Speaker #0Hello bienvenue à toi dans simplifie le podcast qui est là pour t'aider à simplifier ta vie je te propose de mettre des baskets de mettre une petite veste et de profiter de ce moment pour aller prendre l'air, pour aller marcher. Moi, je suis actuellement dehors aussi. Tu vas peut-être entendre un peu les petits oiseaux. Et je t'invite à vraiment profiter de ce moment, à prendre une pause pour toi avant de se lancer ensemble dans le nouveau sujet du jour, qui est un sujet qui va peut-être piquer un petit peu. Mais tu sais que mon intention, c'est toujours de t'aider à avoir des prises de conscience, de t'aider à débloquer les endroits où... Tu te sens freiné, limité, bloqué, les endroits qui sont trop lourds pour toi. T'aider à prendre de la hauteur et t'aider à passer à l'action. Alors aujourd'hui, j'aimerais énormément t'aider à travailler sur la question de la charge mentale. On va tous se dire sur cette fameuse question de la charge mentale, tu sais, ce moment où tu as l'impression que tout repose sur toi et que si tu n'y penses pas, rien ne sera fait correctement. Est-ce que tu vois le truc ? Tous ces moments où tu te plains de devoir tout gérer, ok, mais avec une petite question de fond, est-ce que tu es vraiment prête à laisser la place aux autres ? Aujourd'hui, on va s'en parler. On va voir comment notre besoin de contrôle et notre difficulté à lâcher prise peut parfois entretenir aussi notre charge mentale et comment apprendre finalement à déléguer réellement. Ok ? Est-ce que tu es prête ? C'est bon ? Tu as mis tes baskets ? On y va ? C'est parti ! Alors en préambule de ça, je vais poser avec toi ma façon d'aborder, de concevoir la question de la charge mentale. La charge mentale indique qu'il y a une charge, ça veut dire qu'il y a un poids, quelque chose qui pèse. Et puis cette charge mentale, pour moi, fait partie de la vie. On a toutes des choses auxquelles on a besoin de penser, des choses à organiser, à prévoir, à gérer. Cette charge mentale, elle est normale. Alors, on en fait tout en pataquès, surtout dans des mouvements extrêmement féministes, etc. Mais j'aimerais juste rappeler que, attendez, à un moment donné, la charge mentale, c'est juste normal d'avoir une charge mentale. Voilà, on se le pose là. Également, la charge mentale n'est pas l'apanage des femmes. Loin de là, loin de là, les hommes aussi ont une charge mentale. Une charge qu'ils gèrent différemment. Une charge qui est parfois très différente. qui peut-être ne pèse pas aussi lourd que la charge mentale de certaines femmes. Il n'y a pas de règle par rapport à ça, mais ils ont aussi leur part de charge mentale. C'est juste que pour beaucoup aussi, ils la gèrent peut-être différemment que les femmes. Et peut-être qu'il y a aussi des choses qu'ils savent faire, qu'ils savent mettre en place, qui font que cette charge, à un moment donné, ne devient pas un fardeau sous lequel ils s'écroulent. Voilà. Nous aujourd'hui on va parler de cette charge en trop. On va parler du trop dans la charge mentale parce que je te le répète la charge mentale est normale. Alors la première chose que j'aimerais aborder avec toi en allant creuser ce sujet c'est ok tu sens qu'aujourd'hui tu portes cette charge qu'elle est sur tes épaules, que c'est un peu toi qui porte toute la charge mentale du foyer comme on dit voilà, mais est-ce que tu laisses vraiment la place aux autres ? Et puis là, je t'ai dit la charge mentale du foyer. En fait, je vais largement élargir à toutes les situations où tu as l'impression de porter une charge mentale sur les épaules. C'est-à-dire que ça peut être dans ton foyer, si tu as une famille. Si tu es au boulot, c'est la charge mentale du boulot. Si tu es célibataire, ça peut être exactement la même chose. Toute personne a une charge mentale. Mais la question est, laisses-tu vraiment la place aux autres ? Alors, on va essayer d'aller creuser un petit peu les pensées. Ces fameuses pensées. qui t'empêche de lâcher. Ces fameuses pensées du type « Hum, de toute façon, ça ira plus vite si je le fais moi-même. » Ok, voilà. Elle est brève, celle-là. Mais alors, elle est puissante. Autre pensée, c'est « Il ne le fera pas comme moi, ça va m'agacer, donc je vais le faire. » Ou alors, « Si je ne le gère pas, ça va être le bordel. » En gros. Est-ce que tu te reconnais dans ce type de pensée ? Tu vois, ce type de pensée, elle t'indique qu'à un endroit, un petit endroit, il y a un petit blocage qui t'empêche en fait de lâcher. Et du coup, de lâcher, ça veut dire quoi ? Lâcher du lestre, lâcher du poids. En effet, ça c'est un petit truc à repérer chez toi, si tu sens que tu t'es là-dedans, tu vois. Ben pourquoi... En fait, ça en fait un cercle vicieux au final. Pourquoi ça en fait un cercle vicieux ? Parce qu'en fait, plus tu fais, écoute bien ça, c'est hyper important, plus tu fais, moins les autres vont en faire. Et en plus, le pire, c'est qu'ils vont prendre l'habitude de ça. C'est-à-dire que, en fait, mets-toi à leur place. En vrai, moi je suis hyper honnête avec toi. Je suis hyper honnête avec toi. Si j'ai quelqu'un en face de moi qui a tendance à tout gérer, à tout savoir gérer, qui sait prendre en charge les choses, qui est habitué à ça, qui le fait très bien, et qui en plus, quand moi, peut-être à un moment donné, j'ai voulu aider ou la personne m'a demandé un truc, j'ai fait. Et je me suis pris des petites réflexions du genre « Ah non, mais c'est pas comme ça que je t'avais dit qu'il fallait faire. Ah, mais je t'avais dit que c'était à ce moment-là et pas à ce moment-là. » Ah non, non, non. Et bien en fait, moi... la première. Moi, la première, je vais juste prendre l'habitude de ne pas intervenir et de me mettre en retrait et laisser faire. Non, mais en fait, si on est vraiment honnête, à un moment donné, c'est logique de fonctionner comme ça. Il y a quelque chose de cohérent. Moi, je sais que j'ai un mari qui gère extrêmement bien certaines tâches dans la maison, tout ce qui va être, par exemple, pendant très longtemps, tout ce qui concernait la compta, l'administratif. Pour moi, c'est une galère, un fardeau. Lui, il fait ça tellement facile, il gère ça tellement bien qu'à un moment donné, moi, je me suis totalement reposée sur lui en mode « C'est bon, il gère, je le laisse faire. » Et en fait, à un moment donné, ça a commencé à partir en cacahuètes parce que pour lui, il y avait trop, trop par rapport à ça. Il portait trop tout seul. Sauf que moi, je ne m'en étais pas rendue compte. Je ne m'en étais pas rendue compte. Et aussi parce qu'en fait, au fond, je suis hyper honnête, je n'avais pas envie. Mais j'avais pas envie en fait de partager cette charge parce que moi ça m'a aidé très bien qu'il s'en occupe, ok ? Donc je te le répète, plus tu vas faire, moins les autres vont en faire. C'est mathématique. Et en plus, ils vont s'installer dans une habitude, c'est normal. Plus tu vas prendre de place, moins aussi il va en rester aux autres. Aux autres. Moins il va en rester aux autres pour prendre leur responsabilité. Et oui, et c'est là que ça fait mal parce que quand tu comprends qu'en fait, t'es dans un cercle vicieux... Le seul moyen, ça va être d'oser faire un pas de côté et d'oser accepter de moins faire. Oser accepter de ne plus faire. Et on va développer d'autres moyens d'agir à la fin de cet épisode. Mais vraiment, prends le temps de réfléchir à ça. Prends le temps de réfléchir à ça. Si tu ne laissais pas le choix aux autres, comment est-ce qu'ils feraient ? Si tu ne laissais pas le choix, comment est-ce que les autres y feraient ? Pose-toi vraiment cette question. J'ai envie d'aller un petit peu plus loin avec toi et puis d'aller parler ensemble du besoin de contrôle. Le besoin de contrôle, c'est ces moments où tu penses que si tout est sous contrôle, tout ira bien. Tu vois, ce besoin de contrôle, en fait, qu'est-ce qu'il cache derrière ? Il cache un profond besoin de sécurité. Derrière le contrôle, il y a de l'insécurité. Tu es dans une situation où tu te trouves en insécurité et du coup, tu as ce besoin de venir contrôler. Tu penses que si tout est sous contrôle, tout ira bien. Tu as peur que le chaos s'installe si tu lâches. Tu ressens de la valeur personnelle dans le fait de tout gérer. Ça aussi, c'est une clé. Pourquoi est-ce que tu veux maîtriser ? Parce que très souvent, tu ressens de la valeur personnelle dans le fait de tout gérer. Ça te donne une place. Ça te donne un sentiment d'utilité. Et si, dans d'autres domaines de ta vie, le boulot, la vie de famille, les relations, peu importe. Si, de manière générale, dans ta vie, Tu ressens vide, tu ressens manque de sens, tu ressens une inutilité, tu ressens du manque de reconnaissance. Mais du coup, qu'est-ce qui se passe ? Tu vas venir compenser. Tu vas venir compenser de manière complètement inconsciente, en allant rechercher ta valeur personnelle dans tout ce que tu fais. Et après, venir tiquer sur « personne ne me dit merci, personne ne me dit ci, personne ne me dit ça » et pourtant tu vas continuer, continuer à faire, à faire, à faire. C'est quoi les blocages qui se cachent derrière ça ? C'est souvent la peur que les choses ne soient pas bien faites. C'est aussi la culpabilité. Tu vois, mais je devrais être capable de tout gérer. Et c'est ça qui t'empêche aussi de lâcher cette croyance que tu devrais être capable de tout gérer. Et tu vois bien qu'en plus, tu n'as pas envie de tout gérer et que tu ne peux pas tout gérer. Mais pourtant, cette croyance, elle tient bon. Et du coup, ça entraîne de la culpabilité. Et une autre partie aussi, un autre blocage, ça peut être finalement aussi le manque d'habitude à partager la charge. Soit tu n'as pas appris, soit tu n'as pas eu ce modèle-là. Tu vois, au niveau, par exemple, de tes parents. une mère qui gérait tout combien de femmes on a comme ça dans nos familles qui gèrent tout et sans se plaindre et sans râler en serrant les dents qui ont mis la barre très haute, qui fait qu'aujourd'hui, on se sent un petit peu merdique à côté, pour utiliser des mots directs. Ces femmes qui sont sur tous les fronts. Et toi, tu te dis, mais comment elle fait ? Moi, je n'y arrive pas. Et peut-être qu'en fait, tu as grandi aussi avec ce modèle-là de femmes qui ne partageaient pas la charge et donc tu n'as pas appris à faire. Et aussi, tu n'as peut-être pas appris l'habitude. Parce qu'en fait, en vrai, c'est une vraie compétence, c'est un vrai apprentissage d'apprendre à partager la charge. Et moi, je l'expérimente au plus près, bien sûr dans ma vie de famille, mais aussi dans ma vie professionnelle. Apprendre à partager la charge. Aujourd'hui, petit à petit, on est en train de créer une équipe chez les Paulettes, une équipe de coachs et de personnes qui travaillent avec moi, sur une partie pour accompagner notre cliente, chez une assistante. Petit à petit, on développe et j'apprends à partager. Et je réalise que vu que c'est tout nouveau pour moi, Il y a plein d'endroits encore où je continue à porter les trucs alors qu'en fait je pourrais déléguer, mais je ne sais pas comment déléguer, je ne sais pas comment impliquer les gens, etc. Et en fait, c'est pareil dans tous les domaines de nos vies. Il y a une habitude à prendre. Je voudrais juste que tu mesures l'impact de cette difficulté à lâcher, de ce besoin de contrôler. L'impact, c'est finalement le coût de tout ça, c'est finalement un épuisement constant. C'est-à-dire qu'en fait, ta charge mentale, elle ne s'arrête jamais. Vraiment, prends-le s'il te plaît, réalise ça. Ta charge mentale ne va jamais s'arrêter. Et c'est normal, parce qu'encore une fois, la charge mentale est normale, parce qu'il y a toujours des trucs à faire, tous les jours, toute l'année, tous les mois, toutes les semaines, voilà. Ta charge mentale ne va jamais s'arrêter. Et donc, si tu n'apprends pas à partager, mais du coup, tu es sûr que tu vas être dans l'épuisement constant. Tu vas aussi être dans une espèce de frustration, de ressentiment envers les autres, qui ne font pas leur fa... ... part, il ne prend pas sa place, il ne m'aide pas. Oui, mais avant de regarder à lui, avant de regarder aux autres, regarde à toi. Regarde à toi. Sur quoi est-ce que tu n'arrives pas à lâcher ? Sur quoi est-ce que tu as besoin encore de garder le contrôle ? Où est-ce que tu empêches les autres de prendre leur place ? Et puis, un autre prix là-dedans, c'est la perte de plaisir, en fait. La perte de plaisir dans ton quotidien, parce que tu es toujours dans l'anticipation, tu es toujours dans le stress. Et ça, c'est lourd ! C'est hyper lourd, ça te coûte énormément. Toute cette énergie que tu mets à anticiper, à porter, à penser, à être dans le stress, c'est l'énergie que tu ne mets pas ailleurs. C'est l'énergie que tu ne mets pas ailleurs. Et donc, où est-ce que tu aimerais mettre ton énergie aujourd'hui ? Un autre point que je voudrais aborder avec toi, c'est vraiment le fait que déléguer... lâcher, apprendre à lâcher prise, à vraiment déléguer, c'est pas juste demander de l'aide. Ça je l'entends beaucoup dans la bouche de mes clientes, pardon excuse-moi, j'entends beaucoup dans la bouche de mes clientes, ils ne m'aident pas, les enfants ne m'aident pas, mon mari ne m'aide pas, mon équipe ne m'aide pas. Voilà, alors déléguer c'est pas juste demander de l'aide, non, c'est laisser l'autre gérer sans repasser derrière. S'il te plaît, retiens-le. C'est laisser l'autre gérer sans repasser derrière. C'est aussi accepter que ce soit fait différemment. Et pas forcément moins bien. Ça, c'est extrêmement important. Et surtout, c'est faire confiance et accepter que ce soit imparfait. Et là, je sais que pour certaines, c'est compliqué. S'il te plaît, tu es totalement imparfaite. Il y a des tas d'endroits où tu es limitée. Tu as des faiblesses. Tu as des endroits où tu ne... peux pas, ou tu ne sais pas, ou tu ne... Voilà ! Tu as tes propres imperfections. Je veux juste t'encourager à, plus tu vas accepter ces imperfections dans ta vie, plus tu seras capable d'accepter les imperfections des autres. Plus tu seras capable d'accepter leur maladresse, plus tu seras capable d'accepter leurs failles et leurs faiblesses. Et si les imperfections des autres t'insupportent, la première chose à faire, c'est surtout pas d'aller venir appuyer sur ses imperfections, mais c'est d'aller regarder au tien, en fait. Si tu veux être libéré de ça, regarde à toi, regarde à tes imperfections, apprends à les aimer, apprends à compatir avec, apprends à les accepter, et tu verras combien, en fait, tu vas commencer à lâcher prise sur l'autre, en fait, et enfin lui foutre la paix. Ok ? Parce que je connais très bien ça. Je le connais extrêmement bien, tous ces moments où moi, les imperfections de mon conjoint ou des autres peuvent me renvoyer, en fait, aux miennes. Ok ? Donc vraiment, je ne peux que t'encourager à aller vers ça. Alors, j'aimerais finir avec toi, avec quelques pistes pour comment vraiment aller concrètement maintenant alléger ta charge mentale. Ok ? Première chose. Accepte de ne pas tout contrôler. Vraiment, je le redis, accepte de ne pas tout contrôler. Certaines choses, elles peuvent être faites différemment. Et c'est OK. Ce n'est pas forcément moins bien, c'est juste différent. Tant que le résultat, on est bon, tant que ce qui avait besoin d'être fait a été fait, c'est OK. C'est OK. Deuxième chose que tu peux faire, c'est lister tout ce qui pourrait être partagé. En fait, en vrai, dans tout ce que tu portes, qu'est-ce qui pourrait vraiment être délégué ? Ça, c'est un exercice que je fais faire à chacune de mes clientes où on va vraiment creuser. On a tout un... Il y a tout un mois où ensemble, avec les filles, en fait, on va t'aider à mettre le focus sur qu'est-ce qui remplit ton agenda, qu'est-ce qui remplit ta charge mentale. On va décortiquer ça ensemble. On va t'aider à prioriser, on va t'aider à voir qu'est-ce qui peut être délégué, etc. Et on va t'aider à déléguer concrètement dans étape après étape. Donc là, je te donne vraiment des premières pistes. Voilà. Si tu veux creuser le sujet, si tu as envie d'aller beaucoup plus loin et de vraiment passer un gap là-dessus, Fais-toi accompagner. Donc, commence, première chose, liste ce qui peut être partagé, qu'est-ce que tu pourrais vraiment déléguer. Et ensuite, fais le tri, tu vois, identifie ce qui est vraiment de toi, de ta responsabilité, et de ce qui peut être partagé. Et puis ensuite, ose, ose en fait impliquer les autres. Ose donner des responsabilités. Arrête de simplement donner une tâche à droite, une tâche à gauche, etc. Ose passer un cap en allant donner des responsabilités. Responsable du linge, responsable des poubelles. responsable des repas, responsable de... Je sais pas, tu peux faire des tas de catégories comme ça. Donne des vraies responsabilités parce que quand tu donnes des vraies responsabilités, les gens se sentent responsabilisés. La personne en face de toi, elle se sent considérée et du coup, c'est beaucoup plus valorisant que de juste devoir sortir la poubelle. Tu vois ? Je te grossis le trait. Par exemple, responsabilité du linge, ça va être... En fait, la personne, elle va gérer entièrement le cycle du linge. Et par contre, ce n'est pas parce qu'elle est responsable que c'est elle qui fait tout. Donc je te donne un exemple, celui qui est responsable du cycle du linge, c'est lui qui va veiller à ce qu'à tel moment, la machine soit mise en route et que du coup, le linge ait pu être étendu et plié. Par contre, si lui, à un moment donné, il ne peut pas plier le linge, il ne peut pas aller le ranger, il ne peut pas faire la lessive, ça peut se partager des responsabilités. Tu peux partager des tâches dans la responsabilité. Et enfin, accepte l'inconfort du lâcher prise. Vraiment, vraiment. Au début, ce sera dur. Je le sais, je le sais. Il y a plein de moments où tu serres un peu les dents. Mais en fait, c'est la clé vraiment pour te libérer. C'est d'accepter cet inconfort. Tu vois ? Lâcher prise, je vais finir là-dessus. Lâcher prise, on l'entend énormément aujourd'hui, de partout. Faut lâcher prise, faut lâcher prise. C'est pas si simple que ça, d'une. Et surtout, lâcher prise, c'est pas être dans le renoncement, dans le... Le fait de céder. Non, le fait d'avaler, tu vois, son... Avaler son crapaud. En fait, c'est être dans la pleine acceptation. Oui, c'est OK. C'est OK que ce soit fait différemment. C'est OK que ce soit fait comme moi j'ai envie. C'est OK que l'autre fasse sa manière. C'est ça, vraiment, le lâcher prise. Donc, je te le répète, au début, c'est dur. Mais la clé, c'est vraiment de te libérer. De te libérer de ce trop. OK ? Alors, à toi, maintenant. A toi, go, je t'encourage à passer à l'action. Écris maintenant trois choses que tu pourrais arrêter de gérer seule dès maintenant. Allez, je t'encourage vraiment, tu prends de quoi noter ton téléphone, un papier, ce que tu as là sous la main. Tu notes trois choses que tu pourrais arrêter de gérer toute seule dès maintenant. Et go, action, si tu veux que les choses, elles changent, change quelque chose. Ok ? Alors pour conclure, je te le répète, la charge mentale, elle ne vient pas que des autres. Elle vient aussi du fait que tu n'arrives pas... à lâcher. Elle vient de toutes ces choses aussi que tu as acceptées, malgré toi, de ces choses qui font partie aujourd'hui de ton quotidien que tu fais et si à un moment donné tu les fais, c'est que tu les as acceptées ou que tu les as choisies, parfois de manière inconsciente, malheureusement, et c'est ça qui fait mal. Mais cette charge, à un moment donné, c'est toi qui as décidé de la prendre. Même si toi, tu as eu l'impression que tu n'as pas eu le choix, tu as toujours le choix de dire non. Tu as le choix, s'il te plaît. Je t'encourage à garder ça vraiment à l'esprit. Tu as le choix de faire ou de ne pas faire. Ok ? Si tu veux que les autres y prennent leur part, tu dois leur laisser de la place. Vraiment. Ok ? Et si tu as envie d'aller plus loin, si vraiment tu as envie de faire un gap important sur ce sujet, et si vraiment tu as envie de te libérer de ce trop de manière générale dans ta vie, ce trop sur tes épaules, ce trop dans ta maison, ce trop dans ta tête, ce trop qui fait que tu te noies dans un verre d'eau, que tu n'arrives plus à trouver ta respiration et que tu as l'impression que tu es en train de couler au fond, à ce moment-là, c'est le moment de te faire accompagner. C'est vraiment le moment de te faire accompagner parce que seul, tu n'y arriveras pas. crois moi je suis passé par là j'accompagne des des dizaines et des dizaines de femmes régulièrement sur ce sujet crois moi c'est très peu probable que tu y arrives seul ou en tout cas si tu y arrives seul ça va mettre des années des années à te sortir de là alors qu'avec un accompagnement de qualité avec un coaching puissant des prises de conscience impactante et des déclics importants et un passage à l'action significatif pour changer les choses dans ta vie en six mois ta vie elle peut se transformer En six mois, ta vie, elle peut changer. Donc si ça t'intéresse, ce que tu peux faire, c'est cliquer sur le lien qui est dans la description et tu peux t'inscrire sur la liste d'attente de notre parcours de coaching Simplify dans lequel on va t'accompagner à franchir tous ces cas plats. Et puis, on ouvre les portes dans quelques semaines et en t'inscrivant sur la liste d'attente, ça te permettra d'être parmi les premiers au courant de l'ouverture des portes et de pouvoir réserver ou plutôt ta place. Voilà, profites-en, inscris-toi et puis moi, je te dis...