undefined cover
undefined cover
56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court cover
56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court cover
Simplifie

56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court

56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court

25min |13/07/2025
Play
undefined cover
undefined cover
56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court cover
56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court cover
Simplifie

56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court

56. Je me retrouve seule… et je me retrouve tout court

25min |13/07/2025
Play

Description

Aujourd’hui, je t’emmène avec moi pour une balade en ville, micro en poche (ou plutôt écouteurs en main) pour un épisode improvisé, spontané… et profondément vrai.


Je te parle de ces moments où l’on retrouve une partie de soi qu’on avait oubliée. De la liberté. De la joie simple. Du plaisir d’être seule. Du besoin de retrouver la femme qu’on est, derrière toutes les casquettes.


Je t’invite à réfléchir à ce qui, toi, te fait vibrer. Ce que tu aimais faire et que tu ne fais plus. Ce que tu pourrais redécouvrir si tu t’autorisais à sortir un peu du quotidien.


Et au passage, je te partage aussi les coulisses de mon été : mes défis, mon besoin de mouvement, l’écriture de mon livre, mon programme de course à pied… et cette quête toujours présente : celle de vivre en alignement avec mes vraies valeurs.


Un épisode à écouter en marchant, en flânant, en t’autorisant à exister pour toi.


🎧 Bonne écoute


*******


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


Je t'invite à me laisser une note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un commentaire pour expliquer ce que cet épisode t'a apporté. 


Si ce podcast te plait, ma lettre hebdomadaire te donnera l'inspiration supplémentaire !

Je l'envoie chaque dimanche, pour la recevoir clique ici


💫 Rejoins moi aussi sur : 

- Instagram  

- Youtube  


Je te souhaite une belle écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et à toi bienvenue dans le podcast simplifie le fait que tu es là pour t'aider à simplifier ta vie aujourd'hui on se retrouve en balade tu vas l'entendre le son est juste vraiment vraiment pas sérieux je suis désolée je m'excuse avance je suis partie en ville je suis au plein air du centre-ville de Pau Et je n'ai pas du tout pensé à emmener mon micro. Surtout que je n'ai même pas eu l'idée à l'avance de me dire « je vais enregistrer mon podcast au centre-ville » . Donc je fais avec mes écouteurs toutes mes excuses pour le son. J'espère que ce sera quand même confortable pour toi à écouter. Voilà, je me trouve en plein cœur de peau au centre-ville. Moi qui, depuis des mois maintenant, vis à la campagne, ça me fait toute chose. ça me fait tout chose de me retrouver en ville parce que c'était un peu mon quotidien il y a un an de ça lorsque j'habitais à Toulouse j'allais au moins une fois par semaine une après-midi j'allais travailler en ville dans des cafés c'est quelque chose que j'adorais faire et le fait de vivre à la campagne malheureusement fait que j'ai perdu cette habitude là parce que faire plus d'une demi-heure de trajet j'en avais plus courage par rapport aux bénéfices que ça m'apportait et surtout que maintenant que j'ai un bureau C'est aussi très très confortable de travailler dans mon bureau. Donc j'ai un peu lâché cette habitude. Et puis ce matin, j'ai dû amener une amie à la gare. Et je me suis dit, en étant casselle, je suis en ville, est-ce que je ne pourrais pas juste en projeter pour travailler dans un café, m'en salir, flammer ? Et je suis trop contente ! Je réalise, je me rappelle de combien j'aime ça ! De combien j'aime ça ! C'est cette... Voilà, le fait d'être bien installée, d'avoir... En fait, il y a un truc que j'adore faire quand je travaille, c'est d'être entourée de bruit, ce qui est un peu contradictoire quand... D'ailleurs, je travaille seulement dans mon bureau. C'est pour ça que quand je suis au bureau, j'ai toujours de la musique. Si je ne suis pas en séance de coaching, je n'aime pas le silence. Et donc, travailler dans un café avec des gens qui circulent, qui parlent, etc., un espèce de bruit de fond, moi, c'est quelque chose qui me convient très, très, très bien. Alors par contre, il ne faut pas qu'il y ait... des cris, des bruits, ça me bat les oreilles. Mais en dehors de ça, c'est vraiment quelque chose que j'aime beaucoup. Donc je me suis dit, en vrai, je vais partir enregistrer cet épisode avec toi. Enfin, pour toi, en tout cas, parce que tu n'es pas d'un des côtés, malheureusement. Mais je me suis dit, allez, je vais me le faire en mode, comme si tu étais là, que tu te balades avec moi en ville et on papote en même temps. En vrai. je vais être super honnête avec toi. En vrai, je ne sais pas de quoi je veux te parler. Voilà, ça va faire partie de ces quelques épisodes mythiques dans le podcast de Saint-Pierre, où je démarre en ne sachant pas où je t'emmène et en ne pensant pas comment on va finir tout ça. J'adore ce format-là, c'est un format beaucoup plus relax, beaucoup plus descendu, qui me permet aussi à moi de temps en temps de ne pas toujours être dans la préparation, mais dans le côté spontané. dont j'ai vraiment besoin dans ma créativité. Donc voilà, on est en ville, on est ensemble et on se balade. Et si tu étais là, tu vois, je pense qu'il y a une discussion que j'aimerais avoir avec toi. Et toi, en fait, c'est quand la dernière fois que tu as tissé un moment pour toi, un moment un peu hors de ton quotidien, un moment un petit peu... Un moment un petit peu spécial, un moment un petit peu privilégié, c'est quand la dernière fois que tu as vraiment kiffé ça ? Que tu as eu cette sensation de « Ah ! Ah, j'avais oublié que j'aimais ça, mais c'était trop bien ! » Ça, ça te concerne quoi ? Alors moi, c'est me balader en ville, mais toi, c'est peut-être complètement autre chose. Si tu as la réponse à ça, partage-la à moi sur Insta, écris-moi un message privé, je serais vraiment trop contente d'avoir ton retour là-dessus. Et puis, est-ce que c'est... Ça sert à rien moi, est-ce que c'est aller faire du sport ? Alors ça fait des temps que t'as pas fait de sport, mais en fait, avant t'en faisais vachement, t'aimais ça, et aujourd'hui t'en fais presque plus, mais en fait en vrai ça te fait vachement bien. Est-ce que c'est aller au ciné ? Qu'est-ce que t'aimais faire à une certaine période de ta vie que tu fais plus aujourd'hui, et qui en fait si tu le faisais, en vrai ça te ferait trop kiffer ? Ça te demande peut-être un peu, ça te coûte un petit peu, parce que ça te sort un peu de ta zone de confort habituelle. Mais en vrai... Ça te fait grave kiffer, quoi. Alors là, j'ai envie que tu me réponds. Tu n'es pas là. Donc je vais me contenter d'imaginer ta réponse et d'attendre que tu me partages ton regard. Et mine de rien, tu vois, c'est un moment un petit peu spécial du quotidien, il peut y avoir du temps. C'est vraiment des moments où tu vas aussi pouvoir te retrouver toi, en dehors de toutes tes casquettes. De ta casquette de maman, c'était maman. Ta casquette de... de responsable, de collègue, de directrice, de salarié, de je ne sais quoi, de dépouille, de fille, de tout ce que tu veux, les casquettes que tu portes dans ton quotidien, en bas de là, c'est juste l'occasion d'extraire de ça et de te retrouver toi en tant que femme. Et en fait, là, tu vois, en fait, ça me fait écho à un message que j'ai reçu de l'une d'entre vous, qu'elle se reconnaîtra parce qu'elle m'a dit qu'elle était une fidèle auditrice du podcast. Une d'entre vous qui m'a partagé sur Instagram le fait que les épisodes lui ont apporté énormément dans son quotidien. Et elle me disait dans son message sur Insta qu'elle était en perte de sens, en perte de repère et qu'elle ne savait plus qui elle était. En dehors justement de toutes ces casquettes, c'est plus qui elle est en tant que femme. Ok, il y a quelqu'un qui a mis la musique à fond derrière moi. C'est un camion qui veut passer. Je vais me pousser. Ça, tu l'entends. Il rigole. Et du coup, ben oui, voilà. Je ne savais plus qui elle était en tant que femme. Et justement, tu vois, moi, ça me fait vachement connectée à ça. C'est ce petit moment que tu stockes trois juste pour toi dans ton quotidien de choses que tu adores faire mais que tu ne fais jamais parce qu'en fait, en vrai, tu n'as jamais le temps. Et en fait, ce n'est pas que tu n'as pas le temps mais c'est que tu ne prends pas le temps. Tu ne prends juste pas. C'est ces petites choses que tu aimais faire avant qui vont te permettre de faire comme le petit poussé. Un caillou après l'autre, d'avancer sur ce chemin pour commencer à te retrouver toi. Retrouver ce que tu... Te retrouver toi, ça commence par retrouver ce qui te donne de la joie. En vrai, le chemin commence par là. Commencer à reconnecter à ce qui me donne de la joie dans ma vie, dans mon quotidien. Et ces moments de joie, ils m'ont indiqué plein de choses. Moi, tu vois, ce moment de balade en ville, de travailler dans un café, ça me rappelle quoi ? Ça me rappelle que, ah, mais en fait, déjà, ce que j'aime, c'est quand autour de moi, il y a du mouvement, il y a de la vie. Je n'aime pas être isolée, je n'aime pas être seule. Moi, ce dont j'ai besoin, c'est de raffinement. J'ai besoin de beauté. Ça, je vous en avais déjà parlé dans certains épisodes. de mon besoin d'être dans un bel environnement. Dès que je suis entourée de choses belles, je suis très inspirée, je suis créative, je me sens détendue. Ça paraît fou, mais en fait, moi, ça fait vraiment ce effet-là chez moi. Là, le fait que j'aime me balader en ville, ça me rappelle que j'aime découvrir, j'aime observer, que je suis curieuse. En fait, ça m'apprend plein de choses sur moi. et toi en fait quand tu fais cette petite chose pour toi qu'est-ce que ça t'apprend ? qu'est-ce que ça t'apprend ? à quoi ? à quelle partie de toi ça te reconnecte ? je vais te donner un autre exemple moi il y a un truc que j'adore faire et que du coup un peu pareil ça c'est les faits campagnes que je fais beaucoup moins c'est aller sortir dans l'apéro en ville dans un bar aller boire une bière en terrasse et et... Et en vrai, ça m'aime à toujours. Je crois que c'est déjà moi. Je crois que, grosso modo, depuis que j'ai des enfants, c'est un truc que je fais peu, mais que j'adore faire. Et en fait, ça parle de quoi ? Ça parle de mon besoin de chiller. Moi, j'adore ça, chiller, en fait. Moi, j'adore passer du temps avec des gens, à discuter, à rire. Moi, c'est un des meilleurs trucs que je crie dans la vie. Ça me parle aussi, je pense, de mon besoin de liberté. Vraiment, ce besoin de liberté, je sais que c'est un besoin important que je manque. Qu'il est là, qu'il est fort, qu'il est présent. J'ai besoin qu'il y ait des moments où j'ai pas d'engagement. Des moments où j'ai pas de responsabilité. Des moments où je peux juste faire ce que je veux, quand je veux. Et euh... Et tiens, c'est marrant que je te parle de ça. Oh là là, j'ai la police derrière moi. Oh attends, regarde où je vais, p'tit en fait, du coup... Vu que je ne connais pas cette ville, Je suis complètement capable de me paumer, moi, en se parlant. Attends, on va faire demi-tour. Voilà, on va remonter parce que j'ai l'impression que là je m'éloigne du centre-ville. puissance 1000. Donc oui, je te disais, c'est quand même assez rigolo ce que je te partage, parce qu'en fait, en vrai, là, depuis hier, j'ai mes enfants et mon mari qui sont partis en vacances. Ils ont un peu un peu désespoir, enfin, en tout cas, sur le coup, c'était un peu ça. Du coup, comme tu le sais, là, en ce moment, on est en plein dans la semaine du Sommet essentiel, version 2025. qui a lieu tous les ans. Et tous les ans, c'est la troisième fois qu'on le répète au mois de juillet. Et du coup, à ce moment-là, mes enfants sont en vacances. Et vu qu'on ne les inscrit pas, en tout cas pour l'instant, dans des centres paris, dans des colles, on a fait comme ça, et qu'on n'a pas de famille très proche, et que nos amis ne sont pas disponibles pour garder 24h à 24h aux enfants. Et bah du coup, mon mari s'est arrêté de travailler. C'est lui qui s'en occupe. Et puis il m'a dit, bah en fait, nous, on va pas juste rester à la maison, Jérémy, attendre que t'aies fini de travailler. Lui, il avait envie de faire les trucs de son côté. Il avait envie d'aller voir ses parents, de la famille. Il avait envie d'aller voir la famille et tout ça. Et du coup, on s'est dit, bon bah, voilà, on s'est libérés mutuellement. En mode, bah vas-y, quoi. Ça sert à rien que tu restes là, en effet. allez vous amuser, allez vous quitter, et puis de toute façon on aura un temps de vacances, on sent notre famille dans quelques semaines, on n'a pas de temps, etc. Et en fait, sur le coup, enfin, sur le coup, en fait ça faisait quelques jours avant le départ que moi je commençais à juste vraiment pas être bien, vraiment en mode dégoûtée, dégoûtée parce qu'en fait, tu sais que pour moi la conciliation vie pro-vie perso, c'est vraiment important que ma vie pro soit au service de ma vie perso. Et là, j'avais l'impression, dans ce cas-là, en fait, ma vie de pro ne prenait pas sur ma vie perso. Elle ne prenait pas sur ma vie de famille. Et moi, la valeur famille, après la valeur liberté, avant, peu importe, ce n'est pas hiérarchique, elle est hyper, méga importante. Je pense qu'elle est vraiment au cœur de tout. Et du coup, j'étais là, mais attends, ma pâte, là, je ne vais pas passer de temps en famille, avec mes enfants, profiter. Et pour toi, Marie ? Là, mon cerveau, il a bugué. et ça m'a tenté en fait Enfin, c'est pas ça que je veux. Donc du coup, les quelques jours avant leur départ ont été un peu compliqués pour moi. Jusqu'à hier, ils sont partis. En vrai, je devais être super authentique avec toi. J'étais hyper triste. J'étais hyper triste quand ils sont partis. Et puis, c'est cool, j'ai eu des clients dans la séance de coaching. On est trop ensemble, vous étiez là. Je leur ai dit, tu vois, en mode, bon, au début de coaching, en fait, on fait toujours un peu un point sur comment ça va aller. Les filles vont te mettre au du jour et tu vas victoire. Et moi, je leur ai dit, moi, ma météo, ce n'est pas fou aujourd'hui. Principe de l'authenticité. On te demande de jouer la carte de l'authenticité chez les pelettes, mais nous, on la joue avec toi. Et voilà. Oui, non, ce n'est pas fou aujourd'hui. Je suis un peu triste. Mais en fait, le fait déjà de le reconnaître, de le dire, en vrai, ça m'a déjà aidée à... Je pense à ce que cette vague de tristesse s'en aille plus vite. Et puis quand même en leur disant ça, j'ai réalisé que quand même... Et c'est là où tu vas halluciner. J'ai réalisé en leur disant que, attends, mais ça veut aussi dire quand même que là, pendant plusieurs jours, je vis ma vie toute seule. Je fais ce que je veux de mon temps. Je n'ai plus aucune responsabilité. Donc ça, tu l'avais vu venir. Je suis sûre, c'est le premier truc que tu t'es dit. Ah ouais, la Lune, elle va se retrouver quelques jours sans famille. Elle va pouvoir faire ce qu'elle veut avec tous ses amis. Ben, je te promets. Mais c'est parce qu'elle m'a mis en commun. C'est fou. Donc, hier, je me suis rappelée... Là, tu es prêt. Tu vas goûter un peu à la liberté de ce que ça représente. Et tu vas kiffer. Bon, ben, ça va pas louper. Voilà, j'ai fait ma preuve. J'avais peur de déprimer. Que nenni ! Après le boulot, il était 6h30. Donc là, je ne travaille jamais aussi tard. Je ne travaille jamais aussi tard parce que j'ai une famille qui m'attend. Là, déjà, pas de pression pour finir à temps. Je crois que c'est agréable. C'est trop bien. Ensuite, j'avais prévu d'aller courir. Je suis partie courir. Je n'avais personne qui m'attendait. Donc, j'ai pu prendre mon temps. Rentrer, je suis rentrée sur moi, il devait être 20h. Je me suis dit « What ? Je ne fais jamais ça, 20h. » Normalement, tout est plié, le repas est plié, les enfants sont en train d'être pris. Moi, je suis en train de ranger la cuisine ou un vertement avec mon mari, enfin bref. J'étais là « Quoi ? J'ai que moi à m'occuper ? » Et après, finalement, qu'est-ce que j'ai fait pendant la soirée ? J'ai fait... J'ai fait... Je ne sais pas. Je ne sais pas. J'ai fait du rangement. Parce qu'en fait, je me suis dit, OK, la maison, en fait, là, je vais l'avoir pour moi pendant plus d'une semaine. J'ai juste envie de surkiffer le fait d'avoir une maison pour me ranger pendant une semaine. Une maison qui, en plus, va rester rangée. Oh, le gros kiff ! Donc, je me suis mis en fait de, allez, les trucs les plus chiants, là, qui me saoulent de voir ça au quotidien, je vais les ranger comme ça, je n'y pense plus. et je kiffe ma maison. Voilà, donc j'ai fait du ronflement, un petit peu de nettoyage, je m'en suis coupée bien et à 22h, toute contente, bon allez, je vais me poser, je vais boucler et j'ai surkiffé cette soirée. Et là je me dis, ah oui, en fait ça va être ça tous les jours, je me rappelle, comment c'est bien. Je me rappelle et en fait c'est exactement ce même principe, c'est-à-dire que depuis qu'on est ici, nous, ça fait presque un an maintenant. En fait, j'ai pas eu une période où j'ai été toute seule. Je suis partie par contre. partie en formation, des trucs comme ça. Mais chez moi, toute seule, ça ne s'est pas arrivé. Ça m'était déjà arrivé, mais à Toulouse. Et du coup, ici, je parlais de ça avec une copine ici. Je lui disais, mais en fait, je comprends ce qui se passe. Je n'ai pas mes repères. Je n'ai pas mes habitudes. Je n'ai pas les petits trucs que j'aime bien faire que j'avais réussi à créer comme routine dans mon quotidien. Ici, je ne les ai pas. En dehors de ma vie à la maison, quoi. Du coup, je me sens un peu toute perdue. Et finalement... en quelques heures, j'ai reconnecté avec ce à quoi j'avais déjà goûté. Je peux te dire que j'étais très contente maintenant. Voilà, je compte bien qu'ils aient mal à l'aise. Alors oui, je sais qu'il va y avoir des petits moments, des petits pincements quand je vais recevoir des petites vidéos, des petites photos de leur part et qu'ils vont s'éclater dans la rivière, dans la Cévennes. Ok, ok. Je me réjouis pour eux, je suis contente que je puisse vivre ça avec leur papa. Et puis moi, je vais essayer de tâcher de le kiffer de mon côté aussi. Je vais tâcher de kiffer. Donc, le programme pour moi, ça va être carton. Voilà. Donc, je te dis, je vais kiffer, mais je vais faire du carton. Si, en vrai, il y a une petite part de moi qui est comprise de faire ce carton-là. Et là, je suis en train de plancher sur, attends, qu'est-ce que je pourrais me prévoir comme moment super cool, super sympa ? Qu'est-ce que j'aime bien faire ? Qu'est-ce qui me ferait plaisir ? Donc, typiquement, je te l'ai dit tout à l'heure, aller boire un verre en terrasse avec ma copine en mode after work. oh là là j'ai trop envie Je ne l'ai pas encore appelé, mais ça va être fait dans les prochaines heures. Et voilà, ça va être des petits moments comme ça dans le quotidien. Je vais essayer de me créer cette semaine. En plus de mes défis sportifs, alors ça, je crois que je n'en ai pas beaucoup parlé non plus. Mais cet été va être un été en mode défi. Je crois que c'est vraiment le mot de mon été. Je n'ai pas trop fait exprès, en fait, en vrai. Mais je cumule les défis cet été et je me sens très, très, très en énergie. C'est un truc qui me booste et qui me plaît énormément, de savoir que j'ai plusieurs défis en même temps, en parallèle. Donc, bien sûr, c'était le défi qui commence avec l'organisation du Sommet Essentiel, qui se passe super bien. Vous êtes plus de 1000 inscrits, c'est un truc de ouf. Je sais que les intervenants, enfin, vos retours par rapport aux interventions sont... Wow, c'est impressionnant. tout ce que ça vous apporte, ce que ça vous fait, comment ça vous a poussé à avancer. Je suis tellement contente que vous ayez créé ce contenu à disposition, c'est trop fort. Et donc du coup, il y a l'organisation de ce sommet. Et à cause de ça, j'ai quand même profité de ce sommet pour me mettre une petite pression en moi-même. C'est-à-dire que lorsque tu t'inscris au sommet, tu peux bénéficier du pass VIP. Donc là, à l'heure où tu vas écouter ce podcast, en fait, c'est passé. Le pass VIP, en fait, le sommet est passé. Donc, c'est plus du tout cohérent que je te parle du salon. J'aurais pu te faire bien plus tôt. Peut-être qu'il y a un petit acte manqué de ma part pour éviter la prise de risque. Mais au sein, au cœur du pass VIP qui te permettait d'avoir les replays à vie, parce que sinon, ils sont limités jusqu'à 18h. Mais en fait, j'ai inclus la pré-vente de mon futur lit qui est en cours. d'écriture dont je peux te partager le titre. Ce livre s'appellera, en tout cas la première version, « Simplifie ta vie » . Et du coup, ce livre est en cours d'écriture et du coup, pour m'aider à avancer dans cette écriture parce que je suis une abondante procrastinatrice sur le sujet de ce livre, je me suis dit qu'en fait, il va falloir que j'aille utiliser un de mes meilleurs atouts qui est le fait de « je suis bonne sous pression » . Voilà, c'est là que vraiment j'excelle. Et donc, il va falloir que je me mette de la pression. Et donc, du coup, te permettre d'acheter ce livre alors qu'il est en cours d'écriture en paix mentale. Ben là, actuellement, vous êtes 60. 60 à avoir acheté ce livre. Il va falloir que je le sorte. Je n'ai plus beaucoup de livres. Donc là, déjà, c'est un super défi de travail. Donc, mon projet, ça va être d'écrire mon livre cet été, pendant le mois de juillet, le mois de août. Donc, pendant aussi une partie de mes vacances. Ça, c'est le deuxième défi. En tout cas, de l'écrire en fin de année. En ce temps, il ne va pas sortir à la fin de l'été. Mais là, le projet, c'est plutôt qu'il sorte à la fin de l'année. Troisième défi, ça va être un déménagement. Voilà, au milieu, tac, tac, tac, c'est avec un détail. Un petit détail. Un déménagement, fin juillet. Et bien sûr, comme si ça ne suffisait pas. Oui, si. Oh là là. Allez, un, deux, trois, on articule. Comme si ça ne suffisait pas. Eh bien, je me suis lancée grâce à une amie qui m'a embarquée dans la voiture. Alors moi, si je m'embarque dans des aventures folles, il faut le savoir, c'est souvent à cause d'amis. Voilà, je rejette toute responsabilité. Je vais mettre ça sur mes amis. Quand j'ai fait du crossfit, c'était à cause d'une amie qui m'a embarquée. Et bien là, je me suis aventurée dans un nouveau challenge sportif où je prépare une course de 10 km qui aura lieu en septembre. Normalement, cette course, c'est la parisienne. Elle aura lieu à Paris. Est-ce que je vais relever le challenge d'oser aller jusqu'à Paris et pas faire un 10 km de mon côté ? C'est encore à voir. Tu me connais, j'aime les défis. Est-ce que je vais oser aller jusque-là, sachant que cette Parisienne, cette course, aura lieu en plein milieu d'un autre événement qu'on a organisé chez les Paulettes à la rentrée, mais je n'en doute pas plus encore pour l'instant. Voilà, voilà. Donc, c'était un été de défi. Donc, du coup, tout ça, c'était pour te dire que j'ai une semaine sportive devant moi parce que je continue, j'essaye de continuer. au moins une fois par semaine une séance de crossfit. J'ai dit j'essaie de continuer parce qu'en fait, je veux au crossfit parce que je veux chercher mes enfants à l'école. Ça me permet de caler comme une routine. C'est juste à côté de l'école, donc c'est très facile pour moi. Mes enfants ne veulent plus aller à l'école, etc. Je sais que je vais être challengée pour tenir la routine. Donc c'est pour ça que je m'autorise à s'y fouiller avec une fois, à s'y arrêter à y aller avec une fois. Ça, c'est suffisant, ça, c'est très bien. Mais du coup, parfois, j'ai deux à trois entraînements de course par semaine. donc au final ça me fait un quotidien sacrément sportif comparé à mon quotidien habituel. Et en vrai, j'adore ça. J'adore ça, me mettre en mouvement tous les jours. Ça me fait flipper, ça me fait un bien. Voilà, donc je me suis sacrément égarée. Pourquoi est-ce que je te parle de tout ça ? C'était pour t'encourager à te reconnecter à ce sentiment de liberté, à cette joie, à toi en tant que femme. Voilà, un encouragement à te dire existe, existe au milieu de ta vie. Existe au milieu de ta vie et commence par repérer les choses qui te mettent en voie, les choses qui te mettent en énergie, les choses qui te font kiffer. Et si tu ne sais plus, et si tu ne sais pas, demande-toi avant, avant tout ça, avant d'être maman, avant d'être au bout du rouleau. Dans les périodes de ma vie où ça allait bien, où j'étais bien dans ma peau, bien dans ma tête, en te souhaitant que ça puisse arriver, qu'est-ce que t'aimais faire ? qu'est-ce qui te faisait kiffer et puis et puis après tout si t'as jamais connu ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça et le meilleur moyen pour faire ça c'est plutôt une liste de choses tu te dis peut-être que je pourrais aimer mais je sais pas tu fais ta liste et puis tu les essayes et tu verras bien en essayant ah oui ça ça me parle ça j'aime trop oh ça je surkiffe ça je déteste je ne veux plus jamais faire ça de nouveau. Voilà, à un moment donné, fais appel à quelque chose que tu as certainement, sûrement à 100% éprouvé dans ton enfance, c'est la curiosité. Va chercher cette curiosité qui est là, qui n'est pas si loin que ça, et va explorer les choses. Bon, ça fait combien de temps que je vous en cherche ensemble ? 23 minutes ? Je pense que là j'ai fait un peu le tour. Comme quoi tu vois, parler en marchant. Ça libère le cerveau, ça libère les idées. Alors, encore une fois, si tu as besoin de créativité, si tu as besoin d'idées, si tu as besoin de prendre du recul sur une situation, va marcher et va parler en même temps. Et d'ailleurs, pour te dire, j'ai un ami qui est coach et dont c'est le métier. Il coach en allant marcher. Franchement, si ça, ce n'est pas le kiff, il coach les mecs notamment. Donc, si jamais tu recherches quelqu'un... pour un homme, j'ai quelqu'un à te conseiller. N'hésite pas à me contacter. Allez, je te laisse avec ça. Je te dis à très, très vite. Prends bien soin de toi. ciao ciao Merci.

Description

Aujourd’hui, je t’emmène avec moi pour une balade en ville, micro en poche (ou plutôt écouteurs en main) pour un épisode improvisé, spontané… et profondément vrai.


Je te parle de ces moments où l’on retrouve une partie de soi qu’on avait oubliée. De la liberté. De la joie simple. Du plaisir d’être seule. Du besoin de retrouver la femme qu’on est, derrière toutes les casquettes.


Je t’invite à réfléchir à ce qui, toi, te fait vibrer. Ce que tu aimais faire et que tu ne fais plus. Ce que tu pourrais redécouvrir si tu t’autorisais à sortir un peu du quotidien.


Et au passage, je te partage aussi les coulisses de mon été : mes défis, mon besoin de mouvement, l’écriture de mon livre, mon programme de course à pied… et cette quête toujours présente : celle de vivre en alignement avec mes vraies valeurs.


Un épisode à écouter en marchant, en flânant, en t’autorisant à exister pour toi.


🎧 Bonne écoute


*******


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


Je t'invite à me laisser une note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un commentaire pour expliquer ce que cet épisode t'a apporté. 


Si ce podcast te plait, ma lettre hebdomadaire te donnera l'inspiration supplémentaire !

Je l'envoie chaque dimanche, pour la recevoir clique ici


💫 Rejoins moi aussi sur : 

- Instagram  

- Youtube  


Je te souhaite une belle écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et à toi bienvenue dans le podcast simplifie le fait que tu es là pour t'aider à simplifier ta vie aujourd'hui on se retrouve en balade tu vas l'entendre le son est juste vraiment vraiment pas sérieux je suis désolée je m'excuse avance je suis partie en ville je suis au plein air du centre-ville de Pau Et je n'ai pas du tout pensé à emmener mon micro. Surtout que je n'ai même pas eu l'idée à l'avance de me dire « je vais enregistrer mon podcast au centre-ville » . Donc je fais avec mes écouteurs toutes mes excuses pour le son. J'espère que ce sera quand même confortable pour toi à écouter. Voilà, je me trouve en plein cœur de peau au centre-ville. Moi qui, depuis des mois maintenant, vis à la campagne, ça me fait toute chose. ça me fait tout chose de me retrouver en ville parce que c'était un peu mon quotidien il y a un an de ça lorsque j'habitais à Toulouse j'allais au moins une fois par semaine une après-midi j'allais travailler en ville dans des cafés c'est quelque chose que j'adorais faire et le fait de vivre à la campagne malheureusement fait que j'ai perdu cette habitude là parce que faire plus d'une demi-heure de trajet j'en avais plus courage par rapport aux bénéfices que ça m'apportait et surtout que maintenant que j'ai un bureau C'est aussi très très confortable de travailler dans mon bureau. Donc j'ai un peu lâché cette habitude. Et puis ce matin, j'ai dû amener une amie à la gare. Et je me suis dit, en étant casselle, je suis en ville, est-ce que je ne pourrais pas juste en projeter pour travailler dans un café, m'en salir, flammer ? Et je suis trop contente ! Je réalise, je me rappelle de combien j'aime ça ! De combien j'aime ça ! C'est cette... Voilà, le fait d'être bien installée, d'avoir... En fait, il y a un truc que j'adore faire quand je travaille, c'est d'être entourée de bruit, ce qui est un peu contradictoire quand... D'ailleurs, je travaille seulement dans mon bureau. C'est pour ça que quand je suis au bureau, j'ai toujours de la musique. Si je ne suis pas en séance de coaching, je n'aime pas le silence. Et donc, travailler dans un café avec des gens qui circulent, qui parlent, etc., un espèce de bruit de fond, moi, c'est quelque chose qui me convient très, très, très bien. Alors par contre, il ne faut pas qu'il y ait... des cris, des bruits, ça me bat les oreilles. Mais en dehors de ça, c'est vraiment quelque chose que j'aime beaucoup. Donc je me suis dit, en vrai, je vais partir enregistrer cet épisode avec toi. Enfin, pour toi, en tout cas, parce que tu n'es pas d'un des côtés, malheureusement. Mais je me suis dit, allez, je vais me le faire en mode, comme si tu étais là, que tu te balades avec moi en ville et on papote en même temps. En vrai. je vais être super honnête avec toi. En vrai, je ne sais pas de quoi je veux te parler. Voilà, ça va faire partie de ces quelques épisodes mythiques dans le podcast de Saint-Pierre, où je démarre en ne sachant pas où je t'emmène et en ne pensant pas comment on va finir tout ça. J'adore ce format-là, c'est un format beaucoup plus relax, beaucoup plus descendu, qui me permet aussi à moi de temps en temps de ne pas toujours être dans la préparation, mais dans le côté spontané. dont j'ai vraiment besoin dans ma créativité. Donc voilà, on est en ville, on est ensemble et on se balade. Et si tu étais là, tu vois, je pense qu'il y a une discussion que j'aimerais avoir avec toi. Et toi, en fait, c'est quand la dernière fois que tu as tissé un moment pour toi, un moment un peu hors de ton quotidien, un moment un petit peu... Un moment un petit peu spécial, un moment un petit peu privilégié, c'est quand la dernière fois que tu as vraiment kiffé ça ? Que tu as eu cette sensation de « Ah ! Ah, j'avais oublié que j'aimais ça, mais c'était trop bien ! » Ça, ça te concerne quoi ? Alors moi, c'est me balader en ville, mais toi, c'est peut-être complètement autre chose. Si tu as la réponse à ça, partage-la à moi sur Insta, écris-moi un message privé, je serais vraiment trop contente d'avoir ton retour là-dessus. Et puis, est-ce que c'est... Ça sert à rien moi, est-ce que c'est aller faire du sport ? Alors ça fait des temps que t'as pas fait de sport, mais en fait, avant t'en faisais vachement, t'aimais ça, et aujourd'hui t'en fais presque plus, mais en fait en vrai ça te fait vachement bien. Est-ce que c'est aller au ciné ? Qu'est-ce que t'aimais faire à une certaine période de ta vie que tu fais plus aujourd'hui, et qui en fait si tu le faisais, en vrai ça te ferait trop kiffer ? Ça te demande peut-être un peu, ça te coûte un petit peu, parce que ça te sort un peu de ta zone de confort habituelle. Mais en vrai... Ça te fait grave kiffer, quoi. Alors là, j'ai envie que tu me réponds. Tu n'es pas là. Donc je vais me contenter d'imaginer ta réponse et d'attendre que tu me partages ton regard. Et mine de rien, tu vois, c'est un moment un petit peu spécial du quotidien, il peut y avoir du temps. C'est vraiment des moments où tu vas aussi pouvoir te retrouver toi, en dehors de toutes tes casquettes. De ta casquette de maman, c'était maman. Ta casquette de... de responsable, de collègue, de directrice, de salarié, de je ne sais quoi, de dépouille, de fille, de tout ce que tu veux, les casquettes que tu portes dans ton quotidien, en bas de là, c'est juste l'occasion d'extraire de ça et de te retrouver toi en tant que femme. Et en fait, là, tu vois, en fait, ça me fait écho à un message que j'ai reçu de l'une d'entre vous, qu'elle se reconnaîtra parce qu'elle m'a dit qu'elle était une fidèle auditrice du podcast. Une d'entre vous qui m'a partagé sur Instagram le fait que les épisodes lui ont apporté énormément dans son quotidien. Et elle me disait dans son message sur Insta qu'elle était en perte de sens, en perte de repère et qu'elle ne savait plus qui elle était. En dehors justement de toutes ces casquettes, c'est plus qui elle est en tant que femme. Ok, il y a quelqu'un qui a mis la musique à fond derrière moi. C'est un camion qui veut passer. Je vais me pousser. Ça, tu l'entends. Il rigole. Et du coup, ben oui, voilà. Je ne savais plus qui elle était en tant que femme. Et justement, tu vois, moi, ça me fait vachement connectée à ça. C'est ce petit moment que tu stockes trois juste pour toi dans ton quotidien de choses que tu adores faire mais que tu ne fais jamais parce qu'en fait, en vrai, tu n'as jamais le temps. Et en fait, ce n'est pas que tu n'as pas le temps mais c'est que tu ne prends pas le temps. Tu ne prends juste pas. C'est ces petites choses que tu aimais faire avant qui vont te permettre de faire comme le petit poussé. Un caillou après l'autre, d'avancer sur ce chemin pour commencer à te retrouver toi. Retrouver ce que tu... Te retrouver toi, ça commence par retrouver ce qui te donne de la joie. En vrai, le chemin commence par là. Commencer à reconnecter à ce qui me donne de la joie dans ma vie, dans mon quotidien. Et ces moments de joie, ils m'ont indiqué plein de choses. Moi, tu vois, ce moment de balade en ville, de travailler dans un café, ça me rappelle quoi ? Ça me rappelle que, ah, mais en fait, déjà, ce que j'aime, c'est quand autour de moi, il y a du mouvement, il y a de la vie. Je n'aime pas être isolée, je n'aime pas être seule. Moi, ce dont j'ai besoin, c'est de raffinement. J'ai besoin de beauté. Ça, je vous en avais déjà parlé dans certains épisodes. de mon besoin d'être dans un bel environnement. Dès que je suis entourée de choses belles, je suis très inspirée, je suis créative, je me sens détendue. Ça paraît fou, mais en fait, moi, ça fait vraiment ce effet-là chez moi. Là, le fait que j'aime me balader en ville, ça me rappelle que j'aime découvrir, j'aime observer, que je suis curieuse. En fait, ça m'apprend plein de choses sur moi. et toi en fait quand tu fais cette petite chose pour toi qu'est-ce que ça t'apprend ? qu'est-ce que ça t'apprend ? à quoi ? à quelle partie de toi ça te reconnecte ? je vais te donner un autre exemple moi il y a un truc que j'adore faire et que du coup un peu pareil ça c'est les faits campagnes que je fais beaucoup moins c'est aller sortir dans l'apéro en ville dans un bar aller boire une bière en terrasse et et... Et en vrai, ça m'aime à toujours. Je crois que c'est déjà moi. Je crois que, grosso modo, depuis que j'ai des enfants, c'est un truc que je fais peu, mais que j'adore faire. Et en fait, ça parle de quoi ? Ça parle de mon besoin de chiller. Moi, j'adore ça, chiller, en fait. Moi, j'adore passer du temps avec des gens, à discuter, à rire. Moi, c'est un des meilleurs trucs que je crie dans la vie. Ça me parle aussi, je pense, de mon besoin de liberté. Vraiment, ce besoin de liberté, je sais que c'est un besoin important que je manque. Qu'il est là, qu'il est fort, qu'il est présent. J'ai besoin qu'il y ait des moments où j'ai pas d'engagement. Des moments où j'ai pas de responsabilité. Des moments où je peux juste faire ce que je veux, quand je veux. Et euh... Et tiens, c'est marrant que je te parle de ça. Oh là là, j'ai la police derrière moi. Oh attends, regarde où je vais, p'tit en fait, du coup... Vu que je ne connais pas cette ville, Je suis complètement capable de me paumer, moi, en se parlant. Attends, on va faire demi-tour. Voilà, on va remonter parce que j'ai l'impression que là je m'éloigne du centre-ville. puissance 1000. Donc oui, je te disais, c'est quand même assez rigolo ce que je te partage, parce qu'en fait, en vrai, là, depuis hier, j'ai mes enfants et mon mari qui sont partis en vacances. Ils ont un peu un peu désespoir, enfin, en tout cas, sur le coup, c'était un peu ça. Du coup, comme tu le sais, là, en ce moment, on est en plein dans la semaine du Sommet essentiel, version 2025. qui a lieu tous les ans. Et tous les ans, c'est la troisième fois qu'on le répète au mois de juillet. Et du coup, à ce moment-là, mes enfants sont en vacances. Et vu qu'on ne les inscrit pas, en tout cas pour l'instant, dans des centres paris, dans des colles, on a fait comme ça, et qu'on n'a pas de famille très proche, et que nos amis ne sont pas disponibles pour garder 24h à 24h aux enfants. Et bah du coup, mon mari s'est arrêté de travailler. C'est lui qui s'en occupe. Et puis il m'a dit, bah en fait, nous, on va pas juste rester à la maison, Jérémy, attendre que t'aies fini de travailler. Lui, il avait envie de faire les trucs de son côté. Il avait envie d'aller voir ses parents, de la famille. Il avait envie d'aller voir la famille et tout ça. Et du coup, on s'est dit, bon bah, voilà, on s'est libérés mutuellement. En mode, bah vas-y, quoi. Ça sert à rien que tu restes là, en effet. allez vous amuser, allez vous quitter, et puis de toute façon on aura un temps de vacances, on sent notre famille dans quelques semaines, on n'a pas de temps, etc. Et en fait, sur le coup, enfin, sur le coup, en fait ça faisait quelques jours avant le départ que moi je commençais à juste vraiment pas être bien, vraiment en mode dégoûtée, dégoûtée parce qu'en fait, tu sais que pour moi la conciliation vie pro-vie perso, c'est vraiment important que ma vie pro soit au service de ma vie perso. Et là, j'avais l'impression, dans ce cas-là, en fait, ma vie de pro ne prenait pas sur ma vie perso. Elle ne prenait pas sur ma vie de famille. Et moi, la valeur famille, après la valeur liberté, avant, peu importe, ce n'est pas hiérarchique, elle est hyper, méga importante. Je pense qu'elle est vraiment au cœur de tout. Et du coup, j'étais là, mais attends, ma pâte, là, je ne vais pas passer de temps en famille, avec mes enfants, profiter. Et pour toi, Marie ? Là, mon cerveau, il a bugué. et ça m'a tenté en fait Enfin, c'est pas ça que je veux. Donc du coup, les quelques jours avant leur départ ont été un peu compliqués pour moi. Jusqu'à hier, ils sont partis. En vrai, je devais être super authentique avec toi. J'étais hyper triste. J'étais hyper triste quand ils sont partis. Et puis, c'est cool, j'ai eu des clients dans la séance de coaching. On est trop ensemble, vous étiez là. Je leur ai dit, tu vois, en mode, bon, au début de coaching, en fait, on fait toujours un peu un point sur comment ça va aller. Les filles vont te mettre au du jour et tu vas victoire. Et moi, je leur ai dit, moi, ma météo, ce n'est pas fou aujourd'hui. Principe de l'authenticité. On te demande de jouer la carte de l'authenticité chez les pelettes, mais nous, on la joue avec toi. Et voilà. Oui, non, ce n'est pas fou aujourd'hui. Je suis un peu triste. Mais en fait, le fait déjà de le reconnaître, de le dire, en vrai, ça m'a déjà aidée à... Je pense à ce que cette vague de tristesse s'en aille plus vite. Et puis quand même en leur disant ça, j'ai réalisé que quand même... Et c'est là où tu vas halluciner. J'ai réalisé en leur disant que, attends, mais ça veut aussi dire quand même que là, pendant plusieurs jours, je vis ma vie toute seule. Je fais ce que je veux de mon temps. Je n'ai plus aucune responsabilité. Donc ça, tu l'avais vu venir. Je suis sûre, c'est le premier truc que tu t'es dit. Ah ouais, la Lune, elle va se retrouver quelques jours sans famille. Elle va pouvoir faire ce qu'elle veut avec tous ses amis. Ben, je te promets. Mais c'est parce qu'elle m'a mis en commun. C'est fou. Donc, hier, je me suis rappelée... Là, tu es prêt. Tu vas goûter un peu à la liberté de ce que ça représente. Et tu vas kiffer. Bon, ben, ça va pas louper. Voilà, j'ai fait ma preuve. J'avais peur de déprimer. Que nenni ! Après le boulot, il était 6h30. Donc là, je ne travaille jamais aussi tard. Je ne travaille jamais aussi tard parce que j'ai une famille qui m'attend. Là, déjà, pas de pression pour finir à temps. Je crois que c'est agréable. C'est trop bien. Ensuite, j'avais prévu d'aller courir. Je suis partie courir. Je n'avais personne qui m'attendait. Donc, j'ai pu prendre mon temps. Rentrer, je suis rentrée sur moi, il devait être 20h. Je me suis dit « What ? Je ne fais jamais ça, 20h. » Normalement, tout est plié, le repas est plié, les enfants sont en train d'être pris. Moi, je suis en train de ranger la cuisine ou un vertement avec mon mari, enfin bref. J'étais là « Quoi ? J'ai que moi à m'occuper ? » Et après, finalement, qu'est-ce que j'ai fait pendant la soirée ? J'ai fait... J'ai fait... Je ne sais pas. Je ne sais pas. J'ai fait du rangement. Parce qu'en fait, je me suis dit, OK, la maison, en fait, là, je vais l'avoir pour moi pendant plus d'une semaine. J'ai juste envie de surkiffer le fait d'avoir une maison pour me ranger pendant une semaine. Une maison qui, en plus, va rester rangée. Oh, le gros kiff ! Donc, je me suis mis en fait de, allez, les trucs les plus chiants, là, qui me saoulent de voir ça au quotidien, je vais les ranger comme ça, je n'y pense plus. et je kiffe ma maison. Voilà, donc j'ai fait du ronflement, un petit peu de nettoyage, je m'en suis coupée bien et à 22h, toute contente, bon allez, je vais me poser, je vais boucler et j'ai surkiffé cette soirée. Et là je me dis, ah oui, en fait ça va être ça tous les jours, je me rappelle, comment c'est bien. Je me rappelle et en fait c'est exactement ce même principe, c'est-à-dire que depuis qu'on est ici, nous, ça fait presque un an maintenant. En fait, j'ai pas eu une période où j'ai été toute seule. Je suis partie par contre. partie en formation, des trucs comme ça. Mais chez moi, toute seule, ça ne s'est pas arrivé. Ça m'était déjà arrivé, mais à Toulouse. Et du coup, ici, je parlais de ça avec une copine ici. Je lui disais, mais en fait, je comprends ce qui se passe. Je n'ai pas mes repères. Je n'ai pas mes habitudes. Je n'ai pas les petits trucs que j'aime bien faire que j'avais réussi à créer comme routine dans mon quotidien. Ici, je ne les ai pas. En dehors de ma vie à la maison, quoi. Du coup, je me sens un peu toute perdue. Et finalement... en quelques heures, j'ai reconnecté avec ce à quoi j'avais déjà goûté. Je peux te dire que j'étais très contente maintenant. Voilà, je compte bien qu'ils aient mal à l'aise. Alors oui, je sais qu'il va y avoir des petits moments, des petits pincements quand je vais recevoir des petites vidéos, des petites photos de leur part et qu'ils vont s'éclater dans la rivière, dans la Cévennes. Ok, ok. Je me réjouis pour eux, je suis contente que je puisse vivre ça avec leur papa. Et puis moi, je vais essayer de tâcher de le kiffer de mon côté aussi. Je vais tâcher de kiffer. Donc, le programme pour moi, ça va être carton. Voilà. Donc, je te dis, je vais kiffer, mais je vais faire du carton. Si, en vrai, il y a une petite part de moi qui est comprise de faire ce carton-là. Et là, je suis en train de plancher sur, attends, qu'est-ce que je pourrais me prévoir comme moment super cool, super sympa ? Qu'est-ce que j'aime bien faire ? Qu'est-ce qui me ferait plaisir ? Donc, typiquement, je te l'ai dit tout à l'heure, aller boire un verre en terrasse avec ma copine en mode after work. oh là là j'ai trop envie Je ne l'ai pas encore appelé, mais ça va être fait dans les prochaines heures. Et voilà, ça va être des petits moments comme ça dans le quotidien. Je vais essayer de me créer cette semaine. En plus de mes défis sportifs, alors ça, je crois que je n'en ai pas beaucoup parlé non plus. Mais cet été va être un été en mode défi. Je crois que c'est vraiment le mot de mon été. Je n'ai pas trop fait exprès, en fait, en vrai. Mais je cumule les défis cet été et je me sens très, très, très en énergie. C'est un truc qui me booste et qui me plaît énormément, de savoir que j'ai plusieurs défis en même temps, en parallèle. Donc, bien sûr, c'était le défi qui commence avec l'organisation du Sommet Essentiel, qui se passe super bien. Vous êtes plus de 1000 inscrits, c'est un truc de ouf. Je sais que les intervenants, enfin, vos retours par rapport aux interventions sont... Wow, c'est impressionnant. tout ce que ça vous apporte, ce que ça vous fait, comment ça vous a poussé à avancer. Je suis tellement contente que vous ayez créé ce contenu à disposition, c'est trop fort. Et donc du coup, il y a l'organisation de ce sommet. Et à cause de ça, j'ai quand même profité de ce sommet pour me mettre une petite pression en moi-même. C'est-à-dire que lorsque tu t'inscris au sommet, tu peux bénéficier du pass VIP. Donc là, à l'heure où tu vas écouter ce podcast, en fait, c'est passé. Le pass VIP, en fait, le sommet est passé. Donc, c'est plus du tout cohérent que je te parle du salon. J'aurais pu te faire bien plus tôt. Peut-être qu'il y a un petit acte manqué de ma part pour éviter la prise de risque. Mais au sein, au cœur du pass VIP qui te permettait d'avoir les replays à vie, parce que sinon, ils sont limités jusqu'à 18h. Mais en fait, j'ai inclus la pré-vente de mon futur lit qui est en cours. d'écriture dont je peux te partager le titre. Ce livre s'appellera, en tout cas la première version, « Simplifie ta vie » . Et du coup, ce livre est en cours d'écriture et du coup, pour m'aider à avancer dans cette écriture parce que je suis une abondante procrastinatrice sur le sujet de ce livre, je me suis dit qu'en fait, il va falloir que j'aille utiliser un de mes meilleurs atouts qui est le fait de « je suis bonne sous pression » . Voilà, c'est là que vraiment j'excelle. Et donc, il va falloir que je me mette de la pression. Et donc, du coup, te permettre d'acheter ce livre alors qu'il est en cours d'écriture en paix mentale. Ben là, actuellement, vous êtes 60. 60 à avoir acheté ce livre. Il va falloir que je le sorte. Je n'ai plus beaucoup de livres. Donc là, déjà, c'est un super défi de travail. Donc, mon projet, ça va être d'écrire mon livre cet été, pendant le mois de juillet, le mois de août. Donc, pendant aussi une partie de mes vacances. Ça, c'est le deuxième défi. En tout cas, de l'écrire en fin de année. En ce temps, il ne va pas sortir à la fin de l'été. Mais là, le projet, c'est plutôt qu'il sorte à la fin de l'année. Troisième défi, ça va être un déménagement. Voilà, au milieu, tac, tac, tac, c'est avec un détail. Un petit détail. Un déménagement, fin juillet. Et bien sûr, comme si ça ne suffisait pas. Oui, si. Oh là là. Allez, un, deux, trois, on articule. Comme si ça ne suffisait pas. Eh bien, je me suis lancée grâce à une amie qui m'a embarquée dans la voiture. Alors moi, si je m'embarque dans des aventures folles, il faut le savoir, c'est souvent à cause d'amis. Voilà, je rejette toute responsabilité. Je vais mettre ça sur mes amis. Quand j'ai fait du crossfit, c'était à cause d'une amie qui m'a embarquée. Et bien là, je me suis aventurée dans un nouveau challenge sportif où je prépare une course de 10 km qui aura lieu en septembre. Normalement, cette course, c'est la parisienne. Elle aura lieu à Paris. Est-ce que je vais relever le challenge d'oser aller jusqu'à Paris et pas faire un 10 km de mon côté ? C'est encore à voir. Tu me connais, j'aime les défis. Est-ce que je vais oser aller jusque-là, sachant que cette Parisienne, cette course, aura lieu en plein milieu d'un autre événement qu'on a organisé chez les Paulettes à la rentrée, mais je n'en doute pas plus encore pour l'instant. Voilà, voilà. Donc, c'était un été de défi. Donc, du coup, tout ça, c'était pour te dire que j'ai une semaine sportive devant moi parce que je continue, j'essaye de continuer. au moins une fois par semaine une séance de crossfit. J'ai dit j'essaie de continuer parce qu'en fait, je veux au crossfit parce que je veux chercher mes enfants à l'école. Ça me permet de caler comme une routine. C'est juste à côté de l'école, donc c'est très facile pour moi. Mes enfants ne veulent plus aller à l'école, etc. Je sais que je vais être challengée pour tenir la routine. Donc c'est pour ça que je m'autorise à s'y fouiller avec une fois, à s'y arrêter à y aller avec une fois. Ça, c'est suffisant, ça, c'est très bien. Mais du coup, parfois, j'ai deux à trois entraînements de course par semaine. donc au final ça me fait un quotidien sacrément sportif comparé à mon quotidien habituel. Et en vrai, j'adore ça. J'adore ça, me mettre en mouvement tous les jours. Ça me fait flipper, ça me fait un bien. Voilà, donc je me suis sacrément égarée. Pourquoi est-ce que je te parle de tout ça ? C'était pour t'encourager à te reconnecter à ce sentiment de liberté, à cette joie, à toi en tant que femme. Voilà, un encouragement à te dire existe, existe au milieu de ta vie. Existe au milieu de ta vie et commence par repérer les choses qui te mettent en voie, les choses qui te mettent en énergie, les choses qui te font kiffer. Et si tu ne sais plus, et si tu ne sais pas, demande-toi avant, avant tout ça, avant d'être maman, avant d'être au bout du rouleau. Dans les périodes de ma vie où ça allait bien, où j'étais bien dans ma peau, bien dans ma tête, en te souhaitant que ça puisse arriver, qu'est-ce que t'aimais faire ? qu'est-ce qui te faisait kiffer et puis et puis après tout si t'as jamais connu ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça et le meilleur moyen pour faire ça c'est plutôt une liste de choses tu te dis peut-être que je pourrais aimer mais je sais pas tu fais ta liste et puis tu les essayes et tu verras bien en essayant ah oui ça ça me parle ça j'aime trop oh ça je surkiffe ça je déteste je ne veux plus jamais faire ça de nouveau. Voilà, à un moment donné, fais appel à quelque chose que tu as certainement, sûrement à 100% éprouvé dans ton enfance, c'est la curiosité. Va chercher cette curiosité qui est là, qui n'est pas si loin que ça, et va explorer les choses. Bon, ça fait combien de temps que je vous en cherche ensemble ? 23 minutes ? Je pense que là j'ai fait un peu le tour. Comme quoi tu vois, parler en marchant. Ça libère le cerveau, ça libère les idées. Alors, encore une fois, si tu as besoin de créativité, si tu as besoin d'idées, si tu as besoin de prendre du recul sur une situation, va marcher et va parler en même temps. Et d'ailleurs, pour te dire, j'ai un ami qui est coach et dont c'est le métier. Il coach en allant marcher. Franchement, si ça, ce n'est pas le kiff, il coach les mecs notamment. Donc, si jamais tu recherches quelqu'un... pour un homme, j'ai quelqu'un à te conseiller. N'hésite pas à me contacter. Allez, je te laisse avec ça. Je te dis à très, très vite. Prends bien soin de toi. ciao ciao Merci.

Share

Embed

You may also like

Description

Aujourd’hui, je t’emmène avec moi pour une balade en ville, micro en poche (ou plutôt écouteurs en main) pour un épisode improvisé, spontané… et profondément vrai.


Je te parle de ces moments où l’on retrouve une partie de soi qu’on avait oubliée. De la liberté. De la joie simple. Du plaisir d’être seule. Du besoin de retrouver la femme qu’on est, derrière toutes les casquettes.


Je t’invite à réfléchir à ce qui, toi, te fait vibrer. Ce que tu aimais faire et que tu ne fais plus. Ce que tu pourrais redécouvrir si tu t’autorisais à sortir un peu du quotidien.


Et au passage, je te partage aussi les coulisses de mon été : mes défis, mon besoin de mouvement, l’écriture de mon livre, mon programme de course à pied… et cette quête toujours présente : celle de vivre en alignement avec mes vraies valeurs.


Un épisode à écouter en marchant, en flânant, en t’autorisant à exister pour toi.


🎧 Bonne écoute


*******


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


Je t'invite à me laisser une note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un commentaire pour expliquer ce que cet épisode t'a apporté. 


Si ce podcast te plait, ma lettre hebdomadaire te donnera l'inspiration supplémentaire !

Je l'envoie chaque dimanche, pour la recevoir clique ici


💫 Rejoins moi aussi sur : 

- Instagram  

- Youtube  


Je te souhaite une belle écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et à toi bienvenue dans le podcast simplifie le fait que tu es là pour t'aider à simplifier ta vie aujourd'hui on se retrouve en balade tu vas l'entendre le son est juste vraiment vraiment pas sérieux je suis désolée je m'excuse avance je suis partie en ville je suis au plein air du centre-ville de Pau Et je n'ai pas du tout pensé à emmener mon micro. Surtout que je n'ai même pas eu l'idée à l'avance de me dire « je vais enregistrer mon podcast au centre-ville » . Donc je fais avec mes écouteurs toutes mes excuses pour le son. J'espère que ce sera quand même confortable pour toi à écouter. Voilà, je me trouve en plein cœur de peau au centre-ville. Moi qui, depuis des mois maintenant, vis à la campagne, ça me fait toute chose. ça me fait tout chose de me retrouver en ville parce que c'était un peu mon quotidien il y a un an de ça lorsque j'habitais à Toulouse j'allais au moins une fois par semaine une après-midi j'allais travailler en ville dans des cafés c'est quelque chose que j'adorais faire et le fait de vivre à la campagne malheureusement fait que j'ai perdu cette habitude là parce que faire plus d'une demi-heure de trajet j'en avais plus courage par rapport aux bénéfices que ça m'apportait et surtout que maintenant que j'ai un bureau C'est aussi très très confortable de travailler dans mon bureau. Donc j'ai un peu lâché cette habitude. Et puis ce matin, j'ai dû amener une amie à la gare. Et je me suis dit, en étant casselle, je suis en ville, est-ce que je ne pourrais pas juste en projeter pour travailler dans un café, m'en salir, flammer ? Et je suis trop contente ! Je réalise, je me rappelle de combien j'aime ça ! De combien j'aime ça ! C'est cette... Voilà, le fait d'être bien installée, d'avoir... En fait, il y a un truc que j'adore faire quand je travaille, c'est d'être entourée de bruit, ce qui est un peu contradictoire quand... D'ailleurs, je travaille seulement dans mon bureau. C'est pour ça que quand je suis au bureau, j'ai toujours de la musique. Si je ne suis pas en séance de coaching, je n'aime pas le silence. Et donc, travailler dans un café avec des gens qui circulent, qui parlent, etc., un espèce de bruit de fond, moi, c'est quelque chose qui me convient très, très, très bien. Alors par contre, il ne faut pas qu'il y ait... des cris, des bruits, ça me bat les oreilles. Mais en dehors de ça, c'est vraiment quelque chose que j'aime beaucoup. Donc je me suis dit, en vrai, je vais partir enregistrer cet épisode avec toi. Enfin, pour toi, en tout cas, parce que tu n'es pas d'un des côtés, malheureusement. Mais je me suis dit, allez, je vais me le faire en mode, comme si tu étais là, que tu te balades avec moi en ville et on papote en même temps. En vrai. je vais être super honnête avec toi. En vrai, je ne sais pas de quoi je veux te parler. Voilà, ça va faire partie de ces quelques épisodes mythiques dans le podcast de Saint-Pierre, où je démarre en ne sachant pas où je t'emmène et en ne pensant pas comment on va finir tout ça. J'adore ce format-là, c'est un format beaucoup plus relax, beaucoup plus descendu, qui me permet aussi à moi de temps en temps de ne pas toujours être dans la préparation, mais dans le côté spontané. dont j'ai vraiment besoin dans ma créativité. Donc voilà, on est en ville, on est ensemble et on se balade. Et si tu étais là, tu vois, je pense qu'il y a une discussion que j'aimerais avoir avec toi. Et toi, en fait, c'est quand la dernière fois que tu as tissé un moment pour toi, un moment un peu hors de ton quotidien, un moment un petit peu... Un moment un petit peu spécial, un moment un petit peu privilégié, c'est quand la dernière fois que tu as vraiment kiffé ça ? Que tu as eu cette sensation de « Ah ! Ah, j'avais oublié que j'aimais ça, mais c'était trop bien ! » Ça, ça te concerne quoi ? Alors moi, c'est me balader en ville, mais toi, c'est peut-être complètement autre chose. Si tu as la réponse à ça, partage-la à moi sur Insta, écris-moi un message privé, je serais vraiment trop contente d'avoir ton retour là-dessus. Et puis, est-ce que c'est... Ça sert à rien moi, est-ce que c'est aller faire du sport ? Alors ça fait des temps que t'as pas fait de sport, mais en fait, avant t'en faisais vachement, t'aimais ça, et aujourd'hui t'en fais presque plus, mais en fait en vrai ça te fait vachement bien. Est-ce que c'est aller au ciné ? Qu'est-ce que t'aimais faire à une certaine période de ta vie que tu fais plus aujourd'hui, et qui en fait si tu le faisais, en vrai ça te ferait trop kiffer ? Ça te demande peut-être un peu, ça te coûte un petit peu, parce que ça te sort un peu de ta zone de confort habituelle. Mais en vrai... Ça te fait grave kiffer, quoi. Alors là, j'ai envie que tu me réponds. Tu n'es pas là. Donc je vais me contenter d'imaginer ta réponse et d'attendre que tu me partages ton regard. Et mine de rien, tu vois, c'est un moment un petit peu spécial du quotidien, il peut y avoir du temps. C'est vraiment des moments où tu vas aussi pouvoir te retrouver toi, en dehors de toutes tes casquettes. De ta casquette de maman, c'était maman. Ta casquette de... de responsable, de collègue, de directrice, de salarié, de je ne sais quoi, de dépouille, de fille, de tout ce que tu veux, les casquettes que tu portes dans ton quotidien, en bas de là, c'est juste l'occasion d'extraire de ça et de te retrouver toi en tant que femme. Et en fait, là, tu vois, en fait, ça me fait écho à un message que j'ai reçu de l'une d'entre vous, qu'elle se reconnaîtra parce qu'elle m'a dit qu'elle était une fidèle auditrice du podcast. Une d'entre vous qui m'a partagé sur Instagram le fait que les épisodes lui ont apporté énormément dans son quotidien. Et elle me disait dans son message sur Insta qu'elle était en perte de sens, en perte de repère et qu'elle ne savait plus qui elle était. En dehors justement de toutes ces casquettes, c'est plus qui elle est en tant que femme. Ok, il y a quelqu'un qui a mis la musique à fond derrière moi. C'est un camion qui veut passer. Je vais me pousser. Ça, tu l'entends. Il rigole. Et du coup, ben oui, voilà. Je ne savais plus qui elle était en tant que femme. Et justement, tu vois, moi, ça me fait vachement connectée à ça. C'est ce petit moment que tu stockes trois juste pour toi dans ton quotidien de choses que tu adores faire mais que tu ne fais jamais parce qu'en fait, en vrai, tu n'as jamais le temps. Et en fait, ce n'est pas que tu n'as pas le temps mais c'est que tu ne prends pas le temps. Tu ne prends juste pas. C'est ces petites choses que tu aimais faire avant qui vont te permettre de faire comme le petit poussé. Un caillou après l'autre, d'avancer sur ce chemin pour commencer à te retrouver toi. Retrouver ce que tu... Te retrouver toi, ça commence par retrouver ce qui te donne de la joie. En vrai, le chemin commence par là. Commencer à reconnecter à ce qui me donne de la joie dans ma vie, dans mon quotidien. Et ces moments de joie, ils m'ont indiqué plein de choses. Moi, tu vois, ce moment de balade en ville, de travailler dans un café, ça me rappelle quoi ? Ça me rappelle que, ah, mais en fait, déjà, ce que j'aime, c'est quand autour de moi, il y a du mouvement, il y a de la vie. Je n'aime pas être isolée, je n'aime pas être seule. Moi, ce dont j'ai besoin, c'est de raffinement. J'ai besoin de beauté. Ça, je vous en avais déjà parlé dans certains épisodes. de mon besoin d'être dans un bel environnement. Dès que je suis entourée de choses belles, je suis très inspirée, je suis créative, je me sens détendue. Ça paraît fou, mais en fait, moi, ça fait vraiment ce effet-là chez moi. Là, le fait que j'aime me balader en ville, ça me rappelle que j'aime découvrir, j'aime observer, que je suis curieuse. En fait, ça m'apprend plein de choses sur moi. et toi en fait quand tu fais cette petite chose pour toi qu'est-ce que ça t'apprend ? qu'est-ce que ça t'apprend ? à quoi ? à quelle partie de toi ça te reconnecte ? je vais te donner un autre exemple moi il y a un truc que j'adore faire et que du coup un peu pareil ça c'est les faits campagnes que je fais beaucoup moins c'est aller sortir dans l'apéro en ville dans un bar aller boire une bière en terrasse et et... Et en vrai, ça m'aime à toujours. Je crois que c'est déjà moi. Je crois que, grosso modo, depuis que j'ai des enfants, c'est un truc que je fais peu, mais que j'adore faire. Et en fait, ça parle de quoi ? Ça parle de mon besoin de chiller. Moi, j'adore ça, chiller, en fait. Moi, j'adore passer du temps avec des gens, à discuter, à rire. Moi, c'est un des meilleurs trucs que je crie dans la vie. Ça me parle aussi, je pense, de mon besoin de liberté. Vraiment, ce besoin de liberté, je sais que c'est un besoin important que je manque. Qu'il est là, qu'il est fort, qu'il est présent. J'ai besoin qu'il y ait des moments où j'ai pas d'engagement. Des moments où j'ai pas de responsabilité. Des moments où je peux juste faire ce que je veux, quand je veux. Et euh... Et tiens, c'est marrant que je te parle de ça. Oh là là, j'ai la police derrière moi. Oh attends, regarde où je vais, p'tit en fait, du coup... Vu que je ne connais pas cette ville, Je suis complètement capable de me paumer, moi, en se parlant. Attends, on va faire demi-tour. Voilà, on va remonter parce que j'ai l'impression que là je m'éloigne du centre-ville. puissance 1000. Donc oui, je te disais, c'est quand même assez rigolo ce que je te partage, parce qu'en fait, en vrai, là, depuis hier, j'ai mes enfants et mon mari qui sont partis en vacances. Ils ont un peu un peu désespoir, enfin, en tout cas, sur le coup, c'était un peu ça. Du coup, comme tu le sais, là, en ce moment, on est en plein dans la semaine du Sommet essentiel, version 2025. qui a lieu tous les ans. Et tous les ans, c'est la troisième fois qu'on le répète au mois de juillet. Et du coup, à ce moment-là, mes enfants sont en vacances. Et vu qu'on ne les inscrit pas, en tout cas pour l'instant, dans des centres paris, dans des colles, on a fait comme ça, et qu'on n'a pas de famille très proche, et que nos amis ne sont pas disponibles pour garder 24h à 24h aux enfants. Et bah du coup, mon mari s'est arrêté de travailler. C'est lui qui s'en occupe. Et puis il m'a dit, bah en fait, nous, on va pas juste rester à la maison, Jérémy, attendre que t'aies fini de travailler. Lui, il avait envie de faire les trucs de son côté. Il avait envie d'aller voir ses parents, de la famille. Il avait envie d'aller voir la famille et tout ça. Et du coup, on s'est dit, bon bah, voilà, on s'est libérés mutuellement. En mode, bah vas-y, quoi. Ça sert à rien que tu restes là, en effet. allez vous amuser, allez vous quitter, et puis de toute façon on aura un temps de vacances, on sent notre famille dans quelques semaines, on n'a pas de temps, etc. Et en fait, sur le coup, enfin, sur le coup, en fait ça faisait quelques jours avant le départ que moi je commençais à juste vraiment pas être bien, vraiment en mode dégoûtée, dégoûtée parce qu'en fait, tu sais que pour moi la conciliation vie pro-vie perso, c'est vraiment important que ma vie pro soit au service de ma vie perso. Et là, j'avais l'impression, dans ce cas-là, en fait, ma vie de pro ne prenait pas sur ma vie perso. Elle ne prenait pas sur ma vie de famille. Et moi, la valeur famille, après la valeur liberté, avant, peu importe, ce n'est pas hiérarchique, elle est hyper, méga importante. Je pense qu'elle est vraiment au cœur de tout. Et du coup, j'étais là, mais attends, ma pâte, là, je ne vais pas passer de temps en famille, avec mes enfants, profiter. Et pour toi, Marie ? Là, mon cerveau, il a bugué. et ça m'a tenté en fait Enfin, c'est pas ça que je veux. Donc du coup, les quelques jours avant leur départ ont été un peu compliqués pour moi. Jusqu'à hier, ils sont partis. En vrai, je devais être super authentique avec toi. J'étais hyper triste. J'étais hyper triste quand ils sont partis. Et puis, c'est cool, j'ai eu des clients dans la séance de coaching. On est trop ensemble, vous étiez là. Je leur ai dit, tu vois, en mode, bon, au début de coaching, en fait, on fait toujours un peu un point sur comment ça va aller. Les filles vont te mettre au du jour et tu vas victoire. Et moi, je leur ai dit, moi, ma météo, ce n'est pas fou aujourd'hui. Principe de l'authenticité. On te demande de jouer la carte de l'authenticité chez les pelettes, mais nous, on la joue avec toi. Et voilà. Oui, non, ce n'est pas fou aujourd'hui. Je suis un peu triste. Mais en fait, le fait déjà de le reconnaître, de le dire, en vrai, ça m'a déjà aidée à... Je pense à ce que cette vague de tristesse s'en aille plus vite. Et puis quand même en leur disant ça, j'ai réalisé que quand même... Et c'est là où tu vas halluciner. J'ai réalisé en leur disant que, attends, mais ça veut aussi dire quand même que là, pendant plusieurs jours, je vis ma vie toute seule. Je fais ce que je veux de mon temps. Je n'ai plus aucune responsabilité. Donc ça, tu l'avais vu venir. Je suis sûre, c'est le premier truc que tu t'es dit. Ah ouais, la Lune, elle va se retrouver quelques jours sans famille. Elle va pouvoir faire ce qu'elle veut avec tous ses amis. Ben, je te promets. Mais c'est parce qu'elle m'a mis en commun. C'est fou. Donc, hier, je me suis rappelée... Là, tu es prêt. Tu vas goûter un peu à la liberté de ce que ça représente. Et tu vas kiffer. Bon, ben, ça va pas louper. Voilà, j'ai fait ma preuve. J'avais peur de déprimer. Que nenni ! Après le boulot, il était 6h30. Donc là, je ne travaille jamais aussi tard. Je ne travaille jamais aussi tard parce que j'ai une famille qui m'attend. Là, déjà, pas de pression pour finir à temps. Je crois que c'est agréable. C'est trop bien. Ensuite, j'avais prévu d'aller courir. Je suis partie courir. Je n'avais personne qui m'attendait. Donc, j'ai pu prendre mon temps. Rentrer, je suis rentrée sur moi, il devait être 20h. Je me suis dit « What ? Je ne fais jamais ça, 20h. » Normalement, tout est plié, le repas est plié, les enfants sont en train d'être pris. Moi, je suis en train de ranger la cuisine ou un vertement avec mon mari, enfin bref. J'étais là « Quoi ? J'ai que moi à m'occuper ? » Et après, finalement, qu'est-ce que j'ai fait pendant la soirée ? J'ai fait... J'ai fait... Je ne sais pas. Je ne sais pas. J'ai fait du rangement. Parce qu'en fait, je me suis dit, OK, la maison, en fait, là, je vais l'avoir pour moi pendant plus d'une semaine. J'ai juste envie de surkiffer le fait d'avoir une maison pour me ranger pendant une semaine. Une maison qui, en plus, va rester rangée. Oh, le gros kiff ! Donc, je me suis mis en fait de, allez, les trucs les plus chiants, là, qui me saoulent de voir ça au quotidien, je vais les ranger comme ça, je n'y pense plus. et je kiffe ma maison. Voilà, donc j'ai fait du ronflement, un petit peu de nettoyage, je m'en suis coupée bien et à 22h, toute contente, bon allez, je vais me poser, je vais boucler et j'ai surkiffé cette soirée. Et là je me dis, ah oui, en fait ça va être ça tous les jours, je me rappelle, comment c'est bien. Je me rappelle et en fait c'est exactement ce même principe, c'est-à-dire que depuis qu'on est ici, nous, ça fait presque un an maintenant. En fait, j'ai pas eu une période où j'ai été toute seule. Je suis partie par contre. partie en formation, des trucs comme ça. Mais chez moi, toute seule, ça ne s'est pas arrivé. Ça m'était déjà arrivé, mais à Toulouse. Et du coup, ici, je parlais de ça avec une copine ici. Je lui disais, mais en fait, je comprends ce qui se passe. Je n'ai pas mes repères. Je n'ai pas mes habitudes. Je n'ai pas les petits trucs que j'aime bien faire que j'avais réussi à créer comme routine dans mon quotidien. Ici, je ne les ai pas. En dehors de ma vie à la maison, quoi. Du coup, je me sens un peu toute perdue. Et finalement... en quelques heures, j'ai reconnecté avec ce à quoi j'avais déjà goûté. Je peux te dire que j'étais très contente maintenant. Voilà, je compte bien qu'ils aient mal à l'aise. Alors oui, je sais qu'il va y avoir des petits moments, des petits pincements quand je vais recevoir des petites vidéos, des petites photos de leur part et qu'ils vont s'éclater dans la rivière, dans la Cévennes. Ok, ok. Je me réjouis pour eux, je suis contente que je puisse vivre ça avec leur papa. Et puis moi, je vais essayer de tâcher de le kiffer de mon côté aussi. Je vais tâcher de kiffer. Donc, le programme pour moi, ça va être carton. Voilà. Donc, je te dis, je vais kiffer, mais je vais faire du carton. Si, en vrai, il y a une petite part de moi qui est comprise de faire ce carton-là. Et là, je suis en train de plancher sur, attends, qu'est-ce que je pourrais me prévoir comme moment super cool, super sympa ? Qu'est-ce que j'aime bien faire ? Qu'est-ce qui me ferait plaisir ? Donc, typiquement, je te l'ai dit tout à l'heure, aller boire un verre en terrasse avec ma copine en mode after work. oh là là j'ai trop envie Je ne l'ai pas encore appelé, mais ça va être fait dans les prochaines heures. Et voilà, ça va être des petits moments comme ça dans le quotidien. Je vais essayer de me créer cette semaine. En plus de mes défis sportifs, alors ça, je crois que je n'en ai pas beaucoup parlé non plus. Mais cet été va être un été en mode défi. Je crois que c'est vraiment le mot de mon été. Je n'ai pas trop fait exprès, en fait, en vrai. Mais je cumule les défis cet été et je me sens très, très, très en énergie. C'est un truc qui me booste et qui me plaît énormément, de savoir que j'ai plusieurs défis en même temps, en parallèle. Donc, bien sûr, c'était le défi qui commence avec l'organisation du Sommet Essentiel, qui se passe super bien. Vous êtes plus de 1000 inscrits, c'est un truc de ouf. Je sais que les intervenants, enfin, vos retours par rapport aux interventions sont... Wow, c'est impressionnant. tout ce que ça vous apporte, ce que ça vous fait, comment ça vous a poussé à avancer. Je suis tellement contente que vous ayez créé ce contenu à disposition, c'est trop fort. Et donc du coup, il y a l'organisation de ce sommet. Et à cause de ça, j'ai quand même profité de ce sommet pour me mettre une petite pression en moi-même. C'est-à-dire que lorsque tu t'inscris au sommet, tu peux bénéficier du pass VIP. Donc là, à l'heure où tu vas écouter ce podcast, en fait, c'est passé. Le pass VIP, en fait, le sommet est passé. Donc, c'est plus du tout cohérent que je te parle du salon. J'aurais pu te faire bien plus tôt. Peut-être qu'il y a un petit acte manqué de ma part pour éviter la prise de risque. Mais au sein, au cœur du pass VIP qui te permettait d'avoir les replays à vie, parce que sinon, ils sont limités jusqu'à 18h. Mais en fait, j'ai inclus la pré-vente de mon futur lit qui est en cours. d'écriture dont je peux te partager le titre. Ce livre s'appellera, en tout cas la première version, « Simplifie ta vie » . Et du coup, ce livre est en cours d'écriture et du coup, pour m'aider à avancer dans cette écriture parce que je suis une abondante procrastinatrice sur le sujet de ce livre, je me suis dit qu'en fait, il va falloir que j'aille utiliser un de mes meilleurs atouts qui est le fait de « je suis bonne sous pression » . Voilà, c'est là que vraiment j'excelle. Et donc, il va falloir que je me mette de la pression. Et donc, du coup, te permettre d'acheter ce livre alors qu'il est en cours d'écriture en paix mentale. Ben là, actuellement, vous êtes 60. 60 à avoir acheté ce livre. Il va falloir que je le sorte. Je n'ai plus beaucoup de livres. Donc là, déjà, c'est un super défi de travail. Donc, mon projet, ça va être d'écrire mon livre cet été, pendant le mois de juillet, le mois de août. Donc, pendant aussi une partie de mes vacances. Ça, c'est le deuxième défi. En tout cas, de l'écrire en fin de année. En ce temps, il ne va pas sortir à la fin de l'été. Mais là, le projet, c'est plutôt qu'il sorte à la fin de l'année. Troisième défi, ça va être un déménagement. Voilà, au milieu, tac, tac, tac, c'est avec un détail. Un petit détail. Un déménagement, fin juillet. Et bien sûr, comme si ça ne suffisait pas. Oui, si. Oh là là. Allez, un, deux, trois, on articule. Comme si ça ne suffisait pas. Eh bien, je me suis lancée grâce à une amie qui m'a embarquée dans la voiture. Alors moi, si je m'embarque dans des aventures folles, il faut le savoir, c'est souvent à cause d'amis. Voilà, je rejette toute responsabilité. Je vais mettre ça sur mes amis. Quand j'ai fait du crossfit, c'était à cause d'une amie qui m'a embarquée. Et bien là, je me suis aventurée dans un nouveau challenge sportif où je prépare une course de 10 km qui aura lieu en septembre. Normalement, cette course, c'est la parisienne. Elle aura lieu à Paris. Est-ce que je vais relever le challenge d'oser aller jusqu'à Paris et pas faire un 10 km de mon côté ? C'est encore à voir. Tu me connais, j'aime les défis. Est-ce que je vais oser aller jusque-là, sachant que cette Parisienne, cette course, aura lieu en plein milieu d'un autre événement qu'on a organisé chez les Paulettes à la rentrée, mais je n'en doute pas plus encore pour l'instant. Voilà, voilà. Donc, c'était un été de défi. Donc, du coup, tout ça, c'était pour te dire que j'ai une semaine sportive devant moi parce que je continue, j'essaye de continuer. au moins une fois par semaine une séance de crossfit. J'ai dit j'essaie de continuer parce qu'en fait, je veux au crossfit parce que je veux chercher mes enfants à l'école. Ça me permet de caler comme une routine. C'est juste à côté de l'école, donc c'est très facile pour moi. Mes enfants ne veulent plus aller à l'école, etc. Je sais que je vais être challengée pour tenir la routine. Donc c'est pour ça que je m'autorise à s'y fouiller avec une fois, à s'y arrêter à y aller avec une fois. Ça, c'est suffisant, ça, c'est très bien. Mais du coup, parfois, j'ai deux à trois entraînements de course par semaine. donc au final ça me fait un quotidien sacrément sportif comparé à mon quotidien habituel. Et en vrai, j'adore ça. J'adore ça, me mettre en mouvement tous les jours. Ça me fait flipper, ça me fait un bien. Voilà, donc je me suis sacrément égarée. Pourquoi est-ce que je te parle de tout ça ? C'était pour t'encourager à te reconnecter à ce sentiment de liberté, à cette joie, à toi en tant que femme. Voilà, un encouragement à te dire existe, existe au milieu de ta vie. Existe au milieu de ta vie et commence par repérer les choses qui te mettent en voie, les choses qui te mettent en énergie, les choses qui te font kiffer. Et si tu ne sais plus, et si tu ne sais pas, demande-toi avant, avant tout ça, avant d'être maman, avant d'être au bout du rouleau. Dans les périodes de ma vie où ça allait bien, où j'étais bien dans ma peau, bien dans ma tête, en te souhaitant que ça puisse arriver, qu'est-ce que t'aimais faire ? qu'est-ce qui te faisait kiffer et puis et puis après tout si t'as jamais connu ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça et le meilleur moyen pour faire ça c'est plutôt une liste de choses tu te dis peut-être que je pourrais aimer mais je sais pas tu fais ta liste et puis tu les essayes et tu verras bien en essayant ah oui ça ça me parle ça j'aime trop oh ça je surkiffe ça je déteste je ne veux plus jamais faire ça de nouveau. Voilà, à un moment donné, fais appel à quelque chose que tu as certainement, sûrement à 100% éprouvé dans ton enfance, c'est la curiosité. Va chercher cette curiosité qui est là, qui n'est pas si loin que ça, et va explorer les choses. Bon, ça fait combien de temps que je vous en cherche ensemble ? 23 minutes ? Je pense que là j'ai fait un peu le tour. Comme quoi tu vois, parler en marchant. Ça libère le cerveau, ça libère les idées. Alors, encore une fois, si tu as besoin de créativité, si tu as besoin d'idées, si tu as besoin de prendre du recul sur une situation, va marcher et va parler en même temps. Et d'ailleurs, pour te dire, j'ai un ami qui est coach et dont c'est le métier. Il coach en allant marcher. Franchement, si ça, ce n'est pas le kiff, il coach les mecs notamment. Donc, si jamais tu recherches quelqu'un... pour un homme, j'ai quelqu'un à te conseiller. N'hésite pas à me contacter. Allez, je te laisse avec ça. Je te dis à très, très vite. Prends bien soin de toi. ciao ciao Merci.

Description

Aujourd’hui, je t’emmène avec moi pour une balade en ville, micro en poche (ou plutôt écouteurs en main) pour un épisode improvisé, spontané… et profondément vrai.


Je te parle de ces moments où l’on retrouve une partie de soi qu’on avait oubliée. De la liberté. De la joie simple. Du plaisir d’être seule. Du besoin de retrouver la femme qu’on est, derrière toutes les casquettes.


Je t’invite à réfléchir à ce qui, toi, te fait vibrer. Ce que tu aimais faire et que tu ne fais plus. Ce que tu pourrais redécouvrir si tu t’autorisais à sortir un peu du quotidien.


Et au passage, je te partage aussi les coulisses de mon été : mes défis, mon besoin de mouvement, l’écriture de mon livre, mon programme de course à pied… et cette quête toujours présente : celle de vivre en alignement avec mes vraies valeurs.


Un épisode à écouter en marchant, en flânant, en t’autorisant à exister pour toi.


🎧 Bonne écoute


*******


Pour poser tes questions afin que j'y réponde dans un prochain épisode écris moi sur geraldine@paulettesimparfaites.com ou en message privé sur Instagram.


Je t'invite à me laisser une note ⭐️⭐️⭐️⭐️⭐️ et un commentaire pour expliquer ce que cet épisode t'a apporté. 


Si ce podcast te plait, ma lettre hebdomadaire te donnera l'inspiration supplémentaire !

Je l'envoie chaque dimanche, pour la recevoir clique ici


💫 Rejoins moi aussi sur : 

- Instagram  

- Youtube  


Je te souhaite une belle écoute !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    et à toi bienvenue dans le podcast simplifie le fait que tu es là pour t'aider à simplifier ta vie aujourd'hui on se retrouve en balade tu vas l'entendre le son est juste vraiment vraiment pas sérieux je suis désolée je m'excuse avance je suis partie en ville je suis au plein air du centre-ville de Pau Et je n'ai pas du tout pensé à emmener mon micro. Surtout que je n'ai même pas eu l'idée à l'avance de me dire « je vais enregistrer mon podcast au centre-ville » . Donc je fais avec mes écouteurs toutes mes excuses pour le son. J'espère que ce sera quand même confortable pour toi à écouter. Voilà, je me trouve en plein cœur de peau au centre-ville. Moi qui, depuis des mois maintenant, vis à la campagne, ça me fait toute chose. ça me fait tout chose de me retrouver en ville parce que c'était un peu mon quotidien il y a un an de ça lorsque j'habitais à Toulouse j'allais au moins une fois par semaine une après-midi j'allais travailler en ville dans des cafés c'est quelque chose que j'adorais faire et le fait de vivre à la campagne malheureusement fait que j'ai perdu cette habitude là parce que faire plus d'une demi-heure de trajet j'en avais plus courage par rapport aux bénéfices que ça m'apportait et surtout que maintenant que j'ai un bureau C'est aussi très très confortable de travailler dans mon bureau. Donc j'ai un peu lâché cette habitude. Et puis ce matin, j'ai dû amener une amie à la gare. Et je me suis dit, en étant casselle, je suis en ville, est-ce que je ne pourrais pas juste en projeter pour travailler dans un café, m'en salir, flammer ? Et je suis trop contente ! Je réalise, je me rappelle de combien j'aime ça ! De combien j'aime ça ! C'est cette... Voilà, le fait d'être bien installée, d'avoir... En fait, il y a un truc que j'adore faire quand je travaille, c'est d'être entourée de bruit, ce qui est un peu contradictoire quand... D'ailleurs, je travaille seulement dans mon bureau. C'est pour ça que quand je suis au bureau, j'ai toujours de la musique. Si je ne suis pas en séance de coaching, je n'aime pas le silence. Et donc, travailler dans un café avec des gens qui circulent, qui parlent, etc., un espèce de bruit de fond, moi, c'est quelque chose qui me convient très, très, très bien. Alors par contre, il ne faut pas qu'il y ait... des cris, des bruits, ça me bat les oreilles. Mais en dehors de ça, c'est vraiment quelque chose que j'aime beaucoup. Donc je me suis dit, en vrai, je vais partir enregistrer cet épisode avec toi. Enfin, pour toi, en tout cas, parce que tu n'es pas d'un des côtés, malheureusement. Mais je me suis dit, allez, je vais me le faire en mode, comme si tu étais là, que tu te balades avec moi en ville et on papote en même temps. En vrai. je vais être super honnête avec toi. En vrai, je ne sais pas de quoi je veux te parler. Voilà, ça va faire partie de ces quelques épisodes mythiques dans le podcast de Saint-Pierre, où je démarre en ne sachant pas où je t'emmène et en ne pensant pas comment on va finir tout ça. J'adore ce format-là, c'est un format beaucoup plus relax, beaucoup plus descendu, qui me permet aussi à moi de temps en temps de ne pas toujours être dans la préparation, mais dans le côté spontané. dont j'ai vraiment besoin dans ma créativité. Donc voilà, on est en ville, on est ensemble et on se balade. Et si tu étais là, tu vois, je pense qu'il y a une discussion que j'aimerais avoir avec toi. Et toi, en fait, c'est quand la dernière fois que tu as tissé un moment pour toi, un moment un peu hors de ton quotidien, un moment un petit peu... Un moment un petit peu spécial, un moment un petit peu privilégié, c'est quand la dernière fois que tu as vraiment kiffé ça ? Que tu as eu cette sensation de « Ah ! Ah, j'avais oublié que j'aimais ça, mais c'était trop bien ! » Ça, ça te concerne quoi ? Alors moi, c'est me balader en ville, mais toi, c'est peut-être complètement autre chose. Si tu as la réponse à ça, partage-la à moi sur Insta, écris-moi un message privé, je serais vraiment trop contente d'avoir ton retour là-dessus. Et puis, est-ce que c'est... Ça sert à rien moi, est-ce que c'est aller faire du sport ? Alors ça fait des temps que t'as pas fait de sport, mais en fait, avant t'en faisais vachement, t'aimais ça, et aujourd'hui t'en fais presque plus, mais en fait en vrai ça te fait vachement bien. Est-ce que c'est aller au ciné ? Qu'est-ce que t'aimais faire à une certaine période de ta vie que tu fais plus aujourd'hui, et qui en fait si tu le faisais, en vrai ça te ferait trop kiffer ? Ça te demande peut-être un peu, ça te coûte un petit peu, parce que ça te sort un peu de ta zone de confort habituelle. Mais en vrai... Ça te fait grave kiffer, quoi. Alors là, j'ai envie que tu me réponds. Tu n'es pas là. Donc je vais me contenter d'imaginer ta réponse et d'attendre que tu me partages ton regard. Et mine de rien, tu vois, c'est un moment un petit peu spécial du quotidien, il peut y avoir du temps. C'est vraiment des moments où tu vas aussi pouvoir te retrouver toi, en dehors de toutes tes casquettes. De ta casquette de maman, c'était maman. Ta casquette de... de responsable, de collègue, de directrice, de salarié, de je ne sais quoi, de dépouille, de fille, de tout ce que tu veux, les casquettes que tu portes dans ton quotidien, en bas de là, c'est juste l'occasion d'extraire de ça et de te retrouver toi en tant que femme. Et en fait, là, tu vois, en fait, ça me fait écho à un message que j'ai reçu de l'une d'entre vous, qu'elle se reconnaîtra parce qu'elle m'a dit qu'elle était une fidèle auditrice du podcast. Une d'entre vous qui m'a partagé sur Instagram le fait que les épisodes lui ont apporté énormément dans son quotidien. Et elle me disait dans son message sur Insta qu'elle était en perte de sens, en perte de repère et qu'elle ne savait plus qui elle était. En dehors justement de toutes ces casquettes, c'est plus qui elle est en tant que femme. Ok, il y a quelqu'un qui a mis la musique à fond derrière moi. C'est un camion qui veut passer. Je vais me pousser. Ça, tu l'entends. Il rigole. Et du coup, ben oui, voilà. Je ne savais plus qui elle était en tant que femme. Et justement, tu vois, moi, ça me fait vachement connectée à ça. C'est ce petit moment que tu stockes trois juste pour toi dans ton quotidien de choses que tu adores faire mais que tu ne fais jamais parce qu'en fait, en vrai, tu n'as jamais le temps. Et en fait, ce n'est pas que tu n'as pas le temps mais c'est que tu ne prends pas le temps. Tu ne prends juste pas. C'est ces petites choses que tu aimais faire avant qui vont te permettre de faire comme le petit poussé. Un caillou après l'autre, d'avancer sur ce chemin pour commencer à te retrouver toi. Retrouver ce que tu... Te retrouver toi, ça commence par retrouver ce qui te donne de la joie. En vrai, le chemin commence par là. Commencer à reconnecter à ce qui me donne de la joie dans ma vie, dans mon quotidien. Et ces moments de joie, ils m'ont indiqué plein de choses. Moi, tu vois, ce moment de balade en ville, de travailler dans un café, ça me rappelle quoi ? Ça me rappelle que, ah, mais en fait, déjà, ce que j'aime, c'est quand autour de moi, il y a du mouvement, il y a de la vie. Je n'aime pas être isolée, je n'aime pas être seule. Moi, ce dont j'ai besoin, c'est de raffinement. J'ai besoin de beauté. Ça, je vous en avais déjà parlé dans certains épisodes. de mon besoin d'être dans un bel environnement. Dès que je suis entourée de choses belles, je suis très inspirée, je suis créative, je me sens détendue. Ça paraît fou, mais en fait, moi, ça fait vraiment ce effet-là chez moi. Là, le fait que j'aime me balader en ville, ça me rappelle que j'aime découvrir, j'aime observer, que je suis curieuse. En fait, ça m'apprend plein de choses sur moi. et toi en fait quand tu fais cette petite chose pour toi qu'est-ce que ça t'apprend ? qu'est-ce que ça t'apprend ? à quoi ? à quelle partie de toi ça te reconnecte ? je vais te donner un autre exemple moi il y a un truc que j'adore faire et que du coup un peu pareil ça c'est les faits campagnes que je fais beaucoup moins c'est aller sortir dans l'apéro en ville dans un bar aller boire une bière en terrasse et et... Et en vrai, ça m'aime à toujours. Je crois que c'est déjà moi. Je crois que, grosso modo, depuis que j'ai des enfants, c'est un truc que je fais peu, mais que j'adore faire. Et en fait, ça parle de quoi ? Ça parle de mon besoin de chiller. Moi, j'adore ça, chiller, en fait. Moi, j'adore passer du temps avec des gens, à discuter, à rire. Moi, c'est un des meilleurs trucs que je crie dans la vie. Ça me parle aussi, je pense, de mon besoin de liberté. Vraiment, ce besoin de liberté, je sais que c'est un besoin important que je manque. Qu'il est là, qu'il est fort, qu'il est présent. J'ai besoin qu'il y ait des moments où j'ai pas d'engagement. Des moments où j'ai pas de responsabilité. Des moments où je peux juste faire ce que je veux, quand je veux. Et euh... Et tiens, c'est marrant que je te parle de ça. Oh là là, j'ai la police derrière moi. Oh attends, regarde où je vais, p'tit en fait, du coup... Vu que je ne connais pas cette ville, Je suis complètement capable de me paumer, moi, en se parlant. Attends, on va faire demi-tour. Voilà, on va remonter parce que j'ai l'impression que là je m'éloigne du centre-ville. puissance 1000. Donc oui, je te disais, c'est quand même assez rigolo ce que je te partage, parce qu'en fait, en vrai, là, depuis hier, j'ai mes enfants et mon mari qui sont partis en vacances. Ils ont un peu un peu désespoir, enfin, en tout cas, sur le coup, c'était un peu ça. Du coup, comme tu le sais, là, en ce moment, on est en plein dans la semaine du Sommet essentiel, version 2025. qui a lieu tous les ans. Et tous les ans, c'est la troisième fois qu'on le répète au mois de juillet. Et du coup, à ce moment-là, mes enfants sont en vacances. Et vu qu'on ne les inscrit pas, en tout cas pour l'instant, dans des centres paris, dans des colles, on a fait comme ça, et qu'on n'a pas de famille très proche, et que nos amis ne sont pas disponibles pour garder 24h à 24h aux enfants. Et bah du coup, mon mari s'est arrêté de travailler. C'est lui qui s'en occupe. Et puis il m'a dit, bah en fait, nous, on va pas juste rester à la maison, Jérémy, attendre que t'aies fini de travailler. Lui, il avait envie de faire les trucs de son côté. Il avait envie d'aller voir ses parents, de la famille. Il avait envie d'aller voir la famille et tout ça. Et du coup, on s'est dit, bon bah, voilà, on s'est libérés mutuellement. En mode, bah vas-y, quoi. Ça sert à rien que tu restes là, en effet. allez vous amuser, allez vous quitter, et puis de toute façon on aura un temps de vacances, on sent notre famille dans quelques semaines, on n'a pas de temps, etc. Et en fait, sur le coup, enfin, sur le coup, en fait ça faisait quelques jours avant le départ que moi je commençais à juste vraiment pas être bien, vraiment en mode dégoûtée, dégoûtée parce qu'en fait, tu sais que pour moi la conciliation vie pro-vie perso, c'est vraiment important que ma vie pro soit au service de ma vie perso. Et là, j'avais l'impression, dans ce cas-là, en fait, ma vie de pro ne prenait pas sur ma vie perso. Elle ne prenait pas sur ma vie de famille. Et moi, la valeur famille, après la valeur liberté, avant, peu importe, ce n'est pas hiérarchique, elle est hyper, méga importante. Je pense qu'elle est vraiment au cœur de tout. Et du coup, j'étais là, mais attends, ma pâte, là, je ne vais pas passer de temps en famille, avec mes enfants, profiter. Et pour toi, Marie ? Là, mon cerveau, il a bugué. et ça m'a tenté en fait Enfin, c'est pas ça que je veux. Donc du coup, les quelques jours avant leur départ ont été un peu compliqués pour moi. Jusqu'à hier, ils sont partis. En vrai, je devais être super authentique avec toi. J'étais hyper triste. J'étais hyper triste quand ils sont partis. Et puis, c'est cool, j'ai eu des clients dans la séance de coaching. On est trop ensemble, vous étiez là. Je leur ai dit, tu vois, en mode, bon, au début de coaching, en fait, on fait toujours un peu un point sur comment ça va aller. Les filles vont te mettre au du jour et tu vas victoire. Et moi, je leur ai dit, moi, ma météo, ce n'est pas fou aujourd'hui. Principe de l'authenticité. On te demande de jouer la carte de l'authenticité chez les pelettes, mais nous, on la joue avec toi. Et voilà. Oui, non, ce n'est pas fou aujourd'hui. Je suis un peu triste. Mais en fait, le fait déjà de le reconnaître, de le dire, en vrai, ça m'a déjà aidée à... Je pense à ce que cette vague de tristesse s'en aille plus vite. Et puis quand même en leur disant ça, j'ai réalisé que quand même... Et c'est là où tu vas halluciner. J'ai réalisé en leur disant que, attends, mais ça veut aussi dire quand même que là, pendant plusieurs jours, je vis ma vie toute seule. Je fais ce que je veux de mon temps. Je n'ai plus aucune responsabilité. Donc ça, tu l'avais vu venir. Je suis sûre, c'est le premier truc que tu t'es dit. Ah ouais, la Lune, elle va se retrouver quelques jours sans famille. Elle va pouvoir faire ce qu'elle veut avec tous ses amis. Ben, je te promets. Mais c'est parce qu'elle m'a mis en commun. C'est fou. Donc, hier, je me suis rappelée... Là, tu es prêt. Tu vas goûter un peu à la liberté de ce que ça représente. Et tu vas kiffer. Bon, ben, ça va pas louper. Voilà, j'ai fait ma preuve. J'avais peur de déprimer. Que nenni ! Après le boulot, il était 6h30. Donc là, je ne travaille jamais aussi tard. Je ne travaille jamais aussi tard parce que j'ai une famille qui m'attend. Là, déjà, pas de pression pour finir à temps. Je crois que c'est agréable. C'est trop bien. Ensuite, j'avais prévu d'aller courir. Je suis partie courir. Je n'avais personne qui m'attendait. Donc, j'ai pu prendre mon temps. Rentrer, je suis rentrée sur moi, il devait être 20h. Je me suis dit « What ? Je ne fais jamais ça, 20h. » Normalement, tout est plié, le repas est plié, les enfants sont en train d'être pris. Moi, je suis en train de ranger la cuisine ou un vertement avec mon mari, enfin bref. J'étais là « Quoi ? J'ai que moi à m'occuper ? » Et après, finalement, qu'est-ce que j'ai fait pendant la soirée ? J'ai fait... J'ai fait... Je ne sais pas. Je ne sais pas. J'ai fait du rangement. Parce qu'en fait, je me suis dit, OK, la maison, en fait, là, je vais l'avoir pour moi pendant plus d'une semaine. J'ai juste envie de surkiffer le fait d'avoir une maison pour me ranger pendant une semaine. Une maison qui, en plus, va rester rangée. Oh, le gros kiff ! Donc, je me suis mis en fait de, allez, les trucs les plus chiants, là, qui me saoulent de voir ça au quotidien, je vais les ranger comme ça, je n'y pense plus. et je kiffe ma maison. Voilà, donc j'ai fait du ronflement, un petit peu de nettoyage, je m'en suis coupée bien et à 22h, toute contente, bon allez, je vais me poser, je vais boucler et j'ai surkiffé cette soirée. Et là je me dis, ah oui, en fait ça va être ça tous les jours, je me rappelle, comment c'est bien. Je me rappelle et en fait c'est exactement ce même principe, c'est-à-dire que depuis qu'on est ici, nous, ça fait presque un an maintenant. En fait, j'ai pas eu une période où j'ai été toute seule. Je suis partie par contre. partie en formation, des trucs comme ça. Mais chez moi, toute seule, ça ne s'est pas arrivé. Ça m'était déjà arrivé, mais à Toulouse. Et du coup, ici, je parlais de ça avec une copine ici. Je lui disais, mais en fait, je comprends ce qui se passe. Je n'ai pas mes repères. Je n'ai pas mes habitudes. Je n'ai pas les petits trucs que j'aime bien faire que j'avais réussi à créer comme routine dans mon quotidien. Ici, je ne les ai pas. En dehors de ma vie à la maison, quoi. Du coup, je me sens un peu toute perdue. Et finalement... en quelques heures, j'ai reconnecté avec ce à quoi j'avais déjà goûté. Je peux te dire que j'étais très contente maintenant. Voilà, je compte bien qu'ils aient mal à l'aise. Alors oui, je sais qu'il va y avoir des petits moments, des petits pincements quand je vais recevoir des petites vidéos, des petites photos de leur part et qu'ils vont s'éclater dans la rivière, dans la Cévennes. Ok, ok. Je me réjouis pour eux, je suis contente que je puisse vivre ça avec leur papa. Et puis moi, je vais essayer de tâcher de le kiffer de mon côté aussi. Je vais tâcher de kiffer. Donc, le programme pour moi, ça va être carton. Voilà. Donc, je te dis, je vais kiffer, mais je vais faire du carton. Si, en vrai, il y a une petite part de moi qui est comprise de faire ce carton-là. Et là, je suis en train de plancher sur, attends, qu'est-ce que je pourrais me prévoir comme moment super cool, super sympa ? Qu'est-ce que j'aime bien faire ? Qu'est-ce qui me ferait plaisir ? Donc, typiquement, je te l'ai dit tout à l'heure, aller boire un verre en terrasse avec ma copine en mode after work. oh là là j'ai trop envie Je ne l'ai pas encore appelé, mais ça va être fait dans les prochaines heures. Et voilà, ça va être des petits moments comme ça dans le quotidien. Je vais essayer de me créer cette semaine. En plus de mes défis sportifs, alors ça, je crois que je n'en ai pas beaucoup parlé non plus. Mais cet été va être un été en mode défi. Je crois que c'est vraiment le mot de mon été. Je n'ai pas trop fait exprès, en fait, en vrai. Mais je cumule les défis cet été et je me sens très, très, très en énergie. C'est un truc qui me booste et qui me plaît énormément, de savoir que j'ai plusieurs défis en même temps, en parallèle. Donc, bien sûr, c'était le défi qui commence avec l'organisation du Sommet Essentiel, qui se passe super bien. Vous êtes plus de 1000 inscrits, c'est un truc de ouf. Je sais que les intervenants, enfin, vos retours par rapport aux interventions sont... Wow, c'est impressionnant. tout ce que ça vous apporte, ce que ça vous fait, comment ça vous a poussé à avancer. Je suis tellement contente que vous ayez créé ce contenu à disposition, c'est trop fort. Et donc du coup, il y a l'organisation de ce sommet. Et à cause de ça, j'ai quand même profité de ce sommet pour me mettre une petite pression en moi-même. C'est-à-dire que lorsque tu t'inscris au sommet, tu peux bénéficier du pass VIP. Donc là, à l'heure où tu vas écouter ce podcast, en fait, c'est passé. Le pass VIP, en fait, le sommet est passé. Donc, c'est plus du tout cohérent que je te parle du salon. J'aurais pu te faire bien plus tôt. Peut-être qu'il y a un petit acte manqué de ma part pour éviter la prise de risque. Mais au sein, au cœur du pass VIP qui te permettait d'avoir les replays à vie, parce que sinon, ils sont limités jusqu'à 18h. Mais en fait, j'ai inclus la pré-vente de mon futur lit qui est en cours. d'écriture dont je peux te partager le titre. Ce livre s'appellera, en tout cas la première version, « Simplifie ta vie » . Et du coup, ce livre est en cours d'écriture et du coup, pour m'aider à avancer dans cette écriture parce que je suis une abondante procrastinatrice sur le sujet de ce livre, je me suis dit qu'en fait, il va falloir que j'aille utiliser un de mes meilleurs atouts qui est le fait de « je suis bonne sous pression » . Voilà, c'est là que vraiment j'excelle. Et donc, il va falloir que je me mette de la pression. Et donc, du coup, te permettre d'acheter ce livre alors qu'il est en cours d'écriture en paix mentale. Ben là, actuellement, vous êtes 60. 60 à avoir acheté ce livre. Il va falloir que je le sorte. Je n'ai plus beaucoup de livres. Donc là, déjà, c'est un super défi de travail. Donc, mon projet, ça va être d'écrire mon livre cet été, pendant le mois de juillet, le mois de août. Donc, pendant aussi une partie de mes vacances. Ça, c'est le deuxième défi. En tout cas, de l'écrire en fin de année. En ce temps, il ne va pas sortir à la fin de l'été. Mais là, le projet, c'est plutôt qu'il sorte à la fin de l'année. Troisième défi, ça va être un déménagement. Voilà, au milieu, tac, tac, tac, c'est avec un détail. Un petit détail. Un déménagement, fin juillet. Et bien sûr, comme si ça ne suffisait pas. Oui, si. Oh là là. Allez, un, deux, trois, on articule. Comme si ça ne suffisait pas. Eh bien, je me suis lancée grâce à une amie qui m'a embarquée dans la voiture. Alors moi, si je m'embarque dans des aventures folles, il faut le savoir, c'est souvent à cause d'amis. Voilà, je rejette toute responsabilité. Je vais mettre ça sur mes amis. Quand j'ai fait du crossfit, c'était à cause d'une amie qui m'a embarquée. Et bien là, je me suis aventurée dans un nouveau challenge sportif où je prépare une course de 10 km qui aura lieu en septembre. Normalement, cette course, c'est la parisienne. Elle aura lieu à Paris. Est-ce que je vais relever le challenge d'oser aller jusqu'à Paris et pas faire un 10 km de mon côté ? C'est encore à voir. Tu me connais, j'aime les défis. Est-ce que je vais oser aller jusque-là, sachant que cette Parisienne, cette course, aura lieu en plein milieu d'un autre événement qu'on a organisé chez les Paulettes à la rentrée, mais je n'en doute pas plus encore pour l'instant. Voilà, voilà. Donc, c'était un été de défi. Donc, du coup, tout ça, c'était pour te dire que j'ai une semaine sportive devant moi parce que je continue, j'essaye de continuer. au moins une fois par semaine une séance de crossfit. J'ai dit j'essaie de continuer parce qu'en fait, je veux au crossfit parce que je veux chercher mes enfants à l'école. Ça me permet de caler comme une routine. C'est juste à côté de l'école, donc c'est très facile pour moi. Mes enfants ne veulent plus aller à l'école, etc. Je sais que je vais être challengée pour tenir la routine. Donc c'est pour ça que je m'autorise à s'y fouiller avec une fois, à s'y arrêter à y aller avec une fois. Ça, c'est suffisant, ça, c'est très bien. Mais du coup, parfois, j'ai deux à trois entraînements de course par semaine. donc au final ça me fait un quotidien sacrément sportif comparé à mon quotidien habituel. Et en vrai, j'adore ça. J'adore ça, me mettre en mouvement tous les jours. Ça me fait flipper, ça me fait un bien. Voilà, donc je me suis sacrément égarée. Pourquoi est-ce que je te parle de tout ça ? C'était pour t'encourager à te reconnecter à ce sentiment de liberté, à cette joie, à toi en tant que femme. Voilà, un encouragement à te dire existe, existe au milieu de ta vie. Existe au milieu de ta vie et commence par repérer les choses qui te mettent en voie, les choses qui te mettent en énergie, les choses qui te font kiffer. Et si tu ne sais plus, et si tu ne sais pas, demande-toi avant, avant tout ça, avant d'être maman, avant d'être au bout du rouleau. Dans les périodes de ma vie où ça allait bien, où j'étais bien dans ma peau, bien dans ma tête, en te souhaitant que ça puisse arriver, qu'est-ce que t'aimais faire ? qu'est-ce qui te faisait kiffer et puis et puis après tout si t'as jamais connu ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça peut-être que c'est le moment d'aller explorer tout ça et le meilleur moyen pour faire ça c'est plutôt une liste de choses tu te dis peut-être que je pourrais aimer mais je sais pas tu fais ta liste et puis tu les essayes et tu verras bien en essayant ah oui ça ça me parle ça j'aime trop oh ça je surkiffe ça je déteste je ne veux plus jamais faire ça de nouveau. Voilà, à un moment donné, fais appel à quelque chose que tu as certainement, sûrement à 100% éprouvé dans ton enfance, c'est la curiosité. Va chercher cette curiosité qui est là, qui n'est pas si loin que ça, et va explorer les choses. Bon, ça fait combien de temps que je vous en cherche ensemble ? 23 minutes ? Je pense que là j'ai fait un peu le tour. Comme quoi tu vois, parler en marchant. Ça libère le cerveau, ça libère les idées. Alors, encore une fois, si tu as besoin de créativité, si tu as besoin d'idées, si tu as besoin de prendre du recul sur une situation, va marcher et va parler en même temps. Et d'ailleurs, pour te dire, j'ai un ami qui est coach et dont c'est le métier. Il coach en allant marcher. Franchement, si ça, ce n'est pas le kiff, il coach les mecs notamment. Donc, si jamais tu recherches quelqu'un... pour un homme, j'ai quelqu'un à te conseiller. N'hésite pas à me contacter. Allez, je te laisse avec ça. Je te dis à très, très vite. Prends bien soin de toi. ciao ciao Merci.

Share

Embed

You may also like