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đŸŽ™ïžDirigeants d’entreprises familiales : prĂ©parez la transmission quand tout va bien, pas quand il est trop tard cover
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Une Cession Presque Parfaite : Dans les coulisses de la transmission d'entreprises

đŸŽ™ïžDirigeants d’entreprises familiales : prĂ©parez la transmission quand tout va bien, pas quand il est trop tard

đŸŽ™ïžDirigeants d’entreprises familiales : prĂ©parez la transmission quand tout va bien, pas quand il est trop tard

53min |08/04/2025
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53min |08/04/2025
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Description

Quand on parle de transmission, on pense fiscalitĂ©, valorisation, juridique. Et c’est normal. Mais quand il s’agit d’une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les Ă©motions.

Dans le dernier Ă©pisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec đŸ”č FrĂ©dĂ©ric DUBOIS, conseiller en organisation et management depuis 25 ans pour les PME/ETI, spĂ©cialisĂ© dans l’accompagnement des entreprises familiales. Il a lui-mĂȘme dirigĂ© une entreprise familiale avant de devenir consultant. Il connaĂźt les enjeux de l’intĂ©rieur.

👉 Il partage une idĂ©e simple mais essentielle :
“Le meilleur moment pour prĂ©parer une transmission, c’est quand on n’en a pas besoin.”

Quand on n’est pas pressĂ©, on peut tout faire mieux. Structurer. Clarifier les rĂŽles. Optimiser l’organisation. Diversifier les clients. Renforcer les marges. Former la nouvelle gĂ©nĂ©ration. Ce n’est pas dans l’urgence que se prennent les bonnes dĂ©cisions. C’est dans l’anticipation.

👉 FrĂ©dĂ©ric parle d’un dĂ©lai minimum de 3 ans. Le temps de crĂ©er une trajectoire de croissance visible, d’attĂ©nuer les dĂ©pendances (dirigeant, client, savoir-faire), et d’installer une nouvelle gouvernance.

Mais surtout, il nous rappelle que la dimension humaine est centrale.
Ce qui bloque souvent, ce n’est pas l’organisation, c’est le lien.

Un dirigeant qui ne veut pas lĂącher. Des enfants qui attendent sans y croire.
Et entre les deux, un vide, ou pire : des malentendus.

On oublie trop souvent que la rĂ©ussite d’une transmission repose d’abord sur la qualitĂ© du lien entre ceux qui transmettent et ceux qui reprennent.

La transmission, pour rĂ©ussir, a besoin d’un cadre. D’un tiers de confiance. D’un regard extĂ©rieur. Pas pour trancher, mais pour faire parler. Et avancer.

FrĂ©dĂ©ric le dit trĂšs bien : il faut aussi penser la vie d’aprĂšs. Trop de dirigeants quittent leur entreprise sans savoir ce qu’ils vont devenir. Mais, transmettre, c’est aussi recrĂ©er un projet de vie. Une place. Une Ă©nergie nouvelle Ă  canaliser.

Cette conversation est riche, humaine, concrĂšte.
Pas une leçon, pas une thĂ©orie. Un retour d’expĂ©rience sincĂšre.

Et si vous ĂȘtes Ă  la tĂȘte d’une entreprise familiale, je vous invite Ă  l’écouter.
Et Ă  vous poser cette question : "Est-ce que votre entreprise est prĂȘte Ă  vivre sans vous ?"

Comme le dit Frédéric :
"Une transmission rĂ©ussie, c’est celle qui permet au dirigeant de partir serein, et Ă  la nouvelle gĂ©nĂ©ration d’arriver confiante"


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Quand on parle de transmission, on pense fiscalitĂ©, valorisation, juridique. Et c’est normal. Mais quand il s’agit d’une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les Ă©motions.

Dans le dernier Ă©pisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec đŸ”č FrĂ©dĂ©ric DUBOIS, conseiller en organisation et management depuis 25 ans pour les PME/ETI, spĂ©cialisĂ© dans l’accompagnement des entreprises familiales. Il a lui-mĂȘme dirigĂ© une entreprise familiale avant de devenir consultant. Il connaĂźt les enjeux de l’intĂ©rieur.

👉 Il partage une idĂ©e simple mais essentielle :
“Le meilleur moment pour prĂ©parer une transmission, c’est quand on n’en a pas besoin.”

Quand on n’est pas pressĂ©, on peut tout faire mieux. Structurer. Clarifier les rĂŽles. Optimiser l’organisation. Diversifier les clients. Renforcer les marges. Former la nouvelle gĂ©nĂ©ration. Ce n’est pas dans l’urgence que se prennent les bonnes dĂ©cisions. C’est dans l’anticipation.

👉 FrĂ©dĂ©ric parle d’un dĂ©lai minimum de 3 ans. Le temps de crĂ©er une trajectoire de croissance visible, d’attĂ©nuer les dĂ©pendances (dirigeant, client, savoir-faire), et d’installer une nouvelle gouvernance.

Mais surtout, il nous rappelle que la dimension humaine est centrale.
Ce qui bloque souvent, ce n’est pas l’organisation, c’est le lien.

Un dirigeant qui ne veut pas lĂącher. Des enfants qui attendent sans y croire.
Et entre les deux, un vide, ou pire : des malentendus.

On oublie trop souvent que la rĂ©ussite d’une transmission repose d’abord sur la qualitĂ© du lien entre ceux qui transmettent et ceux qui reprennent.

La transmission, pour rĂ©ussir, a besoin d’un cadre. D’un tiers de confiance. D’un regard extĂ©rieur. Pas pour trancher, mais pour faire parler. Et avancer.

FrĂ©dĂ©ric le dit trĂšs bien : il faut aussi penser la vie d’aprĂšs. Trop de dirigeants quittent leur entreprise sans savoir ce qu’ils vont devenir. Mais, transmettre, c’est aussi recrĂ©er un projet de vie. Une place. Une Ă©nergie nouvelle Ă  canaliser.

Cette conversation est riche, humaine, concrĂšte.
Pas une leçon, pas une thĂ©orie. Un retour d’expĂ©rience sincĂšre.

Et si vous ĂȘtes Ă  la tĂȘte d’une entreprise familiale, je vous invite Ă  l’écouter.
Et Ă  vous poser cette question : "Est-ce que votre entreprise est prĂȘte Ă  vivre sans vous ?"

Comme le dit Frédéric :
"Une transmission rĂ©ussie, c’est celle qui permet au dirigeant de partir serein, et Ă  la nouvelle gĂ©nĂ©ration d’arriver confiante"


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Quand on parle de transmission, on pense fiscalitĂ©, valorisation, juridique. Et c’est normal. Mais quand il s’agit d’une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les Ă©motions.

Dans le dernier Ă©pisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec đŸ”č FrĂ©dĂ©ric DUBOIS, conseiller en organisation et management depuis 25 ans pour les PME/ETI, spĂ©cialisĂ© dans l’accompagnement des entreprises familiales. Il a lui-mĂȘme dirigĂ© une entreprise familiale avant de devenir consultant. Il connaĂźt les enjeux de l’intĂ©rieur.

👉 Il partage une idĂ©e simple mais essentielle :
“Le meilleur moment pour prĂ©parer une transmission, c’est quand on n’en a pas besoin.”

Quand on n’est pas pressĂ©, on peut tout faire mieux. Structurer. Clarifier les rĂŽles. Optimiser l’organisation. Diversifier les clients. Renforcer les marges. Former la nouvelle gĂ©nĂ©ration. Ce n’est pas dans l’urgence que se prennent les bonnes dĂ©cisions. C’est dans l’anticipation.

👉 FrĂ©dĂ©ric parle d’un dĂ©lai minimum de 3 ans. Le temps de crĂ©er une trajectoire de croissance visible, d’attĂ©nuer les dĂ©pendances (dirigeant, client, savoir-faire), et d’installer une nouvelle gouvernance.

Mais surtout, il nous rappelle que la dimension humaine est centrale.
Ce qui bloque souvent, ce n’est pas l’organisation, c’est le lien.

Un dirigeant qui ne veut pas lĂącher. Des enfants qui attendent sans y croire.
Et entre les deux, un vide, ou pire : des malentendus.

On oublie trop souvent que la rĂ©ussite d’une transmission repose d’abord sur la qualitĂ© du lien entre ceux qui transmettent et ceux qui reprennent.

La transmission, pour rĂ©ussir, a besoin d’un cadre. D’un tiers de confiance. D’un regard extĂ©rieur. Pas pour trancher, mais pour faire parler. Et avancer.

FrĂ©dĂ©ric le dit trĂšs bien : il faut aussi penser la vie d’aprĂšs. Trop de dirigeants quittent leur entreprise sans savoir ce qu’ils vont devenir. Mais, transmettre, c’est aussi recrĂ©er un projet de vie. Une place. Une Ă©nergie nouvelle Ă  canaliser.

Cette conversation est riche, humaine, concrĂšte.
Pas une leçon, pas une thĂ©orie. Un retour d’expĂ©rience sincĂšre.

Et si vous ĂȘtes Ă  la tĂȘte d’une entreprise familiale, je vous invite Ă  l’écouter.
Et Ă  vous poser cette question : "Est-ce que votre entreprise est prĂȘte Ă  vivre sans vous ?"

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Quand on parle de transmission, on pense fiscalitĂ©, valorisation, juridique. Et c’est normal. Mais quand il s’agit d’une entreprise familiale, les vrais sujets sont souvent ailleurs. Ce qui peut bloquer une transmission, ce sont les histoires. Les relations. Les Ă©motions.

Dans le dernier Ă©pisode de Une Cession Presque Parfaite, j’ai eu le grand plaisir d’échanger avec đŸ”č FrĂ©dĂ©ric DUBOIS, conseiller en organisation et management depuis 25 ans pour les PME/ETI, spĂ©cialisĂ© dans l’accompagnement des entreprises familiales. Il a lui-mĂȘme dirigĂ© une entreprise familiale avant de devenir consultant. Il connaĂźt les enjeux de l’intĂ©rieur.

👉 Il partage une idĂ©e simple mais essentielle :
“Le meilleur moment pour prĂ©parer une transmission, c’est quand on n’en a pas besoin.”

Quand on n’est pas pressĂ©, on peut tout faire mieux. Structurer. Clarifier les rĂŽles. Optimiser l’organisation. Diversifier les clients. Renforcer les marges. Former la nouvelle gĂ©nĂ©ration. Ce n’est pas dans l’urgence que se prennent les bonnes dĂ©cisions. C’est dans l’anticipation.

👉 FrĂ©dĂ©ric parle d’un dĂ©lai minimum de 3 ans. Le temps de crĂ©er une trajectoire de croissance visible, d’attĂ©nuer les dĂ©pendances (dirigeant, client, savoir-faire), et d’installer une nouvelle gouvernance.

Mais surtout, il nous rappelle que la dimension humaine est centrale.
Ce qui bloque souvent, ce n’est pas l’organisation, c’est le lien.

Un dirigeant qui ne veut pas lĂącher. Des enfants qui attendent sans y croire.
Et entre les deux, un vide, ou pire : des malentendus.

On oublie trop souvent que la rĂ©ussite d’une transmission repose d’abord sur la qualitĂ© du lien entre ceux qui transmettent et ceux qui reprennent.

La transmission, pour rĂ©ussir, a besoin d’un cadre. D’un tiers de confiance. D’un regard extĂ©rieur. Pas pour trancher, mais pour faire parler. Et avancer.

FrĂ©dĂ©ric le dit trĂšs bien : il faut aussi penser la vie d’aprĂšs. Trop de dirigeants quittent leur entreprise sans savoir ce qu’ils vont devenir. Mais, transmettre, c’est aussi recrĂ©er un projet de vie. Une place. Une Ă©nergie nouvelle Ă  canaliser.

Cette conversation est riche, humaine, concrĂšte.
Pas une leçon, pas une thĂ©orie. Un retour d’expĂ©rience sincĂšre.

Et si vous ĂȘtes Ă  la tĂȘte d’une entreprise familiale, je vous invite Ă  l’écouter.
Et Ă  vous poser cette question : "Est-ce que votre entreprise est prĂȘte Ă  vivre sans vous ?"

Comme le dit Frédéric :
"Une transmission rĂ©ussie, c’est celle qui permet au dirigeant de partir serein, et Ă  la nouvelle gĂ©nĂ©ration d’arriver confiante"


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