Description
parfois, on n'a pas besoin de plus de mots.
Juste d'un espace pour respirer.
Ferme les yeux si tu veux. Respire. Ce moment est pour toi.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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parfois, on n'a pas besoin de plus de mots.
Juste d'un espace pour respirer.
Ferme les yeux si tu veux. Respire. Ce moment est pour toi.
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Transcription
Bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, j'ai envie de faire un pas de côté, de ralentir, d'offrir un espace à toutes celles et ceux qui, comme moi parfois, ont juste besoin de silence, de calme, de douceur. Mais tout le temps, on donne, on pense, on s'épuise. Et parfois, on ne s'écoute plus. Alors ce moment, ce podcast, c'est une bulle de respiration. Tu n'as rien à faire, rien à prouver. Juste être là et t'autoriser à souffler. C'est, on vit dans un monde où tout va vite, beaucoup trop vite. On répond aux messages dans la seconde, on enchaîne les rendez-vous, on coche des cases. On gère des to-do list interminables. Et dans tout ça, on oublie parfois la chose la plus précieuse qu'on a. Nous-mêmes. Je veux t'inviter là, maintenant, à ralentir. Ferme les yeux si tu peux. Et respire lentement, tranquillement. Tu n'as rien à faire. Tu n'as pas besoin d'être productive. Tu as juste besoin d'exister. Tu sais, souvent, on porte des masques. Le masque de la maman forte, de la femme qui gère tout, de celle qui ne pleure pas. Est-ce que t'as déjà pensé à ce que ça te coûte tout ça ? À ce que ça te prend, chaque jour, de jouer un rôle que t'as pas choisi ? Aujourd'hui, je t'invite à déposer ce masque. À te montrer à toi-même, sans filtre, sans tension. Tu as le droit d'être fatigué. Le droit d'avoir mal. Le droit de ne pas savoir. Si tu te posais cette question, qu'est-ce que je ressens là, maintenant ? Sans analyser, sans juger, juste écouter. Est-ce que tu ressens de la fatigue ? De la tristesse ? De la colère ? Ou peut-être juste du vide ? Tu sais quoi ? Quel que soit ce que tu ressens, c'est ok. Tu n'as pas à te justifier. Tu as le droit de ressentir. Tu as le droit d'être humaine. Il y a des choses qu'on aimerait changer. Des choses qu'on ne comprend pas. Des choses qui nous échappent. Tu sais, ces moments où tu te dis « Pourquoi ça m'arrive à moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? » Et si j'avais fait autrement ? Mais parfois, la vérité, c'est qu'il n'y a rien à comprendre tout de suite, juste à accepter, pas pour se résigner, mais pour se libérer. Ce que tu ne contrôles pas, tu peux choisir de ne plus en être la prisonnière. Inspire encore. Tu peux poser ce poids. Tu n'as pas à tout porter. Tu n'as pas à tout réparer. Tu es en train d'apprendre, d'évoluer, même dans l'invisible. On oublie parfois à quel point on est forte, à quel point on a traversé des choses sans même s'en rendre compte. Tu te souviens de cette fois où tu pensais que tu n'allais pas t'en sortir ? Et pourtant, tu es là, tu continues, tu avances. Certes, la lumière, ce n'est pas être parfaite. Ce n'est pas être toujours souriante, c'est être vrai. C'est être encore debout, même bancal. Je veux que tu saches que tu as déjà tout en toi. Tu n'as pas besoin de devenir quelqu'un d'autre. Tu as juste besoin de te retrouver. Ici on se pardonnait. Pour toutes ces fois où on a été trop durs avec soi-même. Tous ces mots qu'on s'est dit intérieurement. Je suis nulle. Je suis fatiguée d'échouer. Je suis trop comme ci. Pas assez comme ça. Stop. Tu n'as pas besoin d'être parfaite pour mériter l'amour, la paix ou la joie. Fais ton mieux, et ton mieux aujourd'hui, il suffit. Pardonne-toi tes silences, tes colères, tes absences, tes oublis. C'est un travail immense, même dans l'ombre, même quand personne ne le voit. maintenant, prenez une minute pour te remercier pas pour ce que tu as fait mais pour ce que tu es merci à toi de continuer même quand c'est dur d'aimer même quand ça fait mal de protéger même quand tu es fatigué de rêver même quand tu doutes Tu es précieuse, tu es rare, tu es vivante. Dis-le même à voix basse. Merci moi, merci d'être encore là, merci d'essayer chaque jour. Ce podcast, c'était une parenthèse, un souffle. Un silence nécessaire pour moi et pour vous. Tu peux revenir ici à chaque fois que tu en as besoin. Il n'y a pas de règles, pas d'attente. Juste un espace pour toi. N'oublie pas que tu es en train de te reconstruire, doucement, à ton rythme. Et que tu n'as pas besoin de courir. Tu es déjà en train d'y arriver. Merci d'avoir partagé ce moment avec moi. Et reviens quand tu veux. En attendant, prends soin de toi. Je t'embrasse. Bye.
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parfois, on n'a pas besoin de plus de mots.
Juste d'un espace pour respirer.
Ferme les yeux si tu veux. Respire. Ce moment est pour toi.
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Bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, j'ai envie de faire un pas de côté, de ralentir, d'offrir un espace à toutes celles et ceux qui, comme moi parfois, ont juste besoin de silence, de calme, de douceur. Mais tout le temps, on donne, on pense, on s'épuise. Et parfois, on ne s'écoute plus. Alors ce moment, ce podcast, c'est une bulle de respiration. Tu n'as rien à faire, rien à prouver. Juste être là et t'autoriser à souffler. C'est, on vit dans un monde où tout va vite, beaucoup trop vite. On répond aux messages dans la seconde, on enchaîne les rendez-vous, on coche des cases. On gère des to-do list interminables. Et dans tout ça, on oublie parfois la chose la plus précieuse qu'on a. Nous-mêmes. Je veux t'inviter là, maintenant, à ralentir. Ferme les yeux si tu peux. Et respire lentement, tranquillement. Tu n'as rien à faire. Tu n'as pas besoin d'être productive. Tu as juste besoin d'exister. Tu sais, souvent, on porte des masques. Le masque de la maman forte, de la femme qui gère tout, de celle qui ne pleure pas. Est-ce que t'as déjà pensé à ce que ça te coûte tout ça ? À ce que ça te prend, chaque jour, de jouer un rôle que t'as pas choisi ? Aujourd'hui, je t'invite à déposer ce masque. À te montrer à toi-même, sans filtre, sans tension. Tu as le droit d'être fatigué. Le droit d'avoir mal. Le droit de ne pas savoir. Si tu te posais cette question, qu'est-ce que je ressens là, maintenant ? Sans analyser, sans juger, juste écouter. Est-ce que tu ressens de la fatigue ? De la tristesse ? De la colère ? Ou peut-être juste du vide ? Tu sais quoi ? Quel que soit ce que tu ressens, c'est ok. Tu n'as pas à te justifier. Tu as le droit de ressentir. Tu as le droit d'être humaine. Il y a des choses qu'on aimerait changer. Des choses qu'on ne comprend pas. Des choses qui nous échappent. Tu sais, ces moments où tu te dis « Pourquoi ça m'arrive à moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? » Et si j'avais fait autrement ? Mais parfois, la vérité, c'est qu'il n'y a rien à comprendre tout de suite, juste à accepter, pas pour se résigner, mais pour se libérer. Ce que tu ne contrôles pas, tu peux choisir de ne plus en être la prisonnière. Inspire encore. Tu peux poser ce poids. Tu n'as pas à tout porter. Tu n'as pas à tout réparer. Tu es en train d'apprendre, d'évoluer, même dans l'invisible. On oublie parfois à quel point on est forte, à quel point on a traversé des choses sans même s'en rendre compte. Tu te souviens de cette fois où tu pensais que tu n'allais pas t'en sortir ? Et pourtant, tu es là, tu continues, tu avances. Certes, la lumière, ce n'est pas être parfaite. Ce n'est pas être toujours souriante, c'est être vrai. C'est être encore debout, même bancal. Je veux que tu saches que tu as déjà tout en toi. Tu n'as pas besoin de devenir quelqu'un d'autre. Tu as juste besoin de te retrouver. Ici on se pardonnait. Pour toutes ces fois où on a été trop durs avec soi-même. Tous ces mots qu'on s'est dit intérieurement. Je suis nulle. Je suis fatiguée d'échouer. Je suis trop comme ci. Pas assez comme ça. Stop. Tu n'as pas besoin d'être parfaite pour mériter l'amour, la paix ou la joie. Fais ton mieux, et ton mieux aujourd'hui, il suffit. Pardonne-toi tes silences, tes colères, tes absences, tes oublis. C'est un travail immense, même dans l'ombre, même quand personne ne le voit. maintenant, prenez une minute pour te remercier pas pour ce que tu as fait mais pour ce que tu es merci à toi de continuer même quand c'est dur d'aimer même quand ça fait mal de protéger même quand tu es fatigué de rêver même quand tu doutes Tu es précieuse, tu es rare, tu es vivante. Dis-le même à voix basse. Merci moi, merci d'être encore là, merci d'essayer chaque jour. Ce podcast, c'était une parenthèse, un souffle. Un silence nécessaire pour moi et pour vous. Tu peux revenir ici à chaque fois que tu en as besoin. Il n'y a pas de règles, pas d'attente. Juste un espace pour toi. N'oublie pas que tu es en train de te reconstruire, doucement, à ton rythme. Et que tu n'as pas besoin de courir. Tu es déjà en train d'y arriver. Merci d'avoir partagé ce moment avec moi. Et reviens quand tu veux. En attendant, prends soin de toi. Je t'embrasse. Bye.
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Bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, j'ai envie de faire un pas de côté, de ralentir, d'offrir un espace à toutes celles et ceux qui, comme moi parfois, ont juste besoin de silence, de calme, de douceur. Mais tout le temps, on donne, on pense, on s'épuise. Et parfois, on ne s'écoute plus. Alors ce moment, ce podcast, c'est une bulle de respiration. Tu n'as rien à faire, rien à prouver. Juste être là et t'autoriser à souffler. C'est, on vit dans un monde où tout va vite, beaucoup trop vite. On répond aux messages dans la seconde, on enchaîne les rendez-vous, on coche des cases. On gère des to-do list interminables. Et dans tout ça, on oublie parfois la chose la plus précieuse qu'on a. Nous-mêmes. Je veux t'inviter là, maintenant, à ralentir. Ferme les yeux si tu peux. Et respire lentement, tranquillement. Tu n'as rien à faire. Tu n'as pas besoin d'être productive. Tu as juste besoin d'exister. Tu sais, souvent, on porte des masques. Le masque de la maman forte, de la femme qui gère tout, de celle qui ne pleure pas. Est-ce que t'as déjà pensé à ce que ça te coûte tout ça ? À ce que ça te prend, chaque jour, de jouer un rôle que t'as pas choisi ? Aujourd'hui, je t'invite à déposer ce masque. À te montrer à toi-même, sans filtre, sans tension. Tu as le droit d'être fatigué. Le droit d'avoir mal. Le droit de ne pas savoir. Si tu te posais cette question, qu'est-ce que je ressens là, maintenant ? Sans analyser, sans juger, juste écouter. Est-ce que tu ressens de la fatigue ? De la tristesse ? De la colère ? Ou peut-être juste du vide ? Tu sais quoi ? Quel que soit ce que tu ressens, c'est ok. Tu n'as pas à te justifier. Tu as le droit de ressentir. Tu as le droit d'être humaine. Il y a des choses qu'on aimerait changer. Des choses qu'on ne comprend pas. Des choses qui nous échappent. Tu sais, ces moments où tu te dis « Pourquoi ça m'arrive à moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? » Et si j'avais fait autrement ? Mais parfois, la vérité, c'est qu'il n'y a rien à comprendre tout de suite, juste à accepter, pas pour se résigner, mais pour se libérer. Ce que tu ne contrôles pas, tu peux choisir de ne plus en être la prisonnière. Inspire encore. Tu peux poser ce poids. Tu n'as pas à tout porter. Tu n'as pas à tout réparer. Tu es en train d'apprendre, d'évoluer, même dans l'invisible. On oublie parfois à quel point on est forte, à quel point on a traversé des choses sans même s'en rendre compte. Tu te souviens de cette fois où tu pensais que tu n'allais pas t'en sortir ? Et pourtant, tu es là, tu continues, tu avances. Certes, la lumière, ce n'est pas être parfaite. Ce n'est pas être toujours souriante, c'est être vrai. C'est être encore debout, même bancal. Je veux que tu saches que tu as déjà tout en toi. Tu n'as pas besoin de devenir quelqu'un d'autre. Tu as juste besoin de te retrouver. Ici on se pardonnait. Pour toutes ces fois où on a été trop durs avec soi-même. Tous ces mots qu'on s'est dit intérieurement. Je suis nulle. Je suis fatiguée d'échouer. Je suis trop comme ci. Pas assez comme ça. Stop. Tu n'as pas besoin d'être parfaite pour mériter l'amour, la paix ou la joie. Fais ton mieux, et ton mieux aujourd'hui, il suffit. Pardonne-toi tes silences, tes colères, tes absences, tes oublis. C'est un travail immense, même dans l'ombre, même quand personne ne le voit. maintenant, prenez une minute pour te remercier pas pour ce que tu as fait mais pour ce que tu es merci à toi de continuer même quand c'est dur d'aimer même quand ça fait mal de protéger même quand tu es fatigué de rêver même quand tu doutes Tu es précieuse, tu es rare, tu es vivante. Dis-le même à voix basse. Merci moi, merci d'être encore là, merci d'essayer chaque jour. Ce podcast, c'était une parenthèse, un souffle. Un silence nécessaire pour moi et pour vous. Tu peux revenir ici à chaque fois que tu en as besoin. Il n'y a pas de règles, pas d'attente. Juste un espace pour toi. N'oublie pas que tu es en train de te reconstruire, doucement, à ton rythme. Et que tu n'as pas besoin de courir. Tu es déjà en train d'y arriver. Merci d'avoir partagé ce moment avec moi. Et reviens quand tu veux. En attendant, prends soin de toi. Je t'embrasse. Bye.
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parfois, on n'a pas besoin de plus de mots.
Juste d'un espace pour respirer.
Ferme les yeux si tu veux. Respire. Ce moment est pour toi.
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Bienvenue dans ce nouvel épisode. Aujourd'hui, j'ai envie de faire un pas de côté, de ralentir, d'offrir un espace à toutes celles et ceux qui, comme moi parfois, ont juste besoin de silence, de calme, de douceur. Mais tout le temps, on donne, on pense, on s'épuise. Et parfois, on ne s'écoute plus. Alors ce moment, ce podcast, c'est une bulle de respiration. Tu n'as rien à faire, rien à prouver. Juste être là et t'autoriser à souffler. C'est, on vit dans un monde où tout va vite, beaucoup trop vite. On répond aux messages dans la seconde, on enchaîne les rendez-vous, on coche des cases. On gère des to-do list interminables. Et dans tout ça, on oublie parfois la chose la plus précieuse qu'on a. Nous-mêmes. Je veux t'inviter là, maintenant, à ralentir. Ferme les yeux si tu peux. Et respire lentement, tranquillement. Tu n'as rien à faire. Tu n'as pas besoin d'être productive. Tu as juste besoin d'exister. Tu sais, souvent, on porte des masques. Le masque de la maman forte, de la femme qui gère tout, de celle qui ne pleure pas. Est-ce que t'as déjà pensé à ce que ça te coûte tout ça ? À ce que ça te prend, chaque jour, de jouer un rôle que t'as pas choisi ? Aujourd'hui, je t'invite à déposer ce masque. À te montrer à toi-même, sans filtre, sans tension. Tu as le droit d'être fatigué. Le droit d'avoir mal. Le droit de ne pas savoir. Si tu te posais cette question, qu'est-ce que je ressens là, maintenant ? Sans analyser, sans juger, juste écouter. Est-ce que tu ressens de la fatigue ? De la tristesse ? De la colère ? Ou peut-être juste du vide ? Tu sais quoi ? Quel que soit ce que tu ressens, c'est ok. Tu n'as pas à te justifier. Tu as le droit de ressentir. Tu as le droit d'être humaine. Il y a des choses qu'on aimerait changer. Des choses qu'on ne comprend pas. Des choses qui nous échappent. Tu sais, ces moments où tu te dis « Pourquoi ça m'arrive à moi ? Qu'est-ce que j'ai fait pour mériter ça ? » Et si j'avais fait autrement ? Mais parfois, la vérité, c'est qu'il n'y a rien à comprendre tout de suite, juste à accepter, pas pour se résigner, mais pour se libérer. Ce que tu ne contrôles pas, tu peux choisir de ne plus en être la prisonnière. Inspire encore. Tu peux poser ce poids. Tu n'as pas à tout porter. Tu n'as pas à tout réparer. Tu es en train d'apprendre, d'évoluer, même dans l'invisible. On oublie parfois à quel point on est forte, à quel point on a traversé des choses sans même s'en rendre compte. Tu te souviens de cette fois où tu pensais que tu n'allais pas t'en sortir ? Et pourtant, tu es là, tu continues, tu avances. Certes, la lumière, ce n'est pas être parfaite. Ce n'est pas être toujours souriante, c'est être vrai. C'est être encore debout, même bancal. Je veux que tu saches que tu as déjà tout en toi. Tu n'as pas besoin de devenir quelqu'un d'autre. Tu as juste besoin de te retrouver. Ici on se pardonnait. Pour toutes ces fois où on a été trop durs avec soi-même. Tous ces mots qu'on s'est dit intérieurement. Je suis nulle. Je suis fatiguée d'échouer. Je suis trop comme ci. Pas assez comme ça. Stop. Tu n'as pas besoin d'être parfaite pour mériter l'amour, la paix ou la joie. Fais ton mieux, et ton mieux aujourd'hui, il suffit. Pardonne-toi tes silences, tes colères, tes absences, tes oublis. C'est un travail immense, même dans l'ombre, même quand personne ne le voit. maintenant, prenez une minute pour te remercier pas pour ce que tu as fait mais pour ce que tu es merci à toi de continuer même quand c'est dur d'aimer même quand ça fait mal de protéger même quand tu es fatigué de rêver même quand tu doutes Tu es précieuse, tu es rare, tu es vivante. Dis-le même à voix basse. Merci moi, merci d'être encore là, merci d'essayer chaque jour. Ce podcast, c'était une parenthèse, un souffle. Un silence nécessaire pour moi et pour vous. Tu peux revenir ici à chaque fois que tu en as besoin. Il n'y a pas de règles, pas d'attente. Juste un espace pour toi. N'oublie pas que tu es en train de te reconstruire, doucement, à ton rythme. Et que tu n'as pas besoin de courir. Tu es déjà en train d'y arriver. Merci d'avoir partagé ce moment avec moi. Et reviens quand tu veux. En attendant, prends soin de toi. Je t'embrasse. Bye.
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