Speaker #0Bienvenue dans TCA, etc., le podcast qui décrypte les troubles des conduites alimentaires et tout ce qui gravite autour, parce que ça n'est jamais seulement qu'une histoire de bouffe. Je suis Flavie Milsono, et j'accompagne les mangeuses compulsives à devenir des mangeuses libres bien dans leur basket. Alimentation, peur du manque, insatisfaction corporelle, peur du jugement, du rejet, empreinte familiale, grossophobie, les sujets abordés dans ce podcast sont très vastes, et pour ce faire, mes invités sont aussi très variés. Retrouvez-moi aussi sur Instagram où j'aborde tous ces sujets au quotidien sur Flavie.mtca. Très belle écoute. Bienvenue dans la question du lundi. Comme chaque semaine, je prends le temps de répondre à une question qui m'a été posée par l'un, l'une d'entre vous sur Instagram. Cette semaine, j'ai décidé de tester quelque chose d'un petit peu différent. C'est-à-dire que je n'ai pas pris le temps de préparer cet épisode de podcast. En fait, je teste de faire un peu un mix entre ce que je faisais avant, c'est-à-dire d'être en live sur Instagram et de répondre aux questions comme ça, comme elles arrivent, et de faire un épisode comme je fais maintenant sur une seule question. Donc en fait, je fais sur une seule question, mais je vais partir un peu avec ce qui vient et on va voir ce que ça donne et je réajusterai si je trouve que c'est des épisodes qui ne sont pas... Assez complet, assez creusé. En même temps, j'aime bien aussi me laisser porter par le fil de ma pensée. Donc, une personne m'a écrit sur Instagram. Je vais vous lire le message. Coucou Flavie, pour ma part, je souhaiterais savoir comment prendre soin de soi, de sa santé mentale et de son équilibre quand, après un gros travail sur l'absence de restrictions et le lâcher prise alimentaire, sur le sucre notamment, on découvre qu'on est en pré-diabète et qu'il faut réduire le sucre. pour des raisons de santé physique, alors que ces deux derniers mois ont justement été passés à le réintroduire. Comment ne pas retomber dans la diabolisation et reprendre ses travers de restrictions-compulsions ? J'étais très contente de recevoir cette question parce que je la trouve complète, très à propos, et que j'ai la sensation que c'est quelque chose que beaucoup d'entre vous... En tout cas, c'est une question que vous... beaucoup d'entre vous se posent, je pense. Pas nécessairement avec l'arrivée d'un pré-diabète, par contre, vous êtes nombreux, nombreuses à avoir peur pour votre santé en lâchant les restrictions. Ça, c'est une première chose et c'est important qu'on en parle. Et puis, que ce soit via l'apparition d'un pré-diabète ou non, ou d'une autre pathologie, on a la croyance que ça n'est pas compatible avec une alimentation dite intuitive. Et puis... Et globalement, même sans parler de problèmes de santé, on a cette sensation que c'est pas possible finalement d'être dans une alimentation qui respecte l'écoute de ses besoins et de ses envies et de prendre soin de sa santé. Comme je trouve dommage de penser ça, c'est important pour moi de venir vous en dire quelque chose. Alors, première chose. qui me semble importante de dire à cette personne-là, qui se pose cette question-là, et à vous si vous vous la posez aussi, c'est important de se rendre compte que dans le cadre d'un diabète, mais même d'un diabète, il sera toujours plus intéressant de manger un peu de sucre de manière évidemment réfléchie, bien sûr, que de se faire des grosses compulsions sur le sucre, parce qu'on est parti dans une logique de zéro sucre. Ça, on est bien d'accord qu'il n'y aura pas pire de toute façon que les compulsions alimentaires dirigées sur le sucre pour le diabète ou le pré-diabète. Petite précision, je ne suis pas diététicienne, je ne prétends pas l'être. J'ai pour envie dans les mois ou plutôt années à venir de me former sur des sujets très en lien avec la nutrition. Pour autant, je n'ai pas l'envie, l'intention pour le moment de partir sur une formation de diète. Et donc je ne suis pas... une grande connaisseuse du diabète et du pré-diabète. Je pense que j'ai les connaissances un peu lambda de n'importe quelle personne qui s'y serait un peu intéressée. Cependant, si je me permets quand même de répondre à cette question, c'est plutôt sous le prisme de l'alimentation de type intuitive et de ce que je sais, de ce que permet ce type d'alimentation. Donc effectivement, je ne réponds pas en mode... experte du diabète et de l'alimentation des personnes avec diabète, mais je réponds en tant que, je déteste dire, je ne pense pas être experte, mais en tant que professionnelle ayant quand même un domaine d'expertise sur les troubles des conduites alimentaires. et l'alimentation régulée ou dite intuitive. Alors pour commencer par ce qui me semble être un peu le début, j'aimerais bien revenir sur ce relâchement des restrictions et de ce que ça implique selon les personnes. Vous le savez, je vous conseille quand même souvent d'être accompagné dans ce processus, même s'il n'y a pas de souci, vous pouvez le faire seul. En fait, moi je l'ai fait toute seule, mais moi au moment où je l'ai fait, il y avait genre... personne qui parlait de ça. Instagram existait déjà, mais n'était pas l'Instagram qu'on connaît aujourd'hui. Il n'y avait pas toutes ces ressources. J'ai cherché à être accompagnée sans arrêt. J'avais une psychothérapie, mais en fait, je ne trouvais pas de personnes formées spécifiquement à la question des troubles alimentaires. Et il n'y avait pas toute la littérature, les podcasts et tout ça. Donc, il est clair que c'est d'ailleurs pour ça que je fais mon podcast. Il est clair que vous pouvez trouver des ressources qui vont vous guider tout au long du processus. Cependant, à mon sens, ce sera toujours mieux d'être accompagné. On est bien d'accord. Tout le monde n'en aura pas besoin. Ou en tout cas, oui, si tout le monde n'en aura pas besoin et peut-être que ça vous prendra juste plus de temps, mais être accompagné vous fera gagner du temps. Et surtout, sur cette période de relâchement des restrictions, je pense que ça peut vous éviter d'être dans un truc qui s'étend sur des mois et des mois, et d'un brouillon, d'un chaos un peu. J'ai fait un épisode de podcast sur le sujet, où je parle du chaos alimentaire, où je pose cette question, mais est-ce qu'on tombe nécessairement dans le chaos ? Spoiler alert, non. À mon sens, il y a moyen de faire sans tomber dans le chaos. Je vais vous mettre la ressource de l'épisode que je suis en train de vous citer dans la description de l'épisode. Et donc cette personne qui me laisse ce message-là, peut-être que j'extrapole complètement, mais j'ai un peu l'impression qu'il s'est joué quelque chose de ce type-là, alors peut-être qu'elle a été accompagnée en l'occurrence, mais de relâchement des restrictions et qui donne lieu un peu à un chaos alimentaire et à beaucoup de surconsommation. Alors, on va se le dire, dans un premier temps, c'est normal. C'est quasi inévitable. Je ne peux pas vous dire que c'est inévitable de manière sûre et certaine, mais ça me semble très souvent inévitable d'avoir une période de surconsommation. Ok, là je vous dis ça, vous flippez, vous flippez pour votre poids, vous flippez pour votre santé. Sauf que tant que ça reste qu'une période, genre, mais qu'est-ce que ça représente ? Deux semaines, trois semaines, un mois, cinq semaines dans votre vie ? Si c'est pour vous emmener vers cette liberté alimentaire en fait. et vers le fait de ne plus être dans ces comportements-là derrière, ni de surconsommation, mais aussi de compulsion alimentaire, et ni de restriction dans l'extrême. Donc il peut y avoir cette période-là qui peut être tout à fait normale, cependant ce n'est pas censé s'installer pendant des mois et des mois, et créer une grosse surconsommation de plein d'aliments, et notamment de sucre, et créer la prise de 20 kilos, sauf si, bien sûr, on s'entend, vous étiez... Sous votre poids d'équilibre au point d'être à 20 kilos sous votre poids d'équilibre. Dans ce cas là, bien sûr que c'est OK, normal, souhaitable de prendre ces 20 kilos là. Donc ça, c'est un premier élément de réponse parce que ça me semblait important de le préciser avant d'aller plus loin dans la situation actuelle de la personne. Parce que je n'ai pas envie qu'à l'écoute de ce podcast, vous vous disiez, voilà, moi, si je relâche les restrictions, alors... Non seulement je vais prendre beaucoup de poids, mais je vais me créer du diabète ou du pré-diabète. En fait, déjà, le diabète, on va se le redire, il y a une notion héréditaire. C'est-à-dire que vous n'allez pas développer du diabète s'il n'y a pas cette notion héréditaire chez vous dans le diabète. Donc déjà, c'est quand même important de le dire. Tout le monde ne va pas avoir du diabète même en mangeant beaucoup de sucre. Il y a des gens qui consomment énormément de sucre. qui ne font jamais de diabète, et il y a des gens qui développent du diabète sans avoir été dans une consommation excessive de sucre. Vraiment, j'ai pas mal d'exemples. Donc c'est important aussi ça de se le redire, et donc cette personne qui m'écrit, à toi qui m'as écrit cette question, c'est important, en fait je sais pas où t'en es, je sais pas si t'es accompagnée, etc., mais peut-être que le ton... Ton diabète, ton pré-diabète n'a peut-être rien à voir avec ta façon de manger dernièrement ou est peut-être en lien avec ta façon de manger dernièrement. Ça, on n'en sait rien. En tout cas, se culpabiliser ne servirait à rien. Parce qu'en fait, si vous avez souffert d'un trouble des conduites alimentaires et que sur le passage de la guérison, vous êtes dans la surconsommation et que cette surconsommation... Créer des choses comme ça, en fait, tout ça, on est toujours dans les conséquences de votre trouble alimentaire. Donc, il n'y a pas de culpabilité à avoir et ça ne sert à rien de s'autoflageller. Et en fait, vous avez juste fait du mieux que vous pouviez pour vous sortir d'un trouble alimentaire. Et ça, c'est déjà, mais genre, un truc énorme de pouvoir être sorti de ça et des compulsions, etc. Donc, juste de ça, bravo à toi et bravo à toutes celles qui m'écoutent et qui ont réussi ça. Ensuite, dans un deuxième temps. Je ne sais pas où en est la personne qui m'a écrit, mais j'ai l'impression qu'il y a quelque chose d'apaisé. J'ai l'impression que là où tu en es, tu dis « Ok, j'étais là-dedans, j'en suis sortie, aujourd'hui c'est apaisé, mais on m'a diagnostiqué un pré-diabète, comment je fais ? » Comment je fais pour ne pas tout rediaboliser ? J'ai envie de te dire, si tu en as la possibilité, peut-être fais-toi accompagner par un ou une diète spécialisée. Troubles alimentaires, c'est-à-dire formés spécifiquement à la question du comportement alimentaire. Ça, c'est vraiment important. C'est l'approche qui va vraiment faire toute la différence. D'ailleurs, pour celles et ceux que ça intéresse, je glisse ça là au milieu de l'épisode, mais j'ai bien avancé sur la création de ma formation. Et la première formation que je vais proposer aux professionnels, c'est celle sur le comportement alimentaire, sur la prise en charge de ce qu'on appelle la diététique comportementale. C'est une formation qui aura lieu en juillet. Si vous êtes intéressé en tant que professionnel, faites-moi signe parce que là, je vais lancer les inscriptions. Je referme cette parenthèse. Donc, si tu peux, tourne-toi vers ce type de professionnel. Il faut savoir que ce n'est pas du tout incompatible. Ce que vous devez tous et toutes savoir, que vous ayez problème de santé ou non, c'est que oui, dans un premier temps, Il va falloir se pencher sur les restrictions, lever les restrictions, ramener tous les aliments dans votre alimentation, recréer de la sécurité autour de vous avec l'alimentation. Dans un second temps, c'est tout à fait possible, et je vais aller plus loin, c'est même souhaitable, d'être en mesure de faire des choix alimentaires. Avec les personnes que j'accompagne, je leur parle de choix conscients, de choix santé. En fait, on fait le distinguo entre le contrôle et des choix conscients. On pourrait l'appeler aussi du contrôle. C'est juste qu'il n'a pas la même finalité, il n'est pas dans la même optique. Mais moi, pour ne pas embrouiller tout le monde, je préfère parler d'un côté du contrôle, c'est là d'où vous venez, et c'est vraiment la culture des régimes, etc., pour basculer dans quelque chose de relié à vous, à votre santé, qui est un choix conscient. Un choix santé, ça peut être des fois un choix digestion, un choix repos. Un choix plaisir. En fait, il y a plein de choix à faire dans l'alimentation. Et le but, c'est que vous redeveniez maîtresse à bord, en pleine possession de ce que vous voulez faire et de ce qui est de mieux pour vous. Et ce qui est de mieux pour vous, parfois, c'est manger cette troisième part de gâteau et parfois, c'est en manger qu'une ou même ne pas en manger du tout. Donc, je refais le lien avec l'histoire du pré-diabète. En fait... Dans la question du diabète ou du pré-diabète, bien sûr qu'il y a la nécessité de se pencher un peu plus sur ce qui contient du sucre ou non, sur la consommation de sucre, sur les choix qu'on fait et aussi sur comment on le mange. C'est-à-dire qu'au-delà de juste manger ou non du sucre, il y a manger du sucre à certains moments de la journée ou surtout associer ou non à d'autres aliments qui vont avoir un impact important sur la glycémie. Autant ! Pour n'importe qui, pour des personnes lambda, je vais vous dire de ne pas vous intéresser à toutes ces questions d'indice glycémique, de pic de glycémie et blablabla. Autant quand on est diabétique, pré-diabétique, c'est intéressant et c'est super de s'intéresser à ça. Mais encore une fois, si vous pouvez être accompagné, waouh, ce sera quand même beaucoup mieux. Parce que, effectivement, le risque se situe peut-être dans un vieux comportement qui pourrait refaire surface de... Quelque chose d'un peu binaire, quoi. Non, ben du coup, je mange pas de sucre. Et donc là, oui, ça va faire revenir les vieux démons. Par contre, si t'as installé, toi qui m'as posé la question, si t'as installé une bonne flexibilité alimentaire, quelque chose de très en lien avec toi et de respectueux de tes choix et de ton bien-être, alors ça devrait pouvoir très bien se passer. Tu n'es plus dans la volonté à tout prix d'éliminer le sucre pour maigrir, pour, voilà, dans un truc, ben voilà, binaire, noir ou blanc. Non, là, tu es dans une volonté de prendre soin de ta santé, d'éviter que ton pré-diabète se transforme en diabète. Et donc d'avoir une attention particulière sur ces aliments-là, de trouver des aliments alternatifs, de trouver des moments où c'est mieux pour toi de les manger, à quel type d'aliments tu vas les associer pour que ça ait moins d'impact sur ta glycémie. Et en fait, tout ça, on est sur des choix conscients. Une personne, une diète spécialisée dans les TCA, dans le comportement alimentaire, qui t'accompagnera sur la question du pré-diabète, Elle ne va pas te dire... Ok, il faut absolument que si tu as envie de chocolat en plein milieu de la journée, que tu dises non et que tu t'empêches de manger ce chocolat. Non, elle ne va pas te tenir ce discours-là. Elle va te dire, ok, à quoi tu pourrais associer ce chocolat pour que l'impact glycémique soit moins fort. Et elle va aussi te dire que c'est très important de répondre à tes envies. Si tu sens que tu ne peux pas les repousser, si tu sens que juste le fait de te dire non mais je le mangerai ce soir dans mon repas et du coup l'impact sera différent, si tu sens que ça fait monter la frustration, non c'est hyper important de le manger maintenant. Si tu peux, tu vas l'associer à autre chose pour limiter l'impact glycémique. Si vraiment tu ne peux pas, je pense que ce sera quand même mieux de le manger que de te taper une crise le soir où tu vas manger dix fois la quantité que tu mangerais là dans l'après-midi. Donc en fait c'est un équilibre à trouver. une écoute de soi, un respect de soi. Mais normalement, ça va avec tout le travail que tu as fait de déconstruction là et de pacification alimentaire. Donc l'idée, c'est de rester dans cette même pacification alimentaire tout en ayant une attention portée sur ces aliments-là. Si c'était un autre problème de santé, autre chose, peut-être que tu porterais une attention sur d'autres aliments que les aliments sucrés. Mais l'idée, c'est de trouver cet équilibre entre Ok, qu'est-ce qui est à ma portée ? Est-ce que là je me sens de ne pas prendre cet aliment, de faire ce choix-là ? Ou est-ce que juste d'y penser, ça fait monter de l'angoisse qui risque de me faire des compulsions plus tard ? Est-ce que je me sens de l'associer à autre chose ? Est-ce que c'est possible ? Est-ce que j'ai ça sous la main ? Voilà, de faire un mix entre tout ça. Il y a quelque chose que je dis souvent, et je pense que je vais conclure là-dessus, parce que sinon l'épisode va être méga long, c'est que manger, ça répond à... plein de besoins. Et que parfois, nos besoins, ils s'entrechoquent. C'est-à-dire que parfois, il y a le besoin de réconfort, peut-être associé à du partage, mais qu'à côté de ça, en face de ça, on pourrait dire, il y a un besoin de confort digestif. Tu sais que si tu réponds à ton besoin de réconfort partage, alors tu ne répondras peut-être pas à ton besoin de confort digestif. Il n'y a pas de bon ou de mauvais choix à ce moment-là. C'est pas parce que le confort digestif est le choix qui te fera manger moins qu'il est forcément le meilleur. Ça, c'est la culture des régimes qui dit ça. Mais là, nous, on n'en a rien à foutre de ce qu'elle raconte la culture des régimes. Parfois, le meilleur choix sera celui du réconfort partage et puis, à d'autres moments, le meilleur choix sera celui du confort digestif. Et en fait, le meilleur choix sera celui que tu fais. Si tu sens que tu es prisonnière des choix confort digestif ou prisonnière des choix ... réconfort et ou partage, alors c'est intéressant de te poser la question et peut-être d'entamer un travail sur ton comportement alimentaire, de l'auto-observation, enfin il y a plein de choses à en faire. Quand on sent qu'on est bloqué dans un fonctionnement et qu'on répond de manière tout le temps systématique, automatique, là, oui, il y a un problème. Mais sinon, on se balade d'un truc à un autre et selon les périodes, c'est aussi normal, peut-être pendant une semaine, deux semaines, tu as l'impression de répondre toujours sous le même prisme. Mais en fait, tu vas peut-être te rendre compte que passé ce délai-là, tu vas répondre d'une autre manière. N'oubliez pas que vos comportements alimentaires sont complètement reliés à ce que vous vivez. N'oubliez pas ça. Pensez à ça. Prenez vos comportements alimentaires comme des signaux d'alarme, en fait. Des petites choses qui viennent vous dire, ok, qu'est-ce qui se passe en ce moment pour moi ? Comment je vais ? C'est un moyen de mieux se connaître, de mieux s'observer, d'aller aussi travailler sur ses émotions, sa relation aux autres, etc. J'espère que j'ai répondu à ta question, toi qui avais posé cette question par rapport au pré-diabète. J'espère que ça t'aura un peu rassuré parce que je sais à quel point c'est flippant en fait quand on est dans cette situation. Et j'espère que ça aura pu éclairer aussi toutes les personnes même qui ne sont pas concernées par cette pathologie. Je vous dis à très bientôt. Prenez bien soin de vous, autant que possible. N'oubliez pas que si le podcast vous aide, moi j'ai besoin aussi de votre soutien pour faire connaître le podcast, pour que peut-être à un moment donné, mon podcast devienne aussi une vraie part de mon travail. C'est-à-dire qu'aujourd'hui, c'est une part de mon travail, sauf que je n'ai pas de rémunération pour ce travail qui prend beaucoup de temps et beaucoup de place dans mes semaines. Donc si je passe un certain niveau d'écoute, mon podcast pourra être rémunéré. via la monétisation. Et puis, n'oubliez pas que vous pouvez aussi directement soutenir mon podcast via le don. Et donc, cette possibilité est ouverte. Vous trouverez le lien en description. 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