#32- LOU SARDA- PHOTOGRAPHE QUI TRANSFORME NOS VISAGES EN OEUVRES D'ART cover
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Sur le métier

#32- LOU SARDA- PHOTOGRAPHE QUI TRANSFORME NOS VISAGES EN OEUVRES D'ART

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43min |17/06/2022
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43min |17/06/2022
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Description

 « Le temps est dans les choses, dans les objets. La photo surtout sous sa forme papier avec des marques visibles du temps, les tâches, est certainement la plus troublante des figurations- incarnation même de la présence absence écrit Annie Ernaux dans les cahiers de l’Herne. La photo, invention merveilleuse qui fige le temps, accompagne les moments heureux de nos vies : nous les retrouvons posés sur une cheminée, aimantés sur un frigo, accrochés aux murs dans une chambre, dans un couloir. Chez moi, c’est dans le couloir qu’il y a des photos, des photos de paysages, d’anniversaires, de Noel, de vacances, de
spectacles pour enfants, mélangées à des photos des anciens.  Bien au centre de ce panneaux de photos, il y a l’image de cette petite fille assise sur le pas de la porte de sa maison, cheveux coupés au carré, frange droite sourire en coin, la tête est penchée de côté, la photo a jaunie, le chat sur ses genoux au premier plan est mort depuis fort longtemps, son regard fixe l’objectif, et me fixe à chaque passage dans ce couloir. J’aime
cette image, souvenir de la petite fille que ma grand-mère a été, cette incarnation
de la présence absence et du temps figé dans l’image, essence même de la photo
comme le souligne Lou Sarda dans ce nouvel épisode du podcast. Lou Sarda, est photographe professionnelle et elle a accepté de me raconter son métier, ses mutations
profondes depuis le numérique : elle m’a confié ses sources d’inspirations, ce qu’elle cherche dans les portraits qu’elle réalise, ce qui peut apparaitre en séances, la surprise des rencontres, on a écouté Paolo Roversi, Sara Moon, Robert Franck, entre autres grâce aux archives INA, on a parlé de l’intime, de studio, de Paris, de la lumière, de cinéma. Je vous invite à plonger avec moi le temps de cette interview dans son univers. Rencontre avec une femme qui sait grâce à sonœil, rend visible l’invisible.   



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Si vous aimez ce podcast et que vous souhaitez le soutenir, prenez 1' pour mettre 5 étoiles sur Apple Podcast ou Spotify, ça m'aide beaucoup :)-



Pour suivre les coulisses et l'actualité du podcast, rdv sur Insta : https://www.instagram.com/surlemetierpodcast/ ou sur le site internet: surlemetier.co



Création Originale (Production, enregistrement, textes): Elvire CASSAN 


Montage : Stephane Huguet


Archives : INA

Henri Cartier-Bresson ; les photographies en noir et blanc, qui sont des croquis pour lui. L'économie de moyen et l'intensité. (Archive 15 avril 1984)
Robert Franck : les différences entre la photo et le cinéma. (Archive 29 novembre 1987, au micro de Serge Daney)

Ressources : Annie Ernaux Les années et Les cahiers de l'Herne. 

Vivian Meier Revelée 

Musique : Alt-J & Daft Punk 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

 « Le temps est dans les choses, dans les objets. La photo surtout sous sa forme papier avec des marques visibles du temps, les tâches, est certainement la plus troublante des figurations- incarnation même de la présence absence écrit Annie Ernaux dans les cahiers de l’Herne. La photo, invention merveilleuse qui fige le temps, accompagne les moments heureux de nos vies : nous les retrouvons posés sur une cheminée, aimantés sur un frigo, accrochés aux murs dans une chambre, dans un couloir. Chez moi, c’est dans le couloir qu’il y a des photos, des photos de paysages, d’anniversaires, de Noel, de vacances, de
spectacles pour enfants, mélangées à des photos des anciens.  Bien au centre de ce panneaux de photos, il y a l’image de cette petite fille assise sur le pas de la porte de sa maison, cheveux coupés au carré, frange droite sourire en coin, la tête est penchée de côté, la photo a jaunie, le chat sur ses genoux au premier plan est mort depuis fort longtemps, son regard fixe l’objectif, et me fixe à chaque passage dans ce couloir. J’aime
cette image, souvenir de la petite fille que ma grand-mère a été, cette incarnation
de la présence absence et du temps figé dans l’image, essence même de la photo
comme le souligne Lou Sarda dans ce nouvel épisode du podcast. Lou Sarda, est photographe professionnelle et elle a accepté de me raconter son métier, ses mutations
profondes depuis le numérique : elle m’a confié ses sources d’inspirations, ce qu’elle cherche dans les portraits qu’elle réalise, ce qui peut apparaitre en séances, la surprise des rencontres, on a écouté Paolo Roversi, Sara Moon, Robert Franck, entre autres grâce aux archives INA, on a parlé de l’intime, de studio, de Paris, de la lumière, de cinéma. Je vous invite à plonger avec moi le temps de cette interview dans son univers. Rencontre avec une femme qui sait grâce à sonœil, rend visible l’invisible.   



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Pour suivre les coulisses et l'actualité du podcast, rdv sur Insta : https://www.instagram.com/surlemetierpodcast/ ou sur le site internet: surlemetier.co



Création Originale (Production, enregistrement, textes): Elvire CASSAN 


Montage : Stephane Huguet


Archives : INA

Henri Cartier-Bresson ; les photographies en noir et blanc, qui sont des croquis pour lui. L'économie de moyen et l'intensité. (Archive 15 avril 1984)
Robert Franck : les différences entre la photo et le cinéma. (Archive 29 novembre 1987, au micro de Serge Daney)

Ressources : Annie Ernaux Les années et Les cahiers de l'Herne. 

Vivian Meier Revelée 

Musique : Alt-J & Daft Punk 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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 « Le temps est dans les choses, dans les objets. La photo surtout sous sa forme papier avec des marques visibles du temps, les tâches, est certainement la plus troublante des figurations- incarnation même de la présence absence écrit Annie Ernaux dans les cahiers de l’Herne. La photo, invention merveilleuse qui fige le temps, accompagne les moments heureux de nos vies : nous les retrouvons posés sur une cheminée, aimantés sur un frigo, accrochés aux murs dans une chambre, dans un couloir. Chez moi, c’est dans le couloir qu’il y a des photos, des photos de paysages, d’anniversaires, de Noel, de vacances, de
spectacles pour enfants, mélangées à des photos des anciens.  Bien au centre de ce panneaux de photos, il y a l’image de cette petite fille assise sur le pas de la porte de sa maison, cheveux coupés au carré, frange droite sourire en coin, la tête est penchée de côté, la photo a jaunie, le chat sur ses genoux au premier plan est mort depuis fort longtemps, son regard fixe l’objectif, et me fixe à chaque passage dans ce couloir. J’aime
cette image, souvenir de la petite fille que ma grand-mère a été, cette incarnation
de la présence absence et du temps figé dans l’image, essence même de la photo
comme le souligne Lou Sarda dans ce nouvel épisode du podcast. Lou Sarda, est photographe professionnelle et elle a accepté de me raconter son métier, ses mutations
profondes depuis le numérique : elle m’a confié ses sources d’inspirations, ce qu’elle cherche dans les portraits qu’elle réalise, ce qui peut apparaitre en séances, la surprise des rencontres, on a écouté Paolo Roversi, Sara Moon, Robert Franck, entre autres grâce aux archives INA, on a parlé de l’intime, de studio, de Paris, de la lumière, de cinéma. Je vous invite à plonger avec moi le temps de cette interview dans son univers. Rencontre avec une femme qui sait grâce à sonœil, rend visible l’invisible.   



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Archives : INA

Henri Cartier-Bresson ; les photographies en noir et blanc, qui sont des croquis pour lui. L'économie de moyen et l'intensité. (Archive 15 avril 1984)
Robert Franck : les différences entre la photo et le cinéma. (Archive 29 novembre 1987, au micro de Serge Daney)

Ressources : Annie Ernaux Les années et Les cahiers de l'Herne. 

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 « Le temps est dans les choses, dans les objets. La photo surtout sous sa forme papier avec des marques visibles du temps, les tâches, est certainement la plus troublante des figurations- incarnation même de la présence absence écrit Annie Ernaux dans les cahiers de l’Herne. La photo, invention merveilleuse qui fige le temps, accompagne les moments heureux de nos vies : nous les retrouvons posés sur une cheminée, aimantés sur un frigo, accrochés aux murs dans une chambre, dans un couloir. Chez moi, c’est dans le couloir qu’il y a des photos, des photos de paysages, d’anniversaires, de Noel, de vacances, de
spectacles pour enfants, mélangées à des photos des anciens.  Bien au centre de ce panneaux de photos, il y a l’image de cette petite fille assise sur le pas de la porte de sa maison, cheveux coupés au carré, frange droite sourire en coin, la tête est penchée de côté, la photo a jaunie, le chat sur ses genoux au premier plan est mort depuis fort longtemps, son regard fixe l’objectif, et me fixe à chaque passage dans ce couloir. J’aime
cette image, souvenir de la petite fille que ma grand-mère a été, cette incarnation
de la présence absence et du temps figé dans l’image, essence même de la photo
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Robert Franck : les différences entre la photo et le cinéma. (Archive 29 novembre 1987, au micro de Serge Daney)

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