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À l’écoute des marchés | La Banque Transatlantique, la voix de la gestion de fortune.

Mention Très Bien : le parcours d'excellence des lycéens français à l'étranger

Mention Très Bien : le parcours d'excellence des lycéens français à l'étranger

15min |03/07/2025
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Mention Très Bien : le parcours d'excellence des lycéens français à l'étranger

Mention Très Bien : le parcours d'excellence des lycéens français à l'étranger

15min |03/07/2025
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Description

Comment les jeunes talents issus des lycées français à l'étranger parviennent-ils à exceller dans un environnement aussi diversifié que stimulant ? Dans cet épisode spécial du podcast "À l’écoute des marchés" de la Banque Transatlantique, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle, nous offre une découverte du parcours inspirant de ces étudiants qui ont obtenu une mention très bien au baccalauréat. À travers des témoignages de lauréats provenant de villes emblématiques telles que Singapour, Hong Kong et Montréal, nous découvrons les défis qu'ils ont surmontés et les succès qu'ils ont accumulés, illustrant ainsi l'importance de l'éducation française à l'étranger.


Marilyne Navarro met en lumière le rôle essentiel de la Banque Transatlantique dans le soutien à ces jeunes talents, soulignant l'importance des cérémonies de célébration organisées pour honorer ces élèves d'exception. Ces événements représentent bien plus qu'une simple reconnaissance ; ils incarnent un lien fort entre la France et ses citoyens à l'étranger, tout en reflétant les valeurs humanistes et l'excellence collective qui caractérisent ces établissements. Dans un monde où la gestion de fortune et la stratégie patrimoniale prennent une place prépondérante, il est essentiel de comprendre comment ces étudiants, grâce à leur éducation, se préparent à devenir des acteurs clés sur les marchés financiers internationaux.


À travers cette discussion, nous mettons en avant l'impact positif de cette éducation sur l'avenir des étudiants, leur permettant de naviguer avec aisance dans le monde complexe de la finance, de la bourse et de l'investissement.


Rejoignez-nous pour une exploration enrichissante des parcours de ces jeunes expatriés, et découvrez comment la Banque Transatlantique s'engage à soutenir l'éducation et la réussite de la prochaine génération de leaders. Ne manquez pas cet épisode captivant qui illustre parfaitement notre engagement envers l'excellence et l'innovation dans le domaine de la gestion de patrimoine et du wealth management, tout en restant à l'écoute des marchés et des évolutions du monde financier.


À l’écoute des marchés
Une série de contenus audio de la banque Transatlantique, dédiée à la gestion de fortune, aux marchés financiers, au patrimoine, à l’investissement, à la philanthropie et à la transmission, portée par les voix de celles et ceux qui font vivre la Banque Transatlantique.


Abonnez-vous pour découvrir chaque nouvel épisode, et n’hésitez pas à laisser une note ou un avis sur votre plateforme d’écoute.


Qui sommes-nous ?
Fondée en 1881, la Banque Transatlantique est une maison de gestion de fortune française, membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Elle accompagne les grandes familles, cadres dirigeants, entrepreneurs et Français de l’étranger dans toutes les dimensions de leur stratégie patrimoniale.


Pour aller plus loin :

Site : banquetransatlantique. com">www. banquetransatlantique. com
LinkedIn : linkedin. com/company/banque-transatlantique">Banque Transatlantique


Production : Direction de la communication de la Banque Transatlantique



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Chaque année, plus de 20 000 lycéens décrochent le bac dans un établissement français à l'étranger. En 2024, plus de 25% d'entre eux avaient obtenu une mention très bien. Derrière ces résultats se dessinent des parcours, des efforts, des choix parfois éloignés de la France, mais toujours guidés par l'exigence et l'ambition. Réussir brillamment le baccalauréat dans un environnement interculturel soulève des questions essentielles. Que révèlent ces réussites sur l'école, sur l'avenir ou sur l'engagement personnel ? Pour en échanger avec nous, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle de la Banque Transatlantique, qui est aujourd'hui à mes côtés. Et tout au long de cet épisode, plusieurs jeunes lauréats nous livreront également leurs témoignages depuis Bruxelles, Singapour, Hong Kong ou encore Montréal. Bienvenue dans un épisode hors série d'Allez couper des marchés, un podcast de la Banque Transatlantique. Et bonjour Marilyne.

  • Speaker #1

    Bonjour Marc-Antoine.

  • Speaker #0

    Alors Marilyne, on l'a évoqué en introduction, on va parler de ces mentions très bien. Chaque année, la banque célèbre, les élèves ayant obtenu une mention très bien. Pourquoi cet engagement spécifique de la Banque Transatlantique envers l'excellence, on va dire, scolaire ?

  • Speaker #1

    En préparant ce podcast, j'ai retrouvé des archives. Et ce qui était amusant, c'est qu'en fait, on est présent à Londres pour les mentions très bien depuis 1991. Ça note quand même une fidélité sur le sujet. Aujourd'hui, on se rend compte que les établissements français à l'étranger ont un meilleur taux de réussite. Il y a plus de 7 points par rapport au baccalauréat national, alors qu'ils ont le même contexte d'examen. C'est vrai qu'en particulier, la symbolique du baccalauréat, c'est un passage entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur, un rite de passage pour plus d'autonomie. C'est ça que nous aimons dans ce moment festif, et surtout on souhaite encourager ces jeunes personnes. à continuer à aller de l'avant.

  • Speaker #0

    Et alors justement, ces cérémonies sont organisées dans des contextes très différents, que ce soit à Singapour, à Hong Kong ou encore à Bruxelles ou Montréal. Comment s'y adapte-t-on sur chacune de ces villes qui sont très différentes ?

  • Speaker #1

    Alors, nous organisons ces cérémonies en collaboration avec nos équipes sur place, la Banque Transatlantique, les établissements scolaires et également les institutions françaises, les ambassades, les consulats qui sont très fiers en fait de leurs bacheliers. Nous avons cette année 7 événements, Londres, Ottawa, Hong Kong, Shanghai, Singapour, Bruxelles et New York. L'objectif commun à toutes ces manifestations, c'est d'organiser un événement de qualité, une fête pour le mérite des élèves, en associant au maximum les familles, le corps professoral, dans un moment qui restera finalement dans la mémoire de tous.

  • Speaker #0

    Et alors pour les communautés françaises locales, que représente cette reconnaissance ? J'imagine que c'est un moment de fierté.

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est un vrai moment de fierté pour eux. On est sur des rassemblements très positifs de la communauté française à l'étranger pour fêter leurs enfants. Ils vivent peut-être hors de France, mais ils seront acteurs du rayonnement de la France par la suite. Et il est important pour, je pense, les consulats, les ambassades, de marquer effectivement ce moment important d'autonomie de nos Français à l'international.

  • Speaker #0

    Nous avons appelé quelques lycéens pour connaître leur réaction. Je vous propose d'écouter Lorraine, elle a 17 ans et elle a obtenu sa mention très bien à Montréal. On l'écoute.

  • Speaker #2

    C'est le côté qui apporte la mention très bien. Comme vous l'avez dit, c'est le côté de l'excellence, de dire qu'on a mention très bien, on approche de cette excellence-là. On est reconnu pour être parmi un petit paquet finalement de gens qui la mention très bien et c'est une fierté supplémentaire d'avoir cette mention. Dans les lycées français de l'étranger, on nous demande d'être excellents, c'est la requête faite. On est dans les meilleurs lycées français au monde finalement, l'Amérique du Nord encore plus, donc on a vraiment cette barre encore plus haute et on le sent passer aussi et tout le monde est très au courant aussi de ça. Pour nous à Montréal, dès qu'on recevait nos mentions, on nous invitait donc à pouvoir aller à l'ambassade de France. donc à Ottawa, et donc on allait à l'ambassade de France, on se retrouvait entre lycées français de l'étranger, donc principalement que du Canada, bien évidemment, et donc l'ambassadeur faisait un discours pour nous féliciter, pour nous expliquer tout ce que représentait l'éducation française aussi à l'étranger, et c'était vraiment le côté très exclusif de dire, vu que vous êtes excellent, que vous avez eu mention très bien, vous avez ce moment-là de pouvoir visiter ce qu'est l'ambassade de France et d'avoir cet ambassadeur qui fait un discours finalement pour nous, pour nous féliciter de cette mention. Alors on sent la fierté de Lorraine, elle nous parle de la cérémonie. Alors en quoi, Maryline, cette célébration s'inscrit dans une relation de long terme avec les familles expatriées ? Et en quoi cette étape est-elle importante finalement dans le parcours que nous accompagnons à la Banque transatlantique ?

  • Speaker #1

    Alors elle fait souvent écho à d'autres moments clés où les expatriés vont se poser des questions de mobilité. Concrètement, on sait que c'est le départ à l'étranger, le retour en France. Le projet des études supérieures va les amener peut-être à aller dans un troisième pays. Les familles expatriées sont souvent sans frontières, elles se laissent le champ des possibles. Et en fait, avec ces niveaux d'études-là, il y a possibilité de créer vraiment de belles opportunités d'études supérieures, et voire de carrières à l'international. Ce qu'on aime nous dans ce sujet en lien avec les familles, c'est qu'on sait qu'il y a des portes qui vont s'ouvrir et que les familles vont être un peu de nouveau rebouleversées par ce fait d'avoir des personnes multiculturelles et dans de multiples pays.

  • Speaker #0

    Dans ces lycées français à l'étranger, les élèves, vous le soulignez, viennent d'horizons divers. Que dit cette mixité des valeurs portées par l'enseignement français ?

  • Speaker #1

    Alors, il est important de repréciser qu'on peut suivre un enseignement scolaire à l'étranger français. en n'étant pas français forcément. Ça fait partie aussi des aptitudes de certaines familles à vouloir chercher la meilleure scolarité qu'il y ait dans le pays proposé. Il y a à peu près 600 établissements de référence pour l'enseignement français à l'étranger. Et on se rend compte effectivement qu'ils apportent à la fois une scolarité de qualité, quelque chose d'effectivement assez exigeant, mais également ils sont adossés à des valeurs humanistes, comme la tolérance, l'esprit critique et aussi une ouverture d'esprit, et puis évidemment le plurilinguisme. qui va être amené à ses élèves. Dans cette mixité, on voit qu'il y a une excellence qui est collective, beaucoup d'engagement de la part des élèves, des familles, des équipes pédagogiques qui sont engagées réellement pour chacun des élèves.

  • Speaker #0

    Et cette excellence que vous évoquez, on en a échangé justement avec Irina. Elle a obtenu sa mention très bien à Hong Kong et elle nous en parle.

  • Speaker #3

    Moi, je suis très, très heureuse d'avoir... d'être ici à Hong Kong, d'avoir vécu à Hong Kong, surtout pour ma scolarité. Je trouve que j'ai eu des chances que je n'aurais pas eues si j'habitais en France. Je pense que si j'étais en France, je n'aurais pas pu faire des voyages scolaires à Taïwan, à Singapour, en Chine. Également, les classes ici à Hong Kong, elles sont assez petites. Nous avons trois classes de 20 personnes et en SP, on est 10. Donc vraiment, on a une proximité avec les profs. Et en plus de cela, on a vraiment cette touche internationale avec les voyages scolaires, les cours. très approfondie en anglais, en espagnol. Au Camp Saint-Gapoult, on a environ 60% de mentions très bien et 9 élèves ayant eu la mention très bien avec félicitations du jury sur 60. Malgré le fait qu'on est à l'international, la rigueur française est toujours là et très forte.

  • Speaker #0

    Alors Maryline, quand on écoute ces élèves, on entend souvent parler de pluralité culturelle, de mobilité. Qu'est-ce que cela change dans leur rapport, eux, à l'école ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est des établissements et puis des parcours particuliers qui leur permettent d'avoir une grande capacité d'adaptation. On l'entend par le biais de ces témoignages. Ça donne surtout envie pour eux d'aller plus loin, d'explorer davantage. Et concrètement, ils vont pouvoir se créer des opportunités très importantes pour la suite de leur parcours.

  • Speaker #0

    Certaines familles s'expatrient à de nombreux endroits, il y a beaucoup de mobilité. Du côté de la banque transatlantique, comment est-ce qu'on prend en compte cette mobilité dans l'accompagnement ?

  • Speaker #1

    Cet enfant qui va avoir maintenant le choix de faire des études supérieures va peut-être choisir un troisième pays par rapport à celui de ses parents et la France, qui est aussi une possibilité de trajectoire d'études. Les parents vont devoir effectivement jongler entre des opérations bancaires, voire des financements d'études supérieures. Et la banque est là pour les aider à anticiper, à suivre et puis à les accompagner au mieux pour que ça se passe dans un contexte international qu'on connaît de plus en plus complexe.

  • Speaker #0

    Et après, Lorraine et Irina nous avons interrogé aussi Adelaide qui a, elle, eu sa mention très bien à Singapour. On lui a posé la question de son futur. Partira-t-elle à l'international ? Restera-t-elle en France ? Elle nous répond et on écoutera aussi ce que feront Lorraine et Irina.

  • Speaker #4

    J'ai été influencée d'aller dans un pays étranger, plutôt que la France, même si la France, évidemment, offre des débuts extraordinaires. J'avais des opportunités également en France pour poursuivre mes études, mais j'ai personnellement choisi de plutôt aller quelque part international. Et Londres, qui était plutôt pratique, c'est le fait que je parle la langue déjà, donc c'est un avantage. mais j'avais également cette envie de continuer à être à l'étranger.

  • Speaker #2

    Moi je rentre en double diplôme entre Centrale Supélec et l'ESSEC dans un bachelor qui s'appelle EDAMS, donc relié du data, de l'intelligence artificielle et du management. Mais toujours le Canada dans un coin de ma tête et toujours l'étranger dans un coin de ma tête, c'est sûr que cette expérience m'a permis d'avoir une ouverture d'esprit et de continuer à vouloir voyager et à m'expatrier encore.

  • Speaker #3

    Pour moi, je vais poursuivre mes études à l'école polytechnique, je vais faire le bachelor de sciences. Je vais étudier, ce que je veux faire dans le futur, c'est devenir ingénieur aéronautique, spécialisé dans le développement durable. Et une autre raison pour laquelle je choisis le bachelor, c'est qu'en fait le cours est en anglais, mais en France. Donc j'ai encore une fois cette ouverture internationale tout en gardant un aspect assez francophone puisque je suis en France. Donc vraiment la France ça va être quelque chose de complètement nouveau pour moi. Par contre je ne suis pas trop inquiète parce que pendant l'été j'avais fait un stage à Imperial College London l'année dernière où il y avait des personnes de partout dans le monde et je trouvais que c'était vraiment une expérience géniale. J'arrivais vraiment à m'intégrer puisque les personnes venaient de partout. de ce fait je ne suis pas trop Je ne suis pas trop inquiète pour m'intégrer au sein de la communauté du bachelor. Par contre, vivre en France, effectivement, ça va être quelque chose de totalement nouveau. Parce que la France, quand même, comparée à Hong Kong, c'est un monde totalement différent.

  • Speaker #0

    On comprend bien à travers ces témoignages que ces lycéens sont déjà des citoyens du monde. Alors, quand on obtient le bac, Maryline, c'est évidemment une réussite individuelle, mais elle n'est pas qu'individuelle, elle est aussi collective. Il y a évidemment les enseignants, il y a l'entourage. Quel rôle joue-t-il réellement dans la réussite de ces élèves ?

  • Speaker #1

    Alors, sur les équipes éducatives, je pense que ça fait partie des valeurs importantes de l'enseignement français à l'étranger. Elles sont pleinement investies à tout niveau. très encadrante et en adaptation parfaite avec les besoins de chaque enfant. Pour les familles, c'est vrai que je pense qu'il y a un réel engagement d'être à l'international, puisque souvent ils sont assez déracinés, et on souhaite le meilleur pour ces enfants. Et je pense que même en règle générale, ces adultes, vous parliez des parents, il y a également les associations des parents d'élèves ou du corps professoral, ils peuvent être à la fois un exemple à suivre, puisque c'est des personnes qui, à l'étranger, ont des parcours de vie, mais également un soutien important pour ces jeunes adultes. J'aimais bien le terme que vous avez utilisé dans votre question, qui est « citoyens du monde » . C'est vrai qu'il faut rappeler que ces jeunes Français ont déjà une culture un peu plus large, puisqu'ils sont immergés dans un autre pays, et que concrètement, avec les options qui vont leur être proposées dans les différentes universités ou dans leurs parcours plus internationaux, ils deviennent réellement des citoyens du monde.

  • Speaker #0

    Vous parlez justement d'une jeunesse parfois déracinée, mais c'est également une jeunesse polyglotte, souvent engagée. Quel regard vous portez-vous sur cette jeunesse ?

  • Speaker #1

    Moi je préfère la considérer comme une jeunesse réellement ancrée dans le monde, capable de s'investir localement, ce qu'ils font grâce aux associations des établissements scolaires. Et ils gardent cette perspective globale, cette excellence de la diversité. Je le reprends, c'est que je considère qu'effectivement, ils deviennent des réels citoyens du monde. Et on a beaucoup de chance, effectivement, qu'ils apportent à la France ce rayonnement.

  • Speaker #0

    Et pour terminer, on va écouter Lorraine nous en parler, même si cela, évidemment, a déjà été évoqué, de ce sentiment d'ouverture sur le monde, un sentiment décidément très fort chez eux.

  • Speaker #2

    Quand on arrive déjà à Montréal, qui est très ouvert d'esprit. Pour le coup, l'ouverture d'esprit est vraiment nécessaire et c'est sûr qu'on la développe beaucoup plus rapidement quand on se retrouve à l'étranger, finalement, loin de la métropole. Finalement, ça devient presque un acquis, on ne s'en rend même plus compte. C'est tellement notre quotidien que pour nous, l'ouverture d'esprit, c'est quelque chose qui doit être acquis sans jamais trop se poser de questions parce qu'on vit dans ce bain culturel, finalement.

  • Speaker #0

    Un bain culturel qui les emmènera, nous l'espérons, très loin. En tout cas, quand nous les écoutons, nous sentons vraiment à leur voix cette fierté. Maryline, d'avoir obtenu cette mention, très bien.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Félicitations déjà à tous ces bacheliers, à leurs familles qui ont tenu dans la durée. Et j'espère qu'ils profiteront par la suite de beaux parcours et qu'on le recroisera peut-être à la Banque de l'Atlantique un jour, s'ils ont besoin de nos services.

  • Speaker #0

    Leur témoignage illustre donc la diversité aussi des parts. et l'importance d'un accompagnement attentif dès les premiers jalons à la Banque Transatlantique. Nous sommes fiers de soutenir ces trajectoires et d'être présents à chaque étape en France comme à l'étranger. A bientôt Maryline, merci beaucoup. Et merci à toutes et à tous pour votre écoute. A très bientôt pour un nouvel épisode d'A l'écoute des marchés, un peu plus classique cette fois, un podcast de la Banque Transatlantique.

Description

Comment les jeunes talents issus des lycées français à l'étranger parviennent-ils à exceller dans un environnement aussi diversifié que stimulant ? Dans cet épisode spécial du podcast "À l’écoute des marchés" de la Banque Transatlantique, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle, nous offre une découverte du parcours inspirant de ces étudiants qui ont obtenu une mention très bien au baccalauréat. À travers des témoignages de lauréats provenant de villes emblématiques telles que Singapour, Hong Kong et Montréal, nous découvrons les défis qu'ils ont surmontés et les succès qu'ils ont accumulés, illustrant ainsi l'importance de l'éducation française à l'étranger.


Marilyne Navarro met en lumière le rôle essentiel de la Banque Transatlantique dans le soutien à ces jeunes talents, soulignant l'importance des cérémonies de célébration organisées pour honorer ces élèves d'exception. Ces événements représentent bien plus qu'une simple reconnaissance ; ils incarnent un lien fort entre la France et ses citoyens à l'étranger, tout en reflétant les valeurs humanistes et l'excellence collective qui caractérisent ces établissements. Dans un monde où la gestion de fortune et la stratégie patrimoniale prennent une place prépondérante, il est essentiel de comprendre comment ces étudiants, grâce à leur éducation, se préparent à devenir des acteurs clés sur les marchés financiers internationaux.


À travers cette discussion, nous mettons en avant l'impact positif de cette éducation sur l'avenir des étudiants, leur permettant de naviguer avec aisance dans le monde complexe de la finance, de la bourse et de l'investissement.


Rejoignez-nous pour une exploration enrichissante des parcours de ces jeunes expatriés, et découvrez comment la Banque Transatlantique s'engage à soutenir l'éducation et la réussite de la prochaine génération de leaders. Ne manquez pas cet épisode captivant qui illustre parfaitement notre engagement envers l'excellence et l'innovation dans le domaine de la gestion de patrimoine et du wealth management, tout en restant à l'écoute des marchés et des évolutions du monde financier.


À l’écoute des marchés
Une série de contenus audio de la banque Transatlantique, dédiée à la gestion de fortune, aux marchés financiers, au patrimoine, à l’investissement, à la philanthropie et à la transmission, portée par les voix de celles et ceux qui font vivre la Banque Transatlantique.


Abonnez-vous pour découvrir chaque nouvel épisode, et n’hésitez pas à laisser une note ou un avis sur votre plateforme d’écoute.


Qui sommes-nous ?
Fondée en 1881, la Banque Transatlantique est une maison de gestion de fortune française, membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Elle accompagne les grandes familles, cadres dirigeants, entrepreneurs et Français de l’étranger dans toutes les dimensions de leur stratégie patrimoniale.


Pour aller plus loin :

Site : banquetransatlantique. com">www. banquetransatlantique. com
LinkedIn : linkedin. com/company/banque-transatlantique">Banque Transatlantique


Production : Direction de la communication de la Banque Transatlantique



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Chaque année, plus de 20 000 lycéens décrochent le bac dans un établissement français à l'étranger. En 2024, plus de 25% d'entre eux avaient obtenu une mention très bien. Derrière ces résultats se dessinent des parcours, des efforts, des choix parfois éloignés de la France, mais toujours guidés par l'exigence et l'ambition. Réussir brillamment le baccalauréat dans un environnement interculturel soulève des questions essentielles. Que révèlent ces réussites sur l'école, sur l'avenir ou sur l'engagement personnel ? Pour en échanger avec nous, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle de la Banque Transatlantique, qui est aujourd'hui à mes côtés. Et tout au long de cet épisode, plusieurs jeunes lauréats nous livreront également leurs témoignages depuis Bruxelles, Singapour, Hong Kong ou encore Montréal. Bienvenue dans un épisode hors série d'Allez couper des marchés, un podcast de la Banque Transatlantique. Et bonjour Marilyne.

  • Speaker #1

    Bonjour Marc-Antoine.

  • Speaker #0

    Alors Marilyne, on l'a évoqué en introduction, on va parler de ces mentions très bien. Chaque année, la banque célèbre, les élèves ayant obtenu une mention très bien. Pourquoi cet engagement spécifique de la Banque Transatlantique envers l'excellence, on va dire, scolaire ?

  • Speaker #1

    En préparant ce podcast, j'ai retrouvé des archives. Et ce qui était amusant, c'est qu'en fait, on est présent à Londres pour les mentions très bien depuis 1991. Ça note quand même une fidélité sur le sujet. Aujourd'hui, on se rend compte que les établissements français à l'étranger ont un meilleur taux de réussite. Il y a plus de 7 points par rapport au baccalauréat national, alors qu'ils ont le même contexte d'examen. C'est vrai qu'en particulier, la symbolique du baccalauréat, c'est un passage entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur, un rite de passage pour plus d'autonomie. C'est ça que nous aimons dans ce moment festif, et surtout on souhaite encourager ces jeunes personnes. à continuer à aller de l'avant.

  • Speaker #0

    Et alors justement, ces cérémonies sont organisées dans des contextes très différents, que ce soit à Singapour, à Hong Kong ou encore à Bruxelles ou Montréal. Comment s'y adapte-t-on sur chacune de ces villes qui sont très différentes ?

  • Speaker #1

    Alors, nous organisons ces cérémonies en collaboration avec nos équipes sur place, la Banque Transatlantique, les établissements scolaires et également les institutions françaises, les ambassades, les consulats qui sont très fiers en fait de leurs bacheliers. Nous avons cette année 7 événements, Londres, Ottawa, Hong Kong, Shanghai, Singapour, Bruxelles et New York. L'objectif commun à toutes ces manifestations, c'est d'organiser un événement de qualité, une fête pour le mérite des élèves, en associant au maximum les familles, le corps professoral, dans un moment qui restera finalement dans la mémoire de tous.

  • Speaker #0

    Et alors pour les communautés françaises locales, que représente cette reconnaissance ? J'imagine que c'est un moment de fierté.

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est un vrai moment de fierté pour eux. On est sur des rassemblements très positifs de la communauté française à l'étranger pour fêter leurs enfants. Ils vivent peut-être hors de France, mais ils seront acteurs du rayonnement de la France par la suite. Et il est important pour, je pense, les consulats, les ambassades, de marquer effectivement ce moment important d'autonomie de nos Français à l'international.

  • Speaker #0

    Nous avons appelé quelques lycéens pour connaître leur réaction. Je vous propose d'écouter Lorraine, elle a 17 ans et elle a obtenu sa mention très bien à Montréal. On l'écoute.

  • Speaker #2

    C'est le côté qui apporte la mention très bien. Comme vous l'avez dit, c'est le côté de l'excellence, de dire qu'on a mention très bien, on approche de cette excellence-là. On est reconnu pour être parmi un petit paquet finalement de gens qui la mention très bien et c'est une fierté supplémentaire d'avoir cette mention. Dans les lycées français de l'étranger, on nous demande d'être excellents, c'est la requête faite. On est dans les meilleurs lycées français au monde finalement, l'Amérique du Nord encore plus, donc on a vraiment cette barre encore plus haute et on le sent passer aussi et tout le monde est très au courant aussi de ça. Pour nous à Montréal, dès qu'on recevait nos mentions, on nous invitait donc à pouvoir aller à l'ambassade de France. donc à Ottawa, et donc on allait à l'ambassade de France, on se retrouvait entre lycées français de l'étranger, donc principalement que du Canada, bien évidemment, et donc l'ambassadeur faisait un discours pour nous féliciter, pour nous expliquer tout ce que représentait l'éducation française aussi à l'étranger, et c'était vraiment le côté très exclusif de dire, vu que vous êtes excellent, que vous avez eu mention très bien, vous avez ce moment-là de pouvoir visiter ce qu'est l'ambassade de France et d'avoir cet ambassadeur qui fait un discours finalement pour nous, pour nous féliciter de cette mention. Alors on sent la fierté de Lorraine, elle nous parle de la cérémonie. Alors en quoi, Maryline, cette célébration s'inscrit dans une relation de long terme avec les familles expatriées ? Et en quoi cette étape est-elle importante finalement dans le parcours que nous accompagnons à la Banque transatlantique ?

  • Speaker #1

    Alors elle fait souvent écho à d'autres moments clés où les expatriés vont se poser des questions de mobilité. Concrètement, on sait que c'est le départ à l'étranger, le retour en France. Le projet des études supérieures va les amener peut-être à aller dans un troisième pays. Les familles expatriées sont souvent sans frontières, elles se laissent le champ des possibles. Et en fait, avec ces niveaux d'études-là, il y a possibilité de créer vraiment de belles opportunités d'études supérieures, et voire de carrières à l'international. Ce qu'on aime nous dans ce sujet en lien avec les familles, c'est qu'on sait qu'il y a des portes qui vont s'ouvrir et que les familles vont être un peu de nouveau rebouleversées par ce fait d'avoir des personnes multiculturelles et dans de multiples pays.

  • Speaker #0

    Dans ces lycées français à l'étranger, les élèves, vous le soulignez, viennent d'horizons divers. Que dit cette mixité des valeurs portées par l'enseignement français ?

  • Speaker #1

    Alors, il est important de repréciser qu'on peut suivre un enseignement scolaire à l'étranger français. en n'étant pas français forcément. Ça fait partie aussi des aptitudes de certaines familles à vouloir chercher la meilleure scolarité qu'il y ait dans le pays proposé. Il y a à peu près 600 établissements de référence pour l'enseignement français à l'étranger. Et on se rend compte effectivement qu'ils apportent à la fois une scolarité de qualité, quelque chose d'effectivement assez exigeant, mais également ils sont adossés à des valeurs humanistes, comme la tolérance, l'esprit critique et aussi une ouverture d'esprit, et puis évidemment le plurilinguisme. qui va être amené à ses élèves. Dans cette mixité, on voit qu'il y a une excellence qui est collective, beaucoup d'engagement de la part des élèves, des familles, des équipes pédagogiques qui sont engagées réellement pour chacun des élèves.

  • Speaker #0

    Et cette excellence que vous évoquez, on en a échangé justement avec Irina. Elle a obtenu sa mention très bien à Hong Kong et elle nous en parle.

  • Speaker #3

    Moi, je suis très, très heureuse d'avoir... d'être ici à Hong Kong, d'avoir vécu à Hong Kong, surtout pour ma scolarité. Je trouve que j'ai eu des chances que je n'aurais pas eues si j'habitais en France. Je pense que si j'étais en France, je n'aurais pas pu faire des voyages scolaires à Taïwan, à Singapour, en Chine. Également, les classes ici à Hong Kong, elles sont assez petites. Nous avons trois classes de 20 personnes et en SP, on est 10. Donc vraiment, on a une proximité avec les profs. Et en plus de cela, on a vraiment cette touche internationale avec les voyages scolaires, les cours. très approfondie en anglais, en espagnol. Au Camp Saint-Gapoult, on a environ 60% de mentions très bien et 9 élèves ayant eu la mention très bien avec félicitations du jury sur 60. Malgré le fait qu'on est à l'international, la rigueur française est toujours là et très forte.

  • Speaker #0

    Alors Maryline, quand on écoute ces élèves, on entend souvent parler de pluralité culturelle, de mobilité. Qu'est-ce que cela change dans leur rapport, eux, à l'école ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est des établissements et puis des parcours particuliers qui leur permettent d'avoir une grande capacité d'adaptation. On l'entend par le biais de ces témoignages. Ça donne surtout envie pour eux d'aller plus loin, d'explorer davantage. Et concrètement, ils vont pouvoir se créer des opportunités très importantes pour la suite de leur parcours.

  • Speaker #0

    Certaines familles s'expatrient à de nombreux endroits, il y a beaucoup de mobilité. Du côté de la banque transatlantique, comment est-ce qu'on prend en compte cette mobilité dans l'accompagnement ?

  • Speaker #1

    Cet enfant qui va avoir maintenant le choix de faire des études supérieures va peut-être choisir un troisième pays par rapport à celui de ses parents et la France, qui est aussi une possibilité de trajectoire d'études. Les parents vont devoir effectivement jongler entre des opérations bancaires, voire des financements d'études supérieures. Et la banque est là pour les aider à anticiper, à suivre et puis à les accompagner au mieux pour que ça se passe dans un contexte international qu'on connaît de plus en plus complexe.

  • Speaker #0

    Et après, Lorraine et Irina nous avons interrogé aussi Adelaide qui a, elle, eu sa mention très bien à Singapour. On lui a posé la question de son futur. Partira-t-elle à l'international ? Restera-t-elle en France ? Elle nous répond et on écoutera aussi ce que feront Lorraine et Irina.

  • Speaker #4

    J'ai été influencée d'aller dans un pays étranger, plutôt que la France, même si la France, évidemment, offre des débuts extraordinaires. J'avais des opportunités également en France pour poursuivre mes études, mais j'ai personnellement choisi de plutôt aller quelque part international. Et Londres, qui était plutôt pratique, c'est le fait que je parle la langue déjà, donc c'est un avantage. mais j'avais également cette envie de continuer à être à l'étranger.

  • Speaker #2

    Moi je rentre en double diplôme entre Centrale Supélec et l'ESSEC dans un bachelor qui s'appelle EDAMS, donc relié du data, de l'intelligence artificielle et du management. Mais toujours le Canada dans un coin de ma tête et toujours l'étranger dans un coin de ma tête, c'est sûr que cette expérience m'a permis d'avoir une ouverture d'esprit et de continuer à vouloir voyager et à m'expatrier encore.

  • Speaker #3

    Pour moi, je vais poursuivre mes études à l'école polytechnique, je vais faire le bachelor de sciences. Je vais étudier, ce que je veux faire dans le futur, c'est devenir ingénieur aéronautique, spécialisé dans le développement durable. Et une autre raison pour laquelle je choisis le bachelor, c'est qu'en fait le cours est en anglais, mais en France. Donc j'ai encore une fois cette ouverture internationale tout en gardant un aspect assez francophone puisque je suis en France. Donc vraiment la France ça va être quelque chose de complètement nouveau pour moi. Par contre je ne suis pas trop inquiète parce que pendant l'été j'avais fait un stage à Imperial College London l'année dernière où il y avait des personnes de partout dans le monde et je trouvais que c'était vraiment une expérience géniale. J'arrivais vraiment à m'intégrer puisque les personnes venaient de partout. de ce fait je ne suis pas trop Je ne suis pas trop inquiète pour m'intégrer au sein de la communauté du bachelor. Par contre, vivre en France, effectivement, ça va être quelque chose de totalement nouveau. Parce que la France, quand même, comparée à Hong Kong, c'est un monde totalement différent.

  • Speaker #0

    On comprend bien à travers ces témoignages que ces lycéens sont déjà des citoyens du monde. Alors, quand on obtient le bac, Maryline, c'est évidemment une réussite individuelle, mais elle n'est pas qu'individuelle, elle est aussi collective. Il y a évidemment les enseignants, il y a l'entourage. Quel rôle joue-t-il réellement dans la réussite de ces élèves ?

  • Speaker #1

    Alors, sur les équipes éducatives, je pense que ça fait partie des valeurs importantes de l'enseignement français à l'étranger. Elles sont pleinement investies à tout niveau. très encadrante et en adaptation parfaite avec les besoins de chaque enfant. Pour les familles, c'est vrai que je pense qu'il y a un réel engagement d'être à l'international, puisque souvent ils sont assez déracinés, et on souhaite le meilleur pour ces enfants. Et je pense que même en règle générale, ces adultes, vous parliez des parents, il y a également les associations des parents d'élèves ou du corps professoral, ils peuvent être à la fois un exemple à suivre, puisque c'est des personnes qui, à l'étranger, ont des parcours de vie, mais également un soutien important pour ces jeunes adultes. J'aimais bien le terme que vous avez utilisé dans votre question, qui est « citoyens du monde » . C'est vrai qu'il faut rappeler que ces jeunes Français ont déjà une culture un peu plus large, puisqu'ils sont immergés dans un autre pays, et que concrètement, avec les options qui vont leur être proposées dans les différentes universités ou dans leurs parcours plus internationaux, ils deviennent réellement des citoyens du monde.

  • Speaker #0

    Vous parlez justement d'une jeunesse parfois déracinée, mais c'est également une jeunesse polyglotte, souvent engagée. Quel regard vous portez-vous sur cette jeunesse ?

  • Speaker #1

    Moi je préfère la considérer comme une jeunesse réellement ancrée dans le monde, capable de s'investir localement, ce qu'ils font grâce aux associations des établissements scolaires. Et ils gardent cette perspective globale, cette excellence de la diversité. Je le reprends, c'est que je considère qu'effectivement, ils deviennent des réels citoyens du monde. Et on a beaucoup de chance, effectivement, qu'ils apportent à la France ce rayonnement.

  • Speaker #0

    Et pour terminer, on va écouter Lorraine nous en parler, même si cela, évidemment, a déjà été évoqué, de ce sentiment d'ouverture sur le monde, un sentiment décidément très fort chez eux.

  • Speaker #2

    Quand on arrive déjà à Montréal, qui est très ouvert d'esprit. Pour le coup, l'ouverture d'esprit est vraiment nécessaire et c'est sûr qu'on la développe beaucoup plus rapidement quand on se retrouve à l'étranger, finalement, loin de la métropole. Finalement, ça devient presque un acquis, on ne s'en rend même plus compte. C'est tellement notre quotidien que pour nous, l'ouverture d'esprit, c'est quelque chose qui doit être acquis sans jamais trop se poser de questions parce qu'on vit dans ce bain culturel, finalement.

  • Speaker #0

    Un bain culturel qui les emmènera, nous l'espérons, très loin. En tout cas, quand nous les écoutons, nous sentons vraiment à leur voix cette fierté. Maryline, d'avoir obtenu cette mention, très bien.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Félicitations déjà à tous ces bacheliers, à leurs familles qui ont tenu dans la durée. Et j'espère qu'ils profiteront par la suite de beaux parcours et qu'on le recroisera peut-être à la Banque de l'Atlantique un jour, s'ils ont besoin de nos services.

  • Speaker #0

    Leur témoignage illustre donc la diversité aussi des parts. et l'importance d'un accompagnement attentif dès les premiers jalons à la Banque Transatlantique. Nous sommes fiers de soutenir ces trajectoires et d'être présents à chaque étape en France comme à l'étranger. A bientôt Maryline, merci beaucoup. Et merci à toutes et à tous pour votre écoute. A très bientôt pour un nouvel épisode d'A l'écoute des marchés, un peu plus classique cette fois, un podcast de la Banque Transatlantique.

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Description

Comment les jeunes talents issus des lycées français à l'étranger parviennent-ils à exceller dans un environnement aussi diversifié que stimulant ? Dans cet épisode spécial du podcast "À l’écoute des marchés" de la Banque Transatlantique, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle, nous offre une découverte du parcours inspirant de ces étudiants qui ont obtenu une mention très bien au baccalauréat. À travers des témoignages de lauréats provenant de villes emblématiques telles que Singapour, Hong Kong et Montréal, nous découvrons les défis qu'ils ont surmontés et les succès qu'ils ont accumulés, illustrant ainsi l'importance de l'éducation française à l'étranger.


Marilyne Navarro met en lumière le rôle essentiel de la Banque Transatlantique dans le soutien à ces jeunes talents, soulignant l'importance des cérémonies de célébration organisées pour honorer ces élèves d'exception. Ces événements représentent bien plus qu'une simple reconnaissance ; ils incarnent un lien fort entre la France et ses citoyens à l'étranger, tout en reflétant les valeurs humanistes et l'excellence collective qui caractérisent ces établissements. Dans un monde où la gestion de fortune et la stratégie patrimoniale prennent une place prépondérante, il est essentiel de comprendre comment ces étudiants, grâce à leur éducation, se préparent à devenir des acteurs clés sur les marchés financiers internationaux.


À travers cette discussion, nous mettons en avant l'impact positif de cette éducation sur l'avenir des étudiants, leur permettant de naviguer avec aisance dans le monde complexe de la finance, de la bourse et de l'investissement.


Rejoignez-nous pour une exploration enrichissante des parcours de ces jeunes expatriés, et découvrez comment la Banque Transatlantique s'engage à soutenir l'éducation et la réussite de la prochaine génération de leaders. Ne manquez pas cet épisode captivant qui illustre parfaitement notre engagement envers l'excellence et l'innovation dans le domaine de la gestion de patrimoine et du wealth management, tout en restant à l'écoute des marchés et des évolutions du monde financier.


À l’écoute des marchés
Une série de contenus audio de la banque Transatlantique, dédiée à la gestion de fortune, aux marchés financiers, au patrimoine, à l’investissement, à la philanthropie et à la transmission, portée par les voix de celles et ceux qui font vivre la Banque Transatlantique.


Abonnez-vous pour découvrir chaque nouvel épisode, et n’hésitez pas à laisser une note ou un avis sur votre plateforme d’écoute.


Qui sommes-nous ?
Fondée en 1881, la Banque Transatlantique est une maison de gestion de fortune française, membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Elle accompagne les grandes familles, cadres dirigeants, entrepreneurs et Français de l’étranger dans toutes les dimensions de leur stratégie patrimoniale.


Pour aller plus loin :

Site : banquetransatlantique. com">www. banquetransatlantique. com
LinkedIn : linkedin. com/company/banque-transatlantique">Banque Transatlantique


Production : Direction de la communication de la Banque Transatlantique



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Chaque année, plus de 20 000 lycéens décrochent le bac dans un établissement français à l'étranger. En 2024, plus de 25% d'entre eux avaient obtenu une mention très bien. Derrière ces résultats se dessinent des parcours, des efforts, des choix parfois éloignés de la France, mais toujours guidés par l'exigence et l'ambition. Réussir brillamment le baccalauréat dans un environnement interculturel soulève des questions essentielles. Que révèlent ces réussites sur l'école, sur l'avenir ou sur l'engagement personnel ? Pour en échanger avec nous, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle de la Banque Transatlantique, qui est aujourd'hui à mes côtés. Et tout au long de cet épisode, plusieurs jeunes lauréats nous livreront également leurs témoignages depuis Bruxelles, Singapour, Hong Kong ou encore Montréal. Bienvenue dans un épisode hors série d'Allez couper des marchés, un podcast de la Banque Transatlantique. Et bonjour Marilyne.

  • Speaker #1

    Bonjour Marc-Antoine.

  • Speaker #0

    Alors Marilyne, on l'a évoqué en introduction, on va parler de ces mentions très bien. Chaque année, la banque célèbre, les élèves ayant obtenu une mention très bien. Pourquoi cet engagement spécifique de la Banque Transatlantique envers l'excellence, on va dire, scolaire ?

  • Speaker #1

    En préparant ce podcast, j'ai retrouvé des archives. Et ce qui était amusant, c'est qu'en fait, on est présent à Londres pour les mentions très bien depuis 1991. Ça note quand même une fidélité sur le sujet. Aujourd'hui, on se rend compte que les établissements français à l'étranger ont un meilleur taux de réussite. Il y a plus de 7 points par rapport au baccalauréat national, alors qu'ils ont le même contexte d'examen. C'est vrai qu'en particulier, la symbolique du baccalauréat, c'est un passage entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur, un rite de passage pour plus d'autonomie. C'est ça que nous aimons dans ce moment festif, et surtout on souhaite encourager ces jeunes personnes. à continuer à aller de l'avant.

  • Speaker #0

    Et alors justement, ces cérémonies sont organisées dans des contextes très différents, que ce soit à Singapour, à Hong Kong ou encore à Bruxelles ou Montréal. Comment s'y adapte-t-on sur chacune de ces villes qui sont très différentes ?

  • Speaker #1

    Alors, nous organisons ces cérémonies en collaboration avec nos équipes sur place, la Banque Transatlantique, les établissements scolaires et également les institutions françaises, les ambassades, les consulats qui sont très fiers en fait de leurs bacheliers. Nous avons cette année 7 événements, Londres, Ottawa, Hong Kong, Shanghai, Singapour, Bruxelles et New York. L'objectif commun à toutes ces manifestations, c'est d'organiser un événement de qualité, une fête pour le mérite des élèves, en associant au maximum les familles, le corps professoral, dans un moment qui restera finalement dans la mémoire de tous.

  • Speaker #0

    Et alors pour les communautés françaises locales, que représente cette reconnaissance ? J'imagine que c'est un moment de fierté.

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est un vrai moment de fierté pour eux. On est sur des rassemblements très positifs de la communauté française à l'étranger pour fêter leurs enfants. Ils vivent peut-être hors de France, mais ils seront acteurs du rayonnement de la France par la suite. Et il est important pour, je pense, les consulats, les ambassades, de marquer effectivement ce moment important d'autonomie de nos Français à l'international.

  • Speaker #0

    Nous avons appelé quelques lycéens pour connaître leur réaction. Je vous propose d'écouter Lorraine, elle a 17 ans et elle a obtenu sa mention très bien à Montréal. On l'écoute.

  • Speaker #2

    C'est le côté qui apporte la mention très bien. Comme vous l'avez dit, c'est le côté de l'excellence, de dire qu'on a mention très bien, on approche de cette excellence-là. On est reconnu pour être parmi un petit paquet finalement de gens qui la mention très bien et c'est une fierté supplémentaire d'avoir cette mention. Dans les lycées français de l'étranger, on nous demande d'être excellents, c'est la requête faite. On est dans les meilleurs lycées français au monde finalement, l'Amérique du Nord encore plus, donc on a vraiment cette barre encore plus haute et on le sent passer aussi et tout le monde est très au courant aussi de ça. Pour nous à Montréal, dès qu'on recevait nos mentions, on nous invitait donc à pouvoir aller à l'ambassade de France. donc à Ottawa, et donc on allait à l'ambassade de France, on se retrouvait entre lycées français de l'étranger, donc principalement que du Canada, bien évidemment, et donc l'ambassadeur faisait un discours pour nous féliciter, pour nous expliquer tout ce que représentait l'éducation française aussi à l'étranger, et c'était vraiment le côté très exclusif de dire, vu que vous êtes excellent, que vous avez eu mention très bien, vous avez ce moment-là de pouvoir visiter ce qu'est l'ambassade de France et d'avoir cet ambassadeur qui fait un discours finalement pour nous, pour nous féliciter de cette mention. Alors on sent la fierté de Lorraine, elle nous parle de la cérémonie. Alors en quoi, Maryline, cette célébration s'inscrit dans une relation de long terme avec les familles expatriées ? Et en quoi cette étape est-elle importante finalement dans le parcours que nous accompagnons à la Banque transatlantique ?

  • Speaker #1

    Alors elle fait souvent écho à d'autres moments clés où les expatriés vont se poser des questions de mobilité. Concrètement, on sait que c'est le départ à l'étranger, le retour en France. Le projet des études supérieures va les amener peut-être à aller dans un troisième pays. Les familles expatriées sont souvent sans frontières, elles se laissent le champ des possibles. Et en fait, avec ces niveaux d'études-là, il y a possibilité de créer vraiment de belles opportunités d'études supérieures, et voire de carrières à l'international. Ce qu'on aime nous dans ce sujet en lien avec les familles, c'est qu'on sait qu'il y a des portes qui vont s'ouvrir et que les familles vont être un peu de nouveau rebouleversées par ce fait d'avoir des personnes multiculturelles et dans de multiples pays.

  • Speaker #0

    Dans ces lycées français à l'étranger, les élèves, vous le soulignez, viennent d'horizons divers. Que dit cette mixité des valeurs portées par l'enseignement français ?

  • Speaker #1

    Alors, il est important de repréciser qu'on peut suivre un enseignement scolaire à l'étranger français. en n'étant pas français forcément. Ça fait partie aussi des aptitudes de certaines familles à vouloir chercher la meilleure scolarité qu'il y ait dans le pays proposé. Il y a à peu près 600 établissements de référence pour l'enseignement français à l'étranger. Et on se rend compte effectivement qu'ils apportent à la fois une scolarité de qualité, quelque chose d'effectivement assez exigeant, mais également ils sont adossés à des valeurs humanistes, comme la tolérance, l'esprit critique et aussi une ouverture d'esprit, et puis évidemment le plurilinguisme. qui va être amené à ses élèves. Dans cette mixité, on voit qu'il y a une excellence qui est collective, beaucoup d'engagement de la part des élèves, des familles, des équipes pédagogiques qui sont engagées réellement pour chacun des élèves.

  • Speaker #0

    Et cette excellence que vous évoquez, on en a échangé justement avec Irina. Elle a obtenu sa mention très bien à Hong Kong et elle nous en parle.

  • Speaker #3

    Moi, je suis très, très heureuse d'avoir... d'être ici à Hong Kong, d'avoir vécu à Hong Kong, surtout pour ma scolarité. Je trouve que j'ai eu des chances que je n'aurais pas eues si j'habitais en France. Je pense que si j'étais en France, je n'aurais pas pu faire des voyages scolaires à Taïwan, à Singapour, en Chine. Également, les classes ici à Hong Kong, elles sont assez petites. Nous avons trois classes de 20 personnes et en SP, on est 10. Donc vraiment, on a une proximité avec les profs. Et en plus de cela, on a vraiment cette touche internationale avec les voyages scolaires, les cours. très approfondie en anglais, en espagnol. Au Camp Saint-Gapoult, on a environ 60% de mentions très bien et 9 élèves ayant eu la mention très bien avec félicitations du jury sur 60. Malgré le fait qu'on est à l'international, la rigueur française est toujours là et très forte.

  • Speaker #0

    Alors Maryline, quand on écoute ces élèves, on entend souvent parler de pluralité culturelle, de mobilité. Qu'est-ce que cela change dans leur rapport, eux, à l'école ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est des établissements et puis des parcours particuliers qui leur permettent d'avoir une grande capacité d'adaptation. On l'entend par le biais de ces témoignages. Ça donne surtout envie pour eux d'aller plus loin, d'explorer davantage. Et concrètement, ils vont pouvoir se créer des opportunités très importantes pour la suite de leur parcours.

  • Speaker #0

    Certaines familles s'expatrient à de nombreux endroits, il y a beaucoup de mobilité. Du côté de la banque transatlantique, comment est-ce qu'on prend en compte cette mobilité dans l'accompagnement ?

  • Speaker #1

    Cet enfant qui va avoir maintenant le choix de faire des études supérieures va peut-être choisir un troisième pays par rapport à celui de ses parents et la France, qui est aussi une possibilité de trajectoire d'études. Les parents vont devoir effectivement jongler entre des opérations bancaires, voire des financements d'études supérieures. Et la banque est là pour les aider à anticiper, à suivre et puis à les accompagner au mieux pour que ça se passe dans un contexte international qu'on connaît de plus en plus complexe.

  • Speaker #0

    Et après, Lorraine et Irina nous avons interrogé aussi Adelaide qui a, elle, eu sa mention très bien à Singapour. On lui a posé la question de son futur. Partira-t-elle à l'international ? Restera-t-elle en France ? Elle nous répond et on écoutera aussi ce que feront Lorraine et Irina.

  • Speaker #4

    J'ai été influencée d'aller dans un pays étranger, plutôt que la France, même si la France, évidemment, offre des débuts extraordinaires. J'avais des opportunités également en France pour poursuivre mes études, mais j'ai personnellement choisi de plutôt aller quelque part international. Et Londres, qui était plutôt pratique, c'est le fait que je parle la langue déjà, donc c'est un avantage. mais j'avais également cette envie de continuer à être à l'étranger.

  • Speaker #2

    Moi je rentre en double diplôme entre Centrale Supélec et l'ESSEC dans un bachelor qui s'appelle EDAMS, donc relié du data, de l'intelligence artificielle et du management. Mais toujours le Canada dans un coin de ma tête et toujours l'étranger dans un coin de ma tête, c'est sûr que cette expérience m'a permis d'avoir une ouverture d'esprit et de continuer à vouloir voyager et à m'expatrier encore.

  • Speaker #3

    Pour moi, je vais poursuivre mes études à l'école polytechnique, je vais faire le bachelor de sciences. Je vais étudier, ce que je veux faire dans le futur, c'est devenir ingénieur aéronautique, spécialisé dans le développement durable. Et une autre raison pour laquelle je choisis le bachelor, c'est qu'en fait le cours est en anglais, mais en France. Donc j'ai encore une fois cette ouverture internationale tout en gardant un aspect assez francophone puisque je suis en France. Donc vraiment la France ça va être quelque chose de complètement nouveau pour moi. Par contre je ne suis pas trop inquiète parce que pendant l'été j'avais fait un stage à Imperial College London l'année dernière où il y avait des personnes de partout dans le monde et je trouvais que c'était vraiment une expérience géniale. J'arrivais vraiment à m'intégrer puisque les personnes venaient de partout. de ce fait je ne suis pas trop Je ne suis pas trop inquiète pour m'intégrer au sein de la communauté du bachelor. Par contre, vivre en France, effectivement, ça va être quelque chose de totalement nouveau. Parce que la France, quand même, comparée à Hong Kong, c'est un monde totalement différent.

  • Speaker #0

    On comprend bien à travers ces témoignages que ces lycéens sont déjà des citoyens du monde. Alors, quand on obtient le bac, Maryline, c'est évidemment une réussite individuelle, mais elle n'est pas qu'individuelle, elle est aussi collective. Il y a évidemment les enseignants, il y a l'entourage. Quel rôle joue-t-il réellement dans la réussite de ces élèves ?

  • Speaker #1

    Alors, sur les équipes éducatives, je pense que ça fait partie des valeurs importantes de l'enseignement français à l'étranger. Elles sont pleinement investies à tout niveau. très encadrante et en adaptation parfaite avec les besoins de chaque enfant. Pour les familles, c'est vrai que je pense qu'il y a un réel engagement d'être à l'international, puisque souvent ils sont assez déracinés, et on souhaite le meilleur pour ces enfants. Et je pense que même en règle générale, ces adultes, vous parliez des parents, il y a également les associations des parents d'élèves ou du corps professoral, ils peuvent être à la fois un exemple à suivre, puisque c'est des personnes qui, à l'étranger, ont des parcours de vie, mais également un soutien important pour ces jeunes adultes. J'aimais bien le terme que vous avez utilisé dans votre question, qui est « citoyens du monde » . C'est vrai qu'il faut rappeler que ces jeunes Français ont déjà une culture un peu plus large, puisqu'ils sont immergés dans un autre pays, et que concrètement, avec les options qui vont leur être proposées dans les différentes universités ou dans leurs parcours plus internationaux, ils deviennent réellement des citoyens du monde.

  • Speaker #0

    Vous parlez justement d'une jeunesse parfois déracinée, mais c'est également une jeunesse polyglotte, souvent engagée. Quel regard vous portez-vous sur cette jeunesse ?

  • Speaker #1

    Moi je préfère la considérer comme une jeunesse réellement ancrée dans le monde, capable de s'investir localement, ce qu'ils font grâce aux associations des établissements scolaires. Et ils gardent cette perspective globale, cette excellence de la diversité. Je le reprends, c'est que je considère qu'effectivement, ils deviennent des réels citoyens du monde. Et on a beaucoup de chance, effectivement, qu'ils apportent à la France ce rayonnement.

  • Speaker #0

    Et pour terminer, on va écouter Lorraine nous en parler, même si cela, évidemment, a déjà été évoqué, de ce sentiment d'ouverture sur le monde, un sentiment décidément très fort chez eux.

  • Speaker #2

    Quand on arrive déjà à Montréal, qui est très ouvert d'esprit. Pour le coup, l'ouverture d'esprit est vraiment nécessaire et c'est sûr qu'on la développe beaucoup plus rapidement quand on se retrouve à l'étranger, finalement, loin de la métropole. Finalement, ça devient presque un acquis, on ne s'en rend même plus compte. C'est tellement notre quotidien que pour nous, l'ouverture d'esprit, c'est quelque chose qui doit être acquis sans jamais trop se poser de questions parce qu'on vit dans ce bain culturel, finalement.

  • Speaker #0

    Un bain culturel qui les emmènera, nous l'espérons, très loin. En tout cas, quand nous les écoutons, nous sentons vraiment à leur voix cette fierté. Maryline, d'avoir obtenu cette mention, très bien.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Félicitations déjà à tous ces bacheliers, à leurs familles qui ont tenu dans la durée. Et j'espère qu'ils profiteront par la suite de beaux parcours et qu'on le recroisera peut-être à la Banque de l'Atlantique un jour, s'ils ont besoin de nos services.

  • Speaker #0

    Leur témoignage illustre donc la diversité aussi des parts. et l'importance d'un accompagnement attentif dès les premiers jalons à la Banque Transatlantique. Nous sommes fiers de soutenir ces trajectoires et d'être présents à chaque étape en France comme à l'étranger. A bientôt Maryline, merci beaucoup. Et merci à toutes et à tous pour votre écoute. A très bientôt pour un nouvel épisode d'A l'écoute des marchés, un peu plus classique cette fois, un podcast de la Banque Transatlantique.

Description

Comment les jeunes talents issus des lycées français à l'étranger parviennent-ils à exceller dans un environnement aussi diversifié que stimulant ? Dans cet épisode spécial du podcast "À l’écoute des marchés" de la Banque Transatlantique, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle, nous offre une découverte du parcours inspirant de ces étudiants qui ont obtenu une mention très bien au baccalauréat. À travers des témoignages de lauréats provenant de villes emblématiques telles que Singapour, Hong Kong et Montréal, nous découvrons les défis qu'ils ont surmontés et les succès qu'ils ont accumulés, illustrant ainsi l'importance de l'éducation française à l'étranger.


Marilyne Navarro met en lumière le rôle essentiel de la Banque Transatlantique dans le soutien à ces jeunes talents, soulignant l'importance des cérémonies de célébration organisées pour honorer ces élèves d'exception. Ces événements représentent bien plus qu'une simple reconnaissance ; ils incarnent un lien fort entre la France et ses citoyens à l'étranger, tout en reflétant les valeurs humanistes et l'excellence collective qui caractérisent ces établissements. Dans un monde où la gestion de fortune et la stratégie patrimoniale prennent une place prépondérante, il est essentiel de comprendre comment ces étudiants, grâce à leur éducation, se préparent à devenir des acteurs clés sur les marchés financiers internationaux.


À travers cette discussion, nous mettons en avant l'impact positif de cette éducation sur l'avenir des étudiants, leur permettant de naviguer avec aisance dans le monde complexe de la finance, de la bourse et de l'investissement.


Rejoignez-nous pour une exploration enrichissante des parcours de ces jeunes expatriés, et découvrez comment la Banque Transatlantique s'engage à soutenir l'éducation et la réussite de la prochaine génération de leaders. Ne manquez pas cet épisode captivant qui illustre parfaitement notre engagement envers l'excellence et l'innovation dans le domaine de la gestion de patrimoine et du wealth management, tout en restant à l'écoute des marchés et des évolutions du monde financier.


À l’écoute des marchés
Une série de contenus audio de la banque Transatlantique, dédiée à la gestion de fortune, aux marchés financiers, au patrimoine, à l’investissement, à la philanthropie et à la transmission, portée par les voix de celles et ceux qui font vivre la Banque Transatlantique.


Abonnez-vous pour découvrir chaque nouvel épisode, et n’hésitez pas à laisser une note ou un avis sur votre plateforme d’écoute.


Qui sommes-nous ?
Fondée en 1881, la Banque Transatlantique est une maison de gestion de fortune française, membre de Crédit Mutuel Alliance Fédérale.
Elle accompagne les grandes familles, cadres dirigeants, entrepreneurs et Français de l’étranger dans toutes les dimensions de leur stratégie patrimoniale.


Pour aller plus loin :

Site : banquetransatlantique. com">www. banquetransatlantique. com
LinkedIn : linkedin. com/company/banque-transatlantique">Banque Transatlantique


Production : Direction de la communication de la Banque Transatlantique



Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Chaque année, plus de 20 000 lycéens décrochent le bac dans un établissement français à l'étranger. En 2024, plus de 25% d'entre eux avaient obtenu une mention très bien. Derrière ces résultats se dessinent des parcours, des efforts, des choix parfois éloignés de la France, mais toujours guidés par l'exigence et l'ambition. Réussir brillamment le baccalauréat dans un environnement interculturel soulève des questions essentielles. Que révèlent ces réussites sur l'école, sur l'avenir ou sur l'engagement personnel ? Pour en échanger avec nous, Marilyne Navarro, directrice du développement de la clientèle de la Banque Transatlantique, qui est aujourd'hui à mes côtés. Et tout au long de cet épisode, plusieurs jeunes lauréats nous livreront également leurs témoignages depuis Bruxelles, Singapour, Hong Kong ou encore Montréal. Bienvenue dans un épisode hors série d'Allez couper des marchés, un podcast de la Banque Transatlantique. Et bonjour Marilyne.

  • Speaker #1

    Bonjour Marc-Antoine.

  • Speaker #0

    Alors Marilyne, on l'a évoqué en introduction, on va parler de ces mentions très bien. Chaque année, la banque célèbre, les élèves ayant obtenu une mention très bien. Pourquoi cet engagement spécifique de la Banque Transatlantique envers l'excellence, on va dire, scolaire ?

  • Speaker #1

    En préparant ce podcast, j'ai retrouvé des archives. Et ce qui était amusant, c'est qu'en fait, on est présent à Londres pour les mentions très bien depuis 1991. Ça note quand même une fidélité sur le sujet. Aujourd'hui, on se rend compte que les établissements français à l'étranger ont un meilleur taux de réussite. Il y a plus de 7 points par rapport au baccalauréat national, alors qu'ils ont le même contexte d'examen. C'est vrai qu'en particulier, la symbolique du baccalauréat, c'est un passage entre l'enseignement secondaire et l'enseignement supérieur, un rite de passage pour plus d'autonomie. C'est ça que nous aimons dans ce moment festif, et surtout on souhaite encourager ces jeunes personnes. à continuer à aller de l'avant.

  • Speaker #0

    Et alors justement, ces cérémonies sont organisées dans des contextes très différents, que ce soit à Singapour, à Hong Kong ou encore à Bruxelles ou Montréal. Comment s'y adapte-t-on sur chacune de ces villes qui sont très différentes ?

  • Speaker #1

    Alors, nous organisons ces cérémonies en collaboration avec nos équipes sur place, la Banque Transatlantique, les établissements scolaires et également les institutions françaises, les ambassades, les consulats qui sont très fiers en fait de leurs bacheliers. Nous avons cette année 7 événements, Londres, Ottawa, Hong Kong, Shanghai, Singapour, Bruxelles et New York. L'objectif commun à toutes ces manifestations, c'est d'organiser un événement de qualité, une fête pour le mérite des élèves, en associant au maximum les familles, le corps professoral, dans un moment qui restera finalement dans la mémoire de tous.

  • Speaker #0

    Et alors pour les communautés françaises locales, que représente cette reconnaissance ? J'imagine que c'est un moment de fierté.

  • Speaker #1

    Oui, je pense que c'est un vrai moment de fierté pour eux. On est sur des rassemblements très positifs de la communauté française à l'étranger pour fêter leurs enfants. Ils vivent peut-être hors de France, mais ils seront acteurs du rayonnement de la France par la suite. Et il est important pour, je pense, les consulats, les ambassades, de marquer effectivement ce moment important d'autonomie de nos Français à l'international.

  • Speaker #0

    Nous avons appelé quelques lycéens pour connaître leur réaction. Je vous propose d'écouter Lorraine, elle a 17 ans et elle a obtenu sa mention très bien à Montréal. On l'écoute.

  • Speaker #2

    C'est le côté qui apporte la mention très bien. Comme vous l'avez dit, c'est le côté de l'excellence, de dire qu'on a mention très bien, on approche de cette excellence-là. On est reconnu pour être parmi un petit paquet finalement de gens qui la mention très bien et c'est une fierté supplémentaire d'avoir cette mention. Dans les lycées français de l'étranger, on nous demande d'être excellents, c'est la requête faite. On est dans les meilleurs lycées français au monde finalement, l'Amérique du Nord encore plus, donc on a vraiment cette barre encore plus haute et on le sent passer aussi et tout le monde est très au courant aussi de ça. Pour nous à Montréal, dès qu'on recevait nos mentions, on nous invitait donc à pouvoir aller à l'ambassade de France. donc à Ottawa, et donc on allait à l'ambassade de France, on se retrouvait entre lycées français de l'étranger, donc principalement que du Canada, bien évidemment, et donc l'ambassadeur faisait un discours pour nous féliciter, pour nous expliquer tout ce que représentait l'éducation française aussi à l'étranger, et c'était vraiment le côté très exclusif de dire, vu que vous êtes excellent, que vous avez eu mention très bien, vous avez ce moment-là de pouvoir visiter ce qu'est l'ambassade de France et d'avoir cet ambassadeur qui fait un discours finalement pour nous, pour nous féliciter de cette mention. Alors on sent la fierté de Lorraine, elle nous parle de la cérémonie. Alors en quoi, Maryline, cette célébration s'inscrit dans une relation de long terme avec les familles expatriées ? Et en quoi cette étape est-elle importante finalement dans le parcours que nous accompagnons à la Banque transatlantique ?

  • Speaker #1

    Alors elle fait souvent écho à d'autres moments clés où les expatriés vont se poser des questions de mobilité. Concrètement, on sait que c'est le départ à l'étranger, le retour en France. Le projet des études supérieures va les amener peut-être à aller dans un troisième pays. Les familles expatriées sont souvent sans frontières, elles se laissent le champ des possibles. Et en fait, avec ces niveaux d'études-là, il y a possibilité de créer vraiment de belles opportunités d'études supérieures, et voire de carrières à l'international. Ce qu'on aime nous dans ce sujet en lien avec les familles, c'est qu'on sait qu'il y a des portes qui vont s'ouvrir et que les familles vont être un peu de nouveau rebouleversées par ce fait d'avoir des personnes multiculturelles et dans de multiples pays.

  • Speaker #0

    Dans ces lycées français à l'étranger, les élèves, vous le soulignez, viennent d'horizons divers. Que dit cette mixité des valeurs portées par l'enseignement français ?

  • Speaker #1

    Alors, il est important de repréciser qu'on peut suivre un enseignement scolaire à l'étranger français. en n'étant pas français forcément. Ça fait partie aussi des aptitudes de certaines familles à vouloir chercher la meilleure scolarité qu'il y ait dans le pays proposé. Il y a à peu près 600 établissements de référence pour l'enseignement français à l'étranger. Et on se rend compte effectivement qu'ils apportent à la fois une scolarité de qualité, quelque chose d'effectivement assez exigeant, mais également ils sont adossés à des valeurs humanistes, comme la tolérance, l'esprit critique et aussi une ouverture d'esprit, et puis évidemment le plurilinguisme. qui va être amené à ses élèves. Dans cette mixité, on voit qu'il y a une excellence qui est collective, beaucoup d'engagement de la part des élèves, des familles, des équipes pédagogiques qui sont engagées réellement pour chacun des élèves.

  • Speaker #0

    Et cette excellence que vous évoquez, on en a échangé justement avec Irina. Elle a obtenu sa mention très bien à Hong Kong et elle nous en parle.

  • Speaker #3

    Moi, je suis très, très heureuse d'avoir... d'être ici à Hong Kong, d'avoir vécu à Hong Kong, surtout pour ma scolarité. Je trouve que j'ai eu des chances que je n'aurais pas eues si j'habitais en France. Je pense que si j'étais en France, je n'aurais pas pu faire des voyages scolaires à Taïwan, à Singapour, en Chine. Également, les classes ici à Hong Kong, elles sont assez petites. Nous avons trois classes de 20 personnes et en SP, on est 10. Donc vraiment, on a une proximité avec les profs. Et en plus de cela, on a vraiment cette touche internationale avec les voyages scolaires, les cours. très approfondie en anglais, en espagnol. Au Camp Saint-Gapoult, on a environ 60% de mentions très bien et 9 élèves ayant eu la mention très bien avec félicitations du jury sur 60. Malgré le fait qu'on est à l'international, la rigueur française est toujours là et très forte.

  • Speaker #0

    Alors Maryline, quand on écoute ces élèves, on entend souvent parler de pluralité culturelle, de mobilité. Qu'est-ce que cela change dans leur rapport, eux, à l'école ?

  • Speaker #1

    Je pense que c'est des établissements et puis des parcours particuliers qui leur permettent d'avoir une grande capacité d'adaptation. On l'entend par le biais de ces témoignages. Ça donne surtout envie pour eux d'aller plus loin, d'explorer davantage. Et concrètement, ils vont pouvoir se créer des opportunités très importantes pour la suite de leur parcours.

  • Speaker #0

    Certaines familles s'expatrient à de nombreux endroits, il y a beaucoup de mobilité. Du côté de la banque transatlantique, comment est-ce qu'on prend en compte cette mobilité dans l'accompagnement ?

  • Speaker #1

    Cet enfant qui va avoir maintenant le choix de faire des études supérieures va peut-être choisir un troisième pays par rapport à celui de ses parents et la France, qui est aussi une possibilité de trajectoire d'études. Les parents vont devoir effectivement jongler entre des opérations bancaires, voire des financements d'études supérieures. Et la banque est là pour les aider à anticiper, à suivre et puis à les accompagner au mieux pour que ça se passe dans un contexte international qu'on connaît de plus en plus complexe.

  • Speaker #0

    Et après, Lorraine et Irina nous avons interrogé aussi Adelaide qui a, elle, eu sa mention très bien à Singapour. On lui a posé la question de son futur. Partira-t-elle à l'international ? Restera-t-elle en France ? Elle nous répond et on écoutera aussi ce que feront Lorraine et Irina.

  • Speaker #4

    J'ai été influencée d'aller dans un pays étranger, plutôt que la France, même si la France, évidemment, offre des débuts extraordinaires. J'avais des opportunités également en France pour poursuivre mes études, mais j'ai personnellement choisi de plutôt aller quelque part international. Et Londres, qui était plutôt pratique, c'est le fait que je parle la langue déjà, donc c'est un avantage. mais j'avais également cette envie de continuer à être à l'étranger.

  • Speaker #2

    Moi je rentre en double diplôme entre Centrale Supélec et l'ESSEC dans un bachelor qui s'appelle EDAMS, donc relié du data, de l'intelligence artificielle et du management. Mais toujours le Canada dans un coin de ma tête et toujours l'étranger dans un coin de ma tête, c'est sûr que cette expérience m'a permis d'avoir une ouverture d'esprit et de continuer à vouloir voyager et à m'expatrier encore.

  • Speaker #3

    Pour moi, je vais poursuivre mes études à l'école polytechnique, je vais faire le bachelor de sciences. Je vais étudier, ce que je veux faire dans le futur, c'est devenir ingénieur aéronautique, spécialisé dans le développement durable. Et une autre raison pour laquelle je choisis le bachelor, c'est qu'en fait le cours est en anglais, mais en France. Donc j'ai encore une fois cette ouverture internationale tout en gardant un aspect assez francophone puisque je suis en France. Donc vraiment la France ça va être quelque chose de complètement nouveau pour moi. Par contre je ne suis pas trop inquiète parce que pendant l'été j'avais fait un stage à Imperial College London l'année dernière où il y avait des personnes de partout dans le monde et je trouvais que c'était vraiment une expérience géniale. J'arrivais vraiment à m'intégrer puisque les personnes venaient de partout. de ce fait je ne suis pas trop Je ne suis pas trop inquiète pour m'intégrer au sein de la communauté du bachelor. Par contre, vivre en France, effectivement, ça va être quelque chose de totalement nouveau. Parce que la France, quand même, comparée à Hong Kong, c'est un monde totalement différent.

  • Speaker #0

    On comprend bien à travers ces témoignages que ces lycéens sont déjà des citoyens du monde. Alors, quand on obtient le bac, Maryline, c'est évidemment une réussite individuelle, mais elle n'est pas qu'individuelle, elle est aussi collective. Il y a évidemment les enseignants, il y a l'entourage. Quel rôle joue-t-il réellement dans la réussite de ces élèves ?

  • Speaker #1

    Alors, sur les équipes éducatives, je pense que ça fait partie des valeurs importantes de l'enseignement français à l'étranger. Elles sont pleinement investies à tout niveau. très encadrante et en adaptation parfaite avec les besoins de chaque enfant. Pour les familles, c'est vrai que je pense qu'il y a un réel engagement d'être à l'international, puisque souvent ils sont assez déracinés, et on souhaite le meilleur pour ces enfants. Et je pense que même en règle générale, ces adultes, vous parliez des parents, il y a également les associations des parents d'élèves ou du corps professoral, ils peuvent être à la fois un exemple à suivre, puisque c'est des personnes qui, à l'étranger, ont des parcours de vie, mais également un soutien important pour ces jeunes adultes. J'aimais bien le terme que vous avez utilisé dans votre question, qui est « citoyens du monde » . C'est vrai qu'il faut rappeler que ces jeunes Français ont déjà une culture un peu plus large, puisqu'ils sont immergés dans un autre pays, et que concrètement, avec les options qui vont leur être proposées dans les différentes universités ou dans leurs parcours plus internationaux, ils deviennent réellement des citoyens du monde.

  • Speaker #0

    Vous parlez justement d'une jeunesse parfois déracinée, mais c'est également une jeunesse polyglotte, souvent engagée. Quel regard vous portez-vous sur cette jeunesse ?

  • Speaker #1

    Moi je préfère la considérer comme une jeunesse réellement ancrée dans le monde, capable de s'investir localement, ce qu'ils font grâce aux associations des établissements scolaires. Et ils gardent cette perspective globale, cette excellence de la diversité. Je le reprends, c'est que je considère qu'effectivement, ils deviennent des réels citoyens du monde. Et on a beaucoup de chance, effectivement, qu'ils apportent à la France ce rayonnement.

  • Speaker #0

    Et pour terminer, on va écouter Lorraine nous en parler, même si cela, évidemment, a déjà été évoqué, de ce sentiment d'ouverture sur le monde, un sentiment décidément très fort chez eux.

  • Speaker #2

    Quand on arrive déjà à Montréal, qui est très ouvert d'esprit. Pour le coup, l'ouverture d'esprit est vraiment nécessaire et c'est sûr qu'on la développe beaucoup plus rapidement quand on se retrouve à l'étranger, finalement, loin de la métropole. Finalement, ça devient presque un acquis, on ne s'en rend même plus compte. C'est tellement notre quotidien que pour nous, l'ouverture d'esprit, c'est quelque chose qui doit être acquis sans jamais trop se poser de questions parce qu'on vit dans ce bain culturel, finalement.

  • Speaker #0

    Un bain culturel qui les emmènera, nous l'espérons, très loin. En tout cas, quand nous les écoutons, nous sentons vraiment à leur voix cette fierté. Maryline, d'avoir obtenu cette mention, très bien.

  • Speaker #1

    Tout à fait. Félicitations déjà à tous ces bacheliers, à leurs familles qui ont tenu dans la durée. Et j'espère qu'ils profiteront par la suite de beaux parcours et qu'on le recroisera peut-être à la Banque de l'Atlantique un jour, s'ils ont besoin de nos services.

  • Speaker #0

    Leur témoignage illustre donc la diversité aussi des parts. et l'importance d'un accompagnement attentif dès les premiers jalons à la Banque Transatlantique. Nous sommes fiers de soutenir ces trajectoires et d'être présents à chaque étape en France comme à l'étranger. A bientôt Maryline, merci beaucoup. Et merci à toutes et à tous pour votre écoute. A très bientôt pour un nouvel épisode d'A l'écoute des marchés, un peu plus classique cette fois, un podcast de la Banque Transatlantique.

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