- Speaker #0
Bienvenue dans Tuba, je suis Géraldine Févra, consultante en stratégie et en organisation. Je t'aide à passer de solo à CEO. Que tu sois freelance, solopreneur ou que tu veuilles le devenir, Tuba te fait plonger chaque semaine dans le monde de l'entrepreneuriat. Tous les mardis, retrouve un nouvel épisode où je pars à la rencontre d'entrepreneurs. Ici, tu trouveras des idées, des conseils, des outils pour ton business. pour t'aider à entreprendre de manière libre et pragmatique. En clair, faciliter ton entrepreneuriat. Bonne écoute ! Salut Gaëtan ! Aujourd'hui, c'est toi qui es avec moi. Je trouve ça trop cool. Bienvenue dans Tuba.
- Speaker #1
Ouais, merci. Je suis hyper contente.
- Speaker #0
Moi aussi, je suis trop contente. Si vous suivez les épisodes de Tuba, j'en parle régulièrement, Gaëtan est la fée derrière Tuba, qui fait tout le reste en fait. Moi, j'enregistre avec les invités, elle fait tout le reste. On va notamment rentrer dans le détail. mais c'est aussi la raison pour laquelle je suis super contente de faire cet épisode avec toi aujourd'hui. Dans cet épisode, on va parler de comment trouver son premier ou sa première assistante virtuelle. On va parler donc budget, notamment confiance aussi et résultats. Avant de rentrer un tout petit peu plus dans le détail, déjà je déteste ce terme assistant virtuel parce que tu es tout sauf virtuel en fait, tu es une personne. Et que je trouve ce terme vraiment pas... Enfin je sais pas, j'ai du mal moi avec ce terme là. Je ne sais pas ce que toi t'en penses, mais je trouve ce mot pas ouf.
- Speaker #1
En fait, je ne me définis même pas comme ça. Je me définis comme assistante web.
- Speaker #0
Voilà, très bien. Prenons ce nouveau terme. Tu es une personne. Je trouve que virtuel, à l'heure de l'IA, ça fait très pas humain et ça ne me plaît pas des masses. Bref, on va tout de suite rentrer dans cet épisode avec un peu de détails et de coulisses. qui sont aussi les coulisses quelque part de Tuba. Est-ce que, moi je le sais, mais les auditeurs et auditrices qui nous écoutent sans doute pas, tu peux raconter comment est-ce qu'on s'est rencontrés ?
- Speaker #1
On s'est rencontrés sur un Slack d'une formation, la formation de Mova avec Justine Arma. Toi, tu cherchais quelqu'un pour monter tes épisodes et puis moi j'étais là.
- Speaker #0
Absolument. Donc on parlait d'humains à l'instant et de pas du tout virtuels, et donc on s'est rencontrés sur un Slack qui est tout à fait virtuel. Absolument, tout va bien. On s'est rencontrés en effet parce que je faisais une formation, donc tu viens de le dire, sur le podcast, parce que j'avais cette idée de créer Etuba. Mais au-delà de l'idée, derrière, il y a les actions qu'il faut mettre en place. Et on va y venir après. Moi, très vite, les actions, je me suis dit, hé, j'aime beaucoup l'idée du podcast, mais il y a plein d'actions dans ce qu'il y a à faire qui me plaisent un peu moins. Et donc en effet, pour moi en tout cas, ça a été assez vite une nécessité de pouvoir discuter avec toi. Et encore une fois, on y reviendra après plus en détail. Est-ce que tu peux dire aux personnes qui nous écoutent à quoi ça ressemblait au début ? Et est-ce que tu as compris, est-ce que c'était clair ce que j'attendais quand on a commencé à échanger ?
- Speaker #1
C'était hyper clair. En fait, tu cherchais déjà une personne pour faire les montages audio. Tout le reste, tu... T'en chargeais, de toute façon, tout était hyper clair, processisé, tout était bien carré, tout nickel. Moi, j'avais pu aller chercher dans le drive les rushs et puis faire le montage.
- Speaker #0
Oui, absolument. C'est exactement ça. Quand on a démarré notre collaboration, dans la liste des choses à faire dont je parlais juste avant dans un podcast, il y avait le montage et quand moi, j'ai ouvert le logiciel de montage, en trois secondes et demie, je me suis dit c'est pas possible que je fasse ça. Parce que techniquement, ça allait me demander une énergie de dingue pour essayer de comprendre comment ça tournait. Déjà. Et puis, objectivement, entendre ma voix pendant des heures et des heures de montage, c'était pas possible non plus. C'était pas possible à ce moment-là. Je sais pas si ce serait possible aujourd'hui non plus pour moi. Mais en tout cas, je savais que ça allait être un point vraiment bloquant. Et en effet... Pour le coup, le montage, ça a été quelque chose de tout de suite évident pour moi. Ce ne sera pas possible, je ne le ferai pas, moi. On reviendra aussi dans ce détail-là. Si tu devais décrire notre duo aujourd'hui en trois mots, tu dirais quoi ? Je dirais organisé.
- Speaker #1
Oui,
- Speaker #0
je pense qu'on peut le dire.
- Speaker #1
Fluide et complice.
- Speaker #0
Trop bien. Je ne sais pas ce que tu en penses. J'adore, ça me plaît beaucoup. Au-delà de nous et de cette rencontre, on y reviendra aussi et possiblement ça alimentera aussi l'échange pragmatiquement. Comment est-ce que nous on fonctionne dans ce binôme-là ? Mais si on prend un peu de recul de manière plus générale, tu ne bosses pas qu'avec moi. Et donc tu bosses avec différentes personnes dans différents secteurs d'activité. Est-ce qu'il y a quelque chose que tu as remarqué, tu bosses majoritairement avec des freelances, est-ce qu'il y a quelque chose que tu as remarqué chez des freelances par rapport à ce rapport justement à la délégation ?
- Speaker #1
Oui, j'ai remarqué en fait, je pense qu'il y a deux catégories de freelances. Il y a déjà ceux qui débutent et qui n'ont pas beaucoup de budget, qui ne savent pas quoi déléguer. Et puis, il y a les personnes qui sont assez annoncées, qui ont déjà travaillé avec des freelances et qui cherchent du coup plus un bras droit. Donc, dans ces deux personnes, il y a ceux qui débutent et qui ne savent pas quoi déléguer. Il y a tout à expliquer pour que ce soit facile de déléguer. Il y a tout ce qui est process à créer, les aider du coup. à faire les process parce que c'est pas inné en fait. De dire tâche par tâche qu'est-ce qu'il faut faire, c'est pas facile. Et pour ceux qui ont déjà délégué, c'est beaucoup plus simple parce qu'ils ont déjà l'expérience. Voilà, je dirais qu'il y a deux catégories de freelance et c'est ça que je remarque tout de suite en fait quand on fait appel à moi. Ok.
- Speaker #0
Et quand on fait appel à toi justement, tu disais tout à l'heure que tu te... te nommais plus assistante web que virtuelle. Les gens qui viennent vers toi, ils cherchent quoi en fait ?
- Speaker #1
De plus en plus du coup de l'aide pour le podcast parce que je communique énormément là-dessus. Mais c'est pas que ça. Je travaille aussi avec des entreprises qui ont des besoins au niveau de la création de contenu pour les réseaux sociaux. Donc voilà, je réponds aussi à ces besoins pour certaines personnes. Je peux faire aussi... On m'a demandé récemment de faire du coaching pour justement devenir un peu plus visible sur les réseaux sociaux. Donc voilà, je passe aussi un cap à ce niveau-là.
- Speaker #0
Tu peux être assez variée en fait.
- Speaker #1
Ouais.
- Speaker #0
Tu parlais de délégation et de différence quelque part entre les personnes qui ont déjà eu l'habitude de le faire et celles qui ont moins l'habitude. Quand il y a des blocages, pour toi c'est quoi qui fait que ça bloque en fait ?
- Speaker #1
C'est la peur de lâcher prise. J'ai eu le cas de clients qui repassaient constamment derrière moi pour des micro-détails. Ça, c'est assez insupportable. Parce qu'en fait, il suffit d'être clair dès le départ. Pour moi, le lâcher prise, c'est quelque chose d'hyper important.
- Speaker #0
Oui, ok. Après, c'est vrai qu'on parlait de cibles d'entrepreneurs, etc. Et en général, c'est un peu nos bébés, nos entreprises, évidemment. et donc je comprends cette logique de lâcher prise et en même temps quand tu vas chercher de la délégation c'est qu'a priori il y a quelque chose qui se passe dans ton business et ou chez toi qui fait que tu as besoin de déléguer pour plein de raisons tu arrives facilement à voir si un premier échange, si la personne elle est en mode non je ne vais pas du tout lâcher ou si finalement ça va se faire de manière assez naturelle et spontanée très très rapidement
- Speaker #1
Et puis, généralement, ça ne va pas beaucoup plus loin. De mon côté, je vois qu'il y a un blocage au niveau de la délégation. Et moi, c'est...
- Speaker #0
Pour toi, c'est un nouveau flag. C'est hyper important parce qu'en effet, ça veut dire que ça va être beaucoup d'énergie pour huiler, pour faire que la personne lâche prise, etc. Et potentiellement, des fois, on a des niveaux de maturité. On pense qu'on est prêt à déléguer et en fait, non. et je pense que c'est bien aussi d'avoir quelqu'un en face qui dit il y a ce que tu me dis vouloir et il y a ce que je vois que tu as la capacité de faire et peut-être que c'est encore pas assez mûr pour toi et qu'il faut que tu travailles d'autres choses ou que tu reviennes dans 6 mois pour que ce soit peut-être une douleur plus profonde parce que parfois la douleur aussi de j'ai trop de charges peut aider à lâcher prise là vraiment j'en peux plus donc je délègue c'est une autre manière d'aborder la chose mais ce que tu dis c'est que quelque part ton expérience maintenant t'a amené à... identifier le niveau de maturité de la personne qui est en face de toi et sa capacité à vraiment déléguer ou si elle va faire du micromanagement derrière toi. Oui,
- Speaker #1
c'est ça. Et quand je le vois, j'oriente vers des personnes. qui font un peu des coachings pour essayer de structurer tout ça, pour déjà construire des process et que ce soit très facile après de déléguer. Pour qu'il n'y ait plus qu'à dire, tu n'as qu'à faire cette tâche-là. Et voilà, ce sera fait dans les temps, il n'y a pas de souci.
- Speaker #0
Bonne transition justement sur quelque part, qu'est-ce qui fait une bonne collaboration ou une collaboration qui peut partir en cacahuète ? On va plutôt se focus sur les bonnes, qui est à faire. C'est quand même plus sympa. On ne va pas chercher celles qui partent en live. Toi, en tant qu'assistante, c'est quoi pour toi les conditions ? Tu nous as dit un peu l'organisation, mais si tu peux détailler un peu plus les conditions pour que justement ça fonctionne.
- Speaker #1
Faire confiance et communiquer à fond. Dire tout de suite quand il y a un truc qui ne va pas. Nous, on est là, en tant qu'assistante, on est là pour réparer les petites boulettes qu'on peut faire. Ça arrive. On n'est pas infaillible. Et en fait, il faut le dire tout de suite et pas faire de reproches parce que généralement, ce n'est pas des grosses boulettes. Et on répare tout de suite. Donc, je pense que c'est ça, la confiance et puis la communication.
- Speaker #0
Oui, c'est des bases de relations de travail assez logiques. Mais ça va sans dire, mais ça va bien en le disant. Est-ce que toi, tu vois une différence ? Je sais que tu as été salariée avant. Là, tu travailles avec des pairs, quelque part, des freelances, qui d'un point de vue, c'est pas d'un point de vue hiérarchique, parce qu'il n'y a pas de hiérarchie qui existe du coup, mais est-ce que tu vois une différence, en fait, dans la manière dont tu travailles avec tes clients aujourd'hui versus ce que tu as pu connaître en entreprise ? Parce que moi, j'ai l'impression que c'est très différent, en fait, cette notion un peu de collaboration.
- Speaker #1
Il n'y a pas de hiérarchie, pour moi. Je n'ai pas l'impression d'être une assistante, on va dire ça. Je suis là pour aider, en fait. Je suis une alliée plus qu'une assistante, en fait. Donc, c'est ça la différence avec un travail salarié, je trouve.
- Speaker #0
Mais je trouve que c'est intéressant aussi, tu vois, s'il y a des entrepreneurs qui nous écoutent et qui se posent la question de déléguer ou pas. Je trouve que considérer une approche de la délégation comme de la collaboration, ça enlève un peu un truc de « oui, mais si je n'ai jamais fait de management, par exemple, est-ce que je vais être capable de déléguer à quelqu'un ? » Oui, parce qu'en fait, ce n'est pas tout à fait la même chose que de manager. et pour l'avoir fait, pour le faire avec toi, pour l'avoir fait avec d'autres freelances. Moi, je trouve qu'il y a vraiment cette logique de « on se comprend » et c'est vraiment entre pairs. Bien sûr qu'il y a une relation commerciale entre les deux, mais on se comprend parce que dans nos business respectifs, on vit des choses sans doute similaires. Et du coup, ça met aussi sur ce pied d'égalité et sur cette logique de finalement, tu veux autant que moi faire avancer Tuba, faire rayonner ce podcast, etc. Et je trouve que c'est très particulier en fait, et que c'est très lié. à cette collaboration et cette relation avec, pour moi, avec toi, en fait. Donc, je ne sais pas si c'est vrai pour tous les assistants, assistantes, tu vois, mais pour moi, c'est quelque chose de très spécial, en fait.
- Speaker #1
Oui, je ne sais pas si c'est comme ça dans toutes les collaborations. Après, il n'y a pas qu'avec toi que je travaille, mais à chaque fois, moi, je donne toute mon énergie pour faire rayonner, que ce soit un podcast ou des contenus sur les réseaux sociaux. Je fais comme si c'était mon entreprise. Et c'est ça, je demande toute mon énergie pour que ça fonctionne.
- Speaker #0
C'est une part qu'on voit moins quand on se pose la question de déléguer ou pas. C'est pour ça que je trouve que c'est important de le dire aussi. On voit souvent les « ah oui, mais si je délègue, qu'est-ce que je perds ? » « J'ai moins la maîtrise sur ci ou ça ? » On voit peut-être moins cette idée qu'il y a d'autres gens qui vont m'aider à faire rayonner ma boîte.
- Speaker #1
Après, il y a aussi une question de trouver la bonne personne, parce qu'il faut que ce soit une assistante qui ait des points communs, qui aime l'univers aussi de l'entrepreneur. Moi, je le vois, les podcasts avec qui je travaille, moi, c'est des podcasts où je prends plaisir à écouter. Et j'ai déjà refusé de travailler avec des podcasters. qui le thème ne me parlait pas parce que pour moi, je n'aurais pas mis la même énergie,
- Speaker #0
je pense. Ok. Ça allait faire beaucoup d'heures d'écoute sur un sujet qui ne te plaît pas,
- Speaker #1
objectivement. Exactement. Ce n'est pas cool.
- Speaker #0
Bonne transition, justement. Comment est-ce que tu poses les bonnes bases, en fait, avec un prospect qui, du coup, devient un client, un nouveau client ? Comment tu poses les bonnes bases au-delà du fit et de t'identifier avec la personne ? À niveau de maturité, suffisamment avancée pour pouvoir déléguer. Qu'est-ce que tu mets en place ? Est-ce qu'il y a des critères particuliers que tu cadres, que tu mets en place pour t'assurer que ça se passe bien ?
- Speaker #1
Déjà, je parle beaucoup des process. Voilà. Donc, s'ils ne sont pas mis en place, je les mets en place. Ça se passe très très bien. Si la personne est à l'aise avec Notion par exemple et qu'elle ne partage l'espace Notion avec lequel elle travaille, moi je rentre dedans et je m'adapte. Si la personne n'est pas à l'aise, je crée moi-même la page Notion où je donnerai toutes les informations. J'explique exactement comment ça se passe, où trouver telle information. Tout se passe là-dedans. On travaille avec un drive aussi. Il faut que ce soit le plus fluide possible et que les deux personnes s'y retrouvent.
- Speaker #0
Dans ce que tu dis, il y a une notion de cadre et de poser dès le début, quelque part, comment est-ce qu'on va fonctionner. Et dans le comment est-ce qu'on fonctionne, il y a où sont rangées les choses, quelle information on met à quel endroit, soit sur des bases existantes. Et dans ce cas-là, tu rentres dans ce processus déjà existant. Exact. soit c'est quelque chose qui n'existe pas et le client te laisse la main pour le faire et pour valider derrière en disant ok c'est un mode de fonctionnement que je comprends, je comprends où sont les choses comment c'est rangé etc mais c'est un prérequis pour toi après au bon fonctionnement quelque part de la mission et de la manière dont ça va se passer parce que s'il faut que j'aille demander constamment où se manger les affaires c'est pas possible personne ne gagne du temps et c'est pas exactement le principe
- Speaker #1
C'est exact.
- Speaker #0
Ok,
- Speaker #1
très clair.
- Speaker #0
Si on rentre maintenant un peu plus dans le détail de ce podcast de Tuba. Je le disais tout à l'heure, tu l'as fait clairement derrière ce podcast. Je le dis systématiquement aux invités que tu gères tout, sauf le moment où j'enregistre avec les invités, ce qui est pour moi d'un confort absolu. Je ne fais que la partie que je surkiffe, c'est-à-dire ce qu'on est en train de faire. Justement, toi qui gères toute la machine, la tuyauterie Tuba qu'on ne voit jamais. Mais qu'on entend parce que quand il y a du montage, forcément, ce que vous entendez quand l'épisode est monté, c'est aussi le fruit du travail de Gaëtan. Tu as appris quoi sur mon organisation ?
- Speaker #1
Je ne connais personne aussi organisé que toi.
- Speaker #0
C'est cool.
- Speaker #1
Ah bah ouais, ouais, ouais. Non, vraiment, je ne connais personne aussi organisé que toi. Et du coup, j'ai pu aussi m'inspirer de notre collaboration pour mettre en place des choses sur d'autres. podcast avec lesquels je travaille. Et donc, ça marche très bien comme ça. Et puis, j'ai pu apprendre des choses à tes côtés aussi. Par exemple, la gestion des invités, je ne l'avais jamais fait avant de travailler avec toi. Et du coup, ça a pu m'aider à mettre en place aussi un process à ce niveau-là. Donc voilà, j'ai appris énormément de choses à tes côtés.
- Speaker #0
Trop cool, merci. La question, ce n'était pas pour me faire saucer. Et je vais juste rembobiner un tout petit peu pour expliquer aussi pourquoi il y avait autant d'organisations derrière ce podcast. Assez vite, on parlait tout à l'heure de dès le démarrage, tu as fait le montage. Et ça, ça a été d'office. Il n'y a aucun épisode de Tuba qui est sorti sans tapate au niveau du montage. Et je gérais, moi, la partie communication, la partie aller chercher des invités, puisque la saison 1 était uniquement basée avec des invités. J'allais chercher les invités, je communiquais avec eux avant, pendant, après. Je faisais les comms et potentiellement tout ce qui était lié à LinkedIn et ou aux réseaux sociaux. Et il se trouve qu'en effet, la structuration de l'organisation, c'est un peu ce que je vends à mes clients aussi. Donc pour déjà me simplifier, moi le taf, quand je le faisais, j'avais beaucoup posé, formalisé, tracé les choses. Pas repartir à chaque nouvel épisode de zéro en me disant « Ah mais attends, mais en fait, où est-ce que j'ai rangé ça ? Comment c'est fait ? » La formation de Justine, dont tu parlais tout à l'heure, Mova m'a beaucoup aidée à ça, à structurer un certain nombre de choses. Et après, moi, j'ai mis ma patte par-dessus pour essayer de cadrer un maximum. Et quand on dit cadrer un maximum, et pour peut-être vous donner une idée, à vous qui nous écoutez, de ce qu'on veut dire, typiquement, il y avait une page pour les invités, avec toutes les informations concernant la technique. concernant la récupération de l'image ou des images que l'invité veut utiliser dans toute la partie, comme les questions, etc. Et donc ça, c'est un truc que j'avais mis en place. Il se trouve que dans mon business, il y a eu, comme dans plein de business, plein de décisions, mais un tournant où j'ai eu une augmentation de ma charge d'activité, ce qui est très chouette et ce qu'on souhaite tous dans nos business. Sauf que ça a été assez rapide et que... La réaction en chaîne de ce truc-là, c'est augmentation d'activité. Je me pose la question à ce moment-là de « est-ce que je veux garder ou pas Tuba ? » Je le disais tout à l'heure, c'est quelque chose que je surkiffe de faire assez vite. Je me dis « ok, oui, je veux garder Tuba » , sauf que quand je regarde la charge que ça représente dans ma semaine à ce moment-là, je me dis que ce n'est juste pas tenable et que si je veux continuer à garder un rythme de sortie qui est hebdomadaire, quand même, depuis deux ans, on y reviendra. et bien en fait je ne vais pas pouvoir faire ça toute seule et le fait qu'on ait travaillé avant sur la partie montage Assez vite, je t'ai contactée en disant « bon, en fait, il y a un léger changement de programme, augmentation d'activité pour moi, je veux garder Tuba, est-ce que c'est ok ou pas pour toi de récupérer plus que le montage ? » Et je le dis souvent aux invités, alors pas tout le temps face au micro, mais souvent on me pose des questions de comment est-ce qu'on travaille ensemble, toutes les deux, etc. Je le dis souvent en disant « mais en fait, en une semaine, tu as été capable de récupérer tout ce que je faisais, parce que c'était tracé. » parce que j'avais éprouvé, j'avais bougé des trucs, etc. Et qu'ensuite, t'es venue mettre ta patte là-dessus. Il y a des choses que t'as améliorées, que t'as faites différemment. Et c'était tout à fait OK pour moi. Et c'était aussi ce que je venais chercher en bossant avec toi. Mais j'étais déjà en confiance, moi, sur la partie montage. Et ensuite, ça s'est fait hyper vite. Et sur le moment, j'ai trouvé ça très rapide. Et après coup, et même encore maintenant, je me dis que c'est un truc de fou, comme finalement, le transfert de tous ces éléments a été hyper rapide. hyper fluide et donc hyper confort pour moi.
- Speaker #1
C'est clair, ça a été hyper rapide, mais parce que tout était, encore une fois, processisé. Et puis, je ne rentrais pas dans l'inconnu, donc je connaissais les choses. Et au fil du temps aussi, je t'ai proposé des différentes choses pour essayer de booster ou d'améliorer certains points. Tu as toujours été ouverte à ça et ça, c'était top parce que tu me laissais tester des choses. Je pense que tout le monde n'aurait pas dit oui.
- Speaker #0
Mais alors, pour le coup, je pense que c'est ça qui est intéressant aussi, là, des deux côtés, tu vois. De mon côté, j'étais vraiment dans cette logique de déléguer et de ça allait m'aider à. Et le fait que tu aies proposé des innovations, c'est des choses où je me suis dit à partir du moment où ce n'est pas mon expertise. C'est aussi ce que je viens chercher en travaillant avec toi. Le fait que tu aies proposé des choses, moi, ça m'allégeait sur plein de choses. Et d'un point de vue inverse, je ne vais pas parler à ta place, mais je pense que d'un point de vue assistant, assistante virtuelle, il y a aussi un certain confort à se dire les choses sont tracées, je sais ce qui est établi et donc c'est plus facile de proposer des choses créatives autour d'un socle qui existe déjà.
- Speaker #1
C'est sûr. Il n'y a pas de secret.
- Speaker #0
Donc, dans un mode de fonctionnement, je pense que c'est intéressant, tu vois, des deux côtés, de se dire finalement qu'est-ce qui fait que ça permet une certaine liberté. Et en soi, ce n'est pas figé, quoi. Et heureusement.
- Speaker #1
Oui.
- Speaker #0
C'est quoi ce que t'aimes le plus, toi, dans le fait de gérer un podcast en binôme, justement, avec quelqu'un qui est solopreneur ?
- Speaker #1
J'aime la gestion globale du podcast. J'ai de moins en moins de... clients où j'ai juste du montage à faire. Là, c'est vraiment la globalité. Donc, c'est montage, préparation des descriptifs, programmation, création des shorts vidéo, la transformation des épisodes en articles de blog. Donc, tout ça, c'est quelque chose qui fait que c'est vraiment la globalité et j'ai l'impression d'aller au bout avec un épisode. Un épisode,
- Speaker #0
c'est riche. C'est clair. Tu peux en faire plein de choses.
- Speaker #1
Ouais.
- Speaker #0
Et c'est cette globalité, en fait, toi, qui te plaît, de finalement avoir tous ces bouts du puzzle et de se dire qu'au-delà d'un exercice, en fait, il est étirable et réutilisable sous plein d'angles différents.
- Speaker #1
Ouais, c'est ça. Exact.
- Speaker #0
On va faire un petit jeu. Je vais dire des tâches et tu me dis si je te les ai déléguées ou pas. Alors, évidemment, nous, on le sait, on vous en doutait, mais c'est... Pour vous montrer aussi la diversité des thématiques ou des choses qui peuvent être déléguées. Après, ça reste dans ce que nous, on a mis en place sur Tuba. Et je pense que c'est extensible et discutable sur plein d'autres sujets. Mais c'est pour vous montrer la variété des choses que nous, on a testées. Le montage. Ah bah oui, carrément. On en a parlé, il était facile, c'est ça. La recherche d'invités, prendre contact avec des gens. pour qu'ils deviennent invités. Oui,
- Speaker #1
c'est quelque chose que j'appréhendais quand tu m'en as parlé. Et en fait, j'ai kiffé. J'ai kiffé prendre contact avec les gens sur LinkedIn, notamment. Tu vois, c'est complètement différent de prospecter pour aller chercher des missions. Là, je prospectais pour aller chercher des invités. Et en fait, c'est une démarche complètement différente. Et à chaque fois, j'avais toujours des retours positifs. Donc ça, c'était cool.
- Speaker #0
Et de mon point de vue ? Il y a des invités où, toute seule, j'aurais eu vachement d'appréhension à y aller. Et où je me serais dit, ah non, mais cette personne est trop connue, elle ne va jamais vouloir. Je ne vais pas oser poser la question, etc. Et le fait que finalement, ce ne soit pas moi qui y aille et que tu y ailles sous couvert de « Je représente le podcast de Géraldine » . Finalement, la stratégie fonctionnait et ça nous est arrivé d'avoir des invités et de faire « Oh, Maitre en courte » , et elle a répondu, c'est un truc de fou.
- Speaker #1
Ouais, c'était trop bien.
- Speaker #0
Donc ça, c'est juste génial. Est-ce que je t'ai déjà délégué le fait de chercher des idées d'épisodes ?
- Speaker #1
Oui, et puis je te propose des fois des petits défis. Des petits défis, allez hop,
- Speaker #0
30 jours d'épisodes. C'est ça, 30 jours, 30 épisodes avec les vidéos qui vont avec. Non,
- Speaker #1
ce n'était pas des épisodes, c'était des t-shirts. Oui, c'est ça.
- Speaker #0
Et moi, j'ai dit oui dans ces cas-là, parce que sur le moment, l'idée me paraît excellente. Et quand j'en ai fait trois, je me dis, mon Dieu, c'est beaucoup un mois. Mais tu as réussi, c'est ça qui est cool. Est-ce que je t'ai délégué la création de contenu ? Oui,
- Speaker #1
tu m'as délégué la création sur les posts LinkedIn, Insta et YouTube.
- Speaker #0
Absolument. Et articles de blog aussi, tu m'as fait ça un petit moment. Absolument. Je pense que vous l'aurez compris, c'est assez exhaustif et ça peut aller très loin. Il peut y avoir plein de choses. Et tout ça, ce n'est pas mis forcément en place dès le départ non plus. Les idées d'épisodes au départ, ce n'était pas forcément le cas. Ça est devenu de plus en plus, de plus en plus. La recherche d'invitées, en effet, ce que tu disais Gaëtan au départ, c'était moi j'en faisais, il y en a qui en avaient tout seul et après on a commencé à formaliser les choses un peu différemment. Ce que je veux dire, c'est que c'est aussi la collaboration et la confiance qui ont fait que ça a permis de débloquer d'autres niveaux de collaboration. Et d'aller chercher quelque part d'autres manières de travailler ensemble aussi. Tu vois quoi, toi, chez les clients ? Est-ce qu'il y a des tâches que potentiellement tes clients vont garder trop longtemps chez eux ? Par flemme ou par finalement, ça ira plus vite si je le fais. On parlait de lâcher prise tout à l'heure. Est-ce qu'il y a des tâches que tes clients ont du mal à lâcher encore plus que les autres ?
- Speaker #1
Pas le montage en tout cas. Ça, c'est un des premiers trucs qu'ils lâchent. Ça,
- Speaker #0
c'est plus facile à lâcher.
- Speaker #1
Après, la création de contenu sur les réseaux, ils pensent qu'il n'y a qu'eux qui peuvent faire. Après, je ne parle pas des stories et tout ça. C'est hyper important de le faire soi-même pour faire la promotion de son épisode soi-même. Mais les posts LinkedIn, c'est assez compliqué des fois à déléguer.
- Speaker #0
Ok. Donc en termes de missions que toi tu recommanderais de déléguer en premier, ça a l'air plus facile sur le montage, donc plutôt des missions qui grattent en fait, pour lesquelles c'est problématique en fait, qu'on n'a vraiment pas envie de faire ? Tu conseillerais quoi en fait ? Quelqu'un qui doute en fait, qui se dit j'aimerais bien déléguer, mais en vrai je sens que j'y arrive pas, c'est compliqué. Tu recommanderais de commencer par quoi ?
- Speaker #1
Il faut commencer par montage, préparation des descriptifs d'épisodes et puis... Et puis la programmation, quoi.
- Speaker #0
Ok.
- Speaker #1
On commence par ça.
- Speaker #0
Ok. Il y a une autre question qui revient souvent quand on parle délégation. Et moi, je le vois dans Tuba parce que souvent, en fait, les invités voient une partie de notre process, forcément. Quand tu les contactes, la page dont je parlais tout à l'heure des invités, etc. Et les retours sont extrêmement bons aussi là-dessus. Et donc, c'est juste une parenthèse, mais quand on délègue, je pense que parfois, c'est difficile en effet de lâcher prise. Moi, je vois deux bénéfices quand même majeurs au fait de déléguer. Je pourrais en trouver plein d'autres et rentrer beaucoup dans le détail. Mais un, c'est que clairement, Tuba n'aurait pas autant d'épisodes. Et depuis deux ans, si j'avais été solo dessus, clairement, j'aurais baissé les bras 56 fois. Il n'y en aurait pas eu autant. Donc, ça permet la continuité et donc la visibilité. Et pour moi, qui est une stratégie de m'aider à trouver des clients, ça m'aide à ça, en fait. Et le deuxième point, c'est ce que j'étais en train de dire, en fait, c'est les retours invités. En fait, il y a eu beaucoup de retours extrêmement positifs des invités. Et je trouve que, notamment sur la partie, c'est très bien processé, c'est très bien organisé. On sent que c'est très bien huilé entre vous, etc. Il se trouve que moi, c'est aussi ce que je vois à mes clients. Donc, ça tombe plutôt bien quand on me dit que ça a l'air hyper structuré. Heureusement, j'ai envie de te dire, parce que sinon, c'est un peu problématique. Mais ce que je veux dire, c'est que quand on est entrepreneur, ça fait aussi rayonner de cette manière-là. Notre marque, quelque part, ça distille, ça infuse la manière qu'on a de travailler. Et c'est aussi une très bonne manière de montrer ça et de trouver des clients quelque part. Donc c'était juste une parenthèse, mais je vois ces bénéfices-là aussi derrière. Non, mais t'as raison. Et en fait, ça donne un côté aussi professionnel au podcast. Et c'est une première étape pour aller demander du sponsorisme aussi.
- Speaker #1
Clairement.
- Speaker #0
Ça donne vraiment un côté professionnel et c'est beaucoup plus facile d'aller chercher, d'aller demander à des marques de sponsoriser un épisode, par exemple.
- Speaker #1
Et donc, en effet, quand on a des retours comme ça d'invités, En tout cas, moi, quand j'échange avec eux et qu'ils me disent « Ah, mais c'est quoi les process que vous avez derrière ? » Alors déjà, ils prennent contact avec toi. Et c'est arrivé plusieurs fois. Donc, que vous soyez côté client ou côté assistant, assistante, c'est aussi un des côtés d'une collaboration et d'un partenariat comme ça. Mais souvent, il y a une question qui revient, évidemment, c'est la question du budget. En disant « C'est super bien, c'est hyper rodé, mais est-ce que ça te coûte cher par mois ? » Et donc, niveau budget, tu conseilles quoi, toi, pour débuter ? Des gens qui voudraient déléguer et qui sont en mode « Je ne sais pas où je vais. » Je ne vais pas dévoiler mes tarifs non plus sur ce podcast. Non, ce n'est pas l'idée.
- Speaker #0
Non, non, non, mais je conseille de marcher au forfait par épisode. Voilà, si il y a une mission de montage, de préparation de description et de programmation, on sait exactement combien on va payer pour un épisode. Donc, il n'y a pas de surprise, en fait. Et après, voilà, on débute par ça. Ça coûte... S'il y a juste ça, ça coûte moins de... On va dire de 150 à 200 euros, on va dire, par épisode. Et après, si on a plus de budget ou si on a justement des sponsors, on peut aller plus loin et déléguer un peu plus, quoi.
- Speaker #1
Mais je trouve ça intéressant, l'idée du forfait, parce qu'en effet, ça... te donnent par épisode et ensuite tu te dis en fonction de ma capacité financière ça me fait sortir combien d'épisodes par mois etc. Et du coup ça permet de le transposer de cette manière-là plutôt qu'en sens inverse de je veux absolument en sortir toutes les semaines mais en vrai ça demande du temps d'en sortir toutes les semaines parce qu'il faut les enregistrer. Spoiler alert. Et au-delà de tout le travail qu'il y a autour et donc des fois il y a des gens qui se lancent aussi en se disant spécifiquement sur le podcast, dans ma tête c'est absolument une sortie par semaine etc. Et... Et je pense que des fois, c'est bien de comprendre aussi les impacts que ça a, et pas que des impacts financiers aussi, mais pas que.
- Speaker #0
C'est ça, et je le dis assez régulièrement dans l'appel des découvertes aussi. Je vois l'engouement, j'ai envie de sortir un épisode toutes les semaines, etc. Je montre que c'est quand même beaucoup de travail, qu'il faut avoir de l'avance, parce qu'on n'est pas à l'abri d'avoir un invité qui... qui te disent au dernier moment je suis malade ou je peux pas on reporte ça dans 3 semaines et toi t'avais prévu de faire cet épisode la semaine prochaine donc c'est un peu juste et tu te retrouves soit à ne rien poster ou soit à faire un épisode en solo à dernière minute et non ça le fait pas donc je mets un bémol là dessus aussi souvent on appelle de découverte leur... Je leur dis que c'est bien de sortir un épisode tous les deux semaines au départ et de voir comment ça fonctionne.
- Speaker #1
Et ensuite,
- Speaker #0
on passe à un épisode par semaine si ça fonctionne.
- Speaker #1
Je pense que c'est important et c'est bien aussi des deux côtés de se rendre compte de ce que ça va générer, de la volumétrie, de la complexité. Puis ça permet de caler aussi la relation et le mode de fonctionnement. Parce que forcément, toutes les semaines, ça veut dire que c'est aussi beaucoup plus condensé. On disait tout à l'heure dans le mode de fonctionnement qu'on a, alors moins ces temps-ci, mais on a beaucoup batché avec des enregistrements très à l'avance. Et quand j'arrivais à la fin de l'enregistrement, l'invité me disait du coup ça sort quand ? Et la réponse était dans deux mois, dans deux mois et demi. Mais moi, ça me permettait d'être en effet extrêmement sereine sur, il y en a un qui est malade ou je suis malade, ou il y a un problème de grève avec les enfants, on connaît aussi. il faut annuler cet épisode ou le reporter. Et bien, en fait, j'étais beaucoup plus sereine avec ça. Et de ton côté, la capacité aussi à avoir la volumétrie de tout est enregistré dans le drive. Tu gères quand tu veux, tu sais quand ça doit sortir et tu fais ton flux en fonction de comme ça t'arrange toi.
- Speaker #0
Oui, quel confort d'avoir une semaine où tu as un petit creux. Tu avances, tu montes deux épisodes. dans 2-3 jours et tu le programmes et c'est fait quoi. Ça c'est un gros confort.
- Speaker #1
C'est pour ça que je le dis parce que je pense que c'était très confortable des deux côtés en fait donc c'est important. Bâcher à mort. On arrive à la fin de cet épisode, si tu devais résumer l'impact que pour toi ça a d'avoir un bras droit dans son business, tu dirais quoi ?
- Speaker #0
Je pense qu'on doit se sentir un peu plus léger d'avoir quelqu'un sur qui s'appuyer et qui prend part à la barre sur le bateau.
- Speaker #1
Je plussois. Moi, je dirais même pas bras droit, je dirais deuxième cerveau. Clairement, tellement c'est être plus léger. Pour finir aussi sur cet épisode, mais si moi je dois... mettre des mots sur ces deux ans de collaboration. Un des mots que je mettrais, c'est soulagement. Donc, clairement, tu vois, c'est en lien avec ce que tu viens de dire, le fait de se dire quelqu'un gère ces parties-là et les gère très bien, voire mieux que moi. Et donc, ça peut sortir de mon cerveau et mon cerveau peut se concentrer sur d'autres choses. Et vraiment, soulagement, c'est presque light, même par rapport au ressenti. Je le disais tout à l'heure, de très, très beaux retours de personnes invitées. Et c'est toujours un peu la cerise sur le gâteau parce que pour moi, c'est un exercice extrêmement agréable d'enregistrer des podcasts. C'est une manière assez simple de rencontrer des gens que je ne connais pas, etc. Et d'avoir en plus des super retours sur « c'est génial la manière dont vous le faites, c'est hyper pro, c'est super carré » . Franchement, à chaque fois, c'était un kiff absolu et j'avais qu'une envie, c'était de te le partager.
- Speaker #0
Mais ça vaut dans les deux sens, parce que j'ai aussi souvent les retours de mails de mon côté. Donc, c'est vraiment, comme tu dis, c'est la cerise sur le gâteau.
- Speaker #1
Oui, c'est ça. C'est que tu as l'impression de bosser dans le bon sens, de la bonne manière. Et en plus, ça se ressent, en fait, dans les gens qui sont forcément, qui ont participé à ça. Donc, c'est quand même juste génial. Et de manière générale, évidemment, une très, très belle collaboration et très équilibrée. Pour moi, il y a un vrai équilibre dans notre mode de fonctionnement, dans la manière de mettre en place des nouvelles choses, de proposer. Moi, je n'ai pas eu l'impression qu'on ait eu besoin de beaucoup de réajustement. J'ai eu l'impression qu'on s'est trouvé assez facilement et que du coup, en effet, c'était d'autant plus confortable pour moi que je savais que ça roulait et qu'il n'y avait pas de sujet. Voilà pour moi.
- Speaker #0
Super.
- Speaker #1
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- Speaker #0
Merci, c'était un plaisir aussi.
- Speaker #1
A bientôt. Merci pour ton écoute.
- Speaker #2
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