- Frédéric Vuillod
Le monde associatif expérimente et étudie des solutions au cœur de la ville pour améliorer la vie des habitants. Souvent très riches d'enseignements, ces solutions méritent d'être partagées. Je m'appelle Frédéric Vuillon, je suis journaliste et je pars à leur découverte. Vous écoutez Ville solidaire, ville durable, le podcast de la Fondation des solidarités urbaines, le laboratoire des bailleurs sociaux de la ville de Paris, qui offre ici un espace de partage d'expériences aux projets qu'elle soutient. Aujourd'hui, nous sommes avec Amélie Anache et Lise Lenoir et on va parler de végétaliser la ville. Elles travaillent toutes les deux chez Pépins Productions. C'est une association qui installe des pépinières dans plusieurs quartiers de Paris pour cultiver ensemble et pour lutter contre l'érosion de la biodiversité. Bonjour Amélie Anache. Bonjour. Et bonjour Lise Lenoir.
- Lise Lenoir
Bonjour.
- Frédéric Vuillod
Alors Amélie Anache, vous êtes la cofondatrice de Pépins Productions. Est-ce que vous pouvez nous raconter la genèse de l'association et nous dire... Pourquoi vous installez des pépinières dans la ville
- Amélie Anache
Pépins Productions, c'est une association qui a pour mission d'agir pour la biodiversité, à travers la végétalisation et l'agriculture urbaine. Et quand on a voulu faire cette action, on a vraiment eu des forts enjeux écologiques et sociaux qui nous sont apparus. Par exemple, d'un point de vue écologique, il se posait des questions de comment choisir les plantes qui soient utiles à la biodiversité, comment s'approvisionner en graines. Comment aussi choisir les terres, les substrats et d'où est-ce qu'ils viennent Est-ce qu'on les apporte en camion Est-ce qu'on les fabrique par le compost Toutes ces questions-là nous ont amené à concevoir les pépinières de quartier en production végétale locale pour approvisionner les jardins.
- Frédéric Vuillod
L'association est née en 2015. Qu'est-ce qui a motivé la création de ce projet-là
- Amélie Anache
Vraiment les rencontres avec les habitants. Très pratiquement, une fois j'étais allée dans un café associatif, le Moulin Café, avec des jeunes plants. que j'avais fait pousser sur mon balcon. Et au bout d'une demi-journée d'atelier, en fait, personne n'avait rien planté.
- Frédéric Vuillod
Incroyable Comment est-ce possible Ils n'avaient rien compris
- Amélie Anache
Non, ils étaient en fait très prudents, pas du tout rassurés par rapport à leurs actions de plantation. Ils se posaient plein de questions. Est-ce que les plantes vont bien aller les unes avec les autres, etc. Donc, beaucoup de curiosité. C'est vraiment ce qui a fait cette composante sociale du projet. avec un fort aspect pédagogique et puis l'envie de faire ensemble, de faire en sorte que cette pépinière de quartier soit ouverte à tout le monde et soit un lieu de rencontre convivial, ouvert à tous.
- Frédéric Vuillod
Donc vous avez décidé d'installer des pépinières urbaines un petit peu partout à Paris. Lise Lenoir, vous, vous êtes responsable de la pépinière de Chanzy, dans le 11e arrondissement de Paris, mais Pépins Production n'intervient pas que à Paris.
- Lise Lenoir
Tout à fait, on est présent maintenant à Paris et en région parisienne. On a actuellement différents lieux. Je suis en effet référente d'une pépinière qui est dans le 11e arrondissement. Mais nous sommes aussi dans le 20e arrondissement, un petit peu caché au fond du cimetière de Belleville. Dans une pépinière un petit peu historique pour nous aussi qui s'appelle le Flore Urbaine. Nous avons depuis quelques années notamment un chantier d'insertion. Nous sommes aussi présents à Pantin dans le 93 et à Chelles dans le 77. Et depuis quelques années, nous avons même quitté Paris puisque nous sommes à Marseille.
- Frédéric Vuillod
Donc vous êtes en phase d'extension géographique, territoriale, toujours dans le même objectif, donc de développer les pépinières urbaines. Amélie Anache, concrètement, qu'est-ce qu'il se passe dans une pépinière Qui s'occupe de les faire fonctionner
- Amélie Anache
Les pépinières, elles sont ouvertes plusieurs fois par semaine. Donc elles sont ouvertes par les référentes de pépinières. Comme Lise. Comme Lise, exactement. Et donc, par exemple, à la pépinière Chanzy, Lise va proposer des ateliers aux bénévoles. Donc une fois par semaine, on appelle ça les ateliers coup de main. Donc c'est gratuit, c'est ouvert à tout le monde. Et pour garantir en fait que tout le monde ait accès à ces ateliers, il va y avoir un travail aussi de publicité de ces ateliers. Donc aussi bien sur les réseaux sociaux, les plateformes de bénévoles à nature. mais aussi dans le quartier, auprès des structures sociales, des écoles, peut-être aussi des commerces, des lieux du quartier, pour faire venir vraiment tout le monde.
- Frédéric Vuillod
Donc vous cherchez des bénévoles qui sont plutôt des habitants du quartier. Les participants aux ateliers, vous les appelez des bénévoles Oui,
- Amélie Anache
tout à fait. Donc pour les ateliers coup de main, c'est les bénévoles qui interviennent, qui peuvent venir seuls ou accompagnés par des structures sociales, comme Emmaüs par exemple. Ensuite, il y a d'autres activités dans les pépinières. Pour le grand public, il y a des portes ouvertes, découvertes de la pépinière. On raconte le projet social, écologique autour de la pépinière. Et les gens peuvent acheter des plantes. Et puis ensuite, on accueille des groupes, ça peut être des scolaires, des entreprises. Et donc on programme des ateliers sur mesure pour ces groupes-là, qui dans ces cas-là sont payants.
- Frédéric Vuillod
Alors on va revenir sur les ateliers dans quelques minutes. Mais il n'y a pas que des bénévoles pour faire fonctionner une pépinière. Il y a aussi des salariés dans votre équipe.
- Amélie Anache
Oui tout à fait, les référentes de Pépinière sont salariées. Et on a aussi 11 salariés en insertion qui contribuent à l'animation des pépinières.
- Frédéric Vuillod
Donc au total, ça fait une équipe de combien de salariés 17 salariés. 17 salariés, donc combien en insertion 11 en insertion. Et les autres sont donc des encadrants Exactement. C'est ça, d'accord. Qui va venir dans ces pépinières pour faire quel type d'activité précisément
- Amélie Anache
On a des activités vraiment centrées autour de la multiplication des plantes. Donc à partir du semis, de la bouture, de la division, on va obtenir des plantes matures, on va les faire grandir dans la pépinière. Et le but c'est vraiment que vous les emportiez chez vous et que vous alliez planter des espaces communs ou des espaces privés.
- Frédéric Vuillod
Lise Lenoir sur la pépinière de Chancy à Paris, vous avez mis en place un programme d'accompagnement des bénévoles. Est-ce que vous pouvez nous raconter comment ça se passe, comment se concrétise cette idée-là Alors oui,
- Lise Lenoir
tout à fait. Donc on a une bonne communauté de bénévoles qui vient depuis Paris. Certains les années 2015-2017 et qui sont avec nous et qui apprennent depuis de nombreuses années à produire des plantes, les faire pousser, entretenir, les tailler et même pour certains nous accompagnent au moment des ventes etc. Et ce qu'on a remarqué c'est qu'en fait il y avait à la fois une demande de la part de ces bénévoles qui étaient déjà actifs d'élargir leurs compétences et leur champ de connaissances on va dire, qui nous a poussé à commencer à réfléchir à un programme. qui allait élargir ces notions de biodiversité, des écosystèmes en ville, etc. C'est là qu'on est venu avec la Fondation pour les solidarités urbaines, avec ce programme qui s'intitulait au départ Il ne suffit pas de planter pour agir pour la biodiversité qui est un nom un petit peu long, mais qui en dit beaucoup, puisque ça fait à nouveau écho à ce que disait Amélie tout à l'heure, c'est-à-dire qu'il y a cette idée qu'il faut planter pour agir. Mais en fait après on ne sait plus trop quoi faire, alors déjà parfois on ne sait pas comment planter, donc c'est déjà important d'accompagner sur ceci et aussi sur la production de plantes. Mais en fait il faut accompagner aussi autour de toute cette biodiversité en ville, donc en fait on va toucher aux domaines comme les oiseaux, la terre, etc. Donc nous on a voulu mettre en place ce programme qui visait en fait à aider des gens à apprendre des choses autour de cette biodiversité, notamment urbaine. Pour aller végétaliser, mais aussi gérer des espaces végétalisés dans un second temps, en ville. Dans notre projet, on comptait inclure nos bénévoles, mais également nos partenaires, c'est-à-dire les personnes avec qui on travaillait sur les différents sites et autour de nos différents sites, dans les quartiers.
- Frédéric Vuillod
La notion de partenariat est importante, parce que ça permet d'expliquer comment vous allez chercher du public, comment vous arrivez à convaincre adultes, enfants. Ça m'intéresse aussi que vous nous disiez quelle est la répartition des participants. à vos ateliers
- Lise Lenoir
Alors, déjà, on a une grosse communauté d'adultes, donc d'habitants des quartiers qui sont souvent des quartiers qui sont peu végétalisés. Moi, je le disais tout à l'heure, je suis responsable d'une pépinière dans le 11e, qui est un arrondissement, par exemple, de Paris, où il n'y a pas tant de squares, de parcs. Donc, il y a une vraie demande des gens d'avoir ces espaces verts, d'y participer, de les entretenir. Et puis après, une demande aussi de savoir reproduire ces choses-là d'un ordre privé, chez soi, dans son environnement, etc. Et donc, en fait, on touche au départ les adultes, peu après tous nos partenaires dans les quartiers notamment par exemple nous on a beaucoup travaillé avec une autre association qui fait un petit peu du parascolaire et on va avec les enfants du quartier chaque vacances scolaires végétaliser des pieds d'arbres qui sont vraiment juste devant notre pépinière donc on sort on va utiliser les plantes qui ont été produites par les bénévoles en fait sur nos différents sites et on va les installer par exemple avec notre partenaire associatif du quartier donc là c'est une association qui s'appelle le quartier saint bernard qui va faire de l'accueil d'enfants en dehors des temps d'école, donc le soir, pendant les vacances scolaires, etc. Donc en fait, ils font plein d'activités, ils peuvent leur apprendre à faire du vélo, comme à planter une plante dans la rue à côté de chez eux.
- Amélie Anache
Amélie Sur d'autres sites, on travaille avec les écoles, donc à Pantin et à HL par exemple. Et à HL, ça a été vraiment un maillon stratégique du projet. Parce qu'on s'adresse à un quartier de 1000 logements, l'ensemble des enfants fréquentent la même école. Et donc une fois qu'on a rencontré les 200 enfants de cette école, ils amènent leurs parents. Et donc ils sont vecteurs de ce message ensuite de la préservation de la biodiversité.
- Frédéric Vuillod
Alors d'accord, on fait des semis, on fait des boutures, mais après il faut aller plus loin, il faut entretenir cette plante qu'on a fait naître. Et puis on peut aller jusqu'à s'occuper de végétaliser son petit bout de quartier, son bout de trottoir. Mais est-ce que ça prend Ça, dans la tête des gens.
- Lise Lenoir
Alors ce qu'on a remarqué, c'est qu'en fait, c'est assez long à prendre, justement, parce qu'il y a cette idée que pour le commun des mortels, ce n'est pas quelque chose de facile et d'accessible, qu'on n'a pas forcément les outils, etc. Donc c'est vrai que tout ce système qu'on a essayé de mettre en place, qui donc a touché rapidement à l'autonomisation des bénévoles et des partenaires, en fait, il a été assez long. et il a dû être lié à beaucoup de pédagogie de notre part, d'accompagnement, pour essayer d'identifier les différents outils sur lesquels on pouvait travailler avec les bénévoles, qui pouvaient être référents de ci ou de ça. Et en fait, oui, donc voilà, il y a vraiment quelque chose sur la longueur qu'il faut prendre en compte aussi quand on met en place ce genre de choses.
- Frédéric Vuillod
Et ça prend combien de temps selon vous
- Lise Lenoir
Alors là, ce projet, je pense qu'on est encore dedans, donc c'est ça qui est intéressant. Normalement, on s'était donné une période de quatre ans. quand même, avec différentes étapes qui étaient quand même bien établies, qui avaient pour visée finale que les bénévoles soient autonomes dans un périmètre défini, que c'était soit la pépinière, soit le quartier. Et aujourd'hui, ça continue encore, dans le sens où il y a un effet boule de neige, c'est-à-dire qu'en fait, dès qu'un bénévole va initier une nouvelle chose, un nouveau projet, ça va créer l'envie chez quelqu'un d'autre, en fait, d'initier quelque chose en tout. Et la beauté de tout ça, c'est qu'à la fin, on a en fait des lieux. qui vont être créés grâce aux connaissances et aux apports de chacun.
- Frédéric Vuillod
Il faut dire aussi que vous travaillez en ville, et qu'en ville, on n'a pas la culture de la terre, on n'a pas les outils. Peut-être qu'il faut trouver des solutions en mutualisant, en trouvant des lieux communs pour se retrouver. Il y a peut-être la notion de commun qui est intéressante dans ce que vous produisez.
- Amélie Anache
Là, j'ai envie de citer justement les partenariats avec les bailleurs sociaux, qui ont plusieurs rôles dans ce process, parce qu'ils sont vraiment... des maillons de dialogue avec les locataires. Donc ils peuvent contribuer à faire connaître les initiatives et aussi à remonter les souhaits des habitants vers des acteurs qui sont capables d'organiser, comme nous on est structurés. Et le deuxième rôle des bailleurs sociaux, c'est aussi leur rôle de gestionnaire d'espace. À Paris, bien souvent, les bailleurs sociaux ont des espaces extérieurs à gérer et donc ils ont un rôle sur... L'accueil de la biodiversité sur ces espaces-là, les évolutions à anticiper avec les questions de changement climatique et aussi de donner l'exemple sur la gestion d'un patrimoine commun. Je pense qu'ils ont aussi un rôle de donner envie aux habitants de rendre ces espaces attractifs et cette thématique attractive.
- Frédéric Vuillod
Lise, qu'est-ce que vous avez observé depuis le début de cette expérimentation Qu'est-ce que ça produit sur les participants, sur le quartier, sur la ville
- Lise Lenoir
Je pense que... Tout le monde a envie d'aider et d'agir pour la biodiversité en ville. Et il y a beaucoup de personnes qui ne savent pas vraiment comment, mais que chacun finalement arrive au bout d'un certain moment à trouver comment chacun peut participer. Par exemple, je pense qu'un bénévole qui arrive et qui va par exemple être doué en menuiserie, il n'a aucune idée au départ que cet outil-là va être super utile sur l'établissement d'espaces végétalisés. Nous on a par exemple un bénévole comme ça qui a rapidement commencé en autonomie à organiser des ateliers où il invitait d'autres bénévoles à participer pour construire par exemple des étagères de très bonne qualité à la pépinière qu'on utilise aujourd'hui couramment. Il y a une autre bénévole qui va être passionnée de compost et donc elle s'est formée au compost et est devenue référente du compost d'une pépinière. Donc en fait ça permet d'utiliser comme ça les connaissances de chacun. Je dirais qu'au départ, les gens ne se rendent pas compte qu'ils ont toutes ces connaissances qu'ils peuvent apporter et que venir être bénévole dans une association, ce n'est pas simplement donner un coup de main. Parce que nous, nos ateliers coup de main, les gens arrivent, ils ont l'impression qu'ils vont aider à produire des plantes pendant deux heures et ça va être déjà super. Mais en fait, l'action bénévole, elle peut aller bien au-delà de ça. Et ça, c'est un peu long à mettre en place, mais une fois que c'est compris, il y a une sorte de déclic et c'est assez magique après.
- Frédéric Vuillod
Et vous, en tant que Pépins Production, qu'est-ce que vous avez appris Pendant cette expérimentation, est-ce que vous avez des enseignements à partager
- Amélie Anache
Effectivement, sur le dialogue avec les bénévoles, peut-être qu'en étant une structure salariée, on est en mesure de planifier des projets, d'anticiper les impacts, etc. Et néanmoins, quand on commence à mettre en place le projet, il y a plein d'adaptations à faire, donc vraiment de rester à l'écoute de ce qui se passe. pour saisir ce qu'il va appeler une résonance chez les participants et donc pousser tel ou tel aspect du projet. Et puis à l'échelle de l'ensemble de la structure, c'est aussi des process, des expériences qu'on peut partager entre Pépinières et aussi dans le réseau national.
- Frédéric Vuillod
Lise, de votre côté, qu'est-ce que vous pensez avoir appris vous aussi en tant que structure Vous avez peut-être des informations complémentaires à nous communiquer
- Lise Lenoir
Je rebondis sur ce que dit Amélie, c'est-à-dire que je pense que c'est très important de savoir faire évoluer son projet. Entre ce qu'on avait imaginé au départ sur comment est-ce qu'on va aider les gens à végétaliser, à gérer des espaces végétalisés, on ne pensait pas que ça bougerait autant, que ça serait si différent à la fin. Et en plus, on a vraiment découvert qu'il fallait vraiment faire participer les bénéficiaires du projet, du programme. C'est-à-dire que c'est important de régulièrement aller vers eux, leur demander leur avis, comment est-ce qu'on peut les aider en fait, puisque c'est les bénéficiaires de tout ça.
- Frédéric Vuillod
Et alors, si d'autres structures voulaient répliquer ce projet de pépinière urbaine, quel conseil vous leur donneriez
- Amélie Anache
Pour moi, ce serait un conseil vraiment de coopération et de s'entourer à la fois des bénéficiaires et aussi de partenaires pour chacune des thématiques. Donc les partenaires... de l'action sociale, de l'économie circulaire, de la construction, s'il faut construire une serre. À chaque fois, aller chercher les acteurs déjà présents pour mener les actions.
- Frédéric Vuillod
Lise
- Lise Lenoir
Alors encore une fois, de s'armer de patience et je pense aussi de ne pas négliger la part d'accompagnement qui va être nécessaire à la fois à nos partenaires et à nos bénéficiaires slash bénévoles. C'est-à-dire que ça demande quand même beaucoup à la fois d'encouragement, de rassurer. Il faut rassurer les personnes qui participent en leur disant qu'il n'y a pas de mauvaise action, que c'est super. Et aussi de les encourager à parler entre eux, à partager en fait. pour créer cet effet boule de neige dont je parlais tout à l'heure, que les actions des premiers ont généré les actions des seconds.
- Frédéric Vuillod
Ça fait vraiment envie. Si on veut vous rejoindre, on fait quoi On va sur Internet, on tape Pépins Productions, c'est ça On vous trouve
- Lise Lenoir
Exactement. Nous avons un site Internet sur lequel vous allez pouvoir retrouver une page agenda avec tous nos ateliers Côte-Main dont nous parlons tout à l'heure pour faire connaissance avec nous et partager des connaissances autour de la biodiversité en ville. Et puis, vous allez aussi retrouver sur cette page les ventes. de pépins, si vous voulez profiter de nos petites ventes. Et pour la pépinière Chouanzi, c'est tous les mercredis après-midi.
- Frédéric Vuillod
Merci beaucoup, Lise Lenoir, et merci beaucoup Amélie Anache.
- Amélie Anache
Merci beaucoup.
- Lise Lenoir
Merci.
- Frédéric Vuillod
C'était Ville solidaire, Ville durable. Vous pouvez retrouver cet épisode et tous les autres sur toutes les grandes plateformes de podcast, sur le média de l'économie sociale et solidaire Mediatico.fr et sur le site internet de la Fondation des solidarités urbaines, fondée par les bailleurs sociaux Paris Habitat, la RIVP. et Logisiemp, Aximo, l'habitation confortable et l'habitat social français. A bientôt