#23 - LOU - INFIRMIERE A L'AP-HP : SON ENGAGEMENT POUR UN EGAL ACCES AUX SOINS POUR TOUS cover
#23 - LOU - INFIRMIERE A L'AP-HP : SON ENGAGEMENT POUR UN EGAL ACCES AUX SOINS POUR TOUS cover
Sur le métier

#23 - LOU - INFIRMIERE A L'AP-HP : SON ENGAGEMENT POUR UN EGAL ACCES AUX SOINS POUR TOUS

#23 - LOU - INFIRMIERE A L'AP-HP : SON ENGAGEMENT POUR UN EGAL ACCES AUX SOINS POUR TOUS

56min |18/02/2022
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56min |18/02/2022
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Description

Anais, Emmanuelle, Elsa, Marie, Eva, Abigaelle, Caroline, Laura, Claire, Julie, Pierre, Cindy, Rebecca, Alexandre, Lou.  Tôt ou tard au cours de notre existence Nous les croisons au cours de notre existence que ce soit dans un hôpital, un Ephad, à domicile, ou même dans un train suite à une crise de panique.  

Elles se sont les infirmières, celles qui travaillent sans répit sans trêve pour nous garder le souffle au corps.  Elles sont 764000 en France à exercer ce métier. 86,6% sont des femmes alors le féminin va l’emporter pour une fois sur le masculin n’en
déplaise aux académiciens.  Applaudie en 2020, elles sont aujourd’hui pour la plupart éreintées par cette crise qui a mis a mal leur engagement au service des patients, elles
sont fatiguées de travailler sans les moyens nécessaires pour prendre le temps
de soigner les malades.  


Depuis la crise du Covid, jamais il n’y a eu autant de démissions d’infirmières.  Mieux qu’une vocation Lou va donc nous parler de son métier celui d’infirmière qu’elle choisit envers et contre tout d’exercer au sein de l’hôpital public.  


Lou c’est l’engagement chevillé au corps, une croyance sans borne en l’humain, héritage familial.  Quand vous rencontrez Lou, ce qui frappe d’abord c’est son allure, une allure d’ancienne danseuse, épaules dégagées, tête haute encadrée par ses cheveux châtains mi longs, puis ses yeux légèrement en amande qui vous regardent intensément, deux grands yeux plantés-là qui jamais ne se détachent de votre regard. Ensuite il y a ce corps, si nerveux, en alerte perpétuelle, prêt à se mettre en mouvement, à bondir telle un panthère pour protéger, aider, sauver, soigner les siens. Les siens, c’est vous c’est moi, c’est l’humanité dans son entièreté.

Lou m’a confiée au micro du podcast sa passion du métier, ses moments de doutes face aux échecs, son urgence de vivre, son quotidien d’infirmière en réa pédiatrique, de combattante fatiguée qui a humblement récemment choisi de changer de service pour continuer dit-elle de toujours bien prendre soin des patients, de nous.  




Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Anais, Emmanuelle, Elsa, Marie, Eva, Abigaelle, Caroline, Laura, Claire, Julie, Pierre, Cindy, Rebecca, Alexandre, Lou.  Tôt ou tard au cours de notre existence Nous les croisons au cours de notre existence que ce soit dans un hôpital, un Ephad, à domicile, ou même dans un train suite à une crise de panique.  

Elles se sont les infirmières, celles qui travaillent sans répit sans trêve pour nous garder le souffle au corps.  Elles sont 764000 en France à exercer ce métier. 86,6% sont des femmes alors le féminin va l’emporter pour une fois sur le masculin n’en
déplaise aux académiciens.  Applaudie en 2020, elles sont aujourd’hui pour la plupart éreintées par cette crise qui a mis a mal leur engagement au service des patients, elles
sont fatiguées de travailler sans les moyens nécessaires pour prendre le temps
de soigner les malades.  


Depuis la crise du Covid, jamais il n’y a eu autant de démissions d’infirmières.  Mieux qu’une vocation Lou va donc nous parler de son métier celui d’infirmière qu’elle choisit envers et contre tout d’exercer au sein de l’hôpital public.  


Lou c’est l’engagement chevillé au corps, une croyance sans borne en l’humain, héritage familial.  Quand vous rencontrez Lou, ce qui frappe d’abord c’est son allure, une allure d’ancienne danseuse, épaules dégagées, tête haute encadrée par ses cheveux châtains mi longs, puis ses yeux légèrement en amande qui vous regardent intensément, deux grands yeux plantés-là qui jamais ne se détachent de votre regard. Ensuite il y a ce corps, si nerveux, en alerte perpétuelle, prêt à se mettre en mouvement, à bondir telle un panthère pour protéger, aider, sauver, soigner les siens. Les siens, c’est vous c’est moi, c’est l’humanité dans son entièreté.

Lou m’a confiée au micro du podcast sa passion du métier, ses moments de doutes face aux échecs, son urgence de vivre, son quotidien d’infirmière en réa pédiatrique, de combattante fatiguée qui a humblement récemment choisi de changer de service pour continuer dit-elle de toujours bien prendre soin des patients, de nous.  




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Elles se sont les infirmières, celles qui travaillent sans répit sans trêve pour nous garder le souffle au corps.  Elles sont 764000 en France à exercer ce métier. 86,6% sont des femmes alors le féminin va l’emporter pour une fois sur le masculin n’en
déplaise aux académiciens.  Applaudie en 2020, elles sont aujourd’hui pour la plupart éreintées par cette crise qui a mis a mal leur engagement au service des patients, elles
sont fatiguées de travailler sans les moyens nécessaires pour prendre le temps
de soigner les malades.  


Depuis la crise du Covid, jamais il n’y a eu autant de démissions d’infirmières.  Mieux qu’une vocation Lou va donc nous parler de son métier celui d’infirmière qu’elle choisit envers et contre tout d’exercer au sein de l’hôpital public.  


Lou c’est l’engagement chevillé au corps, une croyance sans borne en l’humain, héritage familial.  Quand vous rencontrez Lou, ce qui frappe d’abord c’est son allure, une allure d’ancienne danseuse, épaules dégagées, tête haute encadrée par ses cheveux châtains mi longs, puis ses yeux légèrement en amande qui vous regardent intensément, deux grands yeux plantés-là qui jamais ne se détachent de votre regard. Ensuite il y a ce corps, si nerveux, en alerte perpétuelle, prêt à se mettre en mouvement, à bondir telle un panthère pour protéger, aider, sauver, soigner les siens. Les siens, c’est vous c’est moi, c’est l’humanité dans son entièreté.

Lou m’a confiée au micro du podcast sa passion du métier, ses moments de doutes face aux échecs, son urgence de vivre, son quotidien d’infirmière en réa pédiatrique, de combattante fatiguée qui a humblement récemment choisi de changer de service pour continuer dit-elle de toujours bien prendre soin des patients, de nous.  




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Anais, Emmanuelle, Elsa, Marie, Eva, Abigaelle, Caroline, Laura, Claire, Julie, Pierre, Cindy, Rebecca, Alexandre, Lou.  Tôt ou tard au cours de notre existence Nous les croisons au cours de notre existence que ce soit dans un hôpital, un Ephad, à domicile, ou même dans un train suite à une crise de panique.  

Elles se sont les infirmières, celles qui travaillent sans répit sans trêve pour nous garder le souffle au corps.  Elles sont 764000 en France à exercer ce métier. 86,6% sont des femmes alors le féminin va l’emporter pour une fois sur le masculin n’en
déplaise aux académiciens.  Applaudie en 2020, elles sont aujourd’hui pour la plupart éreintées par cette crise qui a mis a mal leur engagement au service des patients, elles
sont fatiguées de travailler sans les moyens nécessaires pour prendre le temps
de soigner les malades.  


Depuis la crise du Covid, jamais il n’y a eu autant de démissions d’infirmières.  Mieux qu’une vocation Lou va donc nous parler de son métier celui d’infirmière qu’elle choisit envers et contre tout d’exercer au sein de l’hôpital public.  


Lou c’est l’engagement chevillé au corps, une croyance sans borne en l’humain, héritage familial.  Quand vous rencontrez Lou, ce qui frappe d’abord c’est son allure, une allure d’ancienne danseuse, épaules dégagées, tête haute encadrée par ses cheveux châtains mi longs, puis ses yeux légèrement en amande qui vous regardent intensément, deux grands yeux plantés-là qui jamais ne se détachent de votre regard. Ensuite il y a ce corps, si nerveux, en alerte perpétuelle, prêt à se mettre en mouvement, à bondir telle un panthère pour protéger, aider, sauver, soigner les siens. Les siens, c’est vous c’est moi, c’est l’humanité dans son entièreté.

Lou m’a confiée au micro du podcast sa passion du métier, ses moments de doutes face aux échecs, son urgence de vivre, son quotidien d’infirmière en réa pédiatrique, de combattante fatiguée qui a humblement récemment choisi de changer de service pour continuer dit-elle de toujours bien prendre soin des patients, de nous.  




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