mon gars. Et y'a pas de problème, le cerveau, il y va, il les emmène exactement là où il veut l'aller. Et je me suis vraiment rendu compte de me dire, là, moi, comme je te disais dans l'épisode précédent, j'ai vu que j'avais besoin de réduire au maximum ma charge émotionnelle parce que, waouh, j'étais dans une grosse fatigue, j'ai remis un peu le nez dans un burn-out, donc il fallait que j'allège mon quotidien, que j'éclaircisse un peu mes pensées et que... Quand tu baisses ta charge mentale, ton cerveau, c'est comme un enfant que tu libères des devoirs. Oh, il se sent mieux, il a envie de courir partout, il est créatif, il s'amuse, il est content. Ça fait du bien. Mais il y a aussi ce côté, c'est bien sympa, la charge mentale, mais après, il y a aussi ce côté genre, OK, je n'ai pas de charge mentale, mais est-ce que quand je me regarde, j'ai confiance en moi ? Est-ce que je suis prêt à faire les choses ? Est-ce qu'en fait, il y a toutes les choses qu'on me dit de faire, que ce soit Alex Vizeo qui me donne des super conseils sur son podcast, ou dans son collègue qui est fou, dans ses formations. ou n'importe quel gus que j'entends, ou des formations que j'ai achetées, etc. Mais si en fait, on me donne la formule pour courir le 100 mètres en moins de 10 secondes, grâce à l'entraîneur du sandbolt, si tu ne fais pas les tours de stade parce que tu as peur de ne pas courir assez vite, ou que tu as la flemme, ou que tu en as marre, tu ne pourras pas, personne ne pourra passer en dessous des 10 secondes, si ce n'est les personnes qui, eux, ne se posent pas de questions et appliquent. Mais pour appliquer, même si tu as, encore une fois, la formule magique de la potion magique, si tu n'es pas capable, d'avoir le courage, le bien-être, la confiance, pour le mettre en application, il ne se passera rien. Et c'est vraiment là où je me suis aperçu qu'à quel point avoir son activité, être entrepreneur ou entrepreneur, solopreneur, freelance, appelle-le comme tu veux, c'est tellement un bel outil de développement personnel pour aller mieux. Parce que tu n'as pas le choix. Et que ça va vraiment te mettre face à toutes tes pensées limitantes, tous tes murs, toutes tes limites, en fait, tout ce qui te limite. Tu vas voir tes limites, tu vas dire putain là j'y arrive pas. Et que si t'as envie de réussir, il va falloir que tu les surmontes. Et que tu t'aperçois souvent que la barrière de connaissance professionnelle est finalement assez basse. Et que celle des barrières mentales c'est un mur parfois infranchissable. Il y en a beaucoup. Et quand on dit que l'entrepreneuriat, à moi c'est pas fait pour moi, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es pas capable de surmonter le stress, t'es pas capable d'aimer un peu plus, t'es pas capable... D'avoir plus confiance en toi, d'être bien, tu vois, et d'être confiant et de l'assumer, d'être fier. Mais je me dis, mais putain, mais t'imagines que quand tu te dis l'entrepreneuriat, c'est pas pour moi, ça veut dire que t'abandonnes le fait de pouvoir être mieux dans ta peau, d'être fier de ce que tu fais, parce que, et pleinement, alors que moi, je me dis, l'entrepreneuriat, ça va toujours piquer là où ça fait mal. Putain, ça fait mal. Allez, go, il en prend un coup. Allez, limite. Ah là, quand tu te pensais bien, ça va te mettre les yeux dans ton caca et ça va toujours te pointer là où tu dois t'améliorer. Mais je trouve ça formidable. Je trouve ça formidable parce que c'est une aventure sans fin et du coup un jeu sans fin. Et du coup, ça fait plaisir parce que du coup, si c'est un jeu qu'on aime jouer, tout à coup, c'est nourrissant, c'est passionnant, c'est enivrant. On se sent grandir, on se sent évoluer. Il n'y a rien de tel pour nourrir son âme et son esprit. Et c'est vraiment ça que je voulais te partager. C'est que si tu sens que tu galères dans ton activité pro, ne te demande pas ce que tu sais. pas faire en vrai dans ton métier. Demande-toi là où en fait, tu as des limites mentales et débrouille-toi pour les surmonter, les faire exploser, pas les contourner, mais vraiment les résoudre, les embrasser et aller parce que c'est à ça que ça sert en vrai. Et justement, quand je te disais être aligné, Ben, il y a plusieurs personnes dans mon collectif, et moi y compris, ben cette année on a cherché nos offres, on les a peaufinées, on les a testées, on a abandonnées, parce qu'il y a plein de trucs dans lesquels je m'étais embarqué, qui encore une fois, c'était mon égo qui parlait, c'était ah tiens, il y a un tel qui fait ça, ou vas-y si je fais ça, je vais pas rapporter assez d'argent, ou du coup machin, etc. Mais c'était pas aligné en fait. Et le fait de vouloir faire des trucs où t'es pas aligné, parce que souvent c'est à cause de l'argent, Soit c'est parce que tu vois que ça me... Oh, c'est le nouveau, c'est l'objet brillant, il faut absolument que je fasse ça, ou j'ai vu un tel faire ça, mais ça ne te ressemble pas. En fait, un, ça ne marche pas souvent, souvent ça te crée une charge mentale, deux, tu es stressé, parce que tu n'es pas aligné. Et si tu n'es pas aligné, encore une fois, ça te crée des barrières, et tu vas avancer avec un frein à main émotionnel, et ça ne va pas marcher. Et ceux, je vois, qui cartonnent, c'est ceux qui, un, encore une fois, ne se posent pas de questions, et ça, c'est les gens magiques. Malheureusement, ce qui est triste, c'est que souvent... les gens qui sont pas toujours très honnêtes, eux ils se posent pas de questions, ils s'en foutent, bon après ça vient les ronger un peu plus tard, en général c'est coup de karma, ça arrive, mais c'est aussi ceux qui sont toujours dans leur ligne, peu importe les modes, eux ils sont pas avec les modes, ils s'adaptent juste un petit peu, mais normalement c'est comme ça que je vois les choses, c'est cette activité là que je veux faire, et à cette façon avec ces valeurs là, et eux ils finissent toujours par réussir. Et je pense que c'est vraiment quelque chose que j'avais envie de me rappeler, de te partager, parce que c'est ce qui va te faire réussir en 2025, c'est en le gardant à l'esprit. et on a entaclé ces sujets. Notre ami Arnold Schwarzenegger, alors évidemment, ceux qui connaissent de près ou de loin, c'est Bodybuilder, c'est l'acteur Terminator avec des gros guns, mettez la gueule à tout le monde, c'est pour ça que c'est plus la voix de Stallone. Et c'est aussi gouverneur, l'air de rien, de la Californie. J'avais déjà commencé à lire son bouquin, mais il est tellement énervé en mode pavé que ma passion pour la lecture m'avait rattrapé. Mais j'avais commencé à beaucoup aimer ce parcours et quand j'ai vu qu'il y avait un documentaire sur Netflix qui finalement documente ces trois grandes parties de vie qui est l'athlète, le bodybuilder, ensuite l'acteur et ensuite le politicien, j'ai voulu vraiment regarder un peu tout ce parcours et j'ai vraiment été... Si vraiment je me dis qu'il y a un mec qui est né juste après la guerre, la seconde guerre mondiale, en Autriche, donc pays d'Hitler quand même, des nazis, qui arrive à sortir de là... à être champion, à être dix fois champion du monde de bodybuilding, Mister Univers, Mister Univers, Mister Univers, etc. Et que derrière, il arrive à être acteur à Hollywood et même être l'acteur le mieux payé d'Hollywood avec celui qui fait le plus d'argent au box-office et devenir un politicien. Je me dis, en fait, déjà, tout est possible. Parce qu'à chaque fois, on lui a dit, tout ça, c'est impossible. Genre, au début, on était trop petit, trop maigre. pour le bodybuilding, puis après on dit, ah oui non, d'accord, si c'est bien. Après on lui dit, mais mec, acteur, gars, t'as un gros tas de muscles, t'as un accent allemand à couper au couteau, on veut pas de toi, c'est pas des gros muscles, c'est Dustin Hoffman en ce moment, c'est des petits gars tout queues, des Al Pacino, non, bon bah le gars il a quand même réussi, il a jamais lâché. Et puis après, un acteur qui fait des gros films avec des gros guns, qui va devenir politicien, non, non, bah si, il a réussi. Il y a vraiment un truc qui m'a marqué chez lui, c'est... Je pense que c'est quelque chose qui peut être finalement une malédiction et ta plus grande bénédiction. C'est que, un, il ne se satisfait jamais de ses résultats. Deux, il est tout le temps en train d'apprendre des nouvelles choses et de se renseigner des gens. Les témoignages qu'il y avait sur lui, c'était que le mec est toujours en train de poser des questions sur comment tu fais, etc. Et toi, comment tu vois la vie ? Et en fait, au lieu de déblatérer ces trucs, il était toujours en train de demander des conseils et vraiment de puiser de la connaissance des gens. Et la malédiction pour moi c'est ce côté de jamais en avoir assez. Mais il y avait un truc aussi qu'il faisait, c'est que dès le moment où il a commencé à être bodybuilder et faire de la muscu, il a construit son groupe de potes, et ce qu'il disait c'était ses communautés encore une fois. Et il a compris qu'il était très fort à ça. Et il a toujours été le mec qui était fédérateur, c'est construire ses communautés autour de lui, ça lui a toujours permis d'avoir les compétences dont il avait besoin pour construire les choses. C'est-à-dire, quand il a été bodybuilder, après il avait... Il se tapait pour que ses potes puissent venir et être payé comme lui sur des projets, des trucs. Mais derrière, dès qu'il avait besoin, en fait, ce qu'il faut savoir, les gens ne savent pas. Maintenant, Schwarzenegger, après, pendant qu'il était en Californie pour être un peu bodybuilder et donner une autre vergue à sa carrière, le mec, il s'entraînait deux à trois fois par jour. Et après, il allait être dans le bâtiment pour, parce que le peu d'argent qu'il avait, il l'avait investi vraiment dans l'immobilier, à acheter des bâtiments et à tout retaper. Donc le mec, il devait être crevé de ouf. Il a emmené tous ses potes bodybuilders. pour retaper des maisons avec lui, etc. Et en fait, le mec est devenu millionnaire, millionnaire. On ne parle pas d'un gars qui est un peu de millionnaire avant même d'être acteur de Hollywood, parce que tout de suite, le mec... Il a dit, ok, je ne sais pas faire ça, comment on fait ? Vas-y, apprends-moi. Et boum, il s'y est mis. Vient mes potes, la communauté l'a aidé. Et que justement, quand il a voulu être acteur d'Hollywood, qu'est-ce qu'il a fait ? Je ne sais pas bien parler anglais. Ok, je prends des cours. Je prends des cours d'anglais. Jusque-là, rien de fou. Mais il a dit, ok, en fait, si je veux aussi savoir gérer ma carrière, il faut que j'ai des notions de business. Et avec l'argent que je vais faire. Boum, il prend des cours du soir. Donc c'est vraiment cette soif du gars qui est toujours en mode, je m'entoure. J'essaie de toujours bien m'entourer. Des gens qui vont m'aider, des gens que je vais pouvoir aider, des gens qui vont vraiment me tirer vers le haut. Et pareil, t'imagines bien dans la politique, il n'est pas arrivé en mode Coucou ! Il s'est marié avec une Kennedy, donc déjà ça aide à avoir 2-3 connaissances sympas. Et c'est vraiment se dire Je suis toujours en train d'essayer d'apprendre, de donner le meilleur de moi-même, et de tester des nouvelles choses, et surtout, le non ne viendra jamais entacher la vision que j'ai de moi-même. Et la vision, et c'est l'estime, mais c'est la vision que j'ai pour moi. Le gars se voyait à chaque fois la vision qui lui est arrivée, il l'avait déjà avant. Et en fait, tout le monde, vraiment, lui disait, mais non, arrête. Même ses potes, quand il a voulu devenir poéticien, ses potes d'Hollywood, ils se disaient, mais frérot, qu'est-ce que tu fais ? Je disais, mais non, ne fais pas ça. Tu n'es même pas américain. Enfin, on t'a donné l'initialité, mais bon, tu... Il disait, mais non, moi, je m'en fous, en fait. Et ça, je pense que c'est une énorme puissance. Encore une fois, c'est important, c'est pour ça de se connaître et d'aimer la vision qu'on a de nous et de ce qu'on veut faire de notre vie. Et que tous les gens qui vont dire non, c'est juste souvent qu'ils projettent leur propre peur sur ton projet à toi et de se dire si moi j'étais à sa place, mais non, ne le fais pas. C'est rare de se dire, ou alors, c'est-à-dire si moi j'étais à sa place, j'aurais peur de ça, donc ne le fais pas. Ils se projettent à ta place, tu vois, mais non, il va galérer, tout, ne le fais pas. C'est ça que j'ai trouvé très fort chez lui. C'est vraiment... l'apprentissage continu, la construction de communauté et de jamais en fait abandonner sa vision malgré les difficultés et surtout par exemple, il faut comprendre que c'est pas quelques noms qu'il a eu. Quand il a voulu être acteur, ça lui a pris presque 5 ans son rôle. 5 ans, c'est long ! C'est long et en fait, quand tu refais ta rétrospective de ta vie et de sa carrière, on dit oui, ça lui a pris 5 ans. C'est une phrase qui prend trois secondes et après il déroule tous les succès qu'il a eus. C'est ça qui est fort, je trouve. Et je pense que c'est le plus dur. Et je pense que c'est aussi quelque chose qui, moi, en ce moment, c'est une bataille intérieure. C'est qu'il dit, quand ça ne va pas, reste occupé. Keep being busy. Fais des trucs. Avance. Je pense que ça, ça permet effectivement de créer des projets incroyables. d'exploser les murs, d'être comme un tank, etc. Je pense aussi qu'en fonction de ta vie, de ton caractère, ça peut être un peu faire l'autruche, et tu peux te retrouver peut-être à 60, 50 ans ou 70 ans, à avoir réalisé plein de choses, mais à te sentir misérable à l'intérieur. Je ne sais pas à quel point il se sent bien ou pas, notre cher Arnold, mais je pense qu'il y a un juste milieu entre se nourrir de cette soif, de savoir faire taire des émotions qui peuvent t'handicaper, Mais parfois de se dire, tu sais quoi, là, je vais prendre le temps quand même. Parce que, genre, si tu as des émotions qui vont te perturber, tu sais quoi, fais les terres, reste occupé. Noie-toi dans le travail, dans l'apprentissage, etc. Et bon, au moins, ça te permettra d'avancer et ça ne va pas tant... Oui, mais tu vois, il le disait, quand il a dû devenir acteur, en fait, le mec était inexpressif. Parce que c'était un bodybuilder qui vient d'une famille très compliquée, où son père était ultra autoritaire, où il a vu... Il a dû surmonter plein de challenges émotionnels et du coup il les a enfouis. Il n'a jamais exprimé. Et comme il a dû être acteur, il était là en mode... Il ne parlait pas comme ça, mais voilà. On est content, on a compris. Il n'y avait aucune expression sur son visage, dans sa voix. Et un bon acteur, le principe c'est justement de savoir varier, d'adapter son état émotionnel en fonction de la scène, etc. Et le mec disait, il va falloir que je me connecte à des choses qui sont toujours restées enfouies. Et ça revient un peu à... Une des leçons que j'ai partagées dans un des journaux de bord, un des journaux de bord que j'ai refait quand j'ai repris, c'est l'émotionnel. En fonction de quel type d'émotion tu arrives à connecter, c'est vraiment un super pouvoir auquel tu peux te connecter, mais il faut l'utiliser au bon moment. Et je commence à être d'accord avec ce fait de dire Wow, là c'est le moment de pleurer ma peine, de la partager, d'exprimer ma colère, de me connecter à de la joie. Mais des fois, c'est aussi le moment de te dire Non, là c'est le moment de guérir en fait. J'ai besoin de faire une prestation, une compétition, peu importe ce que c'est, et que là je me connecte à l'esprit du guerrier, que la fragilité, nique ta mère, j'arrive plus tard, attends-moi pour le souper, on ira chialer ensemble. Mais c'est vraiment, en fait, ça que j'ai vu. C'est de ce côté où, OK, en fait, je m'aperçois à quel point l'émotionnel est peut-être, encore une fois, un frein à main incroyable et un boulet, un fardeau de fou. Peut être une des plus belles choses, évidemment, qu'on peut vivre. Parce qu'en fait, je m'aperçois aussi que vivre que heureux et tout le temps content, ce qui a été la majorité de ma vie, c'est bien, mais tu ne vis pas toute la vie, en fait. Ce n'est pas que ça, la vie. C'est aussi... éprouver toutes les autres émotions, c'est ça qui fait la richesse de la vie, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Mais faut pas en être victime, il faut savoir se dire ok là je m'autorise et là je le fais taire. Et voilà c'est vraiment ce que j'ai retenu de ce nôtre chez Arnold, c'est vraiment apprentissage permanent, soif du toujours plus et faire savoir faire taire ses émotions au bon moment et puis la communauté. J'espère que ça te servira pour préparer ton AIDEN 2025. Gérer et monétiser sa communauté, c'est vraiment un sujet en ce moment qui me passionne parce que j'aime le côté communauté où tu vis de quelque chose, où en gros tu es en train d'aider non pas des clients ou des personnes comme ça, mais une communauté sur le long terme, comme une équipe, des gens qui t'ont fait confiance et qui vont rester là plus ou moins longtemps. Et ça je trouve ça vraiment beau et je pense que c'est aussi l'avenir et que ça se dirait que sans plus aujourd'hui ça devient le business model le plus facile. à mettre en place. Je t'explique comment. En ce moment, il y a une énorme plateforme qui est en train d'émerger qui s'appelle Skool. C'est vraiment la façon la plus simple de, si tu veux te lancer, de monétiser ta communauté. Parce que c'est une plateforme où tu as toute la partie communautaire, tu as la partie plateforme où tu as tous tes modules de connaissances et tu as aussi tout ce qui va être agenda, des différents événements, des zooms, des lives, etc. Pourquoi c'est le plus simple, c'est parce que souvent quand tu veux vendre de la connaissance, quand tu veux vendre même des prestats freelance tu vas créer une page avec des funnels des trucs, là ce truc là c'est assez simple, t'as une page où t'expliques ce qu'il y a dans ta communauté et en vrai tout ton trafic tu vas le diriger là et derrière ça fait et la facturation et l'abonnement mensuel et il y a tout qui est fait simplement et je trouve ça intéressant parce que des fois un Je vois, quand on veut se lancer, on veut vraiment se dire Waouh, je fais un site internet, je fais des pages de vente, je fais des funnels, des machins. Et en fait, c'est tellement compliqué, des fois, techniquement, et c'est pour ceux qui se lancent, mais pour ceux qui sont déjà lancés. J'ai telle offre, j'en crée une autre, et puis une autre. Et en fait, c'est compliqué. C'est ce qu'on dit dans le business, le plus simple, c'est souvent un levier d'acquisition. Donc souvent, ça correspond à un réseau social et une signature. Et je pense, pour l'instant, de... Je vais voir ce que ça donne, mais que d'une certaine façon, tu peux te faire moins d'argent, clairement moins d'argent, si tu es en mode, tu crées ta communauté avec un abonnement. Que si tu fais, tu sais le truc des webinars, avec des ventes de formation, avec des accompagnements à 1000, 2000 balles, 3000 balles, etc. Que si tu fais évidemment une communauté avec un abonnement à 15 euros, 40 euros, 50 euros, 100 euros, etc. Mais l'avantage, c'est que ça peut évoluer. Et surtout que c'est simple. Et voilà, je te dirais les deux stratégies que tu peux mettre en place parce que je pense que demain, c'est ultra intéressant que tout le monde ait des communautés, soit parce que la communauté est payante directement, mensuellement ou à l'année, soit parce qu'en fait, la communauté est gratuite et la communauté n'ont pas des followers, mais la communauté qui interagit sur ta thématique. En fait, c'est juste là où tu auras tes clients. Et c'est vraiment ça, les deux grandes stratégies. En gros, tu as beaucoup de followers sur les réseaux. En fait, tu vas les amener sur ta communauté payante qui... et on va dire la phrase qui commence à être connue, tu vas leur faire une offre à 100 millions de dollars qui va leur coûter presque rien, et qui serait en fait, c'est une offre qui a tellement de valeur qu'il serait bête de la refuser. Et c'est pour ça que tu vois là sur mon futur collectif, je vais mettre toutes les formations que j'ai à ma disposition, que j'ai créées, que ce soit Brandéo Impact, Fasca M'Expert, Fast & Focus, il y aura tout dedans, il y en a pour plus de 4000 balles de formation, au prix si tu les achètes une par une, et je vais le faire à... 47 euros par mois pour le prix de lancement. Et je me dis, en fait, plus les lives, plus l'interaction. Et je me dis, les gens, s'ils ne prennent pas et qu'ils m'apprécient un minimum et qu'ils ont ces besoins-là, ils seraient vraiment contre de ne pas le prendre. Vraiment, c'est moi qui prends tous les risques, etc. Donc, soit tu as ce côté-là. Et finalement, tu peux, un, avoir ce qu'on appelle des offres low ticket. Et que si tu as envie, derrière, si les gens kiffent, ils kiffent ta communauté, tu peux faire, par exemple, après de l'accompagnement one-one. qui vont être ce qu'on appelle sur du high ticket, donc tu vas être sur des prix sur plusieurs milliers d'euros, ou alors tu peux faire des événements, tu peux faire des masterminds. Donc finalement, tu fais rentrer les gens qui vont être des clients qui ont mis de l'argent dans ta communauté, mais de façon saine, parce qu'en plus, ils rentrent dans ta communauté, putain, c'est chanmé. tout ce que j'ai pour ça. Et en plus, ils ont vraiment cet effet de j'apprécie la personne, j'apprécie le fait que j'ai énormément de valeur pour le prix que je mets. Donc forcément, c'est trop cool, tu crées un lien de confiance vrai. Et derrière, s'ils ont un besoin forcément un peu plus élevé ou d'être accompagnés, parce qu'il y en a toujours qui ont besoin d'accompagnement un peu plus one-one, ça, c'est un super levier d'acquisition naturel. Et qu'est-ce que tu fais en gros ? C'est quoi la stratégie si tu n'as pas vraiment... de followers ou beaucoup de communautés. Là, il va falloir que tu te débrouilles pour l'autre stratégie de faire une communauté qui va être gratuite, où justement tu vas être sur School, tu vas mettre des modules de connaissances, tu vas interagir, tu vas donner beaucoup de valeur à la communauté et tu vas te débrouiller pour l'animer, pour mettre les gens en relation, etc. Et que dans ces gens-là, en fait, toi, ce que tu vas faire quand tu n'as pas beaucoup de communautés, c'est que quand tu commences, tu es obligé de faire ce qu'on appelle des prix et des offres à étiquettes. Les offres à étiquettes, c'est que Soit tu es freelance et tu as des missions, soit derrière tu as des accompagnements qui vont être sur mille ou plusieurs milliers d'euros, évidemment avec ce qui va avec. Pourquoi ? Parce que si tu as peu de gens à 47 euros, si tu as 10 personnes, ça te fait 500 balles par mois, ce n'est pas possible. Par contre, si tu as des offres à 1500 euros, peu importe ce que ça donne, ou même plus, et que tu signes trois clients par mois grâce à cette communauté gratuite de gens qui voient ta valeur, qui voient à quel point tu es impliqué, et qui veulent aller plus loin, qui veulent aller plus vite, qui veulent plus d'accompagnement, quelque chose de plus personnalisé, c'est toi qu'ils vont prendre. Et ça, ça crée vraiment une stratégie ultra saine, ultra dynamique et humaine, qui fait que je le vois en ce moment, tu sais, on se bat souvent à faire beaucoup de contenu sur les réseaux, c'est très bien, c'est de la visibilité, mais ce n'est pas évident en fait d'ailleurs de transformer en client. Pourquoi ? Parce que quand tu es juste à créer du contenu sur les réseaux, Tu es juste en mode, tu pousses ton truc, tu pousses ton truc. Alors que quand les gens rentrent dans une communauté gratuite, où vraiment, ce n'est pas juste, je viens pour consommer, je viens pour apprendre, je viens pour connecter, je viens pour m'améliorer, il y a déjà en fait la démarche de. Parce qu'il y a la démarche de, et que la personne, du coup, quand tout à coup, elle consomme ton contenu et tes méthodes gratuites, sur cette communauté, elle n'est pas dans la même optique. Elle est vraiment là, elle n'est pas juste ton consommateur, elle ne t'a pas juste vu après... Un chat qui vole et un mec qui fait un salto arrière et une meuf qui est à Bali. Genre là, je suis dans le mindset d'apprendre. Je rentre dans cette communauté, intéressant, j'ai connecté à 2-3 nanas. Ok, cool, ça m'a inspiré, ça m'a motivé. J'ai peut-être envie d'aller... Je vois en plus que la personne a un accompagnement privé. Là, il y a des places. Je vais peut-être le prendre. Ça, c'est beaucoup plus sain et c'est beaucoup plus intéressant. C'est vraiment la stratégie que j'ai vue qui se dégageait. Évidemment, après, il y a plein de choses de comment gérer une bonne communauté. J'essaierai de te... t'en donner d'autres conseils, au fur et à mesure aussi que je vais peaufiner moi mes skills-là. Mais si vraiment tu te demandes, ok, finalement, je suis prof de yoga, j'arrive pas forcément, je sais pas, à remplir mes trucs, fais une communauté. Tu es, je sais pas, t'es graphiste ou t'es, tu peux être graphiste, je sais pas, j'ai des trucs qui me viennent comme ça, t'es graphiste, t'arrives pas trop à avoir de clients. Tu peux faire quasiment une communauté, je sais pas, qui est gratuite ou qui est... si t'as pas de communauté ou un petit peu et où tu balances des templates et où les gens facilement en fait ils vont pouvoir récupérer des trucs et tu leur donnes des tips etc mais en fait les gens ils vont s'y mettre, ils vont voir oh putain c'est trop bien les tips etc je peux le faire moi même en fait dès que j'ai un minimum de budget ça va me casser les couilles bah je vais prendre un graphiste en fait et puis je vais le faire avec la personne qui m'a fait les tips tu vois et c'est vraiment de se dire aussi t'es pareil je sais pas t'as un salon t'as un salon t'as un barbeur t'es un barbeur Ben en fait c'est trop cool je sais pas dans ta communauté tu dis mais dans ma vie du coup tu es dans la ville bah si je suis dans la communauté de ce barbeur en fait il ya peut-être des gens sympas que je peux rencontrer parce qu'on sait que je sais pas si tu viens dans ce barbeur il ya une ambiance comme ça il ya tel vibe tel truc donc les mecs qui sont passés dans ce barbeur c'est intéressant parce que le mec qui fait des events c'est pas que le mec le barbeur il a fait les conseils pour être barbeur il va peut-être juste faire une communauté pour créer des events de mec et ça fait plaisir de rencontrer d'autres mecs parce que c'est pas facile quand on est des gars de rencontrer d'autres gars souvent ça va être les dates où ils vont rencontrer des meufs, où tu vas faire un sport mais il suffit que t'arrives quelque part et qu'il n'y ait pas forcément le sport que tu pratiques et c'est pas évident, et d'ailleurs je crois que une des plus grosses communautés payantes Au monde, c'est un barbeur, mais lui, c'est parce qu'il enseigne à d'autres barbeurs comment bien gérer leur barbershop, justement. Donc, c'est vraiment ces deux stratégies que je voulais te partager, parce que si tu galères avec, je ne sais pas comment trop créer des funnels de vente, en fait, je galère sur les réseaux, je ne sais pas comment monétiser, c'est chiant. Commence par faire une communauté gratuite, et après, tu essaies de convertir en montrant ta valeur, en donnant beaucoup de choses gratuitement, sur du high ticket. Et puis, si tu as déjà une communauté... en fait, tu n'as pas envie de te faire chier avec des funnels, etc. parce que tu n'es peut-être pas dans cette phase-là de ta vie comme moi. Tu vois, j'ai fait des webinaires, j'ai fait des funnels. En fait, là, j'ai envie de simplifier et mon temps et ma charge mentale. En fait, j'ai passé sur ce modèle-là pour cette raison-là. Et de me dire, je suis très content parce que de toute façon, c'est moi qui donnerai plus que ce que le client me paye. Et ça aussi, c'est une philosophie que j'aime beaucoup. Jette un oeil, je pense que ça peut être intéressant si tu bloques sur ton business model et qu'il n'y avait peut-être pas encore réfléchi. Cette petite pensée limitante qui nous a tous peut-être un peu traversé l'esprit, moi y compris en vrai, c'est pourquoi je créerais sur les réseaux ? Il y a tellement de gens qui sont déjà plus talentueux que moi, ils savent faire et puis ils sont trop forts et puis ils ont des communautés, pourquoi je le ferais ? Et moi je sais que ça m'est arrivé quand là j'ai arrêté l'influence voyage et que je voulais reprendre un peu le contenu et je me suis vu avec ces pensées limitantes, j'ai dit wow, attends, retombe pas là-dedans Parce que cette pensée limitante, Si tout le monde avait ça, ça serait quand même genre Ah bah de toute façon, il y a Cristiano Ronaldo et il y a Messi, donc bon, à quoi sert d'être joueur de foot ? Ouais bah en fait, il n'y a pas de match du coup, parce qu'il en faut d'autres. C'est vraiment ce côté où tu te dis Mais en fait, vu qu'il y a un gars, ou une personne, une nana, elle le fait bien, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lui laisses tout le marché ? Ça veut dire que toutes les personnes du monde doivent l'aimer ? Ça veut dire que s'il y avait, je sais pas, quand tu vas voir un humoriste, tu dis… Ah bah vas-y, tu sais quoi, il y a Gad Elmaleh, moi j'aime bien Gad Elmaleh. Du coup, il n'y a aucun autre, en fait, à l'époque, qui se serait dit, bah moi je vais être humoriste. Ah bah là, Gad Elmaleh, il est rempli des salles. Ah bah vas-y, son humour, il fait rire des gens. Non mais en fait, il y a des gens à côté, ils veulent rire, pareil que toi. Voilà, je veux, je veux. Mais il ne me fait pas rire, moi. Gad Elmaleh, pas du tout, tu vois. Ou alors, je ne l'aime pas, je n'aime pas sa voix, je n'aime pas sa gueule. Sa gueule, je n'aime pas. Et bah ça, en fait, c'est vraiment de comprendre que tu peux avoir le même métier, tu peux être même moins talentueux. il y a des gens qui vont te préférer toi. Parce que c'est ta voix, c'est ton énergie, c'est ta façon de faire. Et que surtout, il en faut pour tous les goûts. Et que surtout, il n'y a pas de monopole. Et que c'est au contraire de se dire, il y a lui, laisse tomber, il est trop fort, on lui laisse tout. Mais laisse pas tout. Et surtout qu'il faut comprendre que quand t'es à ton compte, on dit souvent que t'as juste besoin de 1000 personnes qui te suivent et qui kiffent ce que tu fais pour pouvoir en vivre. vraiment mille personnes et il ya même une phrase qui dit si tu as 100 fans 100 personnes qui sont des fans de ce que tu fais tu peux et qui vont prendre toutes tes offres tous tes trucs tu peux vraiment en vivre c'est vraiment ça qu'il faut comprendre c'est que les gens se disent ouais mais il ya lui là il prend déjà tellement de gens et c'est comme ça il ya mister beast il a 300 millions d'abonnés sur youtube à quoi ça que je fasse des vidéos mais qu'est ce tu crois qu'on fait après qu'on a regardé une vidéo de mister beast on en regarde d'autres en fait bah ouais Et puis, quand on a testé, je sais pas, un praticien, on a bossé avec un mec, bah c'était peut-être bien, mais j'ai peut-être envie de tester quelqu'un d'autre après. Ou il est pas dispo, ou il est trop cher. Parce que peut-être que le meilleur, il est trop cher pour moi, et il est pas dispo, et du coup, bah c'est là que t'interviens en fait. Donc surtout, quand t'as cette pensée limitante de dire, bah y'a déjà d'autres qui font mieux que moi, bah déjà, arrête. Oui, parce que déjà, c'est certainement vrai, ils sont peut-être meilleurs, ils sont peut-être plus beaux, ils sont peut-être plus forts, mais ça veut pas dire que t'auras pas de clients. Ça veut pas dire qu'il n'y aura pas des gens qui te préféreront, ça veut pas dire que t'arriveras pas à en vivre en fait. Au contraire. Parce que, encore une fois, toi tu vas répondre à un besoin que le meilleur ou la meilleure, ou un, je sais pas à quel niveau, il répond plus. Pas pour qu'une question de prix, de disponibilité, de format d'offres, parce que souvent, les gens qui ont beaucoup de followers ou des grosses communautés, ils font pas de one-one par exemple. C'est fini ces trucs-là. Ou ça va coûter un million, ou cent mille, j'en sais rien. Mais c'est là où toi t'interviens, tu dis moi je fais du one-one en fait. Et puis en vrai, peut-être pas sans expérience, mais j'ai eu des très très bons résultats. Et ça, ça change tout en fait. Quand tu captes en fait qu'il faut, c'est ce qu'on appelle l'échelle de valeur d'une offre. Où tu te mets dans l'échelle des besoins et de valeurs de quelqu'un. À quel moment, si l'autre il est tout en haut de l'échelle de valeur avec son offre, parce qu'il a une communauté de ouf, qu'il a des skills de ouf, etc. Bah toi tu viens avant, sur d'autres types de clients, et sur d'autres types de compétences. Et moi, quand mon pote il m'a dit ça, j'ai regardé et j'ai fait, ça me fait... tellement mal au cœur, j'ai essayé de lui débloquer ça, mais tu sens que c'est tellement profondément ancré qu'on en revient au premier sujet de se dire, ah ouais, je pense qu'il va falloir que tu te pardonnes, que tu t'aimes un peu plus et que tu aies un peu plus confiance en toi. Parce que là, il y a trop de combinés de en fait, c'est trop fort ce que tu fais, mon pote. pour le coup tu es très bon mais en fait toi même tu y crois pas comment tu veux que des gens croient en toi et on en revient à la premier sujet donc si tu as cette pensée là déjà tu as compris lance toi fous toi au bon endroit avec les bons clients par rapport à ce que l'autre ne propose pas qui est soi-disant meilleur que toi et puis deuxièmement va voir ce que ça vient trigger en toi ça vient le truc qui est bloqué le frein à main émotionnel essaie de le repérer et de l'identifier et du mettre un gros coup de tête sa mère Je suis un petit peu vulgaire en cette fin de soirée. Mais c'est ça. Parce que ça me rend dingue. S'empêcher soi-même, on est toujours nos pires ennemis. Essaye de devenir ton meilleur ami pour 2025. Ce serait quand même un bon objectif. Et on va finir ce journal de bord avec deux petites success stories. Avant de finir quand même avec le petit fun fact, évidemment. Que je voulais te partager, qui sont deux personnes de mon collectif. La première, c'est Charlotte Parot. Et l'autre, c'est... C'est Caroli Laurent Design. Je mettrai le lien dans la description du podcast pour que tu puisses aller voir un petit peu ce qu'elles font. Parce que c'est vraiment incroyable. La première, elle vit de quelque chose que même moi, je me disais, ah ouais, on peut vraiment vivre de n'importe quelle passion. Ce n'est pas possible. La meuf vit, alors la meuf est géniale déjà. Je lui fais un bisou, Charlotte, si tu écoutes ce podcast. De l'aquarelle. Non, mais l'aquarelle, les gars. On est d'accord. La meuf est de l'aquarelle. Elle en vit. Comment ? Je ne te parle pas. Elles ne vont pas d'étoiles dans les galeries d'art, des trucs comme ça. Comment tu vis de l'aquarelle ? En fait, un, elle fait des ateliers en physique à Annecy. Si tu es dans le coin, dans la petite région de Haute-Savoie, je te conseille vivement d'y aller. C'est un rayon de soleil. Elle a une voix toute douce, elle est apaisante. Bref, c'est génial ce qu'elle fait. Comment elle remplit ses ateliers ? Évidemment, avec la visibilité qu'elle a sur les réseaux sociaux. Et elle a aussi, parce qu'elle a développé les choses, en étant dans le collectif, elle a mis en place des formations, des petites formations pour se dire comment tu te mets à l'aquarelle. Parce que des fois, on achète du matos, on fait de l'aquarelle, parce que... On est tellement de plus en plus sur nos écrans qu'on cherche tous des activités pour se déconnecter, pour mettre le cerveau de côté, pour juste être concentré sur un truc qui nous fait du bien. Et on n'est pas tous sportifs, on n'est pas tous... Bref, l'aquarelle, ça monte en puissance, ça devient trendy, motherfucker, tu vois. Et elle, elle s'est dit, en fait, venez à mes ateliers, vous allez connecter avec d'autres nanas avec qui on a cette même passion. Et à côté de ça, tiens, l'atelier c'est bien, mais si t'as envie d'avoir les petites techniques de base pour quand même te régaler... savoir comment faire tel dégradé, tel type de forme, comment bien gérer ta peinture, ton pinceau, etc. Boum ! Prends cette petite formation-là. Et je me dis, tu vois, cette meuf-là, elle est l'exemple même de je vais me lancer, j'ai peur mais j'y vais. Et je peux t'assurer, j'ai vu aussi l'évolution de tout le parcours. Elle avait aussi ce syndrome de, tu sais, j'en parlais, tu te sens coupable quand tu ne travailles pas. Parce que je n'ai pas atteint exactement le niveau où je suis safe, safe, où je vais atteindre. Et puis vu que ce niveau-là, safe, safe... Il est toujours en train de reculer ou le montant d'augmenter dans ma tête par rapport à ce que je vois sur les réseaux. Tac, tac, du coup, tu fais que bosser. Elle s'est donnée à fond. Et elle s'est donnée à fond. Et aujourd'hui, elle a un truc qui est aligné avec ce qu'elle est, avec ce qu'elle fait. Elle continue de construire et sa communauté et ses offres. Et c'est tellement un bel exemple de se dire, mais putain, si tu as une passion, un truc qui résonne en toi, mais en fait, ne crois pas que tu ne peux pas en vivre parce qu'elle, elle a réussi. Évidemment, ça demande du temps. Ça demande de l'énergie, ça demande d'enlever le frein à main émotionnel. Et t'inquiète pas que le sien était déjà bien là, tu vois, comme tout le monde. Comme tout le monde ! Elle n'avait pas un truc en plus. Non ! Et elle, tu vois, son p'tit... Le frein à main, tac, boum ! Puis elle a réussi à le dégager, tu sais, à le relâcher un petit peu. Et ça lui a fait avancer. Va voir ce qu'elle fait. Parce que c'est vraiment un bel exemple, je trouve, de réussite. Et donc je suis très fier, et je suis très fier pour elle aussi. Et c'est que le début en plus, c'est ça qui est bien. Le deuxième exemple. C'est Coralie Laurent Design, ancienne nana dans le consulting, dans les grosses boîtes comme Capgemini, qui à un moment donné, je pense qu'elle aurait mis un coup de tête aux gens avec qui elle bossait, parce que comme tous les gens qui restent trop longtemps dans une boîte, qui les saoulent et où il y a des trucs qui ne vont pas, etc., on range notre frein, on attend le dernier moment, et qui s'est lancée dans la décoration d'intérieur, truc où il y en a tellement qui s'y mettent, c'est compliqué. Et bien elle, elle a vraiment réussi, elle s'est lancée il y a vraiment quelques mois, et... et s'est mis à fond dans la création de contenu. Comme tous les gens qui commencent, c'est dur, ça galère, on cherche le type de format. Elle a réussi à bien appliquer, et celle qui le dit, ça m'a fait plutôt très plaisir, je vais t'avouer. Elle a appliqué tous les conseils qu'il y a dans Brandéo Impact, parce que du coup je l'ai mis dans le collectif à disposition. Donc il y a la formation en Personal Branding pour ça, créer du contenu, etc. à dispositionner. Et, waouh, elle est juste une métronome. Allez, trois fois par semaine, bam, ça sort du contenu, ça sort du contenu. Et un jour... Il y en a un, donc c'est passé de 500, 1000 vues, 1500 vues, 2000 vues, tu vois. Et il y en a un, il a fait 2 millions. Allez, terminé. C'est passé de, je ne sais plus, 7K, je crois qu'elle a 22 000 abonnés. Je n'aime plus ça. Bref, je ne sais plus combien d'abonnés. Il faudrait que je regarde pour ne pas te dire de conneries. Mais genre, elle a pris évidemment 7 000 abonnés en quelques jours. Parce que, c'est ça, elle a 22 000 abonnés. Elle était encore à... quelques centaines de même genre à 1000 je sais plus quoi il n'y a pas si longtemps et elle a continué et l'autre après il a fait 300 milles et puis après elle est retombée à entre guillemets retombée à 10000, 20000 et maintenant elle fait tu vois moi qui ai un vieux compte sur instagram avec de la sociale fatigue avec ça fait des années que je suis là que je poste irrégulièrement parce que j'ai pris tellement de postes ces dernières années je fais quoi je fais 15000 vues je fais des 20000 vues 30000 vues tu vois c'est pas énorme entre guillemets elle elle fait plus que moi maintenant Et donc j'ai une meuf dans mon collectif où j'ai la fierté de me dire la meuf elle fait beaucoup plus de vues que moi et elle est beaucoup plus régulière. Et forcément ça lui a attiré quand elle a eu ça, elle a eu l'intelligence de mettre en place un truc, une automatisation qu'on avait vue, elle l'avait vue aussi, pour envoyer directement parce qu'elle propose évidemment ce qu'on appelle des lits de magnètes, donc un petit fascicule, un truc gratuit qui aide les gens à bien décorer leur intérieur. Elle a récupéré des mails, du coup ça a fait grandir sa base mail. à côté de ça elle avait plein de demandes de devis pour la décoration intérieure et puis à côté de ça elle est en train de développer aussi une petite formation pour aider les gens qui au lieu de se payer les services d'une décoratrice d'intérieur parce que des fois ils n'ont pas les moyens c'est juste de dire tiens je te donne les clés pour savoir comment bien agencer comment bien décorer etc pour les plus petits budgets boum elle se positionne sur plusieurs niveaux d'échelle de valeur de ses clients et bam moi quand je suis là je me dis waouh la meuf ça fait à peine quelques mois qu'elle s'est reconvertie et Ce que j'ai vraiment vu, c'est la meuf qui a juste été régulière, qui a pas lâché l'affaire. Genre que ça fasse beaucoup de vues, pas beaucoup de vues, ça poste, ça poste. Et elle dit, ce contenu-là, putain, ça me prend trois heures à le faire. Et au début, je me souviens parce que, évidemment, on l'a suivi avant que ça pète. Elle était en collectif avant que ça pète. Elle dit, ouais, putain, ça me prend du temps, je galère, truc. Sauf que ouais, je galère, c'est quali, ça met du temps. Mais bam, il y a un moment, ma grande, t'as fait deux millions et tu le mérites. Mais ça, ça, c'est un vrai rappel de se dire... Je sais ce que je veux faire et je sais que si je lâche pas l'affaire, justement, ça va réussir, ça va payer. Et surtout, la vie le sait. Même l'algorithme Instagram, qui n'est pas un truc qui est connecté, je pense, au cosmique et aux âmes de l'intergalactique, tout ça, on est plus sur des... Bon, et bien même ça, il le sait. Il voit, il voit, puis on dit, vas-y, donne-lui sa chance, on va voir ce que ça donne. Vas-y, envoie, allez, bam, 2 millions de vues, terminez, bonsoir. Donc, vraiment... Vraiment, ne perds pas espoir. Si toi, tu vois que ça galère dans tes contenus, que tu te dis qu'il y en a d'autres qui font mieux, etc. Continue. Donne-toi du mal. Ça va péter. Il y a un moment donné, ça va péter. C'est juste mathématique. Et pour terminer ce nouveau journal de bord, évidemment, le petit fun fact. Le petit fun fact qui vient d'arriver il y a quelques minutes en plus. J'étais en mode, qu'est-ce que je vais raconter cette semaine ? Bam, il m'est arrivé il y a quelques minutes. Je suis où ? Je suis dans une petite maison, enfin non, une grande maison de campagne dans l'arrière-pays lyonnais. pour passer le nouvel an chez un pote dont la maman à 91 ans elle est posée, ça fume des clopes ça fume 27 clopes par jour la daronne elle a les poumons d'acier elle est increvable et à un moment donné bon évidemment elle marche pas elle marche avec son petit déambulateur elle est vive d'esprit je lui ai dit je suis quand même arrivé je vais vous faire des fleurs j'ai acheté un petit éclair au chocolat on était refait j'avais envie de la mettre bien vu que j'étais Moi mon pote on attendait d'autres amis qui allaient arriver et qui sont arrivés ce soir. En attendant qu'est ce qu'on a fait ? Il y a un jeu que j'aime bien parce que moi j'aime bien jouer. J'aime bien les jeux. J'aime pas jouer de l'argent, j'aime jouer des petits gars, je vous aime bien jouer, c'est ce qui me fait marrer. Je dis tiens, est-ce que ça vous dit de jouer au dé ? Ils me disent bon quoi, je connais pas les dé, je sais pas jouer au dé. Je dis putain ! Je dis vous inquiétez pas ce jeu il est stylé, il est marrant, il est facile à apprendre, il s'appelle le 10000. Big up à tous ceux qui connaissent le 10000. Putain j'ai pris des sacrés gages à ce jeu, je kiffe jouer. Du coup, je suis là. Moi j'aime bien jouer mais j'aime bien gagner tu vois. J'ai pas de problème à perdre même si ça me fait un peu mal à la gueule mais je suis là en mode bon les gars ils ont jamais joué tu vois. Et les dés on va dire oui c'est que de la chance. J'ai envie de me dire dans ma tête qu'il y a un pouvoir au bout des mains, que tu peux visualiser le truc que tu veux faire si t'es vraiment concentré. Le nombre de fois où j'ai appelé mon score c'était fou, c'était digne d'un film de science-fiction tu vois. Donc je suis là, j'apprends les règles, tac tac, on y va, on est trois, on lance les dés, waouh. Françoise, 91 ans. Je la vois, ses petits dés entre les mains, elle les caresse, elle les retourne, elle est là avant de les lancer. Je dis, la meuf, ok, la meuf c'est une marabout, elle a un délire. En termes de magnitude, elle est en train de les trafiquer à son... Elle met un champ magnétique dans les dés, ça va faire des quadruples 6, je suis dans la merde, un truc de ouf. Je suis là, elle balance les dés, elle fait des scores avec des mains, sur des mains, je suis là, je sais pas, c'est pas possible. Moi dans ma tête, j'étais là en mode, je la conseillais au début. Évidemment, je veux qu'elle joue, je veux qu'elle s'amuse. Sauf qu'à la fin, elle est en train de me mettre une touche, je dis Ouais bah vas-y, fais comme tu veux, un peu Françoise, fais un peu au feeling Et puis bon, elle a quand même 80 ans, et puis pas toutes les règles non plus, tu vois. Et puis mon pote JL me fait Mais attends, attends, n'écoute pas, n'écoute pas Alex, en fait, on voit son vrai visage Je dis J'ai pas rien à voir, un vrai visage, t'es un vrai joueur, tu vois Deux parties, on a fait. Françoise nous a démonté les deux parties. Je suis reparti la queue entre les jambes, j'ai été dégoûté, je suis putain, j'ai... Une petite vieille comme ça, toute mignonne, j'offre des fleurs, j'offre un éclairant au café. En plus, c'est quoi la récompense que j'ai ? C'est MFoulato, le jeu que j'aime bien odé. Et putain, ça fait du bien et ça lui a bien fait plaisir en tout cas. Je te fais des gros bisous et je te dis à la semaine prochaine.

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Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que ton Noël s'est bien passé. Écoute, si tu as écouté le dernier journal de bord, sache que le cadeau que j'ai fait à mon père qui était de monter la vidéo de notre trip il y a 7 ans en Géorgie, j'avais tout filmé mais j'avais rien monté, sache que j'ai réussi à avoir en retour des larmes de joie. Et quand tu vois ton père qui te dit c'est des larmes de joie, c'est le plus beau cadeau qu'on m'ait jamais fait, je me suis vraiment dit, waouh, ça valait la peine de se coucher à 4h du mat'pour monter la vidéo le 24. et passer un peu le réveillon avec la gueule dans le cul et pas très frais parce que quant à ça tu te dis la vie c'est vraiment vivre des émotions et que ce soit s'acheter des trucs c'est vraiment ça le plus important c'est pour ça que ça fait longtemps que je n'achète plus de cadeaux dans ma famille je nous offre des moments et du temps ensemble et du coup cette vidéo c'était du moment qu'on s'offrait ensemble à la regarder et puis moi aussi de lui permettre de revivre toutes ces émotions bref Encore un gros big up à Isabelle Sauser de mon collectif Qui m'avait soufflé l'idée C'était vraiment incroyable Je te recommande vivement pour tes prochains Noël Au lieu d'acheter des trucs parce que t'es forcé de les acheter Parce qu'il faut acheter ce jour là Moi déjà ça me rend dingue J'ai un petit problème avec l'autorité Mais plutôt te dire quel moment on peut s'offrir ensemble Avec cette personne là qui nous ferait kiffer Et s'offrir des souvenirs Je trouve ça beaucoup plus fort Cette semaine dans le journal de bord Je te parlerai du bilan de l'année Merci et des leçons que j'en ai tirées, et surtout aussi des bilans qu'on a fait avec mon collectif, parce que j'ai vu qu'il y a des choses un peu génériques qui revenaient, enfin des traits communs qui revenaient, et je me suis dit que ça pouvait être très utile aussi d'en retirer les leçons et les clics qu'on a eus un petit peu tous ensemble. Je voudrais te parler aussi d'Arnold Schwarzenegger. Alors je sais qu'il y a pas mal de femmes qui me suivent et qui vont dire Waouh, super, génial, grosse thématique, ça va vachement me plaire, ça tient Bah détrompe-toi. Je viens de regarder un documentaire sur lui en trois parties, et... vraiment il y a deux trois leçons de vie qui j'ai trouvé très inspirant et que je voulais partager je voulais aussi te partager deux stratégies si tu comptes monétiser une communauté que ce soit à travers des réseaux sociaux à travers une communauté payante généralement deux stratégies à te partager que tu as déjà des gens qui te suivent sur les réseaux ou que tu n'en es pas comment attirer des clients comment créer une communauté saine qui te rapporte de façon naturelle je pense que ça pourra être très utile parce qu'encore une fois je pense qu'on va vraiment en vers un engouement des communautés, de la connexion humaine, comment remettre de l'humain dans ses offres, dans ses accompagnements, dans son activité. Donc je voulais te partager ça. Je voulais te partager également une phrase qui, pour moi, est une pensée limitante de fou. J'ai discuté avec un ami qui est praticien dans le domaine de la spiritualité, études, bien-être, et qui me disait Ouais, mais ça ne sert pas à grand-chose que je commence à créer du contenu sur les réseaux, que je m'affiche, parce qu'il y a tellement de gens. qu'ils le font déjà bien et qu'ils en savent plus que moi. Alors je vois pas pourquoi je n'y mettrais. Et cette pensée limitante, je pense qu'il y en a beaucoup qui l'ont. Et je voulais la tacler parce que c'est vraiment, vraiment très dommage de l'avoir. Et je voulais finir avec deux success stories de personnes de mon collectif. Je voulais te partager dans quoi... Une a réussi vraiment sur les réseaux sociaux, pas qu'un peu d'ailleurs. Et une autre qui a réussi à vivre d'un métier auquel tu t'attendrais jamais, un métier passion, tu dis tu peux pas vivre de ça. Et si... Et je voulais t'en parler, je voulais te dire comment elles ont fait, comme ça j'espère que ça pourra t'inspirer. Et évidemment, je vais finir avec un petit fun fact. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Le bilan de l'année 2020, j'ai commencé à le faire, j'ai pas encore tout à fait fini, mais on a fait un live avec mon collectif. Et je me suis vraiment aperçu qu'il y avait un schéma qui revenait, et surtout une grande leçon qui nous a apparu, tous d'une évidence incroyable avec le collectif. On a fait un live sur ce sujet donc. On s'est vraiment aperçu que réussir dans son activité pro, c'est avant tout savoir gérer son mental et ses émotions. Ce qui est fou, c'est que finalement, comment tu es bon dans ton métier ou quelles compétences tu as, ça reste assez simple. C'est des choses où tu apprends de façon assez bête et méchante, tu le refais, tu répètes. OK. Mais en fait, ce qui va vraiment être la clé du succès ou de l'échec et de l'effondrement, ou du mal-être, ou de la... peur ou de tout ce qui va avec, c'est de te dire comment tu te gères toi à l'intérieur. C'est-à-dire, est-ce que tu as assez confiance en toi pour te lancer ? Est-ce que tu t'aimes assez ou tu t'estimes assez pour aller promouvoir tes offres, te mettre en avant sur les réseaux ? Est-ce que, encore une fois, tu te sens assez motivé pour appeler des clients ? Est-ce que tu gères assez bien ta charge mentale pour ne pas être trop stressé, te sentir submergé et finalement te sentir paralysé par toutes les tâches ? d'avoir vraiment cette clairvoyance. On s'est vraiment aperçus de se dire, waouh, c'est fou à quel point... Et il y a aussi ça, mais il y a aussi le fait d'être aligné. Ça, j'y reviendrai juste après. Mais il y a vraiment ce truc de se dire, en fait... Tu peux avoir toutes les compétences du monde. Si, quand tu te lèves le matin, tu te regardes dans la glace, tu te dis pas, franchement, c'est génial ce que je fais, je suis fier de mon produit, je suis fier de ce que je vends, de mon service, et putain, je suis une bonne personne, je me trouve beau, belle, j'ai confiance en moi, putain, c'est génial la chance que j'ai de pouvoir proposer ce que je propose. Je suis vraiment impatient d'essayer de le vendre aux gens, parce que je sais que ça apporte quelque chose, mais si t'as pas ça en toi, que t'as pas cette motivation, que t'es en mode... Putain, faut que j'appelle les clients ce matin, ça me paralyse encore, j'ai pas envie. Putain, faudrait que je me filme, que je mette en avant, je sais, faut que j'incarne plus mon... Mais il y a des gens qui font ça mieux que moi, puis je suis pas bien, puis je... Et voilà, et puis là je suis fatigué, puis j'ai tellement de trucs, là je suis stressé, je sais pas... Ça en fait, c'est que ces choses-là en fait, où tu t'aperçois que... C'est ce que j'appelle le frein à main émotionnel. C'est à ton business, mais t'avances avec un putain de frein à main émotionnel. Alors que la personne... qui est un peu éclaté au sol dans son métier, et on le voit, tu le sais, tu les vois sur les réseaux, tu sais qu'ils sont pouraves et tu n'entends que des trucs pouraves sur eux, mais eux, ils s'en foutent. Même s'ils savent qu'ils sont pouraves, ils ne doutent de rien. Ils ont confiance. Ils se vendent, ils se survendent, ils se pipotent un peu pour se... Mais ça marche. Parce qu'en fait, qu'est-ce qu'ils ont ? Ils ont potentiellement, à l'instant T, une très bonne gestion émotionnelle de ce qu'ils sont, de comment ils voient les choses, de leur quotidien. Du coup, c'est pas un frein à main émotionnel qu'ils ont. C'est une roquette dans les fesses, mon gars. Et y'a pas de problème, le cerveau, il y va, il les emmène exactement là où il veut l'aller. Et je me suis vraiment rendu compte de me dire, là, moi, comme je te disais dans l'épisode précédent, j'ai vu que j'avais besoin de réduire au maximum ma charge émotionnelle parce que, waouh, j'étais dans une grosse fatigue, j'ai remis un peu le nez dans un burn-out, donc il fallait que j'allège mon quotidien, que j'éclaircisse un peu mes pensées et que... Quand tu baisses ta charge mentale, ton cerveau, c'est comme un enfant que tu libères des devoirs. Oh, il se sent mieux, il a envie de courir partout, il est créatif, il s'amuse, il est content. Ça fait du bien. Mais il y a aussi ce côté, c'est bien sympa, la charge mentale, mais après, il y a aussi ce côté genre, OK, je n'ai pas de charge mentale, mais est-ce que quand je me regarde, j'ai confiance en moi ? Est-ce que je suis prêt à faire les choses ? Est-ce qu'en fait, il y a toutes les choses qu'on me dit de faire, que ce soit Alex Vizeo qui me donne des super conseils sur son podcast, ou dans son collègue qui est fou, dans ses formations. ou n'importe quel gus que j'entends, ou des formations que j'ai achetées, etc. Mais si en fait, on me donne la formule pour courir le 100 mètres en moins de 10 secondes, grâce à l'entraîneur du sandbolt, si tu ne fais pas les tours de stade parce que tu as peur de ne pas courir assez vite, ou que tu as la flemme, ou que tu en as marre, tu ne pourras pas, personne ne pourra passer en dessous des 10 secondes, si ce n'est les personnes qui, eux, ne se posent pas de questions et appliquent. Mais pour appliquer, même si tu as, encore une fois, la formule magique de la potion magique, si tu n'es pas capable, d'avoir le courage, le bien-être, la confiance, pour le mettre en application, il ne se passera rien. Et c'est vraiment là où je me suis aperçu qu'à quel point avoir son activité, être entrepreneur ou entrepreneur, solopreneur, freelance, appelle-le comme tu veux, c'est tellement un bel outil de développement personnel pour aller mieux. Parce que tu n'as pas le choix. Et que ça va vraiment te mettre face à toutes tes pensées limitantes, tous tes murs, toutes tes limites, en fait, tout ce qui te limite. Tu vas voir tes limites, tu vas dire putain là j'y arrive pas. Et que si t'as envie de réussir, il va falloir que tu les surmontes. Et que tu t'aperçois souvent que la barrière de connaissance professionnelle est finalement assez basse. Et que celle des barrières mentales c'est un mur parfois infranchissable. Il y en a beaucoup. Et quand on dit que l'entrepreneuriat, à moi c'est pas fait pour moi, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es pas capable de surmonter le stress, t'es pas capable d'aimer un peu plus, t'es pas capable... D'avoir plus confiance en toi, d'être bien, tu vois, et d'être confiant et de l'assumer, d'être fier. Mais je me dis, mais putain, mais t'imagines que quand tu te dis l'entrepreneuriat, c'est pas pour moi, ça veut dire que t'abandonnes le fait de pouvoir être mieux dans ta peau, d'être fier de ce que tu fais, parce que, et pleinement, alors que moi, je me dis, l'entrepreneuriat, ça va toujours piquer là où ça fait mal. Putain, ça fait mal. Allez, go, il en prend un coup. Allez, limite. Ah là, quand tu te pensais bien, ça va te mettre les yeux dans ton caca et ça va toujours te pointer là où tu dois t'améliorer. Mais je trouve ça formidable. Je trouve ça formidable parce que c'est une aventure sans fin et du coup un jeu sans fin. Et du coup, ça fait plaisir parce que du coup, si c'est un jeu qu'on aime jouer, tout à coup, c'est nourrissant, c'est passionnant, c'est enivrant. On se sent grandir, on se sent évoluer. Il n'y a rien de tel pour nourrir son âme et son esprit. Et c'est vraiment ça que je voulais te partager. C'est que si tu sens que tu galères dans ton activité pro, ne te demande pas ce que tu sais. pas faire en vrai dans ton métier. Demande-toi là où en fait, tu as des limites mentales et débrouille-toi pour les surmonter, les faire exploser, pas les contourner, mais vraiment les résoudre, les embrasser et aller parce que c'est à ça que ça sert en vrai. Et justement, quand je te disais être aligné, Ben, il y a plusieurs personnes dans mon collectif, et moi y compris, ben cette année on a cherché nos offres, on les a peaufinées, on les a testées, on a abandonnées, parce qu'il y a plein de trucs dans lesquels je m'étais embarqué, qui encore une fois, c'était mon égo qui parlait, c'était ah tiens, il y a un tel qui fait ça, ou vas-y si je fais ça, je vais pas rapporter assez d'argent, ou du coup machin, etc. Mais c'était pas aligné en fait. Et le fait de vouloir faire des trucs où t'es pas aligné, parce que souvent c'est à cause de l'argent, Soit c'est parce que tu vois que ça me... Oh, c'est le nouveau, c'est l'objet brillant, il faut absolument que je fasse ça, ou j'ai vu un tel faire ça, mais ça ne te ressemble pas. En fait, un, ça ne marche pas souvent, souvent ça te crée une charge mentale, deux, tu es stressé, parce que tu n'es pas aligné. Et si tu n'es pas aligné, encore une fois, ça te crée des barrières, et tu vas avancer avec un frein à main émotionnel, et ça ne va pas marcher. Et ceux, je vois, qui cartonnent, c'est ceux qui, un, encore une fois, ne se posent pas de questions, et ça, c'est les gens magiques. Malheureusement, ce qui est triste, c'est que souvent... les gens qui sont pas toujours très honnêtes, eux ils se posent pas de questions, ils s'en foutent, bon après ça vient les ronger un peu plus tard, en général c'est coup de karma, ça arrive, mais c'est aussi ceux qui sont toujours dans leur ligne, peu importe les modes, eux ils sont pas avec les modes, ils s'adaptent juste un petit peu, mais normalement c'est comme ça que je vois les choses, c'est cette activité là que je veux faire, et à cette façon avec ces valeurs là, et eux ils finissent toujours par réussir. Et je pense que c'est vraiment quelque chose que j'avais envie de me rappeler, de te partager, parce que c'est ce qui va te faire réussir en 2025, c'est en le gardant à l'esprit. et on a entaclé ces sujets. Notre ami Arnold Schwarzenegger, alors évidemment, ceux qui connaissent de près ou de loin, c'est Bodybuilder, c'est l'acteur Terminator avec des gros guns, mettez la gueule à tout le monde, c'est pour ça que c'est plus la voix de Stallone. Et c'est aussi gouverneur, l'air de rien, de la Californie. J'avais déjà commencé à lire son bouquin, mais il est tellement énervé en mode pavé que ma passion pour la lecture m'avait rattrapé. Mais j'avais commencé à beaucoup aimer ce parcours et quand j'ai vu qu'il y avait un documentaire sur Netflix qui finalement documente ces trois grandes parties de vie qui est l'athlète, le bodybuilder, ensuite l'acteur et ensuite le politicien, j'ai voulu vraiment regarder un peu tout ce parcours et j'ai vraiment été... Si vraiment je me dis qu'il y a un mec qui est né juste après la guerre, la seconde guerre mondiale, en Autriche, donc pays d'Hitler quand même, des nazis, qui arrive à sortir de là... à être champion, à être dix fois champion du monde de bodybuilding, Mister Univers, Mister Univers, Mister Univers, etc. Et que derrière, il arrive à être acteur à Hollywood et même être l'acteur le mieux payé d'Hollywood avec celui qui fait le plus d'argent au box-office et devenir un politicien. Je me dis, en fait, déjà, tout est possible. Parce qu'à chaque fois, on lui a dit, tout ça, c'est impossible. Genre, au début, on était trop petit, trop maigre. pour le bodybuilding, puis après on dit, ah oui non, d'accord, si c'est bien. Après on lui dit, mais mec, acteur, gars, t'as un gros tas de muscles, t'as un accent allemand à couper au couteau, on veut pas de toi, c'est pas des gros muscles, c'est Dustin Hoffman en ce moment, c'est des petits gars tout queues, des Al Pacino, non, bon bah le gars il a quand même réussi, il a jamais lâché. Et puis après, un acteur qui fait des gros films avec des gros guns, qui va devenir politicien, non, non, bah si, il a réussi. Il y a vraiment un truc qui m'a marqué chez lui, c'est... Je pense que c'est quelque chose qui peut être finalement une malédiction et ta plus grande bénédiction. C'est que, un, il ne se satisfait jamais de ses résultats. Deux, il est tout le temps en train d'apprendre des nouvelles choses et de se renseigner des gens. Les témoignages qu'il y avait sur lui, c'était que le mec est toujours en train de poser des questions sur comment tu fais, etc. Et toi, comment tu vois la vie ? Et en fait, au lieu de déblatérer ces trucs, il était toujours en train de demander des conseils et vraiment de puiser de la connaissance des gens. Et la malédiction pour moi c'est ce côté de jamais en avoir assez. Mais il y avait un truc aussi qu'il faisait, c'est que dès le moment où il a commencé à être bodybuilder et faire de la muscu, il a construit son groupe de potes, et ce qu'il disait c'était ses communautés encore une fois. Et il a compris qu'il était très fort à ça. Et il a toujours été le mec qui était fédérateur, c'est construire ses communautés autour de lui, ça lui a toujours permis d'avoir les compétences dont il avait besoin pour construire les choses. C'est-à-dire, quand il a été bodybuilder, après il avait... Il se tapait pour que ses potes puissent venir et être payé comme lui sur des projets, des trucs. Mais derrière, dès qu'il avait besoin, en fait, ce qu'il faut savoir, les gens ne savent pas. Maintenant, Schwarzenegger, après, pendant qu'il était en Californie pour être un peu bodybuilder et donner une autre vergue à sa carrière, le mec, il s'entraînait deux à trois fois par jour. Et après, il allait être dans le bâtiment pour, parce que le peu d'argent qu'il avait, il l'avait investi vraiment dans l'immobilier, à acheter des bâtiments et à tout retaper. Donc le mec, il devait être crevé de ouf. Il a emmené tous ses potes bodybuilders. pour retaper des maisons avec lui, etc. Et en fait, le mec est devenu millionnaire, millionnaire. On ne parle pas d'un gars qui est un peu de millionnaire avant même d'être acteur de Hollywood, parce que tout de suite, le mec... Il a dit, ok, je ne sais pas faire ça, comment on fait ? Vas-y, apprends-moi. Et boum, il s'y est mis. Vient mes potes, la communauté l'a aidé. Et que justement, quand il a voulu être acteur d'Hollywood, qu'est-ce qu'il a fait ? Je ne sais pas bien parler anglais. Ok, je prends des cours. Je prends des cours d'anglais. Jusque-là, rien de fou. Mais il a dit, ok, en fait, si je veux aussi savoir gérer ma carrière, il faut que j'ai des notions de business. Et avec l'argent que je vais faire. Boum, il prend des cours du soir. Donc c'est vraiment cette soif du gars qui est toujours en mode, je m'entoure. J'essaie de toujours bien m'entourer. Des gens qui vont m'aider, des gens que je vais pouvoir aider, des gens qui vont vraiment me tirer vers le haut. Et pareil, t'imagines bien dans la politique, il n'est pas arrivé en mode Coucou ! Il s'est marié avec une Kennedy, donc déjà ça aide à avoir 2-3 connaissances sympas. Et c'est vraiment se dire Je suis toujours en train d'essayer d'apprendre, de donner le meilleur de moi-même, et de tester des nouvelles choses, et surtout, le non ne viendra jamais entacher la vision que j'ai de moi-même. Et la vision, et c'est l'estime, mais c'est la vision que j'ai pour moi. Le gars se voyait à chaque fois la vision qui lui est arrivée, il l'avait déjà avant. Et en fait, tout le monde, vraiment, lui disait, mais non, arrête. Même ses potes, quand il a voulu devenir poéticien, ses potes d'Hollywood, ils se disaient, mais frérot, qu'est-ce que tu fais ? Je disais, mais non, ne fais pas ça. Tu n'es même pas américain. Enfin, on t'a donné l'initialité, mais bon, tu... Il disait, mais non, moi, je m'en fous, en fait. Et ça, je pense que c'est une énorme puissance. Encore une fois, c'est important, c'est pour ça de se connaître et d'aimer la vision qu'on a de nous et de ce qu'on veut faire de notre vie. Et que tous les gens qui vont dire non, c'est juste souvent qu'ils projettent leur propre peur sur ton projet à toi et de se dire si moi j'étais à sa place, mais non, ne le fais pas. C'est rare de se dire, ou alors, c'est-à-dire si moi j'étais à sa place, j'aurais peur de ça, donc ne le fais pas. Ils se projettent à ta place, tu vois, mais non, il va galérer, tout, ne le fais pas. C'est ça que j'ai trouvé très fort chez lui. C'est vraiment... l'apprentissage continu, la construction de communauté et de jamais en fait abandonner sa vision malgré les difficultés et surtout par exemple, il faut comprendre que c'est pas quelques noms qu'il a eu. Quand il a voulu être acteur, ça lui a pris presque 5 ans son rôle. 5 ans, c'est long ! C'est long et en fait, quand tu refais ta rétrospective de ta vie et de sa carrière, on dit oui, ça lui a pris 5 ans. C'est une phrase qui prend trois secondes et après il déroule tous les succès qu'il a eus. C'est ça qui est fort, je trouve. Et je pense que c'est le plus dur. Et je pense que c'est aussi quelque chose qui, moi, en ce moment, c'est une bataille intérieure. C'est qu'il dit, quand ça ne va pas, reste occupé. Keep being busy. Fais des trucs. Avance. Je pense que ça, ça permet effectivement de créer des projets incroyables. d'exploser les murs, d'être comme un tank, etc. Je pense aussi qu'en fonction de ta vie, de ton caractère, ça peut être un peu faire l'autruche, et tu peux te retrouver peut-être à 60, 50 ans ou 70 ans, à avoir réalisé plein de choses, mais à te sentir misérable à l'intérieur. Je ne sais pas à quel point il se sent bien ou pas, notre cher Arnold, mais je pense qu'il y a un juste milieu entre se nourrir de cette soif, de savoir faire taire des émotions qui peuvent t'handicaper, Mais parfois de se dire, tu sais quoi, là, je vais prendre le temps quand même. Parce que, genre, si tu as des émotions qui vont te perturber, tu sais quoi, fais les terres, reste occupé. Noie-toi dans le travail, dans l'apprentissage, etc. Et bon, au moins, ça te permettra d'avancer et ça ne va pas tant... Oui, mais tu vois, il le disait, quand il a dû devenir acteur, en fait, le mec était inexpressif. Parce que c'était un bodybuilder qui vient d'une famille très compliquée, où son père était ultra autoritaire, où il a vu... Il a dû surmonter plein de challenges émotionnels et du coup il les a enfouis. Il n'a jamais exprimé. Et comme il a dû être acteur, il était là en mode... Il ne parlait pas comme ça, mais voilà. On est content, on a compris. Il n'y avait aucune expression sur son visage, dans sa voix. Et un bon acteur, le principe c'est justement de savoir varier, d'adapter son état émotionnel en fonction de la scène, etc. Et le mec disait, il va falloir que je me connecte à des choses qui sont toujours restées enfouies. Et ça revient un peu à... Une des leçons que j'ai partagées dans un des journaux de bord, un des journaux de bord que j'ai refait quand j'ai repris, c'est l'émotionnel. En fonction de quel type d'émotion tu arrives à connecter, c'est vraiment un super pouvoir auquel tu peux te connecter, mais il faut l'utiliser au bon moment. Et je commence à être d'accord avec ce fait de dire Wow, là c'est le moment de pleurer ma peine, de la partager, d'exprimer ma colère, de me connecter à de la joie. Mais des fois, c'est aussi le moment de te dire Non, là c'est le moment de guérir en fait. J'ai besoin de faire une prestation, une compétition, peu importe ce que c'est, et que là je me connecte à l'esprit du guerrier, que la fragilité, nique ta mère, j'arrive plus tard, attends-moi pour le souper, on ira chialer ensemble. Mais c'est vraiment, en fait, ça que j'ai vu. C'est de ce côté où, OK, en fait, je m'aperçois à quel point l'émotionnel est peut-être, encore une fois, un frein à main incroyable et un boulet, un fardeau de fou. Peut être une des plus belles choses, évidemment, qu'on peut vivre. Parce qu'en fait, je m'aperçois aussi que vivre que heureux et tout le temps content, ce qui a été la majorité de ma vie, c'est bien, mais tu ne vis pas toute la vie, en fait. Ce n'est pas que ça, la vie. C'est aussi... éprouver toutes les autres émotions, c'est ça qui fait la richesse de la vie, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Mais faut pas en être victime, il faut savoir se dire ok là je m'autorise et là je le fais taire. Et voilà c'est vraiment ce que j'ai retenu de ce nôtre chez Arnold, c'est vraiment apprentissage permanent, soif du toujours plus et faire savoir faire taire ses émotions au bon moment et puis la communauté. J'espère que ça te servira pour préparer ton AIDEN 2025. Gérer et monétiser sa communauté, c'est vraiment un sujet en ce moment qui me passionne parce que j'aime le côté communauté où tu vis de quelque chose, où en gros tu es en train d'aider non pas des clients ou des personnes comme ça, mais une communauté sur le long terme, comme une équipe, des gens qui t'ont fait confiance et qui vont rester là plus ou moins longtemps. Et ça je trouve ça vraiment beau et je pense que c'est aussi l'avenir et que ça se dirait que sans plus aujourd'hui ça devient le business model le plus facile. à mettre en place. Je t'explique comment. En ce moment, il y a une énorme plateforme qui est en train d'émerger qui s'appelle Skool. C'est vraiment la façon la plus simple de, si tu veux te lancer, de monétiser ta communauté. Parce que c'est une plateforme où tu as toute la partie communautaire, tu as la partie plateforme où tu as tous tes modules de connaissances et tu as aussi tout ce qui va être agenda, des différents événements, des zooms, des lives, etc. Pourquoi c'est le plus simple, c'est parce que souvent quand tu veux vendre de la connaissance, quand tu veux vendre même des prestats freelance tu vas créer une page avec des funnels des trucs, là ce truc là c'est assez simple, t'as une page où t'expliques ce qu'il y a dans ta communauté et en vrai tout ton trafic tu vas le diriger là et derrière ça fait et la facturation et l'abonnement mensuel et il y a tout qui est fait simplement et je trouve ça intéressant parce que des fois un Je vois, quand on veut se lancer, on veut vraiment se dire Waouh, je fais un site internet, je fais des pages de vente, je fais des funnels, des machins. Et en fait, c'est tellement compliqué, des fois, techniquement, et c'est pour ceux qui se lancent, mais pour ceux qui sont déjà lancés. J'ai telle offre, j'en crée une autre, et puis une autre. Et en fait, c'est compliqué. C'est ce qu'on dit dans le business, le plus simple, c'est souvent un levier d'acquisition. Donc souvent, ça correspond à un réseau social et une signature. Et je pense, pour l'instant, de... Je vais voir ce que ça donne, mais que d'une certaine façon, tu peux te faire moins d'argent, clairement moins d'argent, si tu es en mode, tu crées ta communauté avec un abonnement. Que si tu fais, tu sais le truc des webinars, avec des ventes de formation, avec des accompagnements à 1000, 2000 balles, 3000 balles, etc. Que si tu fais évidemment une communauté avec un abonnement à 15 euros, 40 euros, 50 euros, 100 euros, etc. Mais l'avantage, c'est que ça peut évoluer. Et surtout que c'est simple. Et voilà, je te dirais les deux stratégies que tu peux mettre en place parce que je pense que demain, c'est ultra intéressant que tout le monde ait des communautés, soit parce que la communauté est payante directement, mensuellement ou à l'année, soit parce qu'en fait, la communauté est gratuite et la communauté n'ont pas des followers, mais la communauté qui interagit sur ta thématique. En fait, c'est juste là où tu auras tes clients. Et c'est vraiment ça, les deux grandes stratégies. En gros, tu as beaucoup de followers sur les réseaux. En fait, tu vas les amener sur ta communauté payante qui... et on va dire la phrase qui commence à être connue, tu vas leur faire une offre à 100 millions de dollars qui va leur coûter presque rien, et qui serait en fait, c'est une offre qui a tellement de valeur qu'il serait bête de la refuser. Et c'est pour ça que tu vois là sur mon futur collectif, je vais mettre toutes les formations que j'ai à ma disposition, que j'ai créées, que ce soit Brandéo Impact, Fasca M'Expert, Fast & Focus, il y aura tout dedans, il y en a pour plus de 4000 balles de formation, au prix si tu les achètes une par une, et je vais le faire à... 47 euros par mois pour le prix de lancement. Et je me dis, en fait, plus les lives, plus l'interaction. Et je me dis, les gens, s'ils ne prennent pas et qu'ils m'apprécient un minimum et qu'ils ont ces besoins-là, ils seraient vraiment contre de ne pas le prendre. Vraiment, c'est moi qui prends tous les risques, etc. Donc, soit tu as ce côté-là. Et finalement, tu peux, un, avoir ce qu'on appelle des offres low ticket. Et que si tu as envie, derrière, si les gens kiffent, ils kiffent ta communauté, tu peux faire, par exemple, après de l'accompagnement one-one. qui vont être ce qu'on appelle sur du high ticket, donc tu vas être sur des prix sur plusieurs milliers d'euros, ou alors tu peux faire des événements, tu peux faire des masterminds. Donc finalement, tu fais rentrer les gens qui vont être des clients qui ont mis de l'argent dans ta communauté, mais de façon saine, parce qu'en plus, ils rentrent dans ta communauté, putain, c'est chanmé. tout ce que j'ai pour ça. Et en plus, ils ont vraiment cet effet de j'apprécie la personne, j'apprécie le fait que j'ai énormément de valeur pour le prix que je mets. Donc forcément, c'est trop cool, tu crées un lien de confiance vrai. Et derrière, s'ils ont un besoin forcément un peu plus élevé ou d'être accompagnés, parce qu'il y en a toujours qui ont besoin d'accompagnement un peu plus one-one, ça, c'est un super levier d'acquisition naturel. Et qu'est-ce que tu fais en gros ? C'est quoi la stratégie si tu n'as pas vraiment... de followers ou beaucoup de communautés. Là, il va falloir que tu te débrouilles pour l'autre stratégie de faire une communauté qui va être gratuite, où justement tu vas être sur School, tu vas mettre des modules de connaissances, tu vas interagir, tu vas donner beaucoup de valeur à la communauté et tu vas te débrouiller pour l'animer, pour mettre les gens en relation, etc. Et que dans ces gens-là, en fait, toi, ce que tu vas faire quand tu n'as pas beaucoup de communautés, c'est que quand tu commences, tu es obligé de faire ce qu'on appelle des prix et des offres à étiquettes. Les offres à étiquettes, c'est que Soit tu es freelance et tu as des missions, soit derrière tu as des accompagnements qui vont être sur mille ou plusieurs milliers d'euros, évidemment avec ce qui va avec. Pourquoi ? Parce que si tu as peu de gens à 47 euros, si tu as 10 personnes, ça te fait 500 balles par mois, ce n'est pas possible. Par contre, si tu as des offres à 1500 euros, peu importe ce que ça donne, ou même plus, et que tu signes trois clients par mois grâce à cette communauté gratuite de gens qui voient ta valeur, qui voient à quel point tu es impliqué, et qui veulent aller plus loin, qui veulent aller plus vite, qui veulent plus d'accompagnement, quelque chose de plus personnalisé, c'est toi qu'ils vont prendre. Et ça, ça crée vraiment une stratégie ultra saine, ultra dynamique et humaine, qui fait que je le vois en ce moment, tu sais, on se bat souvent à faire beaucoup de contenu sur les réseaux, c'est très bien, c'est de la visibilité, mais ce n'est pas évident en fait d'ailleurs de transformer en client. Pourquoi ? Parce que quand tu es juste à créer du contenu sur les réseaux, Tu es juste en mode, tu pousses ton truc, tu pousses ton truc. Alors que quand les gens rentrent dans une communauté gratuite, où vraiment, ce n'est pas juste, je viens pour consommer, je viens pour apprendre, je viens pour connecter, je viens pour m'améliorer, il y a déjà en fait la démarche de. Parce qu'il y a la démarche de, et que la personne, du coup, quand tout à coup, elle consomme ton contenu et tes méthodes gratuites, sur cette communauté, elle n'est pas dans la même optique. Elle est vraiment là, elle n'est pas juste ton consommateur, elle ne t'a pas juste vu après... Un chat qui vole et un mec qui fait un salto arrière et une meuf qui est à Bali. Genre là, je suis dans le mindset d'apprendre. Je rentre dans cette communauté, intéressant, j'ai connecté à 2-3 nanas. Ok, cool, ça m'a inspiré, ça m'a motivé. J'ai peut-être envie d'aller... Je vois en plus que la personne a un accompagnement privé. Là, il y a des places. Je vais peut-être le prendre. Ça, c'est beaucoup plus sain et c'est beaucoup plus intéressant. C'est vraiment la stratégie que j'ai vue qui se dégageait. Évidemment, après, il y a plein de choses de comment gérer une bonne communauté. J'essaierai de te... t'en donner d'autres conseils, au fur et à mesure aussi que je vais peaufiner moi mes skills-là. Mais si vraiment tu te demandes, ok, finalement, je suis prof de yoga, j'arrive pas forcément, je sais pas, à remplir mes trucs, fais une communauté. Tu es, je sais pas, t'es graphiste ou t'es, tu peux être graphiste, je sais pas, j'ai des trucs qui me viennent comme ça, t'es graphiste, t'arrives pas trop à avoir de clients. Tu peux faire quasiment une communauté, je sais pas, qui est gratuite ou qui est... si t'as pas de communauté ou un petit peu et où tu balances des templates et où les gens facilement en fait ils vont pouvoir récupérer des trucs et tu leur donnes des tips etc mais en fait les gens ils vont s'y mettre, ils vont voir oh putain c'est trop bien les tips etc je peux le faire moi même en fait dès que j'ai un minimum de budget ça va me casser les couilles bah je vais prendre un graphiste en fait et puis je vais le faire avec la personne qui m'a fait les tips tu vois et c'est vraiment de se dire aussi t'es pareil je sais pas t'as un salon t'as un salon t'as un barbeur t'es un barbeur Ben en fait c'est trop cool je sais pas dans ta communauté tu dis mais dans ma vie du coup tu es dans la ville bah si je suis dans la communauté de ce barbeur en fait il ya peut-être des gens sympas que je peux rencontrer parce qu'on sait que je sais pas si tu viens dans ce barbeur il ya une ambiance comme ça il ya tel vibe tel truc donc les mecs qui sont passés dans ce barbeur c'est intéressant parce que le mec qui fait des events c'est pas que le mec le barbeur il a fait les conseils pour être barbeur il va peut-être juste faire une communauté pour créer des events de mec et ça fait plaisir de rencontrer d'autres mecs parce que c'est pas facile quand on est des gars de rencontrer d'autres gars souvent ça va être les dates où ils vont rencontrer des meufs, où tu vas faire un sport mais il suffit que t'arrives quelque part et qu'il n'y ait pas forcément le sport que tu pratiques et c'est pas évident, et d'ailleurs je crois que une des plus grosses communautés payantes Au monde, c'est un barbeur, mais lui, c'est parce qu'il enseigne à d'autres barbeurs comment bien gérer leur barbershop, justement. Donc, c'est vraiment ces deux stratégies que je voulais te partager, parce que si tu galères avec, je ne sais pas comment trop créer des funnels de vente, en fait, je galère sur les réseaux, je ne sais pas comment monétiser, c'est chiant. Commence par faire une communauté gratuite, et après, tu essaies de convertir en montrant ta valeur, en donnant beaucoup de choses gratuitement, sur du high ticket. Et puis, si tu as déjà une communauté... en fait, tu n'as pas envie de te faire chier avec des funnels, etc. parce que tu n'es peut-être pas dans cette phase-là de ta vie comme moi. Tu vois, j'ai fait des webinaires, j'ai fait des funnels. En fait, là, j'ai envie de simplifier et mon temps et ma charge mentale. En fait, j'ai passé sur ce modèle-là pour cette raison-là. Et de me dire, je suis très content parce que de toute façon, c'est moi qui donnerai plus que ce que le client me paye. Et ça aussi, c'est une philosophie que j'aime beaucoup. Jette un oeil, je pense que ça peut être intéressant si tu bloques sur ton business model et qu'il n'y avait peut-être pas encore réfléchi. Cette petite pensée limitante qui nous a tous peut-être un peu traversé l'esprit, moi y compris en vrai, c'est pourquoi je créerais sur les réseaux ? Il y a tellement de gens qui sont déjà plus talentueux que moi, ils savent faire et puis ils sont trop forts et puis ils ont des communautés, pourquoi je le ferais ? Et moi je sais que ça m'est arrivé quand là j'ai arrêté l'influence voyage et que je voulais reprendre un peu le contenu et je me suis vu avec ces pensées limitantes, j'ai dit wow, attends, retombe pas là-dedans Parce que cette pensée limitante, Si tout le monde avait ça, ça serait quand même genre Ah bah de toute façon, il y a Cristiano Ronaldo et il y a Messi, donc bon, à quoi sert d'être joueur de foot ? Ouais bah en fait, il n'y a pas de match du coup, parce qu'il en faut d'autres. C'est vraiment ce côté où tu te dis Mais en fait, vu qu'il y a un gars, ou une personne, une nana, elle le fait bien, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lui laisses tout le marché ? Ça veut dire que toutes les personnes du monde doivent l'aimer ? Ça veut dire que s'il y avait, je sais pas, quand tu vas voir un humoriste, tu dis… Ah bah vas-y, tu sais quoi, il y a Gad Elmaleh, moi j'aime bien Gad Elmaleh. Du coup, il n'y a aucun autre, en fait, à l'époque, qui se serait dit, bah moi je vais être humoriste. Ah bah là, Gad Elmaleh, il est rempli des salles. Ah bah vas-y, son humour, il fait rire des gens. Non mais en fait, il y a des gens à côté, ils veulent rire, pareil que toi. Voilà, je veux, je veux. Mais il ne me fait pas rire, moi. Gad Elmaleh, pas du tout, tu vois. Ou alors, je ne l'aime pas, je n'aime pas sa voix, je n'aime pas sa gueule. Sa gueule, je n'aime pas. Et bah ça, en fait, c'est vraiment de comprendre que tu peux avoir le même métier, tu peux être même moins talentueux. il y a des gens qui vont te préférer toi. Parce que c'est ta voix, c'est ton énergie, c'est ta façon de faire. Et que surtout, il en faut pour tous les goûts. Et que surtout, il n'y a pas de monopole. Et que c'est au contraire de se dire, il y a lui, laisse tomber, il est trop fort, on lui laisse tout. Mais laisse pas tout. Et surtout qu'il faut comprendre que quand t'es à ton compte, on dit souvent que t'as juste besoin de 1000 personnes qui te suivent et qui kiffent ce que tu fais pour pouvoir en vivre. vraiment mille personnes et il ya même une phrase qui dit si tu as 100 fans 100 personnes qui sont des fans de ce que tu fais tu peux et qui vont prendre toutes tes offres tous tes trucs tu peux vraiment en vivre c'est vraiment ça qu'il faut comprendre c'est que les gens se disent ouais mais il ya lui là il prend déjà tellement de gens et c'est comme ça il ya mister beast il a 300 millions d'abonnés sur youtube à quoi ça que je fasse des vidéos mais qu'est ce tu crois qu'on fait après qu'on a regardé une vidéo de mister beast on en regarde d'autres en fait bah ouais Et puis, quand on a testé, je sais pas, un praticien, on a bossé avec un mec, bah c'était peut-être bien, mais j'ai peut-être envie de tester quelqu'un d'autre après. Ou il est pas dispo, ou il est trop cher. Parce que peut-être que le meilleur, il est trop cher pour moi, et il est pas dispo, et du coup, bah c'est là que t'interviens en fait. Donc surtout, quand t'as cette pensée limitante de dire, bah y'a déjà d'autres qui font mieux que moi, bah déjà, arrête. Oui, parce que déjà, c'est certainement vrai, ils sont peut-être meilleurs, ils sont peut-être plus beaux, ils sont peut-être plus forts, mais ça veut pas dire que t'auras pas de clients. Ça veut pas dire qu'il n'y aura pas des gens qui te préféreront, ça veut pas dire que t'arriveras pas à en vivre en fait. Au contraire. Parce que, encore une fois, toi tu vas répondre à un besoin que le meilleur ou la meilleure, ou un, je sais pas à quel niveau, il répond plus. Pas pour qu'une question de prix, de disponibilité, de format d'offres, parce que souvent, les gens qui ont beaucoup de followers ou des grosses communautés, ils font pas de one-one par exemple. C'est fini ces trucs-là. Ou ça va coûter un million, ou cent mille, j'en sais rien. Mais c'est là où toi t'interviens, tu dis moi je fais du one-one en fait. Et puis en vrai, peut-être pas sans expérience, mais j'ai eu des très très bons résultats. Et ça, ça change tout en fait. Quand tu captes en fait qu'il faut, c'est ce qu'on appelle l'échelle de valeur d'une offre. Où tu te mets dans l'échelle des besoins et de valeurs de quelqu'un. À quel moment, si l'autre il est tout en haut de l'échelle de valeur avec son offre, parce qu'il a une communauté de ouf, qu'il a des skills de ouf, etc. Bah toi tu viens avant, sur d'autres types de clients, et sur d'autres types de compétences. Et moi, quand mon pote il m'a dit ça, j'ai regardé et j'ai fait, ça me fait... tellement mal au cœur, j'ai essayé de lui débloquer ça, mais tu sens que c'est tellement profondément ancré qu'on en revient au premier sujet de se dire, ah ouais, je pense qu'il va falloir que tu te pardonnes, que tu t'aimes un peu plus et que tu aies un peu plus confiance en toi. Parce que là, il y a trop de combinés de en fait, c'est trop fort ce que tu fais, mon pote. pour le coup tu es très bon mais en fait toi même tu y crois pas comment tu veux que des gens croient en toi et on en revient à la premier sujet donc si tu as cette pensée là déjà tu as compris lance toi fous toi au bon endroit avec les bons clients par rapport à ce que l'autre ne propose pas qui est soi-disant meilleur que toi et puis deuxièmement va voir ce que ça vient trigger en toi ça vient le truc qui est bloqué le frein à main émotionnel essaie de le repérer et de l'identifier et du mettre un gros coup de tête sa mère Je suis un petit peu vulgaire en cette fin de soirée. Mais c'est ça. Parce que ça me rend dingue. S'empêcher soi-même, on est toujours nos pires ennemis. Essaye de devenir ton meilleur ami pour 2025. Ce serait quand même un bon objectif. Et on va finir ce journal de bord avec deux petites success stories. Avant de finir quand même avec le petit fun fact, évidemment. Que je voulais te partager, qui sont deux personnes de mon collectif. La première, c'est Charlotte Parot. Et l'autre, c'est... C'est Caroli Laurent Design. Je mettrai le lien dans la description du podcast pour que tu puisses aller voir un petit peu ce qu'elles font. Parce que c'est vraiment incroyable. La première, elle vit de quelque chose que même moi, je me disais, ah ouais, on peut vraiment vivre de n'importe quelle passion. Ce n'est pas possible. La meuf vit, alors la meuf est géniale déjà. Je lui fais un bisou, Charlotte, si tu écoutes ce podcast. De l'aquarelle. Non, mais l'aquarelle, les gars. On est d'accord. La meuf est de l'aquarelle. Elle en vit. Comment ? Je ne te parle pas. Elles ne vont pas d'étoiles dans les galeries d'art, des trucs comme ça. Comment tu vis de l'aquarelle ? En fait, un, elle fait des ateliers en physique à Annecy. Si tu es dans le coin, dans la petite région de Haute-Savoie, je te conseille vivement d'y aller. C'est un rayon de soleil. Elle a une voix toute douce, elle est apaisante. Bref, c'est génial ce qu'elle fait. Comment elle remplit ses ateliers ? Évidemment, avec la visibilité qu'elle a sur les réseaux sociaux. Et elle a aussi, parce qu'elle a développé les choses, en étant dans le collectif, elle a mis en place des formations, des petites formations pour se dire comment tu te mets à l'aquarelle. Parce que des fois, on achète du matos, on fait de l'aquarelle, parce que... On est tellement de plus en plus sur nos écrans qu'on cherche tous des activités pour se déconnecter, pour mettre le cerveau de côté, pour juste être concentré sur un truc qui nous fait du bien. Et on n'est pas tous sportifs, on n'est pas tous... Bref, l'aquarelle, ça monte en puissance, ça devient trendy, motherfucker, tu vois. Et elle, elle s'est dit, en fait, venez à mes ateliers, vous allez connecter avec d'autres nanas avec qui on a cette même passion. Et à côté de ça, tiens, l'atelier c'est bien, mais si t'as envie d'avoir les petites techniques de base pour quand même te régaler... savoir comment faire tel dégradé, tel type de forme, comment bien gérer ta peinture, ton pinceau, etc. Boum ! Prends cette petite formation-là. Et je me dis, tu vois, cette meuf-là, elle est l'exemple même de je vais me lancer, j'ai peur mais j'y vais. Et je peux t'assurer, j'ai vu aussi l'évolution de tout le parcours. Elle avait aussi ce syndrome de, tu sais, j'en parlais, tu te sens coupable quand tu ne travailles pas. Parce que je n'ai pas atteint exactement le niveau où je suis safe, safe, où je vais atteindre. Et puis vu que ce niveau-là, safe, safe... Il est toujours en train de reculer ou le montant d'augmenter dans ma tête par rapport à ce que je vois sur les réseaux. Tac, tac, du coup, tu fais que bosser. Elle s'est donnée à fond. Et elle s'est donnée à fond. Et aujourd'hui, elle a un truc qui est aligné avec ce qu'elle est, avec ce qu'elle fait. Elle continue de construire et sa communauté et ses offres. Et c'est tellement un bel exemple de se dire, mais putain, si tu as une passion, un truc qui résonne en toi, mais en fait, ne crois pas que tu ne peux pas en vivre parce qu'elle, elle a réussi. Évidemment, ça demande du temps. Ça demande de l'énergie, ça demande d'enlever le frein à main émotionnel. Et t'inquiète pas que le sien était déjà bien là, tu vois, comme tout le monde. Comme tout le monde ! Elle n'avait pas un truc en plus. Non ! Et elle, tu vois, son p'tit... Le frein à main, tac, boum ! Puis elle a réussi à le dégager, tu sais, à le relâcher un petit peu. Et ça lui a fait avancer. Va voir ce qu'elle fait. Parce que c'est vraiment un bel exemple, je trouve, de réussite. Et donc je suis très fier, et je suis très fier pour elle aussi. Et c'est que le début en plus, c'est ça qui est bien. Le deuxième exemple. C'est Coralie Laurent Design, ancienne nana dans le consulting, dans les grosses boîtes comme Capgemini, qui à un moment donné, je pense qu'elle aurait mis un coup de tête aux gens avec qui elle bossait, parce que comme tous les gens qui restent trop longtemps dans une boîte, qui les saoulent et où il y a des trucs qui ne vont pas, etc., on range notre frein, on attend le dernier moment, et qui s'est lancée dans la décoration d'intérieur, truc où il y en a tellement qui s'y mettent, c'est compliqué. Et bien elle, elle a vraiment réussi, elle s'est lancée il y a vraiment quelques mois, et... et s'est mis à fond dans la création de contenu. Comme tous les gens qui commencent, c'est dur, ça galère, on cherche le type de format. Elle a réussi à bien appliquer, et celle qui le dit, ça m'a fait plutôt très plaisir, je vais t'avouer. Elle a appliqué tous les conseils qu'il y a dans Brandéo Impact, parce que du coup je l'ai mis dans le collectif à disposition. Donc il y a la formation en Personal Branding pour ça, créer du contenu, etc. à dispositionner. Et, waouh, elle est juste une métronome. Allez, trois fois par semaine, bam, ça sort du contenu, ça sort du contenu. Et un jour... Il y en a un, donc c'est passé de 500, 1000 vues, 1500 vues, 2000 vues, tu vois. Et il y en a un, il a fait 2 millions. Allez, terminé. C'est passé de, je ne sais plus, 7K, je crois qu'elle a 22 000 abonnés. Je n'aime plus ça. Bref, je ne sais plus combien d'abonnés. Il faudrait que je regarde pour ne pas te dire de conneries. Mais genre, elle a pris évidemment 7 000 abonnés en quelques jours. Parce que, c'est ça, elle a 22 000 abonnés. Elle était encore à... quelques centaines de même genre à 1000 je sais plus quoi il n'y a pas si longtemps et elle a continué et l'autre après il a fait 300 milles et puis après elle est retombée à entre guillemets retombée à 10000, 20000 et maintenant elle fait tu vois moi qui ai un vieux compte sur instagram avec de la sociale fatigue avec ça fait des années que je suis là que je poste irrégulièrement parce que j'ai pris tellement de postes ces dernières années je fais quoi je fais 15000 vues je fais des 20000 vues 30000 vues tu vois c'est pas énorme entre guillemets elle elle fait plus que moi maintenant Et donc j'ai une meuf dans mon collectif où j'ai la fierté de me dire la meuf elle fait beaucoup plus de vues que moi et elle est beaucoup plus régulière. Et forcément ça lui a attiré quand elle a eu ça, elle a eu l'intelligence de mettre en place un truc, une automatisation qu'on avait vue, elle l'avait vue aussi, pour envoyer directement parce qu'elle propose évidemment ce qu'on appelle des lits de magnètes, donc un petit fascicule, un truc gratuit qui aide les gens à bien décorer leur intérieur. Elle a récupéré des mails, du coup ça a fait grandir sa base mail. à côté de ça elle avait plein de demandes de devis pour la décoration intérieure et puis à côté de ça elle est en train de développer aussi une petite formation pour aider les gens qui au lieu de se payer les services d'une décoratrice d'intérieur parce que des fois ils n'ont pas les moyens c'est juste de dire tiens je te donne les clés pour savoir comment bien agencer comment bien décorer etc pour les plus petits budgets boum elle se positionne sur plusieurs niveaux d'échelle de valeur de ses clients et bam moi quand je suis là je me dis waouh la meuf ça fait à peine quelques mois qu'elle s'est reconvertie et Ce que j'ai vraiment vu, c'est la meuf qui a juste été régulière, qui a pas lâché l'affaire. Genre que ça fasse beaucoup de vues, pas beaucoup de vues, ça poste, ça poste. Et elle dit, ce contenu-là, putain, ça me prend trois heures à le faire. Et au début, je me souviens parce que, évidemment, on l'a suivi avant que ça pète. Elle était en collectif avant que ça pète. Elle dit, ouais, putain, ça me prend du temps, je galère, truc. Sauf que ouais, je galère, c'est quali, ça met du temps. Mais bam, il y a un moment, ma grande, t'as fait deux millions et tu le mérites. Mais ça, ça, c'est un vrai rappel de se dire... Je sais ce que je veux faire et je sais que si je lâche pas l'affaire, justement, ça va réussir, ça va payer. Et surtout, la vie le sait. Même l'algorithme Instagram, qui n'est pas un truc qui est connecté, je pense, au cosmique et aux âmes de l'intergalactique, tout ça, on est plus sur des... Bon, et bien même ça, il le sait. Il voit, il voit, puis on dit, vas-y, donne-lui sa chance, on va voir ce que ça donne. Vas-y, envoie, allez, bam, 2 millions de vues, terminez, bonsoir. Donc, vraiment... Vraiment, ne perds pas espoir. Si toi, tu vois que ça galère dans tes contenus, que tu te dis qu'il y en a d'autres qui font mieux, etc. Continue. Donne-toi du mal. Ça va péter. Il y a un moment donné, ça va péter. C'est juste mathématique. Et pour terminer ce nouveau journal de bord, évidemment, le petit fun fact. Le petit fun fact qui vient d'arriver il y a quelques minutes en plus. J'étais en mode, qu'est-ce que je vais raconter cette semaine ? Bam, il m'est arrivé il y a quelques minutes. Je suis où ? Je suis dans une petite maison, enfin non, une grande maison de campagne dans l'arrière-pays lyonnais. pour passer le nouvel an chez un pote dont la maman à 91 ans elle est posée, ça fume des clopes ça fume 27 clopes par jour la daronne elle a les poumons d'acier elle est increvable et à un moment donné bon évidemment elle marche pas elle marche avec son petit déambulateur elle est vive d'esprit je lui ai dit je suis quand même arrivé je vais vous faire des fleurs j'ai acheté un petit éclair au chocolat on était refait j'avais envie de la mettre bien vu que j'étais Moi mon pote on attendait d'autres amis qui allaient arriver et qui sont arrivés ce soir. En attendant qu'est ce qu'on a fait ? Il y a un jeu que j'aime bien parce que moi j'aime bien jouer. J'aime bien les jeux. J'aime pas jouer de l'argent, j'aime jouer des petits gars, je vous aime bien jouer, c'est ce qui me fait marrer. Je dis tiens, est-ce que ça vous dit de jouer au dé ? Ils me disent bon quoi, je connais pas les dé, je sais pas jouer au dé. Je dis putain ! Je dis vous inquiétez pas ce jeu il est stylé, il est marrant, il est facile à apprendre, il s'appelle le 10000. Big up à tous ceux qui connaissent le 10000. Putain j'ai pris des sacrés gages à ce jeu, je kiffe jouer. Du coup, je suis là. Moi j'aime bien jouer mais j'aime bien gagner tu vois. J'ai pas de problème à perdre même si ça me fait un peu mal à la gueule mais je suis là en mode bon les gars ils ont jamais joué tu vois. Et les dés on va dire oui c'est que de la chance. J'ai envie de me dire dans ma tête qu'il y a un pouvoir au bout des mains, que tu peux visualiser le truc que tu veux faire si t'es vraiment concentré. Le nombre de fois où j'ai appelé mon score c'était fou, c'était digne d'un film de science-fiction tu vois. Donc je suis là, j'apprends les règles, tac tac, on y va, on est trois, on lance les dés, waouh. Françoise, 91 ans. Je la vois, ses petits dés entre les mains, elle les caresse, elle les retourne, elle est là avant de les lancer. Je dis, la meuf, ok, la meuf c'est une marabout, elle a un délire. En termes de magnitude, elle est en train de les trafiquer à son... Elle met un champ magnétique dans les dés, ça va faire des quadruples 6, je suis dans la merde, un truc de ouf. Je suis là, elle balance les dés, elle fait des scores avec des mains, sur des mains, je suis là, je sais pas, c'est pas possible. Moi dans ma tête, j'étais là en mode, je la conseillais au début. Évidemment, je veux qu'elle joue, je veux qu'elle s'amuse. Sauf qu'à la fin, elle est en train de me mettre une touche, je dis Ouais bah vas-y, fais comme tu veux, un peu Françoise, fais un peu au feeling Et puis bon, elle a quand même 80 ans, et puis pas toutes les règles non plus, tu vois. Et puis mon pote JL me fait Mais attends, attends, n'écoute pas, n'écoute pas Alex, en fait, on voit son vrai visage Je dis J'ai pas rien à voir, un vrai visage, t'es un vrai joueur, tu vois Deux parties, on a fait. Françoise nous a démonté les deux parties. Je suis reparti la queue entre les jambes, j'ai été dégoûté, je suis putain, j'ai... Une petite vieille comme ça, toute mignonne, j'offre des fleurs, j'offre un éclairant au café. En plus, c'est quoi la récompense que j'ai ? C'est MFoulato, le jeu que j'aime bien odé. Et putain, ça fait du bien et ça lui a bien fait plaisir en tout cas. Je te fais des gros bisous et je te dis à la semaine prochaine.

Transcription

  • Speaker #0

    J'espère que ton Noël s'est bien passé. Écoute, si tu as écouté le dernier journal de bord, sache que le cadeau que j'ai fait à mon père qui était de monter la vidéo de notre trip il y a 7 ans en Géorgie, j'avais tout filmé mais j'avais rien monté, sache que j'ai réussi à avoir en retour des larmes de joie. Et quand tu vois ton père qui te dit c'est des larmes de joie, c'est le plus beau cadeau qu'on m'ait jamais fait, je me suis vraiment dit, waouh, ça valait la peine de se coucher à 4h du mat'pour monter la vidéo le 24. et passer un peu le réveillon avec la gueule dans le cul et pas très frais parce que quant à ça tu te dis la vie c'est vraiment vivre des émotions et que ce soit s'acheter des trucs c'est vraiment ça le plus important c'est pour ça que ça fait longtemps que je n'achète plus de cadeaux dans ma famille je nous offre des moments et du temps ensemble et du coup cette vidéo c'était du moment qu'on s'offrait ensemble à la regarder et puis moi aussi de lui permettre de revivre toutes ces émotions bref Encore un gros big up à Isabelle Sauser de mon collectif Qui m'avait soufflé l'idée C'était vraiment incroyable Je te recommande vivement pour tes prochains Noël Au lieu d'acheter des trucs parce que t'es forcé de les acheter Parce qu'il faut acheter ce jour là Moi déjà ça me rend dingue J'ai un petit problème avec l'autorité Mais plutôt te dire quel moment on peut s'offrir ensemble Avec cette personne là qui nous ferait kiffer Et s'offrir des souvenirs Je trouve ça beaucoup plus fort Cette semaine dans le journal de bord Je te parlerai du bilan de l'année Merci et des leçons que j'en ai tirées, et surtout aussi des bilans qu'on a fait avec mon collectif, parce que j'ai vu qu'il y a des choses un peu génériques qui revenaient, enfin des traits communs qui revenaient, et je me suis dit que ça pouvait être très utile aussi d'en retirer les leçons et les clics qu'on a eus un petit peu tous ensemble. Je voudrais te parler aussi d'Arnold Schwarzenegger. Alors je sais qu'il y a pas mal de femmes qui me suivent et qui vont dire Waouh, super, génial, grosse thématique, ça va vachement me plaire, ça tient Bah détrompe-toi. Je viens de regarder un documentaire sur lui en trois parties, et... vraiment il y a deux trois leçons de vie qui j'ai trouvé très inspirant et que je voulais partager je voulais aussi te partager deux stratégies si tu comptes monétiser une communauté que ce soit à travers des réseaux sociaux à travers une communauté payante généralement deux stratégies à te partager que tu as déjà des gens qui te suivent sur les réseaux ou que tu n'en es pas comment attirer des clients comment créer une communauté saine qui te rapporte de façon naturelle je pense que ça pourra être très utile parce qu'encore une fois je pense qu'on va vraiment en vers un engouement des communautés, de la connexion humaine, comment remettre de l'humain dans ses offres, dans ses accompagnements, dans son activité. Donc je voulais te partager ça. Je voulais te partager également une phrase qui, pour moi, est une pensée limitante de fou. J'ai discuté avec un ami qui est praticien dans le domaine de la spiritualité, études, bien-être, et qui me disait Ouais, mais ça ne sert pas à grand-chose que je commence à créer du contenu sur les réseaux, que je m'affiche, parce qu'il y a tellement de gens. qu'ils le font déjà bien et qu'ils en savent plus que moi. Alors je vois pas pourquoi je n'y mettrais. Et cette pensée limitante, je pense qu'il y en a beaucoup qui l'ont. Et je voulais la tacler parce que c'est vraiment, vraiment très dommage de l'avoir. Et je voulais finir avec deux success stories de personnes de mon collectif. Je voulais te partager dans quoi... Une a réussi vraiment sur les réseaux sociaux, pas qu'un peu d'ailleurs. Et une autre qui a réussi à vivre d'un métier auquel tu t'attendrais jamais, un métier passion, tu dis tu peux pas vivre de ça. Et si... Et je voulais t'en parler, je voulais te dire comment elles ont fait, comme ça j'espère que ça pourra t'inspirer. Et évidemment, je vais finir avec un petit fun fact. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Le bilan de l'année 2020, j'ai commencé à le faire, j'ai pas encore tout à fait fini, mais on a fait un live avec mon collectif. Et je me suis vraiment aperçu qu'il y avait un schéma qui revenait, et surtout une grande leçon qui nous a apparu, tous d'une évidence incroyable avec le collectif. On a fait un live sur ce sujet donc. On s'est vraiment aperçu que réussir dans son activité pro, c'est avant tout savoir gérer son mental et ses émotions. Ce qui est fou, c'est que finalement, comment tu es bon dans ton métier ou quelles compétences tu as, ça reste assez simple. C'est des choses où tu apprends de façon assez bête et méchante, tu le refais, tu répètes. OK. Mais en fait, ce qui va vraiment être la clé du succès ou de l'échec et de l'effondrement, ou du mal-être, ou de la... peur ou de tout ce qui va avec, c'est de te dire comment tu te gères toi à l'intérieur. C'est-à-dire, est-ce que tu as assez confiance en toi pour te lancer ? Est-ce que tu t'aimes assez ou tu t'estimes assez pour aller promouvoir tes offres, te mettre en avant sur les réseaux ? Est-ce que, encore une fois, tu te sens assez motivé pour appeler des clients ? Est-ce que tu gères assez bien ta charge mentale pour ne pas être trop stressé, te sentir submergé et finalement te sentir paralysé par toutes les tâches ? d'avoir vraiment cette clairvoyance. On s'est vraiment aperçus de se dire, waouh, c'est fou à quel point... Et il y a aussi ça, mais il y a aussi le fait d'être aligné. Ça, j'y reviendrai juste après. Mais il y a vraiment ce truc de se dire, en fait... Tu peux avoir toutes les compétences du monde. Si, quand tu te lèves le matin, tu te regardes dans la glace, tu te dis pas, franchement, c'est génial ce que je fais, je suis fier de mon produit, je suis fier de ce que je vends, de mon service, et putain, je suis une bonne personne, je me trouve beau, belle, j'ai confiance en moi, putain, c'est génial la chance que j'ai de pouvoir proposer ce que je propose. Je suis vraiment impatient d'essayer de le vendre aux gens, parce que je sais que ça apporte quelque chose, mais si t'as pas ça en toi, que t'as pas cette motivation, que t'es en mode... Putain, faut que j'appelle les clients ce matin, ça me paralyse encore, j'ai pas envie. Putain, faudrait que je me filme, que je mette en avant, je sais, faut que j'incarne plus mon... Mais il y a des gens qui font ça mieux que moi, puis je suis pas bien, puis je... Et voilà, et puis là je suis fatigué, puis j'ai tellement de trucs, là je suis stressé, je sais pas... Ça en fait, c'est que ces choses-là en fait, où tu t'aperçois que... C'est ce que j'appelle le frein à main émotionnel. C'est à ton business, mais t'avances avec un putain de frein à main émotionnel. Alors que la personne... qui est un peu éclaté au sol dans son métier, et on le voit, tu le sais, tu les vois sur les réseaux, tu sais qu'ils sont pouraves et tu n'entends que des trucs pouraves sur eux, mais eux, ils s'en foutent. Même s'ils savent qu'ils sont pouraves, ils ne doutent de rien. Ils ont confiance. Ils se vendent, ils se survendent, ils se pipotent un peu pour se... Mais ça marche. Parce qu'en fait, qu'est-ce qu'ils ont ? Ils ont potentiellement, à l'instant T, une très bonne gestion émotionnelle de ce qu'ils sont, de comment ils voient les choses, de leur quotidien. Du coup, c'est pas un frein à main émotionnel qu'ils ont. C'est une roquette dans les fesses, mon gars. Et y'a pas de problème, le cerveau, il y va, il les emmène exactement là où il veut l'aller. Et je me suis vraiment rendu compte de me dire, là, moi, comme je te disais dans l'épisode précédent, j'ai vu que j'avais besoin de réduire au maximum ma charge émotionnelle parce que, waouh, j'étais dans une grosse fatigue, j'ai remis un peu le nez dans un burn-out, donc il fallait que j'allège mon quotidien, que j'éclaircisse un peu mes pensées et que... Quand tu baisses ta charge mentale, ton cerveau, c'est comme un enfant que tu libères des devoirs. Oh, il se sent mieux, il a envie de courir partout, il est créatif, il s'amuse, il est content. Ça fait du bien. Mais il y a aussi ce côté, c'est bien sympa, la charge mentale, mais après, il y a aussi ce côté genre, OK, je n'ai pas de charge mentale, mais est-ce que quand je me regarde, j'ai confiance en moi ? Est-ce que je suis prêt à faire les choses ? Est-ce qu'en fait, il y a toutes les choses qu'on me dit de faire, que ce soit Alex Vizeo qui me donne des super conseils sur son podcast, ou dans son collègue qui est fou, dans ses formations. ou n'importe quel gus que j'entends, ou des formations que j'ai achetées, etc. Mais si en fait, on me donne la formule pour courir le 100 mètres en moins de 10 secondes, grâce à l'entraîneur du sandbolt, si tu ne fais pas les tours de stade parce que tu as peur de ne pas courir assez vite, ou que tu as la flemme, ou que tu en as marre, tu ne pourras pas, personne ne pourra passer en dessous des 10 secondes, si ce n'est les personnes qui, eux, ne se posent pas de questions et appliquent. Mais pour appliquer, même si tu as, encore une fois, la formule magique de la potion magique, si tu n'es pas capable, d'avoir le courage, le bien-être, la confiance, pour le mettre en application, il ne se passera rien. Et c'est vraiment là où je me suis aperçu qu'à quel point avoir son activité, être entrepreneur ou entrepreneur, solopreneur, freelance, appelle-le comme tu veux, c'est tellement un bel outil de développement personnel pour aller mieux. Parce que tu n'as pas le choix. Et que ça va vraiment te mettre face à toutes tes pensées limitantes, tous tes murs, toutes tes limites, en fait, tout ce qui te limite. Tu vas voir tes limites, tu vas dire putain là j'y arrive pas. Et que si t'as envie de réussir, il va falloir que tu les surmontes. Et que tu t'aperçois souvent que la barrière de connaissance professionnelle est finalement assez basse. Et que celle des barrières mentales c'est un mur parfois infranchissable. Il y en a beaucoup. Et quand on dit que l'entrepreneuriat, à moi c'est pas fait pour moi, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que t'es pas capable de surmonter le stress, t'es pas capable d'aimer un peu plus, t'es pas capable... D'avoir plus confiance en toi, d'être bien, tu vois, et d'être confiant et de l'assumer, d'être fier. Mais je me dis, mais putain, mais t'imagines que quand tu te dis l'entrepreneuriat, c'est pas pour moi, ça veut dire que t'abandonnes le fait de pouvoir être mieux dans ta peau, d'être fier de ce que tu fais, parce que, et pleinement, alors que moi, je me dis, l'entrepreneuriat, ça va toujours piquer là où ça fait mal. Putain, ça fait mal. Allez, go, il en prend un coup. Allez, limite. Ah là, quand tu te pensais bien, ça va te mettre les yeux dans ton caca et ça va toujours te pointer là où tu dois t'améliorer. Mais je trouve ça formidable. Je trouve ça formidable parce que c'est une aventure sans fin et du coup un jeu sans fin. Et du coup, ça fait plaisir parce que du coup, si c'est un jeu qu'on aime jouer, tout à coup, c'est nourrissant, c'est passionnant, c'est enivrant. On se sent grandir, on se sent évoluer. Il n'y a rien de tel pour nourrir son âme et son esprit. Et c'est vraiment ça que je voulais te partager. C'est que si tu sens que tu galères dans ton activité pro, ne te demande pas ce que tu sais. pas faire en vrai dans ton métier. Demande-toi là où en fait, tu as des limites mentales et débrouille-toi pour les surmonter, les faire exploser, pas les contourner, mais vraiment les résoudre, les embrasser et aller parce que c'est à ça que ça sert en vrai. Et justement, quand je te disais être aligné, Ben, il y a plusieurs personnes dans mon collectif, et moi y compris, ben cette année on a cherché nos offres, on les a peaufinées, on les a testées, on a abandonnées, parce qu'il y a plein de trucs dans lesquels je m'étais embarqué, qui encore une fois, c'était mon égo qui parlait, c'était ah tiens, il y a un tel qui fait ça, ou vas-y si je fais ça, je vais pas rapporter assez d'argent, ou du coup machin, etc. Mais c'était pas aligné en fait. Et le fait de vouloir faire des trucs où t'es pas aligné, parce que souvent c'est à cause de l'argent, Soit c'est parce que tu vois que ça me... Oh, c'est le nouveau, c'est l'objet brillant, il faut absolument que je fasse ça, ou j'ai vu un tel faire ça, mais ça ne te ressemble pas. En fait, un, ça ne marche pas souvent, souvent ça te crée une charge mentale, deux, tu es stressé, parce que tu n'es pas aligné. Et si tu n'es pas aligné, encore une fois, ça te crée des barrières, et tu vas avancer avec un frein à main émotionnel, et ça ne va pas marcher. Et ceux, je vois, qui cartonnent, c'est ceux qui, un, encore une fois, ne se posent pas de questions, et ça, c'est les gens magiques. Malheureusement, ce qui est triste, c'est que souvent... les gens qui sont pas toujours très honnêtes, eux ils se posent pas de questions, ils s'en foutent, bon après ça vient les ronger un peu plus tard, en général c'est coup de karma, ça arrive, mais c'est aussi ceux qui sont toujours dans leur ligne, peu importe les modes, eux ils sont pas avec les modes, ils s'adaptent juste un petit peu, mais normalement c'est comme ça que je vois les choses, c'est cette activité là que je veux faire, et à cette façon avec ces valeurs là, et eux ils finissent toujours par réussir. Et je pense que c'est vraiment quelque chose que j'avais envie de me rappeler, de te partager, parce que c'est ce qui va te faire réussir en 2025, c'est en le gardant à l'esprit. et on a entaclé ces sujets. Notre ami Arnold Schwarzenegger, alors évidemment, ceux qui connaissent de près ou de loin, c'est Bodybuilder, c'est l'acteur Terminator avec des gros guns, mettez la gueule à tout le monde, c'est pour ça que c'est plus la voix de Stallone. Et c'est aussi gouverneur, l'air de rien, de la Californie. J'avais déjà commencé à lire son bouquin, mais il est tellement énervé en mode pavé que ma passion pour la lecture m'avait rattrapé. Mais j'avais commencé à beaucoup aimer ce parcours et quand j'ai vu qu'il y avait un documentaire sur Netflix qui finalement documente ces trois grandes parties de vie qui est l'athlète, le bodybuilder, ensuite l'acteur et ensuite le politicien, j'ai voulu vraiment regarder un peu tout ce parcours et j'ai vraiment été... Si vraiment je me dis qu'il y a un mec qui est né juste après la guerre, la seconde guerre mondiale, en Autriche, donc pays d'Hitler quand même, des nazis, qui arrive à sortir de là... à être champion, à être dix fois champion du monde de bodybuilding, Mister Univers, Mister Univers, Mister Univers, etc. Et que derrière, il arrive à être acteur à Hollywood et même être l'acteur le mieux payé d'Hollywood avec celui qui fait le plus d'argent au box-office et devenir un politicien. Je me dis, en fait, déjà, tout est possible. Parce qu'à chaque fois, on lui a dit, tout ça, c'est impossible. Genre, au début, on était trop petit, trop maigre. pour le bodybuilding, puis après on dit, ah oui non, d'accord, si c'est bien. Après on lui dit, mais mec, acteur, gars, t'as un gros tas de muscles, t'as un accent allemand à couper au couteau, on veut pas de toi, c'est pas des gros muscles, c'est Dustin Hoffman en ce moment, c'est des petits gars tout queues, des Al Pacino, non, bon bah le gars il a quand même réussi, il a jamais lâché. Et puis après, un acteur qui fait des gros films avec des gros guns, qui va devenir politicien, non, non, bah si, il a réussi. Il y a vraiment un truc qui m'a marqué chez lui, c'est... Je pense que c'est quelque chose qui peut être finalement une malédiction et ta plus grande bénédiction. C'est que, un, il ne se satisfait jamais de ses résultats. Deux, il est tout le temps en train d'apprendre des nouvelles choses et de se renseigner des gens. Les témoignages qu'il y avait sur lui, c'était que le mec est toujours en train de poser des questions sur comment tu fais, etc. Et toi, comment tu vois la vie ? Et en fait, au lieu de déblatérer ces trucs, il était toujours en train de demander des conseils et vraiment de puiser de la connaissance des gens. Et la malédiction pour moi c'est ce côté de jamais en avoir assez. Mais il y avait un truc aussi qu'il faisait, c'est que dès le moment où il a commencé à être bodybuilder et faire de la muscu, il a construit son groupe de potes, et ce qu'il disait c'était ses communautés encore une fois. Et il a compris qu'il était très fort à ça. Et il a toujours été le mec qui était fédérateur, c'est construire ses communautés autour de lui, ça lui a toujours permis d'avoir les compétences dont il avait besoin pour construire les choses. C'est-à-dire, quand il a été bodybuilder, après il avait... Il se tapait pour que ses potes puissent venir et être payé comme lui sur des projets, des trucs. Mais derrière, dès qu'il avait besoin, en fait, ce qu'il faut savoir, les gens ne savent pas. Maintenant, Schwarzenegger, après, pendant qu'il était en Californie pour être un peu bodybuilder et donner une autre vergue à sa carrière, le mec, il s'entraînait deux à trois fois par jour. Et après, il allait être dans le bâtiment pour, parce que le peu d'argent qu'il avait, il l'avait investi vraiment dans l'immobilier, à acheter des bâtiments et à tout retaper. Donc le mec, il devait être crevé de ouf. Il a emmené tous ses potes bodybuilders. pour retaper des maisons avec lui, etc. Et en fait, le mec est devenu millionnaire, millionnaire. On ne parle pas d'un gars qui est un peu de millionnaire avant même d'être acteur de Hollywood, parce que tout de suite, le mec... Il a dit, ok, je ne sais pas faire ça, comment on fait ? Vas-y, apprends-moi. Et boum, il s'y est mis. Vient mes potes, la communauté l'a aidé. Et que justement, quand il a voulu être acteur d'Hollywood, qu'est-ce qu'il a fait ? Je ne sais pas bien parler anglais. Ok, je prends des cours. Je prends des cours d'anglais. Jusque-là, rien de fou. Mais il a dit, ok, en fait, si je veux aussi savoir gérer ma carrière, il faut que j'ai des notions de business. Et avec l'argent que je vais faire. Boum, il prend des cours du soir. Donc c'est vraiment cette soif du gars qui est toujours en mode, je m'entoure. J'essaie de toujours bien m'entourer. Des gens qui vont m'aider, des gens que je vais pouvoir aider, des gens qui vont vraiment me tirer vers le haut. Et pareil, t'imagines bien dans la politique, il n'est pas arrivé en mode Coucou ! Il s'est marié avec une Kennedy, donc déjà ça aide à avoir 2-3 connaissances sympas. Et c'est vraiment se dire Je suis toujours en train d'essayer d'apprendre, de donner le meilleur de moi-même, et de tester des nouvelles choses, et surtout, le non ne viendra jamais entacher la vision que j'ai de moi-même. Et la vision, et c'est l'estime, mais c'est la vision que j'ai pour moi. Le gars se voyait à chaque fois la vision qui lui est arrivée, il l'avait déjà avant. Et en fait, tout le monde, vraiment, lui disait, mais non, arrête. Même ses potes, quand il a voulu devenir poéticien, ses potes d'Hollywood, ils se disaient, mais frérot, qu'est-ce que tu fais ? Je disais, mais non, ne fais pas ça. Tu n'es même pas américain. Enfin, on t'a donné l'initialité, mais bon, tu... Il disait, mais non, moi, je m'en fous, en fait. Et ça, je pense que c'est une énorme puissance. Encore une fois, c'est important, c'est pour ça de se connaître et d'aimer la vision qu'on a de nous et de ce qu'on veut faire de notre vie. Et que tous les gens qui vont dire non, c'est juste souvent qu'ils projettent leur propre peur sur ton projet à toi et de se dire si moi j'étais à sa place, mais non, ne le fais pas. C'est rare de se dire, ou alors, c'est-à-dire si moi j'étais à sa place, j'aurais peur de ça, donc ne le fais pas. Ils se projettent à ta place, tu vois, mais non, il va galérer, tout, ne le fais pas. C'est ça que j'ai trouvé très fort chez lui. C'est vraiment... l'apprentissage continu, la construction de communauté et de jamais en fait abandonner sa vision malgré les difficultés et surtout par exemple, il faut comprendre que c'est pas quelques noms qu'il a eu. Quand il a voulu être acteur, ça lui a pris presque 5 ans son rôle. 5 ans, c'est long ! C'est long et en fait, quand tu refais ta rétrospective de ta vie et de sa carrière, on dit oui, ça lui a pris 5 ans. C'est une phrase qui prend trois secondes et après il déroule tous les succès qu'il a eus. C'est ça qui est fort, je trouve. Et je pense que c'est le plus dur. Et je pense que c'est aussi quelque chose qui, moi, en ce moment, c'est une bataille intérieure. C'est qu'il dit, quand ça ne va pas, reste occupé. Keep being busy. Fais des trucs. Avance. Je pense que ça, ça permet effectivement de créer des projets incroyables. d'exploser les murs, d'être comme un tank, etc. Je pense aussi qu'en fonction de ta vie, de ton caractère, ça peut être un peu faire l'autruche, et tu peux te retrouver peut-être à 60, 50 ans ou 70 ans, à avoir réalisé plein de choses, mais à te sentir misérable à l'intérieur. Je ne sais pas à quel point il se sent bien ou pas, notre cher Arnold, mais je pense qu'il y a un juste milieu entre se nourrir de cette soif, de savoir faire taire des émotions qui peuvent t'handicaper, Mais parfois de se dire, tu sais quoi, là, je vais prendre le temps quand même. Parce que, genre, si tu as des émotions qui vont te perturber, tu sais quoi, fais les terres, reste occupé. Noie-toi dans le travail, dans l'apprentissage, etc. Et bon, au moins, ça te permettra d'avancer et ça ne va pas tant... Oui, mais tu vois, il le disait, quand il a dû devenir acteur, en fait, le mec était inexpressif. Parce que c'était un bodybuilder qui vient d'une famille très compliquée, où son père était ultra autoritaire, où il a vu... Il a dû surmonter plein de challenges émotionnels et du coup il les a enfouis. Il n'a jamais exprimé. Et comme il a dû être acteur, il était là en mode... Il ne parlait pas comme ça, mais voilà. On est content, on a compris. Il n'y avait aucune expression sur son visage, dans sa voix. Et un bon acteur, le principe c'est justement de savoir varier, d'adapter son état émotionnel en fonction de la scène, etc. Et le mec disait, il va falloir que je me connecte à des choses qui sont toujours restées enfouies. Et ça revient un peu à... Une des leçons que j'ai partagées dans un des journaux de bord, un des journaux de bord que j'ai refait quand j'ai repris, c'est l'émotionnel. En fonction de quel type d'émotion tu arrives à connecter, c'est vraiment un super pouvoir auquel tu peux te connecter, mais il faut l'utiliser au bon moment. Et je commence à être d'accord avec ce fait de dire Wow, là c'est le moment de pleurer ma peine, de la partager, d'exprimer ma colère, de me connecter à de la joie. Mais des fois, c'est aussi le moment de te dire Non, là c'est le moment de guérir en fait. J'ai besoin de faire une prestation, une compétition, peu importe ce que c'est, et que là je me connecte à l'esprit du guerrier, que la fragilité, nique ta mère, j'arrive plus tard, attends-moi pour le souper, on ira chialer ensemble. Mais c'est vraiment, en fait, ça que j'ai vu. C'est de ce côté où, OK, en fait, je m'aperçois à quel point l'émotionnel est peut-être, encore une fois, un frein à main incroyable et un boulet, un fardeau de fou. Peut être une des plus belles choses, évidemment, qu'on peut vivre. Parce qu'en fait, je m'aperçois aussi que vivre que heureux et tout le temps content, ce qui a été la majorité de ma vie, c'est bien, mais tu ne vis pas toute la vie, en fait. Ce n'est pas que ça, la vie. C'est aussi... éprouver toutes les autres émotions, c'est ça qui fait la richesse de la vie, toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Mais faut pas en être victime, il faut savoir se dire ok là je m'autorise et là je le fais taire. Et voilà c'est vraiment ce que j'ai retenu de ce nôtre chez Arnold, c'est vraiment apprentissage permanent, soif du toujours plus et faire savoir faire taire ses émotions au bon moment et puis la communauté. J'espère que ça te servira pour préparer ton AIDEN 2025. Gérer et monétiser sa communauté, c'est vraiment un sujet en ce moment qui me passionne parce que j'aime le côté communauté où tu vis de quelque chose, où en gros tu es en train d'aider non pas des clients ou des personnes comme ça, mais une communauté sur le long terme, comme une équipe, des gens qui t'ont fait confiance et qui vont rester là plus ou moins longtemps. Et ça je trouve ça vraiment beau et je pense que c'est aussi l'avenir et que ça se dirait que sans plus aujourd'hui ça devient le business model le plus facile. à mettre en place. Je t'explique comment. En ce moment, il y a une énorme plateforme qui est en train d'émerger qui s'appelle Skool. C'est vraiment la façon la plus simple de, si tu veux te lancer, de monétiser ta communauté. Parce que c'est une plateforme où tu as toute la partie communautaire, tu as la partie plateforme où tu as tous tes modules de connaissances et tu as aussi tout ce qui va être agenda, des différents événements, des zooms, des lives, etc. Pourquoi c'est le plus simple, c'est parce que souvent quand tu veux vendre de la connaissance, quand tu veux vendre même des prestats freelance tu vas créer une page avec des funnels des trucs, là ce truc là c'est assez simple, t'as une page où t'expliques ce qu'il y a dans ta communauté et en vrai tout ton trafic tu vas le diriger là et derrière ça fait et la facturation et l'abonnement mensuel et il y a tout qui est fait simplement et je trouve ça intéressant parce que des fois un Je vois, quand on veut se lancer, on veut vraiment se dire Waouh, je fais un site internet, je fais des pages de vente, je fais des funnels, des machins. Et en fait, c'est tellement compliqué, des fois, techniquement, et c'est pour ceux qui se lancent, mais pour ceux qui sont déjà lancés. J'ai telle offre, j'en crée une autre, et puis une autre. Et en fait, c'est compliqué. C'est ce qu'on dit dans le business, le plus simple, c'est souvent un levier d'acquisition. Donc souvent, ça correspond à un réseau social et une signature. Et je pense, pour l'instant, de... Je vais voir ce que ça donne, mais que d'une certaine façon, tu peux te faire moins d'argent, clairement moins d'argent, si tu es en mode, tu crées ta communauté avec un abonnement. Que si tu fais, tu sais le truc des webinars, avec des ventes de formation, avec des accompagnements à 1000, 2000 balles, 3000 balles, etc. Que si tu fais évidemment une communauté avec un abonnement à 15 euros, 40 euros, 50 euros, 100 euros, etc. Mais l'avantage, c'est que ça peut évoluer. Et surtout que c'est simple. Et voilà, je te dirais les deux stratégies que tu peux mettre en place parce que je pense que demain, c'est ultra intéressant que tout le monde ait des communautés, soit parce que la communauté est payante directement, mensuellement ou à l'année, soit parce qu'en fait, la communauté est gratuite et la communauté n'ont pas des followers, mais la communauté qui interagit sur ta thématique. En fait, c'est juste là où tu auras tes clients. Et c'est vraiment ça, les deux grandes stratégies. En gros, tu as beaucoup de followers sur les réseaux. En fait, tu vas les amener sur ta communauté payante qui... et on va dire la phrase qui commence à être connue, tu vas leur faire une offre à 100 millions de dollars qui va leur coûter presque rien, et qui serait en fait, c'est une offre qui a tellement de valeur qu'il serait bête de la refuser. Et c'est pour ça que tu vois là sur mon futur collectif, je vais mettre toutes les formations que j'ai à ma disposition, que j'ai créées, que ce soit Brandéo Impact, Fasca M'Expert, Fast & Focus, il y aura tout dedans, il y en a pour plus de 4000 balles de formation, au prix si tu les achètes une par une, et je vais le faire à... 47 euros par mois pour le prix de lancement. Et je me dis, en fait, plus les lives, plus l'interaction. Et je me dis, les gens, s'ils ne prennent pas et qu'ils m'apprécient un minimum et qu'ils ont ces besoins-là, ils seraient vraiment contre de ne pas le prendre. Vraiment, c'est moi qui prends tous les risques, etc. Donc, soit tu as ce côté-là. Et finalement, tu peux, un, avoir ce qu'on appelle des offres low ticket. Et que si tu as envie, derrière, si les gens kiffent, ils kiffent ta communauté, tu peux faire, par exemple, après de l'accompagnement one-one. qui vont être ce qu'on appelle sur du high ticket, donc tu vas être sur des prix sur plusieurs milliers d'euros, ou alors tu peux faire des événements, tu peux faire des masterminds. Donc finalement, tu fais rentrer les gens qui vont être des clients qui ont mis de l'argent dans ta communauté, mais de façon saine, parce qu'en plus, ils rentrent dans ta communauté, putain, c'est chanmé. tout ce que j'ai pour ça. Et en plus, ils ont vraiment cet effet de j'apprécie la personne, j'apprécie le fait que j'ai énormément de valeur pour le prix que je mets. Donc forcément, c'est trop cool, tu crées un lien de confiance vrai. Et derrière, s'ils ont un besoin forcément un peu plus élevé ou d'être accompagnés, parce qu'il y en a toujours qui ont besoin d'accompagnement un peu plus one-one, ça, c'est un super levier d'acquisition naturel. Et qu'est-ce que tu fais en gros ? C'est quoi la stratégie si tu n'as pas vraiment... de followers ou beaucoup de communautés. Là, il va falloir que tu te débrouilles pour l'autre stratégie de faire une communauté qui va être gratuite, où justement tu vas être sur School, tu vas mettre des modules de connaissances, tu vas interagir, tu vas donner beaucoup de valeur à la communauté et tu vas te débrouiller pour l'animer, pour mettre les gens en relation, etc. Et que dans ces gens-là, en fait, toi, ce que tu vas faire quand tu n'as pas beaucoup de communautés, c'est que quand tu commences, tu es obligé de faire ce qu'on appelle des prix et des offres à étiquettes. Les offres à étiquettes, c'est que Soit tu es freelance et tu as des missions, soit derrière tu as des accompagnements qui vont être sur mille ou plusieurs milliers d'euros, évidemment avec ce qui va avec. Pourquoi ? Parce que si tu as peu de gens à 47 euros, si tu as 10 personnes, ça te fait 500 balles par mois, ce n'est pas possible. Par contre, si tu as des offres à 1500 euros, peu importe ce que ça donne, ou même plus, et que tu signes trois clients par mois grâce à cette communauté gratuite de gens qui voient ta valeur, qui voient à quel point tu es impliqué, et qui veulent aller plus loin, qui veulent aller plus vite, qui veulent plus d'accompagnement, quelque chose de plus personnalisé, c'est toi qu'ils vont prendre. Et ça, ça crée vraiment une stratégie ultra saine, ultra dynamique et humaine, qui fait que je le vois en ce moment, tu sais, on se bat souvent à faire beaucoup de contenu sur les réseaux, c'est très bien, c'est de la visibilité, mais ce n'est pas évident en fait d'ailleurs de transformer en client. Pourquoi ? Parce que quand tu es juste à créer du contenu sur les réseaux, Tu es juste en mode, tu pousses ton truc, tu pousses ton truc. Alors que quand les gens rentrent dans une communauté gratuite, où vraiment, ce n'est pas juste, je viens pour consommer, je viens pour apprendre, je viens pour connecter, je viens pour m'améliorer, il y a déjà en fait la démarche de. Parce qu'il y a la démarche de, et que la personne, du coup, quand tout à coup, elle consomme ton contenu et tes méthodes gratuites, sur cette communauté, elle n'est pas dans la même optique. Elle est vraiment là, elle n'est pas juste ton consommateur, elle ne t'a pas juste vu après... Un chat qui vole et un mec qui fait un salto arrière et une meuf qui est à Bali. Genre là, je suis dans le mindset d'apprendre. Je rentre dans cette communauté, intéressant, j'ai connecté à 2-3 nanas. Ok, cool, ça m'a inspiré, ça m'a motivé. J'ai peut-être envie d'aller... Je vois en plus que la personne a un accompagnement privé. Là, il y a des places. Je vais peut-être le prendre. Ça, c'est beaucoup plus sain et c'est beaucoup plus intéressant. C'est vraiment la stratégie que j'ai vue qui se dégageait. Évidemment, après, il y a plein de choses de comment gérer une bonne communauté. J'essaierai de te... t'en donner d'autres conseils, au fur et à mesure aussi que je vais peaufiner moi mes skills-là. Mais si vraiment tu te demandes, ok, finalement, je suis prof de yoga, j'arrive pas forcément, je sais pas, à remplir mes trucs, fais une communauté. Tu es, je sais pas, t'es graphiste ou t'es, tu peux être graphiste, je sais pas, j'ai des trucs qui me viennent comme ça, t'es graphiste, t'arrives pas trop à avoir de clients. Tu peux faire quasiment une communauté, je sais pas, qui est gratuite ou qui est... si t'as pas de communauté ou un petit peu et où tu balances des templates et où les gens facilement en fait ils vont pouvoir récupérer des trucs et tu leur donnes des tips etc mais en fait les gens ils vont s'y mettre, ils vont voir oh putain c'est trop bien les tips etc je peux le faire moi même en fait dès que j'ai un minimum de budget ça va me casser les couilles bah je vais prendre un graphiste en fait et puis je vais le faire avec la personne qui m'a fait les tips tu vois et c'est vraiment de se dire aussi t'es pareil je sais pas t'as un salon t'as un salon t'as un barbeur t'es un barbeur Ben en fait c'est trop cool je sais pas dans ta communauté tu dis mais dans ma vie du coup tu es dans la ville bah si je suis dans la communauté de ce barbeur en fait il ya peut-être des gens sympas que je peux rencontrer parce qu'on sait que je sais pas si tu viens dans ce barbeur il ya une ambiance comme ça il ya tel vibe tel truc donc les mecs qui sont passés dans ce barbeur c'est intéressant parce que le mec qui fait des events c'est pas que le mec le barbeur il a fait les conseils pour être barbeur il va peut-être juste faire une communauté pour créer des events de mec et ça fait plaisir de rencontrer d'autres mecs parce que c'est pas facile quand on est des gars de rencontrer d'autres gars souvent ça va être les dates où ils vont rencontrer des meufs, où tu vas faire un sport mais il suffit que t'arrives quelque part et qu'il n'y ait pas forcément le sport que tu pratiques et c'est pas évident, et d'ailleurs je crois que une des plus grosses communautés payantes Au monde, c'est un barbeur, mais lui, c'est parce qu'il enseigne à d'autres barbeurs comment bien gérer leur barbershop, justement. Donc, c'est vraiment ces deux stratégies que je voulais te partager, parce que si tu galères avec, je ne sais pas comment trop créer des funnels de vente, en fait, je galère sur les réseaux, je ne sais pas comment monétiser, c'est chiant. Commence par faire une communauté gratuite, et après, tu essaies de convertir en montrant ta valeur, en donnant beaucoup de choses gratuitement, sur du high ticket. Et puis, si tu as déjà une communauté... en fait, tu n'as pas envie de te faire chier avec des funnels, etc. parce que tu n'es peut-être pas dans cette phase-là de ta vie comme moi. Tu vois, j'ai fait des webinaires, j'ai fait des funnels. En fait, là, j'ai envie de simplifier et mon temps et ma charge mentale. En fait, j'ai passé sur ce modèle-là pour cette raison-là. Et de me dire, je suis très content parce que de toute façon, c'est moi qui donnerai plus que ce que le client me paye. Et ça aussi, c'est une philosophie que j'aime beaucoup. Jette un oeil, je pense que ça peut être intéressant si tu bloques sur ton business model et qu'il n'y avait peut-être pas encore réfléchi. Cette petite pensée limitante qui nous a tous peut-être un peu traversé l'esprit, moi y compris en vrai, c'est pourquoi je créerais sur les réseaux ? Il y a tellement de gens qui sont déjà plus talentueux que moi, ils savent faire et puis ils sont trop forts et puis ils ont des communautés, pourquoi je le ferais ? Et moi je sais que ça m'est arrivé quand là j'ai arrêté l'influence voyage et que je voulais reprendre un peu le contenu et je me suis vu avec ces pensées limitantes, j'ai dit wow, attends, retombe pas là-dedans Parce que cette pensée limitante, Si tout le monde avait ça, ça serait quand même genre Ah bah de toute façon, il y a Cristiano Ronaldo et il y a Messi, donc bon, à quoi sert d'être joueur de foot ? Ouais bah en fait, il n'y a pas de match du coup, parce qu'il en faut d'autres. C'est vraiment ce côté où tu te dis Mais en fait, vu qu'il y a un gars, ou une personne, une nana, elle le fait bien, ça veut dire quoi ? Ça veut dire que tu lui laisses tout le marché ? Ça veut dire que toutes les personnes du monde doivent l'aimer ? Ça veut dire que s'il y avait, je sais pas, quand tu vas voir un humoriste, tu dis… Ah bah vas-y, tu sais quoi, il y a Gad Elmaleh, moi j'aime bien Gad Elmaleh. Du coup, il n'y a aucun autre, en fait, à l'époque, qui se serait dit, bah moi je vais être humoriste. Ah bah là, Gad Elmaleh, il est rempli des salles. Ah bah vas-y, son humour, il fait rire des gens. Non mais en fait, il y a des gens à côté, ils veulent rire, pareil que toi. Voilà, je veux, je veux. Mais il ne me fait pas rire, moi. Gad Elmaleh, pas du tout, tu vois. Ou alors, je ne l'aime pas, je n'aime pas sa voix, je n'aime pas sa gueule. Sa gueule, je n'aime pas. Et bah ça, en fait, c'est vraiment de comprendre que tu peux avoir le même métier, tu peux être même moins talentueux. il y a des gens qui vont te préférer toi. Parce que c'est ta voix, c'est ton énergie, c'est ta façon de faire. Et que surtout, il en faut pour tous les goûts. Et que surtout, il n'y a pas de monopole. Et que c'est au contraire de se dire, il y a lui, laisse tomber, il est trop fort, on lui laisse tout. Mais laisse pas tout. Et surtout qu'il faut comprendre que quand t'es à ton compte, on dit souvent que t'as juste besoin de 1000 personnes qui te suivent et qui kiffent ce que tu fais pour pouvoir en vivre. vraiment mille personnes et il ya même une phrase qui dit si tu as 100 fans 100 personnes qui sont des fans de ce que tu fais tu peux et qui vont prendre toutes tes offres tous tes trucs tu peux vraiment en vivre c'est vraiment ça qu'il faut comprendre c'est que les gens se disent ouais mais il ya lui là il prend déjà tellement de gens et c'est comme ça il ya mister beast il a 300 millions d'abonnés sur youtube à quoi ça que je fasse des vidéos mais qu'est ce tu crois qu'on fait après qu'on a regardé une vidéo de mister beast on en regarde d'autres en fait bah ouais Et puis, quand on a testé, je sais pas, un praticien, on a bossé avec un mec, bah c'était peut-être bien, mais j'ai peut-être envie de tester quelqu'un d'autre après. Ou il est pas dispo, ou il est trop cher. Parce que peut-être que le meilleur, il est trop cher pour moi, et il est pas dispo, et du coup, bah c'est là que t'interviens en fait. Donc surtout, quand t'as cette pensée limitante de dire, bah y'a déjà d'autres qui font mieux que moi, bah déjà, arrête. Oui, parce que déjà, c'est certainement vrai, ils sont peut-être meilleurs, ils sont peut-être plus beaux, ils sont peut-être plus forts, mais ça veut pas dire que t'auras pas de clients. Ça veut pas dire qu'il n'y aura pas des gens qui te préféreront, ça veut pas dire que t'arriveras pas à en vivre en fait. Au contraire. Parce que, encore une fois, toi tu vas répondre à un besoin que le meilleur ou la meilleure, ou un, je sais pas à quel niveau, il répond plus. Pas pour qu'une question de prix, de disponibilité, de format d'offres, parce que souvent, les gens qui ont beaucoup de followers ou des grosses communautés, ils font pas de one-one par exemple. C'est fini ces trucs-là. Ou ça va coûter un million, ou cent mille, j'en sais rien. Mais c'est là où toi t'interviens, tu dis moi je fais du one-one en fait. Et puis en vrai, peut-être pas sans expérience, mais j'ai eu des très très bons résultats. Et ça, ça change tout en fait. Quand tu captes en fait qu'il faut, c'est ce qu'on appelle l'échelle de valeur d'une offre. Où tu te mets dans l'échelle des besoins et de valeurs de quelqu'un. À quel moment, si l'autre il est tout en haut de l'échelle de valeur avec son offre, parce qu'il a une communauté de ouf, qu'il a des skills de ouf, etc. Bah toi tu viens avant, sur d'autres types de clients, et sur d'autres types de compétences. Et moi, quand mon pote il m'a dit ça, j'ai regardé et j'ai fait, ça me fait... tellement mal au cœur, j'ai essayé de lui débloquer ça, mais tu sens que c'est tellement profondément ancré qu'on en revient au premier sujet de se dire, ah ouais, je pense qu'il va falloir que tu te pardonnes, que tu t'aimes un peu plus et que tu aies un peu plus confiance en toi. Parce que là, il y a trop de combinés de en fait, c'est trop fort ce que tu fais, mon pote. pour le coup tu es très bon mais en fait toi même tu y crois pas comment tu veux que des gens croient en toi et on en revient à la premier sujet donc si tu as cette pensée là déjà tu as compris lance toi fous toi au bon endroit avec les bons clients par rapport à ce que l'autre ne propose pas qui est soi-disant meilleur que toi et puis deuxièmement va voir ce que ça vient trigger en toi ça vient le truc qui est bloqué le frein à main émotionnel essaie de le repérer et de l'identifier et du mettre un gros coup de tête sa mère Je suis un petit peu vulgaire en cette fin de soirée. Mais c'est ça. Parce que ça me rend dingue. S'empêcher soi-même, on est toujours nos pires ennemis. Essaye de devenir ton meilleur ami pour 2025. Ce serait quand même un bon objectif. Et on va finir ce journal de bord avec deux petites success stories. Avant de finir quand même avec le petit fun fact, évidemment. Que je voulais te partager, qui sont deux personnes de mon collectif. La première, c'est Charlotte Parot. Et l'autre, c'est... C'est Caroli Laurent Design. Je mettrai le lien dans la description du podcast pour que tu puisses aller voir un petit peu ce qu'elles font. Parce que c'est vraiment incroyable. La première, elle vit de quelque chose que même moi, je me disais, ah ouais, on peut vraiment vivre de n'importe quelle passion. Ce n'est pas possible. La meuf vit, alors la meuf est géniale déjà. Je lui fais un bisou, Charlotte, si tu écoutes ce podcast. De l'aquarelle. Non, mais l'aquarelle, les gars. On est d'accord. La meuf est de l'aquarelle. Elle en vit. Comment ? Je ne te parle pas. Elles ne vont pas d'étoiles dans les galeries d'art, des trucs comme ça. Comment tu vis de l'aquarelle ? En fait, un, elle fait des ateliers en physique à Annecy. Si tu es dans le coin, dans la petite région de Haute-Savoie, je te conseille vivement d'y aller. C'est un rayon de soleil. Elle a une voix toute douce, elle est apaisante. Bref, c'est génial ce qu'elle fait. Comment elle remplit ses ateliers ? Évidemment, avec la visibilité qu'elle a sur les réseaux sociaux. Et elle a aussi, parce qu'elle a développé les choses, en étant dans le collectif, elle a mis en place des formations, des petites formations pour se dire comment tu te mets à l'aquarelle. Parce que des fois, on achète du matos, on fait de l'aquarelle, parce que... On est tellement de plus en plus sur nos écrans qu'on cherche tous des activités pour se déconnecter, pour mettre le cerveau de côté, pour juste être concentré sur un truc qui nous fait du bien. Et on n'est pas tous sportifs, on n'est pas tous... Bref, l'aquarelle, ça monte en puissance, ça devient trendy, motherfucker, tu vois. Et elle, elle s'est dit, en fait, venez à mes ateliers, vous allez connecter avec d'autres nanas avec qui on a cette même passion. Et à côté de ça, tiens, l'atelier c'est bien, mais si t'as envie d'avoir les petites techniques de base pour quand même te régaler... savoir comment faire tel dégradé, tel type de forme, comment bien gérer ta peinture, ton pinceau, etc. Boum ! Prends cette petite formation-là. Et je me dis, tu vois, cette meuf-là, elle est l'exemple même de je vais me lancer, j'ai peur mais j'y vais. Et je peux t'assurer, j'ai vu aussi l'évolution de tout le parcours. Elle avait aussi ce syndrome de, tu sais, j'en parlais, tu te sens coupable quand tu ne travailles pas. Parce que je n'ai pas atteint exactement le niveau où je suis safe, safe, où je vais atteindre. Et puis vu que ce niveau-là, safe, safe... Il est toujours en train de reculer ou le montant d'augmenter dans ma tête par rapport à ce que je vois sur les réseaux. Tac, tac, du coup, tu fais que bosser. Elle s'est donnée à fond. Et elle s'est donnée à fond. Et aujourd'hui, elle a un truc qui est aligné avec ce qu'elle est, avec ce qu'elle fait. Elle continue de construire et sa communauté et ses offres. Et c'est tellement un bel exemple de se dire, mais putain, si tu as une passion, un truc qui résonne en toi, mais en fait, ne crois pas que tu ne peux pas en vivre parce qu'elle, elle a réussi. Évidemment, ça demande du temps. Ça demande de l'énergie, ça demande d'enlever le frein à main émotionnel. Et t'inquiète pas que le sien était déjà bien là, tu vois, comme tout le monde. Comme tout le monde ! Elle n'avait pas un truc en plus. Non ! Et elle, tu vois, son p'tit... Le frein à main, tac, boum ! Puis elle a réussi à le dégager, tu sais, à le relâcher un petit peu. Et ça lui a fait avancer. Va voir ce qu'elle fait. Parce que c'est vraiment un bel exemple, je trouve, de réussite. Et donc je suis très fier, et je suis très fier pour elle aussi. Et c'est que le début en plus, c'est ça qui est bien. Le deuxième exemple. C'est Coralie Laurent Design, ancienne nana dans le consulting, dans les grosses boîtes comme Capgemini, qui à un moment donné, je pense qu'elle aurait mis un coup de tête aux gens avec qui elle bossait, parce que comme tous les gens qui restent trop longtemps dans une boîte, qui les saoulent et où il y a des trucs qui ne vont pas, etc., on range notre frein, on attend le dernier moment, et qui s'est lancée dans la décoration d'intérieur, truc où il y en a tellement qui s'y mettent, c'est compliqué. Et bien elle, elle a vraiment réussi, elle s'est lancée il y a vraiment quelques mois, et... et s'est mis à fond dans la création de contenu. Comme tous les gens qui commencent, c'est dur, ça galère, on cherche le type de format. Elle a réussi à bien appliquer, et celle qui le dit, ça m'a fait plutôt très plaisir, je vais t'avouer. Elle a appliqué tous les conseils qu'il y a dans Brandéo Impact, parce que du coup je l'ai mis dans le collectif à disposition. Donc il y a la formation en Personal Branding pour ça, créer du contenu, etc. à dispositionner. Et, waouh, elle est juste une métronome. Allez, trois fois par semaine, bam, ça sort du contenu, ça sort du contenu. Et un jour... Il y en a un, donc c'est passé de 500, 1000 vues, 1500 vues, 2000 vues, tu vois. Et il y en a un, il a fait 2 millions. Allez, terminé. C'est passé de, je ne sais plus, 7K, je crois qu'elle a 22 000 abonnés. Je n'aime plus ça. Bref, je ne sais plus combien d'abonnés. Il faudrait que je regarde pour ne pas te dire de conneries. Mais genre, elle a pris évidemment 7 000 abonnés en quelques jours. Parce que, c'est ça, elle a 22 000 abonnés. Elle était encore à... quelques centaines de même genre à 1000 je sais plus quoi il n'y a pas si longtemps et elle a continué et l'autre après il a fait 300 milles et puis après elle est retombée à entre guillemets retombée à 10000, 20000 et maintenant elle fait tu vois moi qui ai un vieux compte sur instagram avec de la sociale fatigue avec ça fait des années que je suis là que je poste irrégulièrement parce que j'ai pris tellement de postes ces dernières années je fais quoi je fais 15000 vues je fais des 20000 vues 30000 vues tu vois c'est pas énorme entre guillemets elle elle fait plus que moi maintenant Et donc j'ai une meuf dans mon collectif où j'ai la fierté de me dire la meuf elle fait beaucoup plus de vues que moi et elle est beaucoup plus régulière. Et forcément ça lui a attiré quand elle a eu ça, elle a eu l'intelligence de mettre en place un truc, une automatisation qu'on avait vue, elle l'avait vue aussi, pour envoyer directement parce qu'elle propose évidemment ce qu'on appelle des lits de magnètes, donc un petit fascicule, un truc gratuit qui aide les gens à bien décorer leur intérieur. Elle a récupéré des mails, du coup ça a fait grandir sa base mail. à côté de ça elle avait plein de demandes de devis pour la décoration intérieure et puis à côté de ça elle est en train de développer aussi une petite formation pour aider les gens qui au lieu de se payer les services d'une décoratrice d'intérieur parce que des fois ils n'ont pas les moyens c'est juste de dire tiens je te donne les clés pour savoir comment bien agencer comment bien décorer etc pour les plus petits budgets boum elle se positionne sur plusieurs niveaux d'échelle de valeur de ses clients et bam moi quand je suis là je me dis waouh la meuf ça fait à peine quelques mois qu'elle s'est reconvertie et Ce que j'ai vraiment vu, c'est la meuf qui a juste été régulière, qui a pas lâché l'affaire. Genre que ça fasse beaucoup de vues, pas beaucoup de vues, ça poste, ça poste. Et elle dit, ce contenu-là, putain, ça me prend trois heures à le faire. Et au début, je me souviens parce que, évidemment, on l'a suivi avant que ça pète. Elle était en collectif avant que ça pète. Elle dit, ouais, putain, ça me prend du temps, je galère, truc. Sauf que ouais, je galère, c'est quali, ça met du temps. Mais bam, il y a un moment, ma grande, t'as fait deux millions et tu le mérites. Mais ça, ça, c'est un vrai rappel de se dire... Je sais ce que je veux faire et je sais que si je lâche pas l'affaire, justement, ça va réussir, ça va payer. Et surtout, la vie le sait. Même l'algorithme Instagram, qui n'est pas un truc qui est connecté, je pense, au cosmique et aux âmes de l'intergalactique, tout ça, on est plus sur des... Bon, et bien même ça, il le sait. Il voit, il voit, puis on dit, vas-y, donne-lui sa chance, on va voir ce que ça donne. Vas-y, envoie, allez, bam, 2 millions de vues, terminez, bonsoir. Donc, vraiment... Vraiment, ne perds pas espoir. Si toi, tu vois que ça galère dans tes contenus, que tu te dis qu'il y en a d'autres qui font mieux, etc. Continue. Donne-toi du mal. Ça va péter. Il y a un moment donné, ça va péter. C'est juste mathématique. Et pour terminer ce nouveau journal de bord, évidemment, le petit fun fact. Le petit fun fact qui vient d'arriver il y a quelques minutes en plus. J'étais en mode, qu'est-ce que je vais raconter cette semaine ? Bam, il m'est arrivé il y a quelques minutes. Je suis où ? Je suis dans une petite maison, enfin non, une grande maison de campagne dans l'arrière-pays lyonnais. pour passer le nouvel an chez un pote dont la maman à 91 ans elle est posée, ça fume des clopes ça fume 27 clopes par jour la daronne elle a les poumons d'acier elle est increvable et à un moment donné bon évidemment elle marche pas elle marche avec son petit déambulateur elle est vive d'esprit je lui ai dit je suis quand même arrivé je vais vous faire des fleurs j'ai acheté un petit éclair au chocolat on était refait j'avais envie de la mettre bien vu que j'étais Moi mon pote on attendait d'autres amis qui allaient arriver et qui sont arrivés ce soir. En attendant qu'est ce qu'on a fait ? Il y a un jeu que j'aime bien parce que moi j'aime bien jouer. J'aime bien les jeux. J'aime pas jouer de l'argent, j'aime jouer des petits gars, je vous aime bien jouer, c'est ce qui me fait marrer. Je dis tiens, est-ce que ça vous dit de jouer au dé ? Ils me disent bon quoi, je connais pas les dé, je sais pas jouer au dé. Je dis putain ! Je dis vous inquiétez pas ce jeu il est stylé, il est marrant, il est facile à apprendre, il s'appelle le 10000. Big up à tous ceux qui connaissent le 10000. Putain j'ai pris des sacrés gages à ce jeu, je kiffe jouer. Du coup, je suis là. Moi j'aime bien jouer mais j'aime bien gagner tu vois. J'ai pas de problème à perdre même si ça me fait un peu mal à la gueule mais je suis là en mode bon les gars ils ont jamais joué tu vois. Et les dés on va dire oui c'est que de la chance. J'ai envie de me dire dans ma tête qu'il y a un pouvoir au bout des mains, que tu peux visualiser le truc que tu veux faire si t'es vraiment concentré. Le nombre de fois où j'ai appelé mon score c'était fou, c'était digne d'un film de science-fiction tu vois. Donc je suis là, j'apprends les règles, tac tac, on y va, on est trois, on lance les dés, waouh. Françoise, 91 ans. Je la vois, ses petits dés entre les mains, elle les caresse, elle les retourne, elle est là avant de les lancer. Je dis, la meuf, ok, la meuf c'est une marabout, elle a un délire. En termes de magnitude, elle est en train de les trafiquer à son... Elle met un champ magnétique dans les dés, ça va faire des quadruples 6, je suis dans la merde, un truc de ouf. Je suis là, elle balance les dés, elle fait des scores avec des mains, sur des mains, je suis là, je sais pas, c'est pas possible. Moi dans ma tête, j'étais là en mode, je la conseillais au début. Évidemment, je veux qu'elle joue, je veux qu'elle s'amuse. Sauf qu'à la fin, elle est en train de me mettre une touche, je dis Ouais bah vas-y, fais comme tu veux, un peu Françoise, fais un peu au feeling Et puis bon, elle a quand même 80 ans, et puis pas toutes les règles non plus, tu vois. Et puis mon pote JL me fait Mais attends, attends, n'écoute pas, n'écoute pas Alex, en fait, on voit son vrai visage Je dis J'ai pas rien à voir, un vrai visage, t'es un vrai joueur, tu vois Deux parties, on a fait. Françoise nous a démonté les deux parties. Je suis reparti la queue entre les jambes, j'ai été dégoûté, je suis putain, j'ai... Une petite vieille comme ça, toute mignonne, j'offre des fleurs, j'offre un éclairant au café. En plus, c'est quoi la récompense que j'ai ? C'est MFoulato, le jeu que j'aime bien odé. Et putain, ça fait du bien et ça lui a bien fait plaisir en tout cas. Je te fais des gros bisous et je te dis à la semaine prochaine.

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