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SATORI

Pourquoi ta peur est ta meilleure boussole (et comment t’en servir) - JDB#2

Pourquoi ta peur est ta meilleure boussole (et comment t’en servir) - JDB#2

48min |23/12/2024
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Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs (ouvre en février) : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs


Dans cet épisode, on explore :

  • Les quatre grandes étapes de la vie : Mimétisme, exploration, engagement, et héritage – et comment identifier où tu te situes.

  • L'intelligence artificielle (IA) : Opportunités, menaces, et son impact imminent sur les solopreneurs et les créateurs.

  • La gestion de la charge mentale : Pourquoi elle pourrait bien être la clé du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs.

  • La peur comme boussole : Comment utiliser tes peurs pour grandir, t’épanouir, et dépasser tes limites.

  • La puissance du collectif : Des idées, du soutien, et des solutions inattendues grâce à la synergie d’un groupe aligné.

  • Un projet d’immersion unique : Un exemple concret de dépassement physique et mental avec des ateliers de développement personnel, business, et bien-être.

  • Un cadeau de Noël symbolique : L’importance des souvenirs et des moments partagés comme actes de gratitude et d’amour.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Eh ça y est, ça fait déjà une semaine, deuxième numéro de mon journal de bord sur ce nouveau podcast Satori. Ouh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël. Tu vois, c'est là où on me dit souvent que je suis plus jeune que mon âge, mais quand je sors des phrases comme ça, Oh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël je me dis que je fais peut-être mon âge en fait. Cette semaine, je vais te parler des quatre étapes de la vie, pour que tu saches dans quelle étape tu es. Est-ce que tu as peut-être été trop tôt dans une étape, peut-être qu'il serait temps de passer à la suivante. Je te dirai aussi dans laquelle je suis, puisque évidemment, c'est moi qui me suis fait cette réflexion cette semaine. Je te parlerai aussi de ce que j'ai compris de l'IA, des opportunités à avoir et des choses à avoir peur, mais surtout des dernières possibilités que ça va pouvoir nous offrir, surtout nous en tant que solopreneurs et personnes qui utilisons nos ordinateurs et le digital dans notre quotidien. Je te parlerai aussi de charge mentale. Est-ce que la charge mentale et la gestion de la charge mentale, ce n'est pas tout simplement la recette du bonheur ? en particulier pour les entrepreneurs. Et je te parlerai aussi de pas mal d'exemples que j'ai autour de moi et de discussions que j'ai eues avec des potes. Et aussi, je t'expliquerai comment la peur peut être finalement ton meilleur allié si tu la suis comme boussole. Et évidemment, je terminerai avec un fun fact et un petit sweet fact. Ça veut dire un fait doux. Mais que j'avais envie de te partager parce que c'est aussi le pouvoir du collectif qui m'a fait donner une superbe idée pour Noël. Et je voulais le partager. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, il y a quatre grandes étapes dans la vie. Et je voulais t'en parler parce que moi, en ce moment, je sens que je suis en transition d'une étape à l'autre. Ce n'est pas toujours facile. Quelles sont ces grandes étapes de vie ? Pour savoir si toi aussi, où tu en es, dans quelle étape tu es. Et surtout, est-ce qu'il serait temps de, peut-être toi aussi, de passer à la suivante. Ou peut-être de revenir en arrière. Parce que des fois, tu vas voir, c'est utile. Les quatre grandes étapes de vie, c'est de quand tu nais jusqu'à, en général, jeune adolescent. C'est le mimétisme. En fait, tu vas mimiquer, tu vas absorber tout ce que tu vois et tu vas le reproduire. Ensuite, c'est la phase d'exploration. En général, de jeune adolescent jusqu'à potentiellement 30, 40 ans pour ceux qui tardent un peu, qu'ont les fait Peter Pan comme moi. Donc ça, c'est toute la phase où tu vas explorer les études, les métiers, les amis, les drogues, les pays, les voyages, les fêtes. Bref, tu vas essayer de comprendre le monde. Et l'étape d'après... C'est l'étape de l'engagement. Celle justement où, si tu es passé trop vite de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement, tu te réveilles un jour et tu te dis Putain, mais attends là. Pourquoi j'ai cette femme ? Qui sont ces enfants ? Qu'est-ce que je fous là ? Mais putain, c'est pas ça la vie que je voulais. Mais qu'est-ce que je fous dans ce boulot ? Merde ! Parce que tu n'as pas pris le temps de vraiment savoir ce que tu voulais, ce que tu aimais, et de le faire vraiment en conscience. et de ne pas être nourri, de le vouloir vraiment. Et inversement, là ça me concerne peut-être un petit peu plus, c'est de se dire Waouh, j'aime tellement le goût de la nouveauté que ça est addictif, mais finalement je m'en enivre et je deviens peut-être, sans m'en rendre compte, un de ces jours, si je ne fais pas gaffe, tu sais, le vieux gars de 50 piges qui est encore en boîte de nuit, qui est habillé comme un jeune et qui essaie de draguer les petites minettes, oh my god, je pense que ça c'est mon cauchemar. Failure de vie. si j'en suis là, un jour, mon dieu non mais c'est vraiment ce côté où finalement tu es tellement devenu addict à cette liberté à cette nouveauté, dans tous les sens du terme de pouvoir changer de job d'aller où tu veux, quand tu veux que finalement tu restes coincé dans cette étape là, et le problème de cette étape là qui est extraordinairement géniale qui est enivrante, qui te permet de te cultiver qui permet encore une fois aussi d'être libre et Dieu sait qu'on essaie de nous mettre des chaînes en permanence... dans notre vie et une fois qu'on a goûté à ça on a envie de rester mais cette étape là elle est aussi quand même une c'est une étape qui reste en surface parce que même si c'est toujours très intense et même par exemple je prends le voyage c'est très puissant c'est très intense mais il n'y a pas la profondeur des années d'amitié des années de couple des années de d'études sur un sujet des années de vie dans un même lieu où tu vas aller plus loin Et cette profondeur, elle est je pense très importante. Très très importante. Et c'est un peu, en ce moment, je suis dans cette étape-là. Et d'ailleurs, la dernière étape, quelle est-elle ? Celle que je ne t'ai pas encore dit. C'est celle de... Alors je l'ai toujours en anglais, de legacy. C'est vraiment ce que tu laisses, pas le testament, mais l'héritage. C'est l'héritage, c'est ce que tu laisses derrière toi. Parce qu'en gros, une fois que dans ta vie, tu as exploré, tu t'es fait kiffer. Tu as eu à peu près la famille, le job que tu voulais, tu t'es engagé, t'es bien, t'es posé dans ta vie. Qu'est-ce que tu veux, qu'est-ce qui te reste quand tu as atteint un peu tous tes objectifs ? C'est de devenir inoubliable. Dans le sens où tu laisses des choses où on va encore penser à toi. Que ce soit des œuvres, que ce soit des biens, que ce soit un patrimoine. Moi évidemment je suis dans l'étape en ce moment de transition, de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement. Et c'est vrai que je m'en aperçois et je trouve ça super important de comprendre aussi que c'est ok d'être dans une étape alors que tous les autres de ta génération sont dans une autre. Parce que moi, évidemment, tous mes amis sont depuis longtemps dans l'étape d'engagement. Mais que moi, encore une fois, je vois que c'est ultra important pour moi d'avoir été jusqu'au bout de me dire Eh, c'est bon, j'ai fait le tour. J'ai fait le tour des voyages, j'ai fait le tour des soirées, j'ai fait le tour des discussions autour d'un feu, j'ai fait le tour des rencontres. Et aujourd'hui, j'ai envie, entre guillemets, de... D'aller plus en profondeur dans chacun de ces thèmes que j'aime toujours autant profondément. Mais j'ai envie d'aller plus en profondeur dans le voyage, j'ai plus envie d'habiter. Dans les relations avec les femmes, j'ai envie d'être avec une femme. Je ne dis pas que j'étais avec plein de femmes avant, ce n'est pas ça que je veux dire. Mais de façon très long terme, j'ai envie de discuter avec des gens que je choisis, et non pas qui se mettent sur mon chemin, et même si j'adore ça encore une fois, mais que je choisis et auxquels on va creuser des sujets. J'ai envie de creuser des sujets en particulier, pour le plaisir. Je m'aperçois que c'est très difficile d'être, on va dire, dans une étape où quand tous les autres sont en train de faire autre chose, toi te dire que non, j'ai pas envie de faire ce que vous faites, moi j'en suis là en fait. Et que c'est ok. Et pas de se sentir coupable, et se sentir bien, mais à la fois se dire, ne pas tomber, tu sais, dans cet ego de se dire Haha, moi je suis pas comme vous, je suis dans cette étape-là ! Et inversement, tu vois, ça peut être tous tes potes qui sont encore peut-être, je sais pas, en train de... parcourir le monde, se bourrer la gueule, de vouloir faire plein d'argent, de trucs, de machins, de travailler jusqu'à pas d'heure et toi tu dis non moi j'ai arrêté d'alcool, j'ai trouvé ma petite meuf ou mon petit gars je suis posé, je reste manqueré ici tu vois je suis bien et c'est ok avec ça et d'avoir la Jomo la Jomo c'est le joy of missing out, c'est d'être content de louper quelque chose et non pas avoir la FOMO de te dire merde putain il y a une nouvelle opportunité, putain il y a merde, il y a une soirée, putain waouh il y a d'autres meufs, qu'est ce qu'elle se résolue Pourquoi je me prends la tête avec ce gars alors que je pourrais être un peu partout ? Et c'est vraiment ça, c'est de se dire, aie le courage vraiment d'être conscient de ce que tu veux et d'aller faire ce qui vraiment fait du sens pour toi. Et moi en ce moment, je suis vraiment dans cette étape de me dire Ok, je veux m'engager, je veux m'en créer, c'est pour ça que j'étais à Lisbonne, je vais essayer de construire des projets qui sont peut-être plus long terme. Alors que moi j'aime bien construire des projets, une fois que j'ai fait le tour, rechanger, c'est ça qui me nourrit. Mais essayer de créer un truc plus long terme. avoir des relations plus profondes avec mes amis plus longtemps, me recréer un cadre d'amis encore une fois où je suis pas que là de passage. Et j'aime bien parce que c'est aussi challengeant en fait. C'est pas parce que je le veux que tout à coup, là j'ai pris un appart à Lisbonne, je suis à Lisbonne, etc. Mais ok, j'ai envie de changer d'appart finalement. Parce qu'en manquant, et manquant pour de vrai, et bah c'est comme tout quand on essaye, tout ne réussit pas du premier coup. Et peut-être que justement j'ai peut-être changé d'appart je pense. mais peut-être aussi changer de ville. Et là, je suis en train, encore une fois, de travailler sur mon nouveau projet du Cercle des Solopreneurs, la nouvelle communauté que je vais créer. Je pense profondément que c'est ce que j'ai envie de faire, mais je suis OK, en fait, que ça échoue. Parce que je suis OK que ce soit mon nouveau grand projet et j'ai envie qu'il fasse du sens. Et ça, c'est, pour moi, le plus important, c'est ça que je voulais te transmettre, c'est de te dire où est-ce que t'en es, en fait. Est-ce que tu t'es embourbé dans quelque chose depuis longtemps ? qui fait pas de sens pour toi et il faut que tu retournes un peu explorer qui tu es, du job, des voyages à l'intérieur de toi, pour vraiment pouvoir te réengager de façon alignée ? Ou est-ce que justement, hey, t'es pas un peu comme Alex ? T'es pas un petit peu Peter Pan ? Ça veut dire Peter Pan en français. Est-ce qu'il serait pas temps pour toi d'essayer de te dire, un peu comme l'amour ? C'est pas... J'aime bien faire ce parallèle-là, je pense que la phase d'exploration c'est la passion et je pense que la phase d'engagement c'est l'amour. Et l'amour c'est un choix, moi je le découvre aussi, et c'est d'autant plus beau, profond, sacré et difficile. Parce que la passion elle s'empare de toi. La passion en fait c'est simple, c'est comme les voyages, t'arrives, c'est la nouveauté, ça te pète à la gueule, c'est comme un shot d'adrénaline. L'amour, et du coup l'amour peu importe, soit avec une relation de ce que tu fais ou la profondeur et l'engagement, c'est un choix conscient. Donc ça implique beaucoup. plus de pression, et je trouve ça d'autant plus beau. Alors pose-toi la question dans quelle étape de vie tu es. Il y a... On va tous mourir. J'ai regardé pas mal de choses ces derniers temps, des dernières interviews de très très grands spécialistes. On va tous mourir. En tout cas, c'est ce que, quand je regarde ça, ça me donne un peu ce sentiment. En mode, on arrive sur du Terminator, la super-intelligence artificielle qui va, entre guillemets, régir toutes les intelligences artificielles d'ici 5 ans. 5 ans, c'est Hachoum demain, on passe Noël. Après, c'est 2030, c'est demain en fait. Et à côté de ça, si je me dis, bon, en vrai, c'est pas trop ma façon de voir la vie. Dans chaque difficulté, une opportunité. Et puis, c'est surtout de se dire que... Ça fait bien longtemps que depuis que je suis né qu'il y aurait des raisons de se tirer de balle et d'arrêter. Donc pourquoi l'IA serait une raison de plus de se dire que c'est la fin du monde ? Et non pas l'inverse, de se dire Ok, le monde est aussi en train de changer. Est-ce que, comme dirait le bon Winston Churchill, est-ce qu'il ne serait pas temps de prendre le progrès par la main avant qu'il ne nous prenne à la gorge ? Je pense que c'est le moment. De ce que j'ai regardé vraiment, et je voulais te le partager, c'est que concrètement, le savoir... va devenir bientôt, d'ici 3-4 ans, une commodité. Comme l'eau potable. Tu as besoin d'eau potable, tu tournes le robinet, tu as de l'eau potable. En tout cas, nous en France, on a cet énorme privilège. Le savoir, ça va devenir pareil. Et qu'est-ce qui se passe quand le savoir devient une commodité ? Quand toute notre économie, ou presque, repose sur le manque de savoir. Je ne sais pas changer un problème dans mon robinet ou ma plomberie, je vais appeler le plombier. Je ne sais pas me défendre devant le tribunal, je ne sais pas, donc je n'ai pas le savoir, je vais prendre un avocat. Je ne sais pas réparer ma voiture, je ne sais pas faire des Facebook Ads, donc je vais prendre un spécialiste, etc. Qu'est-ce qui se passe quand demain tu as une intelligence artificielle ? Et là on est à quelques mois d'avoir des intelligences artificielles adjantiques. Adjantiques c'est qu'ils vont faire le boulot d'agence. Aujourd'hui... Quand tu es solopreneur, tu as besoin d'écrire tes emails, de ta page de vente, de créer ton logo, de faire un site internet. Tu vas prendre ces différents freelances qui vont te permettre, que tu ailles sur Malt, Fiverr, etc., qui vont te permettre de faire toutes ces choses-là. Sauf que demain, tu vas avoir une IA qui va être en complétude sur tous ces sujets et qui va te permettre de dire, en fait, tu vois, ce site-là, je l'aime bien. Est-ce que tu peux me reproduire le style et le code ? Mais par exemple, moi, en fait, ce n'est pas le marché. des jeunes cadres, moi c'est plutôt des femmes enceintes ou en fait moi c'est le marché indien est-ce que du coup tu peux aussi me créer toute la séquence mail qui ira par rapport à la culture indienne ou par rapport aux jeunes femmes enceintes etc etc et t'auras très vite et très bientôt cette possibilité là on est à quelques mois de ça, je te parle même pas d'années donc quand je me dis wow, attends, attends, attends Alex moi je suis ce qu'on appelle un infopreneur, je vends de l'information finalement Qu'est-ce qui se passe quand demain l'information devient une commodité et presque gratos et à la portée de tous ? Je... Bah j'ai plus de job ! J'ai dit, je me dis d'accord ! Et je me dis surtout, waouh ! Génial ! Comment je fais pour me réinventer encore une fois ? Et comment je fais pour le faire dans des choses qui font du bien, qui sont utiles, et pas encore une fois essayer de prendre des raccourcis qui vont pas ? Je me suis dit, qu'est-ce qui reste si l'information... Elle est encore une fois gratuite. Qu'est-ce qui reste quand le digital, la robotique et l'intelligence artificielle fera partie de notre quotidien en permanence ? Je me suis dit qu'il resterait les émotions. Comment vivre des émotions ? Que ce soit des expériences. Peut-être que tous ceux qui ont des tiny houses ou qui font vivre des expériences à des gens, je pense qu'ils sont très bien. Ou que ce soit des balades, ou encore une fois des voyages. Ce sont des choses que tu auras du mal à vivre. différemment, tu pourras certainement mettre ton casque de réalité virtuelle, ça va arriver, et je pense que le monde va être aussi divisé entre ceux qui vont plonger dans l'intelligence artificielle et la robotique, et ceux qui auront désespérément besoin de connexion humaine, puisque finalement c'est ça, moi je le vois vraiment comme ça, c'est plus je passe de temps avec des robots, plus j'ai envie de besoin d'émotions avec d'autres humains, et demain ça va être ça, ça va être la gestion aussi du coup des émotions, avec tous les coachs de vie à Bali, ils vont se dire putain je vais enfin avoir du taf ! C'est cool, parce que je dis que je suis coach de vie, mais il se passe pas grand chose. Là, c'est bon. En fait, si, parce que ça va être top, tout ce qui est psy, tout ce qui est bien-être, tout ce qui est coach de dev perso, tout ce qui est aussi lié, encore une fois, à la santé et au bien-être, tout ce qui va être massage, tout ce qui va être énergétique, tout ce qui est soins, tout ce qui est yoga. Et il va y avoir aussi tout ce qui va être communauté. Et moi, je pensais en fait à cette offre-là, à cette nouvelle offre, à ce nouveau... ma nouvelle direction pour mon business de créer une communauté comme je te disais début fin janvier début février et on renseigne au sur village me dis mais ça ça fait d'autant plus de sens tu vois parce que qu'est ce qui va se passer quand on fait encore une fois on va passer notre temps avec des intelligences artificielles c'est cool mais en fait je vais vouloir me sentir écouté avec un humain Et ce qui fait que je vais me sentir bien, c'est que c'est un humain qui me répond. Et de pouvoir rigoler, et de pouvoir être bien. Et là justement, samedi dernier, j'étais avec le collectif Premium que j'avais déjà monté cette année. On s'est retrouvés autour d'une table, on a parlé de tout, sauf de boulot. Pendant un dîner, on a parlé de nos lives, ça fait du bien, on s'est charrié, on a rigolé, on a appris à se connaître. Et je me suis dit, waouh, ça fait du bien. Et dans ce monde en fait, où... Demain, encore une fois, le savoir va être apporté de claviers et même de voix ou de masques de réalité augmentée. Qu'est-ce qui reste ? Il restera que je pense que c'est sûr que toutes les personnes qui ont des métiers de manutention pure, ça va être très compliqué parce que ça va être remplacé par des robots. Il y a déjà les robots Tesla, etc. Tout ça, ça va être dans les usines. La créativité, ouais, ok, mais en fait, on voit que l'IA, tu lui mets un prompt, en fait, il te fait des trucs. de folie furieuse en termes de créativité. On nous a dit que c'était ça, mais non. Aujourd'hui, ce qui nous reste, c'est tout ce qui est lié à l'émotionnel, je trouve. Tout ce qui est lié aux connexions. Et je pense que les jobs qui... Des gens qui ne seront pas au chômage, parce que je pense que ça va mettre beaucoup de gens au chômage, mais comme toute nouvelle technologie qui met des gens au chômage, ça crée aussi beaucoup d'emplois. Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'auront plus le job qu'ils ont, mais ce seront des personnes qui ne feront peut-être plus des copywriters, mais des personnes qui seront gérées et seront des chefs. des gestionnaires, des directeurs d'intelligence artificielle de copywriting. Et forcément, on va à une espèce de montée. Au lieu d'être copywriter ou d'être graphiste, tu seras, entre guillemets, le gestionnaire de tes intelligences artificielles dans ton domaine. Mais à force de gérer ton équipe d'intelligence artificielle, qu'est-ce que tu voudras à la fin de la journée ? Tu voudras aller en pleine nature, tu voudras aller à ton cours de yoga et tout à coup, tu trouvais ça chiant avant, mais tu te dis, bah non, en fait, c'est bien. Déjà, il y a des meufs, donc ça, c'est cool. et puis en fait ça fait du bien au corps puis je me relâche, puis je rigole puis après c'est aller à un dîner aussi avec des gens de ma communauté de volleyball de paddle, d'entrepreneur cercle des solopreneurs par exemple et c'est là où je me dis wow c'est flippant je trouve quand des experts mondiaux, des pontes pas des gars qui essaient de te faire peur et de te rendre un truc, des pontes et là il y avait Elon Musk, il y en avait plusieurs différents experts mondiaux sur l'intelligence artificielle qui disent, en 2030, c'est la super-intelligence artificielle. Donc la super-intelligence artificielle, c'est celle qui sera omnisciente et qui sera partout connectée à tout, entre guillemets. Ce qui fait très peur. La robotique, elle est quasiment prête à être insufflée dans toutes les usines et potentiellement nos ménages d'ici un ou deux ans. En gros, l'intelligence artificielle avec laquelle elle existe aujourd'hui, dans un ou deux ans, elle sera un million de fois plus puissante. Je ne sais pas si tu imagines, un million de fois plus puissante. Tu as vu les dingueries que ça fait aujourd'hui. et que d'ici un ou deux ans, elle sera capable de faire tout ce que fait l'homme. Et dans cette réflexion-là, je me dis, il est vraiment temps de mettre le nez dans ce qui est l'intelligence artificielle si tu n'as pas encore pris le temps. Et c'est pour ça que je te dis tout ça. Quel est ton business ? Est-ce que c'est dans un secteur que tu sens qu'il va être périn ? Si c'est dans un secteur qui va être challengé, il va falloir que tu montes en compétence et en puissance sur non pas la rédaction, la création pure. de ce que tu fais, tu vois, l'exécution, mais on va dire la direction des IA, de monter d'un step pour être celui ou celle qui va gérer les IA. Et que si toi, justement, tu es pour l'instant dans un secteur qui, selon moi, ne sera pas touché, qui sera tout ce qui est lié à l'humain, finalement, eh bien, réjouis-toi et utilise-le comme argument, parce que je pense que tu auras d'autant plus de clients. Et d'un côté, c'est tant mieux. Et même si je pense qu'encore une fois, le monde va se diviser en deux catégories, Ceux qui ont le pistolet chargé et ceux qui creusent. J'espère que vous avez la ref. Le bon, la brute et le truand. C'était un spaghetti, gros fan. Mon père regardait ça quand j'étais gamin, j'étais trauma, mais c'était très cool. Petit aparté très rapide, c'était très bizarre. Ça divise en deux catégories. Ceux qui vont encore une fois plonger dans un monde artificiel, d'autant plus avec des cases de réalité augmentées, avec l'IA, etc. Des gens qui se sentent malheureusement déjà très seuls peuvent encore plonger encore un peu plus. Mais il y aura aussi, je pense, des prises de conscience, en fait, de tout ce que ça nous apporte. Et il y aura toute une partie de la population qui demandera désespérément, d'autant plus de connexion humaine. Et j'espère d'ailleurs que ça augmentera aussi la bienveillance et ça nous permettra de nous rapprocher. On dit souvent que, si tu veux être pote avec ton voisin, attends juste que ton village y soit attaqué. Et qu'il y ait une menace extérieure. Et je pense que, d'un moment, l'IA peut faire ce Ausha, de se dire, en vrai, on va tous se faire buter par l'IA, ou en tout cas, c'est... Venez ! Venez nous en tant qu'humain, on est quand même sympa entre nous. C'était la petite réflexion de la semaine. Est-ce que la gestion de la charge mentale, ce ne serait pas le secret du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs ? et les entrepreneuses. Je sais que j'en ai déjà parlé la semaine dernière, mais c'est un sujet qui me tient à cœur, et j'ai eu des discussions avec plusieurs de mes amis. Et j'ai un pote qui est entrepreneur, qui est en totale surchauffe, alors qu'il a clairement des super business. Il a à la base une agence, je ne vais pas dire ce que c'est, comme ça je ne vais pas non plus trahir nos conversations, mais il a un business d'agence. A côté de ça, il donne des cours pour se dire, au cas où, j'ai quand même cette rentrée d'argent là, sachant que son agence fait déjà au moins 10-15K par mois. Et vu que, tu sais, dès que ça va bien, il dit, bon, ça, j'ai déjà ça. OK, j'ai ma rentrée d'argent qui va bien que j'ai verrouillée avec des cours. Mais bon, ça ne m'épanouit pas, je me fais clairement chier. Vas-y, je lance un side project. Ce side project, vu qu'il y met du cœur, ça a un peu cartonné. Du coup, il se retrouve à être en surchauffe totale, être totalement mal dans sa peau, être fatigué, parler mal à ses proches, être en fatigue, ne pas savoir par où il va s'en sortir, alors que, et c'est ça, en discutant, je lui dis, mais mec, est-ce que tu te rends compte que si tu avais juste choisi un seul, une seule vraiment des activités, un seul des projets que tu as, tu vivrais très bien et tu serais très heureux ? Parce que le problème... c'est que tu es en surchauffe partout, du coup tu fais un peu bien et un peu mal tous tes projets en ce moment, et surtout t'es mal. Et qu'il me sort une phrase qui m'a complètement à la fois fait rire, choqué, et je me suis dit Waouh ! J'appelle ça vraiment l'effet Avicii. Avicii, c'est le fameux DJ qui s'est suicidé. Pour moi, c'est de ne se rendre pas compte qu'on a le contrôle sur tout, et qu'en fait... on se fait déborder partout. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que lui, en fait, je lui dis, mais est-ce que tu te rends compte que... Donc, il m'a sorti la phrase qui m'a choqué, qui était, moi, en fait, là, si on me propose potentiellement un CDI, là, à 3000 balles, 3500 net, je prends, pour être tranquille, vivre ma petite vie. Je lui regarde, je lui dis, mais de quoi tu me parles, mec ? En fait, tu peux l'avoir comme tu veux, en fait, cette vie-là, c'est juste que t'es pas foutu de dire non. T'es pas foutu de dire stop et t'es pas foutu de faire un choix. Et c'est ça qui nous tue. C'est vraiment ça. Parce que, un, je m'aperçois que, encore une fois, le bonheur, il est vachement lié à notre charge mentale. C'est-à-dire que plus notre charge mentale est élevée, moi ces derniers temps, comme je te disais, je l'ai abaissée, et je me vois que je reciflote, je me vois que je danse dans la rue à Paname, je dis à Paname, je dansais, là, tac, bam, bon les gens ils m'ont regardé chelou, mais moi c'est moi, je suis comme ça, je kiffe, et je suis bien, je suis léger, j'ai de la créativité. Et en fait, quand la charge mentale est élevée, je suis stressé, j'ai des boucles mentales. Je me dis, ma life, il faut que je trouve une solution. Et puis, je serai heureux quand j'aurai ça. En fait, l'instant présent, quand j'ai une charge mentale énorme, il n'existe pas. Ou c'est de la merde. Du coup, je me dis, je serai heureux dans le futur, quand j'aurai ça, quand je serai ça. Truc qui n'existe pas parce que l'horizon recule. Et je me dis, c'est dû à quoi ? Du haut. Ça, je ne fais pas. Non, ça, ça ne m'intéresse pas. Je me focus là-dessus. Donc, c'est dire non, faire des choix. et assumer et surtout ne plus avoir la peur du manque. C'est vraiment ça, la peur du contrôle. Donc c'est arrêter de vouloir avoir le contrôle. Parce que la peur, c'est vouloir avoir le contrôle. Le contrôle, c'est ne pas arriver à faire confiance et à lâcher prise. Et ça, c'est fou. J'en discutais aussi avec ma pote Ludivine Aubourg, qui justement est dans cette phase un peu où on discutait. Elle est à Dubaï, elle a envie de... En fait, elle a fait en plus plein d'études, elle s'est formée. des compagnes des programmes d'accompagnement de dirigeants et tout et je me parlais dit mais tiens mais moi aussi j'ai envie de remettre du fun parce que c'est ça ma life c'est comme ça que je vois les choses mais il ya aussi comme je pense aussi comme moi comme je comme je déviais ces derniers mois cette part d'ego qui dit là faut que je relance quand même un gros truc faut que je fasse quand même rentrer du cash et et après je serai bien et je disais mais tu vois c'est je comprends la phase dans laquelle tu es et chacun doit faire son truc et son chemin mais c'est vraiment genre attention à ta charge mentale parce que la charge mentale elle va pas te rendre heureuse et moi je m'aperçois vraiment de ça parce que quand tu as un pote qui est successful potentiellement sur trois projets qu'il a et qui en a aucun ou qui est vraiment à fond successful et surtout il n'y en a aucun qui le rend plus vraiment heureux parce qu'il est en surchauffe je me dis waouh et ce qui est fou c'est que c'est entièrement et je dis quand je dis ça c'est notre faute de ne pas savoir dire stop de ne pas savoir se faire confiance et de se dire eh C'est ok, j'ai pas besoin d'avoir cette rentrée d'argent plus. J'ai pas besoin de faire ce truc en plus pour avoir encore plus de dopamine, pour me sentir encore plus successful. Ouais, ce sex-sex-sex-full, il est passé bizarre. Il y avait un sexe dedans qui était un peu gênant, je trouve. Successful. Et tout ça, c'est lié à nous. Et en ce moment, il y a un move qui m'a énormément inspiré de la part de ma pote Héloïse Monchavlon, et qui je suis resté un peu au téléphone aussi cette semaine, qui a annoncé après plus de dix ans, donc c'est une youtubeuse qui est dans la beauté, le bien-être, et qui a... depuis plus de 10 ans, fait des vidéos sur YouTube, justement, des vlogs, des vlogs super authentiques, et malgré ça, malgré le fait que tout le monde trouve, et moi je trouve que ces formats sont ultra authentiques, ultra chill, et bien en fait, elle a décidé d'arrêter dans une durée indéterminée de reprise. Parce qu'elle s'est dit, j'ai fait ça pour le plaisir, ça m'a permis d'en vivre, et en fait, là, je vois que je suis dans la contrainte, dans l'obligation de faire, dans l'obligation de faire plaisir aux algorithmes, pour pouvoir à préférer que je ne vis que les moments pour pouvoir les partager, pour pouvoir créer du contenu. Et ça ne m'amuse plus. Et je pense que c'est ça le truc. Et ça me crée une charge mentale. Et là, elle dit, mais Alex, elle me disait, mais ça fait une semaine, juste une seule semaine que je ne poste plus là. Et je n'ai jamais été aussi créative. Et je ne l'ai pas voulu. Ça vient tout seul. Et c'est vraiment ce... J'en parlais aussi avec une autre pote qui, elle, est en transition de vie. L'espace mental est primordial. pour les grandes idées, les grandes décisions et le bien-être. Et ce qui est fou, c'est que des fois, la vraie bonne idée, le vrai bien-être, même si tu as 80%, tu te dis Ah, mais en vrai, je suis 80% bien tu vois. Mais des fois, c'est ces 20% restants qui sont la rouille, qui encrassent le mécanisme et qui te fait mal. Et qu'il faut peut-être 10% en plus pour vraiment avoir trouvé la bonne idée, la direction, le choix que tu dois prendre, le bien-être total. Et vraiment, je me rends compte autour de moi, il y en a aussi d'autres qui me disent des fois, j'ai envie d'arrêter, j'ai envie de prendre un CD, etc. Ouais, je comprends. Parce que quand tu ne sais pas gérer la charge mentale, c'est un enfer. Tu n'es pas heureux, tu es stressé, tu n'en peux plus, tu es surchargé. Et quand tu reviens à un truc qui est plus basique, où déjà, tu n'es pas obligé d'être seul pour vraiment gérer ton activité, Tu peux prendre des freelances, tu peux avoir des potes, tu peux être dans un collectif, tu peux faire plein de trucs. Et d'un côté aussi, tu peux dire, c'est peut-être aussi la charge mentale que je me mets moi-même vis-à-vis de moi-même. Est-ce que tu te mets une charge mentale parce que tu n'obtiens pas un objectif que tu as vraiment envie d'atteindre pour être bien ou est-ce que c'est un objectif que tu t'es mis parce que d'autres atteignent et que tu te sens nul par rapport à ça et que du coup, tu te crées une charge mentale ? Versus, si je lâche prise et que... Mon activité, elle fait que 3000, 4000, 5000 balles par mois, ce qui est déjà bien. Peut-être même 2000, en fonction d'où tu vis. Est-ce que ça suffit pas ? Mais est-ce qu'en fait, t'arrives à gérer ce sentiment de culpabilité, de se dire, putain, je suis pas assez successful par rapport à d'autres. Et moi, je me suis vraiment aperçu en me débarrassant de, un, ce côté besoin d'être successful, de faire machin par rapport à d'autres que je trouvais claqué, du coup, on peut rentrer dans cette compète, d'alléger au maximum. mon quotidien, mes projets. D'accepter de faire une offre qui me ressemble par rapport à mes zones de génie et ce que je veux dans mon quotidien. Moi, c'est clairement d'avoir du temps libre et de verrouiller 7-8 000 balles par mois pour pouvoir ensuite faire des choses que j'aime et les partager et créer du contenu parce que moi, ça, j'aime bien. Mais je n'aimais plus ces derniers temps parce que je me sentais obligé, parce que je me l'avais l'impression que c'était pour mon business. et non plus aussi par plaisir, est-ce que vraiment, pose-toi la question, à quoi ressemble ton quotidien dans les charges mentales ? Où sont tes charges mentales ? Comment tu peux le baisser ? Et essaie vraiment en fonction de tes obligations, parce que je sais que des fois, si on a des enfants qui ont une énorme charge mentale, parce que justement, je ne sais pas, ils n'obéissent pas, ils font des crises, ils ont une phase de vie compliquée, ou même ils ont peut-être des maladies, demande-toi aussi comment tu peux baisser ces charges mentales. Est-ce que peut-être tu peux prendre un psy pour t'aider à... ou je ne sais pas, un coach pour vous aider dans la communication. Est-ce que tu peux prendre une aide soignante s'il a une maladie ? Je prends cet exemple-là, mais c'est vraiment de se dire, où sont, où est ma charge mentale ? Quels sont les niveaux élevés ? Comment je peux baisser cette charge mentale-là ? Et je peux t'assurer que si tu arrives à la réduire au maximum, et j'en parlais avec mon pote Loris, avec qui je viens de passer l'après-midi, lui, il a une merde sur de l'immobilier, sur un bien immobilier. Et bien, à part ça... parce qu'il a pris une charge mentale où il était un peu tributaire, ça lui est tombé dessus avec des gens malveillants Mais dis, à part ça, moi, j'ai géré ma vie comme ça. Et je suis ultra bien. Et là, il part cinq mois à Bali, le type. Malgré le truc qui moque et chiant, mais il dit, en fait, j'y vais. Parce qu'en fait, si je laisse la charge mentale me bouffer, je ne vais pas être heureux. Et vraiment, je m'en aperçois. Tu peux être successful, avoir tout, et te rendre compte, en fait, que tu n'as pas le contrôle. Du coup, tu as peur. Du coup, tu es dans la peur du manque. Du coup, tu as besoin de plus, peu importe la quantité d'argent que tu as. Tu peux aussi te rendre compte qu'en fait... ben non, tu te rends pas compte que tu as tout ce qu'il te faut, que tu as peur de laisser des choses, tu as peur de simplifier et peu importe ton niveau vraiment de succès, si tu as une énorme charge mentale, ben en fait t'es pas heureux. Et je me dis ben le but d'avoir de l'argent, d'être successful et d'être aligné avec son job, c'est quand même d'être bien, c'est quand même d'être heureux. Donc en fait si tu fais un truc qui est successful et qui te cause énormément de stress et de charge mentale et qui te rend malheureux, en fait ça n'a aucun, aucun, aucun intérêt. Si ce n'est de se dire, ah je l'ai dit aux gens que je pouvais le faire, regardez je suis successful. Et hop, t'appuies sur arrêter l'enregistrement et t'es plus sur tes réseaux, t'es un téléphone et là t'es tout seul dans ta tête, t'es triste, t'es une merde et ça sert à rien. Donc ouais, essaie d'analyser ta charge mentale et demande-toi où tu peux l'améliorer, où tu peux la rabaisser. Je peux t'assurer que tu ne chanteras peut-être pas ou danseras peut-être pas dans la rue en te baladant dans Paris, parce que ça c'est peut-être un petit peu moi qui suis bizarre. Mais je peux t'assurer qu'incroyable à quel point naturellement ton cerveau, il va de nouveau t'injecter un flux de... Voilà ça, tu sais, ce bien-être, cette détente, cette créativité, cette légèreté de vivre. Et qu'est-ce que ça fait du bien ? La peur comme boussole pour aller bien, pour grandir et pour t'épanouir. Et là tu te dis, waouh, bah non, en fait ce qui fait peur c'est chiant en fait. Ce qui fait peur ça fait friser, ce qui fait peur c'est... plutôt désagréable dans l'idée. Si j'ai peur des araignées, tu m'en viennes sur la gueule. Vraiment nulle comme idée. Moi, je te parle de la peur, tu sais, de faire. La peur d'avancer dans des actions. Vraiment. Pas la peur qui est créée par des phobies. Même si je pense qu'il faut peut-être régler 2-3 trucs sur des phobies. Je te dis ça parce que c'était dans mon cercle d'hommes, il y a quelques semaines. Et il nous fait faire un exercice ultra intéressant. Il nous dit, imaginez que vous êtes dans une pièce, une grande pièce. Et ce qui est fou, c'est que quand tu dis ça, en fait, toi, ton propre subconscient, il va te créer une pièce. Et moi, la pièce que c'était, pour ceux qui connaissent, c'est dans Le Seigneur des Anneaux. Je crois que ça va être les deux tours. Et c'est la scène où ils sont en rohan, je crois, avec les chevaux. Et c'est le roi qui est un peu malade, parce qu'il y a un gars chelou qui lui sifflote des trucs à l'oreille. Il est sous l'emprise noire du gars, etc. Donc, il est sur un grand trône. Tu vois, un peu surélevée et dans un grand truc en bois. Les lumières, elles passent par la fenêtre. Et tu sais, je suis sur ce trône en fait. Et je vois la petite lumière par les fenêtres. Et là, il dit, vous êtes dans cette pièce. La porte s'ouvre et vos peurs rentrent dans la pièce. Et il dit juste ça, il dit pas laquelle. Et ce qui est fou, c'est que tu vois, moi je voyais des petits personnages. Tac, qui rentrent et qui se mettent face à moi dans la pièce. Quand tu fermes les yeux et que tu joues le jeu, tu les vois. Tu les vois rentrer. Tu les vois se personnifier. Et tu sais, ce qui est fou, ils sont en personnage, mais tu sais dans ta tête qui ils représentent. Qu'est-ce que je vois ? Je vois deux peurs. La première, c'était par rapport à mon grand rêve qui est de créer une réserve naturelle avec un village de créateurs au milieu et d'entrepreneurs, et par rapport à aller lever des fonds. Aller vraiment... chercher de quoi créer ce projet et ça me fait peur d'aller demander à des gens et dire j'adore ce projet c'est toute ma vie c'est mon rêve et qu'on me dise non c'est de la merde non je veux pas waouh la peur du non du rejet par rapport à un truc qui moi me tient à coeur alors qu'en fait c'est pas... ils veulent pas être méchant c'est juste non ça m'intéresse pas mais j'ai peur de ce truc là je me dis waouh et ça c'était le premier truc deuxième truc deuxième peur devant moi la peur de réaliser un projet qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps c'est créer une immersion et d'emmener des potes quelque part et que on se rassemble et on vit des beaux moments tu vois et ce qui est fou c'est que j'ai capté en fait que de la même façon que pour moi l'entrepreneuriat est un outil de développement personnel le voyage est un outil de développement personnel en fait c'est c'est pareil c'est l'entrepreneuriat et le voyage vont te faire faire des choses où t'as pas le choix quand tu as peur que de les faire J'ai peur d'aller parler à un inconnu qui ne parle pas ma langue, mais en fait il faut que j'aille dormir quelque part ou me déplacer, donc je n'ai pas le choix. L'entrepreneuriat c'est... J'ai peur de faire des calls. pour essayer de démarcher des clients mais en fait si je trouve pas de clients bah je suis obligé de le faire en tout cas t'as plus d'intérêt sinon tu vas mettre la clé sous la porte et c'est là où je veux en venir c'est de se dire quand j'ai identifié ces peurs je me dis il faut absolument que je le fasse en fait parce que du coup j'ai pas d'impératif je suis pas obligé de le faire et je ne grandis pas sur des choses qui en fait ça renvoyait quoi c'est ça le truc qui est intéressant qu'est ce que cette peur elle veut dire pourquoi il ya une peur si il y a une peur il y a un blocage il y a un truc qui va pas et moi je me dis en fait c'est C'est l'estime de moi en fait. Je suis un mec qui a beaucoup confiance en lui. Je m'aperçois à ce moment-là que je suis un mec qui a pas beaucoup d'estime de lui. En fait, ce qui est assez tricky, c'est un peu chiant avec moi, c'est que j'ai pas une mauvaise estime de moi, mais j'ai pas non plus une grande estime de moi. Ce qui fait que je veux pas déranger. Je tiens ça de mon père. On veut pas déranger. Fils d'ouvrier, on se fait tout petit. On est dans les règles et tout. On veut pas déranger. Imagine, qu'est-ce qu'ils vont penser ? Non mais laisse-les tranquilles, tu vois. Et je me dis, en fait, si j'ai peur de demander à des potes... de venir me faire confiance et de dire, viens, je vais faire un truc de ouf. Le but, ce n'est pas de me faire doser, c'est viens, je vais organiser un truc de ouf. Et on va kiffer, on va péter des blocages, justement. On va aller se dépasser, on va aller faire... Viens, venez. Et maintenant, j'ai peur. J'ai peur qu'ils me disent, bah non, en fait. Et de me dire, merde, en fait, ils ne m'aiment pas assez. En fait, j'ai peur d'avoir le retour qu'en fait, on ne m'aime pas tant que ça. Waouh, OK. OK, j'identifie. Deuxième truc. Pareil, si j'ai peur... d'assumer un rêve, c'est que mon rêve il est pas assez bien, c'est que je suis pas assez bien, c'est que je me dis putain le travail à faire là dessus mon gars ok pas de problème tac tac on remonte les manches je rappelle des potes en Colombie je prends des trucs ça c'était en juin un truc comme ça je crois et en juin juillet et je reprends des, je rattaque un peu mon projet de réserve naturelle ok je fais des calls ok je rattaque là dessus le truc la peur sur l'immersion que je disais de créer un truc en immersion ok Et bah du 20 au 24 janvier, je crée une immersion avec mes potes. J'ai peur. J'ai peur de les décevoir. J'ai réussi à réunir les 8 potes que je voulais. Faire un truc de ouf. Je voulais qu'il y ait 8 piliers dans cette immersion. Parce que je voulais pas que ce soit que business, que développement personnel, ou que bien-être. Je voulais qu'il y ait un petit peu tous les piliers. Et du coup, il y aura un pilier business, avec des hot seats. Il y aura un pilier dépassement mental et physique, où on aura une sweat lodge, où vraiment ceux qui ont fait ça, je peux t'assurer que tu... Ton ego est obligé de lâcher, t'es obligé de tout lâcher mec, c'est une hutte de sudation pendant deux heures, c'est assez incroyable. Il y aura un hypnotiseur et un préparateur mental qui viendront pendant tout le long du séjour pour aller nous casser nos limites mentales. Il y aura aussi, d'ailleurs je fais un bisou à Edouard Chéron qui va être là, je suis tellement content qu'il soit là. Il y aura aussi mon pote Steph Gentis qui sera là pour toute la partie breastwork, bien-être, connexion, esprit, mental, spiritualité. Il y aura aussi toute la partie bien-être avec des masseurs thérapeutiques, avec des chefs sur place. Il y aura la partie gestion émotionnelle, parce que je voulais qu'il y ait aussi un pilier gestion émotionnelle, parce que je pense que surtout, ça va être entre potes, donc entre hommes, vraiment en tant qu'hommes. Nous on est des costauds, on va faire beaucoup d'argent, on va faire beaucoup de travail, et c'est très bien. Mais en fait à l'intérieur on est des humains, et je voulais vraiment insuffler ça, partager ce que j'avais appris sur ce sujet-là ces derniers temps, et le partager dans les ateliers. Donc il y aura des cercles d'hommes qu'on va faire, et aussi comme je te disais, la partie... bien-être à travers le chef, les massages et tout. Ben, j'ai peur. Mais putain, ça fait peur, mais ça fait du bien de prendre l'hôtel. J'ai appelé 18 potes, plein qui n'étaient pas dispo. Là, tout c'était chaud, mais après ça se débine, après tout ça. Et ça fait chier quand tu sens qu'il y en a qui se débinent ou qui te gossent parce que le budget ça va pas, ou en fait c'est peut-être pas leur bon moment dans la vie. Ça fait peur, t'es mal à l'aise. Ça se passe pas forcément bien. Tu galères à trouver les prestataires, ce que tu veux les mettre. En plus, je me fais zéro argent. C'est vraiment pour le kiff, ça me prend beaucoup de... de temps et d'énergie, j'ai peur, mais je sens que je grandis. Je sens que ça m'a fait du bien. Et pourquoi je te dis que la peur, c'est la meilleure boussole pour s'épanouir ? Là où ça te fait peur, si justement je reviens sur le business, et que tu as peur de passer des calls, de dire, vraiment des calls à des clients comme ça, puis les closer, puis parler des prix. Si tu as peur de parler de ton prix et de te vendre cher, c'est que tu n'as pas non plus une grande estime de toi ou que tu n'as pas confiance en toi. Génial, bosse dessus. Si t'as peur, encore une fois, je sais pas, d'aller faire du networking, d'être dans les events, etc. Génial. Bosse ton intelligence émotionnelle dans la relation aux autres, dans le networking. C'est que toi, en fait, t'aimes peut-être pas ton image en public. C'est peut-être que toi, tu t'aimes pas assez. C'est peut-être que toi, il y a eu des blocages. T'as peut-être des choses... Super. Bosse dessus. C'est ça qui est bien dans l'entrepreneuriat. Parce que l'entrepreneuriat, vu que t'es obligé de faire plein de trucs tout seul, ça te met face à plein de peurs. Va. Utilise ton taf, utilise ton activité pour aller détecter des peurs et va bosser sur ces peurs. Fais-les ! Putain non, j'aimerais bien lancer des réels facecam ou une chaîne YouTube, mais putain j'aime pas ma gueule, non mais qu'est-ce qu'ils vont penser les gens ? Ok, regarde les gens, t'as peur du regard des gens, t'as peur de ce qu'ils vont te dire, t'as pas confiance en toi, sur ta gueule, fais une vidéo YouTube, très bien, avance, fais quelque chose, n'aie pas peur. C'est comme ça que tu progresses, tu vois ? C'est encore une fois, c'est en allant, en fait, l'avantage de devoir faire des projets, c'est que tu vas faire des choses. Et ces choses vont peut-être à un moment donné te dire, boum, ici c'est ta limite, t'as peur mec derrière. bah fantastique, map tes peurs, fais des projets qui vont permettre de mapper tes peurs et de savoir exactement c'est là ma limite donc c'est là que je dois progresser donc c'est là que je dois me challenger donc c'est là où je dois aller creuser cette peur et je peux t'assurer que moi j'ai peur encore une fois de décevoir mes potes d'autant plus tes potes tu vois, qu'il y a un truc qui se passe mal, qui me dit putain parce que j'ai voulu mettre plein de trucs dedans putain on paye cher et tout machin et qui me disent bah en fait c'est claqué vas-y on aura plus prévu tu vois mais j'y le fais parce que putain Je pense que c'est vraiment là que se situe l'épanouissement, le bonheur. Parce que le bonheur, c'est finalement se débarrasser de trucs qui te bouffent la tête. Mais si t'as confiance en toi, t'aimes ta valeur, tu t'estimes, t'aimes parler aux gens, tu peux être tout seul en train de méditer pendant des heures ou dans une foule, et que t'es bien, et que t'as pas peur de monter sur, encore une fois, une scène, ou que, encore une fois, tu peux aller te balader. Mais c'est ça le bonheur, c'est de pas avoir de peur. et que dès que tu en as une, d'aller la challenger. Donc ouais, fais une petite liste des peurs que tu as eues ces derniers temps, à travers peut-être des activités perso aussi, mais pro, et démerde-toi pour mettre en place une stratégie qui va aller à ta clé et qui va t'obliger à aller dans cette peur, pour grandir. Et maintenant, le fun fact, et ensuite le sweet fact, parce que j'ai envie de te partager, pour terminer, ce nouveau journal de bord. Alors, j'étais il y a deux jours, Gare de Lyon, j'attendais un train. puisque le mien avait été supprimé, on adore. J'arrive pour prendre un petit café, je suis avec mon pote Wibaï, on a tantre un et on se met sur une table qui était des tables vraiment collées et à la nana je lui dis ce que je vois sur son ordi tu vois et je dis merde tu vas bosser là ? Elle me fait ouais, je fais mais tu vas bosser c'est quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Le mec il sait j'aime bien, qu'est ce que tu vas faire ? Je la tutoie évidemment tout de suite. Elle me fait bah... Ouais j'ai des mails en fait c'est... C'est une note... Je fais c'est une note parce que... Parce qu'en fait là nous on va jouer au dé Donc ça va faire un peu de bruit, je voulais savoir... Parce que je voulais à la base quand même être très poli et courtois Tu vois je voulais pas non plus euh... Elle me fait bah... Je fais non mais c'est une note... Je fais c'est quoi ton taf ? Elle me fait je travaille à Matignon Je fais ah ok cool ! Je fais mais euh... Tu fais quoi à Matignon ? Ah je bosse pour le premier ministre Je fais ah ok cool je fais le nouveau là le... Bayrou Elle me fait Ouais, mais tu fais quoi ? Bah je fais ces notes ministérielles. Je fais Ah ok ! Et là je lui dis Bah attends mais prends le chat de GPT ! Elle me fait Mais non, j'ai besoin de faire des trucs intelligents. Je lui dis Oulala, attends, oulala, tu prends beaucoup trop d'eau, un truc qui va te remplacer dans un an là. Elle a pas très bien pris je crois. Elle a un peu rigolé en vrai, elle a un peu rigolé. Et je lui dis Mais attends, attends, en vrai, là t'es là, faut que tu te concentres, c'est relou, même y'a des gens qui vont jouer au dé, nous. Alors qu'en vrai... Ce que je te conseille, c'est que tu pitches ChatGPT. Soit tu le pitches à l'oral et après il te le remet en ordre simplement, tu vois, à l'écrit. Tu vois, t'as juste à reprendre. Soit encore mieux, tu te prépares pour les prochaines, tu télécharges tous les discours de ce bon Bayrou ou alors des trucs un peu des premiers ministres. Bah, tu le fous dans ChatGPT et tu lui dis, vas-y, balance-moi une petite note ministérielle. Elle a un petit peu rigolé et elle m'a dit, il y a une table qui s'est libérée, je vais vous laisser jouer. Et je dis non mais attends c'est à nous de nous déplacer. Non non mais il y a une prise là bas. Et j'ai compris qu'elle m'avait un petit peu pris de haut avec ChatGPT et je me suis dit à la fois tant mieux parce que j'avais envie de jouer au dé et d'être tranquille et à la fois ma grande fais gaffe pour ton boulot je te jure fais gaffe. Et le sweet fact et bah ça c'était un truc inattendu et je suis très content d'ailleurs je vais m'y mettre juste après. Je suis samedi soir, on est allé au dîner avec les membres de mon collectif. On parle de tout et de rien, on parle évidemment de Noël, de la famille, des cadeaux, etc. Moi tu vois, je suis pas cadeau, ça fait des années que je fais pas de cadeaux et j'en veux pas. Moi ce que je veux c'est des moments, qu'on s'offre des expériences avec ma famille ensemble, avec mes parents. Et en fait je suis là en mode mon père il voulait, cette fois je voyais même pas ce que je pouvais lui offrir et tout. Et Isabelle, je te fais une grosse dédicace Isabelle, c'est ma SAUZER, qui me dit, je sais plus comment elle a l'idée, Parce que j'avais parlé d'un truc que j'avais fait avec mon père il y a des années, je l'avais emmené une fois en voyage en sac à dos en Géorgie, mais il y a 6 ans. Il me dit mais... T'avais filmé, je sais plus, j'ai dit ouais mais j'ai jamais monté le truc. Il me dit bah voilà c'est ça le cadeau, tu lui montes la vidéo. Et dans la tête je me dis putain je ne sais pour quelle raison, un montage avec des rushs d'il y a 6 ans je les ai sur moi dans mon disque dur. Et je me suis dit mais c'est dans 2 jours Noël, un montage c'est 18h de taf, j'ai pas le temps. Et là mon pote à côté... Adrien Scatte, qui est lui aussi filmmaker, qui a fait un énorme documentaire sur Kilimanjaro, qui a remporté un prix d'ailleurs, il me dit Mais mec, tu t'en fous, tu fais juste des trucs à l'arrache, ton daron, il s'en fout des transitions de la musique, ce qu'il veut c'est les moments de vie ! Et je me suis dit Putain, j'ai jamais su quoi faire de ces rushs, j'ai jamais pris le temps de les monter, et là je me dis, ça va faire tellement plaisir à mon père de revoir une aventure qu'il m'a dit il y a pas si longtemps et ça m'avait tellement touché, c'était le plus beau moment de sa vie. Je peux t'assurer que quand ton arron il te parle jamais et te sort ça, mon gars t'as les petites larmes. Et je me suis dit là, putain, j'ai mis le nez dedans. Limite je suis dégoûté de devoir le monter un peu, parce qu'il y a quand même du déchet. C'est du bout à bout pour les monteurs, vraiment bout à bout. Vraiment je mets que les sons, c'est vraiment le film de famille. Mais je suis dégoûté de ne pas le découvrir avec lui. Mais j'ai vraiment envie de livrer un truc. Il y a quand même deux heures de rush. Il faut quand même dérusher. J'ai quand même un peu jacté, évidemment, comme tu le vois sur ce podcast. J'ai un petit peu de trucs à dire. même quand il n'y a rien à dire. Mais voilà, je suis très heureux de pouvoir partager ça parce que c'est encore une fois la puissance du collectif. Au niveau cadeau, j'étais à sec. Je ne sais pas ma spécialité. Et grâce au collectif, aux conversations, d'être entouré des bonnes personnes qui ont les mêmes valeurs, qui ont les mêmes visions, qui... Je ne sais pas. Et les discussions font que pop ! Tu as des trucs incroyables qui pop, même pour du perso. Et je suis très heureux. Bon, ça va me mettre un petit peu de taf, il faut que je me maigre le cul pour demain, parce qu'au moment où tu vas écouter, je pense, ce podcast, on est le jour de Noël. J'espère que je vais avoir terminé le montage. Et heureusement, mon pote... Mon père n'écoute pas ce podcast, c'est aussi pour ça que je le dis. Et je vais monter ce vlog à la rage totale. J'ai regardé, j'ai filmé vraiment avec mes yéps en plus. C'était vraiment... Et je me suis revu, il y a six ans, en tant que vlogueur voyage, j'étais vraiment encore dans le dur du sujet. Évidemment, j'ai envie de me gifler. On le sait. On le sait parce que je parle comme ça, c'est super, j'ai super content, tu as le bonheur. Ta gueule. Mais ta gueule en mode on est content de revoir ces images et je suis impatient de pouvoir offrir ce cadeau à mon père. Je te souhaite vraiment une belle semaine et du coup un très très très joyeux Noël. J'espère que ce deuxième journal de bord t'a plu, que tu en as retiré des leçons, de l'inspiration. Bref, encore une fois, moi je pense clairement, je disais à mon pote que je kiffe faire ça. Je parle pendant une heure avec quatre mots sur mon carnet des thèmes que j'ai envie d'aborder. C'est un peu mon auto-thérapie, ça me fait du bien. Et si en chemin, je me dis que ça peut aider d'autres personnes, eh ben tant mieux. C'est peut-être aussi ça, mon joli cadeau de Noël. En tout cas, n'hésitez pas à me faire des retours sur les réseaux. Ou me laisser une petite note sur Spotify ou iTunes, ça fera aussi plaisir. Tiens, ça, ce sera mon cadeau de Noël. Allez hop, call to action. Merci, bisous, à la semaine prochaine.

Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs (ouvre en février) : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs


Dans cet épisode, on explore :

  • Les quatre grandes étapes de la vie : Mimétisme, exploration, engagement, et héritage – et comment identifier où tu te situes.

  • L'intelligence artificielle (IA) : Opportunités, menaces, et son impact imminent sur les solopreneurs et les créateurs.

  • La gestion de la charge mentale : Pourquoi elle pourrait bien être la clé du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs.

  • La peur comme boussole : Comment utiliser tes peurs pour grandir, t’épanouir, et dépasser tes limites.

  • La puissance du collectif : Des idées, du soutien, et des solutions inattendues grâce à la synergie d’un groupe aligné.

  • Un projet d’immersion unique : Un exemple concret de dépassement physique et mental avec des ateliers de développement personnel, business, et bien-être.

  • Un cadeau de Noël symbolique : L’importance des souvenirs et des moments partagés comme actes de gratitude et d’amour.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Eh ça y est, ça fait déjà une semaine, deuxième numéro de mon journal de bord sur ce nouveau podcast Satori. Ouh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël. Tu vois, c'est là où on me dit souvent que je suis plus jeune que mon âge, mais quand je sors des phrases comme ça, Oh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël je me dis que je fais peut-être mon âge en fait. Cette semaine, je vais te parler des quatre étapes de la vie, pour que tu saches dans quelle étape tu es. Est-ce que tu as peut-être été trop tôt dans une étape, peut-être qu'il serait temps de passer à la suivante. Je te dirai aussi dans laquelle je suis, puisque évidemment, c'est moi qui me suis fait cette réflexion cette semaine. Je te parlerai aussi de ce que j'ai compris de l'IA, des opportunités à avoir et des choses à avoir peur, mais surtout des dernières possibilités que ça va pouvoir nous offrir, surtout nous en tant que solopreneurs et personnes qui utilisons nos ordinateurs et le digital dans notre quotidien. Je te parlerai aussi de charge mentale. Est-ce que la charge mentale et la gestion de la charge mentale, ce n'est pas tout simplement la recette du bonheur ? en particulier pour les entrepreneurs. Et je te parlerai aussi de pas mal d'exemples que j'ai autour de moi et de discussions que j'ai eues avec des potes. Et aussi, je t'expliquerai comment la peur peut être finalement ton meilleur allié si tu la suis comme boussole. Et évidemment, je terminerai avec un fun fact et un petit sweet fact. Ça veut dire un fait doux. Mais que j'avais envie de te partager parce que c'est aussi le pouvoir du collectif qui m'a fait donner une superbe idée pour Noël. Et je voulais le partager. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, il y a quatre grandes étapes dans la vie. Et je voulais t'en parler parce que moi, en ce moment, je sens que je suis en transition d'une étape à l'autre. Ce n'est pas toujours facile. Quelles sont ces grandes étapes de vie ? Pour savoir si toi aussi, où tu en es, dans quelle étape tu es. Et surtout, est-ce qu'il serait temps de, peut-être toi aussi, de passer à la suivante. Ou peut-être de revenir en arrière. Parce que des fois, tu vas voir, c'est utile. Les quatre grandes étapes de vie, c'est de quand tu nais jusqu'à, en général, jeune adolescent. C'est le mimétisme. En fait, tu vas mimiquer, tu vas absorber tout ce que tu vois et tu vas le reproduire. Ensuite, c'est la phase d'exploration. En général, de jeune adolescent jusqu'à potentiellement 30, 40 ans pour ceux qui tardent un peu, qu'ont les fait Peter Pan comme moi. Donc ça, c'est toute la phase où tu vas explorer les études, les métiers, les amis, les drogues, les pays, les voyages, les fêtes. Bref, tu vas essayer de comprendre le monde. Et l'étape d'après... C'est l'étape de l'engagement. Celle justement où, si tu es passé trop vite de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement, tu te réveilles un jour et tu te dis Putain, mais attends là. Pourquoi j'ai cette femme ? Qui sont ces enfants ? Qu'est-ce que je fous là ? Mais putain, c'est pas ça la vie que je voulais. Mais qu'est-ce que je fous dans ce boulot ? Merde ! Parce que tu n'as pas pris le temps de vraiment savoir ce que tu voulais, ce que tu aimais, et de le faire vraiment en conscience. et de ne pas être nourri, de le vouloir vraiment. Et inversement, là ça me concerne peut-être un petit peu plus, c'est de se dire Waouh, j'aime tellement le goût de la nouveauté que ça est addictif, mais finalement je m'en enivre et je deviens peut-être, sans m'en rendre compte, un de ces jours, si je ne fais pas gaffe, tu sais, le vieux gars de 50 piges qui est encore en boîte de nuit, qui est habillé comme un jeune et qui essaie de draguer les petites minettes, oh my god, je pense que ça c'est mon cauchemar. Failure de vie. si j'en suis là, un jour, mon dieu non mais c'est vraiment ce côté où finalement tu es tellement devenu addict à cette liberté à cette nouveauté, dans tous les sens du terme de pouvoir changer de job d'aller où tu veux, quand tu veux que finalement tu restes coincé dans cette étape là, et le problème de cette étape là qui est extraordinairement géniale qui est enivrante, qui te permet de te cultiver qui permet encore une fois aussi d'être libre et Dieu sait qu'on essaie de nous mettre des chaînes en permanence... dans notre vie et une fois qu'on a goûté à ça on a envie de rester mais cette étape là elle est aussi quand même une c'est une étape qui reste en surface parce que même si c'est toujours très intense et même par exemple je prends le voyage c'est très puissant c'est très intense mais il n'y a pas la profondeur des années d'amitié des années de couple des années de d'études sur un sujet des années de vie dans un même lieu où tu vas aller plus loin Et cette profondeur, elle est je pense très importante. Très très importante. Et c'est un peu, en ce moment, je suis dans cette étape-là. Et d'ailleurs, la dernière étape, quelle est-elle ? Celle que je ne t'ai pas encore dit. C'est celle de... Alors je l'ai toujours en anglais, de legacy. C'est vraiment ce que tu laisses, pas le testament, mais l'héritage. C'est l'héritage, c'est ce que tu laisses derrière toi. Parce qu'en gros, une fois que dans ta vie, tu as exploré, tu t'es fait kiffer. Tu as eu à peu près la famille, le job que tu voulais, tu t'es engagé, t'es bien, t'es posé dans ta vie. Qu'est-ce que tu veux, qu'est-ce qui te reste quand tu as atteint un peu tous tes objectifs ? C'est de devenir inoubliable. Dans le sens où tu laisses des choses où on va encore penser à toi. Que ce soit des œuvres, que ce soit des biens, que ce soit un patrimoine. Moi évidemment je suis dans l'étape en ce moment de transition, de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement. Et c'est vrai que je m'en aperçois et je trouve ça super important de comprendre aussi que c'est ok d'être dans une étape alors que tous les autres de ta génération sont dans une autre. Parce que moi, évidemment, tous mes amis sont depuis longtemps dans l'étape d'engagement. Mais que moi, encore une fois, je vois que c'est ultra important pour moi d'avoir été jusqu'au bout de me dire Eh, c'est bon, j'ai fait le tour. J'ai fait le tour des voyages, j'ai fait le tour des soirées, j'ai fait le tour des discussions autour d'un feu, j'ai fait le tour des rencontres. Et aujourd'hui, j'ai envie, entre guillemets, de... D'aller plus en profondeur dans chacun de ces thèmes que j'aime toujours autant profondément. Mais j'ai envie d'aller plus en profondeur dans le voyage, j'ai plus envie d'habiter. Dans les relations avec les femmes, j'ai envie d'être avec une femme. Je ne dis pas que j'étais avec plein de femmes avant, ce n'est pas ça que je veux dire. Mais de façon très long terme, j'ai envie de discuter avec des gens que je choisis, et non pas qui se mettent sur mon chemin, et même si j'adore ça encore une fois, mais que je choisis et auxquels on va creuser des sujets. J'ai envie de creuser des sujets en particulier, pour le plaisir. Je m'aperçois que c'est très difficile d'être, on va dire, dans une étape où quand tous les autres sont en train de faire autre chose, toi te dire que non, j'ai pas envie de faire ce que vous faites, moi j'en suis là en fait. Et que c'est ok. Et pas de se sentir coupable, et se sentir bien, mais à la fois se dire, ne pas tomber, tu sais, dans cet ego de se dire Haha, moi je suis pas comme vous, je suis dans cette étape-là ! Et inversement, tu vois, ça peut être tous tes potes qui sont encore peut-être, je sais pas, en train de... parcourir le monde, se bourrer la gueule, de vouloir faire plein d'argent, de trucs, de machins, de travailler jusqu'à pas d'heure et toi tu dis non moi j'ai arrêté d'alcool, j'ai trouvé ma petite meuf ou mon petit gars je suis posé, je reste manqueré ici tu vois je suis bien et c'est ok avec ça et d'avoir la Jomo la Jomo c'est le joy of missing out, c'est d'être content de louper quelque chose et non pas avoir la FOMO de te dire merde putain il y a une nouvelle opportunité, putain il y a merde, il y a une soirée, putain waouh il y a d'autres meufs, qu'est ce qu'elle se résolue Pourquoi je me prends la tête avec ce gars alors que je pourrais être un peu partout ? Et c'est vraiment ça, c'est de se dire, aie le courage vraiment d'être conscient de ce que tu veux et d'aller faire ce qui vraiment fait du sens pour toi. Et moi en ce moment, je suis vraiment dans cette étape de me dire Ok, je veux m'engager, je veux m'en créer, c'est pour ça que j'étais à Lisbonne, je vais essayer de construire des projets qui sont peut-être plus long terme. Alors que moi j'aime bien construire des projets, une fois que j'ai fait le tour, rechanger, c'est ça qui me nourrit. Mais essayer de créer un truc plus long terme. avoir des relations plus profondes avec mes amis plus longtemps, me recréer un cadre d'amis encore une fois où je suis pas que là de passage. Et j'aime bien parce que c'est aussi challengeant en fait. C'est pas parce que je le veux que tout à coup, là j'ai pris un appart à Lisbonne, je suis à Lisbonne, etc. Mais ok, j'ai envie de changer d'appart finalement. Parce qu'en manquant, et manquant pour de vrai, et bah c'est comme tout quand on essaye, tout ne réussit pas du premier coup. Et peut-être que justement j'ai peut-être changé d'appart je pense. mais peut-être aussi changer de ville. Et là, je suis en train, encore une fois, de travailler sur mon nouveau projet du Cercle des Solopreneurs, la nouvelle communauté que je vais créer. Je pense profondément que c'est ce que j'ai envie de faire, mais je suis OK, en fait, que ça échoue. Parce que je suis OK que ce soit mon nouveau grand projet et j'ai envie qu'il fasse du sens. Et ça, c'est, pour moi, le plus important, c'est ça que je voulais te transmettre, c'est de te dire où est-ce que t'en es, en fait. Est-ce que tu t'es embourbé dans quelque chose depuis longtemps ? qui fait pas de sens pour toi et il faut que tu retournes un peu explorer qui tu es, du job, des voyages à l'intérieur de toi, pour vraiment pouvoir te réengager de façon alignée ? Ou est-ce que justement, hey, t'es pas un peu comme Alex ? T'es pas un petit peu Peter Pan ? Ça veut dire Peter Pan en français. Est-ce qu'il serait pas temps pour toi d'essayer de te dire, un peu comme l'amour ? C'est pas... J'aime bien faire ce parallèle-là, je pense que la phase d'exploration c'est la passion et je pense que la phase d'engagement c'est l'amour. Et l'amour c'est un choix, moi je le découvre aussi, et c'est d'autant plus beau, profond, sacré et difficile. Parce que la passion elle s'empare de toi. La passion en fait c'est simple, c'est comme les voyages, t'arrives, c'est la nouveauté, ça te pète à la gueule, c'est comme un shot d'adrénaline. L'amour, et du coup l'amour peu importe, soit avec une relation de ce que tu fais ou la profondeur et l'engagement, c'est un choix conscient. Donc ça implique beaucoup. plus de pression, et je trouve ça d'autant plus beau. Alors pose-toi la question dans quelle étape de vie tu es. Il y a... On va tous mourir. J'ai regardé pas mal de choses ces derniers temps, des dernières interviews de très très grands spécialistes. On va tous mourir. En tout cas, c'est ce que, quand je regarde ça, ça me donne un peu ce sentiment. En mode, on arrive sur du Terminator, la super-intelligence artificielle qui va, entre guillemets, régir toutes les intelligences artificielles d'ici 5 ans. 5 ans, c'est Hachoum demain, on passe Noël. Après, c'est 2030, c'est demain en fait. Et à côté de ça, si je me dis, bon, en vrai, c'est pas trop ma façon de voir la vie. Dans chaque difficulté, une opportunité. Et puis, c'est surtout de se dire que... Ça fait bien longtemps que depuis que je suis né qu'il y aurait des raisons de se tirer de balle et d'arrêter. Donc pourquoi l'IA serait une raison de plus de se dire que c'est la fin du monde ? Et non pas l'inverse, de se dire Ok, le monde est aussi en train de changer. Est-ce que, comme dirait le bon Winston Churchill, est-ce qu'il ne serait pas temps de prendre le progrès par la main avant qu'il ne nous prenne à la gorge ? Je pense que c'est le moment. De ce que j'ai regardé vraiment, et je voulais te le partager, c'est que concrètement, le savoir... va devenir bientôt, d'ici 3-4 ans, une commodité. Comme l'eau potable. Tu as besoin d'eau potable, tu tournes le robinet, tu as de l'eau potable. En tout cas, nous en France, on a cet énorme privilège. Le savoir, ça va devenir pareil. Et qu'est-ce qui se passe quand le savoir devient une commodité ? Quand toute notre économie, ou presque, repose sur le manque de savoir. Je ne sais pas changer un problème dans mon robinet ou ma plomberie, je vais appeler le plombier. Je ne sais pas me défendre devant le tribunal, je ne sais pas, donc je n'ai pas le savoir, je vais prendre un avocat. Je ne sais pas réparer ma voiture, je ne sais pas faire des Facebook Ads, donc je vais prendre un spécialiste, etc. Qu'est-ce qui se passe quand demain tu as une intelligence artificielle ? Et là on est à quelques mois d'avoir des intelligences artificielles adjantiques. Adjantiques c'est qu'ils vont faire le boulot d'agence. Aujourd'hui... Quand tu es solopreneur, tu as besoin d'écrire tes emails, de ta page de vente, de créer ton logo, de faire un site internet. Tu vas prendre ces différents freelances qui vont te permettre, que tu ailles sur Malt, Fiverr, etc., qui vont te permettre de faire toutes ces choses-là. Sauf que demain, tu vas avoir une IA qui va être en complétude sur tous ces sujets et qui va te permettre de dire, en fait, tu vois, ce site-là, je l'aime bien. Est-ce que tu peux me reproduire le style et le code ? Mais par exemple, moi, en fait, ce n'est pas le marché. des jeunes cadres, moi c'est plutôt des femmes enceintes ou en fait moi c'est le marché indien est-ce que du coup tu peux aussi me créer toute la séquence mail qui ira par rapport à la culture indienne ou par rapport aux jeunes femmes enceintes etc etc et t'auras très vite et très bientôt cette possibilité là on est à quelques mois de ça, je te parle même pas d'années donc quand je me dis wow, attends, attends, attends Alex moi je suis ce qu'on appelle un infopreneur, je vends de l'information finalement Qu'est-ce qui se passe quand demain l'information devient une commodité et presque gratos et à la portée de tous ? Je... Bah j'ai plus de job ! J'ai dit, je me dis d'accord ! Et je me dis surtout, waouh ! Génial ! Comment je fais pour me réinventer encore une fois ? Et comment je fais pour le faire dans des choses qui font du bien, qui sont utiles, et pas encore une fois essayer de prendre des raccourcis qui vont pas ? Je me suis dit, qu'est-ce qui reste si l'information... Elle est encore une fois gratuite. Qu'est-ce qui reste quand le digital, la robotique et l'intelligence artificielle fera partie de notre quotidien en permanence ? Je me suis dit qu'il resterait les émotions. Comment vivre des émotions ? Que ce soit des expériences. Peut-être que tous ceux qui ont des tiny houses ou qui font vivre des expériences à des gens, je pense qu'ils sont très bien. Ou que ce soit des balades, ou encore une fois des voyages. Ce sont des choses que tu auras du mal à vivre. différemment, tu pourras certainement mettre ton casque de réalité virtuelle, ça va arriver, et je pense que le monde va être aussi divisé entre ceux qui vont plonger dans l'intelligence artificielle et la robotique, et ceux qui auront désespérément besoin de connexion humaine, puisque finalement c'est ça, moi je le vois vraiment comme ça, c'est plus je passe de temps avec des robots, plus j'ai envie de besoin d'émotions avec d'autres humains, et demain ça va être ça, ça va être la gestion aussi du coup des émotions, avec tous les coachs de vie à Bali, ils vont se dire putain je vais enfin avoir du taf ! C'est cool, parce que je dis que je suis coach de vie, mais il se passe pas grand chose. Là, c'est bon. En fait, si, parce que ça va être top, tout ce qui est psy, tout ce qui est bien-être, tout ce qui est coach de dev perso, tout ce qui est aussi lié, encore une fois, à la santé et au bien-être, tout ce qui va être massage, tout ce qui va être énergétique, tout ce qui est soins, tout ce qui est yoga. Et il va y avoir aussi tout ce qui va être communauté. Et moi, je pensais en fait à cette offre-là, à cette nouvelle offre, à ce nouveau... ma nouvelle direction pour mon business de créer une communauté comme je te disais début fin janvier début février et on renseigne au sur village me dis mais ça ça fait d'autant plus de sens tu vois parce que qu'est ce qui va se passer quand on fait encore une fois on va passer notre temps avec des intelligences artificielles c'est cool mais en fait je vais vouloir me sentir écouté avec un humain Et ce qui fait que je vais me sentir bien, c'est que c'est un humain qui me répond. Et de pouvoir rigoler, et de pouvoir être bien. Et là justement, samedi dernier, j'étais avec le collectif Premium que j'avais déjà monté cette année. On s'est retrouvés autour d'une table, on a parlé de tout, sauf de boulot. Pendant un dîner, on a parlé de nos lives, ça fait du bien, on s'est charrié, on a rigolé, on a appris à se connaître. Et je me suis dit, waouh, ça fait du bien. Et dans ce monde en fait, où... Demain, encore une fois, le savoir va être apporté de claviers et même de voix ou de masques de réalité augmentée. Qu'est-ce qui reste ? Il restera que je pense que c'est sûr que toutes les personnes qui ont des métiers de manutention pure, ça va être très compliqué parce que ça va être remplacé par des robots. Il y a déjà les robots Tesla, etc. Tout ça, ça va être dans les usines. La créativité, ouais, ok, mais en fait, on voit que l'IA, tu lui mets un prompt, en fait, il te fait des trucs. de folie furieuse en termes de créativité. On nous a dit que c'était ça, mais non. Aujourd'hui, ce qui nous reste, c'est tout ce qui est lié à l'émotionnel, je trouve. Tout ce qui est lié aux connexions. Et je pense que les jobs qui... Des gens qui ne seront pas au chômage, parce que je pense que ça va mettre beaucoup de gens au chômage, mais comme toute nouvelle technologie qui met des gens au chômage, ça crée aussi beaucoup d'emplois. Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'auront plus le job qu'ils ont, mais ce seront des personnes qui ne feront peut-être plus des copywriters, mais des personnes qui seront gérées et seront des chefs. des gestionnaires, des directeurs d'intelligence artificielle de copywriting. Et forcément, on va à une espèce de montée. Au lieu d'être copywriter ou d'être graphiste, tu seras, entre guillemets, le gestionnaire de tes intelligences artificielles dans ton domaine. Mais à force de gérer ton équipe d'intelligence artificielle, qu'est-ce que tu voudras à la fin de la journée ? Tu voudras aller en pleine nature, tu voudras aller à ton cours de yoga et tout à coup, tu trouvais ça chiant avant, mais tu te dis, bah non, en fait, c'est bien. Déjà, il y a des meufs, donc ça, c'est cool. et puis en fait ça fait du bien au corps puis je me relâche, puis je rigole puis après c'est aller à un dîner aussi avec des gens de ma communauté de volleyball de paddle, d'entrepreneur cercle des solopreneurs par exemple et c'est là où je me dis wow c'est flippant je trouve quand des experts mondiaux, des pontes pas des gars qui essaient de te faire peur et de te rendre un truc, des pontes et là il y avait Elon Musk, il y en avait plusieurs différents experts mondiaux sur l'intelligence artificielle qui disent, en 2030, c'est la super-intelligence artificielle. Donc la super-intelligence artificielle, c'est celle qui sera omnisciente et qui sera partout connectée à tout, entre guillemets. Ce qui fait très peur. La robotique, elle est quasiment prête à être insufflée dans toutes les usines et potentiellement nos ménages d'ici un ou deux ans. En gros, l'intelligence artificielle avec laquelle elle existe aujourd'hui, dans un ou deux ans, elle sera un million de fois plus puissante. Je ne sais pas si tu imagines, un million de fois plus puissante. Tu as vu les dingueries que ça fait aujourd'hui. et que d'ici un ou deux ans, elle sera capable de faire tout ce que fait l'homme. Et dans cette réflexion-là, je me dis, il est vraiment temps de mettre le nez dans ce qui est l'intelligence artificielle si tu n'as pas encore pris le temps. Et c'est pour ça que je te dis tout ça. Quel est ton business ? Est-ce que c'est dans un secteur que tu sens qu'il va être périn ? Si c'est dans un secteur qui va être challengé, il va falloir que tu montes en compétence et en puissance sur non pas la rédaction, la création pure. de ce que tu fais, tu vois, l'exécution, mais on va dire la direction des IA, de monter d'un step pour être celui ou celle qui va gérer les IA. Et que si toi, justement, tu es pour l'instant dans un secteur qui, selon moi, ne sera pas touché, qui sera tout ce qui est lié à l'humain, finalement, eh bien, réjouis-toi et utilise-le comme argument, parce que je pense que tu auras d'autant plus de clients. Et d'un côté, c'est tant mieux. Et même si je pense qu'encore une fois, le monde va se diviser en deux catégories, Ceux qui ont le pistolet chargé et ceux qui creusent. J'espère que vous avez la ref. Le bon, la brute et le truand. C'était un spaghetti, gros fan. Mon père regardait ça quand j'étais gamin, j'étais trauma, mais c'était très cool. Petit aparté très rapide, c'était très bizarre. Ça divise en deux catégories. Ceux qui vont encore une fois plonger dans un monde artificiel, d'autant plus avec des cases de réalité augmentées, avec l'IA, etc. Des gens qui se sentent malheureusement déjà très seuls peuvent encore plonger encore un peu plus. Mais il y aura aussi, je pense, des prises de conscience, en fait, de tout ce que ça nous apporte. Et il y aura toute une partie de la population qui demandera désespérément, d'autant plus de connexion humaine. Et j'espère d'ailleurs que ça augmentera aussi la bienveillance et ça nous permettra de nous rapprocher. On dit souvent que, si tu veux être pote avec ton voisin, attends juste que ton village y soit attaqué. Et qu'il y ait une menace extérieure. Et je pense que, d'un moment, l'IA peut faire ce Ausha, de se dire, en vrai, on va tous se faire buter par l'IA, ou en tout cas, c'est... Venez ! Venez nous en tant qu'humain, on est quand même sympa entre nous. C'était la petite réflexion de la semaine. Est-ce que la gestion de la charge mentale, ce ne serait pas le secret du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs ? et les entrepreneuses. Je sais que j'en ai déjà parlé la semaine dernière, mais c'est un sujet qui me tient à cœur, et j'ai eu des discussions avec plusieurs de mes amis. Et j'ai un pote qui est entrepreneur, qui est en totale surchauffe, alors qu'il a clairement des super business. Il a à la base une agence, je ne vais pas dire ce que c'est, comme ça je ne vais pas non plus trahir nos conversations, mais il a un business d'agence. A côté de ça, il donne des cours pour se dire, au cas où, j'ai quand même cette rentrée d'argent là, sachant que son agence fait déjà au moins 10-15K par mois. Et vu que, tu sais, dès que ça va bien, il dit, bon, ça, j'ai déjà ça. OK, j'ai ma rentrée d'argent qui va bien que j'ai verrouillée avec des cours. Mais bon, ça ne m'épanouit pas, je me fais clairement chier. Vas-y, je lance un side project. Ce side project, vu qu'il y met du cœur, ça a un peu cartonné. Du coup, il se retrouve à être en surchauffe totale, être totalement mal dans sa peau, être fatigué, parler mal à ses proches, être en fatigue, ne pas savoir par où il va s'en sortir, alors que, et c'est ça, en discutant, je lui dis, mais mec, est-ce que tu te rends compte que si tu avais juste choisi un seul, une seule vraiment des activités, un seul des projets que tu as, tu vivrais très bien et tu serais très heureux ? Parce que le problème... c'est que tu es en surchauffe partout, du coup tu fais un peu bien et un peu mal tous tes projets en ce moment, et surtout t'es mal. Et qu'il me sort une phrase qui m'a complètement à la fois fait rire, choqué, et je me suis dit Waouh ! J'appelle ça vraiment l'effet Avicii. Avicii, c'est le fameux DJ qui s'est suicidé. Pour moi, c'est de ne se rendre pas compte qu'on a le contrôle sur tout, et qu'en fait... on se fait déborder partout. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que lui, en fait, je lui dis, mais est-ce que tu te rends compte que... Donc, il m'a sorti la phrase qui m'a choqué, qui était, moi, en fait, là, si on me propose potentiellement un CDI, là, à 3000 balles, 3500 net, je prends, pour être tranquille, vivre ma petite vie. Je lui regarde, je lui dis, mais de quoi tu me parles, mec ? En fait, tu peux l'avoir comme tu veux, en fait, cette vie-là, c'est juste que t'es pas foutu de dire non. T'es pas foutu de dire stop et t'es pas foutu de faire un choix. Et c'est ça qui nous tue. C'est vraiment ça. Parce que, un, je m'aperçois que, encore une fois, le bonheur, il est vachement lié à notre charge mentale. C'est-à-dire que plus notre charge mentale est élevée, moi ces derniers temps, comme je te disais, je l'ai abaissée, et je me vois que je reciflote, je me vois que je danse dans la rue à Paname, je dis à Paname, je dansais, là, tac, bam, bon les gens ils m'ont regardé chelou, mais moi c'est moi, je suis comme ça, je kiffe, et je suis bien, je suis léger, j'ai de la créativité. Et en fait, quand la charge mentale est élevée, je suis stressé, j'ai des boucles mentales. Je me dis, ma life, il faut que je trouve une solution. Et puis, je serai heureux quand j'aurai ça. En fait, l'instant présent, quand j'ai une charge mentale énorme, il n'existe pas. Ou c'est de la merde. Du coup, je me dis, je serai heureux dans le futur, quand j'aurai ça, quand je serai ça. Truc qui n'existe pas parce que l'horizon recule. Et je me dis, c'est dû à quoi ? Du haut. Ça, je ne fais pas. Non, ça, ça ne m'intéresse pas. Je me focus là-dessus. Donc, c'est dire non, faire des choix. et assumer et surtout ne plus avoir la peur du manque. C'est vraiment ça, la peur du contrôle. Donc c'est arrêter de vouloir avoir le contrôle. Parce que la peur, c'est vouloir avoir le contrôle. Le contrôle, c'est ne pas arriver à faire confiance et à lâcher prise. Et ça, c'est fou. J'en discutais aussi avec ma pote Ludivine Aubourg, qui justement est dans cette phase un peu où on discutait. Elle est à Dubaï, elle a envie de... En fait, elle a fait en plus plein d'études, elle s'est formée. des compagnes des programmes d'accompagnement de dirigeants et tout et je me parlais dit mais tiens mais moi aussi j'ai envie de remettre du fun parce que c'est ça ma life c'est comme ça que je vois les choses mais il ya aussi comme je pense aussi comme moi comme je comme je déviais ces derniers mois cette part d'ego qui dit là faut que je relance quand même un gros truc faut que je fasse quand même rentrer du cash et et après je serai bien et je disais mais tu vois c'est je comprends la phase dans laquelle tu es et chacun doit faire son truc et son chemin mais c'est vraiment genre attention à ta charge mentale parce que la charge mentale elle va pas te rendre heureuse et moi je m'aperçois vraiment de ça parce que quand tu as un pote qui est successful potentiellement sur trois projets qu'il a et qui en a aucun ou qui est vraiment à fond successful et surtout il n'y en a aucun qui le rend plus vraiment heureux parce qu'il est en surchauffe je me dis waouh et ce qui est fou c'est que c'est entièrement et je dis quand je dis ça c'est notre faute de ne pas savoir dire stop de ne pas savoir se faire confiance et de se dire eh C'est ok, j'ai pas besoin d'avoir cette rentrée d'argent plus. J'ai pas besoin de faire ce truc en plus pour avoir encore plus de dopamine, pour me sentir encore plus successful. Ouais, ce sex-sex-sex-full, il est passé bizarre. Il y avait un sexe dedans qui était un peu gênant, je trouve. Successful. Et tout ça, c'est lié à nous. Et en ce moment, il y a un move qui m'a énormément inspiré de la part de ma pote Héloïse Monchavlon, et qui je suis resté un peu au téléphone aussi cette semaine, qui a annoncé après plus de dix ans, donc c'est une youtubeuse qui est dans la beauté, le bien-être, et qui a... depuis plus de 10 ans, fait des vidéos sur YouTube, justement, des vlogs, des vlogs super authentiques, et malgré ça, malgré le fait que tout le monde trouve, et moi je trouve que ces formats sont ultra authentiques, ultra chill, et bien en fait, elle a décidé d'arrêter dans une durée indéterminée de reprise. Parce qu'elle s'est dit, j'ai fait ça pour le plaisir, ça m'a permis d'en vivre, et en fait, là, je vois que je suis dans la contrainte, dans l'obligation de faire, dans l'obligation de faire plaisir aux algorithmes, pour pouvoir à préférer que je ne vis que les moments pour pouvoir les partager, pour pouvoir créer du contenu. Et ça ne m'amuse plus. Et je pense que c'est ça le truc. Et ça me crée une charge mentale. Et là, elle dit, mais Alex, elle me disait, mais ça fait une semaine, juste une seule semaine que je ne poste plus là. Et je n'ai jamais été aussi créative. Et je ne l'ai pas voulu. Ça vient tout seul. Et c'est vraiment ce... J'en parlais aussi avec une autre pote qui, elle, est en transition de vie. L'espace mental est primordial. pour les grandes idées, les grandes décisions et le bien-être. Et ce qui est fou, c'est que des fois, la vraie bonne idée, le vrai bien-être, même si tu as 80%, tu te dis Ah, mais en vrai, je suis 80% bien tu vois. Mais des fois, c'est ces 20% restants qui sont la rouille, qui encrassent le mécanisme et qui te fait mal. Et qu'il faut peut-être 10% en plus pour vraiment avoir trouvé la bonne idée, la direction, le choix que tu dois prendre, le bien-être total. Et vraiment, je me rends compte autour de moi, il y en a aussi d'autres qui me disent des fois, j'ai envie d'arrêter, j'ai envie de prendre un CD, etc. Ouais, je comprends. Parce que quand tu ne sais pas gérer la charge mentale, c'est un enfer. Tu n'es pas heureux, tu es stressé, tu n'en peux plus, tu es surchargé. Et quand tu reviens à un truc qui est plus basique, où déjà, tu n'es pas obligé d'être seul pour vraiment gérer ton activité, Tu peux prendre des freelances, tu peux avoir des potes, tu peux être dans un collectif, tu peux faire plein de trucs. Et d'un côté aussi, tu peux dire, c'est peut-être aussi la charge mentale que je me mets moi-même vis-à-vis de moi-même. Est-ce que tu te mets une charge mentale parce que tu n'obtiens pas un objectif que tu as vraiment envie d'atteindre pour être bien ou est-ce que c'est un objectif que tu t'es mis parce que d'autres atteignent et que tu te sens nul par rapport à ça et que du coup, tu te crées une charge mentale ? Versus, si je lâche prise et que... Mon activité, elle fait que 3000, 4000, 5000 balles par mois, ce qui est déjà bien. Peut-être même 2000, en fonction d'où tu vis. Est-ce que ça suffit pas ? Mais est-ce qu'en fait, t'arrives à gérer ce sentiment de culpabilité, de se dire, putain, je suis pas assez successful par rapport à d'autres. Et moi, je me suis vraiment aperçu en me débarrassant de, un, ce côté besoin d'être successful, de faire machin par rapport à d'autres que je trouvais claqué, du coup, on peut rentrer dans cette compète, d'alléger au maximum. mon quotidien, mes projets. D'accepter de faire une offre qui me ressemble par rapport à mes zones de génie et ce que je veux dans mon quotidien. Moi, c'est clairement d'avoir du temps libre et de verrouiller 7-8 000 balles par mois pour pouvoir ensuite faire des choses que j'aime et les partager et créer du contenu parce que moi, ça, j'aime bien. Mais je n'aimais plus ces derniers temps parce que je me sentais obligé, parce que je me l'avais l'impression que c'était pour mon business. et non plus aussi par plaisir, est-ce que vraiment, pose-toi la question, à quoi ressemble ton quotidien dans les charges mentales ? Où sont tes charges mentales ? Comment tu peux le baisser ? Et essaie vraiment en fonction de tes obligations, parce que je sais que des fois, si on a des enfants qui ont une énorme charge mentale, parce que justement, je ne sais pas, ils n'obéissent pas, ils font des crises, ils ont une phase de vie compliquée, ou même ils ont peut-être des maladies, demande-toi aussi comment tu peux baisser ces charges mentales. Est-ce que peut-être tu peux prendre un psy pour t'aider à... ou je ne sais pas, un coach pour vous aider dans la communication. Est-ce que tu peux prendre une aide soignante s'il a une maladie ? Je prends cet exemple-là, mais c'est vraiment de se dire, où sont, où est ma charge mentale ? Quels sont les niveaux élevés ? Comment je peux baisser cette charge mentale-là ? Et je peux t'assurer que si tu arrives à la réduire au maximum, et j'en parlais avec mon pote Loris, avec qui je viens de passer l'après-midi, lui, il a une merde sur de l'immobilier, sur un bien immobilier. Et bien, à part ça... parce qu'il a pris une charge mentale où il était un peu tributaire, ça lui est tombé dessus avec des gens malveillants Mais dis, à part ça, moi, j'ai géré ma vie comme ça. Et je suis ultra bien. Et là, il part cinq mois à Bali, le type. Malgré le truc qui moque et chiant, mais il dit, en fait, j'y vais. Parce qu'en fait, si je laisse la charge mentale me bouffer, je ne vais pas être heureux. Et vraiment, je m'en aperçois. Tu peux être successful, avoir tout, et te rendre compte, en fait, que tu n'as pas le contrôle. Du coup, tu as peur. Du coup, tu es dans la peur du manque. Du coup, tu as besoin de plus, peu importe la quantité d'argent que tu as. Tu peux aussi te rendre compte qu'en fait... ben non, tu te rends pas compte que tu as tout ce qu'il te faut, que tu as peur de laisser des choses, tu as peur de simplifier et peu importe ton niveau vraiment de succès, si tu as une énorme charge mentale, ben en fait t'es pas heureux. Et je me dis ben le but d'avoir de l'argent, d'être successful et d'être aligné avec son job, c'est quand même d'être bien, c'est quand même d'être heureux. Donc en fait si tu fais un truc qui est successful et qui te cause énormément de stress et de charge mentale et qui te rend malheureux, en fait ça n'a aucun, aucun, aucun intérêt. Si ce n'est de se dire, ah je l'ai dit aux gens que je pouvais le faire, regardez je suis successful. Et hop, t'appuies sur arrêter l'enregistrement et t'es plus sur tes réseaux, t'es un téléphone et là t'es tout seul dans ta tête, t'es triste, t'es une merde et ça sert à rien. Donc ouais, essaie d'analyser ta charge mentale et demande-toi où tu peux l'améliorer, où tu peux la rabaisser. Je peux t'assurer que tu ne chanteras peut-être pas ou danseras peut-être pas dans la rue en te baladant dans Paris, parce que ça c'est peut-être un petit peu moi qui suis bizarre. Mais je peux t'assurer qu'incroyable à quel point naturellement ton cerveau, il va de nouveau t'injecter un flux de... Voilà ça, tu sais, ce bien-être, cette détente, cette créativité, cette légèreté de vivre. Et qu'est-ce que ça fait du bien ? La peur comme boussole pour aller bien, pour grandir et pour t'épanouir. Et là tu te dis, waouh, bah non, en fait ce qui fait peur c'est chiant en fait. Ce qui fait peur ça fait friser, ce qui fait peur c'est... plutôt désagréable dans l'idée. Si j'ai peur des araignées, tu m'en viennes sur la gueule. Vraiment nulle comme idée. Moi, je te parle de la peur, tu sais, de faire. La peur d'avancer dans des actions. Vraiment. Pas la peur qui est créée par des phobies. Même si je pense qu'il faut peut-être régler 2-3 trucs sur des phobies. Je te dis ça parce que c'était dans mon cercle d'hommes, il y a quelques semaines. Et il nous fait faire un exercice ultra intéressant. Il nous dit, imaginez que vous êtes dans une pièce, une grande pièce. Et ce qui est fou, c'est que quand tu dis ça, en fait, toi, ton propre subconscient, il va te créer une pièce. Et moi, la pièce que c'était, pour ceux qui connaissent, c'est dans Le Seigneur des Anneaux. Je crois que ça va être les deux tours. Et c'est la scène où ils sont en rohan, je crois, avec les chevaux. Et c'est le roi qui est un peu malade, parce qu'il y a un gars chelou qui lui sifflote des trucs à l'oreille. Il est sous l'emprise noire du gars, etc. Donc, il est sur un grand trône. Tu vois, un peu surélevée et dans un grand truc en bois. Les lumières, elles passent par la fenêtre. Et tu sais, je suis sur ce trône en fait. Et je vois la petite lumière par les fenêtres. Et là, il dit, vous êtes dans cette pièce. La porte s'ouvre et vos peurs rentrent dans la pièce. Et il dit juste ça, il dit pas laquelle. Et ce qui est fou, c'est que tu vois, moi je voyais des petits personnages. Tac, qui rentrent et qui se mettent face à moi dans la pièce. Quand tu fermes les yeux et que tu joues le jeu, tu les vois. Tu les vois rentrer. Tu les vois se personnifier. Et tu sais, ce qui est fou, ils sont en personnage, mais tu sais dans ta tête qui ils représentent. Qu'est-ce que je vois ? Je vois deux peurs. La première, c'était par rapport à mon grand rêve qui est de créer une réserve naturelle avec un village de créateurs au milieu et d'entrepreneurs, et par rapport à aller lever des fonds. Aller vraiment... chercher de quoi créer ce projet et ça me fait peur d'aller demander à des gens et dire j'adore ce projet c'est toute ma vie c'est mon rêve et qu'on me dise non c'est de la merde non je veux pas waouh la peur du non du rejet par rapport à un truc qui moi me tient à coeur alors qu'en fait c'est pas... ils veulent pas être méchant c'est juste non ça m'intéresse pas mais j'ai peur de ce truc là je me dis waouh et ça c'était le premier truc deuxième truc deuxième peur devant moi la peur de réaliser un projet qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps c'est créer une immersion et d'emmener des potes quelque part et que on se rassemble et on vit des beaux moments tu vois et ce qui est fou c'est que j'ai capté en fait que de la même façon que pour moi l'entrepreneuriat est un outil de développement personnel le voyage est un outil de développement personnel en fait c'est c'est pareil c'est l'entrepreneuriat et le voyage vont te faire faire des choses où t'as pas le choix quand tu as peur que de les faire J'ai peur d'aller parler à un inconnu qui ne parle pas ma langue, mais en fait il faut que j'aille dormir quelque part ou me déplacer, donc je n'ai pas le choix. L'entrepreneuriat c'est... J'ai peur de faire des calls. pour essayer de démarcher des clients mais en fait si je trouve pas de clients bah je suis obligé de le faire en tout cas t'as plus d'intérêt sinon tu vas mettre la clé sous la porte et c'est là où je veux en venir c'est de se dire quand j'ai identifié ces peurs je me dis il faut absolument que je le fasse en fait parce que du coup j'ai pas d'impératif je suis pas obligé de le faire et je ne grandis pas sur des choses qui en fait ça renvoyait quoi c'est ça le truc qui est intéressant qu'est ce que cette peur elle veut dire pourquoi il ya une peur si il y a une peur il y a un blocage il y a un truc qui va pas et moi je me dis en fait c'est C'est l'estime de moi en fait. Je suis un mec qui a beaucoup confiance en lui. Je m'aperçois à ce moment-là que je suis un mec qui a pas beaucoup d'estime de lui. En fait, ce qui est assez tricky, c'est un peu chiant avec moi, c'est que j'ai pas une mauvaise estime de moi, mais j'ai pas non plus une grande estime de moi. Ce qui fait que je veux pas déranger. Je tiens ça de mon père. On veut pas déranger. Fils d'ouvrier, on se fait tout petit. On est dans les règles et tout. On veut pas déranger. Imagine, qu'est-ce qu'ils vont penser ? Non mais laisse-les tranquilles, tu vois. Et je me dis, en fait, si j'ai peur de demander à des potes... de venir me faire confiance et de dire, viens, je vais faire un truc de ouf. Le but, ce n'est pas de me faire doser, c'est viens, je vais organiser un truc de ouf. Et on va kiffer, on va péter des blocages, justement. On va aller se dépasser, on va aller faire... Viens, venez. Et maintenant, j'ai peur. J'ai peur qu'ils me disent, bah non, en fait. Et de me dire, merde, en fait, ils ne m'aiment pas assez. En fait, j'ai peur d'avoir le retour qu'en fait, on ne m'aime pas tant que ça. Waouh, OK. OK, j'identifie. Deuxième truc. Pareil, si j'ai peur... d'assumer un rêve, c'est que mon rêve il est pas assez bien, c'est que je suis pas assez bien, c'est que je me dis putain le travail à faire là dessus mon gars ok pas de problème tac tac on remonte les manches je rappelle des potes en Colombie je prends des trucs ça c'était en juin un truc comme ça je crois et en juin juillet et je reprends des, je rattaque un peu mon projet de réserve naturelle ok je fais des calls ok je rattaque là dessus le truc la peur sur l'immersion que je disais de créer un truc en immersion ok Et bah du 20 au 24 janvier, je crée une immersion avec mes potes. J'ai peur. J'ai peur de les décevoir. J'ai réussi à réunir les 8 potes que je voulais. Faire un truc de ouf. Je voulais qu'il y ait 8 piliers dans cette immersion. Parce que je voulais pas que ce soit que business, que développement personnel, ou que bien-être. Je voulais qu'il y ait un petit peu tous les piliers. Et du coup, il y aura un pilier business, avec des hot seats. Il y aura un pilier dépassement mental et physique, où on aura une sweat lodge, où vraiment ceux qui ont fait ça, je peux t'assurer que tu... Ton ego est obligé de lâcher, t'es obligé de tout lâcher mec, c'est une hutte de sudation pendant deux heures, c'est assez incroyable. Il y aura un hypnotiseur et un préparateur mental qui viendront pendant tout le long du séjour pour aller nous casser nos limites mentales. Il y aura aussi, d'ailleurs je fais un bisou à Edouard Chéron qui va être là, je suis tellement content qu'il soit là. Il y aura aussi mon pote Steph Gentis qui sera là pour toute la partie breastwork, bien-être, connexion, esprit, mental, spiritualité. Il y aura aussi toute la partie bien-être avec des masseurs thérapeutiques, avec des chefs sur place. Il y aura la partie gestion émotionnelle, parce que je voulais qu'il y ait aussi un pilier gestion émotionnelle, parce que je pense que surtout, ça va être entre potes, donc entre hommes, vraiment en tant qu'hommes. Nous on est des costauds, on va faire beaucoup d'argent, on va faire beaucoup de travail, et c'est très bien. Mais en fait à l'intérieur on est des humains, et je voulais vraiment insuffler ça, partager ce que j'avais appris sur ce sujet-là ces derniers temps, et le partager dans les ateliers. Donc il y aura des cercles d'hommes qu'on va faire, et aussi comme je te disais, la partie... bien-être à travers le chef, les massages et tout. Ben, j'ai peur. Mais putain, ça fait peur, mais ça fait du bien de prendre l'hôtel. J'ai appelé 18 potes, plein qui n'étaient pas dispo. Là, tout c'était chaud, mais après ça se débine, après tout ça. Et ça fait chier quand tu sens qu'il y en a qui se débinent ou qui te gossent parce que le budget ça va pas, ou en fait c'est peut-être pas leur bon moment dans la vie. Ça fait peur, t'es mal à l'aise. Ça se passe pas forcément bien. Tu galères à trouver les prestataires, ce que tu veux les mettre. En plus, je me fais zéro argent. C'est vraiment pour le kiff, ça me prend beaucoup de... de temps et d'énergie, j'ai peur, mais je sens que je grandis. Je sens que ça m'a fait du bien. Et pourquoi je te dis que la peur, c'est la meilleure boussole pour s'épanouir ? Là où ça te fait peur, si justement je reviens sur le business, et que tu as peur de passer des calls, de dire, vraiment des calls à des clients comme ça, puis les closer, puis parler des prix. Si tu as peur de parler de ton prix et de te vendre cher, c'est que tu n'as pas non plus une grande estime de toi ou que tu n'as pas confiance en toi. Génial, bosse dessus. Si t'as peur, encore une fois, je sais pas, d'aller faire du networking, d'être dans les events, etc. Génial. Bosse ton intelligence émotionnelle dans la relation aux autres, dans le networking. C'est que toi, en fait, t'aimes peut-être pas ton image en public. C'est peut-être que toi, tu t'aimes pas assez. C'est peut-être que toi, il y a eu des blocages. T'as peut-être des choses... Super. Bosse dessus. C'est ça qui est bien dans l'entrepreneuriat. Parce que l'entrepreneuriat, vu que t'es obligé de faire plein de trucs tout seul, ça te met face à plein de peurs. Va. Utilise ton taf, utilise ton activité pour aller détecter des peurs et va bosser sur ces peurs. Fais-les ! Putain non, j'aimerais bien lancer des réels facecam ou une chaîne YouTube, mais putain j'aime pas ma gueule, non mais qu'est-ce qu'ils vont penser les gens ? Ok, regarde les gens, t'as peur du regard des gens, t'as peur de ce qu'ils vont te dire, t'as pas confiance en toi, sur ta gueule, fais une vidéo YouTube, très bien, avance, fais quelque chose, n'aie pas peur. C'est comme ça que tu progresses, tu vois ? C'est encore une fois, c'est en allant, en fait, l'avantage de devoir faire des projets, c'est que tu vas faire des choses. Et ces choses vont peut-être à un moment donné te dire, boum, ici c'est ta limite, t'as peur mec derrière. bah fantastique, map tes peurs, fais des projets qui vont permettre de mapper tes peurs et de savoir exactement c'est là ma limite donc c'est là que je dois progresser donc c'est là que je dois me challenger donc c'est là où je dois aller creuser cette peur et je peux t'assurer que moi j'ai peur encore une fois de décevoir mes potes d'autant plus tes potes tu vois, qu'il y a un truc qui se passe mal, qui me dit putain parce que j'ai voulu mettre plein de trucs dedans putain on paye cher et tout machin et qui me disent bah en fait c'est claqué vas-y on aura plus prévu tu vois mais j'y le fais parce que putain Je pense que c'est vraiment là que se situe l'épanouissement, le bonheur. Parce que le bonheur, c'est finalement se débarrasser de trucs qui te bouffent la tête. Mais si t'as confiance en toi, t'aimes ta valeur, tu t'estimes, t'aimes parler aux gens, tu peux être tout seul en train de méditer pendant des heures ou dans une foule, et que t'es bien, et que t'as pas peur de monter sur, encore une fois, une scène, ou que, encore une fois, tu peux aller te balader. Mais c'est ça le bonheur, c'est de pas avoir de peur. et que dès que tu en as une, d'aller la challenger. Donc ouais, fais une petite liste des peurs que tu as eues ces derniers temps, à travers peut-être des activités perso aussi, mais pro, et démerde-toi pour mettre en place une stratégie qui va aller à ta clé et qui va t'obliger à aller dans cette peur, pour grandir. Et maintenant, le fun fact, et ensuite le sweet fact, parce que j'ai envie de te partager, pour terminer, ce nouveau journal de bord. Alors, j'étais il y a deux jours, Gare de Lyon, j'attendais un train. puisque le mien avait été supprimé, on adore. J'arrive pour prendre un petit café, je suis avec mon pote Wibaï, on a tantre un et on se met sur une table qui était des tables vraiment collées et à la nana je lui dis ce que je vois sur son ordi tu vois et je dis merde tu vas bosser là ? Elle me fait ouais, je fais mais tu vas bosser c'est quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Le mec il sait j'aime bien, qu'est ce que tu vas faire ? Je la tutoie évidemment tout de suite. Elle me fait bah... Ouais j'ai des mails en fait c'est... C'est une note... Je fais c'est une note parce que... Parce qu'en fait là nous on va jouer au dé Donc ça va faire un peu de bruit, je voulais savoir... Parce que je voulais à la base quand même être très poli et courtois Tu vois je voulais pas non plus euh... Elle me fait bah... Je fais non mais c'est une note... Je fais c'est quoi ton taf ? Elle me fait je travaille à Matignon Je fais ah ok cool ! Je fais mais euh... Tu fais quoi à Matignon ? Ah je bosse pour le premier ministre Je fais ah ok cool je fais le nouveau là le... Bayrou Elle me fait Ouais, mais tu fais quoi ? Bah je fais ces notes ministérielles. Je fais Ah ok ! Et là je lui dis Bah attends mais prends le chat de GPT ! Elle me fait Mais non, j'ai besoin de faire des trucs intelligents. Je lui dis Oulala, attends, oulala, tu prends beaucoup trop d'eau, un truc qui va te remplacer dans un an là. Elle a pas très bien pris je crois. Elle a un peu rigolé en vrai, elle a un peu rigolé. Et je lui dis Mais attends, attends, en vrai, là t'es là, faut que tu te concentres, c'est relou, même y'a des gens qui vont jouer au dé, nous. Alors qu'en vrai... Ce que je te conseille, c'est que tu pitches ChatGPT. Soit tu le pitches à l'oral et après il te le remet en ordre simplement, tu vois, à l'écrit. Tu vois, t'as juste à reprendre. Soit encore mieux, tu te prépares pour les prochaines, tu télécharges tous les discours de ce bon Bayrou ou alors des trucs un peu des premiers ministres. Bah, tu le fous dans ChatGPT et tu lui dis, vas-y, balance-moi une petite note ministérielle. Elle a un petit peu rigolé et elle m'a dit, il y a une table qui s'est libérée, je vais vous laisser jouer. Et je dis non mais attends c'est à nous de nous déplacer. Non non mais il y a une prise là bas. Et j'ai compris qu'elle m'avait un petit peu pris de haut avec ChatGPT et je me suis dit à la fois tant mieux parce que j'avais envie de jouer au dé et d'être tranquille et à la fois ma grande fais gaffe pour ton boulot je te jure fais gaffe. Et le sweet fact et bah ça c'était un truc inattendu et je suis très content d'ailleurs je vais m'y mettre juste après. Je suis samedi soir, on est allé au dîner avec les membres de mon collectif. On parle de tout et de rien, on parle évidemment de Noël, de la famille, des cadeaux, etc. Moi tu vois, je suis pas cadeau, ça fait des années que je fais pas de cadeaux et j'en veux pas. Moi ce que je veux c'est des moments, qu'on s'offre des expériences avec ma famille ensemble, avec mes parents. Et en fait je suis là en mode mon père il voulait, cette fois je voyais même pas ce que je pouvais lui offrir et tout. Et Isabelle, je te fais une grosse dédicace Isabelle, c'est ma SAUZER, qui me dit, je sais plus comment elle a l'idée, Parce que j'avais parlé d'un truc que j'avais fait avec mon père il y a des années, je l'avais emmené une fois en voyage en sac à dos en Géorgie, mais il y a 6 ans. Il me dit mais... T'avais filmé, je sais plus, j'ai dit ouais mais j'ai jamais monté le truc. Il me dit bah voilà c'est ça le cadeau, tu lui montes la vidéo. Et dans la tête je me dis putain je ne sais pour quelle raison, un montage avec des rushs d'il y a 6 ans je les ai sur moi dans mon disque dur. Et je me suis dit mais c'est dans 2 jours Noël, un montage c'est 18h de taf, j'ai pas le temps. Et là mon pote à côté... Adrien Scatte, qui est lui aussi filmmaker, qui a fait un énorme documentaire sur Kilimanjaro, qui a remporté un prix d'ailleurs, il me dit Mais mec, tu t'en fous, tu fais juste des trucs à l'arrache, ton daron, il s'en fout des transitions de la musique, ce qu'il veut c'est les moments de vie ! Et je me suis dit Putain, j'ai jamais su quoi faire de ces rushs, j'ai jamais pris le temps de les monter, et là je me dis, ça va faire tellement plaisir à mon père de revoir une aventure qu'il m'a dit il y a pas si longtemps et ça m'avait tellement touché, c'était le plus beau moment de sa vie. Je peux t'assurer que quand ton arron il te parle jamais et te sort ça, mon gars t'as les petites larmes. Et je me suis dit là, putain, j'ai mis le nez dedans. Limite je suis dégoûté de devoir le monter un peu, parce qu'il y a quand même du déchet. C'est du bout à bout pour les monteurs, vraiment bout à bout. Vraiment je mets que les sons, c'est vraiment le film de famille. Mais je suis dégoûté de ne pas le découvrir avec lui. Mais j'ai vraiment envie de livrer un truc. Il y a quand même deux heures de rush. Il faut quand même dérusher. J'ai quand même un peu jacté, évidemment, comme tu le vois sur ce podcast. J'ai un petit peu de trucs à dire. même quand il n'y a rien à dire. Mais voilà, je suis très heureux de pouvoir partager ça parce que c'est encore une fois la puissance du collectif. Au niveau cadeau, j'étais à sec. Je ne sais pas ma spécialité. Et grâce au collectif, aux conversations, d'être entouré des bonnes personnes qui ont les mêmes valeurs, qui ont les mêmes visions, qui... Je ne sais pas. Et les discussions font que pop ! Tu as des trucs incroyables qui pop, même pour du perso. Et je suis très heureux. Bon, ça va me mettre un petit peu de taf, il faut que je me maigre le cul pour demain, parce qu'au moment où tu vas écouter, je pense, ce podcast, on est le jour de Noël. J'espère que je vais avoir terminé le montage. Et heureusement, mon pote... Mon père n'écoute pas ce podcast, c'est aussi pour ça que je le dis. Et je vais monter ce vlog à la rage totale. J'ai regardé, j'ai filmé vraiment avec mes yéps en plus. C'était vraiment... Et je me suis revu, il y a six ans, en tant que vlogueur voyage, j'étais vraiment encore dans le dur du sujet. Évidemment, j'ai envie de me gifler. On le sait. On le sait parce que je parle comme ça, c'est super, j'ai super content, tu as le bonheur. Ta gueule. Mais ta gueule en mode on est content de revoir ces images et je suis impatient de pouvoir offrir ce cadeau à mon père. Je te souhaite vraiment une belle semaine et du coup un très très très joyeux Noël. J'espère que ce deuxième journal de bord t'a plu, que tu en as retiré des leçons, de l'inspiration. Bref, encore une fois, moi je pense clairement, je disais à mon pote que je kiffe faire ça. Je parle pendant une heure avec quatre mots sur mon carnet des thèmes que j'ai envie d'aborder. C'est un peu mon auto-thérapie, ça me fait du bien. Et si en chemin, je me dis que ça peut aider d'autres personnes, eh ben tant mieux. C'est peut-être aussi ça, mon joli cadeau de Noël. En tout cas, n'hésitez pas à me faire des retours sur les réseaux. Ou me laisser une petite note sur Spotify ou iTunes, ça fera aussi plaisir. Tiens, ça, ce sera mon cadeau de Noël. Allez hop, call to action. Merci, bisous, à la semaine prochaine.

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Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs (ouvre en février) : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs


Dans cet épisode, on explore :

  • Les quatre grandes étapes de la vie : Mimétisme, exploration, engagement, et héritage – et comment identifier où tu te situes.

  • L'intelligence artificielle (IA) : Opportunités, menaces, et son impact imminent sur les solopreneurs et les créateurs.

  • La gestion de la charge mentale : Pourquoi elle pourrait bien être la clé du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs.

  • La peur comme boussole : Comment utiliser tes peurs pour grandir, t’épanouir, et dépasser tes limites.

  • La puissance du collectif : Des idées, du soutien, et des solutions inattendues grâce à la synergie d’un groupe aligné.

  • Un projet d’immersion unique : Un exemple concret de dépassement physique et mental avec des ateliers de développement personnel, business, et bien-être.

  • Un cadeau de Noël symbolique : L’importance des souvenirs et des moments partagés comme actes de gratitude et d’amour.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Eh ça y est, ça fait déjà une semaine, deuxième numéro de mon journal de bord sur ce nouveau podcast Satori. Ouh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël. Tu vois, c'est là où on me dit souvent que je suis plus jeune que mon âge, mais quand je sors des phrases comme ça, Oh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël je me dis que je fais peut-être mon âge en fait. Cette semaine, je vais te parler des quatre étapes de la vie, pour que tu saches dans quelle étape tu es. Est-ce que tu as peut-être été trop tôt dans une étape, peut-être qu'il serait temps de passer à la suivante. Je te dirai aussi dans laquelle je suis, puisque évidemment, c'est moi qui me suis fait cette réflexion cette semaine. Je te parlerai aussi de ce que j'ai compris de l'IA, des opportunités à avoir et des choses à avoir peur, mais surtout des dernières possibilités que ça va pouvoir nous offrir, surtout nous en tant que solopreneurs et personnes qui utilisons nos ordinateurs et le digital dans notre quotidien. Je te parlerai aussi de charge mentale. Est-ce que la charge mentale et la gestion de la charge mentale, ce n'est pas tout simplement la recette du bonheur ? en particulier pour les entrepreneurs. Et je te parlerai aussi de pas mal d'exemples que j'ai autour de moi et de discussions que j'ai eues avec des potes. Et aussi, je t'expliquerai comment la peur peut être finalement ton meilleur allié si tu la suis comme boussole. Et évidemment, je terminerai avec un fun fact et un petit sweet fact. Ça veut dire un fait doux. Mais que j'avais envie de te partager parce que c'est aussi le pouvoir du collectif qui m'a fait donner une superbe idée pour Noël. Et je voulais le partager. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, il y a quatre grandes étapes dans la vie. Et je voulais t'en parler parce que moi, en ce moment, je sens que je suis en transition d'une étape à l'autre. Ce n'est pas toujours facile. Quelles sont ces grandes étapes de vie ? Pour savoir si toi aussi, où tu en es, dans quelle étape tu es. Et surtout, est-ce qu'il serait temps de, peut-être toi aussi, de passer à la suivante. Ou peut-être de revenir en arrière. Parce que des fois, tu vas voir, c'est utile. Les quatre grandes étapes de vie, c'est de quand tu nais jusqu'à, en général, jeune adolescent. C'est le mimétisme. En fait, tu vas mimiquer, tu vas absorber tout ce que tu vois et tu vas le reproduire. Ensuite, c'est la phase d'exploration. En général, de jeune adolescent jusqu'à potentiellement 30, 40 ans pour ceux qui tardent un peu, qu'ont les fait Peter Pan comme moi. Donc ça, c'est toute la phase où tu vas explorer les études, les métiers, les amis, les drogues, les pays, les voyages, les fêtes. Bref, tu vas essayer de comprendre le monde. Et l'étape d'après... C'est l'étape de l'engagement. Celle justement où, si tu es passé trop vite de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement, tu te réveilles un jour et tu te dis Putain, mais attends là. Pourquoi j'ai cette femme ? Qui sont ces enfants ? Qu'est-ce que je fous là ? Mais putain, c'est pas ça la vie que je voulais. Mais qu'est-ce que je fous dans ce boulot ? Merde ! Parce que tu n'as pas pris le temps de vraiment savoir ce que tu voulais, ce que tu aimais, et de le faire vraiment en conscience. et de ne pas être nourri, de le vouloir vraiment. Et inversement, là ça me concerne peut-être un petit peu plus, c'est de se dire Waouh, j'aime tellement le goût de la nouveauté que ça est addictif, mais finalement je m'en enivre et je deviens peut-être, sans m'en rendre compte, un de ces jours, si je ne fais pas gaffe, tu sais, le vieux gars de 50 piges qui est encore en boîte de nuit, qui est habillé comme un jeune et qui essaie de draguer les petites minettes, oh my god, je pense que ça c'est mon cauchemar. Failure de vie. si j'en suis là, un jour, mon dieu non mais c'est vraiment ce côté où finalement tu es tellement devenu addict à cette liberté à cette nouveauté, dans tous les sens du terme de pouvoir changer de job d'aller où tu veux, quand tu veux que finalement tu restes coincé dans cette étape là, et le problème de cette étape là qui est extraordinairement géniale qui est enivrante, qui te permet de te cultiver qui permet encore une fois aussi d'être libre et Dieu sait qu'on essaie de nous mettre des chaînes en permanence... dans notre vie et une fois qu'on a goûté à ça on a envie de rester mais cette étape là elle est aussi quand même une c'est une étape qui reste en surface parce que même si c'est toujours très intense et même par exemple je prends le voyage c'est très puissant c'est très intense mais il n'y a pas la profondeur des années d'amitié des années de couple des années de d'études sur un sujet des années de vie dans un même lieu où tu vas aller plus loin Et cette profondeur, elle est je pense très importante. Très très importante. Et c'est un peu, en ce moment, je suis dans cette étape-là. Et d'ailleurs, la dernière étape, quelle est-elle ? Celle que je ne t'ai pas encore dit. C'est celle de... Alors je l'ai toujours en anglais, de legacy. C'est vraiment ce que tu laisses, pas le testament, mais l'héritage. C'est l'héritage, c'est ce que tu laisses derrière toi. Parce qu'en gros, une fois que dans ta vie, tu as exploré, tu t'es fait kiffer. Tu as eu à peu près la famille, le job que tu voulais, tu t'es engagé, t'es bien, t'es posé dans ta vie. Qu'est-ce que tu veux, qu'est-ce qui te reste quand tu as atteint un peu tous tes objectifs ? C'est de devenir inoubliable. Dans le sens où tu laisses des choses où on va encore penser à toi. Que ce soit des œuvres, que ce soit des biens, que ce soit un patrimoine. Moi évidemment je suis dans l'étape en ce moment de transition, de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement. Et c'est vrai que je m'en aperçois et je trouve ça super important de comprendre aussi que c'est ok d'être dans une étape alors que tous les autres de ta génération sont dans une autre. Parce que moi, évidemment, tous mes amis sont depuis longtemps dans l'étape d'engagement. Mais que moi, encore une fois, je vois que c'est ultra important pour moi d'avoir été jusqu'au bout de me dire Eh, c'est bon, j'ai fait le tour. J'ai fait le tour des voyages, j'ai fait le tour des soirées, j'ai fait le tour des discussions autour d'un feu, j'ai fait le tour des rencontres. Et aujourd'hui, j'ai envie, entre guillemets, de... D'aller plus en profondeur dans chacun de ces thèmes que j'aime toujours autant profondément. Mais j'ai envie d'aller plus en profondeur dans le voyage, j'ai plus envie d'habiter. Dans les relations avec les femmes, j'ai envie d'être avec une femme. Je ne dis pas que j'étais avec plein de femmes avant, ce n'est pas ça que je veux dire. Mais de façon très long terme, j'ai envie de discuter avec des gens que je choisis, et non pas qui se mettent sur mon chemin, et même si j'adore ça encore une fois, mais que je choisis et auxquels on va creuser des sujets. J'ai envie de creuser des sujets en particulier, pour le plaisir. Je m'aperçois que c'est très difficile d'être, on va dire, dans une étape où quand tous les autres sont en train de faire autre chose, toi te dire que non, j'ai pas envie de faire ce que vous faites, moi j'en suis là en fait. Et que c'est ok. Et pas de se sentir coupable, et se sentir bien, mais à la fois se dire, ne pas tomber, tu sais, dans cet ego de se dire Haha, moi je suis pas comme vous, je suis dans cette étape-là ! Et inversement, tu vois, ça peut être tous tes potes qui sont encore peut-être, je sais pas, en train de... parcourir le monde, se bourrer la gueule, de vouloir faire plein d'argent, de trucs, de machins, de travailler jusqu'à pas d'heure et toi tu dis non moi j'ai arrêté d'alcool, j'ai trouvé ma petite meuf ou mon petit gars je suis posé, je reste manqueré ici tu vois je suis bien et c'est ok avec ça et d'avoir la Jomo la Jomo c'est le joy of missing out, c'est d'être content de louper quelque chose et non pas avoir la FOMO de te dire merde putain il y a une nouvelle opportunité, putain il y a merde, il y a une soirée, putain waouh il y a d'autres meufs, qu'est ce qu'elle se résolue Pourquoi je me prends la tête avec ce gars alors que je pourrais être un peu partout ? Et c'est vraiment ça, c'est de se dire, aie le courage vraiment d'être conscient de ce que tu veux et d'aller faire ce qui vraiment fait du sens pour toi. Et moi en ce moment, je suis vraiment dans cette étape de me dire Ok, je veux m'engager, je veux m'en créer, c'est pour ça que j'étais à Lisbonne, je vais essayer de construire des projets qui sont peut-être plus long terme. Alors que moi j'aime bien construire des projets, une fois que j'ai fait le tour, rechanger, c'est ça qui me nourrit. Mais essayer de créer un truc plus long terme. avoir des relations plus profondes avec mes amis plus longtemps, me recréer un cadre d'amis encore une fois où je suis pas que là de passage. Et j'aime bien parce que c'est aussi challengeant en fait. C'est pas parce que je le veux que tout à coup, là j'ai pris un appart à Lisbonne, je suis à Lisbonne, etc. Mais ok, j'ai envie de changer d'appart finalement. Parce qu'en manquant, et manquant pour de vrai, et bah c'est comme tout quand on essaye, tout ne réussit pas du premier coup. Et peut-être que justement j'ai peut-être changé d'appart je pense. mais peut-être aussi changer de ville. Et là, je suis en train, encore une fois, de travailler sur mon nouveau projet du Cercle des Solopreneurs, la nouvelle communauté que je vais créer. Je pense profondément que c'est ce que j'ai envie de faire, mais je suis OK, en fait, que ça échoue. Parce que je suis OK que ce soit mon nouveau grand projet et j'ai envie qu'il fasse du sens. Et ça, c'est, pour moi, le plus important, c'est ça que je voulais te transmettre, c'est de te dire où est-ce que t'en es, en fait. Est-ce que tu t'es embourbé dans quelque chose depuis longtemps ? qui fait pas de sens pour toi et il faut que tu retournes un peu explorer qui tu es, du job, des voyages à l'intérieur de toi, pour vraiment pouvoir te réengager de façon alignée ? Ou est-ce que justement, hey, t'es pas un peu comme Alex ? T'es pas un petit peu Peter Pan ? Ça veut dire Peter Pan en français. Est-ce qu'il serait pas temps pour toi d'essayer de te dire, un peu comme l'amour ? C'est pas... J'aime bien faire ce parallèle-là, je pense que la phase d'exploration c'est la passion et je pense que la phase d'engagement c'est l'amour. Et l'amour c'est un choix, moi je le découvre aussi, et c'est d'autant plus beau, profond, sacré et difficile. Parce que la passion elle s'empare de toi. La passion en fait c'est simple, c'est comme les voyages, t'arrives, c'est la nouveauté, ça te pète à la gueule, c'est comme un shot d'adrénaline. L'amour, et du coup l'amour peu importe, soit avec une relation de ce que tu fais ou la profondeur et l'engagement, c'est un choix conscient. Donc ça implique beaucoup. plus de pression, et je trouve ça d'autant plus beau. Alors pose-toi la question dans quelle étape de vie tu es. Il y a... On va tous mourir. J'ai regardé pas mal de choses ces derniers temps, des dernières interviews de très très grands spécialistes. On va tous mourir. En tout cas, c'est ce que, quand je regarde ça, ça me donne un peu ce sentiment. En mode, on arrive sur du Terminator, la super-intelligence artificielle qui va, entre guillemets, régir toutes les intelligences artificielles d'ici 5 ans. 5 ans, c'est Hachoum demain, on passe Noël. Après, c'est 2030, c'est demain en fait. Et à côté de ça, si je me dis, bon, en vrai, c'est pas trop ma façon de voir la vie. Dans chaque difficulté, une opportunité. Et puis, c'est surtout de se dire que... Ça fait bien longtemps que depuis que je suis né qu'il y aurait des raisons de se tirer de balle et d'arrêter. Donc pourquoi l'IA serait une raison de plus de se dire que c'est la fin du monde ? Et non pas l'inverse, de se dire Ok, le monde est aussi en train de changer. Est-ce que, comme dirait le bon Winston Churchill, est-ce qu'il ne serait pas temps de prendre le progrès par la main avant qu'il ne nous prenne à la gorge ? Je pense que c'est le moment. De ce que j'ai regardé vraiment, et je voulais te le partager, c'est que concrètement, le savoir... va devenir bientôt, d'ici 3-4 ans, une commodité. Comme l'eau potable. Tu as besoin d'eau potable, tu tournes le robinet, tu as de l'eau potable. En tout cas, nous en France, on a cet énorme privilège. Le savoir, ça va devenir pareil. Et qu'est-ce qui se passe quand le savoir devient une commodité ? Quand toute notre économie, ou presque, repose sur le manque de savoir. Je ne sais pas changer un problème dans mon robinet ou ma plomberie, je vais appeler le plombier. Je ne sais pas me défendre devant le tribunal, je ne sais pas, donc je n'ai pas le savoir, je vais prendre un avocat. Je ne sais pas réparer ma voiture, je ne sais pas faire des Facebook Ads, donc je vais prendre un spécialiste, etc. Qu'est-ce qui se passe quand demain tu as une intelligence artificielle ? Et là on est à quelques mois d'avoir des intelligences artificielles adjantiques. Adjantiques c'est qu'ils vont faire le boulot d'agence. Aujourd'hui... Quand tu es solopreneur, tu as besoin d'écrire tes emails, de ta page de vente, de créer ton logo, de faire un site internet. Tu vas prendre ces différents freelances qui vont te permettre, que tu ailles sur Malt, Fiverr, etc., qui vont te permettre de faire toutes ces choses-là. Sauf que demain, tu vas avoir une IA qui va être en complétude sur tous ces sujets et qui va te permettre de dire, en fait, tu vois, ce site-là, je l'aime bien. Est-ce que tu peux me reproduire le style et le code ? Mais par exemple, moi, en fait, ce n'est pas le marché. des jeunes cadres, moi c'est plutôt des femmes enceintes ou en fait moi c'est le marché indien est-ce que du coup tu peux aussi me créer toute la séquence mail qui ira par rapport à la culture indienne ou par rapport aux jeunes femmes enceintes etc etc et t'auras très vite et très bientôt cette possibilité là on est à quelques mois de ça, je te parle même pas d'années donc quand je me dis wow, attends, attends, attends Alex moi je suis ce qu'on appelle un infopreneur, je vends de l'information finalement Qu'est-ce qui se passe quand demain l'information devient une commodité et presque gratos et à la portée de tous ? Je... Bah j'ai plus de job ! J'ai dit, je me dis d'accord ! Et je me dis surtout, waouh ! Génial ! Comment je fais pour me réinventer encore une fois ? Et comment je fais pour le faire dans des choses qui font du bien, qui sont utiles, et pas encore une fois essayer de prendre des raccourcis qui vont pas ? Je me suis dit, qu'est-ce qui reste si l'information... Elle est encore une fois gratuite. Qu'est-ce qui reste quand le digital, la robotique et l'intelligence artificielle fera partie de notre quotidien en permanence ? Je me suis dit qu'il resterait les émotions. Comment vivre des émotions ? Que ce soit des expériences. Peut-être que tous ceux qui ont des tiny houses ou qui font vivre des expériences à des gens, je pense qu'ils sont très bien. Ou que ce soit des balades, ou encore une fois des voyages. Ce sont des choses que tu auras du mal à vivre. différemment, tu pourras certainement mettre ton casque de réalité virtuelle, ça va arriver, et je pense que le monde va être aussi divisé entre ceux qui vont plonger dans l'intelligence artificielle et la robotique, et ceux qui auront désespérément besoin de connexion humaine, puisque finalement c'est ça, moi je le vois vraiment comme ça, c'est plus je passe de temps avec des robots, plus j'ai envie de besoin d'émotions avec d'autres humains, et demain ça va être ça, ça va être la gestion aussi du coup des émotions, avec tous les coachs de vie à Bali, ils vont se dire putain je vais enfin avoir du taf ! C'est cool, parce que je dis que je suis coach de vie, mais il se passe pas grand chose. Là, c'est bon. En fait, si, parce que ça va être top, tout ce qui est psy, tout ce qui est bien-être, tout ce qui est coach de dev perso, tout ce qui est aussi lié, encore une fois, à la santé et au bien-être, tout ce qui va être massage, tout ce qui va être énergétique, tout ce qui est soins, tout ce qui est yoga. Et il va y avoir aussi tout ce qui va être communauté. Et moi, je pensais en fait à cette offre-là, à cette nouvelle offre, à ce nouveau... ma nouvelle direction pour mon business de créer une communauté comme je te disais début fin janvier début février et on renseigne au sur village me dis mais ça ça fait d'autant plus de sens tu vois parce que qu'est ce qui va se passer quand on fait encore une fois on va passer notre temps avec des intelligences artificielles c'est cool mais en fait je vais vouloir me sentir écouté avec un humain Et ce qui fait que je vais me sentir bien, c'est que c'est un humain qui me répond. Et de pouvoir rigoler, et de pouvoir être bien. Et là justement, samedi dernier, j'étais avec le collectif Premium que j'avais déjà monté cette année. On s'est retrouvés autour d'une table, on a parlé de tout, sauf de boulot. Pendant un dîner, on a parlé de nos lives, ça fait du bien, on s'est charrié, on a rigolé, on a appris à se connaître. Et je me suis dit, waouh, ça fait du bien. Et dans ce monde en fait, où... Demain, encore une fois, le savoir va être apporté de claviers et même de voix ou de masques de réalité augmentée. Qu'est-ce qui reste ? Il restera que je pense que c'est sûr que toutes les personnes qui ont des métiers de manutention pure, ça va être très compliqué parce que ça va être remplacé par des robots. Il y a déjà les robots Tesla, etc. Tout ça, ça va être dans les usines. La créativité, ouais, ok, mais en fait, on voit que l'IA, tu lui mets un prompt, en fait, il te fait des trucs. de folie furieuse en termes de créativité. On nous a dit que c'était ça, mais non. Aujourd'hui, ce qui nous reste, c'est tout ce qui est lié à l'émotionnel, je trouve. Tout ce qui est lié aux connexions. Et je pense que les jobs qui... Des gens qui ne seront pas au chômage, parce que je pense que ça va mettre beaucoup de gens au chômage, mais comme toute nouvelle technologie qui met des gens au chômage, ça crée aussi beaucoup d'emplois. Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'auront plus le job qu'ils ont, mais ce seront des personnes qui ne feront peut-être plus des copywriters, mais des personnes qui seront gérées et seront des chefs. des gestionnaires, des directeurs d'intelligence artificielle de copywriting. Et forcément, on va à une espèce de montée. Au lieu d'être copywriter ou d'être graphiste, tu seras, entre guillemets, le gestionnaire de tes intelligences artificielles dans ton domaine. Mais à force de gérer ton équipe d'intelligence artificielle, qu'est-ce que tu voudras à la fin de la journée ? Tu voudras aller en pleine nature, tu voudras aller à ton cours de yoga et tout à coup, tu trouvais ça chiant avant, mais tu te dis, bah non, en fait, c'est bien. Déjà, il y a des meufs, donc ça, c'est cool. et puis en fait ça fait du bien au corps puis je me relâche, puis je rigole puis après c'est aller à un dîner aussi avec des gens de ma communauté de volleyball de paddle, d'entrepreneur cercle des solopreneurs par exemple et c'est là où je me dis wow c'est flippant je trouve quand des experts mondiaux, des pontes pas des gars qui essaient de te faire peur et de te rendre un truc, des pontes et là il y avait Elon Musk, il y en avait plusieurs différents experts mondiaux sur l'intelligence artificielle qui disent, en 2030, c'est la super-intelligence artificielle. Donc la super-intelligence artificielle, c'est celle qui sera omnisciente et qui sera partout connectée à tout, entre guillemets. Ce qui fait très peur. La robotique, elle est quasiment prête à être insufflée dans toutes les usines et potentiellement nos ménages d'ici un ou deux ans. En gros, l'intelligence artificielle avec laquelle elle existe aujourd'hui, dans un ou deux ans, elle sera un million de fois plus puissante. Je ne sais pas si tu imagines, un million de fois plus puissante. Tu as vu les dingueries que ça fait aujourd'hui. et que d'ici un ou deux ans, elle sera capable de faire tout ce que fait l'homme. Et dans cette réflexion-là, je me dis, il est vraiment temps de mettre le nez dans ce qui est l'intelligence artificielle si tu n'as pas encore pris le temps. Et c'est pour ça que je te dis tout ça. Quel est ton business ? Est-ce que c'est dans un secteur que tu sens qu'il va être périn ? Si c'est dans un secteur qui va être challengé, il va falloir que tu montes en compétence et en puissance sur non pas la rédaction, la création pure. de ce que tu fais, tu vois, l'exécution, mais on va dire la direction des IA, de monter d'un step pour être celui ou celle qui va gérer les IA. Et que si toi, justement, tu es pour l'instant dans un secteur qui, selon moi, ne sera pas touché, qui sera tout ce qui est lié à l'humain, finalement, eh bien, réjouis-toi et utilise-le comme argument, parce que je pense que tu auras d'autant plus de clients. Et d'un côté, c'est tant mieux. Et même si je pense qu'encore une fois, le monde va se diviser en deux catégories, Ceux qui ont le pistolet chargé et ceux qui creusent. J'espère que vous avez la ref. Le bon, la brute et le truand. C'était un spaghetti, gros fan. Mon père regardait ça quand j'étais gamin, j'étais trauma, mais c'était très cool. Petit aparté très rapide, c'était très bizarre. Ça divise en deux catégories. Ceux qui vont encore une fois plonger dans un monde artificiel, d'autant plus avec des cases de réalité augmentées, avec l'IA, etc. Des gens qui se sentent malheureusement déjà très seuls peuvent encore plonger encore un peu plus. Mais il y aura aussi, je pense, des prises de conscience, en fait, de tout ce que ça nous apporte. Et il y aura toute une partie de la population qui demandera désespérément, d'autant plus de connexion humaine. Et j'espère d'ailleurs que ça augmentera aussi la bienveillance et ça nous permettra de nous rapprocher. On dit souvent que, si tu veux être pote avec ton voisin, attends juste que ton village y soit attaqué. Et qu'il y ait une menace extérieure. Et je pense que, d'un moment, l'IA peut faire ce Ausha, de se dire, en vrai, on va tous se faire buter par l'IA, ou en tout cas, c'est... Venez ! Venez nous en tant qu'humain, on est quand même sympa entre nous. C'était la petite réflexion de la semaine. Est-ce que la gestion de la charge mentale, ce ne serait pas le secret du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs ? et les entrepreneuses. Je sais que j'en ai déjà parlé la semaine dernière, mais c'est un sujet qui me tient à cœur, et j'ai eu des discussions avec plusieurs de mes amis. Et j'ai un pote qui est entrepreneur, qui est en totale surchauffe, alors qu'il a clairement des super business. Il a à la base une agence, je ne vais pas dire ce que c'est, comme ça je ne vais pas non plus trahir nos conversations, mais il a un business d'agence. A côté de ça, il donne des cours pour se dire, au cas où, j'ai quand même cette rentrée d'argent là, sachant que son agence fait déjà au moins 10-15K par mois. Et vu que, tu sais, dès que ça va bien, il dit, bon, ça, j'ai déjà ça. OK, j'ai ma rentrée d'argent qui va bien que j'ai verrouillée avec des cours. Mais bon, ça ne m'épanouit pas, je me fais clairement chier. Vas-y, je lance un side project. Ce side project, vu qu'il y met du cœur, ça a un peu cartonné. Du coup, il se retrouve à être en surchauffe totale, être totalement mal dans sa peau, être fatigué, parler mal à ses proches, être en fatigue, ne pas savoir par où il va s'en sortir, alors que, et c'est ça, en discutant, je lui dis, mais mec, est-ce que tu te rends compte que si tu avais juste choisi un seul, une seule vraiment des activités, un seul des projets que tu as, tu vivrais très bien et tu serais très heureux ? Parce que le problème... c'est que tu es en surchauffe partout, du coup tu fais un peu bien et un peu mal tous tes projets en ce moment, et surtout t'es mal. Et qu'il me sort une phrase qui m'a complètement à la fois fait rire, choqué, et je me suis dit Waouh ! J'appelle ça vraiment l'effet Avicii. Avicii, c'est le fameux DJ qui s'est suicidé. Pour moi, c'est de ne se rendre pas compte qu'on a le contrôle sur tout, et qu'en fait... on se fait déborder partout. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que lui, en fait, je lui dis, mais est-ce que tu te rends compte que... Donc, il m'a sorti la phrase qui m'a choqué, qui était, moi, en fait, là, si on me propose potentiellement un CDI, là, à 3000 balles, 3500 net, je prends, pour être tranquille, vivre ma petite vie. Je lui regarde, je lui dis, mais de quoi tu me parles, mec ? En fait, tu peux l'avoir comme tu veux, en fait, cette vie-là, c'est juste que t'es pas foutu de dire non. T'es pas foutu de dire stop et t'es pas foutu de faire un choix. Et c'est ça qui nous tue. C'est vraiment ça. Parce que, un, je m'aperçois que, encore une fois, le bonheur, il est vachement lié à notre charge mentale. C'est-à-dire que plus notre charge mentale est élevée, moi ces derniers temps, comme je te disais, je l'ai abaissée, et je me vois que je reciflote, je me vois que je danse dans la rue à Paname, je dis à Paname, je dansais, là, tac, bam, bon les gens ils m'ont regardé chelou, mais moi c'est moi, je suis comme ça, je kiffe, et je suis bien, je suis léger, j'ai de la créativité. Et en fait, quand la charge mentale est élevée, je suis stressé, j'ai des boucles mentales. Je me dis, ma life, il faut que je trouve une solution. Et puis, je serai heureux quand j'aurai ça. En fait, l'instant présent, quand j'ai une charge mentale énorme, il n'existe pas. Ou c'est de la merde. Du coup, je me dis, je serai heureux dans le futur, quand j'aurai ça, quand je serai ça. Truc qui n'existe pas parce que l'horizon recule. Et je me dis, c'est dû à quoi ? Du haut. Ça, je ne fais pas. Non, ça, ça ne m'intéresse pas. Je me focus là-dessus. Donc, c'est dire non, faire des choix. et assumer et surtout ne plus avoir la peur du manque. C'est vraiment ça, la peur du contrôle. Donc c'est arrêter de vouloir avoir le contrôle. Parce que la peur, c'est vouloir avoir le contrôle. Le contrôle, c'est ne pas arriver à faire confiance et à lâcher prise. Et ça, c'est fou. J'en discutais aussi avec ma pote Ludivine Aubourg, qui justement est dans cette phase un peu où on discutait. Elle est à Dubaï, elle a envie de... En fait, elle a fait en plus plein d'études, elle s'est formée. des compagnes des programmes d'accompagnement de dirigeants et tout et je me parlais dit mais tiens mais moi aussi j'ai envie de remettre du fun parce que c'est ça ma life c'est comme ça que je vois les choses mais il ya aussi comme je pense aussi comme moi comme je comme je déviais ces derniers mois cette part d'ego qui dit là faut que je relance quand même un gros truc faut que je fasse quand même rentrer du cash et et après je serai bien et je disais mais tu vois c'est je comprends la phase dans laquelle tu es et chacun doit faire son truc et son chemin mais c'est vraiment genre attention à ta charge mentale parce que la charge mentale elle va pas te rendre heureuse et moi je m'aperçois vraiment de ça parce que quand tu as un pote qui est successful potentiellement sur trois projets qu'il a et qui en a aucun ou qui est vraiment à fond successful et surtout il n'y en a aucun qui le rend plus vraiment heureux parce qu'il est en surchauffe je me dis waouh et ce qui est fou c'est que c'est entièrement et je dis quand je dis ça c'est notre faute de ne pas savoir dire stop de ne pas savoir se faire confiance et de se dire eh C'est ok, j'ai pas besoin d'avoir cette rentrée d'argent plus. J'ai pas besoin de faire ce truc en plus pour avoir encore plus de dopamine, pour me sentir encore plus successful. Ouais, ce sex-sex-sex-full, il est passé bizarre. Il y avait un sexe dedans qui était un peu gênant, je trouve. Successful. Et tout ça, c'est lié à nous. Et en ce moment, il y a un move qui m'a énormément inspiré de la part de ma pote Héloïse Monchavlon, et qui je suis resté un peu au téléphone aussi cette semaine, qui a annoncé après plus de dix ans, donc c'est une youtubeuse qui est dans la beauté, le bien-être, et qui a... depuis plus de 10 ans, fait des vidéos sur YouTube, justement, des vlogs, des vlogs super authentiques, et malgré ça, malgré le fait que tout le monde trouve, et moi je trouve que ces formats sont ultra authentiques, ultra chill, et bien en fait, elle a décidé d'arrêter dans une durée indéterminée de reprise. Parce qu'elle s'est dit, j'ai fait ça pour le plaisir, ça m'a permis d'en vivre, et en fait, là, je vois que je suis dans la contrainte, dans l'obligation de faire, dans l'obligation de faire plaisir aux algorithmes, pour pouvoir à préférer que je ne vis que les moments pour pouvoir les partager, pour pouvoir créer du contenu. Et ça ne m'amuse plus. Et je pense que c'est ça le truc. Et ça me crée une charge mentale. Et là, elle dit, mais Alex, elle me disait, mais ça fait une semaine, juste une seule semaine que je ne poste plus là. Et je n'ai jamais été aussi créative. Et je ne l'ai pas voulu. Ça vient tout seul. Et c'est vraiment ce... J'en parlais aussi avec une autre pote qui, elle, est en transition de vie. L'espace mental est primordial. pour les grandes idées, les grandes décisions et le bien-être. Et ce qui est fou, c'est que des fois, la vraie bonne idée, le vrai bien-être, même si tu as 80%, tu te dis Ah, mais en vrai, je suis 80% bien tu vois. Mais des fois, c'est ces 20% restants qui sont la rouille, qui encrassent le mécanisme et qui te fait mal. Et qu'il faut peut-être 10% en plus pour vraiment avoir trouvé la bonne idée, la direction, le choix que tu dois prendre, le bien-être total. Et vraiment, je me rends compte autour de moi, il y en a aussi d'autres qui me disent des fois, j'ai envie d'arrêter, j'ai envie de prendre un CD, etc. Ouais, je comprends. Parce que quand tu ne sais pas gérer la charge mentale, c'est un enfer. Tu n'es pas heureux, tu es stressé, tu n'en peux plus, tu es surchargé. Et quand tu reviens à un truc qui est plus basique, où déjà, tu n'es pas obligé d'être seul pour vraiment gérer ton activité, Tu peux prendre des freelances, tu peux avoir des potes, tu peux être dans un collectif, tu peux faire plein de trucs. Et d'un côté aussi, tu peux dire, c'est peut-être aussi la charge mentale que je me mets moi-même vis-à-vis de moi-même. Est-ce que tu te mets une charge mentale parce que tu n'obtiens pas un objectif que tu as vraiment envie d'atteindre pour être bien ou est-ce que c'est un objectif que tu t'es mis parce que d'autres atteignent et que tu te sens nul par rapport à ça et que du coup, tu te crées une charge mentale ? Versus, si je lâche prise et que... Mon activité, elle fait que 3000, 4000, 5000 balles par mois, ce qui est déjà bien. Peut-être même 2000, en fonction d'où tu vis. Est-ce que ça suffit pas ? Mais est-ce qu'en fait, t'arrives à gérer ce sentiment de culpabilité, de se dire, putain, je suis pas assez successful par rapport à d'autres. Et moi, je me suis vraiment aperçu en me débarrassant de, un, ce côté besoin d'être successful, de faire machin par rapport à d'autres que je trouvais claqué, du coup, on peut rentrer dans cette compète, d'alléger au maximum. mon quotidien, mes projets. D'accepter de faire une offre qui me ressemble par rapport à mes zones de génie et ce que je veux dans mon quotidien. Moi, c'est clairement d'avoir du temps libre et de verrouiller 7-8 000 balles par mois pour pouvoir ensuite faire des choses que j'aime et les partager et créer du contenu parce que moi, ça, j'aime bien. Mais je n'aimais plus ces derniers temps parce que je me sentais obligé, parce que je me l'avais l'impression que c'était pour mon business. et non plus aussi par plaisir, est-ce que vraiment, pose-toi la question, à quoi ressemble ton quotidien dans les charges mentales ? Où sont tes charges mentales ? Comment tu peux le baisser ? Et essaie vraiment en fonction de tes obligations, parce que je sais que des fois, si on a des enfants qui ont une énorme charge mentale, parce que justement, je ne sais pas, ils n'obéissent pas, ils font des crises, ils ont une phase de vie compliquée, ou même ils ont peut-être des maladies, demande-toi aussi comment tu peux baisser ces charges mentales. Est-ce que peut-être tu peux prendre un psy pour t'aider à... ou je ne sais pas, un coach pour vous aider dans la communication. Est-ce que tu peux prendre une aide soignante s'il a une maladie ? Je prends cet exemple-là, mais c'est vraiment de se dire, où sont, où est ma charge mentale ? Quels sont les niveaux élevés ? Comment je peux baisser cette charge mentale-là ? Et je peux t'assurer que si tu arrives à la réduire au maximum, et j'en parlais avec mon pote Loris, avec qui je viens de passer l'après-midi, lui, il a une merde sur de l'immobilier, sur un bien immobilier. Et bien, à part ça... parce qu'il a pris une charge mentale où il était un peu tributaire, ça lui est tombé dessus avec des gens malveillants Mais dis, à part ça, moi, j'ai géré ma vie comme ça. Et je suis ultra bien. Et là, il part cinq mois à Bali, le type. Malgré le truc qui moque et chiant, mais il dit, en fait, j'y vais. Parce qu'en fait, si je laisse la charge mentale me bouffer, je ne vais pas être heureux. Et vraiment, je m'en aperçois. Tu peux être successful, avoir tout, et te rendre compte, en fait, que tu n'as pas le contrôle. Du coup, tu as peur. Du coup, tu es dans la peur du manque. Du coup, tu as besoin de plus, peu importe la quantité d'argent que tu as. Tu peux aussi te rendre compte qu'en fait... ben non, tu te rends pas compte que tu as tout ce qu'il te faut, que tu as peur de laisser des choses, tu as peur de simplifier et peu importe ton niveau vraiment de succès, si tu as une énorme charge mentale, ben en fait t'es pas heureux. Et je me dis ben le but d'avoir de l'argent, d'être successful et d'être aligné avec son job, c'est quand même d'être bien, c'est quand même d'être heureux. Donc en fait si tu fais un truc qui est successful et qui te cause énormément de stress et de charge mentale et qui te rend malheureux, en fait ça n'a aucun, aucun, aucun intérêt. Si ce n'est de se dire, ah je l'ai dit aux gens que je pouvais le faire, regardez je suis successful. Et hop, t'appuies sur arrêter l'enregistrement et t'es plus sur tes réseaux, t'es un téléphone et là t'es tout seul dans ta tête, t'es triste, t'es une merde et ça sert à rien. Donc ouais, essaie d'analyser ta charge mentale et demande-toi où tu peux l'améliorer, où tu peux la rabaisser. Je peux t'assurer que tu ne chanteras peut-être pas ou danseras peut-être pas dans la rue en te baladant dans Paris, parce que ça c'est peut-être un petit peu moi qui suis bizarre. Mais je peux t'assurer qu'incroyable à quel point naturellement ton cerveau, il va de nouveau t'injecter un flux de... Voilà ça, tu sais, ce bien-être, cette détente, cette créativité, cette légèreté de vivre. Et qu'est-ce que ça fait du bien ? La peur comme boussole pour aller bien, pour grandir et pour t'épanouir. Et là tu te dis, waouh, bah non, en fait ce qui fait peur c'est chiant en fait. Ce qui fait peur ça fait friser, ce qui fait peur c'est... plutôt désagréable dans l'idée. Si j'ai peur des araignées, tu m'en viennes sur la gueule. Vraiment nulle comme idée. Moi, je te parle de la peur, tu sais, de faire. La peur d'avancer dans des actions. Vraiment. Pas la peur qui est créée par des phobies. Même si je pense qu'il faut peut-être régler 2-3 trucs sur des phobies. Je te dis ça parce que c'était dans mon cercle d'hommes, il y a quelques semaines. Et il nous fait faire un exercice ultra intéressant. Il nous dit, imaginez que vous êtes dans une pièce, une grande pièce. Et ce qui est fou, c'est que quand tu dis ça, en fait, toi, ton propre subconscient, il va te créer une pièce. Et moi, la pièce que c'était, pour ceux qui connaissent, c'est dans Le Seigneur des Anneaux. Je crois que ça va être les deux tours. Et c'est la scène où ils sont en rohan, je crois, avec les chevaux. Et c'est le roi qui est un peu malade, parce qu'il y a un gars chelou qui lui sifflote des trucs à l'oreille. Il est sous l'emprise noire du gars, etc. Donc, il est sur un grand trône. Tu vois, un peu surélevée et dans un grand truc en bois. Les lumières, elles passent par la fenêtre. Et tu sais, je suis sur ce trône en fait. Et je vois la petite lumière par les fenêtres. Et là, il dit, vous êtes dans cette pièce. La porte s'ouvre et vos peurs rentrent dans la pièce. Et il dit juste ça, il dit pas laquelle. Et ce qui est fou, c'est que tu vois, moi je voyais des petits personnages. Tac, qui rentrent et qui se mettent face à moi dans la pièce. Quand tu fermes les yeux et que tu joues le jeu, tu les vois. Tu les vois rentrer. Tu les vois se personnifier. Et tu sais, ce qui est fou, ils sont en personnage, mais tu sais dans ta tête qui ils représentent. Qu'est-ce que je vois ? Je vois deux peurs. La première, c'était par rapport à mon grand rêve qui est de créer une réserve naturelle avec un village de créateurs au milieu et d'entrepreneurs, et par rapport à aller lever des fonds. Aller vraiment... chercher de quoi créer ce projet et ça me fait peur d'aller demander à des gens et dire j'adore ce projet c'est toute ma vie c'est mon rêve et qu'on me dise non c'est de la merde non je veux pas waouh la peur du non du rejet par rapport à un truc qui moi me tient à coeur alors qu'en fait c'est pas... ils veulent pas être méchant c'est juste non ça m'intéresse pas mais j'ai peur de ce truc là je me dis waouh et ça c'était le premier truc deuxième truc deuxième peur devant moi la peur de réaliser un projet qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps c'est créer une immersion et d'emmener des potes quelque part et que on se rassemble et on vit des beaux moments tu vois et ce qui est fou c'est que j'ai capté en fait que de la même façon que pour moi l'entrepreneuriat est un outil de développement personnel le voyage est un outil de développement personnel en fait c'est c'est pareil c'est l'entrepreneuriat et le voyage vont te faire faire des choses où t'as pas le choix quand tu as peur que de les faire J'ai peur d'aller parler à un inconnu qui ne parle pas ma langue, mais en fait il faut que j'aille dormir quelque part ou me déplacer, donc je n'ai pas le choix. L'entrepreneuriat c'est... J'ai peur de faire des calls. pour essayer de démarcher des clients mais en fait si je trouve pas de clients bah je suis obligé de le faire en tout cas t'as plus d'intérêt sinon tu vas mettre la clé sous la porte et c'est là où je veux en venir c'est de se dire quand j'ai identifié ces peurs je me dis il faut absolument que je le fasse en fait parce que du coup j'ai pas d'impératif je suis pas obligé de le faire et je ne grandis pas sur des choses qui en fait ça renvoyait quoi c'est ça le truc qui est intéressant qu'est ce que cette peur elle veut dire pourquoi il ya une peur si il y a une peur il y a un blocage il y a un truc qui va pas et moi je me dis en fait c'est C'est l'estime de moi en fait. Je suis un mec qui a beaucoup confiance en lui. Je m'aperçois à ce moment-là que je suis un mec qui a pas beaucoup d'estime de lui. En fait, ce qui est assez tricky, c'est un peu chiant avec moi, c'est que j'ai pas une mauvaise estime de moi, mais j'ai pas non plus une grande estime de moi. Ce qui fait que je veux pas déranger. Je tiens ça de mon père. On veut pas déranger. Fils d'ouvrier, on se fait tout petit. On est dans les règles et tout. On veut pas déranger. Imagine, qu'est-ce qu'ils vont penser ? Non mais laisse-les tranquilles, tu vois. Et je me dis, en fait, si j'ai peur de demander à des potes... de venir me faire confiance et de dire, viens, je vais faire un truc de ouf. Le but, ce n'est pas de me faire doser, c'est viens, je vais organiser un truc de ouf. Et on va kiffer, on va péter des blocages, justement. On va aller se dépasser, on va aller faire... Viens, venez. Et maintenant, j'ai peur. J'ai peur qu'ils me disent, bah non, en fait. Et de me dire, merde, en fait, ils ne m'aiment pas assez. En fait, j'ai peur d'avoir le retour qu'en fait, on ne m'aime pas tant que ça. Waouh, OK. OK, j'identifie. Deuxième truc. Pareil, si j'ai peur... d'assumer un rêve, c'est que mon rêve il est pas assez bien, c'est que je suis pas assez bien, c'est que je me dis putain le travail à faire là dessus mon gars ok pas de problème tac tac on remonte les manches je rappelle des potes en Colombie je prends des trucs ça c'était en juin un truc comme ça je crois et en juin juillet et je reprends des, je rattaque un peu mon projet de réserve naturelle ok je fais des calls ok je rattaque là dessus le truc la peur sur l'immersion que je disais de créer un truc en immersion ok Et bah du 20 au 24 janvier, je crée une immersion avec mes potes. J'ai peur. J'ai peur de les décevoir. J'ai réussi à réunir les 8 potes que je voulais. Faire un truc de ouf. Je voulais qu'il y ait 8 piliers dans cette immersion. Parce que je voulais pas que ce soit que business, que développement personnel, ou que bien-être. Je voulais qu'il y ait un petit peu tous les piliers. Et du coup, il y aura un pilier business, avec des hot seats. Il y aura un pilier dépassement mental et physique, où on aura une sweat lodge, où vraiment ceux qui ont fait ça, je peux t'assurer que tu... Ton ego est obligé de lâcher, t'es obligé de tout lâcher mec, c'est une hutte de sudation pendant deux heures, c'est assez incroyable. Il y aura un hypnotiseur et un préparateur mental qui viendront pendant tout le long du séjour pour aller nous casser nos limites mentales. Il y aura aussi, d'ailleurs je fais un bisou à Edouard Chéron qui va être là, je suis tellement content qu'il soit là. Il y aura aussi mon pote Steph Gentis qui sera là pour toute la partie breastwork, bien-être, connexion, esprit, mental, spiritualité. Il y aura aussi toute la partie bien-être avec des masseurs thérapeutiques, avec des chefs sur place. Il y aura la partie gestion émotionnelle, parce que je voulais qu'il y ait aussi un pilier gestion émotionnelle, parce que je pense que surtout, ça va être entre potes, donc entre hommes, vraiment en tant qu'hommes. Nous on est des costauds, on va faire beaucoup d'argent, on va faire beaucoup de travail, et c'est très bien. Mais en fait à l'intérieur on est des humains, et je voulais vraiment insuffler ça, partager ce que j'avais appris sur ce sujet-là ces derniers temps, et le partager dans les ateliers. Donc il y aura des cercles d'hommes qu'on va faire, et aussi comme je te disais, la partie... bien-être à travers le chef, les massages et tout. Ben, j'ai peur. Mais putain, ça fait peur, mais ça fait du bien de prendre l'hôtel. J'ai appelé 18 potes, plein qui n'étaient pas dispo. Là, tout c'était chaud, mais après ça se débine, après tout ça. Et ça fait chier quand tu sens qu'il y en a qui se débinent ou qui te gossent parce que le budget ça va pas, ou en fait c'est peut-être pas leur bon moment dans la vie. Ça fait peur, t'es mal à l'aise. Ça se passe pas forcément bien. Tu galères à trouver les prestataires, ce que tu veux les mettre. En plus, je me fais zéro argent. C'est vraiment pour le kiff, ça me prend beaucoup de... de temps et d'énergie, j'ai peur, mais je sens que je grandis. Je sens que ça m'a fait du bien. Et pourquoi je te dis que la peur, c'est la meilleure boussole pour s'épanouir ? Là où ça te fait peur, si justement je reviens sur le business, et que tu as peur de passer des calls, de dire, vraiment des calls à des clients comme ça, puis les closer, puis parler des prix. Si tu as peur de parler de ton prix et de te vendre cher, c'est que tu n'as pas non plus une grande estime de toi ou que tu n'as pas confiance en toi. Génial, bosse dessus. Si t'as peur, encore une fois, je sais pas, d'aller faire du networking, d'être dans les events, etc. Génial. Bosse ton intelligence émotionnelle dans la relation aux autres, dans le networking. C'est que toi, en fait, t'aimes peut-être pas ton image en public. C'est peut-être que toi, tu t'aimes pas assez. C'est peut-être que toi, il y a eu des blocages. T'as peut-être des choses... Super. Bosse dessus. C'est ça qui est bien dans l'entrepreneuriat. Parce que l'entrepreneuriat, vu que t'es obligé de faire plein de trucs tout seul, ça te met face à plein de peurs. Va. Utilise ton taf, utilise ton activité pour aller détecter des peurs et va bosser sur ces peurs. Fais-les ! Putain non, j'aimerais bien lancer des réels facecam ou une chaîne YouTube, mais putain j'aime pas ma gueule, non mais qu'est-ce qu'ils vont penser les gens ? Ok, regarde les gens, t'as peur du regard des gens, t'as peur de ce qu'ils vont te dire, t'as pas confiance en toi, sur ta gueule, fais une vidéo YouTube, très bien, avance, fais quelque chose, n'aie pas peur. C'est comme ça que tu progresses, tu vois ? C'est encore une fois, c'est en allant, en fait, l'avantage de devoir faire des projets, c'est que tu vas faire des choses. Et ces choses vont peut-être à un moment donné te dire, boum, ici c'est ta limite, t'as peur mec derrière. bah fantastique, map tes peurs, fais des projets qui vont permettre de mapper tes peurs et de savoir exactement c'est là ma limite donc c'est là que je dois progresser donc c'est là que je dois me challenger donc c'est là où je dois aller creuser cette peur et je peux t'assurer que moi j'ai peur encore une fois de décevoir mes potes d'autant plus tes potes tu vois, qu'il y a un truc qui se passe mal, qui me dit putain parce que j'ai voulu mettre plein de trucs dedans putain on paye cher et tout machin et qui me disent bah en fait c'est claqué vas-y on aura plus prévu tu vois mais j'y le fais parce que putain Je pense que c'est vraiment là que se situe l'épanouissement, le bonheur. Parce que le bonheur, c'est finalement se débarrasser de trucs qui te bouffent la tête. Mais si t'as confiance en toi, t'aimes ta valeur, tu t'estimes, t'aimes parler aux gens, tu peux être tout seul en train de méditer pendant des heures ou dans une foule, et que t'es bien, et que t'as pas peur de monter sur, encore une fois, une scène, ou que, encore une fois, tu peux aller te balader. Mais c'est ça le bonheur, c'est de pas avoir de peur. et que dès que tu en as une, d'aller la challenger. Donc ouais, fais une petite liste des peurs que tu as eues ces derniers temps, à travers peut-être des activités perso aussi, mais pro, et démerde-toi pour mettre en place une stratégie qui va aller à ta clé et qui va t'obliger à aller dans cette peur, pour grandir. Et maintenant, le fun fact, et ensuite le sweet fact, parce que j'ai envie de te partager, pour terminer, ce nouveau journal de bord. Alors, j'étais il y a deux jours, Gare de Lyon, j'attendais un train. puisque le mien avait été supprimé, on adore. J'arrive pour prendre un petit café, je suis avec mon pote Wibaï, on a tantre un et on se met sur une table qui était des tables vraiment collées et à la nana je lui dis ce que je vois sur son ordi tu vois et je dis merde tu vas bosser là ? Elle me fait ouais, je fais mais tu vas bosser c'est quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Le mec il sait j'aime bien, qu'est ce que tu vas faire ? Je la tutoie évidemment tout de suite. Elle me fait bah... Ouais j'ai des mails en fait c'est... C'est une note... Je fais c'est une note parce que... Parce qu'en fait là nous on va jouer au dé Donc ça va faire un peu de bruit, je voulais savoir... Parce que je voulais à la base quand même être très poli et courtois Tu vois je voulais pas non plus euh... Elle me fait bah... Je fais non mais c'est une note... Je fais c'est quoi ton taf ? Elle me fait je travaille à Matignon Je fais ah ok cool ! Je fais mais euh... Tu fais quoi à Matignon ? Ah je bosse pour le premier ministre Je fais ah ok cool je fais le nouveau là le... Bayrou Elle me fait Ouais, mais tu fais quoi ? Bah je fais ces notes ministérielles. Je fais Ah ok ! Et là je lui dis Bah attends mais prends le chat de GPT ! Elle me fait Mais non, j'ai besoin de faire des trucs intelligents. Je lui dis Oulala, attends, oulala, tu prends beaucoup trop d'eau, un truc qui va te remplacer dans un an là. Elle a pas très bien pris je crois. Elle a un peu rigolé en vrai, elle a un peu rigolé. Et je lui dis Mais attends, attends, en vrai, là t'es là, faut que tu te concentres, c'est relou, même y'a des gens qui vont jouer au dé, nous. Alors qu'en vrai... Ce que je te conseille, c'est que tu pitches ChatGPT. Soit tu le pitches à l'oral et après il te le remet en ordre simplement, tu vois, à l'écrit. Tu vois, t'as juste à reprendre. Soit encore mieux, tu te prépares pour les prochaines, tu télécharges tous les discours de ce bon Bayrou ou alors des trucs un peu des premiers ministres. Bah, tu le fous dans ChatGPT et tu lui dis, vas-y, balance-moi une petite note ministérielle. Elle a un petit peu rigolé et elle m'a dit, il y a une table qui s'est libérée, je vais vous laisser jouer. Et je dis non mais attends c'est à nous de nous déplacer. Non non mais il y a une prise là bas. Et j'ai compris qu'elle m'avait un petit peu pris de haut avec ChatGPT et je me suis dit à la fois tant mieux parce que j'avais envie de jouer au dé et d'être tranquille et à la fois ma grande fais gaffe pour ton boulot je te jure fais gaffe. Et le sweet fact et bah ça c'était un truc inattendu et je suis très content d'ailleurs je vais m'y mettre juste après. Je suis samedi soir, on est allé au dîner avec les membres de mon collectif. On parle de tout et de rien, on parle évidemment de Noël, de la famille, des cadeaux, etc. Moi tu vois, je suis pas cadeau, ça fait des années que je fais pas de cadeaux et j'en veux pas. Moi ce que je veux c'est des moments, qu'on s'offre des expériences avec ma famille ensemble, avec mes parents. Et en fait je suis là en mode mon père il voulait, cette fois je voyais même pas ce que je pouvais lui offrir et tout. Et Isabelle, je te fais une grosse dédicace Isabelle, c'est ma SAUZER, qui me dit, je sais plus comment elle a l'idée, Parce que j'avais parlé d'un truc que j'avais fait avec mon père il y a des années, je l'avais emmené une fois en voyage en sac à dos en Géorgie, mais il y a 6 ans. Il me dit mais... T'avais filmé, je sais plus, j'ai dit ouais mais j'ai jamais monté le truc. Il me dit bah voilà c'est ça le cadeau, tu lui montes la vidéo. Et dans la tête je me dis putain je ne sais pour quelle raison, un montage avec des rushs d'il y a 6 ans je les ai sur moi dans mon disque dur. Et je me suis dit mais c'est dans 2 jours Noël, un montage c'est 18h de taf, j'ai pas le temps. Et là mon pote à côté... Adrien Scatte, qui est lui aussi filmmaker, qui a fait un énorme documentaire sur Kilimanjaro, qui a remporté un prix d'ailleurs, il me dit Mais mec, tu t'en fous, tu fais juste des trucs à l'arrache, ton daron, il s'en fout des transitions de la musique, ce qu'il veut c'est les moments de vie ! Et je me suis dit Putain, j'ai jamais su quoi faire de ces rushs, j'ai jamais pris le temps de les monter, et là je me dis, ça va faire tellement plaisir à mon père de revoir une aventure qu'il m'a dit il y a pas si longtemps et ça m'avait tellement touché, c'était le plus beau moment de sa vie. Je peux t'assurer que quand ton arron il te parle jamais et te sort ça, mon gars t'as les petites larmes. Et je me suis dit là, putain, j'ai mis le nez dedans. Limite je suis dégoûté de devoir le monter un peu, parce qu'il y a quand même du déchet. C'est du bout à bout pour les monteurs, vraiment bout à bout. Vraiment je mets que les sons, c'est vraiment le film de famille. Mais je suis dégoûté de ne pas le découvrir avec lui. Mais j'ai vraiment envie de livrer un truc. Il y a quand même deux heures de rush. Il faut quand même dérusher. J'ai quand même un peu jacté, évidemment, comme tu le vois sur ce podcast. J'ai un petit peu de trucs à dire. même quand il n'y a rien à dire. Mais voilà, je suis très heureux de pouvoir partager ça parce que c'est encore une fois la puissance du collectif. Au niveau cadeau, j'étais à sec. Je ne sais pas ma spécialité. Et grâce au collectif, aux conversations, d'être entouré des bonnes personnes qui ont les mêmes valeurs, qui ont les mêmes visions, qui... Je ne sais pas. Et les discussions font que pop ! Tu as des trucs incroyables qui pop, même pour du perso. Et je suis très heureux. Bon, ça va me mettre un petit peu de taf, il faut que je me maigre le cul pour demain, parce qu'au moment où tu vas écouter, je pense, ce podcast, on est le jour de Noël. J'espère que je vais avoir terminé le montage. Et heureusement, mon pote... Mon père n'écoute pas ce podcast, c'est aussi pour ça que je le dis. Et je vais monter ce vlog à la rage totale. J'ai regardé, j'ai filmé vraiment avec mes yéps en plus. C'était vraiment... Et je me suis revu, il y a six ans, en tant que vlogueur voyage, j'étais vraiment encore dans le dur du sujet. Évidemment, j'ai envie de me gifler. On le sait. On le sait parce que je parle comme ça, c'est super, j'ai super content, tu as le bonheur. Ta gueule. Mais ta gueule en mode on est content de revoir ces images et je suis impatient de pouvoir offrir ce cadeau à mon père. Je te souhaite vraiment une belle semaine et du coup un très très très joyeux Noël. J'espère que ce deuxième journal de bord t'a plu, que tu en as retiré des leçons, de l'inspiration. Bref, encore une fois, moi je pense clairement, je disais à mon pote que je kiffe faire ça. Je parle pendant une heure avec quatre mots sur mon carnet des thèmes que j'ai envie d'aborder. C'est un peu mon auto-thérapie, ça me fait du bien. Et si en chemin, je me dis que ça peut aider d'autres personnes, eh ben tant mieux. C'est peut-être aussi ça, mon joli cadeau de Noël. En tout cas, n'hésitez pas à me faire des retours sur les réseaux. Ou me laisser une petite note sur Spotify ou iTunes, ça fera aussi plaisir. Tiens, ça, ce sera mon cadeau de Noël. Allez hop, call to action. Merci, bisous, à la semaine prochaine.

Description

⭕️ Rejoins Le Cercle des Solopreneurs (ouvre en février) : https://www.skool.com/cercle-solopreneurs


Dans cet épisode, on explore :

  • Les quatre grandes étapes de la vie : Mimétisme, exploration, engagement, et héritage – et comment identifier où tu te situes.

  • L'intelligence artificielle (IA) : Opportunités, menaces, et son impact imminent sur les solopreneurs et les créateurs.

  • La gestion de la charge mentale : Pourquoi elle pourrait bien être la clé du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs.

  • La peur comme boussole : Comment utiliser tes peurs pour grandir, t’épanouir, et dépasser tes limites.

  • La puissance du collectif : Des idées, du soutien, et des solutions inattendues grâce à la synergie d’un groupe aligné.

  • Un projet d’immersion unique : Un exemple concret de dépassement physique et mental avec des ateliers de développement personnel, business, et bien-être.

  • Un cadeau de Noël symbolique : L’importance des souvenirs et des moments partagés comme actes de gratitude et d’amour.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Eh ça y est, ça fait déjà une semaine, deuxième numéro de mon journal de bord sur ce nouveau podcast Satori. Ouh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël. Tu vois, c'est là où on me dit souvent que je suis plus jeune que mon âge, mais quand je sors des phrases comme ça, Oh, que le temps passe vite, on est déjà à Noël je me dis que je fais peut-être mon âge en fait. Cette semaine, je vais te parler des quatre étapes de la vie, pour que tu saches dans quelle étape tu es. Est-ce que tu as peut-être été trop tôt dans une étape, peut-être qu'il serait temps de passer à la suivante. Je te dirai aussi dans laquelle je suis, puisque évidemment, c'est moi qui me suis fait cette réflexion cette semaine. Je te parlerai aussi de ce que j'ai compris de l'IA, des opportunités à avoir et des choses à avoir peur, mais surtout des dernières possibilités que ça va pouvoir nous offrir, surtout nous en tant que solopreneurs et personnes qui utilisons nos ordinateurs et le digital dans notre quotidien. Je te parlerai aussi de charge mentale. Est-ce que la charge mentale et la gestion de la charge mentale, ce n'est pas tout simplement la recette du bonheur ? en particulier pour les entrepreneurs. Et je te parlerai aussi de pas mal d'exemples que j'ai autour de moi et de discussions que j'ai eues avec des potes. Et aussi, je t'expliquerai comment la peur peut être finalement ton meilleur allié si tu la suis comme boussole. Et évidemment, je terminerai avec un fun fact et un petit sweet fact. Ça veut dire un fait doux. Mais que j'avais envie de te partager parce que c'est aussi le pouvoir du collectif qui m'a fait donner une superbe idée pour Noël. Et je voulais le partager. C'est parti pour ce nouveau journal de bord. Alors, il y a quatre grandes étapes dans la vie. Et je voulais t'en parler parce que moi, en ce moment, je sens que je suis en transition d'une étape à l'autre. Ce n'est pas toujours facile. Quelles sont ces grandes étapes de vie ? Pour savoir si toi aussi, où tu en es, dans quelle étape tu es. Et surtout, est-ce qu'il serait temps de, peut-être toi aussi, de passer à la suivante. Ou peut-être de revenir en arrière. Parce que des fois, tu vas voir, c'est utile. Les quatre grandes étapes de vie, c'est de quand tu nais jusqu'à, en général, jeune adolescent. C'est le mimétisme. En fait, tu vas mimiquer, tu vas absorber tout ce que tu vois et tu vas le reproduire. Ensuite, c'est la phase d'exploration. En général, de jeune adolescent jusqu'à potentiellement 30, 40 ans pour ceux qui tardent un peu, qu'ont les fait Peter Pan comme moi. Donc ça, c'est toute la phase où tu vas explorer les études, les métiers, les amis, les drogues, les pays, les voyages, les fêtes. Bref, tu vas essayer de comprendre le monde. Et l'étape d'après... C'est l'étape de l'engagement. Celle justement où, si tu es passé trop vite de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement, tu te réveilles un jour et tu te dis Putain, mais attends là. Pourquoi j'ai cette femme ? Qui sont ces enfants ? Qu'est-ce que je fous là ? Mais putain, c'est pas ça la vie que je voulais. Mais qu'est-ce que je fous dans ce boulot ? Merde ! Parce que tu n'as pas pris le temps de vraiment savoir ce que tu voulais, ce que tu aimais, et de le faire vraiment en conscience. et de ne pas être nourri, de le vouloir vraiment. Et inversement, là ça me concerne peut-être un petit peu plus, c'est de se dire Waouh, j'aime tellement le goût de la nouveauté que ça est addictif, mais finalement je m'en enivre et je deviens peut-être, sans m'en rendre compte, un de ces jours, si je ne fais pas gaffe, tu sais, le vieux gars de 50 piges qui est encore en boîte de nuit, qui est habillé comme un jeune et qui essaie de draguer les petites minettes, oh my god, je pense que ça c'est mon cauchemar. Failure de vie. si j'en suis là, un jour, mon dieu non mais c'est vraiment ce côté où finalement tu es tellement devenu addict à cette liberté à cette nouveauté, dans tous les sens du terme de pouvoir changer de job d'aller où tu veux, quand tu veux que finalement tu restes coincé dans cette étape là, et le problème de cette étape là qui est extraordinairement géniale qui est enivrante, qui te permet de te cultiver qui permet encore une fois aussi d'être libre et Dieu sait qu'on essaie de nous mettre des chaînes en permanence... dans notre vie et une fois qu'on a goûté à ça on a envie de rester mais cette étape là elle est aussi quand même une c'est une étape qui reste en surface parce que même si c'est toujours très intense et même par exemple je prends le voyage c'est très puissant c'est très intense mais il n'y a pas la profondeur des années d'amitié des années de couple des années de d'études sur un sujet des années de vie dans un même lieu où tu vas aller plus loin Et cette profondeur, elle est je pense très importante. Très très importante. Et c'est un peu, en ce moment, je suis dans cette étape-là. Et d'ailleurs, la dernière étape, quelle est-elle ? Celle que je ne t'ai pas encore dit. C'est celle de... Alors je l'ai toujours en anglais, de legacy. C'est vraiment ce que tu laisses, pas le testament, mais l'héritage. C'est l'héritage, c'est ce que tu laisses derrière toi. Parce qu'en gros, une fois que dans ta vie, tu as exploré, tu t'es fait kiffer. Tu as eu à peu près la famille, le job que tu voulais, tu t'es engagé, t'es bien, t'es posé dans ta vie. Qu'est-ce que tu veux, qu'est-ce qui te reste quand tu as atteint un peu tous tes objectifs ? C'est de devenir inoubliable. Dans le sens où tu laisses des choses où on va encore penser à toi. Que ce soit des œuvres, que ce soit des biens, que ce soit un patrimoine. Moi évidemment je suis dans l'étape en ce moment de transition, de l'étape d'exploration à l'étape d'engagement. Et c'est vrai que je m'en aperçois et je trouve ça super important de comprendre aussi que c'est ok d'être dans une étape alors que tous les autres de ta génération sont dans une autre. Parce que moi, évidemment, tous mes amis sont depuis longtemps dans l'étape d'engagement. Mais que moi, encore une fois, je vois que c'est ultra important pour moi d'avoir été jusqu'au bout de me dire Eh, c'est bon, j'ai fait le tour. J'ai fait le tour des voyages, j'ai fait le tour des soirées, j'ai fait le tour des discussions autour d'un feu, j'ai fait le tour des rencontres. Et aujourd'hui, j'ai envie, entre guillemets, de... D'aller plus en profondeur dans chacun de ces thèmes que j'aime toujours autant profondément. Mais j'ai envie d'aller plus en profondeur dans le voyage, j'ai plus envie d'habiter. Dans les relations avec les femmes, j'ai envie d'être avec une femme. Je ne dis pas que j'étais avec plein de femmes avant, ce n'est pas ça que je veux dire. Mais de façon très long terme, j'ai envie de discuter avec des gens que je choisis, et non pas qui se mettent sur mon chemin, et même si j'adore ça encore une fois, mais que je choisis et auxquels on va creuser des sujets. J'ai envie de creuser des sujets en particulier, pour le plaisir. Je m'aperçois que c'est très difficile d'être, on va dire, dans une étape où quand tous les autres sont en train de faire autre chose, toi te dire que non, j'ai pas envie de faire ce que vous faites, moi j'en suis là en fait. Et que c'est ok. Et pas de se sentir coupable, et se sentir bien, mais à la fois se dire, ne pas tomber, tu sais, dans cet ego de se dire Haha, moi je suis pas comme vous, je suis dans cette étape-là ! Et inversement, tu vois, ça peut être tous tes potes qui sont encore peut-être, je sais pas, en train de... parcourir le monde, se bourrer la gueule, de vouloir faire plein d'argent, de trucs, de machins, de travailler jusqu'à pas d'heure et toi tu dis non moi j'ai arrêté d'alcool, j'ai trouvé ma petite meuf ou mon petit gars je suis posé, je reste manqueré ici tu vois je suis bien et c'est ok avec ça et d'avoir la Jomo la Jomo c'est le joy of missing out, c'est d'être content de louper quelque chose et non pas avoir la FOMO de te dire merde putain il y a une nouvelle opportunité, putain il y a merde, il y a une soirée, putain waouh il y a d'autres meufs, qu'est ce qu'elle se résolue Pourquoi je me prends la tête avec ce gars alors que je pourrais être un peu partout ? Et c'est vraiment ça, c'est de se dire, aie le courage vraiment d'être conscient de ce que tu veux et d'aller faire ce qui vraiment fait du sens pour toi. Et moi en ce moment, je suis vraiment dans cette étape de me dire Ok, je veux m'engager, je veux m'en créer, c'est pour ça que j'étais à Lisbonne, je vais essayer de construire des projets qui sont peut-être plus long terme. Alors que moi j'aime bien construire des projets, une fois que j'ai fait le tour, rechanger, c'est ça qui me nourrit. Mais essayer de créer un truc plus long terme. avoir des relations plus profondes avec mes amis plus longtemps, me recréer un cadre d'amis encore une fois où je suis pas que là de passage. Et j'aime bien parce que c'est aussi challengeant en fait. C'est pas parce que je le veux que tout à coup, là j'ai pris un appart à Lisbonne, je suis à Lisbonne, etc. Mais ok, j'ai envie de changer d'appart finalement. Parce qu'en manquant, et manquant pour de vrai, et bah c'est comme tout quand on essaye, tout ne réussit pas du premier coup. Et peut-être que justement j'ai peut-être changé d'appart je pense. mais peut-être aussi changer de ville. Et là, je suis en train, encore une fois, de travailler sur mon nouveau projet du Cercle des Solopreneurs, la nouvelle communauté que je vais créer. Je pense profondément que c'est ce que j'ai envie de faire, mais je suis OK, en fait, que ça échoue. Parce que je suis OK que ce soit mon nouveau grand projet et j'ai envie qu'il fasse du sens. Et ça, c'est, pour moi, le plus important, c'est ça que je voulais te transmettre, c'est de te dire où est-ce que t'en es, en fait. Est-ce que tu t'es embourbé dans quelque chose depuis longtemps ? qui fait pas de sens pour toi et il faut que tu retournes un peu explorer qui tu es, du job, des voyages à l'intérieur de toi, pour vraiment pouvoir te réengager de façon alignée ? Ou est-ce que justement, hey, t'es pas un peu comme Alex ? T'es pas un petit peu Peter Pan ? Ça veut dire Peter Pan en français. Est-ce qu'il serait pas temps pour toi d'essayer de te dire, un peu comme l'amour ? C'est pas... J'aime bien faire ce parallèle-là, je pense que la phase d'exploration c'est la passion et je pense que la phase d'engagement c'est l'amour. Et l'amour c'est un choix, moi je le découvre aussi, et c'est d'autant plus beau, profond, sacré et difficile. Parce que la passion elle s'empare de toi. La passion en fait c'est simple, c'est comme les voyages, t'arrives, c'est la nouveauté, ça te pète à la gueule, c'est comme un shot d'adrénaline. L'amour, et du coup l'amour peu importe, soit avec une relation de ce que tu fais ou la profondeur et l'engagement, c'est un choix conscient. Donc ça implique beaucoup. plus de pression, et je trouve ça d'autant plus beau. Alors pose-toi la question dans quelle étape de vie tu es. Il y a... On va tous mourir. J'ai regardé pas mal de choses ces derniers temps, des dernières interviews de très très grands spécialistes. On va tous mourir. En tout cas, c'est ce que, quand je regarde ça, ça me donne un peu ce sentiment. En mode, on arrive sur du Terminator, la super-intelligence artificielle qui va, entre guillemets, régir toutes les intelligences artificielles d'ici 5 ans. 5 ans, c'est Hachoum demain, on passe Noël. Après, c'est 2030, c'est demain en fait. Et à côté de ça, si je me dis, bon, en vrai, c'est pas trop ma façon de voir la vie. Dans chaque difficulté, une opportunité. Et puis, c'est surtout de se dire que... Ça fait bien longtemps que depuis que je suis né qu'il y aurait des raisons de se tirer de balle et d'arrêter. Donc pourquoi l'IA serait une raison de plus de se dire que c'est la fin du monde ? Et non pas l'inverse, de se dire Ok, le monde est aussi en train de changer. Est-ce que, comme dirait le bon Winston Churchill, est-ce qu'il ne serait pas temps de prendre le progrès par la main avant qu'il ne nous prenne à la gorge ? Je pense que c'est le moment. De ce que j'ai regardé vraiment, et je voulais te le partager, c'est que concrètement, le savoir... va devenir bientôt, d'ici 3-4 ans, une commodité. Comme l'eau potable. Tu as besoin d'eau potable, tu tournes le robinet, tu as de l'eau potable. En tout cas, nous en France, on a cet énorme privilège. Le savoir, ça va devenir pareil. Et qu'est-ce qui se passe quand le savoir devient une commodité ? Quand toute notre économie, ou presque, repose sur le manque de savoir. Je ne sais pas changer un problème dans mon robinet ou ma plomberie, je vais appeler le plombier. Je ne sais pas me défendre devant le tribunal, je ne sais pas, donc je n'ai pas le savoir, je vais prendre un avocat. Je ne sais pas réparer ma voiture, je ne sais pas faire des Facebook Ads, donc je vais prendre un spécialiste, etc. Qu'est-ce qui se passe quand demain tu as une intelligence artificielle ? Et là on est à quelques mois d'avoir des intelligences artificielles adjantiques. Adjantiques c'est qu'ils vont faire le boulot d'agence. Aujourd'hui... Quand tu es solopreneur, tu as besoin d'écrire tes emails, de ta page de vente, de créer ton logo, de faire un site internet. Tu vas prendre ces différents freelances qui vont te permettre, que tu ailles sur Malt, Fiverr, etc., qui vont te permettre de faire toutes ces choses-là. Sauf que demain, tu vas avoir une IA qui va être en complétude sur tous ces sujets et qui va te permettre de dire, en fait, tu vois, ce site-là, je l'aime bien. Est-ce que tu peux me reproduire le style et le code ? Mais par exemple, moi, en fait, ce n'est pas le marché. des jeunes cadres, moi c'est plutôt des femmes enceintes ou en fait moi c'est le marché indien est-ce que du coup tu peux aussi me créer toute la séquence mail qui ira par rapport à la culture indienne ou par rapport aux jeunes femmes enceintes etc etc et t'auras très vite et très bientôt cette possibilité là on est à quelques mois de ça, je te parle même pas d'années donc quand je me dis wow, attends, attends, attends Alex moi je suis ce qu'on appelle un infopreneur, je vends de l'information finalement Qu'est-ce qui se passe quand demain l'information devient une commodité et presque gratos et à la portée de tous ? Je... Bah j'ai plus de job ! J'ai dit, je me dis d'accord ! Et je me dis surtout, waouh ! Génial ! Comment je fais pour me réinventer encore une fois ? Et comment je fais pour le faire dans des choses qui font du bien, qui sont utiles, et pas encore une fois essayer de prendre des raccourcis qui vont pas ? Je me suis dit, qu'est-ce qui reste si l'information... Elle est encore une fois gratuite. Qu'est-ce qui reste quand le digital, la robotique et l'intelligence artificielle fera partie de notre quotidien en permanence ? Je me suis dit qu'il resterait les émotions. Comment vivre des émotions ? Que ce soit des expériences. Peut-être que tous ceux qui ont des tiny houses ou qui font vivre des expériences à des gens, je pense qu'ils sont très bien. Ou que ce soit des balades, ou encore une fois des voyages. Ce sont des choses que tu auras du mal à vivre. différemment, tu pourras certainement mettre ton casque de réalité virtuelle, ça va arriver, et je pense que le monde va être aussi divisé entre ceux qui vont plonger dans l'intelligence artificielle et la robotique, et ceux qui auront désespérément besoin de connexion humaine, puisque finalement c'est ça, moi je le vois vraiment comme ça, c'est plus je passe de temps avec des robots, plus j'ai envie de besoin d'émotions avec d'autres humains, et demain ça va être ça, ça va être la gestion aussi du coup des émotions, avec tous les coachs de vie à Bali, ils vont se dire putain je vais enfin avoir du taf ! C'est cool, parce que je dis que je suis coach de vie, mais il se passe pas grand chose. Là, c'est bon. En fait, si, parce que ça va être top, tout ce qui est psy, tout ce qui est bien-être, tout ce qui est coach de dev perso, tout ce qui est aussi lié, encore une fois, à la santé et au bien-être, tout ce qui va être massage, tout ce qui va être énergétique, tout ce qui est soins, tout ce qui est yoga. Et il va y avoir aussi tout ce qui va être communauté. Et moi, je pensais en fait à cette offre-là, à cette nouvelle offre, à ce nouveau... ma nouvelle direction pour mon business de créer une communauté comme je te disais début fin janvier début février et on renseigne au sur village me dis mais ça ça fait d'autant plus de sens tu vois parce que qu'est ce qui va se passer quand on fait encore une fois on va passer notre temps avec des intelligences artificielles c'est cool mais en fait je vais vouloir me sentir écouté avec un humain Et ce qui fait que je vais me sentir bien, c'est que c'est un humain qui me répond. Et de pouvoir rigoler, et de pouvoir être bien. Et là justement, samedi dernier, j'étais avec le collectif Premium que j'avais déjà monté cette année. On s'est retrouvés autour d'une table, on a parlé de tout, sauf de boulot. Pendant un dîner, on a parlé de nos lives, ça fait du bien, on s'est charrié, on a rigolé, on a appris à se connaître. Et je me suis dit, waouh, ça fait du bien. Et dans ce monde en fait, où... Demain, encore une fois, le savoir va être apporté de claviers et même de voix ou de masques de réalité augmentée. Qu'est-ce qui reste ? Il restera que je pense que c'est sûr que toutes les personnes qui ont des métiers de manutention pure, ça va être très compliqué parce que ça va être remplacé par des robots. Il y a déjà les robots Tesla, etc. Tout ça, ça va être dans les usines. La créativité, ouais, ok, mais en fait, on voit que l'IA, tu lui mets un prompt, en fait, il te fait des trucs. de folie furieuse en termes de créativité. On nous a dit que c'était ça, mais non. Aujourd'hui, ce qui nous reste, c'est tout ce qui est lié à l'émotionnel, je trouve. Tout ce qui est lié aux connexions. Et je pense que les jobs qui... Des gens qui ne seront pas au chômage, parce que je pense que ça va mettre beaucoup de gens au chômage, mais comme toute nouvelle technologie qui met des gens au chômage, ça crée aussi beaucoup d'emplois. Je pense qu'il y a beaucoup de gens qui n'auront plus le job qu'ils ont, mais ce seront des personnes qui ne feront peut-être plus des copywriters, mais des personnes qui seront gérées et seront des chefs. des gestionnaires, des directeurs d'intelligence artificielle de copywriting. Et forcément, on va à une espèce de montée. Au lieu d'être copywriter ou d'être graphiste, tu seras, entre guillemets, le gestionnaire de tes intelligences artificielles dans ton domaine. Mais à force de gérer ton équipe d'intelligence artificielle, qu'est-ce que tu voudras à la fin de la journée ? Tu voudras aller en pleine nature, tu voudras aller à ton cours de yoga et tout à coup, tu trouvais ça chiant avant, mais tu te dis, bah non, en fait, c'est bien. Déjà, il y a des meufs, donc ça, c'est cool. et puis en fait ça fait du bien au corps puis je me relâche, puis je rigole puis après c'est aller à un dîner aussi avec des gens de ma communauté de volleyball de paddle, d'entrepreneur cercle des solopreneurs par exemple et c'est là où je me dis wow c'est flippant je trouve quand des experts mondiaux, des pontes pas des gars qui essaient de te faire peur et de te rendre un truc, des pontes et là il y avait Elon Musk, il y en avait plusieurs différents experts mondiaux sur l'intelligence artificielle qui disent, en 2030, c'est la super-intelligence artificielle. Donc la super-intelligence artificielle, c'est celle qui sera omnisciente et qui sera partout connectée à tout, entre guillemets. Ce qui fait très peur. La robotique, elle est quasiment prête à être insufflée dans toutes les usines et potentiellement nos ménages d'ici un ou deux ans. En gros, l'intelligence artificielle avec laquelle elle existe aujourd'hui, dans un ou deux ans, elle sera un million de fois plus puissante. Je ne sais pas si tu imagines, un million de fois plus puissante. Tu as vu les dingueries que ça fait aujourd'hui. et que d'ici un ou deux ans, elle sera capable de faire tout ce que fait l'homme. Et dans cette réflexion-là, je me dis, il est vraiment temps de mettre le nez dans ce qui est l'intelligence artificielle si tu n'as pas encore pris le temps. Et c'est pour ça que je te dis tout ça. Quel est ton business ? Est-ce que c'est dans un secteur que tu sens qu'il va être périn ? Si c'est dans un secteur qui va être challengé, il va falloir que tu montes en compétence et en puissance sur non pas la rédaction, la création pure. de ce que tu fais, tu vois, l'exécution, mais on va dire la direction des IA, de monter d'un step pour être celui ou celle qui va gérer les IA. Et que si toi, justement, tu es pour l'instant dans un secteur qui, selon moi, ne sera pas touché, qui sera tout ce qui est lié à l'humain, finalement, eh bien, réjouis-toi et utilise-le comme argument, parce que je pense que tu auras d'autant plus de clients. Et d'un côté, c'est tant mieux. Et même si je pense qu'encore une fois, le monde va se diviser en deux catégories, Ceux qui ont le pistolet chargé et ceux qui creusent. J'espère que vous avez la ref. Le bon, la brute et le truand. C'était un spaghetti, gros fan. Mon père regardait ça quand j'étais gamin, j'étais trauma, mais c'était très cool. Petit aparté très rapide, c'était très bizarre. Ça divise en deux catégories. Ceux qui vont encore une fois plonger dans un monde artificiel, d'autant plus avec des cases de réalité augmentées, avec l'IA, etc. Des gens qui se sentent malheureusement déjà très seuls peuvent encore plonger encore un peu plus. Mais il y aura aussi, je pense, des prises de conscience, en fait, de tout ce que ça nous apporte. Et il y aura toute une partie de la population qui demandera désespérément, d'autant plus de connexion humaine. Et j'espère d'ailleurs que ça augmentera aussi la bienveillance et ça nous permettra de nous rapprocher. On dit souvent que, si tu veux être pote avec ton voisin, attends juste que ton village y soit attaqué. Et qu'il y ait une menace extérieure. Et je pense que, d'un moment, l'IA peut faire ce Ausha, de se dire, en vrai, on va tous se faire buter par l'IA, ou en tout cas, c'est... Venez ! Venez nous en tant qu'humain, on est quand même sympa entre nous. C'était la petite réflexion de la semaine. Est-ce que la gestion de la charge mentale, ce ne serait pas le secret du bonheur, en particulier pour les entrepreneurs ? et les entrepreneuses. Je sais que j'en ai déjà parlé la semaine dernière, mais c'est un sujet qui me tient à cœur, et j'ai eu des discussions avec plusieurs de mes amis. Et j'ai un pote qui est entrepreneur, qui est en totale surchauffe, alors qu'il a clairement des super business. Il a à la base une agence, je ne vais pas dire ce que c'est, comme ça je ne vais pas non plus trahir nos conversations, mais il a un business d'agence. A côté de ça, il donne des cours pour se dire, au cas où, j'ai quand même cette rentrée d'argent là, sachant que son agence fait déjà au moins 10-15K par mois. Et vu que, tu sais, dès que ça va bien, il dit, bon, ça, j'ai déjà ça. OK, j'ai ma rentrée d'argent qui va bien que j'ai verrouillée avec des cours. Mais bon, ça ne m'épanouit pas, je me fais clairement chier. Vas-y, je lance un side project. Ce side project, vu qu'il y met du cœur, ça a un peu cartonné. Du coup, il se retrouve à être en surchauffe totale, être totalement mal dans sa peau, être fatigué, parler mal à ses proches, être en fatigue, ne pas savoir par où il va s'en sortir, alors que, et c'est ça, en discutant, je lui dis, mais mec, est-ce que tu te rends compte que si tu avais juste choisi un seul, une seule vraiment des activités, un seul des projets que tu as, tu vivrais très bien et tu serais très heureux ? Parce que le problème... c'est que tu es en surchauffe partout, du coup tu fais un peu bien et un peu mal tous tes projets en ce moment, et surtout t'es mal. Et qu'il me sort une phrase qui m'a complètement à la fois fait rire, choqué, et je me suis dit Waouh ! J'appelle ça vraiment l'effet Avicii. Avicii, c'est le fameux DJ qui s'est suicidé. Pour moi, c'est de ne se rendre pas compte qu'on a le contrôle sur tout, et qu'en fait... on se fait déborder partout. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que lui, en fait, je lui dis, mais est-ce que tu te rends compte que... Donc, il m'a sorti la phrase qui m'a choqué, qui était, moi, en fait, là, si on me propose potentiellement un CDI, là, à 3000 balles, 3500 net, je prends, pour être tranquille, vivre ma petite vie. Je lui regarde, je lui dis, mais de quoi tu me parles, mec ? En fait, tu peux l'avoir comme tu veux, en fait, cette vie-là, c'est juste que t'es pas foutu de dire non. T'es pas foutu de dire stop et t'es pas foutu de faire un choix. Et c'est ça qui nous tue. C'est vraiment ça. Parce que, un, je m'aperçois que, encore une fois, le bonheur, il est vachement lié à notre charge mentale. C'est-à-dire que plus notre charge mentale est élevée, moi ces derniers temps, comme je te disais, je l'ai abaissée, et je me vois que je reciflote, je me vois que je danse dans la rue à Paname, je dis à Paname, je dansais, là, tac, bam, bon les gens ils m'ont regardé chelou, mais moi c'est moi, je suis comme ça, je kiffe, et je suis bien, je suis léger, j'ai de la créativité. Et en fait, quand la charge mentale est élevée, je suis stressé, j'ai des boucles mentales. Je me dis, ma life, il faut que je trouve une solution. Et puis, je serai heureux quand j'aurai ça. En fait, l'instant présent, quand j'ai une charge mentale énorme, il n'existe pas. Ou c'est de la merde. Du coup, je me dis, je serai heureux dans le futur, quand j'aurai ça, quand je serai ça. Truc qui n'existe pas parce que l'horizon recule. Et je me dis, c'est dû à quoi ? Du haut. Ça, je ne fais pas. Non, ça, ça ne m'intéresse pas. Je me focus là-dessus. Donc, c'est dire non, faire des choix. et assumer et surtout ne plus avoir la peur du manque. C'est vraiment ça, la peur du contrôle. Donc c'est arrêter de vouloir avoir le contrôle. Parce que la peur, c'est vouloir avoir le contrôle. Le contrôle, c'est ne pas arriver à faire confiance et à lâcher prise. Et ça, c'est fou. J'en discutais aussi avec ma pote Ludivine Aubourg, qui justement est dans cette phase un peu où on discutait. Elle est à Dubaï, elle a envie de... En fait, elle a fait en plus plein d'études, elle s'est formée. des compagnes des programmes d'accompagnement de dirigeants et tout et je me parlais dit mais tiens mais moi aussi j'ai envie de remettre du fun parce que c'est ça ma life c'est comme ça que je vois les choses mais il ya aussi comme je pense aussi comme moi comme je comme je déviais ces derniers mois cette part d'ego qui dit là faut que je relance quand même un gros truc faut que je fasse quand même rentrer du cash et et après je serai bien et je disais mais tu vois c'est je comprends la phase dans laquelle tu es et chacun doit faire son truc et son chemin mais c'est vraiment genre attention à ta charge mentale parce que la charge mentale elle va pas te rendre heureuse et moi je m'aperçois vraiment de ça parce que quand tu as un pote qui est successful potentiellement sur trois projets qu'il a et qui en a aucun ou qui est vraiment à fond successful et surtout il n'y en a aucun qui le rend plus vraiment heureux parce qu'il est en surchauffe je me dis waouh et ce qui est fou c'est que c'est entièrement et je dis quand je dis ça c'est notre faute de ne pas savoir dire stop de ne pas savoir se faire confiance et de se dire eh C'est ok, j'ai pas besoin d'avoir cette rentrée d'argent plus. J'ai pas besoin de faire ce truc en plus pour avoir encore plus de dopamine, pour me sentir encore plus successful. Ouais, ce sex-sex-sex-full, il est passé bizarre. Il y avait un sexe dedans qui était un peu gênant, je trouve. Successful. Et tout ça, c'est lié à nous. Et en ce moment, il y a un move qui m'a énormément inspiré de la part de ma pote Héloïse Monchavlon, et qui je suis resté un peu au téléphone aussi cette semaine, qui a annoncé après plus de dix ans, donc c'est une youtubeuse qui est dans la beauté, le bien-être, et qui a... depuis plus de 10 ans, fait des vidéos sur YouTube, justement, des vlogs, des vlogs super authentiques, et malgré ça, malgré le fait que tout le monde trouve, et moi je trouve que ces formats sont ultra authentiques, ultra chill, et bien en fait, elle a décidé d'arrêter dans une durée indéterminée de reprise. Parce qu'elle s'est dit, j'ai fait ça pour le plaisir, ça m'a permis d'en vivre, et en fait, là, je vois que je suis dans la contrainte, dans l'obligation de faire, dans l'obligation de faire plaisir aux algorithmes, pour pouvoir à préférer que je ne vis que les moments pour pouvoir les partager, pour pouvoir créer du contenu. Et ça ne m'amuse plus. Et je pense que c'est ça le truc. Et ça me crée une charge mentale. Et là, elle dit, mais Alex, elle me disait, mais ça fait une semaine, juste une seule semaine que je ne poste plus là. Et je n'ai jamais été aussi créative. Et je ne l'ai pas voulu. Ça vient tout seul. Et c'est vraiment ce... J'en parlais aussi avec une autre pote qui, elle, est en transition de vie. L'espace mental est primordial. pour les grandes idées, les grandes décisions et le bien-être. Et ce qui est fou, c'est que des fois, la vraie bonne idée, le vrai bien-être, même si tu as 80%, tu te dis Ah, mais en vrai, je suis 80% bien tu vois. Mais des fois, c'est ces 20% restants qui sont la rouille, qui encrassent le mécanisme et qui te fait mal. Et qu'il faut peut-être 10% en plus pour vraiment avoir trouvé la bonne idée, la direction, le choix que tu dois prendre, le bien-être total. Et vraiment, je me rends compte autour de moi, il y en a aussi d'autres qui me disent des fois, j'ai envie d'arrêter, j'ai envie de prendre un CD, etc. Ouais, je comprends. Parce que quand tu ne sais pas gérer la charge mentale, c'est un enfer. Tu n'es pas heureux, tu es stressé, tu n'en peux plus, tu es surchargé. Et quand tu reviens à un truc qui est plus basique, où déjà, tu n'es pas obligé d'être seul pour vraiment gérer ton activité, Tu peux prendre des freelances, tu peux avoir des potes, tu peux être dans un collectif, tu peux faire plein de trucs. Et d'un côté aussi, tu peux dire, c'est peut-être aussi la charge mentale que je me mets moi-même vis-à-vis de moi-même. Est-ce que tu te mets une charge mentale parce que tu n'obtiens pas un objectif que tu as vraiment envie d'atteindre pour être bien ou est-ce que c'est un objectif que tu t'es mis parce que d'autres atteignent et que tu te sens nul par rapport à ça et que du coup, tu te crées une charge mentale ? Versus, si je lâche prise et que... Mon activité, elle fait que 3000, 4000, 5000 balles par mois, ce qui est déjà bien. Peut-être même 2000, en fonction d'où tu vis. Est-ce que ça suffit pas ? Mais est-ce qu'en fait, t'arrives à gérer ce sentiment de culpabilité, de se dire, putain, je suis pas assez successful par rapport à d'autres. Et moi, je me suis vraiment aperçu en me débarrassant de, un, ce côté besoin d'être successful, de faire machin par rapport à d'autres que je trouvais claqué, du coup, on peut rentrer dans cette compète, d'alléger au maximum. mon quotidien, mes projets. D'accepter de faire une offre qui me ressemble par rapport à mes zones de génie et ce que je veux dans mon quotidien. Moi, c'est clairement d'avoir du temps libre et de verrouiller 7-8 000 balles par mois pour pouvoir ensuite faire des choses que j'aime et les partager et créer du contenu parce que moi, ça, j'aime bien. Mais je n'aimais plus ces derniers temps parce que je me sentais obligé, parce que je me l'avais l'impression que c'était pour mon business. et non plus aussi par plaisir, est-ce que vraiment, pose-toi la question, à quoi ressemble ton quotidien dans les charges mentales ? Où sont tes charges mentales ? Comment tu peux le baisser ? Et essaie vraiment en fonction de tes obligations, parce que je sais que des fois, si on a des enfants qui ont une énorme charge mentale, parce que justement, je ne sais pas, ils n'obéissent pas, ils font des crises, ils ont une phase de vie compliquée, ou même ils ont peut-être des maladies, demande-toi aussi comment tu peux baisser ces charges mentales. Est-ce que peut-être tu peux prendre un psy pour t'aider à... ou je ne sais pas, un coach pour vous aider dans la communication. Est-ce que tu peux prendre une aide soignante s'il a une maladie ? Je prends cet exemple-là, mais c'est vraiment de se dire, où sont, où est ma charge mentale ? Quels sont les niveaux élevés ? Comment je peux baisser cette charge mentale-là ? Et je peux t'assurer que si tu arrives à la réduire au maximum, et j'en parlais avec mon pote Loris, avec qui je viens de passer l'après-midi, lui, il a une merde sur de l'immobilier, sur un bien immobilier. Et bien, à part ça... parce qu'il a pris une charge mentale où il était un peu tributaire, ça lui est tombé dessus avec des gens malveillants Mais dis, à part ça, moi, j'ai géré ma vie comme ça. Et je suis ultra bien. Et là, il part cinq mois à Bali, le type. Malgré le truc qui moque et chiant, mais il dit, en fait, j'y vais. Parce qu'en fait, si je laisse la charge mentale me bouffer, je ne vais pas être heureux. Et vraiment, je m'en aperçois. Tu peux être successful, avoir tout, et te rendre compte, en fait, que tu n'as pas le contrôle. Du coup, tu as peur. Du coup, tu es dans la peur du manque. Du coup, tu as besoin de plus, peu importe la quantité d'argent que tu as. Tu peux aussi te rendre compte qu'en fait... ben non, tu te rends pas compte que tu as tout ce qu'il te faut, que tu as peur de laisser des choses, tu as peur de simplifier et peu importe ton niveau vraiment de succès, si tu as une énorme charge mentale, ben en fait t'es pas heureux. Et je me dis ben le but d'avoir de l'argent, d'être successful et d'être aligné avec son job, c'est quand même d'être bien, c'est quand même d'être heureux. Donc en fait si tu fais un truc qui est successful et qui te cause énormément de stress et de charge mentale et qui te rend malheureux, en fait ça n'a aucun, aucun, aucun intérêt. Si ce n'est de se dire, ah je l'ai dit aux gens que je pouvais le faire, regardez je suis successful. Et hop, t'appuies sur arrêter l'enregistrement et t'es plus sur tes réseaux, t'es un téléphone et là t'es tout seul dans ta tête, t'es triste, t'es une merde et ça sert à rien. Donc ouais, essaie d'analyser ta charge mentale et demande-toi où tu peux l'améliorer, où tu peux la rabaisser. Je peux t'assurer que tu ne chanteras peut-être pas ou danseras peut-être pas dans la rue en te baladant dans Paris, parce que ça c'est peut-être un petit peu moi qui suis bizarre. Mais je peux t'assurer qu'incroyable à quel point naturellement ton cerveau, il va de nouveau t'injecter un flux de... Voilà ça, tu sais, ce bien-être, cette détente, cette créativité, cette légèreté de vivre. Et qu'est-ce que ça fait du bien ? La peur comme boussole pour aller bien, pour grandir et pour t'épanouir. Et là tu te dis, waouh, bah non, en fait ce qui fait peur c'est chiant en fait. Ce qui fait peur ça fait friser, ce qui fait peur c'est... plutôt désagréable dans l'idée. Si j'ai peur des araignées, tu m'en viennes sur la gueule. Vraiment nulle comme idée. Moi, je te parle de la peur, tu sais, de faire. La peur d'avancer dans des actions. Vraiment. Pas la peur qui est créée par des phobies. Même si je pense qu'il faut peut-être régler 2-3 trucs sur des phobies. Je te dis ça parce que c'était dans mon cercle d'hommes, il y a quelques semaines. Et il nous fait faire un exercice ultra intéressant. Il nous dit, imaginez que vous êtes dans une pièce, une grande pièce. Et ce qui est fou, c'est que quand tu dis ça, en fait, toi, ton propre subconscient, il va te créer une pièce. Et moi, la pièce que c'était, pour ceux qui connaissent, c'est dans Le Seigneur des Anneaux. Je crois que ça va être les deux tours. Et c'est la scène où ils sont en rohan, je crois, avec les chevaux. Et c'est le roi qui est un peu malade, parce qu'il y a un gars chelou qui lui sifflote des trucs à l'oreille. Il est sous l'emprise noire du gars, etc. Donc, il est sur un grand trône. Tu vois, un peu surélevée et dans un grand truc en bois. Les lumières, elles passent par la fenêtre. Et tu sais, je suis sur ce trône en fait. Et je vois la petite lumière par les fenêtres. Et là, il dit, vous êtes dans cette pièce. La porte s'ouvre et vos peurs rentrent dans la pièce. Et il dit juste ça, il dit pas laquelle. Et ce qui est fou, c'est que tu vois, moi je voyais des petits personnages. Tac, qui rentrent et qui se mettent face à moi dans la pièce. Quand tu fermes les yeux et que tu joues le jeu, tu les vois. Tu les vois rentrer. Tu les vois se personnifier. Et tu sais, ce qui est fou, ils sont en personnage, mais tu sais dans ta tête qui ils représentent. Qu'est-ce que je vois ? Je vois deux peurs. La première, c'était par rapport à mon grand rêve qui est de créer une réserve naturelle avec un village de créateurs au milieu et d'entrepreneurs, et par rapport à aller lever des fonds. Aller vraiment... chercher de quoi créer ce projet et ça me fait peur d'aller demander à des gens et dire j'adore ce projet c'est toute ma vie c'est mon rêve et qu'on me dise non c'est de la merde non je veux pas waouh la peur du non du rejet par rapport à un truc qui moi me tient à coeur alors qu'en fait c'est pas... ils veulent pas être méchant c'est juste non ça m'intéresse pas mais j'ai peur de ce truc là je me dis waouh et ça c'était le premier truc deuxième truc deuxième peur devant moi la peur de réaliser un projet qui me trotte dans la tête depuis pas mal de temps c'est créer une immersion et d'emmener des potes quelque part et que on se rassemble et on vit des beaux moments tu vois et ce qui est fou c'est que j'ai capté en fait que de la même façon que pour moi l'entrepreneuriat est un outil de développement personnel le voyage est un outil de développement personnel en fait c'est c'est pareil c'est l'entrepreneuriat et le voyage vont te faire faire des choses où t'as pas le choix quand tu as peur que de les faire J'ai peur d'aller parler à un inconnu qui ne parle pas ma langue, mais en fait il faut que j'aille dormir quelque part ou me déplacer, donc je n'ai pas le choix. L'entrepreneuriat c'est... J'ai peur de faire des calls. pour essayer de démarcher des clients mais en fait si je trouve pas de clients bah je suis obligé de le faire en tout cas t'as plus d'intérêt sinon tu vas mettre la clé sous la porte et c'est là où je veux en venir c'est de se dire quand j'ai identifié ces peurs je me dis il faut absolument que je le fasse en fait parce que du coup j'ai pas d'impératif je suis pas obligé de le faire et je ne grandis pas sur des choses qui en fait ça renvoyait quoi c'est ça le truc qui est intéressant qu'est ce que cette peur elle veut dire pourquoi il ya une peur si il y a une peur il y a un blocage il y a un truc qui va pas et moi je me dis en fait c'est C'est l'estime de moi en fait. Je suis un mec qui a beaucoup confiance en lui. Je m'aperçois à ce moment-là que je suis un mec qui a pas beaucoup d'estime de lui. En fait, ce qui est assez tricky, c'est un peu chiant avec moi, c'est que j'ai pas une mauvaise estime de moi, mais j'ai pas non plus une grande estime de moi. Ce qui fait que je veux pas déranger. Je tiens ça de mon père. On veut pas déranger. Fils d'ouvrier, on se fait tout petit. On est dans les règles et tout. On veut pas déranger. Imagine, qu'est-ce qu'ils vont penser ? Non mais laisse-les tranquilles, tu vois. Et je me dis, en fait, si j'ai peur de demander à des potes... de venir me faire confiance et de dire, viens, je vais faire un truc de ouf. Le but, ce n'est pas de me faire doser, c'est viens, je vais organiser un truc de ouf. Et on va kiffer, on va péter des blocages, justement. On va aller se dépasser, on va aller faire... Viens, venez. Et maintenant, j'ai peur. J'ai peur qu'ils me disent, bah non, en fait. Et de me dire, merde, en fait, ils ne m'aiment pas assez. En fait, j'ai peur d'avoir le retour qu'en fait, on ne m'aime pas tant que ça. Waouh, OK. OK, j'identifie. Deuxième truc. Pareil, si j'ai peur... d'assumer un rêve, c'est que mon rêve il est pas assez bien, c'est que je suis pas assez bien, c'est que je me dis putain le travail à faire là dessus mon gars ok pas de problème tac tac on remonte les manches je rappelle des potes en Colombie je prends des trucs ça c'était en juin un truc comme ça je crois et en juin juillet et je reprends des, je rattaque un peu mon projet de réserve naturelle ok je fais des calls ok je rattaque là dessus le truc la peur sur l'immersion que je disais de créer un truc en immersion ok Et bah du 20 au 24 janvier, je crée une immersion avec mes potes. J'ai peur. J'ai peur de les décevoir. J'ai réussi à réunir les 8 potes que je voulais. Faire un truc de ouf. Je voulais qu'il y ait 8 piliers dans cette immersion. Parce que je voulais pas que ce soit que business, que développement personnel, ou que bien-être. Je voulais qu'il y ait un petit peu tous les piliers. Et du coup, il y aura un pilier business, avec des hot seats. Il y aura un pilier dépassement mental et physique, où on aura une sweat lodge, où vraiment ceux qui ont fait ça, je peux t'assurer que tu... Ton ego est obligé de lâcher, t'es obligé de tout lâcher mec, c'est une hutte de sudation pendant deux heures, c'est assez incroyable. Il y aura un hypnotiseur et un préparateur mental qui viendront pendant tout le long du séjour pour aller nous casser nos limites mentales. Il y aura aussi, d'ailleurs je fais un bisou à Edouard Chéron qui va être là, je suis tellement content qu'il soit là. Il y aura aussi mon pote Steph Gentis qui sera là pour toute la partie breastwork, bien-être, connexion, esprit, mental, spiritualité. Il y aura aussi toute la partie bien-être avec des masseurs thérapeutiques, avec des chefs sur place. Il y aura la partie gestion émotionnelle, parce que je voulais qu'il y ait aussi un pilier gestion émotionnelle, parce que je pense que surtout, ça va être entre potes, donc entre hommes, vraiment en tant qu'hommes. Nous on est des costauds, on va faire beaucoup d'argent, on va faire beaucoup de travail, et c'est très bien. Mais en fait à l'intérieur on est des humains, et je voulais vraiment insuffler ça, partager ce que j'avais appris sur ce sujet-là ces derniers temps, et le partager dans les ateliers. Donc il y aura des cercles d'hommes qu'on va faire, et aussi comme je te disais, la partie... bien-être à travers le chef, les massages et tout. Ben, j'ai peur. Mais putain, ça fait peur, mais ça fait du bien de prendre l'hôtel. J'ai appelé 18 potes, plein qui n'étaient pas dispo. Là, tout c'était chaud, mais après ça se débine, après tout ça. Et ça fait chier quand tu sens qu'il y en a qui se débinent ou qui te gossent parce que le budget ça va pas, ou en fait c'est peut-être pas leur bon moment dans la vie. Ça fait peur, t'es mal à l'aise. Ça se passe pas forcément bien. Tu galères à trouver les prestataires, ce que tu veux les mettre. En plus, je me fais zéro argent. C'est vraiment pour le kiff, ça me prend beaucoup de... de temps et d'énergie, j'ai peur, mais je sens que je grandis. Je sens que ça m'a fait du bien. Et pourquoi je te dis que la peur, c'est la meilleure boussole pour s'épanouir ? Là où ça te fait peur, si justement je reviens sur le business, et que tu as peur de passer des calls, de dire, vraiment des calls à des clients comme ça, puis les closer, puis parler des prix. Si tu as peur de parler de ton prix et de te vendre cher, c'est que tu n'as pas non plus une grande estime de toi ou que tu n'as pas confiance en toi. Génial, bosse dessus. Si t'as peur, encore une fois, je sais pas, d'aller faire du networking, d'être dans les events, etc. Génial. Bosse ton intelligence émotionnelle dans la relation aux autres, dans le networking. C'est que toi, en fait, t'aimes peut-être pas ton image en public. C'est peut-être que toi, tu t'aimes pas assez. C'est peut-être que toi, il y a eu des blocages. T'as peut-être des choses... Super. Bosse dessus. C'est ça qui est bien dans l'entrepreneuriat. Parce que l'entrepreneuriat, vu que t'es obligé de faire plein de trucs tout seul, ça te met face à plein de peurs. Va. Utilise ton taf, utilise ton activité pour aller détecter des peurs et va bosser sur ces peurs. Fais-les ! Putain non, j'aimerais bien lancer des réels facecam ou une chaîne YouTube, mais putain j'aime pas ma gueule, non mais qu'est-ce qu'ils vont penser les gens ? Ok, regarde les gens, t'as peur du regard des gens, t'as peur de ce qu'ils vont te dire, t'as pas confiance en toi, sur ta gueule, fais une vidéo YouTube, très bien, avance, fais quelque chose, n'aie pas peur. C'est comme ça que tu progresses, tu vois ? C'est encore une fois, c'est en allant, en fait, l'avantage de devoir faire des projets, c'est que tu vas faire des choses. Et ces choses vont peut-être à un moment donné te dire, boum, ici c'est ta limite, t'as peur mec derrière. bah fantastique, map tes peurs, fais des projets qui vont permettre de mapper tes peurs et de savoir exactement c'est là ma limite donc c'est là que je dois progresser donc c'est là que je dois me challenger donc c'est là où je dois aller creuser cette peur et je peux t'assurer que moi j'ai peur encore une fois de décevoir mes potes d'autant plus tes potes tu vois, qu'il y a un truc qui se passe mal, qui me dit putain parce que j'ai voulu mettre plein de trucs dedans putain on paye cher et tout machin et qui me disent bah en fait c'est claqué vas-y on aura plus prévu tu vois mais j'y le fais parce que putain Je pense que c'est vraiment là que se situe l'épanouissement, le bonheur. Parce que le bonheur, c'est finalement se débarrasser de trucs qui te bouffent la tête. Mais si t'as confiance en toi, t'aimes ta valeur, tu t'estimes, t'aimes parler aux gens, tu peux être tout seul en train de méditer pendant des heures ou dans une foule, et que t'es bien, et que t'as pas peur de monter sur, encore une fois, une scène, ou que, encore une fois, tu peux aller te balader. Mais c'est ça le bonheur, c'est de pas avoir de peur. et que dès que tu en as une, d'aller la challenger. Donc ouais, fais une petite liste des peurs que tu as eues ces derniers temps, à travers peut-être des activités perso aussi, mais pro, et démerde-toi pour mettre en place une stratégie qui va aller à ta clé et qui va t'obliger à aller dans cette peur, pour grandir. Et maintenant, le fun fact, et ensuite le sweet fact, parce que j'ai envie de te partager, pour terminer, ce nouveau journal de bord. Alors, j'étais il y a deux jours, Gare de Lyon, j'attendais un train. puisque le mien avait été supprimé, on adore. J'arrive pour prendre un petit café, je suis avec mon pote Wibaï, on a tantre un et on se met sur une table qui était des tables vraiment collées et à la nana je lui dis ce que je vois sur son ordi tu vois et je dis merde tu vas bosser là ? Elle me fait ouais, je fais mais tu vas bosser c'est quoi ? Qu'est-ce que tu vas faire ? Le mec il sait j'aime bien, qu'est ce que tu vas faire ? Je la tutoie évidemment tout de suite. Elle me fait bah... Ouais j'ai des mails en fait c'est... C'est une note... Je fais c'est une note parce que... Parce qu'en fait là nous on va jouer au dé Donc ça va faire un peu de bruit, je voulais savoir... Parce que je voulais à la base quand même être très poli et courtois Tu vois je voulais pas non plus euh... Elle me fait bah... Je fais non mais c'est une note... Je fais c'est quoi ton taf ? Elle me fait je travaille à Matignon Je fais ah ok cool ! Je fais mais euh... Tu fais quoi à Matignon ? Ah je bosse pour le premier ministre Je fais ah ok cool je fais le nouveau là le... Bayrou Elle me fait Ouais, mais tu fais quoi ? Bah je fais ces notes ministérielles. Je fais Ah ok ! Et là je lui dis Bah attends mais prends le chat de GPT ! Elle me fait Mais non, j'ai besoin de faire des trucs intelligents. Je lui dis Oulala, attends, oulala, tu prends beaucoup trop d'eau, un truc qui va te remplacer dans un an là. Elle a pas très bien pris je crois. Elle a un peu rigolé en vrai, elle a un peu rigolé. Et je lui dis Mais attends, attends, en vrai, là t'es là, faut que tu te concentres, c'est relou, même y'a des gens qui vont jouer au dé, nous. Alors qu'en vrai... Ce que je te conseille, c'est que tu pitches ChatGPT. Soit tu le pitches à l'oral et après il te le remet en ordre simplement, tu vois, à l'écrit. Tu vois, t'as juste à reprendre. Soit encore mieux, tu te prépares pour les prochaines, tu télécharges tous les discours de ce bon Bayrou ou alors des trucs un peu des premiers ministres. Bah, tu le fous dans ChatGPT et tu lui dis, vas-y, balance-moi une petite note ministérielle. Elle a un petit peu rigolé et elle m'a dit, il y a une table qui s'est libérée, je vais vous laisser jouer. Et je dis non mais attends c'est à nous de nous déplacer. Non non mais il y a une prise là bas. Et j'ai compris qu'elle m'avait un petit peu pris de haut avec ChatGPT et je me suis dit à la fois tant mieux parce que j'avais envie de jouer au dé et d'être tranquille et à la fois ma grande fais gaffe pour ton boulot je te jure fais gaffe. Et le sweet fact et bah ça c'était un truc inattendu et je suis très content d'ailleurs je vais m'y mettre juste après. Je suis samedi soir, on est allé au dîner avec les membres de mon collectif. On parle de tout et de rien, on parle évidemment de Noël, de la famille, des cadeaux, etc. Moi tu vois, je suis pas cadeau, ça fait des années que je fais pas de cadeaux et j'en veux pas. Moi ce que je veux c'est des moments, qu'on s'offre des expériences avec ma famille ensemble, avec mes parents. Et en fait je suis là en mode mon père il voulait, cette fois je voyais même pas ce que je pouvais lui offrir et tout. Et Isabelle, je te fais une grosse dédicace Isabelle, c'est ma SAUZER, qui me dit, je sais plus comment elle a l'idée, Parce que j'avais parlé d'un truc que j'avais fait avec mon père il y a des années, je l'avais emmené une fois en voyage en sac à dos en Géorgie, mais il y a 6 ans. Il me dit mais... T'avais filmé, je sais plus, j'ai dit ouais mais j'ai jamais monté le truc. Il me dit bah voilà c'est ça le cadeau, tu lui montes la vidéo. Et dans la tête je me dis putain je ne sais pour quelle raison, un montage avec des rushs d'il y a 6 ans je les ai sur moi dans mon disque dur. Et je me suis dit mais c'est dans 2 jours Noël, un montage c'est 18h de taf, j'ai pas le temps. Et là mon pote à côté... Adrien Scatte, qui est lui aussi filmmaker, qui a fait un énorme documentaire sur Kilimanjaro, qui a remporté un prix d'ailleurs, il me dit Mais mec, tu t'en fous, tu fais juste des trucs à l'arrache, ton daron, il s'en fout des transitions de la musique, ce qu'il veut c'est les moments de vie ! Et je me suis dit Putain, j'ai jamais su quoi faire de ces rushs, j'ai jamais pris le temps de les monter, et là je me dis, ça va faire tellement plaisir à mon père de revoir une aventure qu'il m'a dit il y a pas si longtemps et ça m'avait tellement touché, c'était le plus beau moment de sa vie. Je peux t'assurer que quand ton arron il te parle jamais et te sort ça, mon gars t'as les petites larmes. Et je me suis dit là, putain, j'ai mis le nez dedans. Limite je suis dégoûté de devoir le monter un peu, parce qu'il y a quand même du déchet. C'est du bout à bout pour les monteurs, vraiment bout à bout. Vraiment je mets que les sons, c'est vraiment le film de famille. Mais je suis dégoûté de ne pas le découvrir avec lui. Mais j'ai vraiment envie de livrer un truc. Il y a quand même deux heures de rush. Il faut quand même dérusher. J'ai quand même un peu jacté, évidemment, comme tu le vois sur ce podcast. J'ai un petit peu de trucs à dire. même quand il n'y a rien à dire. Mais voilà, je suis très heureux de pouvoir partager ça parce que c'est encore une fois la puissance du collectif. Au niveau cadeau, j'étais à sec. Je ne sais pas ma spécialité. Et grâce au collectif, aux conversations, d'être entouré des bonnes personnes qui ont les mêmes valeurs, qui ont les mêmes visions, qui... Je ne sais pas. Et les discussions font que pop ! Tu as des trucs incroyables qui pop, même pour du perso. Et je suis très heureux. Bon, ça va me mettre un petit peu de taf, il faut que je me maigre le cul pour demain, parce qu'au moment où tu vas écouter, je pense, ce podcast, on est le jour de Noël. J'espère que je vais avoir terminé le montage. Et heureusement, mon pote... Mon père n'écoute pas ce podcast, c'est aussi pour ça que je le dis. Et je vais monter ce vlog à la rage totale. J'ai regardé, j'ai filmé vraiment avec mes yéps en plus. C'était vraiment... Et je me suis revu, il y a six ans, en tant que vlogueur voyage, j'étais vraiment encore dans le dur du sujet. Évidemment, j'ai envie de me gifler. On le sait. On le sait parce que je parle comme ça, c'est super, j'ai super content, tu as le bonheur. Ta gueule. Mais ta gueule en mode on est content de revoir ces images et je suis impatient de pouvoir offrir ce cadeau à mon père. Je te souhaite vraiment une belle semaine et du coup un très très très joyeux Noël. J'espère que ce deuxième journal de bord t'a plu, que tu en as retiré des leçons, de l'inspiration. Bref, encore une fois, moi je pense clairement, je disais à mon pote que je kiffe faire ça. Je parle pendant une heure avec quatre mots sur mon carnet des thèmes que j'ai envie d'aborder. C'est un peu mon auto-thérapie, ça me fait du bien. Et si en chemin, je me dis que ça peut aider d'autres personnes, eh ben tant mieux. C'est peut-être aussi ça, mon joli cadeau de Noël. En tout cas, n'hésitez pas à me faire des retours sur les réseaux. Ou me laisser une petite note sur Spotify ou iTunes, ça fera aussi plaisir. Tiens, ça, ce sera mon cadeau de Noël. Allez hop, call to action. Merci, bisous, à la semaine prochaine.

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