Speaker #0Bienvenue dans ce nouvel épisode de Ta Pause Sexy, le podcast qui explore la sexualité dans toute sa complexité, sans tabou, sans jugement, avec beaucoup de plaisir, et pour te faire réfléchir. Je suis Anne-Elisabeth, ta coach en sexualité, et chaque semaine je t'emmène dans des conversations intimes, crues, tendres, politiques, ou carrément provoquantes, mais des conversations toujours 100% vraies. Si tu veux prolonger l'expérience, viens me rejoindre sur Instagram, arrobasetapausesexy, et c'est là que je parle de mes stories, c'est là que je vais échanger avec toi en DM et que la communauté vit. Et si tu veux être prévenu en avant-première de la sortie des épisodes, n'hésite pas à t'abonner à la newsletter, tu trouveras le lien dans la description. Enfin, si t'es une marque, un projet ou une mission engagée et que tu veux soutenir une voix libre, une voix féminine, une voix sexuelle, je recherche des sponsors. pour cette saison. Donc, n'hésite vraiment pas à me contacter et toutes les infos sont dans la description. Maintenant, je te laisse à ton épisode et je te souhaite une très bonne écoute. Dans cette pause aujourd'hui, nous allons parler du bilan de mes vacances, de mon petit été sexy. Avant de démarrer cet épisode, je te rappelle que le meilleur moyen de me soutenir, c'est de t'abonner, de mettre 5 étoiles et de mettre un commentaire à ce podcast, sur Apple Podcast, mais aussi sur toutes les autres plateformes d'écoute de ton choix. C'est grâce à ces actions simples que moi je vais pouvoir continuer de te proposer des épisodes de qualité et d'avoir aussi des invités de qualité. Aujourd'hui, on n'est pas sur un épisode avec un invité parce que je vais te parler de mon été et te faire un petit bilan. Si tu te souviens bien, à la fin de la saison 2, donc en juin dernier, j'étais sortie deux épisodes coup sur coup. Il y avait un épisode qui s'appelait 17 vs 37 et un épisode qui s'appelle Préparer un été sexy. Et donc, j'ai appliqué mes propres conseils et j'ai continué à faire mon petit été. Et je me suis dit que ça serait super bien que je te fasse un petit bilan pour que tu vois ce qui s'est passé, ce que j'ai appris. Alors, bien évidemment, je ne vais pas te raconter dans l'intégralité de tous les détails de tout ce que j'ai fait cet été, parce que je vais garder quand même un petit peu d'intimité, mine de rien. Mais je vais partager avec toi mes ressentis, mes grands apprentissages, quelques expériences qui ont été assez marquantes. Et tu verras que dans cet été, il y a eu du bon et il y a aussi eu du moins bon. Bon, alors, déjà, je pense que comme je suis de la team, on arrache le sparadrap. Je n'ai pas envie de te laisser, genre, qu'est-ce qui n'a pas été cet été. On va faire l'épisode en commençant par le moins bon. Et ensuite, comme ça, on avance sur du positif. Et là, je te raconte tous les trucs trop cools qui se sont passés. Mais il faut quand même que je te parle d'un épisode vraiment pas cool qui s'est passé au début de l'été et qui est très simple, qui se résume en une phrase en fait, quelque part. Cette phrase, c'est « j'ai été ghostée » . Donc, comme je te le disais en tréambule, j'ai fait un épisode qui disait 17 versus 37, comment avait évolué ma manière de dater avec 20 ans d'expérience supplémentaire et tout. Et s'il y a bien une chose que j'ai fait dans cette relation, c'est que j'ai été ultra honnête et transparente. Ce qu'il faut que tu saches sur moi, c'est que j'ai une personnalité qui peut parfois être déroutante parce que je suis quelqu'un de très douce, de très bienveillante, très à l'écoute des autres, etc. Et aussi une éternelle romantique. Vraiment, je pense que je ne peux pas faire plus en termes de romantisme que ce que je suis. Et ça peut être ultra déroutant pour les gens parce que... Avec cette facette très très romantique, j'ai aussi une vraie facette beaucoup plus extravertie et beaucoup plus, qu'on peut dire, un peu délurée. C'est aussi la part de moi qui veut des relations non-exclusives, en tout cas sans tout le plan de la sexualité, et qui du coup, ça peut surprendre. Et ça, j'en ai pris conscience en thérapie, j'ai pris conscience que ça pouvait être très difficile à appréhender, et j'avais pris conscience aussi que moi... je switchais très vite de l'une à l'autre, mais que les gens n'avaient peut-être pas forcément tous les codes et que ça pouvait être un peu impressionnant. Et donc un de mes grands apprentissages de thérapie et une des choses que j'avais vraiment commencé à mettre en place, c'était d'être ultra ultra transparente sur ces deux facettes de ma personnalité et de les laisser vivre le plus possible, surtout un démarrage de relation, pour justement éviter à l'autre d'être trop surpris. Donc, C'est vrai que dans cette nouvelle relation, j'avais vraiment, vraiment fait attention à être très transparente, à être vraiment moi-même, à gérer ma manière de communiquer, à gérer mes demandes, mes besoins, etc. Et vraiment, je l'avais fait en me disant comme ça. Même si je ne suis pas choisie, ou même si quelqu'un ne veut pas être avec moi, etc., ça ne sera pas parce que je lui ai caché certaines choses. Parce que ça, ça a été plutôt dans mes expériences de vie, ça a été quelque chose que je faisais, où j'avais un peu honte, où je cachais des parts de moi, etc. Et là maintenant, j'ai vachement travaillé sur moi, je suis hyper fière de qui je suis, j'aime qui je suis, j'aime bien la dualité de ma personnalité et tout, je trouve ça génial. Donc il n'y a pas de raison que je le cache. Donc j'essaye vraiment de l'être au maximum. Et donc dans cette relation, j'avais vraiment pris ce temps-là. Donc on se voyait avant les vacances et on savait très bien que là on allait avoir un gros mois et demi, voire deux mois sans trop se voir parce que... On avait chacun nos plans de vacances déjà organisés, moi je partais assez longtemps retrouver mon meilleur pote et tout, donc voilà, ça c'était des choses qui étaient dites, donc on avait même une date de retrouvailles à l'issue de ces vacances. Et j'avais été aussi transparente sur le fait que ça allait être un été sexy. Donc comme je l'ai dit un milliard de fois dans ce podcast, je suis une libertine d'été, donc je savais très bien que l'été allait me permettre d'aller vivre des expériences libertines à droite à gauche. Et donc c'est quelque chose dans lequel j'avais été très claire, on avait déjà été très clair dès le démarrage de cette relation de toute façon là-dessus, et j'avais été aussi très claire sur cet été. Une des choses que je me suis dit, c'est pas tant le fait que quelqu'un soit pas forcément d'accord avec mon mode de vie, parce que ça j'ai aucun problème, j'ai aucun problème avec quelqu'un qui me dirait « en fait je pensais que ça allait le faire et en fait ça me plaît pas ou je suis pas ok et tout » et ça. Pour moi, c'est tout à fait normal, c'est être adulte, c'est essayer. Et parfois, on essaye des choses et on est là genre, j'ai essayé, j'aime pas trop. Et ça, c'est OK. Ce que je trouve vraiment pas OK dans le ghosting, c'est qu'il y avait la place à dire, j'ai plus envie. Et ça n'a pas été fait et il y a eu le choix de la lâcheté. Donc, ça ne m'appartient pas et je ne me remets pas du tout en cause sur absolument rien du tout du fait de ce ghosting. Je m'y refuse à 100%, ça, il n'y a aucun problème. Par contre, je me fais quand même un apprentissage et je me dis que pour moi, il y a quelque chose qu'il faut que je retienne de cette situation. C'est qu'en étant dans la 100% transparence, dans la 100% conversation, tout dire, etc., je m'étais un peu convaincue que ça allait me prémunir du fait d'être ghostée. Parce que je m'étais un peu convaincue que comme ça, ça allait permettre aux gens d'être courageux, de dire les choses. et J'avais un peu mis tout ça en place en me disant, maintenant, au moins, t'es immunisé contre ça. Donc, mon grand apprentissage vraiment de cette situation, ça a été de me dire, en fait, tu peux poser tous les cas que tu veux. Tu peux être transparente comme tu veux. Tu peux dire ce que tu ressens, exprimer tes besoins, dire ce que tu veux, etc. Mais ça ne sera jamais un moyen de contrôler l'autre. et par contrôler l'autre, j'entends anticiper le fait que l'autre va du coup se comporter de la manière dont on aurait envie qu'ils se comportent, même dans les situations difficiles. Et c'est vrai que moi, je m'étais dit, en fait, je pose tout ça parce que ça va quand même donner à l'autre le courage émotionnel de pouvoir dire, bon, si je dois partir, je pars. Et en fait, pas du tout. Et ça a été vraiment mon apprentissage, parce que je me suis dit, mais tu t'es complètement mis en miroir devant un écran de fumée devant les yeux. C'est pas un miroir, c'est vraiment un écran de fumée. Et j'y ai réfléchi et je me suis dit, putain, si je parle en tant que coach et j'ai une cliente, un client qui arrive en me disant ça, je lui dirais, hé, on se calme, tu peux faire tout ce que tu veux, tu n'as aucune assurance que l'autre va se comporter dans ce que toi, tu vas estimer être du respect et tout. Donc, on remet ses attentes au bon niveau, on remet les choses pourquoi on les fait, parce que c'est important pour nous, mais absolument pas pour contrôler l'autre. Et là, je n'ai pas du tout été ma propre coach, je dois avouer. Mais c'est pas grave, c'est pas grave parce que c'est justement ça qui permet d'apprendre, c'est ce genre d'échec, c'est ce genre de situation qui permet de te rendre compte au final de tes schémas, de ce que tu fais, de ce que tu mets en place, de la manière dont tu communiques. Parce que certainement aussi dans ma manière de communiquer, il devait y avoir forcément de ça, ça devait être teinté de ça. Donc c'était ultra important que je prenne du recul par rapport à cette situation pour déjà un peu mieux comprendre ce qui s'est passé. et euh hum et pouvoir gérer un peu mieux mes attentes et ma manière aussi d'appréhender les relations. J'ai aucun regret d'avoir mené cette relation, j'ai aucun regret d'avoir été ultra honnête et transparente sur ce que j'avais envie, ce dont j'avais besoin, etc. Parce que c'est vraiment la personne que j'ai envie d'être, donc voilà. En soi, je n'ai pas de regrets sur la manière dont j'ai mené tout ça. Je me dis juste qu'il faut que j'apprenne à me dire que ça ne va pas très m'unir. Et c'est une manière que j'ai de pouvoir me protéger puisque, comme j'ai dit, je suis une grande romantique, je suis une grande sensible. Donc, cette espèce de truc que je peux mettre en place de tout contrôler, c'est aussi pour me rassurer, moi, que je ne vais pas souffrir. Et donc, j'avais besoin d'apprendre qu'au final, ça ne me fait pas souffrir plus que ça. Là, je me rends compte, j'ai été ghostée et tout, je trouve ça nul, je trouve ça m'énerve, etc. Mais je ne suis pas en souffrance parce qu'en fait, je suis assez blindée émotionnellement et intellectuellement aussi pour analyser et comprendre. Donc, je me dis que j'avais besoin de passer par cette expérience-là pour aussi prendre conscience du travail que j'avais fait, de toute l'assurance que j'avais gagnée. Et ça, mine de rien, c'est quand même quelque chose de très, très cool. Bon. Après, je ne vais pas finir ce truc en disant « Ouais, c'était cool d'être ghosté » . Non, ce n'est pas cool et franchement, ne le faites pas. Mais bon, l'été, ça n'a pas été que ça, bien évidemment. Et j'avais envie de commencer par le négatif parce que je trouve que c'est cool. J'ai plein de trucs positifs à raconter et j'ai envie de pouvoir garder cette énergie sur le reste de cet épisode. Donc, 2025, c'était... aussi, l'été 2025, c'était aussi un moment pour moi, un été de reconnexion. Reconnexion parce que c'est vrai que là, cette année, j'étais à fond sur le business, j'ai lancé des trucs, j'étais à fond sur ma vie d'entrepreneur, etc. Et j'ai un peu laissé de côté la femme. Avec mes désirs, ma sensualité et tout. Et donc, j'étais hyper contente cet été de me relaisser cette place parce que j'avais un peu perdu ça de vue. J'avais un peu laissé de côté et tout. Donc, il était temps que je relaisse un petit peu de place à mon plaisir, mon désir, ma sensualité, un peu plus de légèreté et tout. Et en fait, vraiment, on m'a octroyé des vacances, concrètement. On ne va pas se mentir. Et pour ça, en fait... Une des choses que j'ai fait, c'est que, comme j'ai dit, je suis libertine d'été, donc j'ai vraiment reconnecté avec mon désir et donc aussi avec le monde du libertinage. Je t'invite vraiment à écouter les deux derniers épisodes de la saison dernière, le 17 versus 37 et les préparer l'été sexy, parce qu'il y a plein de choses que je dis qu'au final je me suis appliquée cet été. Du coup, cet été de reconnexion, j'ai retrouvé le plaisir des soirées privées libertines. C'est un truc que j'avais découvert en 2024. Jusque-là, avant 2024, à chaque fois que j'étais sortie dans le monde du libertinage, j'étais toujours en club. Je n'avais jamais fait de soirée privée. 2024, j'ai été pareil, en vacances, invitée à une soirée privée. Grosse révélation. J'ai adoré ça. J'ai trouvé ça vraiment cool, notamment en termes d'interaction. Et que ça me ressemble vachement plus. Moi qui suis quand même plutôt un papillon social. Le fait d'être dans une soirée, c'est vraiment... Moi, j'adore le monde de la nuit, j'adore faire la fête, etc. Donc, me retrouver dans une soirée entre potes, concrètement, c'est vraiment l'univers que j'adore. Et ensuite, et plus il y a affinité, tant mieux. Mais c'est vraiment pour moi une manière ultra naturelle de connecter avec les gens. Et du coup, j'ai vraiment retrouvé encore ce plaisir pendant les vacances. de faire des soirées privées et de me retrouver dans cet univers. Et je trouve ça vraiment, vraiment, vraiment cool. Et il faut vraiment que je vois comment je vais réintégrer ça quand je ne suis pas en été, parce que je ne suis pas obligée de que de liberté en été. Mais voilà, il faut aussi que je vois comment je vais réintégrer ça. Mais ça a été vraiment une redécouverte et encore une fois, un super plaisir à me dire, ouais, ça, c'est très, très cool. Après, j'ai vécu un truc nouveau, mais qui était incroyable. Vraiment que j'ai... adoré, trop trop trop adoré, il fallait absolument que je le partage, c'est que, donc j'ai été en club, mais jusque-là, à chaque fois que j'ai été en club, j'étais soit avec un partenaire, soit toute seule. Et pour la première fois, j'ai été en club avec une autre nana, avec une copine. Genre comme tu pourrais aller boire un verre, aller au café du coin, ou aller au bar du coin un soir, là, nous, entre copines, on est allées en soirée libertine dans un club libertin. Et franchement, ça a été une vraie révélation. Une révélation parce que j'ai vraiment redécouvert ce qu'était le girl power, la sororité, cette espèce de synergie féminine et tout, qui peut tout changer. Et en plus, dans un monde comme le monde du libertinage, où la femme est quand même plutôt reine et tout, il y a cette puissance. Mais cette puissance était génialissime. Le fait d'être avec une copine, où on échange, on se parle un peu, des mecs qu'on a repérés, des petits crushs, des trucs qu'on a envie de faire et tout machin. Mais ça, c'est incroyable, c'est génial. Je ne l'avais pas vécu, je ne l'avais jamais vécu pas comme ça et tout, mais j'ai trouvé ça tellement bien, tellement drôle, encore plus léger. Et ce côté, je fais attention à ma copine, mais elle va aussi vivre sa vie et tout. Il y a moins le challenge que tu peux avoir quand tu es en couple, où tu fais quand même vraiment attention à l'autre, est-ce qu'il est bien, est-ce que machin. Là, il y a cette petite forme d'égoïsme, en tout cas dans l'expérience que j'ai vécue, que j'ai trouvé super sympa. Vraiment, j'ai trouvé ça super sympa d'avoir vraiment ce moment où je pense qu'à moi. Et on pourrait croire que ça serait la même chose toute seule. Alors moi qui suis une extravertie et donc qui adore l'interaction avec l'autre, qui adore le fait d'être en lien avec l'autre, l'expérience toute seule, j'ai toujours été un peu plus mitigée parce que ça me laisse un peu de questionnement sur comment je m'y sens. Je fais toujours très très gaffe à ma sécurité bien évidemment. Je suis moins en lâcher prise que quand je suis avec une copine où en fait on se back up. Et c'est vrai aussi, c'est vrai pour tout type de soirée en fait. Bien sûr, je peux aller à des soirées toutes seules et tout, mais quand j'y vais avec une copine et qu'on est toutes les deux, ou même à plus, bien sûr, je dis plus, je dis deux, parce que là je fais le parallèle avec la soirée libertine que j'ai vécue, mais ça peut être une soirée même en groupe de filles et tout, et bien il y a ce côté où on prend un peu tout soin des unes des autres, et donc il y a une espèce de légèreté et d'insouciance qui s'installe, qui est vraiment cool. Et c'est vraiment ce que j'ai ressenti aussi. Et ça, j'ai vraiment, vraiment adoré. Et du coup, ça m'a vraiment montré quelque chose, un truc qui est vraiment essentiel et avec lequel j'avais besoin de reconnecter, c'est que parfois, pour vivre une expérience que tu connais, tu as juste besoin de changer un élément du contexte pour la vivre autrement. Et tu peux vachement te surprendre à sortir de tes schémas et à te réinventer juste par le fait de changer. un petit paramètre. On pense vraiment que sortir de sa zone de confort, c'est toujours faire des trucs de fou, de changer tout au tout, de tenter des expériences assez extraordinaires. Et parfois, ça passe juste par quelque chose que je connais, que j'ai l'habitude de faire, et je vais changer une seule chose, un tout petit truc, qui va me permettre de vivre quelque chose de différent, et qui au final fait quand même sortir de ta zone de confort. Et je trouve que ça fait moins peur. aussi de se dire, de voir les choses comme ça parce que ça permet au fait de pouvoir tester des choses sans pour autant se mettre, en tout cas quand je dis en danger, j'allais dire en danger mais quand je veux dire en danger, c'est en danger dans notre tête parce que quand on a des gros changements dans notre cerveau, on peut être un peu, oh ça me fait trop peur et tout alors que là si c'est des petits changements ça diminue le risque, en tout cas mental et du coup ça permet de pouvoir se lancer et ça je trouve ça vraiment vraiment top Donc c'est vraiment quelque chose que j'ai adoré et que j'ai envie de mettre encore plus en pratique dans ma vie et dans ça, dans tous les aspects, de changer juste des petits éléments. Voilà, dans mon contexte, c'est pas forcément tout changer, parce que moi je suis quand même madame qui change tout, je suis madame qui a quitté son taf, son CDI, pour aller changer complètement de carrière, aller dans un domaine complètement différent, machin, enfin vraiment on fait des gros changements par ici. Donc moi je suis très comme ça et ça me fait du bien de me reconnecter avec le fait qu'on peut faire aussi des petits changements et c'est plutôt pas mal. Voilà, donc ça c'était quand même un des gros apprentissages de cet été. La deuxième chose cet été, c'est que du coup, en explorant le monde libertin, mais aussi du fait des vacances tout simplement, j'ai rencontré plein de personnes. Et comme j'ai facilité à parler de sexualité, évidemment on a parlé de sexualité dans plein de différents contextes. Et donc dans différents contextes, j'ai rencontré différents types de personnes, et des personnes qui pouvaient être ultra expérimentées. même formés, vraiment des personnes qui vont avoir aussi la parole très libérée sur la sexualité. Enfin, vraiment, j'ai tout un panel de gens qui me viennent en tête, que j'ai rencontrés cet été, qui sont la personne la plus novice, qui ne parle jamais de sexualité, qui se retrouve dans une soirée avec moi. Youhou, salut ! C'est une soirée classique, mais moi je parle de cul comme jamais, donc il n'y a pas de problème. à me retrouver avec plein de gens qui travaillent dans le monde de la sexualité et tout. Donc vraiment, j'ai vécu plein de rencontres et plein de différents scénarios. Et il y a un truc vraiment dont je me suis rendue compte, c'est que... En fait, parfois, le problème qu'ont les gens, c'est pas tant le fait de ne pas savoir. Parce qu'il y a plein de gens qui savent plein de choses, qui vont être des gens qui sont brillants, qui vont avoir de l'expérience dans la vie, qui vont être des gens qui vont être curieux, des gens qui vont suivre des comptes Instagram, qui vont lire des livres, qui vont s'être renseignés sur la sexualité parce que c'est un thème et un sujet qui est de plus en plus... dont on parle de plus en plus, ok dans la sphère féministe, mais pas que. Et donc, des gens qui vont être cultivés, qui vont se poser plein de questions, se remettre en question, avoir à aborder les sujets du consentement et tout, donc vraiment plein, plein de choses. Et pourtant, ces gens, ils vont avoir des freins de malade. Mais vraiment des freins, des peurs. Ça va être des possibilités d'autocensure, des fantasmes qui ne vont pas s'avouer, mais même s'avouer à eux-mêmes, des désirs qui vont être bridés et tout. Et ça, malgré le fait de savoir qu'un fantasme ne va pas te définir, malgré le fait de s'être renseigné sur la sexualité, d'avoir appris sur la sexualité, ils vont quand même avoir ces blocages. Et du coup, pendant les vacances, j'ai eu la chance de coacher quelqu'un qui avait un profil de ce type. Et c'est vraiment quelqu'un qui n'avait pas besoin que je lui fasse de l'éducation sexuelle, parce que ça, c'était hyper OK, en fait. L'éducation, le point de vue éducationnel était... était bien, mais c'était vraiment quelqu'un qui avait besoin qu'on lui donne la permission, qui avait besoin de se sentir un peu en sécurité, qui avait juste besoin, on ne va pas se mentir, parfois d'un petit coup de pied aux fesses pour pouvoir se lancer. Et là, j'ai vraiment pris conscience de ça, que des fois, ce dont on a besoin, ce n'est pas de connaissance, c'est d'un espace sécurisant. Et tant qu'on ne s'est pas autorisé, tant qu'on ne s'est pas... accompagné ou parfois aussi challengé, parce qu'il y a ça aussi, il y a vraiment de ça, ben en fait on reste bloqué. Et du coup ça m'a vachement inspirée et c'est pour ça que je prépare un futur programme qui va vraiment s'adresser aux personnes qui vont être comme ça parce que je me rends compte que, en fait, dépasser cette peur, parfois même cette peur du jugement, sortir de ces schémas et incarner tout ce qu'on a envie de vivre et tout ce qu'on désire vivre et tout, ça ne tient parfois qu'à se créer un climat sécuritaire et se donner un coup de pouce et on y va. Mais bon, je ne vais pas t'en dire plus là-dessus parce que c'est quelque chose dont on va parler bientôt. Donc, suis-moi sur Instagram pour voir un peu l'évolution. Mais c'est vraiment quelque chose sur lequel je travaille et que j'ai envie de lancer parce que je me rends compte qu'il y a bien plus de personnes que ce que je pensais qui sont dans ce cas de figure, qui savent déjà, ils savent et ils ont juste besoin qu'on les aide à se lancer. Et du coup, d'ailleurs, si tu es dans ce cas-là, n'hésite pas à me contacter parce que j'ai vraiment quelque chose de cool qui va arriver pour toi. Et en tout cas, ça a été un été qui a été tellement riche, mais tellement riche en rencontres, en expériences, en apprentissage et aussi en développement, que ce soit pour moi, pour mon business, ma personne et tout, que je n'ai pas du tout envie que ça finisse. Mais bon, tant pis. De toute façon... J'allais dire, toutes les bonnes choses ont une fin, mais est-ce que c'est vraiment une fin ? J'en suis pas sûre. Ça va continuer, et je vais faire en sorte que ça continue, même en hiver. En tout cas, si tu devais retenir quelque chose de cet épisode, c'est que, un, tu pourras poser tous les cadres du monde, tu peux pas contrôler les gens qui sont en face de toi. Ça, franchement, je vais le répéter, et je pense qu'il va peut-être être le mantra de cette nouvelle saison, je ne sais pas, on verra. Mais vraiment, c'est un truc que je veux trop que tu te mettes en tête, parce que... Je pense que je le savais et que je m'étais un peu fourvoyée là-dessus et que là, le redire, ça me fait du bien. Donc voilà, je te le redis aussi parce que ça peut t'aider. Donc voilà, toi, je ne sais pas où est-ce que tu en es aujourd'hui, comment s'est passé ton été, est-ce que tu as appris des choses, est-ce que tu as vécu des choses ou est-ce que justement tu as eu des blocages et tout. Mais j'espère que tu es vraiment prêt et prête à te choisir parce que ça n'a pas de prix en fait, vraiment. et même quand c'est des situations qui vont pas t'épargner, qui vont être difficiles et tout, c'est vraiment te prioriser te choisir et tout parce que il est hors de question de négocier avec son plaisir et ses désirs ça c'est fini en 2025 on négocie plus, on communique quand on est à plusieurs bien sûr on fait des compromis mais on négocie pas avec ce dont on a envie et avec qui on est surtout j'espère que t'as toi aussi arrêter de jouer des rôles que maintenant tu t'autorises à être 100% toi-même au risque de déplaire vraiment au risque de déplaire mais c'est pas grave de déplaire ça permet de mieux plaire à d'autres personnes. Donc ça, c'est cool. J'espère que tu t'en aimes, j'espère que tu t'explores. Et si ce n'est pas encore le cas et que tu as besoin d'aide, n'hésite pas à me contacter. C'est tout pour cet épisode. J'espère que ça t'a plu. Cette saison 3 commence fort et je te promets que c'est vraiment que le début. C'est terminé pour cette semaine. Si cet épisode t'a parlé, t'a secoué, t'a donné envie d'aller plus loin, pense à t'abonner au podcast et à laisser 5 étoiles, un commentaire et le partager, partage-le autour de toi pour faire réfléchir et répandre la bonne parole. Et surtout, surtout, n'oublie pas de me rejoindre sur Instagram. Sur ce, je te souhaite une très bonne semaine et je te dis à la semaine prochaine pour un nouvel épisode de Ta Pause Sexy.
