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Tabou- Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs

Lancement sans ventes : Émotions et leçons d'une thérapeute pour entrepreneurs

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33min |16/10/2025
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Tabou- Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs

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33min |16/10/2025
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Description

Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


As-tu déjà ressenti cette pression immense lors d'un lancement, en espérant que tout se passe à merveille, mais en fin de compte, tu te retrouves face à un mur de silence ? Dans cet épisode de "Tabou - Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs", je partage avec toi mon expérience d'un lancement récent d'une nouvelle offre qui, malgré toutes mes attentes, n'a pas généré de ventes. Ce moment de vulnérabilité m'a poussée à explorer mes émotions, mes doutes et les précieuses leçons que j'ai tirées de cette expérience.



Je t'invite à plonger avec moi dans la complexité de la création d'offres et à réfléchir à la perception de ta propre valeur. Dans le monde de l'entrepreneuriat, il est si facile de se laisser emporter par les attentes des autres et de perdre de vue ce qui te rend vraiment joyeux. J'aborde comment, en cherchant à adapter mon offre pour répondre aux besoins de mes clients, j'ai fini par m'éloigner de ma propre joie. C'est un parcours que beaucoup d'entre nous connaissent, où l'authenticité et la passion peuvent parfois être mises de côté au profit de la rentabilité.



Au fil de cet épisode, je partage comment cette expérience m'a amenée à une profonde réflexion sur mes véritables aspirations. J'ai décidé de créer un programme de mastermind de neuf mois, spécifiquement conçu pour l'expansion et le soutien des femmes entrepreneures. Ensemble, nous allons explorer comment se reconnecter à ses désirs profonds peut transformer notre parcours entrepreneurial. La vulnérabilité n'est pas une faiblesse, mais une force qui nous permet de grandir et de nous épanouir.



Je t'invite à écouter cet épisode pour découvrir comment embrasser l'authenticité et la joie dans ton travail peut non seulement enrichir ton expérience, mais aussi celle de tes clients. Ensemble, nous allons apprendre à naviguer dans les défis de l'entrepreneuriat avec courage et détermination. Prépare-toi à être inspiré, car il est temps de redéfinir ce que signifie réussir en tant qu'entrepreneur. Rejoins-moi pour cette conversation enrichissante et pleine de réflexions qui te permettra, je l'espère, de trouver ta propre voie vers la joie et l'authenticité.


Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, praticienne des mémoires transgénérationnelles, diplômée en psychologie et passionnée par le dépassement de soi. J'aide les entrepreneurs et les âmes ambitieuses à libérer les blessures du passé pour créer une vie et une entreprise à la hauteur de leur potentiel. Dans ce podcast, Tabou, tu découvriras le quotidien et les réflexions les plus intimes de la thérapeute des entrepreneurs. Tu verras que moi aussi, je doute, j'ai peur, je me questionne, parce qu'ici on parle vrai, on remet de la normalité là où trop souvent on met de la honte, pour que la vulnérabilité, les remises en question et les traversées passent enfin partie du chemin, sans jugement. Hello, j'espère que tu vas bien pour ce nouvel épisode de ce petit journal intime de la thérapeute des entrepreneurs. J'espère que tu as ta petite boisson pour écouter tranquillement cette anecdote, cette nouvelle anecdote, anecdote ou en tout cas ce moment intime, ce partage que je vais te faire aujourd'hui. Aujourd'hui je vais te parler d'un lancement que j'ai fait il n'y a pas très longtemps, il y a un peu... moins d'un mois, un peu plus d'un mois peut-être, sur une nouvelle offre qui m'était sortie de la tête. Et j'ai fait un lancement avec zéro vente. Et je vais te dire comment ça s'est passé pour moi, qu'est-ce que j'ai ressenti déjà durant tout ce lancement, comment je crée une offre, comment je crée un lancement, et comment je réagis selon le nombre d'offres, selon le nombre de ventes. que je fais et en quoi c'est intéressant, mais parce que ça montre aussi notre rapport à notre propre valeur, à la façon dont on perçoit notre valeur et aussi la foi en nos capacités et la vie qui nous porte pleinement. Ok, c'est parti ! Alors, si tu ne le sais pas, je suis praticienne des mémoires transgénérationnelles, j'accompagne en individuel, en tout cas j'ai fait une grosse pause sur les accompagnements individuels, je vais reprendre petit à petit. Et donc, comme j'ai fait une pause sur les accompagnements individuels, je proposais mes services via d'autres choses, parfois des ateliers en live, parfois ce que je faisais déjà les années précédentes, mais... Là, du coup, je me focalisais uniquement là-dessus, des ateliers en live, des offres en ligne, en autonomie, des formations, des programmes, toujours dans le même principe. Quel que soit l'angle sous lequel je travaille, c'est toujours dans un principe de tu as des potentiels et du coup, je t'aide à les révéler en te débarrassant de ce qui ne t'appartient pas, de tes peurs, de tes croyances, de tes blessures, peu importe. Et donc j'ai fait quelques lancements durant le début d'année, j'ai fait un premier lancement sur un programme qui s'appelle Aimer Riche, qui a fait des ventes. J'ai fait un lancement sur un tout petit programme cet été, 15 jours, pour se recentrer, que j'ai beaucoup aimé faire, parce qu'en fait je voulais le faire pour moi surtout. Donc j'étais contente que les gens achètent également. Et ensuite finalement on s'est retrouvés à la rentrée et je me suis dit j'ai envie de faire un programme qui s'appelle Equinox et qui serait 4 dans 5 live pour 5 live, 5 ateliers en live en tout cas de 2 heures qui permettraient un peu de se délester de ce qui ne nous appartient pas comme d'habitude. mais aussi de se reconnecter à ses besoins, d'enlever tout ce qui est colère, chaos, violence et se reconnecter à notre souveraineté, au bout, etc. Bref, c'était un lancement, c'était une offre que j'ai eue en tête comme ça, qui m'est venue comme ça, où je me disais, je sentais un peu cette énergie collective de ce besoin en tout cas de... de renouveau, de repartir sur des bonnes bases et des bases saines où on s'écoute réellement, on s'aime pleinement et pas juste je fais des exercices de libération mais après je sais pas à quoi je me reconnecte. Je sentais cette énergie collective assez forte et en plus ça allait être bientôt l'automne. Je trouvais que c'était une très belle symbolique pour faire ce programme Equinox. Et voilà, je me suis dit qu'est-ce que je veux partager dans mon lancement. J'avais envie de reconnecter à la joie, à l'innocence, à ressentir cette joie pure d'enfance, à ce truc où on s'amuse, on est trop content, on danse avec la vie, etc. Et donc pour incarner ce lancement, j'ai incarné ce message dans ma vie où j'ai vraiment pris plaisir à me reconnecter à cette joie, à me reconnecter à cette douceur aussi et prendre soin de moi, reprendre soin de moi à fond en tout cas, de pouvoir écouter tous mes besoins et être hyper hyper hyper hyper attentive à tous mes besoins et de les respecter même si en face je pouvais avoir des personnes qui me disaient qui me disait que c'était trop, sauf que si ce sont tes besoins, ce sont tes besoins. On fait souvent ce parallèle avec le bébé qui pleure, on ne va pas lui dire tu pleures trop, donc du coup je ne t'écoute pas. En tout cas quand on est un parent qui comprend le principe des pleurs d'un enfant. et du coup... Et ben voilà, donc ça a été ça, et ça a été un lancement hyper fun, hyper joyeux, que j'ai partagé avec mes enfants aussi, parce que je les ai rembarqués avec moi, je leur ai demandé de me filmer dans la forêt, j'étais là en train de danser, voilà, on s'amusait, c'était assez drôle, c'était fun, pour pouvoir utiliser ces contenus, ces vidéos dans mes contenus sur les réseaux sociaux. et en fait euh Plus j'incarnais ça et plus j'étais apaisée. En fait, j'incarnais en avant ce que je voulais transmettre dans ces cinq lives. Et du coup, j'avais une sorte de système nerveux hyper apaisé, une joie immense. Et au fur et à mesure que la date de lancement approchait et que j'avais zéro vente, j'étais toujours genre en mode « hé hé, waouh, la vie est belle, c'est génial, c'est trop bien » . Voilà, ce qui n'arrivait pas avant, si je faisais revente, c'est un peu la déprime, entre guillemets. Et donc là, j'étais assez fière, heureuse et contente. Et voilà, du coup, j'avais fait zéro vente. À un moment donné, parce que j'ai eu des messages de personnes me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, que c'était la rentrée, qu'il y avait plein de choses à payer, etc. Je sais que c'est une réalité, mais je sais aussi que parfois ce n'est pas une réalité, parce que dans le sens où on peut vendre à n'importe quel moment dans l'année, il y a toujours des personnes qui peuvent acheter, quelle que soit la période de l'année. Bref, donc c'était une réalité pour les personnes qui m'en parlaient, je ne dis pas qu'elles mentaient, mais je sais que ce n'est pas à cause de la rentrée que je n'ai pas vendu. Et en fait, du coup, en recevant ces messages-là, j'étais dans une certaine joie, etc. Je me suis dit, au lieu de vendre l'ensemble du programme, ces cinq lives, je vais vendre les ateliers séparément, comme ça, ça reviendra à moins cher. Donc l'offre, c'était 350 euros. Et du coup, je me suis dit, je vais les vendre indépendamment aussi, si les gens veulent soit acheter le programme entièrement, puisqu'en fait, il n'y avait que ça, c'était des ateliers en live, et entre les deux et c'est Il y avait un suivi comme d'habitude avec moi dans mes programmes, un suivi sur WhatsApp et via la communauté sur la plateforme pour que si j'ai envie de partager d'autres choses entre les lives, je puisse le faire, que les personnes qui achètent, si elles ont envie de poser des questions, elles puissent le faire, etc. Donc c'était 350 euros et le live, du coup l'atelier en seul, c'était 77 euros. Je me suis dit comme ça, les gens peuvent acheter s'ils n'ont pas trop les moyens, etc. En soi, on se dit, c'est sympa, c'est une bonne idée, je pourrais faire ça. Sauf qu'à partir du moment où j'ai fait ça, le premier live devait commencer un dimanche, ça ne s'est pas fait. Et après, je me suis dit, je vais commencer à communiquer là-dessus sur ces ateliers individuels, indépendants. Donc, il y a une personne qui m'a dit, oui, j'aimerais bien m'inscrire à un atelier. Est-ce que ce n'est pas trop tard pour celui d'aujourd'hui, en fait ? Celui du... Celui du dimanche, parce que la personne m'a contacté le dimanche même, ça m'arrive très souvent. Et finalement ça ne s'est pas fait. Et en fait au fur et à mesure, après je me suis dit je vais parler des autres, des autres qui arrivent de façon... indépendante. Et là, ma joie a disparu. Ma joie a complètement disparu parce que, bah, c'est pas comme ça que j'avais imaginé la chose. Parce que si j'ai imaginé cinq ateliers en live, c'était pour une raison. C'est parce qu'ils étaient reliés l'un à l'autre. Et en fait, j'incarnais ça. J'incarnais tout ce que je voulais transmettre dans ces cinq ateliers en live. Mais je me suis, on va dire, rapetichée en voulant les vendre en individuel, enfin les vendre les ateliers indépendamment les uns des autres. J'ai réduit, minimisé mon travail et aussi ça me demandait finalement plus d'efforts parce que du coup il fallait que je fasse des lancements, il fallait que je fasse... Du coup, quatre lancements tous les quinze jours, un nouveau lancement pour un nouvel atelier qui ne rémunère clairement pas de la même façon que faire un lancement pour un programme entier à 350 euros. Et en fait, j'ai aussi perdu ma joie parce que j'ai réagi sans m'en apercevoir. Sur la peur, la peur de quoi ? De manquer, la peur d'exclure aussi, la peur du rejet qui se reflétait sur mes clients. J'ai pas d'argent, je me sens exclue parce que je ne peux pas. me payer, me permettre, là, dans cette situation, de payer un programme à 350 euros. Et évidemment, quand j'ai commencé les deux premiers jours à parler des ateliers à 77 euros, je n'ai pas eu, tous ceux qui m'avaient parlé avant me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, je n'ai pas eu une flopée d'inscriptions. Ce n'est pas le cas. C'est pour ça que je dis des fois, l'argent, ce n'est pas un sujet. Mais c'est un sujet pour toi, qui lance une offre, pour toi qui vends tes services. Et donc, il y avait ça, cette blessure de rejet qui est très forte chez moi, blessure d'injustice qui est très forte chez moi. Et donc, cette peur finalement de manquer, cette peur de... Ben en fait, ils me disent ça et donc... J'ai peur de perdre une opportunité de faire des ventes. Donc je vais réduire, je vais faire un truc séparément, ce n'est plus du tout cohérent par rapport à ce que j'avais imaginé. Et voilà, du coup ce n'est pas ce que j'avais imaginé, donc je perds de la joie et je perds toutes les sens mêmes de ce que j'ai à offrir, tous les sens mêmes de mon message et de mon intention de départ. Pourquoi je te raconte ça ? Parce que parfois, on réagit, même quand on est avisé, même quand on a l'habitude, même quand on accompagne les autres là-dessus, on réagit à partir de ses blessures, on réagit à partir de ses peurs. Beaucoup moins souvent, je te rassure, évidemment que je ne réagis pas tout le temps à partir de mes blessures et de mes peurs, mais... Il n'empêche que ça peut encore arriver. Et là, ce que tu vois, c'est que hop, tout de suite, j'ai conscience de ça et je réagis. Donc, en fait, j'ai supprimé ces ateliers en individuel, indépendants les uns des autres. J'ai supprimé ce format parce qu'en fait, ça ne m'apportait pas de joie. Cette tristesse, cette lourdeur était un vrai message pour me dire, mais en fait, qu'est-ce que tu fais ? Ce n'était pas ça. Et donc, on peut se dire, ouais, mais quand même, t'abuses. Ouais, ok, tu n'avais pas de joie, ça t'affichait sur le moment, mais en fait, tu aurais pu faire un petit effort et continuer à en parler. Au moins, tu aurais eu des ventes et pas faire un mois sans rentrée d'argent. Parce que c'est ce qui s'est passé. Du coup, on était le 20 septembre. Le programme que j'ai lancé en septembre, sur lequel j'ai juste... Je me suis investie pleinement, n'a pas fonctionné. J'ai voulu vendre différentes choses en individuel. J'aime pas seulement individuel, mais j'arrive pas à trouver un autre terme. Bref, ça n'a pas fonctionné. Enfin, en tout cas, j'ai supprimé. Et je n'ai plus de séance individuelle. Donc, en fait, qu'est-ce que tu fais, Nitsa ? C'est n'importe quoi. Tu peux te bouger un peu les fesses, etc. Et oui, c'est vrai. Mais, en fait, le prix, ça aurait été que je continue. Peut-être que j'aurais certainement fait des ventes à un moment donné. Au moins pour un atelier. J'aurais eu peut-être trois pèlerins sur un atelier. Donc, trois fois 77 euros. Voilà, j'aurais utilisé une énergie. monstre à faire, à parler de ces ateliers. Pourquoi une énergie monstre ? Parce que quand tu n'as pas de joie et que tu te forces à faire quelque chose, ton énergie est beaucoup plus basse. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire d'efforts dans la vie, je suis consciente de ça et j'ai déjà fait plusieurs épisodes là-dessus sur la différence entre souffrance et effort. C'est important de faire des efforts, mais tu fais des efforts dans quelque chose qui qui t'apporte de la joie. J'avais pris cet exemple De faire une randonnée à la Soufrière ou en montagne. Une fois, j'ai fait une randonnée à la montagne à côté d'Annecy. C'était un énorme effort, mais ça m'apportait de la joie. C'était un dépassement de soi. Franchement, c'était rude, mais c'était joyeux. Et donc ça, c'est OK. En fait, tu utilises de l'énergie. Mais en fait, à la fin, quand tu y arrives, ça te ressource, ça te remplit. Quand tu fais un effort, par exemple, mon fils adore jouer à des jeux. très stratégique, etc. Ça me saoule. J'aime pas ça. Je n'y prends aucune joie. Enfin, je n'y trouve vraiment aucune joie. Et donc, ça demande un effort, parce qu'il faut réfléchir, et en plus, j'ai pas de joie. Donc, en fait, à la fin, je suis vidée. Donc, des fois, quand c'est un nouveau jeu, je veux bien le tester avec lui, et en fait, j'aime pas. Et après il me dit tu veux qu'on refasse une partie ? Non je ne vais pas refaire une partie avec toi parce que c'est saoulant, ça me saoule ton truc, je n'ai pas envie. Et donc il sait maintenant. Bref et donc ça devient plutôt là de la souffrance plutôt que de l'effort. Et donc l'idée c'est que j'aurais pu effectivement à force en faisant des efforts vendre ces ateliers. Mais sans joie ça aurait été de la souffrance et donc j'aurais eu de l'argent dans la souffrance. Donc. A partir de là, il y a ce truc de « what ? » Mais qu'est-ce que j'en fais en fait de tout ça ? J'avais une super joie, j'étais dans une vibration hyper haute, une fréquence super haute, etc. J'ai diminué parce que j'ai réagi avec la peur du manque. La peur du manque, la peur de rater une opportunité, la peur de rejeter, la peur d'exclure, etc. Mais en fait, ça a été du bon aussi parce que finalement, ce programme, même si je n'ai eu aucune vente, il m'a permis de réfléchir sur le fait que sans vouloir... Alors attention, là, je ne suis pas en train de mettre de la culpabilité sur les clientes qui m'ont dit qu'elles n'avaient pas d'argent à ce moment-là. Je les crois, c'est une vraie réalité. J'ai déjà été dans ce cas où j'avais trop envie de prendre une formation et je n'avais pas les moyens. Et j'étais dégoûtée et voilà, c'est une réalité. Mais il n'empêche que ça m'a permis de voir que je voulais impacter plus grand, plus fort, plus long. En fait, dès le départ, même si le lancement a été très joyeux, dès le départ, je me... j'ai... J'ai réduit mes attentes, c'est-à-dire que je me suis dit, en fait j'aimerais commencer en automne. En vrai, j'aimerais bien faire un truc super long. Non mais je ne vais pas me lancer dans un truc super long maintenant. Enfin, ça n'a pas de sens. J'ai eu l'idée début septembre. Il faut sortir le truc le 21 septembre. Calme-toi en fait. Ça n'a aucun sens. Donc en fait, non, tu vas faire un truc sur deux mois, juste pour la saison automne. Et puis voilà, tu vois. Et puis tu verras par la suite pour les autres saisons, etc. Mais j'avais vraiment envie de... À la base... C'est automne, hiver, printemps, faire au moins jusqu'au printemps pour qu'au printemps il y ait vraiment cette énergie de floraison, de matérialisation, etc. On se montre, etc. Et j'ai tué cette envie en me disant c'est trop. Autre blessure, c'est trop, c'est trop gros, etc. Donc le lancement a été génialissime, joyeux pour moi parce que j'ai incarné. mais au fur et à mesure, à chaque fois je... Taiser mes envies. Donc, je voulais un truc qui dure au moins 6 mois, j'ai réduit à 3 mois. Je voulais un truc de 3 mois avec 5 lives, j'ai réduit à un live, un atelier en live à chaque fois. Et c'est là où ton corps te dit non. En fait, il t'envoie des signes. qui sont très subtils quand t'as pas l'habitude, mais ils t'envoient quand même des signaux qui te disent t'es pas dans le bon chemin là, là c'est dommage. Et donc à partir de ça je me suis dit mais en fait ce que je voulais à la base c'est impacter, c'est faire du grand, c'est faire du long, c'est faire du profond, c'est faire quelque chose où moi-même je grandis là-dedans parce que... Enfin, tu ne le sais pas, mais une thérapeute, elle grandit avec ses clients, les clients qu'elle accompagne. Moi, je grandis. Franchement, à chaque fois que j'ai accompagné des personnes, ça m'a permis aussi de grandir, de mûrir certaines choses, d'aller plus en profondeur sur certaines choses, etc. Parce que, évidemment, même si je suis formée, je n'ai pas vécu tout ce que vous avez vécu. Encore heureux, j'ai suffisamment de trucs à me coltiner pour ne pas... avoir vécu tout ce que vous avez vécu, tout ce que mes clients ont vécu, etc. Donc ça fait grandir. Et donc j'avais envie de ça, de cette énergie expansive, très grande, très forte. Et donc il y a eu une grosse frustration, une déception, une fréquence basse. Tu vois, de la tristesse. Pas de la tristesse, mais de la... J'étais très maussade, j'étais très... Bof, wow. J'aime pas, je me sens tendue, je me sens étrique, je me sens... Voilà. Et en fait, ce moment m'a permis de me dire, mais en fait, reviens à ce que tu voulais. De base, tu voulais un truc long, fais un truc long. Tu veux faire un lancement rapide sur un truc long, fais un lancement rapide sur un truc long. Écoute ta joie, écoute ton inspiration, etc. Et ben voilà, du coup, j'ai créé en trois jours. J'ai mûri le truc. À partir du moment où je me suis autorisée à aller vers ce qui me portait, Et bien là, la créativité est revenue, toutes les idées sont revenues, toutes les pratiques que je voulais faire, elles sont apparues, les personnes avec qui je voulais travailler sont apparues, etc. Et en trois jours, j'avais cette idée en tête de, je veux faire un mastermind de neuf mois qui s'appellera Expansion. Pour être dans cette énergie expansive, un mastermind où je vais accompagner des clientes pendant 9 mois. Chaque semaine, il y aura un appel avec des pratiques somatiques où il y aura une fois sur deux des pratiques somatiques, des pratiques symboliques de libération, que ce soit transgénérationnelle, que ce soit en lien avec le système nerveux, avec les blessures de l'enfance. des problématiques que l'on retrouve dans son présent actuel et une autre fois où ce sera des échanges, du coaching pur de groupe pour accompagner des mamans, entrepreneurs ambitieuses qui ont envie justement d'être dans cette énergie d'expansion, qui ont envie de prendre leur envol, d'utiliser l'automne, l'hiver pour se débarrasser Merci. L'automne pour se débarrasser de ce qui ne compte plus, l'hiver pour se nourrir de choses qui sont essentielles, au printemps prendre son envol et l'été récolter les fruits de tout ce qu'elles ont fait pour qu'elles aient une entreprise finalement qui soit à la hauteur de leurs ambitions, qui soit à la hauteur de leurs envies, de leurs désirs et que cette entreprise soutienne leur vie plutôt qu'elle les accable. Parce que c'est ça. que je cherche depuis le début et que je veux prouver à tout le monde que quand on écoute sa joie, c'est tellement plus simple, c'est tellement plus beau. Franchement, des fois, on cherche à se mettre dans une case, à se réduire. Ce n'est pas commun de faire ça. Donc non, je vais plutôt faire ça. Ce n'est pas stratégique. Donc non, je ne vais pas faire ça. Oui, mais c'est un peu trop quand même. C'est too much. Donc je ne vais pas faire ça. Blablabla. Et en fait, à chaque fois qu'on fait ça, Voilà. On perd sa joie, on perd son essence, on perd sa mission qui est à l'intérieur de nous-mêmes, on perd toutes ses envies, ses désirs, et puis après tout devient contrainte, injonction, il faut, c'est insupportable, c'est lourd, et ça ne nous permet pas de toucher nos rêves. Et en fait, il y a cette idée de, parfois, on est là à se dire, comme si les rêves, c'était qu'un truc d'enfant, et que ce n'est pas fait pour être. réaliser mais bien sûr que si si c'est dans ta tête c'est que ça doit être réalisé ce qui passe par ta tête alors pas tout si tu as des envies de meurtre merci d'oublier à ne prend pas ce cet épisode comme prétexte pour tuer quelqu'un voilà voilà mais un rêve un rêve Un vrai rêve qui apporte quelque chose, un impact, qui a un impact sur toi, ça peut être que sur toi, c'est un impact sur toi, sur ta famille, tes enfants, tes proches, le monde, ton travail, je ne sais pas quoi, le sport, peu importe. Il est fait pour être matérialisé et réalisé. Et en fait, on est là, comme ça, tout le temps, à essayer de se réduire pour être dans des cases, pour faire ce qu'on nous dit stratégiquement, tu dois faire un lancement avec une masterclass. Oh, la masterclass ! Une masterclass et ensuite à la fin de la masterclass, tu vends ton truc et après voilà qui sera dans trois semaines, un mois et il faut que c'est... Oh non ! Suis ta joie, suis ton intuition et après à partir de ça, crée une stratégie qui te ressemble toi. et donc voilà, une fois que je me suis écoutée, que je me suis laissée porter laissée porter par mon intuition, par mon inspiration sans essayer de me réduire parce que C'est peut-être pas le bon moment, je vais peut-être exclure certaines personnes, parce qu'évidemment, un accompagnement comme ça, aussi long, ça a un coût, et ça a un coût en termes de temps et en termes de prix, tout le monde ne pourra pas être dans ça, et heureusement parce que je ne vais pas pouvoir accompagner tout le monde, mais... C'est ok, il y a plein d'autres façons d'accompagner les gens et les gens trouveront toujours une façon d'être accompagnés. Et donc une fois qu'on sort de ça, de ce truc de « ouais, il faut que je me réduise, il faut que, il faut que » , et bien là on laisse jaillir ce qui est beau et après la contraction vient justement l'expansion. après le... la lourdeur, etc. vient la légèreté et l'envol où tu te reconnectes à ta mission d'âme, tu te reconnectes à ta joie, tu te reconnectes à ce qui est au fond de toi, dans ton essence. Et voilà. Et du coup, je suis en plein lancement d'un mastermind de 9 mois qui va durer 9 mois dans lequel je vais accompagner des femmes formidables Merci. qui ont envie justement d'être dans cette énergie expansive, qui ont envie d'aller toucher leurs ambitions, qui en ont assez d'entendre dire qu'on ne peut pas tout avoir, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre, on ne peut pas être maman et entrepreneur à succès, on ne peut pas être maman, entrepreneur et avoir des passions, on ne peut pas être maman, entrepreneur, avoir un couple qui fonctionne. Pourquoi ? Qui a dit ça ? Voilà. En fait, on n'est pas en temps de guerre, tout va bien, tu peux avoir ce que tu veux, tu peux avoir à la hauteur de ce que tu veux si tu décides de lâcher ce qui ne t'appartient pas, lâcher les injonctions, lâcher les blessures, les traumas transgénérationnels, lâcher, accepter aussi faire le deuil de tes parents, de ton enfance, des attentes. de l'amour que tu n'as pas reçu, de l'attention que tu n'as pas reçue, et aller le chercher toi en fait, aller le chercher toi et t'entourer de gens qui sont comme toi. C'est pour ça que c'est un mastermind, parce que l'idée c'est de, je sélectionne 12 femmes maximum qui sont dans cette même énergie, qui sont dans cette même envie d'investir sur elles. L'idée c'est de travailler sur soi, ça va deux heures par semaine, d'investir sur elles, de travailler sur elles, pour... Pour concrétiser une entreprise, matérialiser une entreprise qui soutienne leur vie de rêve et pas qui les empêche de passer du bon temps avec leurs enfants, pas qui les empêche de... d'avoir des loisirs, d'avoir des amis, de penser à leur passion première, etc. Et en plus, ce que j'adore, c'est que c'est ça en fait, pourquoi je veux te partager ça, c'est qu'au départ je me suis réduit dans mon offre Equinox et maintenant là, on m'arrête plus. J'ai des intervenantes avec moi, j'ai Julie qui est praticienne de breastwork, qui va offrir à mes clientes trois séances de breastwork et j'ai fait du breastwork avec elle. C'est génial parce qu'il y a toujours un temps. de journaling à la fin qui permet de relaxation, puis de journaling. Et comme elle me disait, le breastwork, c'est libérer pour créer. Le breastwork, c'est libérer ce qui ne te correspond plus pour créer tes rêves. Génial ! Ensuite, le deuxième trimestre, j'aurai Sandra qui est prof de danse, qui va apporter beaucoup de mouvements, de mouvements libres, mais de mouvements aussi un peu, pas chorégraphiés, mais qui va permettre en tout cas d'apporter ce mouvement dans le corps, pour être dans l'amplitude, pour être dans la réceptivité, dans l'expansion, dans l'envol, etc. Ça va être absolument génial. Et une dernière, une coach qui va créer du coup des ateliers en live pour que, que toutes mes clientes puissent concrétiser concrètement leurs rêves, leur entreprise, avoir une stratégie qui leur ressemble. Donc ce n'est pas une coach Insta, ce n'est pas une coach spéciale LinkedIn, ce n'est pas une coach spéciale TikTok ou je ne sais pas quoi. C'est une coach qui est là pour te dire, ok, toi c'est quoi ta passion ? Comment t'aimes-tu communiquer ? Via la newsletter, via les podcasts, via YouTube, via les réseaux sociaux, via les sites internet, en vrai. Ok, choisis ça et en fait, on va avoir une stratégie qui sera efficace sur tous les canaux parce que tu vas juste comprendre la psychologie de vente des clients et tu vas aussi utiliser ta propre vie, ton propre cheminement, tes propres expériences, tes propres compétences pour attirer les gens à tes services. Voilà. Ah, je suis hyper contente de ça, mais aussi de te partager ça parce que, eh ben, si t'es dans cette phase, tu sens qu'il y a de la contraction. Écoute cela. Pourquoi il y a de la contraction ? Qu'est-ce qui doit être détendu, être libéré ? Peut-être qu'il y a de la contraction parce qu'il y a un truc là qui se sent emprisonné. Qu'est-ce qui se sent emprisonné ? Qu'est-ce qui se sent trop à l'étroit ? Et qu'est-ce que tu peux faire pour qu'il y ait plus de place à cet endroit, à cette chose, à cette envie, à ce besoin ? Je suis faite pour grandir et m'épanouir. Je mérite que mes besoins soient satisfaits. Vraiment, tu mérites que tes besoins soient satisfaits. Et encore plus, tu mérites que ta créativité prenne toute la place. qu'elle est toute la place de s'exprimer, tu mérites de toucher du doigt tes ambitions tes rêves, tes envies tes désirs voilà, je te laisse pour cet épisode j'espère qu'il t'a plu, qu'il t'a inspiré, n'hésite pas je te le rappelle, à partager autour de toi, que ce soit à tes amis via Whatsapp que ce soit sur les réseaux sociaux, même si t'as 10 abonnés Que ce soit lorsque tu parles avec tes amis, que ça fait tilt et tu dis « Ah, mais tu sais, j'écoute un podcast, ça, ça pourrait t'intéresser » . Voilà, n'hésite pas à partager autour de toi ou à tes clients si tu en as envie. Et à me suivre sur les réseaux sociaux, Natirelle Happy, N-A-T-Y-R-E-L-L-H-A-P-Y, sur Instagram, TikTok, sur Youtube également. Et voilà, j'espère que ça t'a plu. Et si le Mastermind Expansion te parle fortement, tu te dis ça me parle trop, n'hésite pas à cliquer sur le lien dans la description ou à m'envoyer un message en DM pour qu'on en discute, pour qu'on voit ensemble si ça te correspondrait, si ça répondrait à tes attentes, si je suis la bonne personne et si tu es la bonne personne pour ce groupe aussi. Et voilà, je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode.

Chapters

  • Introduction à la thérapeute et son parcours

    00:10

  • Réflexion sur un lancement sans ventes

    01:07

  • Création d'une nouvelle offre et ses enjeux

    02:32

  • La perte de joie et le rapport à la valeur personnelle

    06:15

  • Lancement du programme de mastermind Expansion

    21:46

Description

Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


As-tu déjà ressenti cette pression immense lors d'un lancement, en espérant que tout se passe à merveille, mais en fin de compte, tu te retrouves face à un mur de silence ? Dans cet épisode de "Tabou - Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs", je partage avec toi mon expérience d'un lancement récent d'une nouvelle offre qui, malgré toutes mes attentes, n'a pas généré de ventes. Ce moment de vulnérabilité m'a poussée à explorer mes émotions, mes doutes et les précieuses leçons que j'ai tirées de cette expérience.



Je t'invite à plonger avec moi dans la complexité de la création d'offres et à réfléchir à la perception de ta propre valeur. Dans le monde de l'entrepreneuriat, il est si facile de se laisser emporter par les attentes des autres et de perdre de vue ce qui te rend vraiment joyeux. J'aborde comment, en cherchant à adapter mon offre pour répondre aux besoins de mes clients, j'ai fini par m'éloigner de ma propre joie. C'est un parcours que beaucoup d'entre nous connaissent, où l'authenticité et la passion peuvent parfois être mises de côté au profit de la rentabilité.



Au fil de cet épisode, je partage comment cette expérience m'a amenée à une profonde réflexion sur mes véritables aspirations. J'ai décidé de créer un programme de mastermind de neuf mois, spécifiquement conçu pour l'expansion et le soutien des femmes entrepreneures. Ensemble, nous allons explorer comment se reconnecter à ses désirs profonds peut transformer notre parcours entrepreneurial. La vulnérabilité n'est pas une faiblesse, mais une force qui nous permet de grandir et de nous épanouir.



Je t'invite à écouter cet épisode pour découvrir comment embrasser l'authenticité et la joie dans ton travail peut non seulement enrichir ton expérience, mais aussi celle de tes clients. Ensemble, nous allons apprendre à naviguer dans les défis de l'entrepreneuriat avec courage et détermination. Prépare-toi à être inspiré, car il est temps de redéfinir ce que signifie réussir en tant qu'entrepreneur. Rejoins-moi pour cette conversation enrichissante et pleine de réflexions qui te permettra, je l'espère, de trouver ta propre voie vers la joie et l'authenticité.


Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, praticienne des mémoires transgénérationnelles, diplômée en psychologie et passionnée par le dépassement de soi. J'aide les entrepreneurs et les âmes ambitieuses à libérer les blessures du passé pour créer une vie et une entreprise à la hauteur de leur potentiel. Dans ce podcast, Tabou, tu découvriras le quotidien et les réflexions les plus intimes de la thérapeute des entrepreneurs. Tu verras que moi aussi, je doute, j'ai peur, je me questionne, parce qu'ici on parle vrai, on remet de la normalité là où trop souvent on met de la honte, pour que la vulnérabilité, les remises en question et les traversées passent enfin partie du chemin, sans jugement. Hello, j'espère que tu vas bien pour ce nouvel épisode de ce petit journal intime de la thérapeute des entrepreneurs. J'espère que tu as ta petite boisson pour écouter tranquillement cette anecdote, cette nouvelle anecdote, anecdote ou en tout cas ce moment intime, ce partage que je vais te faire aujourd'hui. Aujourd'hui je vais te parler d'un lancement que j'ai fait il n'y a pas très longtemps, il y a un peu... moins d'un mois, un peu plus d'un mois peut-être, sur une nouvelle offre qui m'était sortie de la tête. Et j'ai fait un lancement avec zéro vente. Et je vais te dire comment ça s'est passé pour moi, qu'est-ce que j'ai ressenti déjà durant tout ce lancement, comment je crée une offre, comment je crée un lancement, et comment je réagis selon le nombre d'offres, selon le nombre de ventes. que je fais et en quoi c'est intéressant, mais parce que ça montre aussi notre rapport à notre propre valeur, à la façon dont on perçoit notre valeur et aussi la foi en nos capacités et la vie qui nous porte pleinement. Ok, c'est parti ! Alors, si tu ne le sais pas, je suis praticienne des mémoires transgénérationnelles, j'accompagne en individuel, en tout cas j'ai fait une grosse pause sur les accompagnements individuels, je vais reprendre petit à petit. Et donc, comme j'ai fait une pause sur les accompagnements individuels, je proposais mes services via d'autres choses, parfois des ateliers en live, parfois ce que je faisais déjà les années précédentes, mais... Là, du coup, je me focalisais uniquement là-dessus, des ateliers en live, des offres en ligne, en autonomie, des formations, des programmes, toujours dans le même principe. Quel que soit l'angle sous lequel je travaille, c'est toujours dans un principe de tu as des potentiels et du coup, je t'aide à les révéler en te débarrassant de ce qui ne t'appartient pas, de tes peurs, de tes croyances, de tes blessures, peu importe. Et donc j'ai fait quelques lancements durant le début d'année, j'ai fait un premier lancement sur un programme qui s'appelle Aimer Riche, qui a fait des ventes. J'ai fait un lancement sur un tout petit programme cet été, 15 jours, pour se recentrer, que j'ai beaucoup aimé faire, parce qu'en fait je voulais le faire pour moi surtout. Donc j'étais contente que les gens achètent également. Et ensuite finalement on s'est retrouvés à la rentrée et je me suis dit j'ai envie de faire un programme qui s'appelle Equinox et qui serait 4 dans 5 live pour 5 live, 5 ateliers en live en tout cas de 2 heures qui permettraient un peu de se délester de ce qui ne nous appartient pas comme d'habitude. mais aussi de se reconnecter à ses besoins, d'enlever tout ce qui est colère, chaos, violence et se reconnecter à notre souveraineté, au bout, etc. Bref, c'était un lancement, c'était une offre que j'ai eue en tête comme ça, qui m'est venue comme ça, où je me disais, je sentais un peu cette énergie collective de ce besoin en tout cas de... de renouveau, de repartir sur des bonnes bases et des bases saines où on s'écoute réellement, on s'aime pleinement et pas juste je fais des exercices de libération mais après je sais pas à quoi je me reconnecte. Je sentais cette énergie collective assez forte et en plus ça allait être bientôt l'automne. Je trouvais que c'était une très belle symbolique pour faire ce programme Equinox. Et voilà, je me suis dit qu'est-ce que je veux partager dans mon lancement. J'avais envie de reconnecter à la joie, à l'innocence, à ressentir cette joie pure d'enfance, à ce truc où on s'amuse, on est trop content, on danse avec la vie, etc. Et donc pour incarner ce lancement, j'ai incarné ce message dans ma vie où j'ai vraiment pris plaisir à me reconnecter à cette joie, à me reconnecter à cette douceur aussi et prendre soin de moi, reprendre soin de moi à fond en tout cas, de pouvoir écouter tous mes besoins et être hyper hyper hyper hyper attentive à tous mes besoins et de les respecter même si en face je pouvais avoir des personnes qui me disaient qui me disait que c'était trop, sauf que si ce sont tes besoins, ce sont tes besoins. On fait souvent ce parallèle avec le bébé qui pleure, on ne va pas lui dire tu pleures trop, donc du coup je ne t'écoute pas. En tout cas quand on est un parent qui comprend le principe des pleurs d'un enfant. et du coup... Et ben voilà, donc ça a été ça, et ça a été un lancement hyper fun, hyper joyeux, que j'ai partagé avec mes enfants aussi, parce que je les ai rembarqués avec moi, je leur ai demandé de me filmer dans la forêt, j'étais là en train de danser, voilà, on s'amusait, c'était assez drôle, c'était fun, pour pouvoir utiliser ces contenus, ces vidéos dans mes contenus sur les réseaux sociaux. et en fait euh Plus j'incarnais ça et plus j'étais apaisée. En fait, j'incarnais en avant ce que je voulais transmettre dans ces cinq lives. Et du coup, j'avais une sorte de système nerveux hyper apaisé, une joie immense. Et au fur et à mesure que la date de lancement approchait et que j'avais zéro vente, j'étais toujours genre en mode « hé hé, waouh, la vie est belle, c'est génial, c'est trop bien » . Voilà, ce qui n'arrivait pas avant, si je faisais revente, c'est un peu la déprime, entre guillemets. Et donc là, j'étais assez fière, heureuse et contente. Et voilà, du coup, j'avais fait zéro vente. À un moment donné, parce que j'ai eu des messages de personnes me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, que c'était la rentrée, qu'il y avait plein de choses à payer, etc. Je sais que c'est une réalité, mais je sais aussi que parfois ce n'est pas une réalité, parce que dans le sens où on peut vendre à n'importe quel moment dans l'année, il y a toujours des personnes qui peuvent acheter, quelle que soit la période de l'année. Bref, donc c'était une réalité pour les personnes qui m'en parlaient, je ne dis pas qu'elles mentaient, mais je sais que ce n'est pas à cause de la rentrée que je n'ai pas vendu. Et en fait, du coup, en recevant ces messages-là, j'étais dans une certaine joie, etc. Je me suis dit, au lieu de vendre l'ensemble du programme, ces cinq lives, je vais vendre les ateliers séparément, comme ça, ça reviendra à moins cher. Donc l'offre, c'était 350 euros. Et du coup, je me suis dit, je vais les vendre indépendamment aussi, si les gens veulent soit acheter le programme entièrement, puisqu'en fait, il n'y avait que ça, c'était des ateliers en live, et entre les deux et c'est Il y avait un suivi comme d'habitude avec moi dans mes programmes, un suivi sur WhatsApp et via la communauté sur la plateforme pour que si j'ai envie de partager d'autres choses entre les lives, je puisse le faire, que les personnes qui achètent, si elles ont envie de poser des questions, elles puissent le faire, etc. Donc c'était 350 euros et le live, du coup l'atelier en seul, c'était 77 euros. Je me suis dit comme ça, les gens peuvent acheter s'ils n'ont pas trop les moyens, etc. En soi, on se dit, c'est sympa, c'est une bonne idée, je pourrais faire ça. Sauf qu'à partir du moment où j'ai fait ça, le premier live devait commencer un dimanche, ça ne s'est pas fait. Et après, je me suis dit, je vais commencer à communiquer là-dessus sur ces ateliers individuels, indépendants. Donc, il y a une personne qui m'a dit, oui, j'aimerais bien m'inscrire à un atelier. Est-ce que ce n'est pas trop tard pour celui d'aujourd'hui, en fait ? Celui du... Celui du dimanche, parce que la personne m'a contacté le dimanche même, ça m'arrive très souvent. Et finalement ça ne s'est pas fait. Et en fait au fur et à mesure, après je me suis dit je vais parler des autres, des autres qui arrivent de façon... indépendante. Et là, ma joie a disparu. Ma joie a complètement disparu parce que, bah, c'est pas comme ça que j'avais imaginé la chose. Parce que si j'ai imaginé cinq ateliers en live, c'était pour une raison. C'est parce qu'ils étaient reliés l'un à l'autre. Et en fait, j'incarnais ça. J'incarnais tout ce que je voulais transmettre dans ces cinq ateliers en live. Mais je me suis, on va dire, rapetichée en voulant les vendre en individuel, enfin les vendre les ateliers indépendamment les uns des autres. J'ai réduit, minimisé mon travail et aussi ça me demandait finalement plus d'efforts parce que du coup il fallait que je fasse des lancements, il fallait que je fasse... Du coup, quatre lancements tous les quinze jours, un nouveau lancement pour un nouvel atelier qui ne rémunère clairement pas de la même façon que faire un lancement pour un programme entier à 350 euros. Et en fait, j'ai aussi perdu ma joie parce que j'ai réagi sans m'en apercevoir. Sur la peur, la peur de quoi ? De manquer, la peur d'exclure aussi, la peur du rejet qui se reflétait sur mes clients. J'ai pas d'argent, je me sens exclue parce que je ne peux pas. me payer, me permettre, là, dans cette situation, de payer un programme à 350 euros. Et évidemment, quand j'ai commencé les deux premiers jours à parler des ateliers à 77 euros, je n'ai pas eu, tous ceux qui m'avaient parlé avant me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, je n'ai pas eu une flopée d'inscriptions. Ce n'est pas le cas. C'est pour ça que je dis des fois, l'argent, ce n'est pas un sujet. Mais c'est un sujet pour toi, qui lance une offre, pour toi qui vends tes services. Et donc, il y avait ça, cette blessure de rejet qui est très forte chez moi, blessure d'injustice qui est très forte chez moi. Et donc, cette peur finalement de manquer, cette peur de... Ben en fait, ils me disent ça et donc... J'ai peur de perdre une opportunité de faire des ventes. Donc je vais réduire, je vais faire un truc séparément, ce n'est plus du tout cohérent par rapport à ce que j'avais imaginé. Et voilà, du coup ce n'est pas ce que j'avais imaginé, donc je perds de la joie et je perds toutes les sens mêmes de ce que j'ai à offrir, tous les sens mêmes de mon message et de mon intention de départ. Pourquoi je te raconte ça ? Parce que parfois, on réagit, même quand on est avisé, même quand on a l'habitude, même quand on accompagne les autres là-dessus, on réagit à partir de ses blessures, on réagit à partir de ses peurs. Beaucoup moins souvent, je te rassure, évidemment que je ne réagis pas tout le temps à partir de mes blessures et de mes peurs, mais... Il n'empêche que ça peut encore arriver. Et là, ce que tu vois, c'est que hop, tout de suite, j'ai conscience de ça et je réagis. Donc, en fait, j'ai supprimé ces ateliers en individuel, indépendants les uns des autres. J'ai supprimé ce format parce qu'en fait, ça ne m'apportait pas de joie. Cette tristesse, cette lourdeur était un vrai message pour me dire, mais en fait, qu'est-ce que tu fais ? Ce n'était pas ça. Et donc, on peut se dire, ouais, mais quand même, t'abuses. Ouais, ok, tu n'avais pas de joie, ça t'affichait sur le moment, mais en fait, tu aurais pu faire un petit effort et continuer à en parler. Au moins, tu aurais eu des ventes et pas faire un mois sans rentrée d'argent. Parce que c'est ce qui s'est passé. Du coup, on était le 20 septembre. Le programme que j'ai lancé en septembre, sur lequel j'ai juste... Je me suis investie pleinement, n'a pas fonctionné. J'ai voulu vendre différentes choses en individuel. J'aime pas seulement individuel, mais j'arrive pas à trouver un autre terme. Bref, ça n'a pas fonctionné. Enfin, en tout cas, j'ai supprimé. Et je n'ai plus de séance individuelle. Donc, en fait, qu'est-ce que tu fais, Nitsa ? C'est n'importe quoi. Tu peux te bouger un peu les fesses, etc. Et oui, c'est vrai. Mais, en fait, le prix, ça aurait été que je continue. Peut-être que j'aurais certainement fait des ventes à un moment donné. Au moins pour un atelier. J'aurais eu peut-être trois pèlerins sur un atelier. Donc, trois fois 77 euros. Voilà, j'aurais utilisé une énergie. monstre à faire, à parler de ces ateliers. Pourquoi une énergie monstre ? Parce que quand tu n'as pas de joie et que tu te forces à faire quelque chose, ton énergie est beaucoup plus basse. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire d'efforts dans la vie, je suis consciente de ça et j'ai déjà fait plusieurs épisodes là-dessus sur la différence entre souffrance et effort. C'est important de faire des efforts, mais tu fais des efforts dans quelque chose qui qui t'apporte de la joie. J'avais pris cet exemple De faire une randonnée à la Soufrière ou en montagne. Une fois, j'ai fait une randonnée à la montagne à côté d'Annecy. C'était un énorme effort, mais ça m'apportait de la joie. C'était un dépassement de soi. Franchement, c'était rude, mais c'était joyeux. Et donc ça, c'est OK. En fait, tu utilises de l'énergie. Mais en fait, à la fin, quand tu y arrives, ça te ressource, ça te remplit. Quand tu fais un effort, par exemple, mon fils adore jouer à des jeux. très stratégique, etc. Ça me saoule. J'aime pas ça. Je n'y prends aucune joie. Enfin, je n'y trouve vraiment aucune joie. Et donc, ça demande un effort, parce qu'il faut réfléchir, et en plus, j'ai pas de joie. Donc, en fait, à la fin, je suis vidée. Donc, des fois, quand c'est un nouveau jeu, je veux bien le tester avec lui, et en fait, j'aime pas. Et après il me dit tu veux qu'on refasse une partie ? Non je ne vais pas refaire une partie avec toi parce que c'est saoulant, ça me saoule ton truc, je n'ai pas envie. Et donc il sait maintenant. Bref et donc ça devient plutôt là de la souffrance plutôt que de l'effort. Et donc l'idée c'est que j'aurais pu effectivement à force en faisant des efforts vendre ces ateliers. Mais sans joie ça aurait été de la souffrance et donc j'aurais eu de l'argent dans la souffrance. Donc. A partir de là, il y a ce truc de « what ? » Mais qu'est-ce que j'en fais en fait de tout ça ? J'avais une super joie, j'étais dans une vibration hyper haute, une fréquence super haute, etc. J'ai diminué parce que j'ai réagi avec la peur du manque. La peur du manque, la peur de rater une opportunité, la peur de rejeter, la peur d'exclure, etc. Mais en fait, ça a été du bon aussi parce que finalement, ce programme, même si je n'ai eu aucune vente, il m'a permis de réfléchir sur le fait que sans vouloir... Alors attention, là, je ne suis pas en train de mettre de la culpabilité sur les clientes qui m'ont dit qu'elles n'avaient pas d'argent à ce moment-là. Je les crois, c'est une vraie réalité. J'ai déjà été dans ce cas où j'avais trop envie de prendre une formation et je n'avais pas les moyens. Et j'étais dégoûtée et voilà, c'est une réalité. Mais il n'empêche que ça m'a permis de voir que je voulais impacter plus grand, plus fort, plus long. En fait, dès le départ, même si le lancement a été très joyeux, dès le départ, je me... j'ai... J'ai réduit mes attentes, c'est-à-dire que je me suis dit, en fait j'aimerais commencer en automne. En vrai, j'aimerais bien faire un truc super long. Non mais je ne vais pas me lancer dans un truc super long maintenant. Enfin, ça n'a pas de sens. J'ai eu l'idée début septembre. Il faut sortir le truc le 21 septembre. Calme-toi en fait. Ça n'a aucun sens. Donc en fait, non, tu vas faire un truc sur deux mois, juste pour la saison automne. Et puis voilà, tu vois. Et puis tu verras par la suite pour les autres saisons, etc. Mais j'avais vraiment envie de... À la base... C'est automne, hiver, printemps, faire au moins jusqu'au printemps pour qu'au printemps il y ait vraiment cette énergie de floraison, de matérialisation, etc. On se montre, etc. Et j'ai tué cette envie en me disant c'est trop. Autre blessure, c'est trop, c'est trop gros, etc. Donc le lancement a été génialissime, joyeux pour moi parce que j'ai incarné. mais au fur et à mesure, à chaque fois je... Taiser mes envies. Donc, je voulais un truc qui dure au moins 6 mois, j'ai réduit à 3 mois. Je voulais un truc de 3 mois avec 5 lives, j'ai réduit à un live, un atelier en live à chaque fois. Et c'est là où ton corps te dit non. En fait, il t'envoie des signes. qui sont très subtils quand t'as pas l'habitude, mais ils t'envoient quand même des signaux qui te disent t'es pas dans le bon chemin là, là c'est dommage. Et donc à partir de ça je me suis dit mais en fait ce que je voulais à la base c'est impacter, c'est faire du grand, c'est faire du long, c'est faire du profond, c'est faire quelque chose où moi-même je grandis là-dedans parce que... Enfin, tu ne le sais pas, mais une thérapeute, elle grandit avec ses clients, les clients qu'elle accompagne. Moi, je grandis. Franchement, à chaque fois que j'ai accompagné des personnes, ça m'a permis aussi de grandir, de mûrir certaines choses, d'aller plus en profondeur sur certaines choses, etc. Parce que, évidemment, même si je suis formée, je n'ai pas vécu tout ce que vous avez vécu. Encore heureux, j'ai suffisamment de trucs à me coltiner pour ne pas... avoir vécu tout ce que vous avez vécu, tout ce que mes clients ont vécu, etc. Donc ça fait grandir. Et donc j'avais envie de ça, de cette énergie expansive, très grande, très forte. Et donc il y a eu une grosse frustration, une déception, une fréquence basse. Tu vois, de la tristesse. Pas de la tristesse, mais de la... J'étais très maussade, j'étais très... Bof, wow. J'aime pas, je me sens tendue, je me sens étrique, je me sens... Voilà. Et en fait, ce moment m'a permis de me dire, mais en fait, reviens à ce que tu voulais. De base, tu voulais un truc long, fais un truc long. Tu veux faire un lancement rapide sur un truc long, fais un lancement rapide sur un truc long. Écoute ta joie, écoute ton inspiration, etc. Et ben voilà, du coup, j'ai créé en trois jours. J'ai mûri le truc. À partir du moment où je me suis autorisée à aller vers ce qui me portait, Et bien là, la créativité est revenue, toutes les idées sont revenues, toutes les pratiques que je voulais faire, elles sont apparues, les personnes avec qui je voulais travailler sont apparues, etc. Et en trois jours, j'avais cette idée en tête de, je veux faire un mastermind de neuf mois qui s'appellera Expansion. Pour être dans cette énergie expansive, un mastermind où je vais accompagner des clientes pendant 9 mois. Chaque semaine, il y aura un appel avec des pratiques somatiques où il y aura une fois sur deux des pratiques somatiques, des pratiques symboliques de libération, que ce soit transgénérationnelle, que ce soit en lien avec le système nerveux, avec les blessures de l'enfance. des problématiques que l'on retrouve dans son présent actuel et une autre fois où ce sera des échanges, du coaching pur de groupe pour accompagner des mamans, entrepreneurs ambitieuses qui ont envie justement d'être dans cette énergie d'expansion, qui ont envie de prendre leur envol, d'utiliser l'automne, l'hiver pour se débarrasser Merci. L'automne pour se débarrasser de ce qui ne compte plus, l'hiver pour se nourrir de choses qui sont essentielles, au printemps prendre son envol et l'été récolter les fruits de tout ce qu'elles ont fait pour qu'elles aient une entreprise finalement qui soit à la hauteur de leurs ambitions, qui soit à la hauteur de leurs envies, de leurs désirs et que cette entreprise soutienne leur vie plutôt qu'elle les accable. Parce que c'est ça. que je cherche depuis le début et que je veux prouver à tout le monde que quand on écoute sa joie, c'est tellement plus simple, c'est tellement plus beau. Franchement, des fois, on cherche à se mettre dans une case, à se réduire. Ce n'est pas commun de faire ça. Donc non, je vais plutôt faire ça. Ce n'est pas stratégique. Donc non, je ne vais pas faire ça. Oui, mais c'est un peu trop quand même. C'est too much. Donc je ne vais pas faire ça. Blablabla. Et en fait, à chaque fois qu'on fait ça, Voilà. On perd sa joie, on perd son essence, on perd sa mission qui est à l'intérieur de nous-mêmes, on perd toutes ses envies, ses désirs, et puis après tout devient contrainte, injonction, il faut, c'est insupportable, c'est lourd, et ça ne nous permet pas de toucher nos rêves. Et en fait, il y a cette idée de, parfois, on est là à se dire, comme si les rêves, c'était qu'un truc d'enfant, et que ce n'est pas fait pour être. réaliser mais bien sûr que si si c'est dans ta tête c'est que ça doit être réalisé ce qui passe par ta tête alors pas tout si tu as des envies de meurtre merci d'oublier à ne prend pas ce cet épisode comme prétexte pour tuer quelqu'un voilà voilà mais un rêve un rêve Un vrai rêve qui apporte quelque chose, un impact, qui a un impact sur toi, ça peut être que sur toi, c'est un impact sur toi, sur ta famille, tes enfants, tes proches, le monde, ton travail, je ne sais pas quoi, le sport, peu importe. Il est fait pour être matérialisé et réalisé. Et en fait, on est là, comme ça, tout le temps, à essayer de se réduire pour être dans des cases, pour faire ce qu'on nous dit stratégiquement, tu dois faire un lancement avec une masterclass. Oh, la masterclass ! Une masterclass et ensuite à la fin de la masterclass, tu vends ton truc et après voilà qui sera dans trois semaines, un mois et il faut que c'est... Oh non ! Suis ta joie, suis ton intuition et après à partir de ça, crée une stratégie qui te ressemble toi. et donc voilà, une fois que je me suis écoutée, que je me suis laissée porter laissée porter par mon intuition, par mon inspiration sans essayer de me réduire parce que C'est peut-être pas le bon moment, je vais peut-être exclure certaines personnes, parce qu'évidemment, un accompagnement comme ça, aussi long, ça a un coût, et ça a un coût en termes de temps et en termes de prix, tout le monde ne pourra pas être dans ça, et heureusement parce que je ne vais pas pouvoir accompagner tout le monde, mais... C'est ok, il y a plein d'autres façons d'accompagner les gens et les gens trouveront toujours une façon d'être accompagnés. Et donc une fois qu'on sort de ça, de ce truc de « ouais, il faut que je me réduise, il faut que, il faut que » , et bien là on laisse jaillir ce qui est beau et après la contraction vient justement l'expansion. après le... la lourdeur, etc. vient la légèreté et l'envol où tu te reconnectes à ta mission d'âme, tu te reconnectes à ta joie, tu te reconnectes à ce qui est au fond de toi, dans ton essence. Et voilà. Et du coup, je suis en plein lancement d'un mastermind de 9 mois qui va durer 9 mois dans lequel je vais accompagner des femmes formidables Merci. qui ont envie justement d'être dans cette énergie expansive, qui ont envie d'aller toucher leurs ambitions, qui en ont assez d'entendre dire qu'on ne peut pas tout avoir, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre, on ne peut pas être maman et entrepreneur à succès, on ne peut pas être maman, entrepreneur et avoir des passions, on ne peut pas être maman, entrepreneur, avoir un couple qui fonctionne. Pourquoi ? Qui a dit ça ? Voilà. En fait, on n'est pas en temps de guerre, tout va bien, tu peux avoir ce que tu veux, tu peux avoir à la hauteur de ce que tu veux si tu décides de lâcher ce qui ne t'appartient pas, lâcher les injonctions, lâcher les blessures, les traumas transgénérationnels, lâcher, accepter aussi faire le deuil de tes parents, de ton enfance, des attentes. de l'amour que tu n'as pas reçu, de l'attention que tu n'as pas reçue, et aller le chercher toi en fait, aller le chercher toi et t'entourer de gens qui sont comme toi. C'est pour ça que c'est un mastermind, parce que l'idée c'est de, je sélectionne 12 femmes maximum qui sont dans cette même énergie, qui sont dans cette même envie d'investir sur elles. L'idée c'est de travailler sur soi, ça va deux heures par semaine, d'investir sur elles, de travailler sur elles, pour... Pour concrétiser une entreprise, matérialiser une entreprise qui soutienne leur vie de rêve et pas qui les empêche de passer du bon temps avec leurs enfants, pas qui les empêche de... d'avoir des loisirs, d'avoir des amis, de penser à leur passion première, etc. Et en plus, ce que j'adore, c'est que c'est ça en fait, pourquoi je veux te partager ça, c'est qu'au départ je me suis réduit dans mon offre Equinox et maintenant là, on m'arrête plus. J'ai des intervenantes avec moi, j'ai Julie qui est praticienne de breastwork, qui va offrir à mes clientes trois séances de breastwork et j'ai fait du breastwork avec elle. C'est génial parce qu'il y a toujours un temps. de journaling à la fin qui permet de relaxation, puis de journaling. Et comme elle me disait, le breastwork, c'est libérer pour créer. Le breastwork, c'est libérer ce qui ne te correspond plus pour créer tes rêves. Génial ! Ensuite, le deuxième trimestre, j'aurai Sandra qui est prof de danse, qui va apporter beaucoup de mouvements, de mouvements libres, mais de mouvements aussi un peu, pas chorégraphiés, mais qui va permettre en tout cas d'apporter ce mouvement dans le corps, pour être dans l'amplitude, pour être dans la réceptivité, dans l'expansion, dans l'envol, etc. Ça va être absolument génial. Et une dernière, une coach qui va créer du coup des ateliers en live pour que, que toutes mes clientes puissent concrétiser concrètement leurs rêves, leur entreprise, avoir une stratégie qui leur ressemble. Donc ce n'est pas une coach Insta, ce n'est pas une coach spéciale LinkedIn, ce n'est pas une coach spéciale TikTok ou je ne sais pas quoi. C'est une coach qui est là pour te dire, ok, toi c'est quoi ta passion ? Comment t'aimes-tu communiquer ? Via la newsletter, via les podcasts, via YouTube, via les réseaux sociaux, via les sites internet, en vrai. Ok, choisis ça et en fait, on va avoir une stratégie qui sera efficace sur tous les canaux parce que tu vas juste comprendre la psychologie de vente des clients et tu vas aussi utiliser ta propre vie, ton propre cheminement, tes propres expériences, tes propres compétences pour attirer les gens à tes services. Voilà. Ah, je suis hyper contente de ça, mais aussi de te partager ça parce que, eh ben, si t'es dans cette phase, tu sens qu'il y a de la contraction. Écoute cela. Pourquoi il y a de la contraction ? Qu'est-ce qui doit être détendu, être libéré ? Peut-être qu'il y a de la contraction parce qu'il y a un truc là qui se sent emprisonné. Qu'est-ce qui se sent emprisonné ? Qu'est-ce qui se sent trop à l'étroit ? Et qu'est-ce que tu peux faire pour qu'il y ait plus de place à cet endroit, à cette chose, à cette envie, à ce besoin ? Je suis faite pour grandir et m'épanouir. Je mérite que mes besoins soient satisfaits. Vraiment, tu mérites que tes besoins soient satisfaits. Et encore plus, tu mérites que ta créativité prenne toute la place. qu'elle est toute la place de s'exprimer, tu mérites de toucher du doigt tes ambitions tes rêves, tes envies tes désirs voilà, je te laisse pour cet épisode j'espère qu'il t'a plu, qu'il t'a inspiré, n'hésite pas je te le rappelle, à partager autour de toi, que ce soit à tes amis via Whatsapp que ce soit sur les réseaux sociaux, même si t'as 10 abonnés Que ce soit lorsque tu parles avec tes amis, que ça fait tilt et tu dis « Ah, mais tu sais, j'écoute un podcast, ça, ça pourrait t'intéresser » . Voilà, n'hésite pas à partager autour de toi ou à tes clients si tu en as envie. Et à me suivre sur les réseaux sociaux, Natirelle Happy, N-A-T-Y-R-E-L-L-H-A-P-Y, sur Instagram, TikTok, sur Youtube également. Et voilà, j'espère que ça t'a plu. Et si le Mastermind Expansion te parle fortement, tu te dis ça me parle trop, n'hésite pas à cliquer sur le lien dans la description ou à m'envoyer un message en DM pour qu'on en discute, pour qu'on voit ensemble si ça te correspondrait, si ça répondrait à tes attentes, si je suis la bonne personne et si tu es la bonne personne pour ce groupe aussi. Et voilà, je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode.

Chapters

  • Introduction à la thérapeute et son parcours

    00:10

  • Réflexion sur un lancement sans ventes

    01:07

  • Création d'une nouvelle offre et ses enjeux

    02:32

  • La perte de joie et le rapport à la valeur personnelle

    06:15

  • Lancement du programme de mastermind Expansion

    21:46

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Description

Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


As-tu déjà ressenti cette pression immense lors d'un lancement, en espérant que tout se passe à merveille, mais en fin de compte, tu te retrouves face à un mur de silence ? Dans cet épisode de "Tabou - Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs", je partage avec toi mon expérience d'un lancement récent d'une nouvelle offre qui, malgré toutes mes attentes, n'a pas généré de ventes. Ce moment de vulnérabilité m'a poussée à explorer mes émotions, mes doutes et les précieuses leçons que j'ai tirées de cette expérience.



Je t'invite à plonger avec moi dans la complexité de la création d'offres et à réfléchir à la perception de ta propre valeur. Dans le monde de l'entrepreneuriat, il est si facile de se laisser emporter par les attentes des autres et de perdre de vue ce qui te rend vraiment joyeux. J'aborde comment, en cherchant à adapter mon offre pour répondre aux besoins de mes clients, j'ai fini par m'éloigner de ma propre joie. C'est un parcours que beaucoup d'entre nous connaissent, où l'authenticité et la passion peuvent parfois être mises de côté au profit de la rentabilité.



Au fil de cet épisode, je partage comment cette expérience m'a amenée à une profonde réflexion sur mes véritables aspirations. J'ai décidé de créer un programme de mastermind de neuf mois, spécifiquement conçu pour l'expansion et le soutien des femmes entrepreneures. Ensemble, nous allons explorer comment se reconnecter à ses désirs profonds peut transformer notre parcours entrepreneurial. La vulnérabilité n'est pas une faiblesse, mais une force qui nous permet de grandir et de nous épanouir.



Je t'invite à écouter cet épisode pour découvrir comment embrasser l'authenticité et la joie dans ton travail peut non seulement enrichir ton expérience, mais aussi celle de tes clients. Ensemble, nous allons apprendre à naviguer dans les défis de l'entrepreneuriat avec courage et détermination. Prépare-toi à être inspiré, car il est temps de redéfinir ce que signifie réussir en tant qu'entrepreneur. Rejoins-moi pour cette conversation enrichissante et pleine de réflexions qui te permettra, je l'espère, de trouver ta propre voie vers la joie et l'authenticité.


Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, praticienne des mémoires transgénérationnelles, diplômée en psychologie et passionnée par le dépassement de soi. J'aide les entrepreneurs et les âmes ambitieuses à libérer les blessures du passé pour créer une vie et une entreprise à la hauteur de leur potentiel. Dans ce podcast, Tabou, tu découvriras le quotidien et les réflexions les plus intimes de la thérapeute des entrepreneurs. Tu verras que moi aussi, je doute, j'ai peur, je me questionne, parce qu'ici on parle vrai, on remet de la normalité là où trop souvent on met de la honte, pour que la vulnérabilité, les remises en question et les traversées passent enfin partie du chemin, sans jugement. Hello, j'espère que tu vas bien pour ce nouvel épisode de ce petit journal intime de la thérapeute des entrepreneurs. J'espère que tu as ta petite boisson pour écouter tranquillement cette anecdote, cette nouvelle anecdote, anecdote ou en tout cas ce moment intime, ce partage que je vais te faire aujourd'hui. Aujourd'hui je vais te parler d'un lancement que j'ai fait il n'y a pas très longtemps, il y a un peu... moins d'un mois, un peu plus d'un mois peut-être, sur une nouvelle offre qui m'était sortie de la tête. Et j'ai fait un lancement avec zéro vente. Et je vais te dire comment ça s'est passé pour moi, qu'est-ce que j'ai ressenti déjà durant tout ce lancement, comment je crée une offre, comment je crée un lancement, et comment je réagis selon le nombre d'offres, selon le nombre de ventes. que je fais et en quoi c'est intéressant, mais parce que ça montre aussi notre rapport à notre propre valeur, à la façon dont on perçoit notre valeur et aussi la foi en nos capacités et la vie qui nous porte pleinement. Ok, c'est parti ! Alors, si tu ne le sais pas, je suis praticienne des mémoires transgénérationnelles, j'accompagne en individuel, en tout cas j'ai fait une grosse pause sur les accompagnements individuels, je vais reprendre petit à petit. Et donc, comme j'ai fait une pause sur les accompagnements individuels, je proposais mes services via d'autres choses, parfois des ateliers en live, parfois ce que je faisais déjà les années précédentes, mais... Là, du coup, je me focalisais uniquement là-dessus, des ateliers en live, des offres en ligne, en autonomie, des formations, des programmes, toujours dans le même principe. Quel que soit l'angle sous lequel je travaille, c'est toujours dans un principe de tu as des potentiels et du coup, je t'aide à les révéler en te débarrassant de ce qui ne t'appartient pas, de tes peurs, de tes croyances, de tes blessures, peu importe. Et donc j'ai fait quelques lancements durant le début d'année, j'ai fait un premier lancement sur un programme qui s'appelle Aimer Riche, qui a fait des ventes. J'ai fait un lancement sur un tout petit programme cet été, 15 jours, pour se recentrer, que j'ai beaucoup aimé faire, parce qu'en fait je voulais le faire pour moi surtout. Donc j'étais contente que les gens achètent également. Et ensuite finalement on s'est retrouvés à la rentrée et je me suis dit j'ai envie de faire un programme qui s'appelle Equinox et qui serait 4 dans 5 live pour 5 live, 5 ateliers en live en tout cas de 2 heures qui permettraient un peu de se délester de ce qui ne nous appartient pas comme d'habitude. mais aussi de se reconnecter à ses besoins, d'enlever tout ce qui est colère, chaos, violence et se reconnecter à notre souveraineté, au bout, etc. Bref, c'était un lancement, c'était une offre que j'ai eue en tête comme ça, qui m'est venue comme ça, où je me disais, je sentais un peu cette énergie collective de ce besoin en tout cas de... de renouveau, de repartir sur des bonnes bases et des bases saines où on s'écoute réellement, on s'aime pleinement et pas juste je fais des exercices de libération mais après je sais pas à quoi je me reconnecte. Je sentais cette énergie collective assez forte et en plus ça allait être bientôt l'automne. Je trouvais que c'était une très belle symbolique pour faire ce programme Equinox. Et voilà, je me suis dit qu'est-ce que je veux partager dans mon lancement. J'avais envie de reconnecter à la joie, à l'innocence, à ressentir cette joie pure d'enfance, à ce truc où on s'amuse, on est trop content, on danse avec la vie, etc. Et donc pour incarner ce lancement, j'ai incarné ce message dans ma vie où j'ai vraiment pris plaisir à me reconnecter à cette joie, à me reconnecter à cette douceur aussi et prendre soin de moi, reprendre soin de moi à fond en tout cas, de pouvoir écouter tous mes besoins et être hyper hyper hyper hyper attentive à tous mes besoins et de les respecter même si en face je pouvais avoir des personnes qui me disaient qui me disait que c'était trop, sauf que si ce sont tes besoins, ce sont tes besoins. On fait souvent ce parallèle avec le bébé qui pleure, on ne va pas lui dire tu pleures trop, donc du coup je ne t'écoute pas. En tout cas quand on est un parent qui comprend le principe des pleurs d'un enfant. et du coup... Et ben voilà, donc ça a été ça, et ça a été un lancement hyper fun, hyper joyeux, que j'ai partagé avec mes enfants aussi, parce que je les ai rembarqués avec moi, je leur ai demandé de me filmer dans la forêt, j'étais là en train de danser, voilà, on s'amusait, c'était assez drôle, c'était fun, pour pouvoir utiliser ces contenus, ces vidéos dans mes contenus sur les réseaux sociaux. et en fait euh Plus j'incarnais ça et plus j'étais apaisée. En fait, j'incarnais en avant ce que je voulais transmettre dans ces cinq lives. Et du coup, j'avais une sorte de système nerveux hyper apaisé, une joie immense. Et au fur et à mesure que la date de lancement approchait et que j'avais zéro vente, j'étais toujours genre en mode « hé hé, waouh, la vie est belle, c'est génial, c'est trop bien » . Voilà, ce qui n'arrivait pas avant, si je faisais revente, c'est un peu la déprime, entre guillemets. Et donc là, j'étais assez fière, heureuse et contente. Et voilà, du coup, j'avais fait zéro vente. À un moment donné, parce que j'ai eu des messages de personnes me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, que c'était la rentrée, qu'il y avait plein de choses à payer, etc. Je sais que c'est une réalité, mais je sais aussi que parfois ce n'est pas une réalité, parce que dans le sens où on peut vendre à n'importe quel moment dans l'année, il y a toujours des personnes qui peuvent acheter, quelle que soit la période de l'année. Bref, donc c'était une réalité pour les personnes qui m'en parlaient, je ne dis pas qu'elles mentaient, mais je sais que ce n'est pas à cause de la rentrée que je n'ai pas vendu. Et en fait, du coup, en recevant ces messages-là, j'étais dans une certaine joie, etc. Je me suis dit, au lieu de vendre l'ensemble du programme, ces cinq lives, je vais vendre les ateliers séparément, comme ça, ça reviendra à moins cher. Donc l'offre, c'était 350 euros. Et du coup, je me suis dit, je vais les vendre indépendamment aussi, si les gens veulent soit acheter le programme entièrement, puisqu'en fait, il n'y avait que ça, c'était des ateliers en live, et entre les deux et c'est Il y avait un suivi comme d'habitude avec moi dans mes programmes, un suivi sur WhatsApp et via la communauté sur la plateforme pour que si j'ai envie de partager d'autres choses entre les lives, je puisse le faire, que les personnes qui achètent, si elles ont envie de poser des questions, elles puissent le faire, etc. Donc c'était 350 euros et le live, du coup l'atelier en seul, c'était 77 euros. Je me suis dit comme ça, les gens peuvent acheter s'ils n'ont pas trop les moyens, etc. En soi, on se dit, c'est sympa, c'est une bonne idée, je pourrais faire ça. Sauf qu'à partir du moment où j'ai fait ça, le premier live devait commencer un dimanche, ça ne s'est pas fait. Et après, je me suis dit, je vais commencer à communiquer là-dessus sur ces ateliers individuels, indépendants. Donc, il y a une personne qui m'a dit, oui, j'aimerais bien m'inscrire à un atelier. Est-ce que ce n'est pas trop tard pour celui d'aujourd'hui, en fait ? Celui du... Celui du dimanche, parce que la personne m'a contacté le dimanche même, ça m'arrive très souvent. Et finalement ça ne s'est pas fait. Et en fait au fur et à mesure, après je me suis dit je vais parler des autres, des autres qui arrivent de façon... indépendante. Et là, ma joie a disparu. Ma joie a complètement disparu parce que, bah, c'est pas comme ça que j'avais imaginé la chose. Parce que si j'ai imaginé cinq ateliers en live, c'était pour une raison. C'est parce qu'ils étaient reliés l'un à l'autre. Et en fait, j'incarnais ça. J'incarnais tout ce que je voulais transmettre dans ces cinq ateliers en live. Mais je me suis, on va dire, rapetichée en voulant les vendre en individuel, enfin les vendre les ateliers indépendamment les uns des autres. J'ai réduit, minimisé mon travail et aussi ça me demandait finalement plus d'efforts parce que du coup il fallait que je fasse des lancements, il fallait que je fasse... Du coup, quatre lancements tous les quinze jours, un nouveau lancement pour un nouvel atelier qui ne rémunère clairement pas de la même façon que faire un lancement pour un programme entier à 350 euros. Et en fait, j'ai aussi perdu ma joie parce que j'ai réagi sans m'en apercevoir. Sur la peur, la peur de quoi ? De manquer, la peur d'exclure aussi, la peur du rejet qui se reflétait sur mes clients. J'ai pas d'argent, je me sens exclue parce que je ne peux pas. me payer, me permettre, là, dans cette situation, de payer un programme à 350 euros. Et évidemment, quand j'ai commencé les deux premiers jours à parler des ateliers à 77 euros, je n'ai pas eu, tous ceux qui m'avaient parlé avant me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, je n'ai pas eu une flopée d'inscriptions. Ce n'est pas le cas. C'est pour ça que je dis des fois, l'argent, ce n'est pas un sujet. Mais c'est un sujet pour toi, qui lance une offre, pour toi qui vends tes services. Et donc, il y avait ça, cette blessure de rejet qui est très forte chez moi, blessure d'injustice qui est très forte chez moi. Et donc, cette peur finalement de manquer, cette peur de... Ben en fait, ils me disent ça et donc... J'ai peur de perdre une opportunité de faire des ventes. Donc je vais réduire, je vais faire un truc séparément, ce n'est plus du tout cohérent par rapport à ce que j'avais imaginé. Et voilà, du coup ce n'est pas ce que j'avais imaginé, donc je perds de la joie et je perds toutes les sens mêmes de ce que j'ai à offrir, tous les sens mêmes de mon message et de mon intention de départ. Pourquoi je te raconte ça ? Parce que parfois, on réagit, même quand on est avisé, même quand on a l'habitude, même quand on accompagne les autres là-dessus, on réagit à partir de ses blessures, on réagit à partir de ses peurs. Beaucoup moins souvent, je te rassure, évidemment que je ne réagis pas tout le temps à partir de mes blessures et de mes peurs, mais... Il n'empêche que ça peut encore arriver. Et là, ce que tu vois, c'est que hop, tout de suite, j'ai conscience de ça et je réagis. Donc, en fait, j'ai supprimé ces ateliers en individuel, indépendants les uns des autres. J'ai supprimé ce format parce qu'en fait, ça ne m'apportait pas de joie. Cette tristesse, cette lourdeur était un vrai message pour me dire, mais en fait, qu'est-ce que tu fais ? Ce n'était pas ça. Et donc, on peut se dire, ouais, mais quand même, t'abuses. Ouais, ok, tu n'avais pas de joie, ça t'affichait sur le moment, mais en fait, tu aurais pu faire un petit effort et continuer à en parler. Au moins, tu aurais eu des ventes et pas faire un mois sans rentrée d'argent. Parce que c'est ce qui s'est passé. Du coup, on était le 20 septembre. Le programme que j'ai lancé en septembre, sur lequel j'ai juste... Je me suis investie pleinement, n'a pas fonctionné. J'ai voulu vendre différentes choses en individuel. J'aime pas seulement individuel, mais j'arrive pas à trouver un autre terme. Bref, ça n'a pas fonctionné. Enfin, en tout cas, j'ai supprimé. Et je n'ai plus de séance individuelle. Donc, en fait, qu'est-ce que tu fais, Nitsa ? C'est n'importe quoi. Tu peux te bouger un peu les fesses, etc. Et oui, c'est vrai. Mais, en fait, le prix, ça aurait été que je continue. Peut-être que j'aurais certainement fait des ventes à un moment donné. Au moins pour un atelier. J'aurais eu peut-être trois pèlerins sur un atelier. Donc, trois fois 77 euros. Voilà, j'aurais utilisé une énergie. monstre à faire, à parler de ces ateliers. Pourquoi une énergie monstre ? Parce que quand tu n'as pas de joie et que tu te forces à faire quelque chose, ton énergie est beaucoup plus basse. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire d'efforts dans la vie, je suis consciente de ça et j'ai déjà fait plusieurs épisodes là-dessus sur la différence entre souffrance et effort. C'est important de faire des efforts, mais tu fais des efforts dans quelque chose qui qui t'apporte de la joie. J'avais pris cet exemple De faire une randonnée à la Soufrière ou en montagne. Une fois, j'ai fait une randonnée à la montagne à côté d'Annecy. C'était un énorme effort, mais ça m'apportait de la joie. C'était un dépassement de soi. Franchement, c'était rude, mais c'était joyeux. Et donc ça, c'est OK. En fait, tu utilises de l'énergie. Mais en fait, à la fin, quand tu y arrives, ça te ressource, ça te remplit. Quand tu fais un effort, par exemple, mon fils adore jouer à des jeux. très stratégique, etc. Ça me saoule. J'aime pas ça. Je n'y prends aucune joie. Enfin, je n'y trouve vraiment aucune joie. Et donc, ça demande un effort, parce qu'il faut réfléchir, et en plus, j'ai pas de joie. Donc, en fait, à la fin, je suis vidée. Donc, des fois, quand c'est un nouveau jeu, je veux bien le tester avec lui, et en fait, j'aime pas. Et après il me dit tu veux qu'on refasse une partie ? Non je ne vais pas refaire une partie avec toi parce que c'est saoulant, ça me saoule ton truc, je n'ai pas envie. Et donc il sait maintenant. Bref et donc ça devient plutôt là de la souffrance plutôt que de l'effort. Et donc l'idée c'est que j'aurais pu effectivement à force en faisant des efforts vendre ces ateliers. Mais sans joie ça aurait été de la souffrance et donc j'aurais eu de l'argent dans la souffrance. Donc. A partir de là, il y a ce truc de « what ? » Mais qu'est-ce que j'en fais en fait de tout ça ? J'avais une super joie, j'étais dans une vibration hyper haute, une fréquence super haute, etc. J'ai diminué parce que j'ai réagi avec la peur du manque. La peur du manque, la peur de rater une opportunité, la peur de rejeter, la peur d'exclure, etc. Mais en fait, ça a été du bon aussi parce que finalement, ce programme, même si je n'ai eu aucune vente, il m'a permis de réfléchir sur le fait que sans vouloir... Alors attention, là, je ne suis pas en train de mettre de la culpabilité sur les clientes qui m'ont dit qu'elles n'avaient pas d'argent à ce moment-là. Je les crois, c'est une vraie réalité. J'ai déjà été dans ce cas où j'avais trop envie de prendre une formation et je n'avais pas les moyens. Et j'étais dégoûtée et voilà, c'est une réalité. Mais il n'empêche que ça m'a permis de voir que je voulais impacter plus grand, plus fort, plus long. En fait, dès le départ, même si le lancement a été très joyeux, dès le départ, je me... j'ai... J'ai réduit mes attentes, c'est-à-dire que je me suis dit, en fait j'aimerais commencer en automne. En vrai, j'aimerais bien faire un truc super long. Non mais je ne vais pas me lancer dans un truc super long maintenant. Enfin, ça n'a pas de sens. J'ai eu l'idée début septembre. Il faut sortir le truc le 21 septembre. Calme-toi en fait. Ça n'a aucun sens. Donc en fait, non, tu vas faire un truc sur deux mois, juste pour la saison automne. Et puis voilà, tu vois. Et puis tu verras par la suite pour les autres saisons, etc. Mais j'avais vraiment envie de... À la base... C'est automne, hiver, printemps, faire au moins jusqu'au printemps pour qu'au printemps il y ait vraiment cette énergie de floraison, de matérialisation, etc. On se montre, etc. Et j'ai tué cette envie en me disant c'est trop. Autre blessure, c'est trop, c'est trop gros, etc. Donc le lancement a été génialissime, joyeux pour moi parce que j'ai incarné. mais au fur et à mesure, à chaque fois je... Taiser mes envies. Donc, je voulais un truc qui dure au moins 6 mois, j'ai réduit à 3 mois. Je voulais un truc de 3 mois avec 5 lives, j'ai réduit à un live, un atelier en live à chaque fois. Et c'est là où ton corps te dit non. En fait, il t'envoie des signes. qui sont très subtils quand t'as pas l'habitude, mais ils t'envoient quand même des signaux qui te disent t'es pas dans le bon chemin là, là c'est dommage. Et donc à partir de ça je me suis dit mais en fait ce que je voulais à la base c'est impacter, c'est faire du grand, c'est faire du long, c'est faire du profond, c'est faire quelque chose où moi-même je grandis là-dedans parce que... Enfin, tu ne le sais pas, mais une thérapeute, elle grandit avec ses clients, les clients qu'elle accompagne. Moi, je grandis. Franchement, à chaque fois que j'ai accompagné des personnes, ça m'a permis aussi de grandir, de mûrir certaines choses, d'aller plus en profondeur sur certaines choses, etc. Parce que, évidemment, même si je suis formée, je n'ai pas vécu tout ce que vous avez vécu. Encore heureux, j'ai suffisamment de trucs à me coltiner pour ne pas... avoir vécu tout ce que vous avez vécu, tout ce que mes clients ont vécu, etc. Donc ça fait grandir. Et donc j'avais envie de ça, de cette énergie expansive, très grande, très forte. Et donc il y a eu une grosse frustration, une déception, une fréquence basse. Tu vois, de la tristesse. Pas de la tristesse, mais de la... J'étais très maussade, j'étais très... Bof, wow. J'aime pas, je me sens tendue, je me sens étrique, je me sens... Voilà. Et en fait, ce moment m'a permis de me dire, mais en fait, reviens à ce que tu voulais. De base, tu voulais un truc long, fais un truc long. Tu veux faire un lancement rapide sur un truc long, fais un lancement rapide sur un truc long. Écoute ta joie, écoute ton inspiration, etc. Et ben voilà, du coup, j'ai créé en trois jours. J'ai mûri le truc. À partir du moment où je me suis autorisée à aller vers ce qui me portait, Et bien là, la créativité est revenue, toutes les idées sont revenues, toutes les pratiques que je voulais faire, elles sont apparues, les personnes avec qui je voulais travailler sont apparues, etc. Et en trois jours, j'avais cette idée en tête de, je veux faire un mastermind de neuf mois qui s'appellera Expansion. Pour être dans cette énergie expansive, un mastermind où je vais accompagner des clientes pendant 9 mois. Chaque semaine, il y aura un appel avec des pratiques somatiques où il y aura une fois sur deux des pratiques somatiques, des pratiques symboliques de libération, que ce soit transgénérationnelle, que ce soit en lien avec le système nerveux, avec les blessures de l'enfance. des problématiques que l'on retrouve dans son présent actuel et une autre fois où ce sera des échanges, du coaching pur de groupe pour accompagner des mamans, entrepreneurs ambitieuses qui ont envie justement d'être dans cette énergie d'expansion, qui ont envie de prendre leur envol, d'utiliser l'automne, l'hiver pour se débarrasser Merci. L'automne pour se débarrasser de ce qui ne compte plus, l'hiver pour se nourrir de choses qui sont essentielles, au printemps prendre son envol et l'été récolter les fruits de tout ce qu'elles ont fait pour qu'elles aient une entreprise finalement qui soit à la hauteur de leurs ambitions, qui soit à la hauteur de leurs envies, de leurs désirs et que cette entreprise soutienne leur vie plutôt qu'elle les accable. Parce que c'est ça. que je cherche depuis le début et que je veux prouver à tout le monde que quand on écoute sa joie, c'est tellement plus simple, c'est tellement plus beau. Franchement, des fois, on cherche à se mettre dans une case, à se réduire. Ce n'est pas commun de faire ça. Donc non, je vais plutôt faire ça. Ce n'est pas stratégique. Donc non, je ne vais pas faire ça. Oui, mais c'est un peu trop quand même. C'est too much. Donc je ne vais pas faire ça. Blablabla. Et en fait, à chaque fois qu'on fait ça, Voilà. On perd sa joie, on perd son essence, on perd sa mission qui est à l'intérieur de nous-mêmes, on perd toutes ses envies, ses désirs, et puis après tout devient contrainte, injonction, il faut, c'est insupportable, c'est lourd, et ça ne nous permet pas de toucher nos rêves. Et en fait, il y a cette idée de, parfois, on est là à se dire, comme si les rêves, c'était qu'un truc d'enfant, et que ce n'est pas fait pour être. réaliser mais bien sûr que si si c'est dans ta tête c'est que ça doit être réalisé ce qui passe par ta tête alors pas tout si tu as des envies de meurtre merci d'oublier à ne prend pas ce cet épisode comme prétexte pour tuer quelqu'un voilà voilà mais un rêve un rêve Un vrai rêve qui apporte quelque chose, un impact, qui a un impact sur toi, ça peut être que sur toi, c'est un impact sur toi, sur ta famille, tes enfants, tes proches, le monde, ton travail, je ne sais pas quoi, le sport, peu importe. Il est fait pour être matérialisé et réalisé. Et en fait, on est là, comme ça, tout le temps, à essayer de se réduire pour être dans des cases, pour faire ce qu'on nous dit stratégiquement, tu dois faire un lancement avec une masterclass. Oh, la masterclass ! Une masterclass et ensuite à la fin de la masterclass, tu vends ton truc et après voilà qui sera dans trois semaines, un mois et il faut que c'est... Oh non ! Suis ta joie, suis ton intuition et après à partir de ça, crée une stratégie qui te ressemble toi. et donc voilà, une fois que je me suis écoutée, que je me suis laissée porter laissée porter par mon intuition, par mon inspiration sans essayer de me réduire parce que C'est peut-être pas le bon moment, je vais peut-être exclure certaines personnes, parce qu'évidemment, un accompagnement comme ça, aussi long, ça a un coût, et ça a un coût en termes de temps et en termes de prix, tout le monde ne pourra pas être dans ça, et heureusement parce que je ne vais pas pouvoir accompagner tout le monde, mais... C'est ok, il y a plein d'autres façons d'accompagner les gens et les gens trouveront toujours une façon d'être accompagnés. Et donc une fois qu'on sort de ça, de ce truc de « ouais, il faut que je me réduise, il faut que, il faut que » , et bien là on laisse jaillir ce qui est beau et après la contraction vient justement l'expansion. après le... la lourdeur, etc. vient la légèreté et l'envol où tu te reconnectes à ta mission d'âme, tu te reconnectes à ta joie, tu te reconnectes à ce qui est au fond de toi, dans ton essence. Et voilà. Et du coup, je suis en plein lancement d'un mastermind de 9 mois qui va durer 9 mois dans lequel je vais accompagner des femmes formidables Merci. qui ont envie justement d'être dans cette énergie expansive, qui ont envie d'aller toucher leurs ambitions, qui en ont assez d'entendre dire qu'on ne peut pas tout avoir, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre, on ne peut pas être maman et entrepreneur à succès, on ne peut pas être maman, entrepreneur et avoir des passions, on ne peut pas être maman, entrepreneur, avoir un couple qui fonctionne. Pourquoi ? Qui a dit ça ? Voilà. En fait, on n'est pas en temps de guerre, tout va bien, tu peux avoir ce que tu veux, tu peux avoir à la hauteur de ce que tu veux si tu décides de lâcher ce qui ne t'appartient pas, lâcher les injonctions, lâcher les blessures, les traumas transgénérationnels, lâcher, accepter aussi faire le deuil de tes parents, de ton enfance, des attentes. de l'amour que tu n'as pas reçu, de l'attention que tu n'as pas reçue, et aller le chercher toi en fait, aller le chercher toi et t'entourer de gens qui sont comme toi. C'est pour ça que c'est un mastermind, parce que l'idée c'est de, je sélectionne 12 femmes maximum qui sont dans cette même énergie, qui sont dans cette même envie d'investir sur elles. L'idée c'est de travailler sur soi, ça va deux heures par semaine, d'investir sur elles, de travailler sur elles, pour... Pour concrétiser une entreprise, matérialiser une entreprise qui soutienne leur vie de rêve et pas qui les empêche de passer du bon temps avec leurs enfants, pas qui les empêche de... d'avoir des loisirs, d'avoir des amis, de penser à leur passion première, etc. Et en plus, ce que j'adore, c'est que c'est ça en fait, pourquoi je veux te partager ça, c'est qu'au départ je me suis réduit dans mon offre Equinox et maintenant là, on m'arrête plus. J'ai des intervenantes avec moi, j'ai Julie qui est praticienne de breastwork, qui va offrir à mes clientes trois séances de breastwork et j'ai fait du breastwork avec elle. C'est génial parce qu'il y a toujours un temps. de journaling à la fin qui permet de relaxation, puis de journaling. Et comme elle me disait, le breastwork, c'est libérer pour créer. Le breastwork, c'est libérer ce qui ne te correspond plus pour créer tes rêves. Génial ! Ensuite, le deuxième trimestre, j'aurai Sandra qui est prof de danse, qui va apporter beaucoup de mouvements, de mouvements libres, mais de mouvements aussi un peu, pas chorégraphiés, mais qui va permettre en tout cas d'apporter ce mouvement dans le corps, pour être dans l'amplitude, pour être dans la réceptivité, dans l'expansion, dans l'envol, etc. Ça va être absolument génial. Et une dernière, une coach qui va créer du coup des ateliers en live pour que, que toutes mes clientes puissent concrétiser concrètement leurs rêves, leur entreprise, avoir une stratégie qui leur ressemble. Donc ce n'est pas une coach Insta, ce n'est pas une coach spéciale LinkedIn, ce n'est pas une coach spéciale TikTok ou je ne sais pas quoi. C'est une coach qui est là pour te dire, ok, toi c'est quoi ta passion ? Comment t'aimes-tu communiquer ? Via la newsletter, via les podcasts, via YouTube, via les réseaux sociaux, via les sites internet, en vrai. Ok, choisis ça et en fait, on va avoir une stratégie qui sera efficace sur tous les canaux parce que tu vas juste comprendre la psychologie de vente des clients et tu vas aussi utiliser ta propre vie, ton propre cheminement, tes propres expériences, tes propres compétences pour attirer les gens à tes services. Voilà. Ah, je suis hyper contente de ça, mais aussi de te partager ça parce que, eh ben, si t'es dans cette phase, tu sens qu'il y a de la contraction. Écoute cela. Pourquoi il y a de la contraction ? Qu'est-ce qui doit être détendu, être libéré ? Peut-être qu'il y a de la contraction parce qu'il y a un truc là qui se sent emprisonné. Qu'est-ce qui se sent emprisonné ? Qu'est-ce qui se sent trop à l'étroit ? Et qu'est-ce que tu peux faire pour qu'il y ait plus de place à cet endroit, à cette chose, à cette envie, à ce besoin ? Je suis faite pour grandir et m'épanouir. Je mérite que mes besoins soient satisfaits. Vraiment, tu mérites que tes besoins soient satisfaits. Et encore plus, tu mérites que ta créativité prenne toute la place. qu'elle est toute la place de s'exprimer, tu mérites de toucher du doigt tes ambitions tes rêves, tes envies tes désirs voilà, je te laisse pour cet épisode j'espère qu'il t'a plu, qu'il t'a inspiré, n'hésite pas je te le rappelle, à partager autour de toi, que ce soit à tes amis via Whatsapp que ce soit sur les réseaux sociaux, même si t'as 10 abonnés Que ce soit lorsque tu parles avec tes amis, que ça fait tilt et tu dis « Ah, mais tu sais, j'écoute un podcast, ça, ça pourrait t'intéresser » . Voilà, n'hésite pas à partager autour de toi ou à tes clients si tu en as envie. Et à me suivre sur les réseaux sociaux, Natirelle Happy, N-A-T-Y-R-E-L-L-H-A-P-Y, sur Instagram, TikTok, sur Youtube également. Et voilà, j'espère que ça t'a plu. Et si le Mastermind Expansion te parle fortement, tu te dis ça me parle trop, n'hésite pas à cliquer sur le lien dans la description ou à m'envoyer un message en DM pour qu'on en discute, pour qu'on voit ensemble si ça te correspondrait, si ça répondrait à tes attentes, si je suis la bonne personne et si tu es la bonne personne pour ce groupe aussi. Et voilà, je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode.

Chapters

  • Introduction à la thérapeute et son parcours

    00:10

  • Réflexion sur un lancement sans ventes

    01:07

  • Création d'une nouvelle offre et ses enjeux

    02:32

  • La perte de joie et le rapport à la valeur personnelle

    06:15

  • Lancement du programme de mastermind Expansion

    21:46

Description

Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


As-tu déjà ressenti cette pression immense lors d'un lancement, en espérant que tout se passe à merveille, mais en fin de compte, tu te retrouves face à un mur de silence ? Dans cet épisode de "Tabou - Journal intime d'une thérapeute des entrepreneurs", je partage avec toi mon expérience d'un lancement récent d'une nouvelle offre qui, malgré toutes mes attentes, n'a pas généré de ventes. Ce moment de vulnérabilité m'a poussée à explorer mes émotions, mes doutes et les précieuses leçons que j'ai tirées de cette expérience.



Je t'invite à plonger avec moi dans la complexité de la création d'offres et à réfléchir à la perception de ta propre valeur. Dans le monde de l'entrepreneuriat, il est si facile de se laisser emporter par les attentes des autres et de perdre de vue ce qui te rend vraiment joyeux. J'aborde comment, en cherchant à adapter mon offre pour répondre aux besoins de mes clients, j'ai fini par m'éloigner de ma propre joie. C'est un parcours que beaucoup d'entre nous connaissent, où l'authenticité et la passion peuvent parfois être mises de côté au profit de la rentabilité.



Au fil de cet épisode, je partage comment cette expérience m'a amenée à une profonde réflexion sur mes véritables aspirations. J'ai décidé de créer un programme de mastermind de neuf mois, spécifiquement conçu pour l'expansion et le soutien des femmes entrepreneures. Ensemble, nous allons explorer comment se reconnecter à ses désirs profonds peut transformer notre parcours entrepreneurial. La vulnérabilité n'est pas une faiblesse, mais une force qui nous permet de grandir et de nous épanouir.



Je t'invite à écouter cet épisode pour découvrir comment embrasser l'authenticité et la joie dans ton travail peut non seulement enrichir ton expérience, mais aussi celle de tes clients. Ensemble, nous allons apprendre à naviguer dans les défis de l'entrepreneuriat avec courage et détermination. Prépare-toi à être inspiré, car il est temps de redéfinir ce que signifie réussir en tant qu'entrepreneur. Rejoins-moi pour cette conversation enrichissante et pleine de réflexions qui te permettra, je l'espère, de trouver ta propre voie vers la joie et l'authenticité.


Rejoindre Expansion-Le mastermind : https://natyrelprogramme.learnybox.com/expansion/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Moi c'est Nitsa, praticienne des mémoires transgénérationnelles, diplômée en psychologie et passionnée par le dépassement de soi. J'aide les entrepreneurs et les âmes ambitieuses à libérer les blessures du passé pour créer une vie et une entreprise à la hauteur de leur potentiel. Dans ce podcast, Tabou, tu découvriras le quotidien et les réflexions les plus intimes de la thérapeute des entrepreneurs. Tu verras que moi aussi, je doute, j'ai peur, je me questionne, parce qu'ici on parle vrai, on remet de la normalité là où trop souvent on met de la honte, pour que la vulnérabilité, les remises en question et les traversées passent enfin partie du chemin, sans jugement. Hello, j'espère que tu vas bien pour ce nouvel épisode de ce petit journal intime de la thérapeute des entrepreneurs. J'espère que tu as ta petite boisson pour écouter tranquillement cette anecdote, cette nouvelle anecdote, anecdote ou en tout cas ce moment intime, ce partage que je vais te faire aujourd'hui. Aujourd'hui je vais te parler d'un lancement que j'ai fait il n'y a pas très longtemps, il y a un peu... moins d'un mois, un peu plus d'un mois peut-être, sur une nouvelle offre qui m'était sortie de la tête. Et j'ai fait un lancement avec zéro vente. Et je vais te dire comment ça s'est passé pour moi, qu'est-ce que j'ai ressenti déjà durant tout ce lancement, comment je crée une offre, comment je crée un lancement, et comment je réagis selon le nombre d'offres, selon le nombre de ventes. que je fais et en quoi c'est intéressant, mais parce que ça montre aussi notre rapport à notre propre valeur, à la façon dont on perçoit notre valeur et aussi la foi en nos capacités et la vie qui nous porte pleinement. Ok, c'est parti ! Alors, si tu ne le sais pas, je suis praticienne des mémoires transgénérationnelles, j'accompagne en individuel, en tout cas j'ai fait une grosse pause sur les accompagnements individuels, je vais reprendre petit à petit. Et donc, comme j'ai fait une pause sur les accompagnements individuels, je proposais mes services via d'autres choses, parfois des ateliers en live, parfois ce que je faisais déjà les années précédentes, mais... Là, du coup, je me focalisais uniquement là-dessus, des ateliers en live, des offres en ligne, en autonomie, des formations, des programmes, toujours dans le même principe. Quel que soit l'angle sous lequel je travaille, c'est toujours dans un principe de tu as des potentiels et du coup, je t'aide à les révéler en te débarrassant de ce qui ne t'appartient pas, de tes peurs, de tes croyances, de tes blessures, peu importe. Et donc j'ai fait quelques lancements durant le début d'année, j'ai fait un premier lancement sur un programme qui s'appelle Aimer Riche, qui a fait des ventes. J'ai fait un lancement sur un tout petit programme cet été, 15 jours, pour se recentrer, que j'ai beaucoup aimé faire, parce qu'en fait je voulais le faire pour moi surtout. Donc j'étais contente que les gens achètent également. Et ensuite finalement on s'est retrouvés à la rentrée et je me suis dit j'ai envie de faire un programme qui s'appelle Equinox et qui serait 4 dans 5 live pour 5 live, 5 ateliers en live en tout cas de 2 heures qui permettraient un peu de se délester de ce qui ne nous appartient pas comme d'habitude. mais aussi de se reconnecter à ses besoins, d'enlever tout ce qui est colère, chaos, violence et se reconnecter à notre souveraineté, au bout, etc. Bref, c'était un lancement, c'était une offre que j'ai eue en tête comme ça, qui m'est venue comme ça, où je me disais, je sentais un peu cette énergie collective de ce besoin en tout cas de... de renouveau, de repartir sur des bonnes bases et des bases saines où on s'écoute réellement, on s'aime pleinement et pas juste je fais des exercices de libération mais après je sais pas à quoi je me reconnecte. Je sentais cette énergie collective assez forte et en plus ça allait être bientôt l'automne. Je trouvais que c'était une très belle symbolique pour faire ce programme Equinox. Et voilà, je me suis dit qu'est-ce que je veux partager dans mon lancement. J'avais envie de reconnecter à la joie, à l'innocence, à ressentir cette joie pure d'enfance, à ce truc où on s'amuse, on est trop content, on danse avec la vie, etc. Et donc pour incarner ce lancement, j'ai incarné ce message dans ma vie où j'ai vraiment pris plaisir à me reconnecter à cette joie, à me reconnecter à cette douceur aussi et prendre soin de moi, reprendre soin de moi à fond en tout cas, de pouvoir écouter tous mes besoins et être hyper hyper hyper hyper attentive à tous mes besoins et de les respecter même si en face je pouvais avoir des personnes qui me disaient qui me disait que c'était trop, sauf que si ce sont tes besoins, ce sont tes besoins. On fait souvent ce parallèle avec le bébé qui pleure, on ne va pas lui dire tu pleures trop, donc du coup je ne t'écoute pas. En tout cas quand on est un parent qui comprend le principe des pleurs d'un enfant. et du coup... Et ben voilà, donc ça a été ça, et ça a été un lancement hyper fun, hyper joyeux, que j'ai partagé avec mes enfants aussi, parce que je les ai rembarqués avec moi, je leur ai demandé de me filmer dans la forêt, j'étais là en train de danser, voilà, on s'amusait, c'était assez drôle, c'était fun, pour pouvoir utiliser ces contenus, ces vidéos dans mes contenus sur les réseaux sociaux. et en fait euh Plus j'incarnais ça et plus j'étais apaisée. En fait, j'incarnais en avant ce que je voulais transmettre dans ces cinq lives. Et du coup, j'avais une sorte de système nerveux hyper apaisé, une joie immense. Et au fur et à mesure que la date de lancement approchait et que j'avais zéro vente, j'étais toujours genre en mode « hé hé, waouh, la vie est belle, c'est génial, c'est trop bien » . Voilà, ce qui n'arrivait pas avant, si je faisais revente, c'est un peu la déprime, entre guillemets. Et donc là, j'étais assez fière, heureuse et contente. Et voilà, du coup, j'avais fait zéro vente. À un moment donné, parce que j'ai eu des messages de personnes me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, que c'était la rentrée, qu'il y avait plein de choses à payer, etc. Je sais que c'est une réalité, mais je sais aussi que parfois ce n'est pas une réalité, parce que dans le sens où on peut vendre à n'importe quel moment dans l'année, il y a toujours des personnes qui peuvent acheter, quelle que soit la période de l'année. Bref, donc c'était une réalité pour les personnes qui m'en parlaient, je ne dis pas qu'elles mentaient, mais je sais que ce n'est pas à cause de la rentrée que je n'ai pas vendu. Et en fait, du coup, en recevant ces messages-là, j'étais dans une certaine joie, etc. Je me suis dit, au lieu de vendre l'ensemble du programme, ces cinq lives, je vais vendre les ateliers séparément, comme ça, ça reviendra à moins cher. Donc l'offre, c'était 350 euros. Et du coup, je me suis dit, je vais les vendre indépendamment aussi, si les gens veulent soit acheter le programme entièrement, puisqu'en fait, il n'y avait que ça, c'était des ateliers en live, et entre les deux et c'est Il y avait un suivi comme d'habitude avec moi dans mes programmes, un suivi sur WhatsApp et via la communauté sur la plateforme pour que si j'ai envie de partager d'autres choses entre les lives, je puisse le faire, que les personnes qui achètent, si elles ont envie de poser des questions, elles puissent le faire, etc. Donc c'était 350 euros et le live, du coup l'atelier en seul, c'était 77 euros. Je me suis dit comme ça, les gens peuvent acheter s'ils n'ont pas trop les moyens, etc. En soi, on se dit, c'est sympa, c'est une bonne idée, je pourrais faire ça. Sauf qu'à partir du moment où j'ai fait ça, le premier live devait commencer un dimanche, ça ne s'est pas fait. Et après, je me suis dit, je vais commencer à communiquer là-dessus sur ces ateliers individuels, indépendants. Donc, il y a une personne qui m'a dit, oui, j'aimerais bien m'inscrire à un atelier. Est-ce que ce n'est pas trop tard pour celui d'aujourd'hui, en fait ? Celui du... Celui du dimanche, parce que la personne m'a contacté le dimanche même, ça m'arrive très souvent. Et finalement ça ne s'est pas fait. Et en fait au fur et à mesure, après je me suis dit je vais parler des autres, des autres qui arrivent de façon... indépendante. Et là, ma joie a disparu. Ma joie a complètement disparu parce que, bah, c'est pas comme ça que j'avais imaginé la chose. Parce que si j'ai imaginé cinq ateliers en live, c'était pour une raison. C'est parce qu'ils étaient reliés l'un à l'autre. Et en fait, j'incarnais ça. J'incarnais tout ce que je voulais transmettre dans ces cinq ateliers en live. Mais je me suis, on va dire, rapetichée en voulant les vendre en individuel, enfin les vendre les ateliers indépendamment les uns des autres. J'ai réduit, minimisé mon travail et aussi ça me demandait finalement plus d'efforts parce que du coup il fallait que je fasse des lancements, il fallait que je fasse... Du coup, quatre lancements tous les quinze jours, un nouveau lancement pour un nouvel atelier qui ne rémunère clairement pas de la même façon que faire un lancement pour un programme entier à 350 euros. Et en fait, j'ai aussi perdu ma joie parce que j'ai réagi sans m'en apercevoir. Sur la peur, la peur de quoi ? De manquer, la peur d'exclure aussi, la peur du rejet qui se reflétait sur mes clients. J'ai pas d'argent, je me sens exclue parce que je ne peux pas. me payer, me permettre, là, dans cette situation, de payer un programme à 350 euros. Et évidemment, quand j'ai commencé les deux premiers jours à parler des ateliers à 77 euros, je n'ai pas eu, tous ceux qui m'avaient parlé avant me disant qu'ils n'avaient pas d'argent, je n'ai pas eu une flopée d'inscriptions. Ce n'est pas le cas. C'est pour ça que je dis des fois, l'argent, ce n'est pas un sujet. Mais c'est un sujet pour toi, qui lance une offre, pour toi qui vends tes services. Et donc, il y avait ça, cette blessure de rejet qui est très forte chez moi, blessure d'injustice qui est très forte chez moi. Et donc, cette peur finalement de manquer, cette peur de... Ben en fait, ils me disent ça et donc... J'ai peur de perdre une opportunité de faire des ventes. Donc je vais réduire, je vais faire un truc séparément, ce n'est plus du tout cohérent par rapport à ce que j'avais imaginé. Et voilà, du coup ce n'est pas ce que j'avais imaginé, donc je perds de la joie et je perds toutes les sens mêmes de ce que j'ai à offrir, tous les sens mêmes de mon message et de mon intention de départ. Pourquoi je te raconte ça ? Parce que parfois, on réagit, même quand on est avisé, même quand on a l'habitude, même quand on accompagne les autres là-dessus, on réagit à partir de ses blessures, on réagit à partir de ses peurs. Beaucoup moins souvent, je te rassure, évidemment que je ne réagis pas tout le temps à partir de mes blessures et de mes peurs, mais... Il n'empêche que ça peut encore arriver. Et là, ce que tu vois, c'est que hop, tout de suite, j'ai conscience de ça et je réagis. Donc, en fait, j'ai supprimé ces ateliers en individuel, indépendants les uns des autres. J'ai supprimé ce format parce qu'en fait, ça ne m'apportait pas de joie. Cette tristesse, cette lourdeur était un vrai message pour me dire, mais en fait, qu'est-ce que tu fais ? Ce n'était pas ça. Et donc, on peut se dire, ouais, mais quand même, t'abuses. Ouais, ok, tu n'avais pas de joie, ça t'affichait sur le moment, mais en fait, tu aurais pu faire un petit effort et continuer à en parler. Au moins, tu aurais eu des ventes et pas faire un mois sans rentrée d'argent. Parce que c'est ce qui s'est passé. Du coup, on était le 20 septembre. Le programme que j'ai lancé en septembre, sur lequel j'ai juste... Je me suis investie pleinement, n'a pas fonctionné. J'ai voulu vendre différentes choses en individuel. J'aime pas seulement individuel, mais j'arrive pas à trouver un autre terme. Bref, ça n'a pas fonctionné. Enfin, en tout cas, j'ai supprimé. Et je n'ai plus de séance individuelle. Donc, en fait, qu'est-ce que tu fais, Nitsa ? C'est n'importe quoi. Tu peux te bouger un peu les fesses, etc. Et oui, c'est vrai. Mais, en fait, le prix, ça aurait été que je continue. Peut-être que j'aurais certainement fait des ventes à un moment donné. Au moins pour un atelier. J'aurais eu peut-être trois pèlerins sur un atelier. Donc, trois fois 77 euros. Voilà, j'aurais utilisé une énergie. monstre à faire, à parler de ces ateliers. Pourquoi une énergie monstre ? Parce que quand tu n'as pas de joie et que tu te forces à faire quelque chose, ton énergie est beaucoup plus basse. Ça ne veut pas dire qu'il ne faut pas faire d'efforts dans la vie, je suis consciente de ça et j'ai déjà fait plusieurs épisodes là-dessus sur la différence entre souffrance et effort. C'est important de faire des efforts, mais tu fais des efforts dans quelque chose qui qui t'apporte de la joie. J'avais pris cet exemple De faire une randonnée à la Soufrière ou en montagne. Une fois, j'ai fait une randonnée à la montagne à côté d'Annecy. C'était un énorme effort, mais ça m'apportait de la joie. C'était un dépassement de soi. Franchement, c'était rude, mais c'était joyeux. Et donc ça, c'est OK. En fait, tu utilises de l'énergie. Mais en fait, à la fin, quand tu y arrives, ça te ressource, ça te remplit. Quand tu fais un effort, par exemple, mon fils adore jouer à des jeux. très stratégique, etc. Ça me saoule. J'aime pas ça. Je n'y prends aucune joie. Enfin, je n'y trouve vraiment aucune joie. Et donc, ça demande un effort, parce qu'il faut réfléchir, et en plus, j'ai pas de joie. Donc, en fait, à la fin, je suis vidée. Donc, des fois, quand c'est un nouveau jeu, je veux bien le tester avec lui, et en fait, j'aime pas. Et après il me dit tu veux qu'on refasse une partie ? Non je ne vais pas refaire une partie avec toi parce que c'est saoulant, ça me saoule ton truc, je n'ai pas envie. Et donc il sait maintenant. Bref et donc ça devient plutôt là de la souffrance plutôt que de l'effort. Et donc l'idée c'est que j'aurais pu effectivement à force en faisant des efforts vendre ces ateliers. Mais sans joie ça aurait été de la souffrance et donc j'aurais eu de l'argent dans la souffrance. Donc. A partir de là, il y a ce truc de « what ? » Mais qu'est-ce que j'en fais en fait de tout ça ? J'avais une super joie, j'étais dans une vibration hyper haute, une fréquence super haute, etc. J'ai diminué parce que j'ai réagi avec la peur du manque. La peur du manque, la peur de rater une opportunité, la peur de rejeter, la peur d'exclure, etc. Mais en fait, ça a été du bon aussi parce que finalement, ce programme, même si je n'ai eu aucune vente, il m'a permis de réfléchir sur le fait que sans vouloir... Alors attention, là, je ne suis pas en train de mettre de la culpabilité sur les clientes qui m'ont dit qu'elles n'avaient pas d'argent à ce moment-là. Je les crois, c'est une vraie réalité. J'ai déjà été dans ce cas où j'avais trop envie de prendre une formation et je n'avais pas les moyens. Et j'étais dégoûtée et voilà, c'est une réalité. Mais il n'empêche que ça m'a permis de voir que je voulais impacter plus grand, plus fort, plus long. En fait, dès le départ, même si le lancement a été très joyeux, dès le départ, je me... j'ai... J'ai réduit mes attentes, c'est-à-dire que je me suis dit, en fait j'aimerais commencer en automne. En vrai, j'aimerais bien faire un truc super long. Non mais je ne vais pas me lancer dans un truc super long maintenant. Enfin, ça n'a pas de sens. J'ai eu l'idée début septembre. Il faut sortir le truc le 21 septembre. Calme-toi en fait. Ça n'a aucun sens. Donc en fait, non, tu vas faire un truc sur deux mois, juste pour la saison automne. Et puis voilà, tu vois. Et puis tu verras par la suite pour les autres saisons, etc. Mais j'avais vraiment envie de... À la base... C'est automne, hiver, printemps, faire au moins jusqu'au printemps pour qu'au printemps il y ait vraiment cette énergie de floraison, de matérialisation, etc. On se montre, etc. Et j'ai tué cette envie en me disant c'est trop. Autre blessure, c'est trop, c'est trop gros, etc. Donc le lancement a été génialissime, joyeux pour moi parce que j'ai incarné. mais au fur et à mesure, à chaque fois je... Taiser mes envies. Donc, je voulais un truc qui dure au moins 6 mois, j'ai réduit à 3 mois. Je voulais un truc de 3 mois avec 5 lives, j'ai réduit à un live, un atelier en live à chaque fois. Et c'est là où ton corps te dit non. En fait, il t'envoie des signes. qui sont très subtils quand t'as pas l'habitude, mais ils t'envoient quand même des signaux qui te disent t'es pas dans le bon chemin là, là c'est dommage. Et donc à partir de ça je me suis dit mais en fait ce que je voulais à la base c'est impacter, c'est faire du grand, c'est faire du long, c'est faire du profond, c'est faire quelque chose où moi-même je grandis là-dedans parce que... Enfin, tu ne le sais pas, mais une thérapeute, elle grandit avec ses clients, les clients qu'elle accompagne. Moi, je grandis. Franchement, à chaque fois que j'ai accompagné des personnes, ça m'a permis aussi de grandir, de mûrir certaines choses, d'aller plus en profondeur sur certaines choses, etc. Parce que, évidemment, même si je suis formée, je n'ai pas vécu tout ce que vous avez vécu. Encore heureux, j'ai suffisamment de trucs à me coltiner pour ne pas... avoir vécu tout ce que vous avez vécu, tout ce que mes clients ont vécu, etc. Donc ça fait grandir. Et donc j'avais envie de ça, de cette énergie expansive, très grande, très forte. Et donc il y a eu une grosse frustration, une déception, une fréquence basse. Tu vois, de la tristesse. Pas de la tristesse, mais de la... J'étais très maussade, j'étais très... Bof, wow. J'aime pas, je me sens tendue, je me sens étrique, je me sens... Voilà. Et en fait, ce moment m'a permis de me dire, mais en fait, reviens à ce que tu voulais. De base, tu voulais un truc long, fais un truc long. Tu veux faire un lancement rapide sur un truc long, fais un lancement rapide sur un truc long. Écoute ta joie, écoute ton inspiration, etc. Et ben voilà, du coup, j'ai créé en trois jours. J'ai mûri le truc. À partir du moment où je me suis autorisée à aller vers ce qui me portait, Et bien là, la créativité est revenue, toutes les idées sont revenues, toutes les pratiques que je voulais faire, elles sont apparues, les personnes avec qui je voulais travailler sont apparues, etc. Et en trois jours, j'avais cette idée en tête de, je veux faire un mastermind de neuf mois qui s'appellera Expansion. Pour être dans cette énergie expansive, un mastermind où je vais accompagner des clientes pendant 9 mois. Chaque semaine, il y aura un appel avec des pratiques somatiques où il y aura une fois sur deux des pratiques somatiques, des pratiques symboliques de libération, que ce soit transgénérationnelle, que ce soit en lien avec le système nerveux, avec les blessures de l'enfance. des problématiques que l'on retrouve dans son présent actuel et une autre fois où ce sera des échanges, du coaching pur de groupe pour accompagner des mamans, entrepreneurs ambitieuses qui ont envie justement d'être dans cette énergie d'expansion, qui ont envie de prendre leur envol, d'utiliser l'automne, l'hiver pour se débarrasser Merci. L'automne pour se débarrasser de ce qui ne compte plus, l'hiver pour se nourrir de choses qui sont essentielles, au printemps prendre son envol et l'été récolter les fruits de tout ce qu'elles ont fait pour qu'elles aient une entreprise finalement qui soit à la hauteur de leurs ambitions, qui soit à la hauteur de leurs envies, de leurs désirs et que cette entreprise soutienne leur vie plutôt qu'elle les accable. Parce que c'est ça. que je cherche depuis le début et que je veux prouver à tout le monde que quand on écoute sa joie, c'est tellement plus simple, c'est tellement plus beau. Franchement, des fois, on cherche à se mettre dans une case, à se réduire. Ce n'est pas commun de faire ça. Donc non, je vais plutôt faire ça. Ce n'est pas stratégique. Donc non, je ne vais pas faire ça. Oui, mais c'est un peu trop quand même. C'est too much. Donc je ne vais pas faire ça. Blablabla. Et en fait, à chaque fois qu'on fait ça, Voilà. On perd sa joie, on perd son essence, on perd sa mission qui est à l'intérieur de nous-mêmes, on perd toutes ses envies, ses désirs, et puis après tout devient contrainte, injonction, il faut, c'est insupportable, c'est lourd, et ça ne nous permet pas de toucher nos rêves. Et en fait, il y a cette idée de, parfois, on est là à se dire, comme si les rêves, c'était qu'un truc d'enfant, et que ce n'est pas fait pour être. réaliser mais bien sûr que si si c'est dans ta tête c'est que ça doit être réalisé ce qui passe par ta tête alors pas tout si tu as des envies de meurtre merci d'oublier à ne prend pas ce cet épisode comme prétexte pour tuer quelqu'un voilà voilà mais un rêve un rêve Un vrai rêve qui apporte quelque chose, un impact, qui a un impact sur toi, ça peut être que sur toi, c'est un impact sur toi, sur ta famille, tes enfants, tes proches, le monde, ton travail, je ne sais pas quoi, le sport, peu importe. Il est fait pour être matérialisé et réalisé. Et en fait, on est là, comme ça, tout le temps, à essayer de se réduire pour être dans des cases, pour faire ce qu'on nous dit stratégiquement, tu dois faire un lancement avec une masterclass. Oh, la masterclass ! Une masterclass et ensuite à la fin de la masterclass, tu vends ton truc et après voilà qui sera dans trois semaines, un mois et il faut que c'est... Oh non ! Suis ta joie, suis ton intuition et après à partir de ça, crée une stratégie qui te ressemble toi. et donc voilà, une fois que je me suis écoutée, que je me suis laissée porter laissée porter par mon intuition, par mon inspiration sans essayer de me réduire parce que C'est peut-être pas le bon moment, je vais peut-être exclure certaines personnes, parce qu'évidemment, un accompagnement comme ça, aussi long, ça a un coût, et ça a un coût en termes de temps et en termes de prix, tout le monde ne pourra pas être dans ça, et heureusement parce que je ne vais pas pouvoir accompagner tout le monde, mais... C'est ok, il y a plein d'autres façons d'accompagner les gens et les gens trouveront toujours une façon d'être accompagnés. Et donc une fois qu'on sort de ça, de ce truc de « ouais, il faut que je me réduise, il faut que, il faut que » , et bien là on laisse jaillir ce qui est beau et après la contraction vient justement l'expansion. après le... la lourdeur, etc. vient la légèreté et l'envol où tu te reconnectes à ta mission d'âme, tu te reconnectes à ta joie, tu te reconnectes à ce qui est au fond de toi, dans ton essence. Et voilà. Et du coup, je suis en plein lancement d'un mastermind de 9 mois qui va durer 9 mois dans lequel je vais accompagner des femmes formidables Merci. qui ont envie justement d'être dans cette énergie expansive, qui ont envie d'aller toucher leurs ambitions, qui en ont assez d'entendre dire qu'on ne peut pas tout avoir, on ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre, on ne peut pas être maman et entrepreneur à succès, on ne peut pas être maman, entrepreneur et avoir des passions, on ne peut pas être maman, entrepreneur, avoir un couple qui fonctionne. Pourquoi ? Qui a dit ça ? Voilà. En fait, on n'est pas en temps de guerre, tout va bien, tu peux avoir ce que tu veux, tu peux avoir à la hauteur de ce que tu veux si tu décides de lâcher ce qui ne t'appartient pas, lâcher les injonctions, lâcher les blessures, les traumas transgénérationnels, lâcher, accepter aussi faire le deuil de tes parents, de ton enfance, des attentes. de l'amour que tu n'as pas reçu, de l'attention que tu n'as pas reçue, et aller le chercher toi en fait, aller le chercher toi et t'entourer de gens qui sont comme toi. C'est pour ça que c'est un mastermind, parce que l'idée c'est de, je sélectionne 12 femmes maximum qui sont dans cette même énergie, qui sont dans cette même envie d'investir sur elles. L'idée c'est de travailler sur soi, ça va deux heures par semaine, d'investir sur elles, de travailler sur elles, pour... Pour concrétiser une entreprise, matérialiser une entreprise qui soutienne leur vie de rêve et pas qui les empêche de passer du bon temps avec leurs enfants, pas qui les empêche de... d'avoir des loisirs, d'avoir des amis, de penser à leur passion première, etc. Et en plus, ce que j'adore, c'est que c'est ça en fait, pourquoi je veux te partager ça, c'est qu'au départ je me suis réduit dans mon offre Equinox et maintenant là, on m'arrête plus. J'ai des intervenantes avec moi, j'ai Julie qui est praticienne de breastwork, qui va offrir à mes clientes trois séances de breastwork et j'ai fait du breastwork avec elle. C'est génial parce qu'il y a toujours un temps. de journaling à la fin qui permet de relaxation, puis de journaling. Et comme elle me disait, le breastwork, c'est libérer pour créer. Le breastwork, c'est libérer ce qui ne te correspond plus pour créer tes rêves. Génial ! Ensuite, le deuxième trimestre, j'aurai Sandra qui est prof de danse, qui va apporter beaucoup de mouvements, de mouvements libres, mais de mouvements aussi un peu, pas chorégraphiés, mais qui va permettre en tout cas d'apporter ce mouvement dans le corps, pour être dans l'amplitude, pour être dans la réceptivité, dans l'expansion, dans l'envol, etc. Ça va être absolument génial. Et une dernière, une coach qui va créer du coup des ateliers en live pour que, que toutes mes clientes puissent concrétiser concrètement leurs rêves, leur entreprise, avoir une stratégie qui leur ressemble. Donc ce n'est pas une coach Insta, ce n'est pas une coach spéciale LinkedIn, ce n'est pas une coach spéciale TikTok ou je ne sais pas quoi. C'est une coach qui est là pour te dire, ok, toi c'est quoi ta passion ? Comment t'aimes-tu communiquer ? Via la newsletter, via les podcasts, via YouTube, via les réseaux sociaux, via les sites internet, en vrai. Ok, choisis ça et en fait, on va avoir une stratégie qui sera efficace sur tous les canaux parce que tu vas juste comprendre la psychologie de vente des clients et tu vas aussi utiliser ta propre vie, ton propre cheminement, tes propres expériences, tes propres compétences pour attirer les gens à tes services. Voilà. Ah, je suis hyper contente de ça, mais aussi de te partager ça parce que, eh ben, si t'es dans cette phase, tu sens qu'il y a de la contraction. Écoute cela. Pourquoi il y a de la contraction ? Qu'est-ce qui doit être détendu, être libéré ? Peut-être qu'il y a de la contraction parce qu'il y a un truc là qui se sent emprisonné. Qu'est-ce qui se sent emprisonné ? Qu'est-ce qui se sent trop à l'étroit ? Et qu'est-ce que tu peux faire pour qu'il y ait plus de place à cet endroit, à cette chose, à cette envie, à ce besoin ? Je suis faite pour grandir et m'épanouir. Je mérite que mes besoins soient satisfaits. Vraiment, tu mérites que tes besoins soient satisfaits. Et encore plus, tu mérites que ta créativité prenne toute la place. qu'elle est toute la place de s'exprimer, tu mérites de toucher du doigt tes ambitions tes rêves, tes envies tes désirs voilà, je te laisse pour cet épisode j'espère qu'il t'a plu, qu'il t'a inspiré, n'hésite pas je te le rappelle, à partager autour de toi, que ce soit à tes amis via Whatsapp que ce soit sur les réseaux sociaux, même si t'as 10 abonnés Que ce soit lorsque tu parles avec tes amis, que ça fait tilt et tu dis « Ah, mais tu sais, j'écoute un podcast, ça, ça pourrait t'intéresser » . Voilà, n'hésite pas à partager autour de toi ou à tes clients si tu en as envie. Et à me suivre sur les réseaux sociaux, Natirelle Happy, N-A-T-Y-R-E-L-L-H-A-P-Y, sur Instagram, TikTok, sur Youtube également. Et voilà, j'espère que ça t'a plu. Et si le Mastermind Expansion te parle fortement, tu te dis ça me parle trop, n'hésite pas à cliquer sur le lien dans la description ou à m'envoyer un message en DM pour qu'on en discute, pour qu'on voit ensemble si ça te correspondrait, si ça répondrait à tes attentes, si je suis la bonne personne et si tu es la bonne personne pour ce groupe aussi. Et voilà, je te dis à très bientôt pour un nouvel épisode.

Chapters

  • Introduction à la thérapeute et son parcours

    00:10

  • Réflexion sur un lancement sans ventes

    01:07

  • Création d'une nouvelle offre et ses enjeux

    02:32

  • La perte de joie et le rapport à la valeur personnelle

    06:15

  • Lancement du programme de mastermind Expansion

    21:46

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