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HS #24 - Une soirée en libre service

HS #24 - Une soirée en libre service

10min |19/09/2025
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Description

Un fantasme peut hanter des années. Toujours repoussé. Toujours interdit. Jusqu’au jour où on en fait sa réalité.

Une soirée. Un club. Une décision irrévocable.

Il y a un avant, et il y a un après. Et cet après… a le goût doux et brûlant de la liberté.


Abonne-toi à Ta Pause Sexy pour ne rien rater des prochains épisodes.

Retrouve-moi sur Instagram @tapausesexy et inscris-toi à la newsletter pour recevoir les coulisses et bonus exclusifs.


Bonne écoute !


Cet épisode est sponsorisé par lilith.paris


Pour les demandes de sponsoring : tapausesexy@gmail.com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans cet épisode hors série ou hors story, c'est Anne-Elisabeth, ta coach en sexualité, qui t'a dégoté une histoire bien caliente pour stimuler ta créativité. Avant de te plonger dans cette histoire, je voudrais que tu prennes le temps de t'abonner au podcast si ce n'est pas déjà fait. Une fois que c'est fait, partage-le à tes amis et va mettre 5 étoiles sur l'application d'écoute de ton choix. J'en demande beaucoup, mais ce podcast a besoin de ça pour vivre, donc si tu aimes ce que je te propose, tu sais maintenant quel est le meilleur moyen de le soutenir.

  • Speaker #1

    Sur ce, bonne écoute ! Aujourd'hui, il faut que je te parle de Lilith Paris. Lilith Paris, c'est une nouvelle plateforme de rencontres dédiée au libertinage et au BDSM. Ce qui la distingue des autres plateformes, c'est vraiment son côté safe. Déjà, tu ne reçois des messages que des personnes... avec qui il y a eu un match. Donc, ça veut dire que vous vous êtes likés réciproquement. Ensuite, si finalement tu décides de ne pas répondre, on ne peut pas te relancer indéfiniment. Du coup, ça te permet de pouvoir quand même garder une certaine forme de contrôle sur les échanges et surtout, ça te laisse le droit de changer d'avis. Comme la plateforme se lance tout juste, c'est vraiment le moment d'y rentrer. La communauté est en train de se construire, il n'y a pas un milliard de profils, donc ce n'est pas saturé, donc tu vas avoir plus d'opportunités. de pouvoir créer des vraies connexions. Et puis, franchement, si tu ne me crois pas sur parole, va tester toi-même. En ce moment, sur Lili de Paris, tu as trois mois d'abonnement offerts qui te permettent d'aller explorer, d'aller papoter et de pouvoir commencer à faire tes premières rencontres. Alors, on se retrouve là-bas. Tu peux retrouver toutes les informations dans la barre de description de ce podcast. Et on remercie Lili de Paris d'avoir sponsorisé ce nouvel épisode. hors série de ta peau sexy. Je l'ai fantasmé pendant des années. Parfois la nuit, parfois sous la douche, parfois en pleine réunion sans prévenir. Cette idée, elle me collait à la peau. Le club libertin. Pas juste le club et son ambiance feutrée, ses codes, ses regards. Non, le club brut. Celui des corps au fer, des souffles lourds et des scènes sans filtre. Le club où je ne suis plus. plus spectatrice, mais une femme lènement traversée. J'y étais déjà allée avec mon ex-mari. En couple, pour voir, pour sentir l'ambiance. On s'était un peu exhibés, un petit peu mélangés, mais c'était pas ça. C'était pas ce fantasme-là. Et je pouvais pas lui en parler. Mon fantasme à moi était beaucoup plus cru, plus sauvage, plus dérangeant. Et chaque fois que j'ai... pensait, à chaque fois que ça me traversait, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait, tu peux pas faire ça, tu vas pas passer pour une salope, franchement tu risques de le regretter. Et puis il y avait mon corps qui lui vibrait, réclamait, hurlait d'envie et de désir pour ce fantasme. Alors j'ai répoussé, je suis restée sage. Du moins en apparence. Mais cet été, j'ai arrêté de résister. Je ne sais pas exactement ce qui a changé. Peut-être que j'en ai eu marre. Marre de me restreindre. Marre de toujours penser à ce que les autres allaient penser de moi. Peut-être avoir peur de me brûler. Mais j'ai décidé que ça serait une soirée. Une seule. Une soirée que j'ai appelée dans ma tête. Libre service. Je savais exactement ce que je venais chercher. Du coup, je suis arrivée tôt. Et franchement, je sentais mon cœur battre dans ma gorge. Mon corps était prêt. Mais ce battement de mon cœur, c'était un mélange de peur et d'excitation. Je m'étais habillée en conséquence. J'avais cette robe. Celle que je ne mets jamais parce qu'elle ne cache rien. Celle qui dort dans mon placard depuis bien longtemps. Et ce soir-là, je me disais, je m'appartiens. Et quand les portes se sont refermées derrière moi, j'ai su que c'était trop tard pour reculer, que tout était maintenant enclenché. Et surtout, j'en avais aucune envie. J'étais venue pour ça, et je comptais bien y rester. L'ambiance était lourde, chargée. J'ai pris un verre. J'ai fait le tour et très vite un regard, un regard qui s'est posé sur moi. puis un autre, puis une main, puis deux. Et je suis restée debout à un moment, à observer, à respirer, à ressentir. Autour de moi, l'écorce s'échauffait doucement. Il n'y avait pas de précipitation, pas de performance, juste de la tension, moite, offerte. Et puis il s'est approché de moi. Il m'a parlé. Il m'a dit qu'il me trouvait intrigante, qu'il ne... m'avait pas souvent croisé ici car il n'y avait pas forcément beaucoup de femmes seules qui venaient traîner par ici. Il était séduisant mais surtout il était calme et présent. Il surjouait pas à son désir et pour une fois j'avais pas besoin de réfléchir. Pendant qu'on discutait, un autre homme me regardait de loin. Il ne bougeait pas, juste une présence. Et comme il s'attendait à ce qu'on le laisse entrer dans le secret, c'est là que dans un petit coin de discussion et à demi-lumière, je lui ai dit « Ce soir, je ne suis pas venue pour rien. J'ai une envie que je porte depuis des années et ce soir, j'ai décidé d'y aller et de me laisser aller. » Il m'a souri, il m'a tendu la main et je l'ai suivi. On a traversé un couloir, lentement. À chaque pas, mon cœur battait plus fort. Mais je n'avais pas peur. J'étais prête. Dans la pièce, tamisée, l'ambiance était chaude et épaisse. Je me suis allongée, j'ai fermé les yeux. Et on a commencé par des caresses, sensuelles, ralentissantes. Puis il m'a demandé, « Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu veux ? » Et je lui ai dit, je lui ai dit que ce soir, je voulais me laisser traverser, je voulais qu'on m'utilise, qu'on me prenne, par plusieurs, par beaucoup. Ce fantasme qui m'habitait depuis si longtemps, et que ce soir j'étais prête à m'y abandonner, c'était un fantasme de pluralité, mais en libre service. Il n'a rien dit, mais son regard s'est assombri. Il m'a dit qu'il allait m'aider à vivre ça. Et je lui ai proposé qu'il choisisse pour moi. Il s'est décidé à être mon protecteur pour cette soirée. Un peu mon filtre, mon organisateur. Et ça, j'ai adoré. L'idée d'avoir un chevalier logistique et gardien de mes désirs. Un homme qui viendrait sur moi tout en me livrant aux autres. Je lui ai dit que je n'avais pas envie de réfléchir, que ce soir je voulais ressentir et donc que je ne regarderais même pas. Je voulais juste être un corps et être dans mon corps. Mon souffle, mes frissons, tout était là. On a d'abord commencé à deux car il avait la dure mission de préparer mon corps. de préparer chacun de mes trous à recevoir ce qu'il déciderait pour moi. Il m'a mis un bandeau sur les yeux. Et ensuite, c'est là que tout a commencé. Il y a eu une main, puis une bouche, puis un sexe. Je ne sais même pas combien ils étaient. Je n'ai jamais compté. Je ne les ai pas vus. Je ne sais pas quand c'était lui. Je ne sais pas quand c'était un autre. Je sais juste que j'ai crié, que j'ai joui, que j'ai pleuré. Je sais que j'ai été prise par tous les côtés. Qu'à un moment, j'ai eu une double pénétration. Qu'à un moment, j'ai eu trois corps sur moi. Je ne savais même plus où j'étais. Je sais que de temps en temps, il revenait, il me caressait l'épaule. Il me demandait si j'en voulais encore. Et je disais oui, toujours oui. Je ne pensais plus, je ne contrôlais plus. Je n'étais plus rien d'autre qu'un corps, vibrant. À un moment, une larme a coulé. Et c'est cette larme qui m'a reconnectée. Je me suis dit stop. Et il est revenu. Il m'a demandé comment j'allais. Et je lui ai dit, je crois que maintenant, j'ai envie de toi. Alors il a fermé la porte. Il a fait sortir tout le monde et il m'a prise lentement, doucement, intensément. Il m'a lavé du reste. Et quand tout a été fini, quand je suis allée me doucher, je me suis regardée dans la glace et je me suis sentie complète. Je lui ai demandé combien ils étaient. Il a souri et il m'a dit « assez pour que tu ne l'oublies jamais » . Je ne sais pas combien ils étaient. Et franchement, je m'en fous. Je sais juste qu'il y a eu un avant et un après. Et que ce fantasme, je l'ai vécu vraiment parce que j'ai arrêté de contrôler, parce que j'étais en sécurité, parce que ce soir-là, je me suis donnée et je me suis retrouvée.

Description

Un fantasme peut hanter des années. Toujours repoussé. Toujours interdit. Jusqu’au jour où on en fait sa réalité.

Une soirée. Un club. Une décision irrévocable.

Il y a un avant, et il y a un après. Et cet après… a le goût doux et brûlant de la liberté.


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Bonne écoute !


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans cet épisode hors série ou hors story, c'est Anne-Elisabeth, ta coach en sexualité, qui t'a dégoté une histoire bien caliente pour stimuler ta créativité. Avant de te plonger dans cette histoire, je voudrais que tu prennes le temps de t'abonner au podcast si ce n'est pas déjà fait. Une fois que c'est fait, partage-le à tes amis et va mettre 5 étoiles sur l'application d'écoute de ton choix. J'en demande beaucoup, mais ce podcast a besoin de ça pour vivre, donc si tu aimes ce que je te propose, tu sais maintenant quel est le meilleur moyen de le soutenir.

  • Speaker #1

    Sur ce, bonne écoute ! Aujourd'hui, il faut que je te parle de Lilith Paris. Lilith Paris, c'est une nouvelle plateforme de rencontres dédiée au libertinage et au BDSM. Ce qui la distingue des autres plateformes, c'est vraiment son côté safe. Déjà, tu ne reçois des messages que des personnes... avec qui il y a eu un match. Donc, ça veut dire que vous vous êtes likés réciproquement. Ensuite, si finalement tu décides de ne pas répondre, on ne peut pas te relancer indéfiniment. Du coup, ça te permet de pouvoir quand même garder une certaine forme de contrôle sur les échanges et surtout, ça te laisse le droit de changer d'avis. Comme la plateforme se lance tout juste, c'est vraiment le moment d'y rentrer. La communauté est en train de se construire, il n'y a pas un milliard de profils, donc ce n'est pas saturé, donc tu vas avoir plus d'opportunités. de pouvoir créer des vraies connexions. Et puis, franchement, si tu ne me crois pas sur parole, va tester toi-même. En ce moment, sur Lili de Paris, tu as trois mois d'abonnement offerts qui te permettent d'aller explorer, d'aller papoter et de pouvoir commencer à faire tes premières rencontres. Alors, on se retrouve là-bas. Tu peux retrouver toutes les informations dans la barre de description de ce podcast. Et on remercie Lili de Paris d'avoir sponsorisé ce nouvel épisode. hors série de ta peau sexy. Je l'ai fantasmé pendant des années. Parfois la nuit, parfois sous la douche, parfois en pleine réunion sans prévenir. Cette idée, elle me collait à la peau. Le club libertin. Pas juste le club et son ambiance feutrée, ses codes, ses regards. Non, le club brut. Celui des corps au fer, des souffles lourds et des scènes sans filtre. Le club où je ne suis plus. plus spectatrice, mais une femme lènement traversée. J'y étais déjà allée avec mon ex-mari. En couple, pour voir, pour sentir l'ambiance. On s'était un peu exhibés, un petit peu mélangés, mais c'était pas ça. C'était pas ce fantasme-là. Et je pouvais pas lui en parler. Mon fantasme à moi était beaucoup plus cru, plus sauvage, plus dérangeant. Et chaque fois que j'ai... pensait, à chaque fois que ça me traversait, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait, tu peux pas faire ça, tu vas pas passer pour une salope, franchement tu risques de le regretter. Et puis il y avait mon corps qui lui vibrait, réclamait, hurlait d'envie et de désir pour ce fantasme. Alors j'ai répoussé, je suis restée sage. Du moins en apparence. Mais cet été, j'ai arrêté de résister. Je ne sais pas exactement ce qui a changé. Peut-être que j'en ai eu marre. Marre de me restreindre. Marre de toujours penser à ce que les autres allaient penser de moi. Peut-être avoir peur de me brûler. Mais j'ai décidé que ça serait une soirée. Une seule. Une soirée que j'ai appelée dans ma tête. Libre service. Je savais exactement ce que je venais chercher. Du coup, je suis arrivée tôt. Et franchement, je sentais mon cœur battre dans ma gorge. Mon corps était prêt. Mais ce battement de mon cœur, c'était un mélange de peur et d'excitation. Je m'étais habillée en conséquence. J'avais cette robe. Celle que je ne mets jamais parce qu'elle ne cache rien. Celle qui dort dans mon placard depuis bien longtemps. Et ce soir-là, je me disais, je m'appartiens. Et quand les portes se sont refermées derrière moi, j'ai su que c'était trop tard pour reculer, que tout était maintenant enclenché. Et surtout, j'en avais aucune envie. J'étais venue pour ça, et je comptais bien y rester. L'ambiance était lourde, chargée. J'ai pris un verre. J'ai fait le tour et très vite un regard, un regard qui s'est posé sur moi. puis un autre, puis une main, puis deux. Et je suis restée debout à un moment, à observer, à respirer, à ressentir. Autour de moi, l'écorce s'échauffait doucement. Il n'y avait pas de précipitation, pas de performance, juste de la tension, moite, offerte. Et puis il s'est approché de moi. Il m'a parlé. Il m'a dit qu'il me trouvait intrigante, qu'il ne... m'avait pas souvent croisé ici car il n'y avait pas forcément beaucoup de femmes seules qui venaient traîner par ici. Il était séduisant mais surtout il était calme et présent. Il surjouait pas à son désir et pour une fois j'avais pas besoin de réfléchir. Pendant qu'on discutait, un autre homme me regardait de loin. Il ne bougeait pas, juste une présence. Et comme il s'attendait à ce qu'on le laisse entrer dans le secret, c'est là que dans un petit coin de discussion et à demi-lumière, je lui ai dit « Ce soir, je ne suis pas venue pour rien. J'ai une envie que je porte depuis des années et ce soir, j'ai décidé d'y aller et de me laisser aller. » Il m'a souri, il m'a tendu la main et je l'ai suivi. On a traversé un couloir, lentement. À chaque pas, mon cœur battait plus fort. Mais je n'avais pas peur. J'étais prête. Dans la pièce, tamisée, l'ambiance était chaude et épaisse. Je me suis allongée, j'ai fermé les yeux. Et on a commencé par des caresses, sensuelles, ralentissantes. Puis il m'a demandé, « Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu veux ? » Et je lui ai dit, je lui ai dit que ce soir, je voulais me laisser traverser, je voulais qu'on m'utilise, qu'on me prenne, par plusieurs, par beaucoup. Ce fantasme qui m'habitait depuis si longtemps, et que ce soir j'étais prête à m'y abandonner, c'était un fantasme de pluralité, mais en libre service. Il n'a rien dit, mais son regard s'est assombri. Il m'a dit qu'il allait m'aider à vivre ça. Et je lui ai proposé qu'il choisisse pour moi. Il s'est décidé à être mon protecteur pour cette soirée. Un peu mon filtre, mon organisateur. Et ça, j'ai adoré. L'idée d'avoir un chevalier logistique et gardien de mes désirs. Un homme qui viendrait sur moi tout en me livrant aux autres. Je lui ai dit que je n'avais pas envie de réfléchir, que ce soir je voulais ressentir et donc que je ne regarderais même pas. Je voulais juste être un corps et être dans mon corps. Mon souffle, mes frissons, tout était là. On a d'abord commencé à deux car il avait la dure mission de préparer mon corps. de préparer chacun de mes trous à recevoir ce qu'il déciderait pour moi. Il m'a mis un bandeau sur les yeux. Et ensuite, c'est là que tout a commencé. Il y a eu une main, puis une bouche, puis un sexe. Je ne sais même pas combien ils étaient. Je n'ai jamais compté. Je ne les ai pas vus. Je ne sais pas quand c'était lui. Je ne sais pas quand c'était un autre. Je sais juste que j'ai crié, que j'ai joui, que j'ai pleuré. Je sais que j'ai été prise par tous les côtés. Qu'à un moment, j'ai eu une double pénétration. Qu'à un moment, j'ai eu trois corps sur moi. Je ne savais même plus où j'étais. Je sais que de temps en temps, il revenait, il me caressait l'épaule. Il me demandait si j'en voulais encore. Et je disais oui, toujours oui. Je ne pensais plus, je ne contrôlais plus. Je n'étais plus rien d'autre qu'un corps, vibrant. À un moment, une larme a coulé. Et c'est cette larme qui m'a reconnectée. Je me suis dit stop. Et il est revenu. Il m'a demandé comment j'allais. Et je lui ai dit, je crois que maintenant, j'ai envie de toi. Alors il a fermé la porte. Il a fait sortir tout le monde et il m'a prise lentement, doucement, intensément. Il m'a lavé du reste. Et quand tout a été fini, quand je suis allée me doucher, je me suis regardée dans la glace et je me suis sentie complète. Je lui ai demandé combien ils étaient. Il a souri et il m'a dit « assez pour que tu ne l'oublies jamais » . Je ne sais pas combien ils étaient. Et franchement, je m'en fous. Je sais juste qu'il y a eu un avant et un après. Et que ce fantasme, je l'ai vécu vraiment parce que j'ai arrêté de contrôler, parce que j'étais en sécurité, parce que ce soir-là, je me suis donnée et je me suis retrouvée.

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Un fantasme peut hanter des années. Toujours repoussé. Toujours interdit. Jusqu’au jour où on en fait sa réalité.

Une soirée. Un club. Une décision irrévocable.

Il y a un avant, et il y a un après. Et cet après… a le goût doux et brûlant de la liberté.


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Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans cet épisode hors série ou hors story, c'est Anne-Elisabeth, ta coach en sexualité, qui t'a dégoté une histoire bien caliente pour stimuler ta créativité. Avant de te plonger dans cette histoire, je voudrais que tu prennes le temps de t'abonner au podcast si ce n'est pas déjà fait. Une fois que c'est fait, partage-le à tes amis et va mettre 5 étoiles sur l'application d'écoute de ton choix. J'en demande beaucoup, mais ce podcast a besoin de ça pour vivre, donc si tu aimes ce que je te propose, tu sais maintenant quel est le meilleur moyen de le soutenir.

  • Speaker #1

    Sur ce, bonne écoute ! Aujourd'hui, il faut que je te parle de Lilith Paris. Lilith Paris, c'est une nouvelle plateforme de rencontres dédiée au libertinage et au BDSM. Ce qui la distingue des autres plateformes, c'est vraiment son côté safe. Déjà, tu ne reçois des messages que des personnes... avec qui il y a eu un match. Donc, ça veut dire que vous vous êtes likés réciproquement. Ensuite, si finalement tu décides de ne pas répondre, on ne peut pas te relancer indéfiniment. Du coup, ça te permet de pouvoir quand même garder une certaine forme de contrôle sur les échanges et surtout, ça te laisse le droit de changer d'avis. Comme la plateforme se lance tout juste, c'est vraiment le moment d'y rentrer. La communauté est en train de se construire, il n'y a pas un milliard de profils, donc ce n'est pas saturé, donc tu vas avoir plus d'opportunités. de pouvoir créer des vraies connexions. Et puis, franchement, si tu ne me crois pas sur parole, va tester toi-même. En ce moment, sur Lili de Paris, tu as trois mois d'abonnement offerts qui te permettent d'aller explorer, d'aller papoter et de pouvoir commencer à faire tes premières rencontres. Alors, on se retrouve là-bas. Tu peux retrouver toutes les informations dans la barre de description de ce podcast. Et on remercie Lili de Paris d'avoir sponsorisé ce nouvel épisode. hors série de ta peau sexy. Je l'ai fantasmé pendant des années. Parfois la nuit, parfois sous la douche, parfois en pleine réunion sans prévenir. Cette idée, elle me collait à la peau. Le club libertin. Pas juste le club et son ambiance feutrée, ses codes, ses regards. Non, le club brut. Celui des corps au fer, des souffles lourds et des scènes sans filtre. Le club où je ne suis plus. plus spectatrice, mais une femme lènement traversée. J'y étais déjà allée avec mon ex-mari. En couple, pour voir, pour sentir l'ambiance. On s'était un peu exhibés, un petit peu mélangés, mais c'était pas ça. C'était pas ce fantasme-là. Et je pouvais pas lui en parler. Mon fantasme à moi était beaucoup plus cru, plus sauvage, plus dérangeant. Et chaque fois que j'ai... pensait, à chaque fois que ça me traversait, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait, tu peux pas faire ça, tu vas pas passer pour une salope, franchement tu risques de le regretter. Et puis il y avait mon corps qui lui vibrait, réclamait, hurlait d'envie et de désir pour ce fantasme. Alors j'ai répoussé, je suis restée sage. Du moins en apparence. Mais cet été, j'ai arrêté de résister. Je ne sais pas exactement ce qui a changé. Peut-être que j'en ai eu marre. Marre de me restreindre. Marre de toujours penser à ce que les autres allaient penser de moi. Peut-être avoir peur de me brûler. Mais j'ai décidé que ça serait une soirée. Une seule. Une soirée que j'ai appelée dans ma tête. Libre service. Je savais exactement ce que je venais chercher. Du coup, je suis arrivée tôt. Et franchement, je sentais mon cœur battre dans ma gorge. Mon corps était prêt. Mais ce battement de mon cœur, c'était un mélange de peur et d'excitation. Je m'étais habillée en conséquence. J'avais cette robe. Celle que je ne mets jamais parce qu'elle ne cache rien. Celle qui dort dans mon placard depuis bien longtemps. Et ce soir-là, je me disais, je m'appartiens. Et quand les portes se sont refermées derrière moi, j'ai su que c'était trop tard pour reculer, que tout était maintenant enclenché. Et surtout, j'en avais aucune envie. J'étais venue pour ça, et je comptais bien y rester. L'ambiance était lourde, chargée. J'ai pris un verre. J'ai fait le tour et très vite un regard, un regard qui s'est posé sur moi. puis un autre, puis une main, puis deux. Et je suis restée debout à un moment, à observer, à respirer, à ressentir. Autour de moi, l'écorce s'échauffait doucement. Il n'y avait pas de précipitation, pas de performance, juste de la tension, moite, offerte. Et puis il s'est approché de moi. Il m'a parlé. Il m'a dit qu'il me trouvait intrigante, qu'il ne... m'avait pas souvent croisé ici car il n'y avait pas forcément beaucoup de femmes seules qui venaient traîner par ici. Il était séduisant mais surtout il était calme et présent. Il surjouait pas à son désir et pour une fois j'avais pas besoin de réfléchir. Pendant qu'on discutait, un autre homme me regardait de loin. Il ne bougeait pas, juste une présence. Et comme il s'attendait à ce qu'on le laisse entrer dans le secret, c'est là que dans un petit coin de discussion et à demi-lumière, je lui ai dit « Ce soir, je ne suis pas venue pour rien. J'ai une envie que je porte depuis des années et ce soir, j'ai décidé d'y aller et de me laisser aller. » Il m'a souri, il m'a tendu la main et je l'ai suivi. On a traversé un couloir, lentement. À chaque pas, mon cœur battait plus fort. Mais je n'avais pas peur. J'étais prête. Dans la pièce, tamisée, l'ambiance était chaude et épaisse. Je me suis allongée, j'ai fermé les yeux. Et on a commencé par des caresses, sensuelles, ralentissantes. Puis il m'a demandé, « Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu veux ? » Et je lui ai dit, je lui ai dit que ce soir, je voulais me laisser traverser, je voulais qu'on m'utilise, qu'on me prenne, par plusieurs, par beaucoup. Ce fantasme qui m'habitait depuis si longtemps, et que ce soir j'étais prête à m'y abandonner, c'était un fantasme de pluralité, mais en libre service. Il n'a rien dit, mais son regard s'est assombri. Il m'a dit qu'il allait m'aider à vivre ça. Et je lui ai proposé qu'il choisisse pour moi. Il s'est décidé à être mon protecteur pour cette soirée. Un peu mon filtre, mon organisateur. Et ça, j'ai adoré. L'idée d'avoir un chevalier logistique et gardien de mes désirs. Un homme qui viendrait sur moi tout en me livrant aux autres. Je lui ai dit que je n'avais pas envie de réfléchir, que ce soir je voulais ressentir et donc que je ne regarderais même pas. Je voulais juste être un corps et être dans mon corps. Mon souffle, mes frissons, tout était là. On a d'abord commencé à deux car il avait la dure mission de préparer mon corps. de préparer chacun de mes trous à recevoir ce qu'il déciderait pour moi. Il m'a mis un bandeau sur les yeux. Et ensuite, c'est là que tout a commencé. Il y a eu une main, puis une bouche, puis un sexe. Je ne sais même pas combien ils étaient. Je n'ai jamais compté. Je ne les ai pas vus. Je ne sais pas quand c'était lui. Je ne sais pas quand c'était un autre. Je sais juste que j'ai crié, que j'ai joui, que j'ai pleuré. Je sais que j'ai été prise par tous les côtés. Qu'à un moment, j'ai eu une double pénétration. Qu'à un moment, j'ai eu trois corps sur moi. Je ne savais même plus où j'étais. Je sais que de temps en temps, il revenait, il me caressait l'épaule. Il me demandait si j'en voulais encore. Et je disais oui, toujours oui. Je ne pensais plus, je ne contrôlais plus. Je n'étais plus rien d'autre qu'un corps, vibrant. À un moment, une larme a coulé. Et c'est cette larme qui m'a reconnectée. Je me suis dit stop. Et il est revenu. Il m'a demandé comment j'allais. Et je lui ai dit, je crois que maintenant, j'ai envie de toi. Alors il a fermé la porte. Il a fait sortir tout le monde et il m'a prise lentement, doucement, intensément. Il m'a lavé du reste. Et quand tout a été fini, quand je suis allée me doucher, je me suis regardée dans la glace et je me suis sentie complète. Je lui ai demandé combien ils étaient. Il a souri et il m'a dit « assez pour que tu ne l'oublies jamais » . Je ne sais pas combien ils étaient. Et franchement, je m'en fous. Je sais juste qu'il y a eu un avant et un après. Et que ce fantasme, je l'ai vécu vraiment parce que j'ai arrêté de contrôler, parce que j'étais en sécurité, parce que ce soir-là, je me suis donnée et je me suis retrouvée.

Description

Un fantasme peut hanter des années. Toujours repoussé. Toujours interdit. Jusqu’au jour où on en fait sa réalité.

Une soirée. Un club. Une décision irrévocable.

Il y a un avant, et il y a un après. Et cet après… a le goût doux et brûlant de la liberté.


Abonne-toi à Ta Pause Sexy pour ne rien rater des prochains épisodes.

Retrouve-moi sur Instagram @tapausesexy et inscris-toi à la newsletter pour recevoir les coulisses et bonus exclusifs.


Bonne écoute !


Cet épisode est sponsorisé par lilith.paris


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bienvenue dans cet épisode hors série ou hors story, c'est Anne-Elisabeth, ta coach en sexualité, qui t'a dégoté une histoire bien caliente pour stimuler ta créativité. Avant de te plonger dans cette histoire, je voudrais que tu prennes le temps de t'abonner au podcast si ce n'est pas déjà fait. Une fois que c'est fait, partage-le à tes amis et va mettre 5 étoiles sur l'application d'écoute de ton choix. J'en demande beaucoup, mais ce podcast a besoin de ça pour vivre, donc si tu aimes ce que je te propose, tu sais maintenant quel est le meilleur moyen de le soutenir.

  • Speaker #1

    Sur ce, bonne écoute ! Aujourd'hui, il faut que je te parle de Lilith Paris. Lilith Paris, c'est une nouvelle plateforme de rencontres dédiée au libertinage et au BDSM. Ce qui la distingue des autres plateformes, c'est vraiment son côté safe. Déjà, tu ne reçois des messages que des personnes... avec qui il y a eu un match. Donc, ça veut dire que vous vous êtes likés réciproquement. Ensuite, si finalement tu décides de ne pas répondre, on ne peut pas te relancer indéfiniment. Du coup, ça te permet de pouvoir quand même garder une certaine forme de contrôle sur les échanges et surtout, ça te laisse le droit de changer d'avis. Comme la plateforme se lance tout juste, c'est vraiment le moment d'y rentrer. La communauté est en train de se construire, il n'y a pas un milliard de profils, donc ce n'est pas saturé, donc tu vas avoir plus d'opportunités. de pouvoir créer des vraies connexions. Et puis, franchement, si tu ne me crois pas sur parole, va tester toi-même. En ce moment, sur Lili de Paris, tu as trois mois d'abonnement offerts qui te permettent d'aller explorer, d'aller papoter et de pouvoir commencer à faire tes premières rencontres. Alors, on se retrouve là-bas. Tu peux retrouver toutes les informations dans la barre de description de ce podcast. Et on remercie Lili de Paris d'avoir sponsorisé ce nouvel épisode. hors série de ta peau sexy. Je l'ai fantasmé pendant des années. Parfois la nuit, parfois sous la douche, parfois en pleine réunion sans prévenir. Cette idée, elle me collait à la peau. Le club libertin. Pas juste le club et son ambiance feutrée, ses codes, ses regards. Non, le club brut. Celui des corps au fer, des souffles lourds et des scènes sans filtre. Le club où je ne suis plus. plus spectatrice, mais une femme lènement traversée. J'y étais déjà allée avec mon ex-mari. En couple, pour voir, pour sentir l'ambiance. On s'était un peu exhibés, un petit peu mélangés, mais c'était pas ça. C'était pas ce fantasme-là. Et je pouvais pas lui en parler. Mon fantasme à moi était beaucoup plus cru, plus sauvage, plus dérangeant. Et chaque fois que j'ai... pensait, à chaque fois que ça me traversait, il y avait cette petite voix dans ma tête qui me disait, tu peux pas faire ça, tu vas pas passer pour une salope, franchement tu risques de le regretter. Et puis il y avait mon corps qui lui vibrait, réclamait, hurlait d'envie et de désir pour ce fantasme. Alors j'ai répoussé, je suis restée sage. Du moins en apparence. Mais cet été, j'ai arrêté de résister. Je ne sais pas exactement ce qui a changé. Peut-être que j'en ai eu marre. Marre de me restreindre. Marre de toujours penser à ce que les autres allaient penser de moi. Peut-être avoir peur de me brûler. Mais j'ai décidé que ça serait une soirée. Une seule. Une soirée que j'ai appelée dans ma tête. Libre service. Je savais exactement ce que je venais chercher. Du coup, je suis arrivée tôt. Et franchement, je sentais mon cœur battre dans ma gorge. Mon corps était prêt. Mais ce battement de mon cœur, c'était un mélange de peur et d'excitation. Je m'étais habillée en conséquence. J'avais cette robe. Celle que je ne mets jamais parce qu'elle ne cache rien. Celle qui dort dans mon placard depuis bien longtemps. Et ce soir-là, je me disais, je m'appartiens. Et quand les portes se sont refermées derrière moi, j'ai su que c'était trop tard pour reculer, que tout était maintenant enclenché. Et surtout, j'en avais aucune envie. J'étais venue pour ça, et je comptais bien y rester. L'ambiance était lourde, chargée. J'ai pris un verre. J'ai fait le tour et très vite un regard, un regard qui s'est posé sur moi. puis un autre, puis une main, puis deux. Et je suis restée debout à un moment, à observer, à respirer, à ressentir. Autour de moi, l'écorce s'échauffait doucement. Il n'y avait pas de précipitation, pas de performance, juste de la tension, moite, offerte. Et puis il s'est approché de moi. Il m'a parlé. Il m'a dit qu'il me trouvait intrigante, qu'il ne... m'avait pas souvent croisé ici car il n'y avait pas forcément beaucoup de femmes seules qui venaient traîner par ici. Il était séduisant mais surtout il était calme et présent. Il surjouait pas à son désir et pour une fois j'avais pas besoin de réfléchir. Pendant qu'on discutait, un autre homme me regardait de loin. Il ne bougeait pas, juste une présence. Et comme il s'attendait à ce qu'on le laisse entrer dans le secret, c'est là que dans un petit coin de discussion et à demi-lumière, je lui ai dit « Ce soir, je ne suis pas venue pour rien. J'ai une envie que je porte depuis des années et ce soir, j'ai décidé d'y aller et de me laisser aller. » Il m'a souri, il m'a tendu la main et je l'ai suivi. On a traversé un couloir, lentement. À chaque pas, mon cœur battait plus fort. Mais je n'avais pas peur. J'étais prête. Dans la pièce, tamisée, l'ambiance était chaude et épaisse. Je me suis allongée, j'ai fermé les yeux. Et on a commencé par des caresses, sensuelles, ralentissantes. Puis il m'a demandé, « Alors, dis-moi, qu'est-ce que tu veux ? » Et je lui ai dit, je lui ai dit que ce soir, je voulais me laisser traverser, je voulais qu'on m'utilise, qu'on me prenne, par plusieurs, par beaucoup. Ce fantasme qui m'habitait depuis si longtemps, et que ce soir j'étais prête à m'y abandonner, c'était un fantasme de pluralité, mais en libre service. Il n'a rien dit, mais son regard s'est assombri. Il m'a dit qu'il allait m'aider à vivre ça. Et je lui ai proposé qu'il choisisse pour moi. Il s'est décidé à être mon protecteur pour cette soirée. Un peu mon filtre, mon organisateur. Et ça, j'ai adoré. L'idée d'avoir un chevalier logistique et gardien de mes désirs. Un homme qui viendrait sur moi tout en me livrant aux autres. Je lui ai dit que je n'avais pas envie de réfléchir, que ce soir je voulais ressentir et donc que je ne regarderais même pas. Je voulais juste être un corps et être dans mon corps. Mon souffle, mes frissons, tout était là. On a d'abord commencé à deux car il avait la dure mission de préparer mon corps. de préparer chacun de mes trous à recevoir ce qu'il déciderait pour moi. Il m'a mis un bandeau sur les yeux. Et ensuite, c'est là que tout a commencé. Il y a eu une main, puis une bouche, puis un sexe. Je ne sais même pas combien ils étaient. Je n'ai jamais compté. Je ne les ai pas vus. Je ne sais pas quand c'était lui. Je ne sais pas quand c'était un autre. Je sais juste que j'ai crié, que j'ai joui, que j'ai pleuré. Je sais que j'ai été prise par tous les côtés. Qu'à un moment, j'ai eu une double pénétration. Qu'à un moment, j'ai eu trois corps sur moi. Je ne savais même plus où j'étais. Je sais que de temps en temps, il revenait, il me caressait l'épaule. Il me demandait si j'en voulais encore. Et je disais oui, toujours oui. Je ne pensais plus, je ne contrôlais plus. Je n'étais plus rien d'autre qu'un corps, vibrant. À un moment, une larme a coulé. Et c'est cette larme qui m'a reconnectée. Je me suis dit stop. Et il est revenu. Il m'a demandé comment j'allais. Et je lui ai dit, je crois que maintenant, j'ai envie de toi. Alors il a fermé la porte. Il a fait sortir tout le monde et il m'a prise lentement, doucement, intensément. Il m'a lavé du reste. Et quand tout a été fini, quand je suis allée me doucher, je me suis regardée dans la glace et je me suis sentie complète. Je lui ai demandé combien ils étaient. Il a souri et il m'a dit « assez pour que tu ne l'oublies jamais » . Je ne sais pas combien ils étaient. Et franchement, je m'en fous. Je sais juste qu'il y a eu un avant et un après. Et que ce fantasme, je l'ai vécu vraiment parce que j'ai arrêté de contrôler, parce que j'étais en sécurité, parce que ce soir-là, je me suis donnée et je me suis retrouvée.

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