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Café Klatsch

Faut-il miser sur la visibilité ou la rentabilité ? On délibère avec Marine de Regie.lu

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38min |04/04/2025
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Description

🎙️ Visibilité ou performance ? Print ou digital ?

Dans cet épisode du Tribunal du Marketing, on accueille Marine Morgante, AdOps Supervisor chez regie.lu pour un vrai débat d'experts autour des stratégies de communication. Ensemble, on passe au crible plusieurs cas concrets — du petit café de quartier à une commune qui veut moderniser sa com' — et on se pose les vraies questions :

👉 Est-ce qu’un flyer dans les boîtes aux lettres a encore un impact en 2025 ?
👉 Le digital est-il vraiment plus efficace quand on a un budget serré ?
👉 Comment arbitrer entre notoriété et rentabilité ?

On confronte nos idées, on rigole un peu (beaucoup), mais surtout, on creuse pour donner des conseils concrets.

💬 “C’est peut-être le seul business où je crois encore aux tout-boîtes.”
💬 “Tu veux remplir ton café ? Fais un event Facebook, pas un post Insta.”

Bref, c’est un épisode riche, franc et sans bullshit. On vous donne des clés pour penser autrement vos campagnes, que vous soyez une PME, une asbl ou une collectivité. Et la bonne nouvelle ? Ce n’est que la première partie !

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Café Klatsch, le podcast où stratégie, créativité et terrain se rencontrent.
Disponible sur toutes les plateformes d’écoute.

#Podcast #Marketing #PrintVsDigital #Visibilité #Performance #CaféKlatsch #RégieLu #StratégieMarketing #Luxembourg


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout... J'ai l'impression que c'est une insulte. Bonjour à tous, vous écoutez Café Clatch, le podcast luxembourgeois qui parle de marketing digital sans prise de tête. Bonjour Naïm, bonjour Antoine. Salut Pato. Aujourd'hui, nous avons le plaisir d'accueillir Marine Morgante, qui est Adopts Superviseur chez Régis.lu.

  • Speaker #1

    C'est exact.

  • Speaker #0

    Bonjour Ça va bien

  • Speaker #1

    Super, merci beaucoup.

  • Speaker #0

    Alors, tu es chez Régis.lu depuis six ans. Bravo, c'est déjà tout J'ai stalké Dernière saison de You En deux mots, ça signifie quoi ton poste et ce que fait Régis.lu

  • Speaker #1

    Alors... Mon poste, déjà, c'est de générer du trafic sur nos sites. Donc déjà, c'est la régie publicitaire du groupe Media et Luxembourg. Donc, on a plusieurs sites à notre titre. On a Vort.lu, Virgule.lu, Contacto.lu, Luxtime.lu. Là, je les ai tous fait, les sites. Et donc, on génère du trafic publicitaire sur ces sites. Et en plus, je regarde si ça fonctionne bien, si on remplit bien l'inventaire de nos publicités. Et je gère aussi une petite équipe de trois personnes.

  • Speaker #0

    Normalement après ça, le café clutch quand on sera en première page sur tout ça. On va venir acheter des campagnes chez Régime.lu. Merci d'avoir accepté l'invitation. Aujourd'hui, on va faire un épisode un peu particulier parce que nous, on parle souvent, tout le temps, de marketing digital. Des fois,

  • Speaker #2

    Naïm parle de dev un peu.

  • Speaker #0

    Oui, un petit peu. C'est le quota. Aujourd'hui, avec Marine, je ne dis pas qu'on est en opposition, mais on a trouvé le moyen peut-être de confronter les deux mondes.

  • Speaker #2

    C'est qu'en fait, dans le monde du marketing digital, au-delà, si tu veux, on oppose en général encore aujourd'hui le print versus le digital. Mais même à l'intérieur du digital, aujourd'hui, tout le monde ne fait pas exactement la même chose. Tout le monde n'a pas les mêmes approches. tu peux avoir des modèles par exemple de parcours client qui diffèrent et notamment au niveau des campagnes publicitaires, tu vas avoir des gens qui vont se spécialiser plutôt dans ce qu'on va appeler le branding, brand awareness donc la visibilité et un peu de l'autre côté du spectre, tu vas avoir plutôt des campagnes qui ont trait à justement pas forcément avoir beaucoup de visibilité mais à être très rentable c'est à dire j'investis X euros et je veux absolument en récupérer. Si, par exemple, un euro dépensé en publicité, je veux en gagner 5, 6, 7, 8, 9, 10. Donc, d'un côté, tu as la visibilité, la brand awareness. De l'autre côté, tu as la rentabilité et un peu, si tu veux, le long terme versus le court terme. C'est un peu ça qu'on aimerait explorer aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Écoute, dans cet épisode un peu spécial qu'on va très probablement proposer en deux parties, je vous propose de transformer le studio en tribunal du marketing. Je vais faire appel à vos talents d'avocat. Ok. Et je vais vous soumettre des affaires, entre guillemets, en gros des entreprises, avec un contexte bien précis, donc un budget. Vraiment, j'ai essayé de proposer plein de cas vraiment différents. plus petit budget jusqu'au truc très lourd, avec les besoins de l'entreprise, la cible, etc.

  • Speaker #2

    Il y a un espèce de contexte,

  • Speaker #0

    de situation. Exactement. Et je vais vous demander de débattre s'il faut investir totalement dans le marketing digital et abandonner le print, la partie offline, ou au contraire, opter pour une campagne 360 ou trouver un mix des deux. Ok, trop bien. J'ai fait ça très proprement. J'ai huit logos. Ah ouais Je suis un designer. Alors, la première société s'appelle La Petite Fripperie. Je ne vous donne pas trop de détails pour l'instant. Vous choisirez. On pourra choisir. On va tous les faire, mais celle qui vous inspire le plus.

  • Speaker #2

    C'est encore mieux que dans la vraie vie, on peut choisir nos clients.

  • Speaker #0

    C'est 8 clients qui ont toqué à la porte et c'est vous qui choisissez la queue. Le Café du Coin. Fit Pro Tech. Un peu plus fort. On a Greenmove. On a Audition Zen.

  • Speaker #2

    T'as fait gaffe qu'il n'y a rien de copyright

  • Speaker #0

    Je n'ai pas demandé. C'est full généré chat GPT. Il n'y a pas CryptoStore. Lux Prestige Realty. Une ASBL qui s'appelle Solid Action. Et on a la fameuse ville de Clairbourg. Je ne sais pas si ça existe.

  • Speaker #2

    Commune.

  • Speaker #0

    J'ai pété. Bien posé de Clairbourg. La fameuse commune de Clairbourg. Donc, en gros, je vous fais un petit récap. Mais voilà, il y a une commune. Il y a une grosse entreprise plutôt spécialisée dans l'immobilier. Voilà, tout à fait. Une ASBL Solid Action qui est dans plutôt la solidarité avec l'intégration. On a une entreprise plutôt axée senior avec Audition Zen. Greenmove. Voilà, un petit... société qui propose des services écolo transport écolo genre livraison oui bah je peux être là comme ça mais je vais vous en dire un peu plus quand vous aurez choisi le café du coin bon bah ça c'est très parlant la petite friperie la petite société dans les rues à côté de chez nous et fit protèque plutôt applications mobiles sportives en fait ok voilà donc vous souhaitez commencer par quoi marine s a l'honneur à l'est

  • Speaker #1

    Allez, je vais choisir Café du Coin.

  • Speaker #0

    Non, c'est le pire. Et bon, c'est ça. Je plaisante. Alors, le Café du Coin, donc café, on va imaginer un café indépendant à Luxembourg-Ville. Ils ont un budget de 10 000 euros pour six mois. Six mois de promotion. Les besoins, en gros, c'est attirer plus de clients dans la semaine et fidéliser la clientèle plutôt locale. Clairement, on va cibler tous les résidents du quartier, les 30-50 ans, des étudiants ou des freelances qui aiment se poser là pour travailler, boire un café, etc.

  • Speaker #2

    Donc, tu cherches à remplir le...

  • Speaker #0

    Je cherche à remplir. Je cherche à attirer plus de clients dans la semaine et éventuellement essayer de fidéliser la clientèle locale. Donc, qu'est-ce qu'on fait Est-ce qu'on mise tout sur le digital Est-ce qu'on fait une campagne 360 si tu as un client qui vient comme ça

  • Speaker #3

    Alors déjà là, en termes de persona, c'est vachement large parce que tu nous as parlé de 30-50 ans, de jeunes, de freelance. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on est sur deux grands types de cafés. Il y a le premier café, c'est le café qu'on connaît tous, le café du coin de la rue, qui ne fait potentiellement pas de marketing, qui est là depuis toujours et c'est les habitants. Et maintenant, ce qu'on voit beaucoup depuis plusieurs années, c'est qu'on a des cafés... dont le business model est vraiment basé sur le côté instagramable du café. Il doit être le café cool des moins de 30, des moins de 35. Et voilà, j'ai l'impression que dans ta description, du coup, ce serait plus un café un peu à la Old School.

  • Speaker #0

    C'est l'exemple. En fait, en gros, c'est la clientèle, je pense, générale qu'elle risque de recevoir. Je ne dis pas que ça va être que des freelances ou que des résidents. Vous imaginez bien à quoi ressemblait le café. Maintenant, à vous de me dire comment on pourrait pouvoir...

  • Speaker #2

    Écoute, au risque de surprendre, je pense que pour moi, ce type de business, et je mettrais aussi là-dedans, tu vois, par exemple, les business de food, genre, par exemple, pizzeria de quartier, etc. C'est en fait les seuls pour lesquels je crois encore peut-être un peu à des flyers dans les boîtes au début.

  • Speaker #3

    Donc du tout de boîte

  • Speaker #2

    Bah ouais, du tout de boîte au moins au départ, je pense, tu vois, avec le menu, les offres. Peut-être pas de façon régulière, mais je trouve que c'est assez intéressant parce que t'es vraiment hyper local.

  • Speaker #0

    Ça matche encore vraiment.

  • Speaker #2

    Bah en fait, concrètement, soit tu fais du digital et tu cibles les gens qui sont là, qui passent, etc., qui sont aux alentours. Soit tu cibles avec un tout de boîte littéralement vraiment les gens qui habitent dans le quartier. Ce qui n'est pas forcément super facile à faire. En tout cas, t'es pas aussi sûr de le faire avec une campagne Google Ads ou autre, tu vois. Tu peux cibler une zone, mais tu vas cibler les gens qui passent en voiture, les gens qui sont là juste l'après-midi, qui ne vont pas forcément bouffer. Moi, j'investirais au moins au début une première brique dans un petit truc flyer.

  • Speaker #0

    Donc du print flyer. Au tout début,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Print flyer. Moi, je pensais...

  • Speaker #0

    effectivement instagram pour votre côté la résonne aux réseaux sociaux mais même pas forcément payant en fait on peut faire du réseau social sans payer on a regardé le flyer effectivement il ya la radio aussi et il ya des concepts mais bon c'est plus du marketing je pourrais même pas l'expliquer où tu fais un concept où il ya d'autres personnes qui vendent même des habits à côté du coup tu fais de partenariat voilà je peux dire calois bas ça t'envoie beaucoup il ya alors j'ai plus en tête

  • Speaker #1

    J'avais vu, c'était des mecs, par exemple, on en avait parlé avec Jérôme. Je ne sais pas si tu te souviens pour l'épisode de l'immobilier, où tu vois le mec d'immobilier, quand il va faire des cadeaux à ses clients, il va les acheter à la vinothèque du coin, par exemple. Ou la boulangerie met en place des partenariats avec Fleuriste ou autre. Et ça, effectivement, c'est vachement intéressant dans le local, parce que tu captes, encore une fois, tu captes les habitants du quartier à des endroits où ils sont, à des endroits où ils consomment.

  • Speaker #2

    Pour un budget de 10 000 euros sur 6 mois, là, tu parlais de radio. Tout à l'heure, la radio, ça reste accessible pour des cafés comme ça Bien sûr. Je n'ai pas du tout les prix en tête. Oui, je ne suis pas une question piège. Vraiment, c'est... Alors,

  • Speaker #0

    question piège, vraiment, je rentre dedans puisque je n'ai pas les prix. Je n'ai pas les prix radio, mais bon, effectivement, nous, on en propose. Et effectivement, quand on peut proposer des événements, le café peut proposer un événement.

  • Speaker #2

    Ah oui, un événement. Le café de poivre,

  • Speaker #0

    il y a la radio. Et donc là, c'est quand même une population qui bouge et qui potentiellement est intéressée par ce café.

  • Speaker #3

    Donc là, c'est intéressant parce qu'on a parlé de deux types de marketing. Il y avait le premier marketing toute boîte qui était plutôt un marketing, je dirais, long terme. Et on a un deuxième type de marketing plutôt lié à de l'événementiel. Il y a des canaux qu'on va préférer quand il y a un événement bien précis, bien ancré dans le temps. Il y a la radio, on a parlé de la radio. Est-ce qu'il y en a d'autres

  • Speaker #1

    Un event, tu vois, typiquement, créer ton event. Si tu as un événement, tu vas créer l'événement sur, par exemple, Facebook. Et tu peux ensuite déjà le déployer à la communauté, si tu as la chance d'en avoir déjà une. Ou tu peux aussi le booster après. Et tu peux transformer, en fait, si tu veux, la page de ton événement en page de destination de ta campagne. Et faire en sorte que les gens aillent s'inscrire, disent je suis intéressé Ça, c'est aussi une bonne méthode de pousser. Je sais qu'on a déjà eu le cas des clients qui faisaient des brunchs tous les dimanches. Tous les dimanches, on avait rempli leur agenda avec des events sur Facebook et on faisait une petite campagne chaque semaine sur ça.

  • Speaker #0

    Et tu peux totalement utiliser une marque comme Virgule, Vort, pour déployer aussi ta campagne, en plus en cross-médias finalement.

  • Speaker #3

    Des médias qui sont plus dans l'instantanéité, du coup, je vais vous raconter si c'était Virgule.

  • Speaker #1

    Un autre truc qui peut être assez intéressant, si tu as encore de budget, dans le cas d'un resto, d'un café, ça va être d'utiliser, si tu veux, le pendant local. de Google Ads. Alors à l'époque, il y avait ce qu'on appelait des campagnes traffic to store. Donc en fait, si tu veux, le but c'était de faire de la pub sur Internet pour attirer les gens dans ton magasin. Aujourd'hui, ça se fait via en branchant Google My Business sur un compte Google Ads. Et en fait, via les performances max, tu vas pouvoir, tu vas avoir des publicités qui sont souvent coupées en deux. Tu vas avoir ta publicité, ton image, tes textes, et en dessous, il va y avoir une petite carte avec l'adresse. Et en fait, parmi les CTA de cette pub, il y a la demande d'itinéraire, l'appel pour réserver, etc. Ça, ça marche aussi pas mal dans le cas des cafés et des restaurants.

  • Speaker #2

    OK. Donc, conclusion.

  • Speaker #0

    On peut faire radio, on peut faire de la campagne sur nos propres sites, quand même, pour toucher localement, et du Instagram, Facebook et Google.

  • Speaker #1

    Donc, au final, tu peux toucher un petit peu à tout.

  • Speaker #2

    C'est une première affaire où les avocats sont d'accord, mais j'espère que ça ne va pas durer.

  • Speaker #1

    Je vois sans but.

  • Speaker #3

    Et peut-être encore une dernière chose sur ce sujet-là. On parlait de toute boîte. Sur un quartier comme Ulrich, par exemple, c'est quoi la zone de chalandise C'est jusqu'où on va Combien de flyers on fait C'est une bonne question,

  • Speaker #1

    ça. C'est souvent la question que tu te poses quand tu as un bricade mortard et de savoir jusqu'à où tu fais de la pub. Quelle est la distance raisonnable en kilomètres, en temps, etc. C'est toujours très complexe. En général, ça, c'est le client ou l'entrepreneur qui va le connaître le mieux. Oui,

  • Speaker #2

    parce qu'il a déjà fait

  • Speaker #1

    à minima une petite étude et il connait sa clientèle il va savoir te dire si c'est les gens qui sont à 5 km ou si ces burgers sont tellement bons que les gens conduisent depuis l'autre bout du pays pour venir ça va dépendre du prix du flèche alors

  • Speaker #3

    moi je vais prendre mon sujet de coeur les communes

  • Speaker #2

    C'était sûr.

  • Speaker #1

    Et pourquoi donc Parce que le nom de Slow Pan...

  • Speaker #2

    On était sûr.

  • Speaker #1

    Il fallait beaucoup de communes.

  • Speaker #0

    Quelle est l'histoire Je veux la connaître.

  • Speaker #3

    Dans mon portefeuille client, j'ai beaucoup de communes. Et donc, voilà, c'est mon petit sujet de cœur.

  • Speaker #1

    Et alors, du coup, c'est... Clairebourg,

  • Speaker #3

    c'est la commune qui se situe entre Seattle et Bruxelles.

  • Speaker #2

    Le logo généré par Danny. On le met pas sur LinkedIn.

  • Speaker #1

    Il y a le pont de San Francisco, il y a Big Ben, il y a des petits chalets.

  • Speaker #2

    J'ai pas passé une heure à faire un prompt pour générer un logo, les gars.

  • Speaker #1

    Ça a l'air assez cosmopolite comme...

  • Speaker #2

    Donc, le client. reste une mairie d'une ville d'environ 50 000 habitants, on va dire, qui veut moderniser sa communication. Dieu sait qu'il y en a. Ils ont un budget de 70 000 euros sur un an. Un peu plus lourd que le petit café du coin. Les besoins, donc, clairement, améliorer l'image de la ville, mieux informer les habitants sur les projets locaux. Naïm, il est dans sa piscine. La cible, donc, forcément, c'est les résidents, toutes sortes d'âges. Les touristes, mais aussi les nouveaux arrivants, ceux qui s'installent à Clermont parce qu'il y fait bon vivre. Alors débat, est-ce qu'il faut tout miser à fond sur le digital Je ne sais pas, site web Il y a beaucoup de choses. Ou est-ce qu'on fait... Comment vous gérez les projets étatiques

  • Speaker #0

    Là, c'est du cross-média dans tous les cas. Il y aura de tout, il y aura du print, il y aura de la radio, il y aura du digital. On essaie vraiment de cibler un maximum de personnes. de toucher un maximum de personnes parce qu'on sait que le digital, on sera plutôt sur des plus jeunes. Le print, on sera plutôt sur des moins jeunes. Et la radio, plutôt des personnes mobiles ou quand ils travaillent, ils font deux choses en même temps. Donc, on fait du cross-média. On va vraiment être sur nos supports digitaux et sur Luxembourg-Govort, par exemple. Et la radio, pour Radio Latina,

  • Speaker #1

    effectivement. Et est-ce que, du coup, dans ces cas-là, t'adaptes, parce qu'en fait, les différents supports visent différentes types, du coup, tu as tout intérêt à décliner ton message et t'écris ton sujet selon les groupes d'âge.

  • Speaker #0

    Sauf, effectivement, s'il n'y a pas trop de budget ou s'il n'y a pas d'agence, on propose des solutions où on peut prendre le PDF, par exemple, d'une image qui a été mise en print pour le digitaliser. Ça, on a la possibilité de faire. Mais effectivement, on préconisera toujours de changer le message en fonction du support dans tous les cas. Mais là, il y a quand même du budget dont on peut utiliser.

  • Speaker #1

    360, full.

  • Speaker #0

    Il faut clairement faire quelque chose de bien.

  • Speaker #2

    On ne dépense pas tout le budget, 70 000 euros sur un an à faire de la radio,

  • Speaker #3

    de la piste.

  • Speaker #1

    Alors, pour le coup, quand on parle de communes, je prioriserais quand même... Parmi ce budget, je suppose que ce budget, ce n'est pas seulement une enveloppe d'achat média. Non, non,

  • Speaker #2

    c'est globalement. Pour moi, c'est moderniser la communication.

  • Speaker #1

    Tu as la chance, en fait, quand tu travailles sur un projet communal, d'avoir ce qu'on appelle de la first party data, donc de la data qui appartient au client, qui est en général très clean, très utilisable, notamment les adresses mail, les adresses physiques, les noms et les prénoms des personnes qui vivent dans la commune. On va dire problématique RGPD mise à part. Tu as le droit de communiquer avec ces gens-là pour leur donner des informations. Donc là, pour moi, une des pistes à explorer, plutôt que d'aller payer des milliers de cents à des régies publicitaires, tu vois, style Google Ads, en fait, investis plutôt dans des outils de communication directe. Tu peux envoyer des trucs dans les boîtes aux lettres, tu peux envoyer des emails. Donc, peut-être se pencher un peu sur les systèmes d'emailing, sur un site web, voire une application. Parce qu'on sait qu'en général, dans les communes, les usages, tu vois, c'est des trucs qui se répètent, les besoins. Mais ça,

  • Speaker #2

    c'est des coûts quand même assez élevés. C'est pour ça que j'ai pas mis... Moi, je trouve que 70 000 euros sur un an, je trouve que c'est un budget, bien sûr. Mais par rapport à tout ce qu'on a besoin de faire pour une commune, je trouve que si maintenant tu commences à vouloir développer une application, optimiser ton site web, commencer une approche à faire, je sais pas, des affiches dans la ville, faire un journal papier, je sais pas, je sais pas. promouvoir des événements, je trouve que le budget, il va falloir faire des choix. Il va falloir faire des choix. Donc, qu'est-ce qu'on privilégie Est-ce qu'on privilégie les nouvelles générations qui sont plus digitales Ah,

  • Speaker #1

    ça,

  • Speaker #2

    c'est toujours un peu plus digital.

  • Speaker #0

    Franchement, je pense que le journal aide quand même beaucoup. Quand on parle local, le Luxembourg World Forum, par exemple.

  • Speaker #1

    Tout le monde regarde le journal.

  • Speaker #0

    Et puis, en fait, avec le digital, tu as beau dire ce que tu veux, tu scrolles très vite. Ouais. potentiellement tu captes pas avec le message que tu décides de donner.

  • Speaker #1

    Ouais, t'as l'idée de l'attention qui est plus...

  • Speaker #0

    Voilà, l'attention, ces trois secondes, on l'avait déjà vu. Alors que le print, normalement tu prends le temps d'ouvrir ton journal, tu prends le temps de lire ce que t'as envie de lire. Ouais. Et si la pub est là, à ce moment-là, bah tu captes ton audience. Ça je pense que...

  • Speaker #1

    Je pense que l'email, moi je mettrais quand même, tu vois, un peu d'argent dans le fait de développer un système de mailing, soit par une solution entière, soit via une petite appli, même en no-code ou autre. ou un truc que tu branches à ton site web. Parce que pour le coup, là où dans le digital, tu as de l'attention et tu as de l'action après, c'est clairement dans l'email. Ça reste le genre.

  • Speaker #0

    En ceci, tu vois, nous, on fait des newsletters de chaque marque et on peut effectivement mettre une ad aussi dessus, ou même un article disponsorisé, où là, effectivement, l'utilisateur vient chercher l'information finalement.

  • Speaker #1

    Oui, et il est... Tu as... Je ne sais pas, deux articles ont gagné, et à l'intérieur, tu as un post.

  • Speaker #0

    C'est un article spécifiquement pour ça.

  • Speaker #1

    Qui est induit, en fait, qui ne ressort pas comme une publicité.

  • Speaker #3

    Voilà. Et là, j'ai peut-être encore une chose à rajouter. On a beaucoup parlé de comment on communique avec les habitants de la commune, mais comment on communique avec les visiteurs Parce que la ville de Clermont, elle est extrêmement visitée, elle est très demandée à l'instant. C'est connu. Comment on communique sur les événements, sur ce qui se passe dans la commune, dans le tourisme Alors là,

  • Speaker #1

    pour le coup, j'irais full digital. Et tu cibles, en fait, c'est un peu la méthode. Moi,

  • Speaker #2

    je voulais tirer la couverture, chez nous en tout cas, pour ce genre de...

  • Speaker #1

    En tout cas, pour les visiteurs, c'est un peu la même chose. C'est la même façon dont tu communiquerais avec un hôtel. Un réseau comme Google Ads, par exemple, va te permettre de cibler concrètement tous les pays du monde, selon ton budget et selon les CPC, les coûts par clic que tu es prêt à encaisser. Mais concrètement, tu vois, aujourd'hui, ça arrive. Nous, on a des hôtels, par exemple, qui en travaillent. Ils ont des publicités qui tournent à Londres, à Zurich, à Hong Kong, aux Etats-Unis, pour cibler des gens, pour leur donner l'idée de venir visiter le Luxembourg. Donc une ville, concrètement, elle pourrait communiquer de la même façon.

  • Speaker #2

    Toi, Nadim, tu as déjà participé à des questions sans désigner la commune en question. Non, mais des questions sur des sacrifices budgétaires, ou en tout cas des choix à faire. Parce que nous, on prône... l'optimisation du site web, vraiment mettre à disposition du citoyen un maximum de fonctionnalités, d'infos, etc. Est-ce que tu as déjà eu des cas de figure où on dit, non, on préfère largement faire de la publicité dans nos affiches imprimées

  • Speaker #3

    On a de la chance avec les communes luxembourgeoises parce que ils sont très axés sur la digitalisation, déjà. Il y a déjà l'état d'esprit qui est derrière. Et aussi, quand le budget peut poser problème une année, mais que c'est une feature qui leur semble intéressante, Ils sont prêts à comprendre et à potentiellement débloquer du budget pour cette année ou l'année suivante pour développer cette fonctionnalité. Donc ça, c'est très chouette. Et même encore avec Antoine, récemment, on a développé un système de newsletter pour une commune qu'on ne va peut-être pas forcément citer, mais qui était pour un souper. Et on a pu communiquer très efficacement via une newsletter.

  • Speaker #2

    Pour un souper

  • Speaker #3

    Pour un souper dans une commune, oui.

  • Speaker #0

    Et nous aussi, on propose avec Lux Times.

  • Speaker #3

    Ah pardon, Dédric, je parlais en anglais.

  • Speaker #0

    Je me suis dit que les expats...

  • Speaker #1

    Oui, les expatriés, il y a des... Je sais qu'il y a aussi... Just Arrive aussi qui fait ça. En fait, tu as des médias qui sont dédiés, si tu veux, à cibler des expatriés, à cibler des gens qui ne sont pas ou qui viennent d'arriver au Luxembourg pour les attirer.

  • Speaker #0

    Et aussi des événements. Je pense que là, ça fait du sens. On a des événements spécialisés pour les expats. Et là, tu peux largement venir avec un stand et expliquer ce que la commune propose.

  • Speaker #1

    Des webinars aussi, pour présenter la commune, tu vois. Genre, des sortes, tu pourrais même imaginer, tu sais, quelqu'un de la commune qui se promène, qui va prendre des vidéos, une chaîne TikTok. On avait parlé, il y a une...

  • Speaker #2

    Pour pas les citer, la communauté d'IronVest. Ouais, voilà, c'est ça. On leur fait la promo, ils ont fait une vidéo, franchement,

  • Speaker #3

    de nion. Dans la communauté d'IronVest, ils ont vraiment... Alors, je ne sais pas si c'est en interne ou si c'est outsourcé, je crois que c'est en interne, mais en interne, ils ont une personne très compétente dans la vidéo et ils ont des excellentes vidéos de la commune.

  • Speaker #1

    Ouais. Et ça c'est très cool, pour découvrir une commune en fait, avant de te déplacer, de pouvoir la voir en vidéo.

  • Speaker #2

    Affaire suivante, Greenmove. C'est un service de location de vélos et de trottinettes électriques.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #2

    Budget, 30 000 euros sur 6 mois. Donc, quelque chose d'assez rapide et puis intéressant. Les besoins, il faut clairement augmenter les abonnements mensuels et la notoriété de la marque. Donc, principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout. Je l'ai dit parce que c'est une insulte. Je l'ai dit parce que c'était pas un homme.

  • Speaker #1

    Non, non, mais je reste... C'était une... Mais si,

  • Speaker #2

    on revend que tu l'es en... Non, non, des gens qui ont une volonté vraiment d'améliorer leur comportement éco-citoyen. et donc les personnes qui prennent les transports en commun en général, comment les acquérir.

  • Speaker #1

    Et comment faire du revenu

  • Speaker #2

    Comment on génère,

  • Speaker #1

    comment on augmente le nombre d'abonnements mensuels Je partirais sur du marketing d'influence. Je ne connais pas trop, je ne connais pas exactement le paysage d'influenceurs green. Je ne sais pas. Je ne sais pas s'il y en a.

  • Speaker #2

    Un Tony Hawk de la trottinette

  • Speaker #1

    Non, mais même pas. Est-ce qu'il y a des... S'il doit y avoir des influenceurs au Luxembourg qui s'occupent de problématiques environnementales, je pense qu'il y en a, qui pourraient mettre en avant. Tu sais que ces gens-là, ils ont une audience de gens qui vont avoir ce problème à cœur. Donc, ils vont être à même de s'intéresser à quelque chose qui apporte une solution. Je chercherais peut-être même... un partenariat avec le ministère de l'Environnement. Je ne sais pas si ils paquent des startups ou s'ils ont des espèces de subventions. Il y a des subventions pour le digital. On n'en parle d'ailleurs pas assez souvent de tout ce qui est SME Packages, Feed for Digital, mais qui sont en fait des bourses qui sont données aux entreprises au Luxembourg qui ont certains projets digitaux qui peuvent être supportés par le gouvernement.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai peut-être encore un truc à ajouter sur Green Move. Moi, je l'aurais très bien vu vu que c'est du B2C. et que ça s'adresse à une population très large, des campagnes UGC qu'on pourrait réutiliser dans des publicités typiquement Facebook.

  • Speaker #1

    Ouais, prenez...

  • Speaker #3

    UGC, on en parle dans tous les épisodes maintenant, mais User Generated Content, c'est le fait qu'une personne lambda qui ne soit normalement pas un acteur puisse parler d'un produit ou d'un service. Un client,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu conseilles aux gens de se filmer pendant qu'ils sont en train de rouler en trottinette Non, non, mais...

  • Speaker #3

    Evidemment, non.

  • Speaker #2

    Non,

  • Speaker #3

    mais qui présente le service,

  • Speaker #1

    voilà. Sur le chemin.

  • Speaker #3

    Je m'appelle Naïm, moi depuis que j'ai découvert Greenmove, je vais tout le temps travailler avec.

  • Speaker #1

    Ouais mais typiquement tu vois, tu peux se prendre en photo quand t'es arrivé, tu vois, typiquement. Par exemple. Et gagner 5 balles sur la prochaine ride.

  • Speaker #2

    Ça existe pas du, je sais pas comment on peut dire, je sais pas si le terme existe, mais du street marketing ou des choses vraiment que tu fais, des tests gratuits.

  • Speaker #0

    Ah les tests c'est important. On va éviter le print par contre ici.

  • Speaker #1

    Ouais du coup ouais.

  • Speaker #0

    Et encore une fois moi je... je pense, sponsor content, définir un peu ce qu'ils proposent et pourquoi c'est bien d'aller télécharger tout ça. Et bien rediriger la campagne vers justement l'app pour directement la télécharger. Comme ça, il n'y a pas de bifurcation et de perte de personnes. Pour les stores directement.

  • Speaker #2

    Voilà. C'est intéressant que tu dis parce que la société, ça s'appelle Greenmove, en tout cas, il y a un côté écolo. Que tu dis, on va éviter le print, est-ce que... Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vraiment... Je me dis, effectivement, s'il y a vraiment un côté très écolo, alors on peut aller sur du print.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la valeur, ok, ça dépend de la valeur.

  • Speaker #0

    Si on veut vraiment aller à 100% dans le côté écolo.

  • Speaker #1

    En plus, je veux dire, là, techniquement, ta cible, tu es concrètement en train de lui demander d'installer une appli, tu vois. Donc, je veux dire, elle est forcément dans les ranges d'âge.

  • Speaker #2

    Tu peux faire un affichage public.

  • Speaker #1

    Tu pourrais,

  • Speaker #2

    mais tu ne vas pas aussi facilement les... Des choses comme ça, tu vois, pour dire, les gars, on a un beau service.

  • Speaker #1

    Tu vas aussi facilement les toucher en digital et je pense que tu auras un meilleur coût. Tu arriveras à réduire ton coût d'acquisition,

  • Speaker #2

    je pense. Est-ce qu'on peut créer des fiches Google My Business, donc la fiche d'entreprise pour des aires de stationnement

  • Speaker #1

    Bonne question. Alors, comme ça, je te dirais non. Je n'ai pas le souvenir, tu vois, par exemple, des trucs genre Uber ou autre à Paris, quand tu peux aller... Ou Lemon pour les vélos.

  • Speaker #3

    Je crois qu'on peut mettre un point sur Google Maps, par contre.

  • Speaker #1

    Tu peux mettre un point sur Google Maps Parce qu'en fait, ces trucs-là, en général, elles ont leur propre système de localisation via Maps, via Maps ou OpenStreetMap ou autre, mais dans l'application. Si tu veux, quand tu cherches à louer... à prendre un Vélib, tu vois, pareil, tu as l'appli et puis tu peux voir où sont les stations Vélib. Donc en fait, je n'ai jamais eu le réflexe de me dire tiens, je vais aller sur Google Maps pour voir son raré. C'est peut-être possible.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas impossible.

  • Speaker #1

    Après, je pense que pour Google Maps, si mes souvenirs sont bons pour avoir une fiche acceptée, il faut qu'il y ait un numéro de téléphone unique. Ça voudrait dire qu'il faudrait que tu arrives à shooter un numéro de téléphone par station pour pouvoir faire valider la fiche.

  • Speaker #2

    Affaire suivante

  • Speaker #1

    Je ne sais plus à qui c'est.

  • Speaker #0

    C'est à mon enfant, il me semble. Elle est où, l'agent Simo Elle est ici. Luxe Prestige.

  • Speaker #2

    Luxe Prestige. C'est sacré. C'est luxueux.

  • Speaker #1

    C'est très luxueux.

  • Speaker #2

    C'est une agence effectivement immobilière qui est spécialisée dans le luxe. Donc, un budget un peu plus lourd, on va dire 100 000 euros sur l'année. OK. Donc, typiquement, les besoins, trouver des clients pour des biens de luxe à Luxembourg.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #2

    La cible, donc, principalement des entrepreneurs. des investisseurs, des expatriés très fortunés.

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qu'il fait avec ce budget Ce qui est difficile en digital, c'est que tu as des façons de cibler des personnes avec des revenus assez hauts. Sur Google Ads ou autre, tu as une option qui permet de cibler les gens par rapport à où ils se situent dans les quantiles de revenus. Sauf que cette fonctionnalité est interdite en Europe. Elle ne fonctionne qu'aux États-Unis. tu as des moyens détournés de le faire. Tu peux créer, par exemple, des segments d'audience de gens qui vont sur le site Lamborghini, Ferrari, de gens qui ne vont que dans les Sofitels, les hôtels de luxe. Cibler des gens qui ont des goûts de luxe pour essayer de les cibler. Mais bon, concrètement, ça ne veut pas dire grand-chose. Moi, je peux aller voir des Lamborghini et faire du lèche-vitrine tous les jours. Ce n'est pas pour autant que je peux aller m'acheter une maison à un million. Donc là... pour le coup, je pense que le print ou les... Je ne sais pas comment... Les magazines niches, voilà. Ça, je pense que Marine, tu sauras en parler un peu plus.

  • Speaker #0

    Clairement, on en a forcément, puisqu'on travaille avec Vortimo et on a le côté print. Effectivement, si tu cibles avec un magazine personnalisé, tu touches forcément plus vite ta cible. Mais il y a aussi Vortimo, le site web, finalement.

  • Speaker #1

    C'est quoi C'est de l'agrégateur de...

  • Speaker #0

    Vortimo.lu, c'est vraiment pour chercher ton bien, soit à vente, localisant, au Luxembourg. On cible vraiment les personnes au Luxembourg,

  • Speaker #1

    les biens luxembourges. C'est directement ici. Et ça se passe comment pour une agence Ils vous donnent un flux Il y a des crédits spécifiques.

  • Speaker #0

    Oui, comme tu as dit, un agrégateur. Et donc, tu mets tes annonces. Et ce que là, j'imagine, comme c'est une agence de luxe, tu proposes des biens à plus d'un million, etc. Nous, on peut cibler des personnes qui cherchent un bien à plus d'un million,

  • Speaker #1

    deux millions. Parce que c'est tout un peu le bonheur, on va dire, des agrégateurs. C'est qu'eux ont de la data sur l'utilisation des gens qui ont un compte. Et ça, effectivement, ça fait quand même une grosse diff.

  • Speaker #3

    J'ai peut-être encore un truc à ajouter. Potentiellement aussi retargeter les personnes qui fréquentent ton site d'annonce immobilière.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, bah ouais.

  • Speaker #3

    Parce qu'en général, ton site d'agence immobilière, tu vas le voir plusieurs fois le temps que tu trouves ton bien. Donc, ça pourrait toujours être utile de faire des campagnes de retargeting des nouveaux biens qui rentrent.

  • Speaker #1

    Oui, là, je pense que c'est vraiment quelque chose de...

  • Speaker #3

    Retargeting, la définition. Recibler.

  • Speaker #2

    Recibler.

  • Speaker #1

    Recibler quelqu'un. Du ré-reciblage. Alors, c'est du... Oui, c'est du reciblage. Disons que pour donner un exemple aux gens qui ne savent pas ce que c'est, c'est que vous avez tous déjà été retargetés. C'est... Vous avez été voir une paire de pompes, elle vous plaît bien, vous avez été la regarder deux fois, trois fois dans la semaine, et bizarrement, toute la semaine d'après, à chaque fois que vous voyez une publicité sur Internet, c'est cette paire de pompes exactement.

  • Speaker #2

    Je suis sur mon site ZPesh.

  • Speaker #1

    Ça, c'est parce qu'en fait, au moment de la visite, vous avez récupéré ce qu'on appelle un cookie, en fait, qui vous identifie. Ce cookie vous lie à un produit, et ce produit, en fait, les régies publicitaires vous le renvoient parce qu'elles savent que vous, vous avez regardé ce produit-là. Donc, par exemple, on va tous avoir des... des publicités différentes en étant la cible de remarketing.

  • Speaker #2

    Dans la vie réelle, ça serait un mec qui te suit tout le temps et qui te redonne un flyer un peu tous les demi-heures, qui te souffle dans la nuque et qui dit tiens, t'as oublié au fait que...

  • Speaker #3

    Ouais, ça serait la métaphore.

  • Speaker #1

    C'est un peu ça. Effectivement, ça, tu vois, c'est un truc où je trouve les grandes régies publicitaires ont encore un peu du mal. On a très souvent le cas, même pas forcément pour Dlimo, mais des gens qui arrivent et qui veulent cibler, disent moi, je veux cibler... tous les PDG, je veux cibler tous les CMO, je veux cibler tous les directeurs financiers. Et en fait, le digital est encore relativement nul pour ça. Je ne peux pas pinpoint telle personne qui est en poste à tel endroit. Moi, j'ai des profils, j'ai des segments, des âges qui font de l'intérêt, mais je ne peux pas trop m'en sortir comme ça. D'où l'intérêt des communautés de niche, en fait, de faire du... pool, tu vois, d'attirer les gens via des contenus qui les intéressent pour ensuite avoir créé une communauté.

  • Speaker #2

    Et balancer tout le budget sur un événement VIP, genre avec une collaboration avec des banques privées, surtout pas

  • Speaker #0

    Non, je pense que c'est très bien de faire un événement pour se faire connaître. Je pense que c'est une très bonne idée, mais pas tout le budget effectivement. Pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.

  • Speaker #1

    Ce que je vois aussi beaucoup dans ce genre de... J'en vois beaucoup sur Paris. et surtout les agences de luxe qui vont faire des petits tours TikTok, tu vois, vidéo.

  • Speaker #3

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Un appart privé dans le quatrième où, genre, vraiment, t'en prends plein la tronche. Il y a le truc que la dernière fois, il vendait un appart, bon, il n'y avait pas le prix, mais qu'il y avait un basquiat, genre, au milieu du salon, tu vois, juste au-dessus du musée d'Orsay à Paris. Et c'est vrai que ça claque, tu vois. Genre, là, tu vas attirer quand même.

  • Speaker #0

    Bien jouer sur les belles photos, du coup,

  • Speaker #2

    aussi. Et, comment dire, investir dans... dans de l'ads, donc créer par exemple des vidéos, je ne sais pas, en réalité virtuelle ou autre, des vidéos super soignées de chaque bâtiment et les push sur YouTube. Oui,

  • Speaker #1

    les push, tu vas te faire de la visibilité, tu peux espérer par récolter ou entre guillemets par chance d'avoir là-dedans ta cible, mais c'est compliqué parce que ces gens-là, en fait, ils sont très niches. Disons que là, si je prends un appart à 2 millions d'euros et que je te fais faire 10 millions d'impressions dans la semaine, Concrètement, parmi ces 10 000 impressions, quel est le pourcentage de personnes qui pourraient réellement te contacter et offrir une piste Même par ricochet, c'est compliqué. Oui, oui, oui. En général, là, je voudrais... Donc,

  • Speaker #2

    avantage, avantage, quoi. Alors, plutôt...

  • Speaker #1

    Communauté, niche, avoir un... Cross-média. Cross-média. Et les agrégateurs aussi. Parce que là, du coup, tu as l'information que telle personne avec tel compte, elle utilise souvent l'appli pour aller voir en moyenne, si tu as bien tagué ton site. que des biens qui sont d'une valeur supérieure à 600 000 euros dans les trois derniers mois. Là, tu sais que tu as une petite piste quand même d'accrocher quelqu'un qui a un intérêt.

  • Speaker #3

    Tu parlais aussi de KPI tout à l'heure. Est-ce que dans le print aussi, il y a certains KPI qu'on peut analyser pour benchmarker les performances d'une campagne

  • Speaker #0

    Je ne fais pas de print. Non, mais bien sûr, il y a d'autres. Je crois qu'il y a les piges Nielsen qui sont disponibles. Il y a plein de différentes choses qu'on peut...

  • Speaker #1

    Moi, je t'avoue que je ne connais pas du tout les KPI de print. Je suppose, si c'est comme les magazines.

  • Speaker #0

    Après, il y a des sondages aussi qui sont faits après coup. J'imagine que ça serait totalement possible.

  • Speaker #3

    C'est pour que les gens aient vu la publicité, quelque chose comme ça

  • Speaker #1

    Oui, en fait, je pense que tu vas demander aux gens qui faisaient partie des cibles ou que tu as ciblé, est-ce que vous avez entendu parler de ces... Je ne sais pas, sur YouTube, tu l'as de temps en temps parlé. Vous avez entendu parler Parmi ces quatre marques desquelles vous avez entendu parler. Tu vas pouvoir aussi peut-être avoir des trucs sur l'opinion perçue. C'est-à-dire que toi, quand tu vas faire une campagne de ce type-là, tu as une idée d'opinion que tu souhaites générer chez les gens. Et tu vas pouvoir voir ensuite, est-ce que vous connaissez cette marque Certaines personnes vont te dire oui. Et après, tu vas leur dire, c'est quoi votre opinion C'est quoi le positionnement que vous percevez Ah ben, Prestige Reality, j'ai vu deux, trois vidéos, ça a l'air super luxueux, super classe, machin. Donc là, tu sais que tu as réussi.

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #1

    oui. Mais effectivement, pas des KPIs comme nous. C'est pas les KPIs comme nous, genre tant de clics.

  • Speaker #0

    Il y a des abonnés. Par exemple, quand le journal, on sait combien il y a d'abonnés, forcément, potentiellement, tu as touché cette cible-là.

  • Speaker #1

    Les KPIs, j'ai l'impression que souvent, si tu as dans le print, les KPIs viennent parfois même avant. On a un magazine avec tant de tirages, avec tant d'audience. Voilà ce qu'on peut vous fournir.

  • Speaker #3

    En fait, je n'aurais pas dû formuler ma question comme ça. J'aurais dû plutôt dire, comment est-ce qu'on sait si une campagne est réussie ou ratée

  • Speaker #1

    Ça dépend, en fait.

  • Speaker #0

    ça dépend du type de campagne et de l'objectif aussi visibilité je pense que visibilité tu sais que t'as fait tant de tirages comme t'as dit donc voilà t'as touché les personnes là potentiellement mais à quel point est-ce qu'ils sont allés acheter le produit ou non là on pourra quand même pas le dire à 100%

  • Speaker #1

    après il y a un moment aussi il faut basculer dans le monde réel t'as ce qu'on appelle par exemple dans le digital le suivi des conversions hors ligne demande-toi par exemple pourquoi aujourd'hui de plus en plus de magasins te demandent si tu veux recevoir ton ticket de caisse par email

  • Speaker #3

    Et toi,

  • Speaker #1

    tu as ton email. Sauf que Google connaît ton email. Et il peut savoir que toi, ton compte, ce compte mail-là, a vu une publicité en ligne dans les trois dernières semaines. Et que t'as été en magasin et que t'as acheté. Donc ça, c'est de la data que tu peux faire remonter. Des fois, il faut... Puis même, tu peux dire à tes clients, n'hésitez pas quand vous avez un nouveau client qui vient, à l'ancienne, vous avez entendu parler comment Ah bah, j'ai vu une pub dans tel magazine. Ah bah, j'ai vu une campagne sur tel média. Ce genre de trucs. Comme ça, ça te permet de jauger. Ce n'est pas pile poil, ce n'est pas au microscope, mais ça te donne un ressenti.

  • Speaker #2

    Il nous reste quatre affaires. Je propose d'arrêter cet épisode-là, cette partie 1, en tout cas. Et donc, pour la partie 2, ça sera la semaine prochaine, toujours avec Marine. Marine, merci beaucoup déjà d'avoir participé à cette partie-là. Et on se donne rendez-vous un petit peu plus tard. Page LinkedIn Café Clatch, abonnez-vous. On est... Je ne sais plus, on est des millions.

  • Speaker #1

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Moi, j'aurais même dit des milliards.

  • Speaker #2

    Des millions, des milliards d'impôts. OK, merci à tous. Bonne journée. À bientôt. Salut, à bientôt.

  • Speaker #0

    A la prochaine.

  • Speaker #1

    Ciao. Salut. Quelle c'est-ce qui est rassistible.

  • Speaker #2

    Comme un chalot.

Chapters

  • Présentation de Marine Morgante

    00:19

  • Confrontation entre marketing digital et print

    01:37

  • Analyse de cas : Le Café du Coin

    06:10

  • Analyse de cas : La Commune de Clairbourg

    13:27

  • Analyse de cas : Greenmove et ses trotinettes électriques

    22:35

  • Analyse de cas : Luxe Prestige et le ciblage des clients riches

    28:04

  • Conclusion inachevée

    37:37

Description

🎙️ Visibilité ou performance ? Print ou digital ?

Dans cet épisode du Tribunal du Marketing, on accueille Marine Morgante, AdOps Supervisor chez regie.lu pour un vrai débat d'experts autour des stratégies de communication. Ensemble, on passe au crible plusieurs cas concrets — du petit café de quartier à une commune qui veut moderniser sa com' — et on se pose les vraies questions :

👉 Est-ce qu’un flyer dans les boîtes aux lettres a encore un impact en 2025 ?
👉 Le digital est-il vraiment plus efficace quand on a un budget serré ?
👉 Comment arbitrer entre notoriété et rentabilité ?

On confronte nos idées, on rigole un peu (beaucoup), mais surtout, on creuse pour donner des conseils concrets.

💬 “C’est peut-être le seul business où je crois encore aux tout-boîtes.”
💬 “Tu veux remplir ton café ? Fais un event Facebook, pas un post Insta.”

Bref, c’est un épisode riche, franc et sans bullshit. On vous donne des clés pour penser autrement vos campagnes, que vous soyez une PME, une asbl ou une collectivité. Et la bonne nouvelle ? Ce n’est que la première partie !

🎧 Abonnez-vous pour ne rien rater de la suite, et retrouvez-nous sur LinkedIn pour continuer la discussion : Café Klatsch

Café Klatsch, le podcast où stratégie, créativité et terrain se rencontrent.
Disponible sur toutes les plateformes d’écoute.

#Podcast #Marketing #PrintVsDigital #Visibilité #Performance #CaféKlatsch #RégieLu #StratégieMarketing #Luxembourg


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout... J'ai l'impression que c'est une insulte. Bonjour à tous, vous écoutez Café Clatch, le podcast luxembourgeois qui parle de marketing digital sans prise de tête. Bonjour Naïm, bonjour Antoine. Salut Pato. Aujourd'hui, nous avons le plaisir d'accueillir Marine Morgante, qui est Adopts Superviseur chez Régis.lu.

  • Speaker #1

    C'est exact.

  • Speaker #0

    Bonjour Ça va bien

  • Speaker #1

    Super, merci beaucoup.

  • Speaker #0

    Alors, tu es chez Régis.lu depuis six ans. Bravo, c'est déjà tout J'ai stalké Dernière saison de You En deux mots, ça signifie quoi ton poste et ce que fait Régis.lu

  • Speaker #1

    Alors... Mon poste, déjà, c'est de générer du trafic sur nos sites. Donc déjà, c'est la régie publicitaire du groupe Media et Luxembourg. Donc, on a plusieurs sites à notre titre. On a Vort.lu, Virgule.lu, Contacto.lu, Luxtime.lu. Là, je les ai tous fait, les sites. Et donc, on génère du trafic publicitaire sur ces sites. Et en plus, je regarde si ça fonctionne bien, si on remplit bien l'inventaire de nos publicités. Et je gère aussi une petite équipe de trois personnes.

  • Speaker #0

    Normalement après ça, le café clutch quand on sera en première page sur tout ça. On va venir acheter des campagnes chez Régime.lu. Merci d'avoir accepté l'invitation. Aujourd'hui, on va faire un épisode un peu particulier parce que nous, on parle souvent, tout le temps, de marketing digital. Des fois,

  • Speaker #2

    Naïm parle de dev un peu.

  • Speaker #0

    Oui, un petit peu. C'est le quota. Aujourd'hui, avec Marine, je ne dis pas qu'on est en opposition, mais on a trouvé le moyen peut-être de confronter les deux mondes.

  • Speaker #2

    C'est qu'en fait, dans le monde du marketing digital, au-delà, si tu veux, on oppose en général encore aujourd'hui le print versus le digital. Mais même à l'intérieur du digital, aujourd'hui, tout le monde ne fait pas exactement la même chose. Tout le monde n'a pas les mêmes approches. tu peux avoir des modèles par exemple de parcours client qui diffèrent et notamment au niveau des campagnes publicitaires, tu vas avoir des gens qui vont se spécialiser plutôt dans ce qu'on va appeler le branding, brand awareness donc la visibilité et un peu de l'autre côté du spectre, tu vas avoir plutôt des campagnes qui ont trait à justement pas forcément avoir beaucoup de visibilité mais à être très rentable c'est à dire j'investis X euros et je veux absolument en récupérer. Si, par exemple, un euro dépensé en publicité, je veux en gagner 5, 6, 7, 8, 9, 10. Donc, d'un côté, tu as la visibilité, la brand awareness. De l'autre côté, tu as la rentabilité et un peu, si tu veux, le long terme versus le court terme. C'est un peu ça qu'on aimerait explorer aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Écoute, dans cet épisode un peu spécial qu'on va très probablement proposer en deux parties, je vous propose de transformer le studio en tribunal du marketing. Je vais faire appel à vos talents d'avocat. Ok. Et je vais vous soumettre des affaires, entre guillemets, en gros des entreprises, avec un contexte bien précis, donc un budget. Vraiment, j'ai essayé de proposer plein de cas vraiment différents. plus petit budget jusqu'au truc très lourd, avec les besoins de l'entreprise, la cible, etc.

  • Speaker #2

    Il y a un espèce de contexte,

  • Speaker #0

    de situation. Exactement. Et je vais vous demander de débattre s'il faut investir totalement dans le marketing digital et abandonner le print, la partie offline, ou au contraire, opter pour une campagne 360 ou trouver un mix des deux. Ok, trop bien. J'ai fait ça très proprement. J'ai huit logos. Ah ouais Je suis un designer. Alors, la première société s'appelle La Petite Fripperie. Je ne vous donne pas trop de détails pour l'instant. Vous choisirez. On pourra choisir. On va tous les faire, mais celle qui vous inspire le plus.

  • Speaker #2

    C'est encore mieux que dans la vraie vie, on peut choisir nos clients.

  • Speaker #0

    C'est 8 clients qui ont toqué à la porte et c'est vous qui choisissez la queue. Le Café du Coin. Fit Pro Tech. Un peu plus fort. On a Greenmove. On a Audition Zen.

  • Speaker #2

    T'as fait gaffe qu'il n'y a rien de copyright

  • Speaker #0

    Je n'ai pas demandé. C'est full généré chat GPT. Il n'y a pas CryptoStore. Lux Prestige Realty. Une ASBL qui s'appelle Solid Action. Et on a la fameuse ville de Clairbourg. Je ne sais pas si ça existe.

  • Speaker #2

    Commune.

  • Speaker #0

    J'ai pété. Bien posé de Clairbourg. La fameuse commune de Clairbourg. Donc, en gros, je vous fais un petit récap. Mais voilà, il y a une commune. Il y a une grosse entreprise plutôt spécialisée dans l'immobilier. Voilà, tout à fait. Une ASBL Solid Action qui est dans plutôt la solidarité avec l'intégration. On a une entreprise plutôt axée senior avec Audition Zen. Greenmove. Voilà, un petit... société qui propose des services écolo transport écolo genre livraison oui bah je peux être là comme ça mais je vais vous en dire un peu plus quand vous aurez choisi le café du coin bon bah ça c'est très parlant la petite friperie la petite société dans les rues à côté de chez nous et fit protèque plutôt applications mobiles sportives en fait ok voilà donc vous souhaitez commencer par quoi marine s a l'honneur à l'est

  • Speaker #1

    Allez, je vais choisir Café du Coin.

  • Speaker #0

    Non, c'est le pire. Et bon, c'est ça. Je plaisante. Alors, le Café du Coin, donc café, on va imaginer un café indépendant à Luxembourg-Ville. Ils ont un budget de 10 000 euros pour six mois. Six mois de promotion. Les besoins, en gros, c'est attirer plus de clients dans la semaine et fidéliser la clientèle plutôt locale. Clairement, on va cibler tous les résidents du quartier, les 30-50 ans, des étudiants ou des freelances qui aiment se poser là pour travailler, boire un café, etc.

  • Speaker #2

    Donc, tu cherches à remplir le...

  • Speaker #0

    Je cherche à remplir. Je cherche à attirer plus de clients dans la semaine et éventuellement essayer de fidéliser la clientèle locale. Donc, qu'est-ce qu'on fait Est-ce qu'on mise tout sur le digital Est-ce qu'on fait une campagne 360 si tu as un client qui vient comme ça

  • Speaker #3

    Alors déjà là, en termes de persona, c'est vachement large parce que tu nous as parlé de 30-50 ans, de jeunes, de freelance. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on est sur deux grands types de cafés. Il y a le premier café, c'est le café qu'on connaît tous, le café du coin de la rue, qui ne fait potentiellement pas de marketing, qui est là depuis toujours et c'est les habitants. Et maintenant, ce qu'on voit beaucoup depuis plusieurs années, c'est qu'on a des cafés... dont le business model est vraiment basé sur le côté instagramable du café. Il doit être le café cool des moins de 30, des moins de 35. Et voilà, j'ai l'impression que dans ta description, du coup, ce serait plus un café un peu à la Old School.

  • Speaker #0

    C'est l'exemple. En fait, en gros, c'est la clientèle, je pense, générale qu'elle risque de recevoir. Je ne dis pas que ça va être que des freelances ou que des résidents. Vous imaginez bien à quoi ressemblait le café. Maintenant, à vous de me dire comment on pourrait pouvoir...

  • Speaker #2

    Écoute, au risque de surprendre, je pense que pour moi, ce type de business, et je mettrais aussi là-dedans, tu vois, par exemple, les business de food, genre, par exemple, pizzeria de quartier, etc. C'est en fait les seuls pour lesquels je crois encore peut-être un peu à des flyers dans les boîtes au début.

  • Speaker #3

    Donc du tout de boîte

  • Speaker #2

    Bah ouais, du tout de boîte au moins au départ, je pense, tu vois, avec le menu, les offres. Peut-être pas de façon régulière, mais je trouve que c'est assez intéressant parce que t'es vraiment hyper local.

  • Speaker #0

    Ça matche encore vraiment.

  • Speaker #2

    Bah en fait, concrètement, soit tu fais du digital et tu cibles les gens qui sont là, qui passent, etc., qui sont aux alentours. Soit tu cibles avec un tout de boîte littéralement vraiment les gens qui habitent dans le quartier. Ce qui n'est pas forcément super facile à faire. En tout cas, t'es pas aussi sûr de le faire avec une campagne Google Ads ou autre, tu vois. Tu peux cibler une zone, mais tu vas cibler les gens qui passent en voiture, les gens qui sont là juste l'après-midi, qui ne vont pas forcément bouffer. Moi, j'investirais au moins au début une première brique dans un petit truc flyer.

  • Speaker #0

    Donc du print flyer. Au tout début,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Print flyer. Moi, je pensais...

  • Speaker #0

    effectivement instagram pour votre côté la résonne aux réseaux sociaux mais même pas forcément payant en fait on peut faire du réseau social sans payer on a regardé le flyer effectivement il ya la radio aussi et il ya des concepts mais bon c'est plus du marketing je pourrais même pas l'expliquer où tu fais un concept où il ya d'autres personnes qui vendent même des habits à côté du coup tu fais de partenariat voilà je peux dire calois bas ça t'envoie beaucoup il ya alors j'ai plus en tête

  • Speaker #1

    J'avais vu, c'était des mecs, par exemple, on en avait parlé avec Jérôme. Je ne sais pas si tu te souviens pour l'épisode de l'immobilier, où tu vois le mec d'immobilier, quand il va faire des cadeaux à ses clients, il va les acheter à la vinothèque du coin, par exemple. Ou la boulangerie met en place des partenariats avec Fleuriste ou autre. Et ça, effectivement, c'est vachement intéressant dans le local, parce que tu captes, encore une fois, tu captes les habitants du quartier à des endroits où ils sont, à des endroits où ils consomment.

  • Speaker #2

    Pour un budget de 10 000 euros sur 6 mois, là, tu parlais de radio. Tout à l'heure, la radio, ça reste accessible pour des cafés comme ça Bien sûr. Je n'ai pas du tout les prix en tête. Oui, je ne suis pas une question piège. Vraiment, c'est... Alors,

  • Speaker #0

    question piège, vraiment, je rentre dedans puisque je n'ai pas les prix. Je n'ai pas les prix radio, mais bon, effectivement, nous, on en propose. Et effectivement, quand on peut proposer des événements, le café peut proposer un événement.

  • Speaker #2

    Ah oui, un événement. Le café de poivre,

  • Speaker #0

    il y a la radio. Et donc là, c'est quand même une population qui bouge et qui potentiellement est intéressée par ce café.

  • Speaker #3

    Donc là, c'est intéressant parce qu'on a parlé de deux types de marketing. Il y avait le premier marketing toute boîte qui était plutôt un marketing, je dirais, long terme. Et on a un deuxième type de marketing plutôt lié à de l'événementiel. Il y a des canaux qu'on va préférer quand il y a un événement bien précis, bien ancré dans le temps. Il y a la radio, on a parlé de la radio. Est-ce qu'il y en a d'autres

  • Speaker #1

    Un event, tu vois, typiquement, créer ton event. Si tu as un événement, tu vas créer l'événement sur, par exemple, Facebook. Et tu peux ensuite déjà le déployer à la communauté, si tu as la chance d'en avoir déjà une. Ou tu peux aussi le booster après. Et tu peux transformer, en fait, si tu veux, la page de ton événement en page de destination de ta campagne. Et faire en sorte que les gens aillent s'inscrire, disent je suis intéressé Ça, c'est aussi une bonne méthode de pousser. Je sais qu'on a déjà eu le cas des clients qui faisaient des brunchs tous les dimanches. Tous les dimanches, on avait rempli leur agenda avec des events sur Facebook et on faisait une petite campagne chaque semaine sur ça.

  • Speaker #0

    Et tu peux totalement utiliser une marque comme Virgule, Vort, pour déployer aussi ta campagne, en plus en cross-médias finalement.

  • Speaker #3

    Des médias qui sont plus dans l'instantanéité, du coup, je vais vous raconter si c'était Virgule.

  • Speaker #1

    Un autre truc qui peut être assez intéressant, si tu as encore de budget, dans le cas d'un resto, d'un café, ça va être d'utiliser, si tu veux, le pendant local. de Google Ads. Alors à l'époque, il y avait ce qu'on appelait des campagnes traffic to store. Donc en fait, si tu veux, le but c'était de faire de la pub sur Internet pour attirer les gens dans ton magasin. Aujourd'hui, ça se fait via en branchant Google My Business sur un compte Google Ads. Et en fait, via les performances max, tu vas pouvoir, tu vas avoir des publicités qui sont souvent coupées en deux. Tu vas avoir ta publicité, ton image, tes textes, et en dessous, il va y avoir une petite carte avec l'adresse. Et en fait, parmi les CTA de cette pub, il y a la demande d'itinéraire, l'appel pour réserver, etc. Ça, ça marche aussi pas mal dans le cas des cafés et des restaurants.

  • Speaker #2

    OK. Donc, conclusion.

  • Speaker #0

    On peut faire radio, on peut faire de la campagne sur nos propres sites, quand même, pour toucher localement, et du Instagram, Facebook et Google.

  • Speaker #1

    Donc, au final, tu peux toucher un petit peu à tout.

  • Speaker #2

    C'est une première affaire où les avocats sont d'accord, mais j'espère que ça ne va pas durer.

  • Speaker #1

    Je vois sans but.

  • Speaker #3

    Et peut-être encore une dernière chose sur ce sujet-là. On parlait de toute boîte. Sur un quartier comme Ulrich, par exemple, c'est quoi la zone de chalandise C'est jusqu'où on va Combien de flyers on fait C'est une bonne question,

  • Speaker #1

    ça. C'est souvent la question que tu te poses quand tu as un bricade mortard et de savoir jusqu'à où tu fais de la pub. Quelle est la distance raisonnable en kilomètres, en temps, etc. C'est toujours très complexe. En général, ça, c'est le client ou l'entrepreneur qui va le connaître le mieux. Oui,

  • Speaker #2

    parce qu'il a déjà fait

  • Speaker #1

    à minima une petite étude et il connait sa clientèle il va savoir te dire si c'est les gens qui sont à 5 km ou si ces burgers sont tellement bons que les gens conduisent depuis l'autre bout du pays pour venir ça va dépendre du prix du flèche alors

  • Speaker #3

    moi je vais prendre mon sujet de coeur les communes

  • Speaker #2

    C'était sûr.

  • Speaker #1

    Et pourquoi donc Parce que le nom de Slow Pan...

  • Speaker #2

    On était sûr.

  • Speaker #1

    Il fallait beaucoup de communes.

  • Speaker #0

    Quelle est l'histoire Je veux la connaître.

  • Speaker #3

    Dans mon portefeuille client, j'ai beaucoup de communes. Et donc, voilà, c'est mon petit sujet de cœur.

  • Speaker #1

    Et alors, du coup, c'est... Clairebourg,

  • Speaker #3

    c'est la commune qui se situe entre Seattle et Bruxelles.

  • Speaker #2

    Le logo généré par Danny. On le met pas sur LinkedIn.

  • Speaker #1

    Il y a le pont de San Francisco, il y a Big Ben, il y a des petits chalets.

  • Speaker #2

    J'ai pas passé une heure à faire un prompt pour générer un logo, les gars.

  • Speaker #1

    Ça a l'air assez cosmopolite comme...

  • Speaker #2

    Donc, le client. reste une mairie d'une ville d'environ 50 000 habitants, on va dire, qui veut moderniser sa communication. Dieu sait qu'il y en a. Ils ont un budget de 70 000 euros sur un an. Un peu plus lourd que le petit café du coin. Les besoins, donc, clairement, améliorer l'image de la ville, mieux informer les habitants sur les projets locaux. Naïm, il est dans sa piscine. La cible, donc, forcément, c'est les résidents, toutes sortes d'âges. Les touristes, mais aussi les nouveaux arrivants, ceux qui s'installent à Clermont parce qu'il y fait bon vivre. Alors débat, est-ce qu'il faut tout miser à fond sur le digital Je ne sais pas, site web Il y a beaucoup de choses. Ou est-ce qu'on fait... Comment vous gérez les projets étatiques

  • Speaker #0

    Là, c'est du cross-média dans tous les cas. Il y aura de tout, il y aura du print, il y aura de la radio, il y aura du digital. On essaie vraiment de cibler un maximum de personnes. de toucher un maximum de personnes parce qu'on sait que le digital, on sera plutôt sur des plus jeunes. Le print, on sera plutôt sur des moins jeunes. Et la radio, plutôt des personnes mobiles ou quand ils travaillent, ils font deux choses en même temps. Donc, on fait du cross-média. On va vraiment être sur nos supports digitaux et sur Luxembourg-Govort, par exemple. Et la radio, pour Radio Latina,

  • Speaker #1

    effectivement. Et est-ce que, du coup, dans ces cas-là, t'adaptes, parce qu'en fait, les différents supports visent différentes types, du coup, tu as tout intérêt à décliner ton message et t'écris ton sujet selon les groupes d'âge.

  • Speaker #0

    Sauf, effectivement, s'il n'y a pas trop de budget ou s'il n'y a pas d'agence, on propose des solutions où on peut prendre le PDF, par exemple, d'une image qui a été mise en print pour le digitaliser. Ça, on a la possibilité de faire. Mais effectivement, on préconisera toujours de changer le message en fonction du support dans tous les cas. Mais là, il y a quand même du budget dont on peut utiliser.

  • Speaker #1

    360, full.

  • Speaker #0

    Il faut clairement faire quelque chose de bien.

  • Speaker #2

    On ne dépense pas tout le budget, 70 000 euros sur un an à faire de la radio,

  • Speaker #3

    de la piste.

  • Speaker #1

    Alors, pour le coup, quand on parle de communes, je prioriserais quand même... Parmi ce budget, je suppose que ce budget, ce n'est pas seulement une enveloppe d'achat média. Non, non,

  • Speaker #2

    c'est globalement. Pour moi, c'est moderniser la communication.

  • Speaker #1

    Tu as la chance, en fait, quand tu travailles sur un projet communal, d'avoir ce qu'on appelle de la first party data, donc de la data qui appartient au client, qui est en général très clean, très utilisable, notamment les adresses mail, les adresses physiques, les noms et les prénoms des personnes qui vivent dans la commune. On va dire problématique RGPD mise à part. Tu as le droit de communiquer avec ces gens-là pour leur donner des informations. Donc là, pour moi, une des pistes à explorer, plutôt que d'aller payer des milliers de cents à des régies publicitaires, tu vois, style Google Ads, en fait, investis plutôt dans des outils de communication directe. Tu peux envoyer des trucs dans les boîtes aux lettres, tu peux envoyer des emails. Donc, peut-être se pencher un peu sur les systèmes d'emailing, sur un site web, voire une application. Parce qu'on sait qu'en général, dans les communes, les usages, tu vois, c'est des trucs qui se répètent, les besoins. Mais ça,

  • Speaker #2

    c'est des coûts quand même assez élevés. C'est pour ça que j'ai pas mis... Moi, je trouve que 70 000 euros sur un an, je trouve que c'est un budget, bien sûr. Mais par rapport à tout ce qu'on a besoin de faire pour une commune, je trouve que si maintenant tu commences à vouloir développer une application, optimiser ton site web, commencer une approche à faire, je sais pas, des affiches dans la ville, faire un journal papier, je sais pas, je sais pas. promouvoir des événements, je trouve que le budget, il va falloir faire des choix. Il va falloir faire des choix. Donc, qu'est-ce qu'on privilégie Est-ce qu'on privilégie les nouvelles générations qui sont plus digitales Ah,

  • Speaker #1

    ça,

  • Speaker #2

    c'est toujours un peu plus digital.

  • Speaker #0

    Franchement, je pense que le journal aide quand même beaucoup. Quand on parle local, le Luxembourg World Forum, par exemple.

  • Speaker #1

    Tout le monde regarde le journal.

  • Speaker #0

    Et puis, en fait, avec le digital, tu as beau dire ce que tu veux, tu scrolles très vite. Ouais. potentiellement tu captes pas avec le message que tu décides de donner.

  • Speaker #1

    Ouais, t'as l'idée de l'attention qui est plus...

  • Speaker #0

    Voilà, l'attention, ces trois secondes, on l'avait déjà vu. Alors que le print, normalement tu prends le temps d'ouvrir ton journal, tu prends le temps de lire ce que t'as envie de lire. Ouais. Et si la pub est là, à ce moment-là, bah tu captes ton audience. Ça je pense que...

  • Speaker #1

    Je pense que l'email, moi je mettrais quand même, tu vois, un peu d'argent dans le fait de développer un système de mailing, soit par une solution entière, soit via une petite appli, même en no-code ou autre. ou un truc que tu branches à ton site web. Parce que pour le coup, là où dans le digital, tu as de l'attention et tu as de l'action après, c'est clairement dans l'email. Ça reste le genre.

  • Speaker #0

    En ceci, tu vois, nous, on fait des newsletters de chaque marque et on peut effectivement mettre une ad aussi dessus, ou même un article disponsorisé, où là, effectivement, l'utilisateur vient chercher l'information finalement.

  • Speaker #1

    Oui, et il est... Tu as... Je ne sais pas, deux articles ont gagné, et à l'intérieur, tu as un post.

  • Speaker #0

    C'est un article spécifiquement pour ça.

  • Speaker #1

    Qui est induit, en fait, qui ne ressort pas comme une publicité.

  • Speaker #3

    Voilà. Et là, j'ai peut-être encore une chose à rajouter. On a beaucoup parlé de comment on communique avec les habitants de la commune, mais comment on communique avec les visiteurs Parce que la ville de Clermont, elle est extrêmement visitée, elle est très demandée à l'instant. C'est connu. Comment on communique sur les événements, sur ce qui se passe dans la commune, dans le tourisme Alors là,

  • Speaker #1

    pour le coup, j'irais full digital. Et tu cibles, en fait, c'est un peu la méthode. Moi,

  • Speaker #2

    je voulais tirer la couverture, chez nous en tout cas, pour ce genre de...

  • Speaker #1

    En tout cas, pour les visiteurs, c'est un peu la même chose. C'est la même façon dont tu communiquerais avec un hôtel. Un réseau comme Google Ads, par exemple, va te permettre de cibler concrètement tous les pays du monde, selon ton budget et selon les CPC, les coûts par clic que tu es prêt à encaisser. Mais concrètement, tu vois, aujourd'hui, ça arrive. Nous, on a des hôtels, par exemple, qui en travaillent. Ils ont des publicités qui tournent à Londres, à Zurich, à Hong Kong, aux Etats-Unis, pour cibler des gens, pour leur donner l'idée de venir visiter le Luxembourg. Donc une ville, concrètement, elle pourrait communiquer de la même façon.

  • Speaker #2

    Toi, Nadim, tu as déjà participé à des questions sans désigner la commune en question. Non, mais des questions sur des sacrifices budgétaires, ou en tout cas des choix à faire. Parce que nous, on prône... l'optimisation du site web, vraiment mettre à disposition du citoyen un maximum de fonctionnalités, d'infos, etc. Est-ce que tu as déjà eu des cas de figure où on dit, non, on préfère largement faire de la publicité dans nos affiches imprimées

  • Speaker #3

    On a de la chance avec les communes luxembourgeoises parce que ils sont très axés sur la digitalisation, déjà. Il y a déjà l'état d'esprit qui est derrière. Et aussi, quand le budget peut poser problème une année, mais que c'est une feature qui leur semble intéressante, Ils sont prêts à comprendre et à potentiellement débloquer du budget pour cette année ou l'année suivante pour développer cette fonctionnalité. Donc ça, c'est très chouette. Et même encore avec Antoine, récemment, on a développé un système de newsletter pour une commune qu'on ne va peut-être pas forcément citer, mais qui était pour un souper. Et on a pu communiquer très efficacement via une newsletter.

  • Speaker #2

    Pour un souper

  • Speaker #3

    Pour un souper dans une commune, oui.

  • Speaker #0

    Et nous aussi, on propose avec Lux Times.

  • Speaker #3

    Ah pardon, Dédric, je parlais en anglais.

  • Speaker #0

    Je me suis dit que les expats...

  • Speaker #1

    Oui, les expatriés, il y a des... Je sais qu'il y a aussi... Just Arrive aussi qui fait ça. En fait, tu as des médias qui sont dédiés, si tu veux, à cibler des expatriés, à cibler des gens qui ne sont pas ou qui viennent d'arriver au Luxembourg pour les attirer.

  • Speaker #0

    Et aussi des événements. Je pense que là, ça fait du sens. On a des événements spécialisés pour les expats. Et là, tu peux largement venir avec un stand et expliquer ce que la commune propose.

  • Speaker #1

    Des webinars aussi, pour présenter la commune, tu vois. Genre, des sortes, tu pourrais même imaginer, tu sais, quelqu'un de la commune qui se promène, qui va prendre des vidéos, une chaîne TikTok. On avait parlé, il y a une...

  • Speaker #2

    Pour pas les citer, la communauté d'IronVest. Ouais, voilà, c'est ça. On leur fait la promo, ils ont fait une vidéo, franchement,

  • Speaker #3

    de nion. Dans la communauté d'IronVest, ils ont vraiment... Alors, je ne sais pas si c'est en interne ou si c'est outsourcé, je crois que c'est en interne, mais en interne, ils ont une personne très compétente dans la vidéo et ils ont des excellentes vidéos de la commune.

  • Speaker #1

    Ouais. Et ça c'est très cool, pour découvrir une commune en fait, avant de te déplacer, de pouvoir la voir en vidéo.

  • Speaker #2

    Affaire suivante, Greenmove. C'est un service de location de vélos et de trottinettes électriques.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #2

    Budget, 30 000 euros sur 6 mois. Donc, quelque chose d'assez rapide et puis intéressant. Les besoins, il faut clairement augmenter les abonnements mensuels et la notoriété de la marque. Donc, principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout. Je l'ai dit parce que c'est une insulte. Je l'ai dit parce que c'était pas un homme.

  • Speaker #1

    Non, non, mais je reste... C'était une... Mais si,

  • Speaker #2

    on revend que tu l'es en... Non, non, des gens qui ont une volonté vraiment d'améliorer leur comportement éco-citoyen. et donc les personnes qui prennent les transports en commun en général, comment les acquérir.

  • Speaker #1

    Et comment faire du revenu

  • Speaker #2

    Comment on génère,

  • Speaker #1

    comment on augmente le nombre d'abonnements mensuels Je partirais sur du marketing d'influence. Je ne connais pas trop, je ne connais pas exactement le paysage d'influenceurs green. Je ne sais pas. Je ne sais pas s'il y en a.

  • Speaker #2

    Un Tony Hawk de la trottinette

  • Speaker #1

    Non, mais même pas. Est-ce qu'il y a des... S'il doit y avoir des influenceurs au Luxembourg qui s'occupent de problématiques environnementales, je pense qu'il y en a, qui pourraient mettre en avant. Tu sais que ces gens-là, ils ont une audience de gens qui vont avoir ce problème à cœur. Donc, ils vont être à même de s'intéresser à quelque chose qui apporte une solution. Je chercherais peut-être même... un partenariat avec le ministère de l'Environnement. Je ne sais pas si ils paquent des startups ou s'ils ont des espèces de subventions. Il y a des subventions pour le digital. On n'en parle d'ailleurs pas assez souvent de tout ce qui est SME Packages, Feed for Digital, mais qui sont en fait des bourses qui sont données aux entreprises au Luxembourg qui ont certains projets digitaux qui peuvent être supportés par le gouvernement.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai peut-être encore un truc à ajouter sur Green Move. Moi, je l'aurais très bien vu vu que c'est du B2C. et que ça s'adresse à une population très large, des campagnes UGC qu'on pourrait réutiliser dans des publicités typiquement Facebook.

  • Speaker #1

    Ouais, prenez...

  • Speaker #3

    UGC, on en parle dans tous les épisodes maintenant, mais User Generated Content, c'est le fait qu'une personne lambda qui ne soit normalement pas un acteur puisse parler d'un produit ou d'un service. Un client,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu conseilles aux gens de se filmer pendant qu'ils sont en train de rouler en trottinette Non, non, mais...

  • Speaker #3

    Evidemment, non.

  • Speaker #2

    Non,

  • Speaker #3

    mais qui présente le service,

  • Speaker #1

    voilà. Sur le chemin.

  • Speaker #3

    Je m'appelle Naïm, moi depuis que j'ai découvert Greenmove, je vais tout le temps travailler avec.

  • Speaker #1

    Ouais mais typiquement tu vois, tu peux se prendre en photo quand t'es arrivé, tu vois, typiquement. Par exemple. Et gagner 5 balles sur la prochaine ride.

  • Speaker #2

    Ça existe pas du, je sais pas comment on peut dire, je sais pas si le terme existe, mais du street marketing ou des choses vraiment que tu fais, des tests gratuits.

  • Speaker #0

    Ah les tests c'est important. On va éviter le print par contre ici.

  • Speaker #1

    Ouais du coup ouais.

  • Speaker #0

    Et encore une fois moi je... je pense, sponsor content, définir un peu ce qu'ils proposent et pourquoi c'est bien d'aller télécharger tout ça. Et bien rediriger la campagne vers justement l'app pour directement la télécharger. Comme ça, il n'y a pas de bifurcation et de perte de personnes. Pour les stores directement.

  • Speaker #2

    Voilà. C'est intéressant que tu dis parce que la société, ça s'appelle Greenmove, en tout cas, il y a un côté écolo. Que tu dis, on va éviter le print, est-ce que... Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vraiment... Je me dis, effectivement, s'il y a vraiment un côté très écolo, alors on peut aller sur du print.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la valeur, ok, ça dépend de la valeur.

  • Speaker #0

    Si on veut vraiment aller à 100% dans le côté écolo.

  • Speaker #1

    En plus, je veux dire, là, techniquement, ta cible, tu es concrètement en train de lui demander d'installer une appli, tu vois. Donc, je veux dire, elle est forcément dans les ranges d'âge.

  • Speaker #2

    Tu peux faire un affichage public.

  • Speaker #1

    Tu pourrais,

  • Speaker #2

    mais tu ne vas pas aussi facilement les... Des choses comme ça, tu vois, pour dire, les gars, on a un beau service.

  • Speaker #1

    Tu vas aussi facilement les toucher en digital et je pense que tu auras un meilleur coût. Tu arriveras à réduire ton coût d'acquisition,

  • Speaker #2

    je pense. Est-ce qu'on peut créer des fiches Google My Business, donc la fiche d'entreprise pour des aires de stationnement

  • Speaker #1

    Bonne question. Alors, comme ça, je te dirais non. Je n'ai pas le souvenir, tu vois, par exemple, des trucs genre Uber ou autre à Paris, quand tu peux aller... Ou Lemon pour les vélos.

  • Speaker #3

    Je crois qu'on peut mettre un point sur Google Maps, par contre.

  • Speaker #1

    Tu peux mettre un point sur Google Maps Parce qu'en fait, ces trucs-là, en général, elles ont leur propre système de localisation via Maps, via Maps ou OpenStreetMap ou autre, mais dans l'application. Si tu veux, quand tu cherches à louer... à prendre un Vélib, tu vois, pareil, tu as l'appli et puis tu peux voir où sont les stations Vélib. Donc en fait, je n'ai jamais eu le réflexe de me dire tiens, je vais aller sur Google Maps pour voir son raré. C'est peut-être possible.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas impossible.

  • Speaker #1

    Après, je pense que pour Google Maps, si mes souvenirs sont bons pour avoir une fiche acceptée, il faut qu'il y ait un numéro de téléphone unique. Ça voudrait dire qu'il faudrait que tu arrives à shooter un numéro de téléphone par station pour pouvoir faire valider la fiche.

  • Speaker #2

    Affaire suivante

  • Speaker #1

    Je ne sais plus à qui c'est.

  • Speaker #0

    C'est à mon enfant, il me semble. Elle est où, l'agent Simo Elle est ici. Luxe Prestige.

  • Speaker #2

    Luxe Prestige. C'est sacré. C'est luxueux.

  • Speaker #1

    C'est très luxueux.

  • Speaker #2

    C'est une agence effectivement immobilière qui est spécialisée dans le luxe. Donc, un budget un peu plus lourd, on va dire 100 000 euros sur l'année. OK. Donc, typiquement, les besoins, trouver des clients pour des biens de luxe à Luxembourg.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #2

    La cible, donc, principalement des entrepreneurs. des investisseurs, des expatriés très fortunés.

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qu'il fait avec ce budget Ce qui est difficile en digital, c'est que tu as des façons de cibler des personnes avec des revenus assez hauts. Sur Google Ads ou autre, tu as une option qui permet de cibler les gens par rapport à où ils se situent dans les quantiles de revenus. Sauf que cette fonctionnalité est interdite en Europe. Elle ne fonctionne qu'aux États-Unis. tu as des moyens détournés de le faire. Tu peux créer, par exemple, des segments d'audience de gens qui vont sur le site Lamborghini, Ferrari, de gens qui ne vont que dans les Sofitels, les hôtels de luxe. Cibler des gens qui ont des goûts de luxe pour essayer de les cibler. Mais bon, concrètement, ça ne veut pas dire grand-chose. Moi, je peux aller voir des Lamborghini et faire du lèche-vitrine tous les jours. Ce n'est pas pour autant que je peux aller m'acheter une maison à un million. Donc là... pour le coup, je pense que le print ou les... Je ne sais pas comment... Les magazines niches, voilà. Ça, je pense que Marine, tu sauras en parler un peu plus.

  • Speaker #0

    Clairement, on en a forcément, puisqu'on travaille avec Vortimo et on a le côté print. Effectivement, si tu cibles avec un magazine personnalisé, tu touches forcément plus vite ta cible. Mais il y a aussi Vortimo, le site web, finalement.

  • Speaker #1

    C'est quoi C'est de l'agrégateur de...

  • Speaker #0

    Vortimo.lu, c'est vraiment pour chercher ton bien, soit à vente, localisant, au Luxembourg. On cible vraiment les personnes au Luxembourg,

  • Speaker #1

    les biens luxembourges. C'est directement ici. Et ça se passe comment pour une agence Ils vous donnent un flux Il y a des crédits spécifiques.

  • Speaker #0

    Oui, comme tu as dit, un agrégateur. Et donc, tu mets tes annonces. Et ce que là, j'imagine, comme c'est une agence de luxe, tu proposes des biens à plus d'un million, etc. Nous, on peut cibler des personnes qui cherchent un bien à plus d'un million,

  • Speaker #1

    deux millions. Parce que c'est tout un peu le bonheur, on va dire, des agrégateurs. C'est qu'eux ont de la data sur l'utilisation des gens qui ont un compte. Et ça, effectivement, ça fait quand même une grosse diff.

  • Speaker #3

    J'ai peut-être encore un truc à ajouter. Potentiellement aussi retargeter les personnes qui fréquentent ton site d'annonce immobilière.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, bah ouais.

  • Speaker #3

    Parce qu'en général, ton site d'agence immobilière, tu vas le voir plusieurs fois le temps que tu trouves ton bien. Donc, ça pourrait toujours être utile de faire des campagnes de retargeting des nouveaux biens qui rentrent.

  • Speaker #1

    Oui, là, je pense que c'est vraiment quelque chose de...

  • Speaker #3

    Retargeting, la définition. Recibler.

  • Speaker #2

    Recibler.

  • Speaker #1

    Recibler quelqu'un. Du ré-reciblage. Alors, c'est du... Oui, c'est du reciblage. Disons que pour donner un exemple aux gens qui ne savent pas ce que c'est, c'est que vous avez tous déjà été retargetés. C'est... Vous avez été voir une paire de pompes, elle vous plaît bien, vous avez été la regarder deux fois, trois fois dans la semaine, et bizarrement, toute la semaine d'après, à chaque fois que vous voyez une publicité sur Internet, c'est cette paire de pompes exactement.

  • Speaker #2

    Je suis sur mon site ZPesh.

  • Speaker #1

    Ça, c'est parce qu'en fait, au moment de la visite, vous avez récupéré ce qu'on appelle un cookie, en fait, qui vous identifie. Ce cookie vous lie à un produit, et ce produit, en fait, les régies publicitaires vous le renvoient parce qu'elles savent que vous, vous avez regardé ce produit-là. Donc, par exemple, on va tous avoir des... des publicités différentes en étant la cible de remarketing.

  • Speaker #2

    Dans la vie réelle, ça serait un mec qui te suit tout le temps et qui te redonne un flyer un peu tous les demi-heures, qui te souffle dans la nuque et qui dit tiens, t'as oublié au fait que...

  • Speaker #3

    Ouais, ça serait la métaphore.

  • Speaker #1

    C'est un peu ça. Effectivement, ça, tu vois, c'est un truc où je trouve les grandes régies publicitaires ont encore un peu du mal. On a très souvent le cas, même pas forcément pour Dlimo, mais des gens qui arrivent et qui veulent cibler, disent moi, je veux cibler... tous les PDG, je veux cibler tous les CMO, je veux cibler tous les directeurs financiers. Et en fait, le digital est encore relativement nul pour ça. Je ne peux pas pinpoint telle personne qui est en poste à tel endroit. Moi, j'ai des profils, j'ai des segments, des âges qui font de l'intérêt, mais je ne peux pas trop m'en sortir comme ça. D'où l'intérêt des communautés de niche, en fait, de faire du... pool, tu vois, d'attirer les gens via des contenus qui les intéressent pour ensuite avoir créé une communauté.

  • Speaker #2

    Et balancer tout le budget sur un événement VIP, genre avec une collaboration avec des banques privées, surtout pas

  • Speaker #0

    Non, je pense que c'est très bien de faire un événement pour se faire connaître. Je pense que c'est une très bonne idée, mais pas tout le budget effectivement. Pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.

  • Speaker #1

    Ce que je vois aussi beaucoup dans ce genre de... J'en vois beaucoup sur Paris. et surtout les agences de luxe qui vont faire des petits tours TikTok, tu vois, vidéo.

  • Speaker #3

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Un appart privé dans le quatrième où, genre, vraiment, t'en prends plein la tronche. Il y a le truc que la dernière fois, il vendait un appart, bon, il n'y avait pas le prix, mais qu'il y avait un basquiat, genre, au milieu du salon, tu vois, juste au-dessus du musée d'Orsay à Paris. Et c'est vrai que ça claque, tu vois. Genre, là, tu vas attirer quand même.

  • Speaker #0

    Bien jouer sur les belles photos, du coup,

  • Speaker #2

    aussi. Et, comment dire, investir dans... dans de l'ads, donc créer par exemple des vidéos, je ne sais pas, en réalité virtuelle ou autre, des vidéos super soignées de chaque bâtiment et les push sur YouTube. Oui,

  • Speaker #1

    les push, tu vas te faire de la visibilité, tu peux espérer par récolter ou entre guillemets par chance d'avoir là-dedans ta cible, mais c'est compliqué parce que ces gens-là, en fait, ils sont très niches. Disons que là, si je prends un appart à 2 millions d'euros et que je te fais faire 10 millions d'impressions dans la semaine, Concrètement, parmi ces 10 000 impressions, quel est le pourcentage de personnes qui pourraient réellement te contacter et offrir une piste Même par ricochet, c'est compliqué. Oui, oui, oui. En général, là, je voudrais... Donc,

  • Speaker #2

    avantage, avantage, quoi. Alors, plutôt...

  • Speaker #1

    Communauté, niche, avoir un... Cross-média. Cross-média. Et les agrégateurs aussi. Parce que là, du coup, tu as l'information que telle personne avec tel compte, elle utilise souvent l'appli pour aller voir en moyenne, si tu as bien tagué ton site. que des biens qui sont d'une valeur supérieure à 600 000 euros dans les trois derniers mois. Là, tu sais que tu as une petite piste quand même d'accrocher quelqu'un qui a un intérêt.

  • Speaker #3

    Tu parlais aussi de KPI tout à l'heure. Est-ce que dans le print aussi, il y a certains KPI qu'on peut analyser pour benchmarker les performances d'une campagne

  • Speaker #0

    Je ne fais pas de print. Non, mais bien sûr, il y a d'autres. Je crois qu'il y a les piges Nielsen qui sont disponibles. Il y a plein de différentes choses qu'on peut...

  • Speaker #1

    Moi, je t'avoue que je ne connais pas du tout les KPI de print. Je suppose, si c'est comme les magazines.

  • Speaker #0

    Après, il y a des sondages aussi qui sont faits après coup. J'imagine que ça serait totalement possible.

  • Speaker #3

    C'est pour que les gens aient vu la publicité, quelque chose comme ça

  • Speaker #1

    Oui, en fait, je pense que tu vas demander aux gens qui faisaient partie des cibles ou que tu as ciblé, est-ce que vous avez entendu parler de ces... Je ne sais pas, sur YouTube, tu l'as de temps en temps parlé. Vous avez entendu parler Parmi ces quatre marques desquelles vous avez entendu parler. Tu vas pouvoir aussi peut-être avoir des trucs sur l'opinion perçue. C'est-à-dire que toi, quand tu vas faire une campagne de ce type-là, tu as une idée d'opinion que tu souhaites générer chez les gens. Et tu vas pouvoir voir ensuite, est-ce que vous connaissez cette marque Certaines personnes vont te dire oui. Et après, tu vas leur dire, c'est quoi votre opinion C'est quoi le positionnement que vous percevez Ah ben, Prestige Reality, j'ai vu deux, trois vidéos, ça a l'air super luxueux, super classe, machin. Donc là, tu sais que tu as réussi.

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #1

    oui. Mais effectivement, pas des KPIs comme nous. C'est pas les KPIs comme nous, genre tant de clics.

  • Speaker #0

    Il y a des abonnés. Par exemple, quand le journal, on sait combien il y a d'abonnés, forcément, potentiellement, tu as touché cette cible-là.

  • Speaker #1

    Les KPIs, j'ai l'impression que souvent, si tu as dans le print, les KPIs viennent parfois même avant. On a un magazine avec tant de tirages, avec tant d'audience. Voilà ce qu'on peut vous fournir.

  • Speaker #3

    En fait, je n'aurais pas dû formuler ma question comme ça. J'aurais dû plutôt dire, comment est-ce qu'on sait si une campagne est réussie ou ratée

  • Speaker #1

    Ça dépend, en fait.

  • Speaker #0

    ça dépend du type de campagne et de l'objectif aussi visibilité je pense que visibilité tu sais que t'as fait tant de tirages comme t'as dit donc voilà t'as touché les personnes là potentiellement mais à quel point est-ce qu'ils sont allés acheter le produit ou non là on pourra quand même pas le dire à 100%

  • Speaker #1

    après il y a un moment aussi il faut basculer dans le monde réel t'as ce qu'on appelle par exemple dans le digital le suivi des conversions hors ligne demande-toi par exemple pourquoi aujourd'hui de plus en plus de magasins te demandent si tu veux recevoir ton ticket de caisse par email

  • Speaker #3

    Et toi,

  • Speaker #1

    tu as ton email. Sauf que Google connaît ton email. Et il peut savoir que toi, ton compte, ce compte mail-là, a vu une publicité en ligne dans les trois dernières semaines. Et que t'as été en magasin et que t'as acheté. Donc ça, c'est de la data que tu peux faire remonter. Des fois, il faut... Puis même, tu peux dire à tes clients, n'hésitez pas quand vous avez un nouveau client qui vient, à l'ancienne, vous avez entendu parler comment Ah bah, j'ai vu une pub dans tel magazine. Ah bah, j'ai vu une campagne sur tel média. Ce genre de trucs. Comme ça, ça te permet de jauger. Ce n'est pas pile poil, ce n'est pas au microscope, mais ça te donne un ressenti.

  • Speaker #2

    Il nous reste quatre affaires. Je propose d'arrêter cet épisode-là, cette partie 1, en tout cas. Et donc, pour la partie 2, ça sera la semaine prochaine, toujours avec Marine. Marine, merci beaucoup déjà d'avoir participé à cette partie-là. Et on se donne rendez-vous un petit peu plus tard. Page LinkedIn Café Clatch, abonnez-vous. On est... Je ne sais plus, on est des millions.

  • Speaker #1

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Moi, j'aurais même dit des milliards.

  • Speaker #2

    Des millions, des milliards d'impôts. OK, merci à tous. Bonne journée. À bientôt. Salut, à bientôt.

  • Speaker #0

    A la prochaine.

  • Speaker #1

    Ciao. Salut. Quelle c'est-ce qui est rassistible.

  • Speaker #2

    Comme un chalot.

Chapters

  • Présentation de Marine Morgante

    00:19

  • Confrontation entre marketing digital et print

    01:37

  • Analyse de cas : Le Café du Coin

    06:10

  • Analyse de cas : La Commune de Clairbourg

    13:27

  • Analyse de cas : Greenmove et ses trotinettes électriques

    22:35

  • Analyse de cas : Luxe Prestige et le ciblage des clients riches

    28:04

  • Conclusion inachevée

    37:37

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Description

🎙️ Visibilité ou performance ? Print ou digital ?

Dans cet épisode du Tribunal du Marketing, on accueille Marine Morgante, AdOps Supervisor chez regie.lu pour un vrai débat d'experts autour des stratégies de communication. Ensemble, on passe au crible plusieurs cas concrets — du petit café de quartier à une commune qui veut moderniser sa com' — et on se pose les vraies questions :

👉 Est-ce qu’un flyer dans les boîtes aux lettres a encore un impact en 2025 ?
👉 Le digital est-il vraiment plus efficace quand on a un budget serré ?
👉 Comment arbitrer entre notoriété et rentabilité ?

On confronte nos idées, on rigole un peu (beaucoup), mais surtout, on creuse pour donner des conseils concrets.

💬 “C’est peut-être le seul business où je crois encore aux tout-boîtes.”
💬 “Tu veux remplir ton café ? Fais un event Facebook, pas un post Insta.”

Bref, c’est un épisode riche, franc et sans bullshit. On vous donne des clés pour penser autrement vos campagnes, que vous soyez une PME, une asbl ou une collectivité. Et la bonne nouvelle ? Ce n’est que la première partie !

🎧 Abonnez-vous pour ne rien rater de la suite, et retrouvez-nous sur LinkedIn pour continuer la discussion : Café Klatsch

Café Klatsch, le podcast où stratégie, créativité et terrain se rencontrent.
Disponible sur toutes les plateformes d’écoute.

#Podcast #Marketing #PrintVsDigital #Visibilité #Performance #CaféKlatsch #RégieLu #StratégieMarketing #Luxembourg


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout... J'ai l'impression que c'est une insulte. Bonjour à tous, vous écoutez Café Clatch, le podcast luxembourgeois qui parle de marketing digital sans prise de tête. Bonjour Naïm, bonjour Antoine. Salut Pato. Aujourd'hui, nous avons le plaisir d'accueillir Marine Morgante, qui est Adopts Superviseur chez Régis.lu.

  • Speaker #1

    C'est exact.

  • Speaker #0

    Bonjour Ça va bien

  • Speaker #1

    Super, merci beaucoup.

  • Speaker #0

    Alors, tu es chez Régis.lu depuis six ans. Bravo, c'est déjà tout J'ai stalké Dernière saison de You En deux mots, ça signifie quoi ton poste et ce que fait Régis.lu

  • Speaker #1

    Alors... Mon poste, déjà, c'est de générer du trafic sur nos sites. Donc déjà, c'est la régie publicitaire du groupe Media et Luxembourg. Donc, on a plusieurs sites à notre titre. On a Vort.lu, Virgule.lu, Contacto.lu, Luxtime.lu. Là, je les ai tous fait, les sites. Et donc, on génère du trafic publicitaire sur ces sites. Et en plus, je regarde si ça fonctionne bien, si on remplit bien l'inventaire de nos publicités. Et je gère aussi une petite équipe de trois personnes.

  • Speaker #0

    Normalement après ça, le café clutch quand on sera en première page sur tout ça. On va venir acheter des campagnes chez Régime.lu. Merci d'avoir accepté l'invitation. Aujourd'hui, on va faire un épisode un peu particulier parce que nous, on parle souvent, tout le temps, de marketing digital. Des fois,

  • Speaker #2

    Naïm parle de dev un peu.

  • Speaker #0

    Oui, un petit peu. C'est le quota. Aujourd'hui, avec Marine, je ne dis pas qu'on est en opposition, mais on a trouvé le moyen peut-être de confronter les deux mondes.

  • Speaker #2

    C'est qu'en fait, dans le monde du marketing digital, au-delà, si tu veux, on oppose en général encore aujourd'hui le print versus le digital. Mais même à l'intérieur du digital, aujourd'hui, tout le monde ne fait pas exactement la même chose. Tout le monde n'a pas les mêmes approches. tu peux avoir des modèles par exemple de parcours client qui diffèrent et notamment au niveau des campagnes publicitaires, tu vas avoir des gens qui vont se spécialiser plutôt dans ce qu'on va appeler le branding, brand awareness donc la visibilité et un peu de l'autre côté du spectre, tu vas avoir plutôt des campagnes qui ont trait à justement pas forcément avoir beaucoup de visibilité mais à être très rentable c'est à dire j'investis X euros et je veux absolument en récupérer. Si, par exemple, un euro dépensé en publicité, je veux en gagner 5, 6, 7, 8, 9, 10. Donc, d'un côté, tu as la visibilité, la brand awareness. De l'autre côté, tu as la rentabilité et un peu, si tu veux, le long terme versus le court terme. C'est un peu ça qu'on aimerait explorer aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Écoute, dans cet épisode un peu spécial qu'on va très probablement proposer en deux parties, je vous propose de transformer le studio en tribunal du marketing. Je vais faire appel à vos talents d'avocat. Ok. Et je vais vous soumettre des affaires, entre guillemets, en gros des entreprises, avec un contexte bien précis, donc un budget. Vraiment, j'ai essayé de proposer plein de cas vraiment différents. plus petit budget jusqu'au truc très lourd, avec les besoins de l'entreprise, la cible, etc.

  • Speaker #2

    Il y a un espèce de contexte,

  • Speaker #0

    de situation. Exactement. Et je vais vous demander de débattre s'il faut investir totalement dans le marketing digital et abandonner le print, la partie offline, ou au contraire, opter pour une campagne 360 ou trouver un mix des deux. Ok, trop bien. J'ai fait ça très proprement. J'ai huit logos. Ah ouais Je suis un designer. Alors, la première société s'appelle La Petite Fripperie. Je ne vous donne pas trop de détails pour l'instant. Vous choisirez. On pourra choisir. On va tous les faire, mais celle qui vous inspire le plus.

  • Speaker #2

    C'est encore mieux que dans la vraie vie, on peut choisir nos clients.

  • Speaker #0

    C'est 8 clients qui ont toqué à la porte et c'est vous qui choisissez la queue. Le Café du Coin. Fit Pro Tech. Un peu plus fort. On a Greenmove. On a Audition Zen.

  • Speaker #2

    T'as fait gaffe qu'il n'y a rien de copyright

  • Speaker #0

    Je n'ai pas demandé. C'est full généré chat GPT. Il n'y a pas CryptoStore. Lux Prestige Realty. Une ASBL qui s'appelle Solid Action. Et on a la fameuse ville de Clairbourg. Je ne sais pas si ça existe.

  • Speaker #2

    Commune.

  • Speaker #0

    J'ai pété. Bien posé de Clairbourg. La fameuse commune de Clairbourg. Donc, en gros, je vous fais un petit récap. Mais voilà, il y a une commune. Il y a une grosse entreprise plutôt spécialisée dans l'immobilier. Voilà, tout à fait. Une ASBL Solid Action qui est dans plutôt la solidarité avec l'intégration. On a une entreprise plutôt axée senior avec Audition Zen. Greenmove. Voilà, un petit... société qui propose des services écolo transport écolo genre livraison oui bah je peux être là comme ça mais je vais vous en dire un peu plus quand vous aurez choisi le café du coin bon bah ça c'est très parlant la petite friperie la petite société dans les rues à côté de chez nous et fit protèque plutôt applications mobiles sportives en fait ok voilà donc vous souhaitez commencer par quoi marine s a l'honneur à l'est

  • Speaker #1

    Allez, je vais choisir Café du Coin.

  • Speaker #0

    Non, c'est le pire. Et bon, c'est ça. Je plaisante. Alors, le Café du Coin, donc café, on va imaginer un café indépendant à Luxembourg-Ville. Ils ont un budget de 10 000 euros pour six mois. Six mois de promotion. Les besoins, en gros, c'est attirer plus de clients dans la semaine et fidéliser la clientèle plutôt locale. Clairement, on va cibler tous les résidents du quartier, les 30-50 ans, des étudiants ou des freelances qui aiment se poser là pour travailler, boire un café, etc.

  • Speaker #2

    Donc, tu cherches à remplir le...

  • Speaker #0

    Je cherche à remplir. Je cherche à attirer plus de clients dans la semaine et éventuellement essayer de fidéliser la clientèle locale. Donc, qu'est-ce qu'on fait Est-ce qu'on mise tout sur le digital Est-ce qu'on fait une campagne 360 si tu as un client qui vient comme ça

  • Speaker #3

    Alors déjà là, en termes de persona, c'est vachement large parce que tu nous as parlé de 30-50 ans, de jeunes, de freelance. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on est sur deux grands types de cafés. Il y a le premier café, c'est le café qu'on connaît tous, le café du coin de la rue, qui ne fait potentiellement pas de marketing, qui est là depuis toujours et c'est les habitants. Et maintenant, ce qu'on voit beaucoup depuis plusieurs années, c'est qu'on a des cafés... dont le business model est vraiment basé sur le côté instagramable du café. Il doit être le café cool des moins de 30, des moins de 35. Et voilà, j'ai l'impression que dans ta description, du coup, ce serait plus un café un peu à la Old School.

  • Speaker #0

    C'est l'exemple. En fait, en gros, c'est la clientèle, je pense, générale qu'elle risque de recevoir. Je ne dis pas que ça va être que des freelances ou que des résidents. Vous imaginez bien à quoi ressemblait le café. Maintenant, à vous de me dire comment on pourrait pouvoir...

  • Speaker #2

    Écoute, au risque de surprendre, je pense que pour moi, ce type de business, et je mettrais aussi là-dedans, tu vois, par exemple, les business de food, genre, par exemple, pizzeria de quartier, etc. C'est en fait les seuls pour lesquels je crois encore peut-être un peu à des flyers dans les boîtes au début.

  • Speaker #3

    Donc du tout de boîte

  • Speaker #2

    Bah ouais, du tout de boîte au moins au départ, je pense, tu vois, avec le menu, les offres. Peut-être pas de façon régulière, mais je trouve que c'est assez intéressant parce que t'es vraiment hyper local.

  • Speaker #0

    Ça matche encore vraiment.

  • Speaker #2

    Bah en fait, concrètement, soit tu fais du digital et tu cibles les gens qui sont là, qui passent, etc., qui sont aux alentours. Soit tu cibles avec un tout de boîte littéralement vraiment les gens qui habitent dans le quartier. Ce qui n'est pas forcément super facile à faire. En tout cas, t'es pas aussi sûr de le faire avec une campagne Google Ads ou autre, tu vois. Tu peux cibler une zone, mais tu vas cibler les gens qui passent en voiture, les gens qui sont là juste l'après-midi, qui ne vont pas forcément bouffer. Moi, j'investirais au moins au début une première brique dans un petit truc flyer.

  • Speaker #0

    Donc du print flyer. Au tout début,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Print flyer. Moi, je pensais...

  • Speaker #0

    effectivement instagram pour votre côté la résonne aux réseaux sociaux mais même pas forcément payant en fait on peut faire du réseau social sans payer on a regardé le flyer effectivement il ya la radio aussi et il ya des concepts mais bon c'est plus du marketing je pourrais même pas l'expliquer où tu fais un concept où il ya d'autres personnes qui vendent même des habits à côté du coup tu fais de partenariat voilà je peux dire calois bas ça t'envoie beaucoup il ya alors j'ai plus en tête

  • Speaker #1

    J'avais vu, c'était des mecs, par exemple, on en avait parlé avec Jérôme. Je ne sais pas si tu te souviens pour l'épisode de l'immobilier, où tu vois le mec d'immobilier, quand il va faire des cadeaux à ses clients, il va les acheter à la vinothèque du coin, par exemple. Ou la boulangerie met en place des partenariats avec Fleuriste ou autre. Et ça, effectivement, c'est vachement intéressant dans le local, parce que tu captes, encore une fois, tu captes les habitants du quartier à des endroits où ils sont, à des endroits où ils consomment.

  • Speaker #2

    Pour un budget de 10 000 euros sur 6 mois, là, tu parlais de radio. Tout à l'heure, la radio, ça reste accessible pour des cafés comme ça Bien sûr. Je n'ai pas du tout les prix en tête. Oui, je ne suis pas une question piège. Vraiment, c'est... Alors,

  • Speaker #0

    question piège, vraiment, je rentre dedans puisque je n'ai pas les prix. Je n'ai pas les prix radio, mais bon, effectivement, nous, on en propose. Et effectivement, quand on peut proposer des événements, le café peut proposer un événement.

  • Speaker #2

    Ah oui, un événement. Le café de poivre,

  • Speaker #0

    il y a la radio. Et donc là, c'est quand même une population qui bouge et qui potentiellement est intéressée par ce café.

  • Speaker #3

    Donc là, c'est intéressant parce qu'on a parlé de deux types de marketing. Il y avait le premier marketing toute boîte qui était plutôt un marketing, je dirais, long terme. Et on a un deuxième type de marketing plutôt lié à de l'événementiel. Il y a des canaux qu'on va préférer quand il y a un événement bien précis, bien ancré dans le temps. Il y a la radio, on a parlé de la radio. Est-ce qu'il y en a d'autres

  • Speaker #1

    Un event, tu vois, typiquement, créer ton event. Si tu as un événement, tu vas créer l'événement sur, par exemple, Facebook. Et tu peux ensuite déjà le déployer à la communauté, si tu as la chance d'en avoir déjà une. Ou tu peux aussi le booster après. Et tu peux transformer, en fait, si tu veux, la page de ton événement en page de destination de ta campagne. Et faire en sorte que les gens aillent s'inscrire, disent je suis intéressé Ça, c'est aussi une bonne méthode de pousser. Je sais qu'on a déjà eu le cas des clients qui faisaient des brunchs tous les dimanches. Tous les dimanches, on avait rempli leur agenda avec des events sur Facebook et on faisait une petite campagne chaque semaine sur ça.

  • Speaker #0

    Et tu peux totalement utiliser une marque comme Virgule, Vort, pour déployer aussi ta campagne, en plus en cross-médias finalement.

  • Speaker #3

    Des médias qui sont plus dans l'instantanéité, du coup, je vais vous raconter si c'était Virgule.

  • Speaker #1

    Un autre truc qui peut être assez intéressant, si tu as encore de budget, dans le cas d'un resto, d'un café, ça va être d'utiliser, si tu veux, le pendant local. de Google Ads. Alors à l'époque, il y avait ce qu'on appelait des campagnes traffic to store. Donc en fait, si tu veux, le but c'était de faire de la pub sur Internet pour attirer les gens dans ton magasin. Aujourd'hui, ça se fait via en branchant Google My Business sur un compte Google Ads. Et en fait, via les performances max, tu vas pouvoir, tu vas avoir des publicités qui sont souvent coupées en deux. Tu vas avoir ta publicité, ton image, tes textes, et en dessous, il va y avoir une petite carte avec l'adresse. Et en fait, parmi les CTA de cette pub, il y a la demande d'itinéraire, l'appel pour réserver, etc. Ça, ça marche aussi pas mal dans le cas des cafés et des restaurants.

  • Speaker #2

    OK. Donc, conclusion.

  • Speaker #0

    On peut faire radio, on peut faire de la campagne sur nos propres sites, quand même, pour toucher localement, et du Instagram, Facebook et Google.

  • Speaker #1

    Donc, au final, tu peux toucher un petit peu à tout.

  • Speaker #2

    C'est une première affaire où les avocats sont d'accord, mais j'espère que ça ne va pas durer.

  • Speaker #1

    Je vois sans but.

  • Speaker #3

    Et peut-être encore une dernière chose sur ce sujet-là. On parlait de toute boîte. Sur un quartier comme Ulrich, par exemple, c'est quoi la zone de chalandise C'est jusqu'où on va Combien de flyers on fait C'est une bonne question,

  • Speaker #1

    ça. C'est souvent la question que tu te poses quand tu as un bricade mortard et de savoir jusqu'à où tu fais de la pub. Quelle est la distance raisonnable en kilomètres, en temps, etc. C'est toujours très complexe. En général, ça, c'est le client ou l'entrepreneur qui va le connaître le mieux. Oui,

  • Speaker #2

    parce qu'il a déjà fait

  • Speaker #1

    à minima une petite étude et il connait sa clientèle il va savoir te dire si c'est les gens qui sont à 5 km ou si ces burgers sont tellement bons que les gens conduisent depuis l'autre bout du pays pour venir ça va dépendre du prix du flèche alors

  • Speaker #3

    moi je vais prendre mon sujet de coeur les communes

  • Speaker #2

    C'était sûr.

  • Speaker #1

    Et pourquoi donc Parce que le nom de Slow Pan...

  • Speaker #2

    On était sûr.

  • Speaker #1

    Il fallait beaucoup de communes.

  • Speaker #0

    Quelle est l'histoire Je veux la connaître.

  • Speaker #3

    Dans mon portefeuille client, j'ai beaucoup de communes. Et donc, voilà, c'est mon petit sujet de cœur.

  • Speaker #1

    Et alors, du coup, c'est... Clairebourg,

  • Speaker #3

    c'est la commune qui se situe entre Seattle et Bruxelles.

  • Speaker #2

    Le logo généré par Danny. On le met pas sur LinkedIn.

  • Speaker #1

    Il y a le pont de San Francisco, il y a Big Ben, il y a des petits chalets.

  • Speaker #2

    J'ai pas passé une heure à faire un prompt pour générer un logo, les gars.

  • Speaker #1

    Ça a l'air assez cosmopolite comme...

  • Speaker #2

    Donc, le client. reste une mairie d'une ville d'environ 50 000 habitants, on va dire, qui veut moderniser sa communication. Dieu sait qu'il y en a. Ils ont un budget de 70 000 euros sur un an. Un peu plus lourd que le petit café du coin. Les besoins, donc, clairement, améliorer l'image de la ville, mieux informer les habitants sur les projets locaux. Naïm, il est dans sa piscine. La cible, donc, forcément, c'est les résidents, toutes sortes d'âges. Les touristes, mais aussi les nouveaux arrivants, ceux qui s'installent à Clermont parce qu'il y fait bon vivre. Alors débat, est-ce qu'il faut tout miser à fond sur le digital Je ne sais pas, site web Il y a beaucoup de choses. Ou est-ce qu'on fait... Comment vous gérez les projets étatiques

  • Speaker #0

    Là, c'est du cross-média dans tous les cas. Il y aura de tout, il y aura du print, il y aura de la radio, il y aura du digital. On essaie vraiment de cibler un maximum de personnes. de toucher un maximum de personnes parce qu'on sait que le digital, on sera plutôt sur des plus jeunes. Le print, on sera plutôt sur des moins jeunes. Et la radio, plutôt des personnes mobiles ou quand ils travaillent, ils font deux choses en même temps. Donc, on fait du cross-média. On va vraiment être sur nos supports digitaux et sur Luxembourg-Govort, par exemple. Et la radio, pour Radio Latina,

  • Speaker #1

    effectivement. Et est-ce que, du coup, dans ces cas-là, t'adaptes, parce qu'en fait, les différents supports visent différentes types, du coup, tu as tout intérêt à décliner ton message et t'écris ton sujet selon les groupes d'âge.

  • Speaker #0

    Sauf, effectivement, s'il n'y a pas trop de budget ou s'il n'y a pas d'agence, on propose des solutions où on peut prendre le PDF, par exemple, d'une image qui a été mise en print pour le digitaliser. Ça, on a la possibilité de faire. Mais effectivement, on préconisera toujours de changer le message en fonction du support dans tous les cas. Mais là, il y a quand même du budget dont on peut utiliser.

  • Speaker #1

    360, full.

  • Speaker #0

    Il faut clairement faire quelque chose de bien.

  • Speaker #2

    On ne dépense pas tout le budget, 70 000 euros sur un an à faire de la radio,

  • Speaker #3

    de la piste.

  • Speaker #1

    Alors, pour le coup, quand on parle de communes, je prioriserais quand même... Parmi ce budget, je suppose que ce budget, ce n'est pas seulement une enveloppe d'achat média. Non, non,

  • Speaker #2

    c'est globalement. Pour moi, c'est moderniser la communication.

  • Speaker #1

    Tu as la chance, en fait, quand tu travailles sur un projet communal, d'avoir ce qu'on appelle de la first party data, donc de la data qui appartient au client, qui est en général très clean, très utilisable, notamment les adresses mail, les adresses physiques, les noms et les prénoms des personnes qui vivent dans la commune. On va dire problématique RGPD mise à part. Tu as le droit de communiquer avec ces gens-là pour leur donner des informations. Donc là, pour moi, une des pistes à explorer, plutôt que d'aller payer des milliers de cents à des régies publicitaires, tu vois, style Google Ads, en fait, investis plutôt dans des outils de communication directe. Tu peux envoyer des trucs dans les boîtes aux lettres, tu peux envoyer des emails. Donc, peut-être se pencher un peu sur les systèmes d'emailing, sur un site web, voire une application. Parce qu'on sait qu'en général, dans les communes, les usages, tu vois, c'est des trucs qui se répètent, les besoins. Mais ça,

  • Speaker #2

    c'est des coûts quand même assez élevés. C'est pour ça que j'ai pas mis... Moi, je trouve que 70 000 euros sur un an, je trouve que c'est un budget, bien sûr. Mais par rapport à tout ce qu'on a besoin de faire pour une commune, je trouve que si maintenant tu commences à vouloir développer une application, optimiser ton site web, commencer une approche à faire, je sais pas, des affiches dans la ville, faire un journal papier, je sais pas, je sais pas. promouvoir des événements, je trouve que le budget, il va falloir faire des choix. Il va falloir faire des choix. Donc, qu'est-ce qu'on privilégie Est-ce qu'on privilégie les nouvelles générations qui sont plus digitales Ah,

  • Speaker #1

    ça,

  • Speaker #2

    c'est toujours un peu plus digital.

  • Speaker #0

    Franchement, je pense que le journal aide quand même beaucoup. Quand on parle local, le Luxembourg World Forum, par exemple.

  • Speaker #1

    Tout le monde regarde le journal.

  • Speaker #0

    Et puis, en fait, avec le digital, tu as beau dire ce que tu veux, tu scrolles très vite. Ouais. potentiellement tu captes pas avec le message que tu décides de donner.

  • Speaker #1

    Ouais, t'as l'idée de l'attention qui est plus...

  • Speaker #0

    Voilà, l'attention, ces trois secondes, on l'avait déjà vu. Alors que le print, normalement tu prends le temps d'ouvrir ton journal, tu prends le temps de lire ce que t'as envie de lire. Ouais. Et si la pub est là, à ce moment-là, bah tu captes ton audience. Ça je pense que...

  • Speaker #1

    Je pense que l'email, moi je mettrais quand même, tu vois, un peu d'argent dans le fait de développer un système de mailing, soit par une solution entière, soit via une petite appli, même en no-code ou autre. ou un truc que tu branches à ton site web. Parce que pour le coup, là où dans le digital, tu as de l'attention et tu as de l'action après, c'est clairement dans l'email. Ça reste le genre.

  • Speaker #0

    En ceci, tu vois, nous, on fait des newsletters de chaque marque et on peut effectivement mettre une ad aussi dessus, ou même un article disponsorisé, où là, effectivement, l'utilisateur vient chercher l'information finalement.

  • Speaker #1

    Oui, et il est... Tu as... Je ne sais pas, deux articles ont gagné, et à l'intérieur, tu as un post.

  • Speaker #0

    C'est un article spécifiquement pour ça.

  • Speaker #1

    Qui est induit, en fait, qui ne ressort pas comme une publicité.

  • Speaker #3

    Voilà. Et là, j'ai peut-être encore une chose à rajouter. On a beaucoup parlé de comment on communique avec les habitants de la commune, mais comment on communique avec les visiteurs Parce que la ville de Clermont, elle est extrêmement visitée, elle est très demandée à l'instant. C'est connu. Comment on communique sur les événements, sur ce qui se passe dans la commune, dans le tourisme Alors là,

  • Speaker #1

    pour le coup, j'irais full digital. Et tu cibles, en fait, c'est un peu la méthode. Moi,

  • Speaker #2

    je voulais tirer la couverture, chez nous en tout cas, pour ce genre de...

  • Speaker #1

    En tout cas, pour les visiteurs, c'est un peu la même chose. C'est la même façon dont tu communiquerais avec un hôtel. Un réseau comme Google Ads, par exemple, va te permettre de cibler concrètement tous les pays du monde, selon ton budget et selon les CPC, les coûts par clic que tu es prêt à encaisser. Mais concrètement, tu vois, aujourd'hui, ça arrive. Nous, on a des hôtels, par exemple, qui en travaillent. Ils ont des publicités qui tournent à Londres, à Zurich, à Hong Kong, aux Etats-Unis, pour cibler des gens, pour leur donner l'idée de venir visiter le Luxembourg. Donc une ville, concrètement, elle pourrait communiquer de la même façon.

  • Speaker #2

    Toi, Nadim, tu as déjà participé à des questions sans désigner la commune en question. Non, mais des questions sur des sacrifices budgétaires, ou en tout cas des choix à faire. Parce que nous, on prône... l'optimisation du site web, vraiment mettre à disposition du citoyen un maximum de fonctionnalités, d'infos, etc. Est-ce que tu as déjà eu des cas de figure où on dit, non, on préfère largement faire de la publicité dans nos affiches imprimées

  • Speaker #3

    On a de la chance avec les communes luxembourgeoises parce que ils sont très axés sur la digitalisation, déjà. Il y a déjà l'état d'esprit qui est derrière. Et aussi, quand le budget peut poser problème une année, mais que c'est une feature qui leur semble intéressante, Ils sont prêts à comprendre et à potentiellement débloquer du budget pour cette année ou l'année suivante pour développer cette fonctionnalité. Donc ça, c'est très chouette. Et même encore avec Antoine, récemment, on a développé un système de newsletter pour une commune qu'on ne va peut-être pas forcément citer, mais qui était pour un souper. Et on a pu communiquer très efficacement via une newsletter.

  • Speaker #2

    Pour un souper

  • Speaker #3

    Pour un souper dans une commune, oui.

  • Speaker #0

    Et nous aussi, on propose avec Lux Times.

  • Speaker #3

    Ah pardon, Dédric, je parlais en anglais.

  • Speaker #0

    Je me suis dit que les expats...

  • Speaker #1

    Oui, les expatriés, il y a des... Je sais qu'il y a aussi... Just Arrive aussi qui fait ça. En fait, tu as des médias qui sont dédiés, si tu veux, à cibler des expatriés, à cibler des gens qui ne sont pas ou qui viennent d'arriver au Luxembourg pour les attirer.

  • Speaker #0

    Et aussi des événements. Je pense que là, ça fait du sens. On a des événements spécialisés pour les expats. Et là, tu peux largement venir avec un stand et expliquer ce que la commune propose.

  • Speaker #1

    Des webinars aussi, pour présenter la commune, tu vois. Genre, des sortes, tu pourrais même imaginer, tu sais, quelqu'un de la commune qui se promène, qui va prendre des vidéos, une chaîne TikTok. On avait parlé, il y a une...

  • Speaker #2

    Pour pas les citer, la communauté d'IronVest. Ouais, voilà, c'est ça. On leur fait la promo, ils ont fait une vidéo, franchement,

  • Speaker #3

    de nion. Dans la communauté d'IronVest, ils ont vraiment... Alors, je ne sais pas si c'est en interne ou si c'est outsourcé, je crois que c'est en interne, mais en interne, ils ont une personne très compétente dans la vidéo et ils ont des excellentes vidéos de la commune.

  • Speaker #1

    Ouais. Et ça c'est très cool, pour découvrir une commune en fait, avant de te déplacer, de pouvoir la voir en vidéo.

  • Speaker #2

    Affaire suivante, Greenmove. C'est un service de location de vélos et de trottinettes électriques.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #2

    Budget, 30 000 euros sur 6 mois. Donc, quelque chose d'assez rapide et puis intéressant. Les besoins, il faut clairement augmenter les abonnements mensuels et la notoriété de la marque. Donc, principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout. Je l'ai dit parce que c'est une insulte. Je l'ai dit parce que c'était pas un homme.

  • Speaker #1

    Non, non, mais je reste... C'était une... Mais si,

  • Speaker #2

    on revend que tu l'es en... Non, non, des gens qui ont une volonté vraiment d'améliorer leur comportement éco-citoyen. et donc les personnes qui prennent les transports en commun en général, comment les acquérir.

  • Speaker #1

    Et comment faire du revenu

  • Speaker #2

    Comment on génère,

  • Speaker #1

    comment on augmente le nombre d'abonnements mensuels Je partirais sur du marketing d'influence. Je ne connais pas trop, je ne connais pas exactement le paysage d'influenceurs green. Je ne sais pas. Je ne sais pas s'il y en a.

  • Speaker #2

    Un Tony Hawk de la trottinette

  • Speaker #1

    Non, mais même pas. Est-ce qu'il y a des... S'il doit y avoir des influenceurs au Luxembourg qui s'occupent de problématiques environnementales, je pense qu'il y en a, qui pourraient mettre en avant. Tu sais que ces gens-là, ils ont une audience de gens qui vont avoir ce problème à cœur. Donc, ils vont être à même de s'intéresser à quelque chose qui apporte une solution. Je chercherais peut-être même... un partenariat avec le ministère de l'Environnement. Je ne sais pas si ils paquent des startups ou s'ils ont des espèces de subventions. Il y a des subventions pour le digital. On n'en parle d'ailleurs pas assez souvent de tout ce qui est SME Packages, Feed for Digital, mais qui sont en fait des bourses qui sont données aux entreprises au Luxembourg qui ont certains projets digitaux qui peuvent être supportés par le gouvernement.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai peut-être encore un truc à ajouter sur Green Move. Moi, je l'aurais très bien vu vu que c'est du B2C. et que ça s'adresse à une population très large, des campagnes UGC qu'on pourrait réutiliser dans des publicités typiquement Facebook.

  • Speaker #1

    Ouais, prenez...

  • Speaker #3

    UGC, on en parle dans tous les épisodes maintenant, mais User Generated Content, c'est le fait qu'une personne lambda qui ne soit normalement pas un acteur puisse parler d'un produit ou d'un service. Un client,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu conseilles aux gens de se filmer pendant qu'ils sont en train de rouler en trottinette Non, non, mais...

  • Speaker #3

    Evidemment, non.

  • Speaker #2

    Non,

  • Speaker #3

    mais qui présente le service,

  • Speaker #1

    voilà. Sur le chemin.

  • Speaker #3

    Je m'appelle Naïm, moi depuis que j'ai découvert Greenmove, je vais tout le temps travailler avec.

  • Speaker #1

    Ouais mais typiquement tu vois, tu peux se prendre en photo quand t'es arrivé, tu vois, typiquement. Par exemple. Et gagner 5 balles sur la prochaine ride.

  • Speaker #2

    Ça existe pas du, je sais pas comment on peut dire, je sais pas si le terme existe, mais du street marketing ou des choses vraiment que tu fais, des tests gratuits.

  • Speaker #0

    Ah les tests c'est important. On va éviter le print par contre ici.

  • Speaker #1

    Ouais du coup ouais.

  • Speaker #0

    Et encore une fois moi je... je pense, sponsor content, définir un peu ce qu'ils proposent et pourquoi c'est bien d'aller télécharger tout ça. Et bien rediriger la campagne vers justement l'app pour directement la télécharger. Comme ça, il n'y a pas de bifurcation et de perte de personnes. Pour les stores directement.

  • Speaker #2

    Voilà. C'est intéressant que tu dis parce que la société, ça s'appelle Greenmove, en tout cas, il y a un côté écolo. Que tu dis, on va éviter le print, est-ce que... Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vraiment... Je me dis, effectivement, s'il y a vraiment un côté très écolo, alors on peut aller sur du print.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la valeur, ok, ça dépend de la valeur.

  • Speaker #0

    Si on veut vraiment aller à 100% dans le côté écolo.

  • Speaker #1

    En plus, je veux dire, là, techniquement, ta cible, tu es concrètement en train de lui demander d'installer une appli, tu vois. Donc, je veux dire, elle est forcément dans les ranges d'âge.

  • Speaker #2

    Tu peux faire un affichage public.

  • Speaker #1

    Tu pourrais,

  • Speaker #2

    mais tu ne vas pas aussi facilement les... Des choses comme ça, tu vois, pour dire, les gars, on a un beau service.

  • Speaker #1

    Tu vas aussi facilement les toucher en digital et je pense que tu auras un meilleur coût. Tu arriveras à réduire ton coût d'acquisition,

  • Speaker #2

    je pense. Est-ce qu'on peut créer des fiches Google My Business, donc la fiche d'entreprise pour des aires de stationnement

  • Speaker #1

    Bonne question. Alors, comme ça, je te dirais non. Je n'ai pas le souvenir, tu vois, par exemple, des trucs genre Uber ou autre à Paris, quand tu peux aller... Ou Lemon pour les vélos.

  • Speaker #3

    Je crois qu'on peut mettre un point sur Google Maps, par contre.

  • Speaker #1

    Tu peux mettre un point sur Google Maps Parce qu'en fait, ces trucs-là, en général, elles ont leur propre système de localisation via Maps, via Maps ou OpenStreetMap ou autre, mais dans l'application. Si tu veux, quand tu cherches à louer... à prendre un Vélib, tu vois, pareil, tu as l'appli et puis tu peux voir où sont les stations Vélib. Donc en fait, je n'ai jamais eu le réflexe de me dire tiens, je vais aller sur Google Maps pour voir son raré. C'est peut-être possible.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas impossible.

  • Speaker #1

    Après, je pense que pour Google Maps, si mes souvenirs sont bons pour avoir une fiche acceptée, il faut qu'il y ait un numéro de téléphone unique. Ça voudrait dire qu'il faudrait que tu arrives à shooter un numéro de téléphone par station pour pouvoir faire valider la fiche.

  • Speaker #2

    Affaire suivante

  • Speaker #1

    Je ne sais plus à qui c'est.

  • Speaker #0

    C'est à mon enfant, il me semble. Elle est où, l'agent Simo Elle est ici. Luxe Prestige.

  • Speaker #2

    Luxe Prestige. C'est sacré. C'est luxueux.

  • Speaker #1

    C'est très luxueux.

  • Speaker #2

    C'est une agence effectivement immobilière qui est spécialisée dans le luxe. Donc, un budget un peu plus lourd, on va dire 100 000 euros sur l'année. OK. Donc, typiquement, les besoins, trouver des clients pour des biens de luxe à Luxembourg.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #2

    La cible, donc, principalement des entrepreneurs. des investisseurs, des expatriés très fortunés.

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qu'il fait avec ce budget Ce qui est difficile en digital, c'est que tu as des façons de cibler des personnes avec des revenus assez hauts. Sur Google Ads ou autre, tu as une option qui permet de cibler les gens par rapport à où ils se situent dans les quantiles de revenus. Sauf que cette fonctionnalité est interdite en Europe. Elle ne fonctionne qu'aux États-Unis. tu as des moyens détournés de le faire. Tu peux créer, par exemple, des segments d'audience de gens qui vont sur le site Lamborghini, Ferrari, de gens qui ne vont que dans les Sofitels, les hôtels de luxe. Cibler des gens qui ont des goûts de luxe pour essayer de les cibler. Mais bon, concrètement, ça ne veut pas dire grand-chose. Moi, je peux aller voir des Lamborghini et faire du lèche-vitrine tous les jours. Ce n'est pas pour autant que je peux aller m'acheter une maison à un million. Donc là... pour le coup, je pense que le print ou les... Je ne sais pas comment... Les magazines niches, voilà. Ça, je pense que Marine, tu sauras en parler un peu plus.

  • Speaker #0

    Clairement, on en a forcément, puisqu'on travaille avec Vortimo et on a le côté print. Effectivement, si tu cibles avec un magazine personnalisé, tu touches forcément plus vite ta cible. Mais il y a aussi Vortimo, le site web, finalement.

  • Speaker #1

    C'est quoi C'est de l'agrégateur de...

  • Speaker #0

    Vortimo.lu, c'est vraiment pour chercher ton bien, soit à vente, localisant, au Luxembourg. On cible vraiment les personnes au Luxembourg,

  • Speaker #1

    les biens luxembourges. C'est directement ici. Et ça se passe comment pour une agence Ils vous donnent un flux Il y a des crédits spécifiques.

  • Speaker #0

    Oui, comme tu as dit, un agrégateur. Et donc, tu mets tes annonces. Et ce que là, j'imagine, comme c'est une agence de luxe, tu proposes des biens à plus d'un million, etc. Nous, on peut cibler des personnes qui cherchent un bien à plus d'un million,

  • Speaker #1

    deux millions. Parce que c'est tout un peu le bonheur, on va dire, des agrégateurs. C'est qu'eux ont de la data sur l'utilisation des gens qui ont un compte. Et ça, effectivement, ça fait quand même une grosse diff.

  • Speaker #3

    J'ai peut-être encore un truc à ajouter. Potentiellement aussi retargeter les personnes qui fréquentent ton site d'annonce immobilière.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, bah ouais.

  • Speaker #3

    Parce qu'en général, ton site d'agence immobilière, tu vas le voir plusieurs fois le temps que tu trouves ton bien. Donc, ça pourrait toujours être utile de faire des campagnes de retargeting des nouveaux biens qui rentrent.

  • Speaker #1

    Oui, là, je pense que c'est vraiment quelque chose de...

  • Speaker #3

    Retargeting, la définition. Recibler.

  • Speaker #2

    Recibler.

  • Speaker #1

    Recibler quelqu'un. Du ré-reciblage. Alors, c'est du... Oui, c'est du reciblage. Disons que pour donner un exemple aux gens qui ne savent pas ce que c'est, c'est que vous avez tous déjà été retargetés. C'est... Vous avez été voir une paire de pompes, elle vous plaît bien, vous avez été la regarder deux fois, trois fois dans la semaine, et bizarrement, toute la semaine d'après, à chaque fois que vous voyez une publicité sur Internet, c'est cette paire de pompes exactement.

  • Speaker #2

    Je suis sur mon site ZPesh.

  • Speaker #1

    Ça, c'est parce qu'en fait, au moment de la visite, vous avez récupéré ce qu'on appelle un cookie, en fait, qui vous identifie. Ce cookie vous lie à un produit, et ce produit, en fait, les régies publicitaires vous le renvoient parce qu'elles savent que vous, vous avez regardé ce produit-là. Donc, par exemple, on va tous avoir des... des publicités différentes en étant la cible de remarketing.

  • Speaker #2

    Dans la vie réelle, ça serait un mec qui te suit tout le temps et qui te redonne un flyer un peu tous les demi-heures, qui te souffle dans la nuque et qui dit tiens, t'as oublié au fait que...

  • Speaker #3

    Ouais, ça serait la métaphore.

  • Speaker #1

    C'est un peu ça. Effectivement, ça, tu vois, c'est un truc où je trouve les grandes régies publicitaires ont encore un peu du mal. On a très souvent le cas, même pas forcément pour Dlimo, mais des gens qui arrivent et qui veulent cibler, disent moi, je veux cibler... tous les PDG, je veux cibler tous les CMO, je veux cibler tous les directeurs financiers. Et en fait, le digital est encore relativement nul pour ça. Je ne peux pas pinpoint telle personne qui est en poste à tel endroit. Moi, j'ai des profils, j'ai des segments, des âges qui font de l'intérêt, mais je ne peux pas trop m'en sortir comme ça. D'où l'intérêt des communautés de niche, en fait, de faire du... pool, tu vois, d'attirer les gens via des contenus qui les intéressent pour ensuite avoir créé une communauté.

  • Speaker #2

    Et balancer tout le budget sur un événement VIP, genre avec une collaboration avec des banques privées, surtout pas

  • Speaker #0

    Non, je pense que c'est très bien de faire un événement pour se faire connaître. Je pense que c'est une très bonne idée, mais pas tout le budget effectivement. Pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.

  • Speaker #1

    Ce que je vois aussi beaucoup dans ce genre de... J'en vois beaucoup sur Paris. et surtout les agences de luxe qui vont faire des petits tours TikTok, tu vois, vidéo.

  • Speaker #3

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Un appart privé dans le quatrième où, genre, vraiment, t'en prends plein la tronche. Il y a le truc que la dernière fois, il vendait un appart, bon, il n'y avait pas le prix, mais qu'il y avait un basquiat, genre, au milieu du salon, tu vois, juste au-dessus du musée d'Orsay à Paris. Et c'est vrai que ça claque, tu vois. Genre, là, tu vas attirer quand même.

  • Speaker #0

    Bien jouer sur les belles photos, du coup,

  • Speaker #2

    aussi. Et, comment dire, investir dans... dans de l'ads, donc créer par exemple des vidéos, je ne sais pas, en réalité virtuelle ou autre, des vidéos super soignées de chaque bâtiment et les push sur YouTube. Oui,

  • Speaker #1

    les push, tu vas te faire de la visibilité, tu peux espérer par récolter ou entre guillemets par chance d'avoir là-dedans ta cible, mais c'est compliqué parce que ces gens-là, en fait, ils sont très niches. Disons que là, si je prends un appart à 2 millions d'euros et que je te fais faire 10 millions d'impressions dans la semaine, Concrètement, parmi ces 10 000 impressions, quel est le pourcentage de personnes qui pourraient réellement te contacter et offrir une piste Même par ricochet, c'est compliqué. Oui, oui, oui. En général, là, je voudrais... Donc,

  • Speaker #2

    avantage, avantage, quoi. Alors, plutôt...

  • Speaker #1

    Communauté, niche, avoir un... Cross-média. Cross-média. Et les agrégateurs aussi. Parce que là, du coup, tu as l'information que telle personne avec tel compte, elle utilise souvent l'appli pour aller voir en moyenne, si tu as bien tagué ton site. que des biens qui sont d'une valeur supérieure à 600 000 euros dans les trois derniers mois. Là, tu sais que tu as une petite piste quand même d'accrocher quelqu'un qui a un intérêt.

  • Speaker #3

    Tu parlais aussi de KPI tout à l'heure. Est-ce que dans le print aussi, il y a certains KPI qu'on peut analyser pour benchmarker les performances d'une campagne

  • Speaker #0

    Je ne fais pas de print. Non, mais bien sûr, il y a d'autres. Je crois qu'il y a les piges Nielsen qui sont disponibles. Il y a plein de différentes choses qu'on peut...

  • Speaker #1

    Moi, je t'avoue que je ne connais pas du tout les KPI de print. Je suppose, si c'est comme les magazines.

  • Speaker #0

    Après, il y a des sondages aussi qui sont faits après coup. J'imagine que ça serait totalement possible.

  • Speaker #3

    C'est pour que les gens aient vu la publicité, quelque chose comme ça

  • Speaker #1

    Oui, en fait, je pense que tu vas demander aux gens qui faisaient partie des cibles ou que tu as ciblé, est-ce que vous avez entendu parler de ces... Je ne sais pas, sur YouTube, tu l'as de temps en temps parlé. Vous avez entendu parler Parmi ces quatre marques desquelles vous avez entendu parler. Tu vas pouvoir aussi peut-être avoir des trucs sur l'opinion perçue. C'est-à-dire que toi, quand tu vas faire une campagne de ce type-là, tu as une idée d'opinion que tu souhaites générer chez les gens. Et tu vas pouvoir voir ensuite, est-ce que vous connaissez cette marque Certaines personnes vont te dire oui. Et après, tu vas leur dire, c'est quoi votre opinion C'est quoi le positionnement que vous percevez Ah ben, Prestige Reality, j'ai vu deux, trois vidéos, ça a l'air super luxueux, super classe, machin. Donc là, tu sais que tu as réussi.

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #1

    oui. Mais effectivement, pas des KPIs comme nous. C'est pas les KPIs comme nous, genre tant de clics.

  • Speaker #0

    Il y a des abonnés. Par exemple, quand le journal, on sait combien il y a d'abonnés, forcément, potentiellement, tu as touché cette cible-là.

  • Speaker #1

    Les KPIs, j'ai l'impression que souvent, si tu as dans le print, les KPIs viennent parfois même avant. On a un magazine avec tant de tirages, avec tant d'audience. Voilà ce qu'on peut vous fournir.

  • Speaker #3

    En fait, je n'aurais pas dû formuler ma question comme ça. J'aurais dû plutôt dire, comment est-ce qu'on sait si une campagne est réussie ou ratée

  • Speaker #1

    Ça dépend, en fait.

  • Speaker #0

    ça dépend du type de campagne et de l'objectif aussi visibilité je pense que visibilité tu sais que t'as fait tant de tirages comme t'as dit donc voilà t'as touché les personnes là potentiellement mais à quel point est-ce qu'ils sont allés acheter le produit ou non là on pourra quand même pas le dire à 100%

  • Speaker #1

    après il y a un moment aussi il faut basculer dans le monde réel t'as ce qu'on appelle par exemple dans le digital le suivi des conversions hors ligne demande-toi par exemple pourquoi aujourd'hui de plus en plus de magasins te demandent si tu veux recevoir ton ticket de caisse par email

  • Speaker #3

    Et toi,

  • Speaker #1

    tu as ton email. Sauf que Google connaît ton email. Et il peut savoir que toi, ton compte, ce compte mail-là, a vu une publicité en ligne dans les trois dernières semaines. Et que t'as été en magasin et que t'as acheté. Donc ça, c'est de la data que tu peux faire remonter. Des fois, il faut... Puis même, tu peux dire à tes clients, n'hésitez pas quand vous avez un nouveau client qui vient, à l'ancienne, vous avez entendu parler comment Ah bah, j'ai vu une pub dans tel magazine. Ah bah, j'ai vu une campagne sur tel média. Ce genre de trucs. Comme ça, ça te permet de jauger. Ce n'est pas pile poil, ce n'est pas au microscope, mais ça te donne un ressenti.

  • Speaker #2

    Il nous reste quatre affaires. Je propose d'arrêter cet épisode-là, cette partie 1, en tout cas. Et donc, pour la partie 2, ça sera la semaine prochaine, toujours avec Marine. Marine, merci beaucoup déjà d'avoir participé à cette partie-là. Et on se donne rendez-vous un petit peu plus tard. Page LinkedIn Café Clatch, abonnez-vous. On est... Je ne sais plus, on est des millions.

  • Speaker #1

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Moi, j'aurais même dit des milliards.

  • Speaker #2

    Des millions, des milliards d'impôts. OK, merci à tous. Bonne journée. À bientôt. Salut, à bientôt.

  • Speaker #0

    A la prochaine.

  • Speaker #1

    Ciao. Salut. Quelle c'est-ce qui est rassistible.

  • Speaker #2

    Comme un chalot.

Chapters

  • Présentation de Marine Morgante

    00:19

  • Confrontation entre marketing digital et print

    01:37

  • Analyse de cas : Le Café du Coin

    06:10

  • Analyse de cas : La Commune de Clairbourg

    13:27

  • Analyse de cas : Greenmove et ses trotinettes électriques

    22:35

  • Analyse de cas : Luxe Prestige et le ciblage des clients riches

    28:04

  • Conclusion inachevée

    37:37

Description

🎙️ Visibilité ou performance ? Print ou digital ?

Dans cet épisode du Tribunal du Marketing, on accueille Marine Morgante, AdOps Supervisor chez regie.lu pour un vrai débat d'experts autour des stratégies de communication. Ensemble, on passe au crible plusieurs cas concrets — du petit café de quartier à une commune qui veut moderniser sa com' — et on se pose les vraies questions :

👉 Est-ce qu’un flyer dans les boîtes aux lettres a encore un impact en 2025 ?
👉 Le digital est-il vraiment plus efficace quand on a un budget serré ?
👉 Comment arbitrer entre notoriété et rentabilité ?

On confronte nos idées, on rigole un peu (beaucoup), mais surtout, on creuse pour donner des conseils concrets.

💬 “C’est peut-être le seul business où je crois encore aux tout-boîtes.”
💬 “Tu veux remplir ton café ? Fais un event Facebook, pas un post Insta.”

Bref, c’est un épisode riche, franc et sans bullshit. On vous donne des clés pour penser autrement vos campagnes, que vous soyez une PME, une asbl ou une collectivité. Et la bonne nouvelle ? Ce n’est que la première partie !

🎧 Abonnez-vous pour ne rien rater de la suite, et retrouvez-nous sur LinkedIn pour continuer la discussion : Café Klatsch

Café Klatsch, le podcast où stratégie, créativité et terrain se rencontrent.
Disponible sur toutes les plateformes d’écoute.

#Podcast #Marketing #PrintVsDigital #Visibilité #Performance #CaféKlatsch #RégieLu #StratégieMarketing #Luxembourg


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout... J'ai l'impression que c'est une insulte. Bonjour à tous, vous écoutez Café Clatch, le podcast luxembourgeois qui parle de marketing digital sans prise de tête. Bonjour Naïm, bonjour Antoine. Salut Pato. Aujourd'hui, nous avons le plaisir d'accueillir Marine Morgante, qui est Adopts Superviseur chez Régis.lu.

  • Speaker #1

    C'est exact.

  • Speaker #0

    Bonjour Ça va bien

  • Speaker #1

    Super, merci beaucoup.

  • Speaker #0

    Alors, tu es chez Régis.lu depuis six ans. Bravo, c'est déjà tout J'ai stalké Dernière saison de You En deux mots, ça signifie quoi ton poste et ce que fait Régis.lu

  • Speaker #1

    Alors... Mon poste, déjà, c'est de générer du trafic sur nos sites. Donc déjà, c'est la régie publicitaire du groupe Media et Luxembourg. Donc, on a plusieurs sites à notre titre. On a Vort.lu, Virgule.lu, Contacto.lu, Luxtime.lu. Là, je les ai tous fait, les sites. Et donc, on génère du trafic publicitaire sur ces sites. Et en plus, je regarde si ça fonctionne bien, si on remplit bien l'inventaire de nos publicités. Et je gère aussi une petite équipe de trois personnes.

  • Speaker #0

    Normalement après ça, le café clutch quand on sera en première page sur tout ça. On va venir acheter des campagnes chez Régime.lu. Merci d'avoir accepté l'invitation. Aujourd'hui, on va faire un épisode un peu particulier parce que nous, on parle souvent, tout le temps, de marketing digital. Des fois,

  • Speaker #2

    Naïm parle de dev un peu.

  • Speaker #0

    Oui, un petit peu. C'est le quota. Aujourd'hui, avec Marine, je ne dis pas qu'on est en opposition, mais on a trouvé le moyen peut-être de confronter les deux mondes.

  • Speaker #2

    C'est qu'en fait, dans le monde du marketing digital, au-delà, si tu veux, on oppose en général encore aujourd'hui le print versus le digital. Mais même à l'intérieur du digital, aujourd'hui, tout le monde ne fait pas exactement la même chose. Tout le monde n'a pas les mêmes approches. tu peux avoir des modèles par exemple de parcours client qui diffèrent et notamment au niveau des campagnes publicitaires, tu vas avoir des gens qui vont se spécialiser plutôt dans ce qu'on va appeler le branding, brand awareness donc la visibilité et un peu de l'autre côté du spectre, tu vas avoir plutôt des campagnes qui ont trait à justement pas forcément avoir beaucoup de visibilité mais à être très rentable c'est à dire j'investis X euros et je veux absolument en récupérer. Si, par exemple, un euro dépensé en publicité, je veux en gagner 5, 6, 7, 8, 9, 10. Donc, d'un côté, tu as la visibilité, la brand awareness. De l'autre côté, tu as la rentabilité et un peu, si tu veux, le long terme versus le court terme. C'est un peu ça qu'on aimerait explorer aujourd'hui.

  • Speaker #0

    Écoute, dans cet épisode un peu spécial qu'on va très probablement proposer en deux parties, je vous propose de transformer le studio en tribunal du marketing. Je vais faire appel à vos talents d'avocat. Ok. Et je vais vous soumettre des affaires, entre guillemets, en gros des entreprises, avec un contexte bien précis, donc un budget. Vraiment, j'ai essayé de proposer plein de cas vraiment différents. plus petit budget jusqu'au truc très lourd, avec les besoins de l'entreprise, la cible, etc.

  • Speaker #2

    Il y a un espèce de contexte,

  • Speaker #0

    de situation. Exactement. Et je vais vous demander de débattre s'il faut investir totalement dans le marketing digital et abandonner le print, la partie offline, ou au contraire, opter pour une campagne 360 ou trouver un mix des deux. Ok, trop bien. J'ai fait ça très proprement. J'ai huit logos. Ah ouais Je suis un designer. Alors, la première société s'appelle La Petite Fripperie. Je ne vous donne pas trop de détails pour l'instant. Vous choisirez. On pourra choisir. On va tous les faire, mais celle qui vous inspire le plus.

  • Speaker #2

    C'est encore mieux que dans la vraie vie, on peut choisir nos clients.

  • Speaker #0

    C'est 8 clients qui ont toqué à la porte et c'est vous qui choisissez la queue. Le Café du Coin. Fit Pro Tech. Un peu plus fort. On a Greenmove. On a Audition Zen.

  • Speaker #2

    T'as fait gaffe qu'il n'y a rien de copyright

  • Speaker #0

    Je n'ai pas demandé. C'est full généré chat GPT. Il n'y a pas CryptoStore. Lux Prestige Realty. Une ASBL qui s'appelle Solid Action. Et on a la fameuse ville de Clairbourg. Je ne sais pas si ça existe.

  • Speaker #2

    Commune.

  • Speaker #0

    J'ai pété. Bien posé de Clairbourg. La fameuse commune de Clairbourg. Donc, en gros, je vous fais un petit récap. Mais voilà, il y a une commune. Il y a une grosse entreprise plutôt spécialisée dans l'immobilier. Voilà, tout à fait. Une ASBL Solid Action qui est dans plutôt la solidarité avec l'intégration. On a une entreprise plutôt axée senior avec Audition Zen. Greenmove. Voilà, un petit... société qui propose des services écolo transport écolo genre livraison oui bah je peux être là comme ça mais je vais vous en dire un peu plus quand vous aurez choisi le café du coin bon bah ça c'est très parlant la petite friperie la petite société dans les rues à côté de chez nous et fit protèque plutôt applications mobiles sportives en fait ok voilà donc vous souhaitez commencer par quoi marine s a l'honneur à l'est

  • Speaker #1

    Allez, je vais choisir Café du Coin.

  • Speaker #0

    Non, c'est le pire. Et bon, c'est ça. Je plaisante. Alors, le Café du Coin, donc café, on va imaginer un café indépendant à Luxembourg-Ville. Ils ont un budget de 10 000 euros pour six mois. Six mois de promotion. Les besoins, en gros, c'est attirer plus de clients dans la semaine et fidéliser la clientèle plutôt locale. Clairement, on va cibler tous les résidents du quartier, les 30-50 ans, des étudiants ou des freelances qui aiment se poser là pour travailler, boire un café, etc.

  • Speaker #2

    Donc, tu cherches à remplir le...

  • Speaker #0

    Je cherche à remplir. Je cherche à attirer plus de clients dans la semaine et éventuellement essayer de fidéliser la clientèle locale. Donc, qu'est-ce qu'on fait Est-ce qu'on mise tout sur le digital Est-ce qu'on fait une campagne 360 si tu as un client qui vient comme ça

  • Speaker #3

    Alors déjà là, en termes de persona, c'est vachement large parce que tu nous as parlé de 30-50 ans, de jeunes, de freelance. Aujourd'hui, j'ai l'impression qu'on est sur deux grands types de cafés. Il y a le premier café, c'est le café qu'on connaît tous, le café du coin de la rue, qui ne fait potentiellement pas de marketing, qui est là depuis toujours et c'est les habitants. Et maintenant, ce qu'on voit beaucoup depuis plusieurs années, c'est qu'on a des cafés... dont le business model est vraiment basé sur le côté instagramable du café. Il doit être le café cool des moins de 30, des moins de 35. Et voilà, j'ai l'impression que dans ta description, du coup, ce serait plus un café un peu à la Old School.

  • Speaker #0

    C'est l'exemple. En fait, en gros, c'est la clientèle, je pense, générale qu'elle risque de recevoir. Je ne dis pas que ça va être que des freelances ou que des résidents. Vous imaginez bien à quoi ressemblait le café. Maintenant, à vous de me dire comment on pourrait pouvoir...

  • Speaker #2

    Écoute, au risque de surprendre, je pense que pour moi, ce type de business, et je mettrais aussi là-dedans, tu vois, par exemple, les business de food, genre, par exemple, pizzeria de quartier, etc. C'est en fait les seuls pour lesquels je crois encore peut-être un peu à des flyers dans les boîtes au début.

  • Speaker #3

    Donc du tout de boîte

  • Speaker #2

    Bah ouais, du tout de boîte au moins au départ, je pense, tu vois, avec le menu, les offres. Peut-être pas de façon régulière, mais je trouve que c'est assez intéressant parce que t'es vraiment hyper local.

  • Speaker #0

    Ça matche encore vraiment.

  • Speaker #2

    Bah en fait, concrètement, soit tu fais du digital et tu cibles les gens qui sont là, qui passent, etc., qui sont aux alentours. Soit tu cibles avec un tout de boîte littéralement vraiment les gens qui habitent dans le quartier. Ce qui n'est pas forcément super facile à faire. En tout cas, t'es pas aussi sûr de le faire avec une campagne Google Ads ou autre, tu vois. Tu peux cibler une zone, mais tu vas cibler les gens qui passent en voiture, les gens qui sont là juste l'après-midi, qui ne vont pas forcément bouffer. Moi, j'investirais au moins au début une première brique dans un petit truc flyer.

  • Speaker #0

    Donc du print flyer. Au tout début,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Print flyer. Moi, je pensais...

  • Speaker #0

    effectivement instagram pour votre côté la résonne aux réseaux sociaux mais même pas forcément payant en fait on peut faire du réseau social sans payer on a regardé le flyer effectivement il ya la radio aussi et il ya des concepts mais bon c'est plus du marketing je pourrais même pas l'expliquer où tu fais un concept où il ya d'autres personnes qui vendent même des habits à côté du coup tu fais de partenariat voilà je peux dire calois bas ça t'envoie beaucoup il ya alors j'ai plus en tête

  • Speaker #1

    J'avais vu, c'était des mecs, par exemple, on en avait parlé avec Jérôme. Je ne sais pas si tu te souviens pour l'épisode de l'immobilier, où tu vois le mec d'immobilier, quand il va faire des cadeaux à ses clients, il va les acheter à la vinothèque du coin, par exemple. Ou la boulangerie met en place des partenariats avec Fleuriste ou autre. Et ça, effectivement, c'est vachement intéressant dans le local, parce que tu captes, encore une fois, tu captes les habitants du quartier à des endroits où ils sont, à des endroits où ils consomment.

  • Speaker #2

    Pour un budget de 10 000 euros sur 6 mois, là, tu parlais de radio. Tout à l'heure, la radio, ça reste accessible pour des cafés comme ça Bien sûr. Je n'ai pas du tout les prix en tête. Oui, je ne suis pas une question piège. Vraiment, c'est... Alors,

  • Speaker #0

    question piège, vraiment, je rentre dedans puisque je n'ai pas les prix. Je n'ai pas les prix radio, mais bon, effectivement, nous, on en propose. Et effectivement, quand on peut proposer des événements, le café peut proposer un événement.

  • Speaker #2

    Ah oui, un événement. Le café de poivre,

  • Speaker #0

    il y a la radio. Et donc là, c'est quand même une population qui bouge et qui potentiellement est intéressée par ce café.

  • Speaker #3

    Donc là, c'est intéressant parce qu'on a parlé de deux types de marketing. Il y avait le premier marketing toute boîte qui était plutôt un marketing, je dirais, long terme. Et on a un deuxième type de marketing plutôt lié à de l'événementiel. Il y a des canaux qu'on va préférer quand il y a un événement bien précis, bien ancré dans le temps. Il y a la radio, on a parlé de la radio. Est-ce qu'il y en a d'autres

  • Speaker #1

    Un event, tu vois, typiquement, créer ton event. Si tu as un événement, tu vas créer l'événement sur, par exemple, Facebook. Et tu peux ensuite déjà le déployer à la communauté, si tu as la chance d'en avoir déjà une. Ou tu peux aussi le booster après. Et tu peux transformer, en fait, si tu veux, la page de ton événement en page de destination de ta campagne. Et faire en sorte que les gens aillent s'inscrire, disent je suis intéressé Ça, c'est aussi une bonne méthode de pousser. Je sais qu'on a déjà eu le cas des clients qui faisaient des brunchs tous les dimanches. Tous les dimanches, on avait rempli leur agenda avec des events sur Facebook et on faisait une petite campagne chaque semaine sur ça.

  • Speaker #0

    Et tu peux totalement utiliser une marque comme Virgule, Vort, pour déployer aussi ta campagne, en plus en cross-médias finalement.

  • Speaker #3

    Des médias qui sont plus dans l'instantanéité, du coup, je vais vous raconter si c'était Virgule.

  • Speaker #1

    Un autre truc qui peut être assez intéressant, si tu as encore de budget, dans le cas d'un resto, d'un café, ça va être d'utiliser, si tu veux, le pendant local. de Google Ads. Alors à l'époque, il y avait ce qu'on appelait des campagnes traffic to store. Donc en fait, si tu veux, le but c'était de faire de la pub sur Internet pour attirer les gens dans ton magasin. Aujourd'hui, ça se fait via en branchant Google My Business sur un compte Google Ads. Et en fait, via les performances max, tu vas pouvoir, tu vas avoir des publicités qui sont souvent coupées en deux. Tu vas avoir ta publicité, ton image, tes textes, et en dessous, il va y avoir une petite carte avec l'adresse. Et en fait, parmi les CTA de cette pub, il y a la demande d'itinéraire, l'appel pour réserver, etc. Ça, ça marche aussi pas mal dans le cas des cafés et des restaurants.

  • Speaker #2

    OK. Donc, conclusion.

  • Speaker #0

    On peut faire radio, on peut faire de la campagne sur nos propres sites, quand même, pour toucher localement, et du Instagram, Facebook et Google.

  • Speaker #1

    Donc, au final, tu peux toucher un petit peu à tout.

  • Speaker #2

    C'est une première affaire où les avocats sont d'accord, mais j'espère que ça ne va pas durer.

  • Speaker #1

    Je vois sans but.

  • Speaker #3

    Et peut-être encore une dernière chose sur ce sujet-là. On parlait de toute boîte. Sur un quartier comme Ulrich, par exemple, c'est quoi la zone de chalandise C'est jusqu'où on va Combien de flyers on fait C'est une bonne question,

  • Speaker #1

    ça. C'est souvent la question que tu te poses quand tu as un bricade mortard et de savoir jusqu'à où tu fais de la pub. Quelle est la distance raisonnable en kilomètres, en temps, etc. C'est toujours très complexe. En général, ça, c'est le client ou l'entrepreneur qui va le connaître le mieux. Oui,

  • Speaker #2

    parce qu'il a déjà fait

  • Speaker #1

    à minima une petite étude et il connait sa clientèle il va savoir te dire si c'est les gens qui sont à 5 km ou si ces burgers sont tellement bons que les gens conduisent depuis l'autre bout du pays pour venir ça va dépendre du prix du flèche alors

  • Speaker #3

    moi je vais prendre mon sujet de coeur les communes

  • Speaker #2

    C'était sûr.

  • Speaker #1

    Et pourquoi donc Parce que le nom de Slow Pan...

  • Speaker #2

    On était sûr.

  • Speaker #1

    Il fallait beaucoup de communes.

  • Speaker #0

    Quelle est l'histoire Je veux la connaître.

  • Speaker #3

    Dans mon portefeuille client, j'ai beaucoup de communes. Et donc, voilà, c'est mon petit sujet de cœur.

  • Speaker #1

    Et alors, du coup, c'est... Clairebourg,

  • Speaker #3

    c'est la commune qui se situe entre Seattle et Bruxelles.

  • Speaker #2

    Le logo généré par Danny. On le met pas sur LinkedIn.

  • Speaker #1

    Il y a le pont de San Francisco, il y a Big Ben, il y a des petits chalets.

  • Speaker #2

    J'ai pas passé une heure à faire un prompt pour générer un logo, les gars.

  • Speaker #1

    Ça a l'air assez cosmopolite comme...

  • Speaker #2

    Donc, le client. reste une mairie d'une ville d'environ 50 000 habitants, on va dire, qui veut moderniser sa communication. Dieu sait qu'il y en a. Ils ont un budget de 70 000 euros sur un an. Un peu plus lourd que le petit café du coin. Les besoins, donc, clairement, améliorer l'image de la ville, mieux informer les habitants sur les projets locaux. Naïm, il est dans sa piscine. La cible, donc, forcément, c'est les résidents, toutes sortes d'âges. Les touristes, mais aussi les nouveaux arrivants, ceux qui s'installent à Clermont parce qu'il y fait bon vivre. Alors débat, est-ce qu'il faut tout miser à fond sur le digital Je ne sais pas, site web Il y a beaucoup de choses. Ou est-ce qu'on fait... Comment vous gérez les projets étatiques

  • Speaker #0

    Là, c'est du cross-média dans tous les cas. Il y aura de tout, il y aura du print, il y aura de la radio, il y aura du digital. On essaie vraiment de cibler un maximum de personnes. de toucher un maximum de personnes parce qu'on sait que le digital, on sera plutôt sur des plus jeunes. Le print, on sera plutôt sur des moins jeunes. Et la radio, plutôt des personnes mobiles ou quand ils travaillent, ils font deux choses en même temps. Donc, on fait du cross-média. On va vraiment être sur nos supports digitaux et sur Luxembourg-Govort, par exemple. Et la radio, pour Radio Latina,

  • Speaker #1

    effectivement. Et est-ce que, du coup, dans ces cas-là, t'adaptes, parce qu'en fait, les différents supports visent différentes types, du coup, tu as tout intérêt à décliner ton message et t'écris ton sujet selon les groupes d'âge.

  • Speaker #0

    Sauf, effectivement, s'il n'y a pas trop de budget ou s'il n'y a pas d'agence, on propose des solutions où on peut prendre le PDF, par exemple, d'une image qui a été mise en print pour le digitaliser. Ça, on a la possibilité de faire. Mais effectivement, on préconisera toujours de changer le message en fonction du support dans tous les cas. Mais là, il y a quand même du budget dont on peut utiliser.

  • Speaker #1

    360, full.

  • Speaker #0

    Il faut clairement faire quelque chose de bien.

  • Speaker #2

    On ne dépense pas tout le budget, 70 000 euros sur un an à faire de la radio,

  • Speaker #3

    de la piste.

  • Speaker #1

    Alors, pour le coup, quand on parle de communes, je prioriserais quand même... Parmi ce budget, je suppose que ce budget, ce n'est pas seulement une enveloppe d'achat média. Non, non,

  • Speaker #2

    c'est globalement. Pour moi, c'est moderniser la communication.

  • Speaker #1

    Tu as la chance, en fait, quand tu travailles sur un projet communal, d'avoir ce qu'on appelle de la first party data, donc de la data qui appartient au client, qui est en général très clean, très utilisable, notamment les adresses mail, les adresses physiques, les noms et les prénoms des personnes qui vivent dans la commune. On va dire problématique RGPD mise à part. Tu as le droit de communiquer avec ces gens-là pour leur donner des informations. Donc là, pour moi, une des pistes à explorer, plutôt que d'aller payer des milliers de cents à des régies publicitaires, tu vois, style Google Ads, en fait, investis plutôt dans des outils de communication directe. Tu peux envoyer des trucs dans les boîtes aux lettres, tu peux envoyer des emails. Donc, peut-être se pencher un peu sur les systèmes d'emailing, sur un site web, voire une application. Parce qu'on sait qu'en général, dans les communes, les usages, tu vois, c'est des trucs qui se répètent, les besoins. Mais ça,

  • Speaker #2

    c'est des coûts quand même assez élevés. C'est pour ça que j'ai pas mis... Moi, je trouve que 70 000 euros sur un an, je trouve que c'est un budget, bien sûr. Mais par rapport à tout ce qu'on a besoin de faire pour une commune, je trouve que si maintenant tu commences à vouloir développer une application, optimiser ton site web, commencer une approche à faire, je sais pas, des affiches dans la ville, faire un journal papier, je sais pas, je sais pas. promouvoir des événements, je trouve que le budget, il va falloir faire des choix. Il va falloir faire des choix. Donc, qu'est-ce qu'on privilégie Est-ce qu'on privilégie les nouvelles générations qui sont plus digitales Ah,

  • Speaker #1

    ça,

  • Speaker #2

    c'est toujours un peu plus digital.

  • Speaker #0

    Franchement, je pense que le journal aide quand même beaucoup. Quand on parle local, le Luxembourg World Forum, par exemple.

  • Speaker #1

    Tout le monde regarde le journal.

  • Speaker #0

    Et puis, en fait, avec le digital, tu as beau dire ce que tu veux, tu scrolles très vite. Ouais. potentiellement tu captes pas avec le message que tu décides de donner.

  • Speaker #1

    Ouais, t'as l'idée de l'attention qui est plus...

  • Speaker #0

    Voilà, l'attention, ces trois secondes, on l'avait déjà vu. Alors que le print, normalement tu prends le temps d'ouvrir ton journal, tu prends le temps de lire ce que t'as envie de lire. Ouais. Et si la pub est là, à ce moment-là, bah tu captes ton audience. Ça je pense que...

  • Speaker #1

    Je pense que l'email, moi je mettrais quand même, tu vois, un peu d'argent dans le fait de développer un système de mailing, soit par une solution entière, soit via une petite appli, même en no-code ou autre. ou un truc que tu branches à ton site web. Parce que pour le coup, là où dans le digital, tu as de l'attention et tu as de l'action après, c'est clairement dans l'email. Ça reste le genre.

  • Speaker #0

    En ceci, tu vois, nous, on fait des newsletters de chaque marque et on peut effectivement mettre une ad aussi dessus, ou même un article disponsorisé, où là, effectivement, l'utilisateur vient chercher l'information finalement.

  • Speaker #1

    Oui, et il est... Tu as... Je ne sais pas, deux articles ont gagné, et à l'intérieur, tu as un post.

  • Speaker #0

    C'est un article spécifiquement pour ça.

  • Speaker #1

    Qui est induit, en fait, qui ne ressort pas comme une publicité.

  • Speaker #3

    Voilà. Et là, j'ai peut-être encore une chose à rajouter. On a beaucoup parlé de comment on communique avec les habitants de la commune, mais comment on communique avec les visiteurs Parce que la ville de Clermont, elle est extrêmement visitée, elle est très demandée à l'instant. C'est connu. Comment on communique sur les événements, sur ce qui se passe dans la commune, dans le tourisme Alors là,

  • Speaker #1

    pour le coup, j'irais full digital. Et tu cibles, en fait, c'est un peu la méthode. Moi,

  • Speaker #2

    je voulais tirer la couverture, chez nous en tout cas, pour ce genre de...

  • Speaker #1

    En tout cas, pour les visiteurs, c'est un peu la même chose. C'est la même façon dont tu communiquerais avec un hôtel. Un réseau comme Google Ads, par exemple, va te permettre de cibler concrètement tous les pays du monde, selon ton budget et selon les CPC, les coûts par clic que tu es prêt à encaisser. Mais concrètement, tu vois, aujourd'hui, ça arrive. Nous, on a des hôtels, par exemple, qui en travaillent. Ils ont des publicités qui tournent à Londres, à Zurich, à Hong Kong, aux Etats-Unis, pour cibler des gens, pour leur donner l'idée de venir visiter le Luxembourg. Donc une ville, concrètement, elle pourrait communiquer de la même façon.

  • Speaker #2

    Toi, Nadim, tu as déjà participé à des questions sans désigner la commune en question. Non, mais des questions sur des sacrifices budgétaires, ou en tout cas des choix à faire. Parce que nous, on prône... l'optimisation du site web, vraiment mettre à disposition du citoyen un maximum de fonctionnalités, d'infos, etc. Est-ce que tu as déjà eu des cas de figure où on dit, non, on préfère largement faire de la publicité dans nos affiches imprimées

  • Speaker #3

    On a de la chance avec les communes luxembourgeoises parce que ils sont très axés sur la digitalisation, déjà. Il y a déjà l'état d'esprit qui est derrière. Et aussi, quand le budget peut poser problème une année, mais que c'est une feature qui leur semble intéressante, Ils sont prêts à comprendre et à potentiellement débloquer du budget pour cette année ou l'année suivante pour développer cette fonctionnalité. Donc ça, c'est très chouette. Et même encore avec Antoine, récemment, on a développé un système de newsletter pour une commune qu'on ne va peut-être pas forcément citer, mais qui était pour un souper. Et on a pu communiquer très efficacement via une newsletter.

  • Speaker #2

    Pour un souper

  • Speaker #3

    Pour un souper dans une commune, oui.

  • Speaker #0

    Et nous aussi, on propose avec Lux Times.

  • Speaker #3

    Ah pardon, Dédric, je parlais en anglais.

  • Speaker #0

    Je me suis dit que les expats...

  • Speaker #1

    Oui, les expatriés, il y a des... Je sais qu'il y a aussi... Just Arrive aussi qui fait ça. En fait, tu as des médias qui sont dédiés, si tu veux, à cibler des expatriés, à cibler des gens qui ne sont pas ou qui viennent d'arriver au Luxembourg pour les attirer.

  • Speaker #0

    Et aussi des événements. Je pense que là, ça fait du sens. On a des événements spécialisés pour les expats. Et là, tu peux largement venir avec un stand et expliquer ce que la commune propose.

  • Speaker #1

    Des webinars aussi, pour présenter la commune, tu vois. Genre, des sortes, tu pourrais même imaginer, tu sais, quelqu'un de la commune qui se promène, qui va prendre des vidéos, une chaîne TikTok. On avait parlé, il y a une...

  • Speaker #2

    Pour pas les citer, la communauté d'IronVest. Ouais, voilà, c'est ça. On leur fait la promo, ils ont fait une vidéo, franchement,

  • Speaker #3

    de nion. Dans la communauté d'IronVest, ils ont vraiment... Alors, je ne sais pas si c'est en interne ou si c'est outsourcé, je crois que c'est en interne, mais en interne, ils ont une personne très compétente dans la vidéo et ils ont des excellentes vidéos de la commune.

  • Speaker #1

    Ouais. Et ça c'est très cool, pour découvrir une commune en fait, avant de te déplacer, de pouvoir la voir en vidéo.

  • Speaker #2

    Affaire suivante, Greenmove. C'est un service de location de vélos et de trottinettes électriques.

  • Speaker #1

    Ok.

  • Speaker #2

    Budget, 30 000 euros sur 6 mois. Donc, quelque chose d'assez rapide et puis intéressant. Les besoins, il faut clairement augmenter les abonnements mensuels et la notoriété de la marque. Donc, principalement les clients, c'est les urbains de 25-45 ans, des écolos, des gens qui ont tout. Je l'ai dit parce que c'est une insulte. Je l'ai dit parce que c'était pas un homme.

  • Speaker #1

    Non, non, mais je reste... C'était une... Mais si,

  • Speaker #2

    on revend que tu l'es en... Non, non, des gens qui ont une volonté vraiment d'améliorer leur comportement éco-citoyen. et donc les personnes qui prennent les transports en commun en général, comment les acquérir.

  • Speaker #1

    Et comment faire du revenu

  • Speaker #2

    Comment on génère,

  • Speaker #1

    comment on augmente le nombre d'abonnements mensuels Je partirais sur du marketing d'influence. Je ne connais pas trop, je ne connais pas exactement le paysage d'influenceurs green. Je ne sais pas. Je ne sais pas s'il y en a.

  • Speaker #2

    Un Tony Hawk de la trottinette

  • Speaker #1

    Non, mais même pas. Est-ce qu'il y a des... S'il doit y avoir des influenceurs au Luxembourg qui s'occupent de problématiques environnementales, je pense qu'il y en a, qui pourraient mettre en avant. Tu sais que ces gens-là, ils ont une audience de gens qui vont avoir ce problème à cœur. Donc, ils vont être à même de s'intéresser à quelque chose qui apporte une solution. Je chercherais peut-être même... un partenariat avec le ministère de l'Environnement. Je ne sais pas si ils paquent des startups ou s'ils ont des espèces de subventions. Il y a des subventions pour le digital. On n'en parle d'ailleurs pas assez souvent de tout ce qui est SME Packages, Feed for Digital, mais qui sont en fait des bourses qui sont données aux entreprises au Luxembourg qui ont certains projets digitaux qui peuvent être supportés par le gouvernement.

  • Speaker #3

    Moi, j'ai peut-être encore un truc à ajouter sur Green Move. Moi, je l'aurais très bien vu vu que c'est du B2C. et que ça s'adresse à une population très large, des campagnes UGC qu'on pourrait réutiliser dans des publicités typiquement Facebook.

  • Speaker #1

    Ouais, prenez...

  • Speaker #3

    UGC, on en parle dans tous les épisodes maintenant, mais User Generated Content, c'est le fait qu'une personne lambda qui ne soit normalement pas un acteur puisse parler d'un produit ou d'un service. Un client,

  • Speaker #2

    oui.

  • Speaker #1

    Est-ce que tu conseilles aux gens de se filmer pendant qu'ils sont en train de rouler en trottinette Non, non, mais...

  • Speaker #3

    Evidemment, non.

  • Speaker #2

    Non,

  • Speaker #3

    mais qui présente le service,

  • Speaker #1

    voilà. Sur le chemin.

  • Speaker #3

    Je m'appelle Naïm, moi depuis que j'ai découvert Greenmove, je vais tout le temps travailler avec.

  • Speaker #1

    Ouais mais typiquement tu vois, tu peux se prendre en photo quand t'es arrivé, tu vois, typiquement. Par exemple. Et gagner 5 balles sur la prochaine ride.

  • Speaker #2

    Ça existe pas du, je sais pas comment on peut dire, je sais pas si le terme existe, mais du street marketing ou des choses vraiment que tu fais, des tests gratuits.

  • Speaker #0

    Ah les tests c'est important. On va éviter le print par contre ici.

  • Speaker #1

    Ouais du coup ouais.

  • Speaker #0

    Et encore une fois moi je... je pense, sponsor content, définir un peu ce qu'ils proposent et pourquoi c'est bien d'aller télécharger tout ça. Et bien rediriger la campagne vers justement l'app pour directement la télécharger. Comme ça, il n'y a pas de bifurcation et de perte de personnes. Pour les stores directement.

  • Speaker #2

    Voilà. C'est intéressant que tu dis parce que la société, ça s'appelle Greenmove, en tout cas, il y a un côté écolo. Que tu dis, on va éviter le print, est-ce que... Non,

  • Speaker #0

    mais c'est vraiment... Je me dis, effectivement, s'il y a vraiment un côté très écolo, alors on peut aller sur du print.

  • Speaker #2

    Ça dépend de la valeur, ok, ça dépend de la valeur.

  • Speaker #0

    Si on veut vraiment aller à 100% dans le côté écolo.

  • Speaker #1

    En plus, je veux dire, là, techniquement, ta cible, tu es concrètement en train de lui demander d'installer une appli, tu vois. Donc, je veux dire, elle est forcément dans les ranges d'âge.

  • Speaker #2

    Tu peux faire un affichage public.

  • Speaker #1

    Tu pourrais,

  • Speaker #2

    mais tu ne vas pas aussi facilement les... Des choses comme ça, tu vois, pour dire, les gars, on a un beau service.

  • Speaker #1

    Tu vas aussi facilement les toucher en digital et je pense que tu auras un meilleur coût. Tu arriveras à réduire ton coût d'acquisition,

  • Speaker #2

    je pense. Est-ce qu'on peut créer des fiches Google My Business, donc la fiche d'entreprise pour des aires de stationnement

  • Speaker #1

    Bonne question. Alors, comme ça, je te dirais non. Je n'ai pas le souvenir, tu vois, par exemple, des trucs genre Uber ou autre à Paris, quand tu peux aller... Ou Lemon pour les vélos.

  • Speaker #3

    Je crois qu'on peut mettre un point sur Google Maps, par contre.

  • Speaker #1

    Tu peux mettre un point sur Google Maps Parce qu'en fait, ces trucs-là, en général, elles ont leur propre système de localisation via Maps, via Maps ou OpenStreetMap ou autre, mais dans l'application. Si tu veux, quand tu cherches à louer... à prendre un Vélib, tu vois, pareil, tu as l'appli et puis tu peux voir où sont les stations Vélib. Donc en fait, je n'ai jamais eu le réflexe de me dire tiens, je vais aller sur Google Maps pour voir son raré. C'est peut-être possible.

  • Speaker #2

    Ce n'est pas impossible.

  • Speaker #1

    Après, je pense que pour Google Maps, si mes souvenirs sont bons pour avoir une fiche acceptée, il faut qu'il y ait un numéro de téléphone unique. Ça voudrait dire qu'il faudrait que tu arrives à shooter un numéro de téléphone par station pour pouvoir faire valider la fiche.

  • Speaker #2

    Affaire suivante

  • Speaker #1

    Je ne sais plus à qui c'est.

  • Speaker #0

    C'est à mon enfant, il me semble. Elle est où, l'agent Simo Elle est ici. Luxe Prestige.

  • Speaker #2

    Luxe Prestige. C'est sacré. C'est luxueux.

  • Speaker #1

    C'est très luxueux.

  • Speaker #2

    C'est une agence effectivement immobilière qui est spécialisée dans le luxe. Donc, un budget un peu plus lourd, on va dire 100 000 euros sur l'année. OK. Donc, typiquement, les besoins, trouver des clients pour des biens de luxe à Luxembourg.

  • Speaker #1

    OK.

  • Speaker #2

    La cible, donc, principalement des entrepreneurs. des investisseurs, des expatriés très fortunés.

  • Speaker #1

    Qu'est-ce qu'il fait avec ce budget Ce qui est difficile en digital, c'est que tu as des façons de cibler des personnes avec des revenus assez hauts. Sur Google Ads ou autre, tu as une option qui permet de cibler les gens par rapport à où ils se situent dans les quantiles de revenus. Sauf que cette fonctionnalité est interdite en Europe. Elle ne fonctionne qu'aux États-Unis. tu as des moyens détournés de le faire. Tu peux créer, par exemple, des segments d'audience de gens qui vont sur le site Lamborghini, Ferrari, de gens qui ne vont que dans les Sofitels, les hôtels de luxe. Cibler des gens qui ont des goûts de luxe pour essayer de les cibler. Mais bon, concrètement, ça ne veut pas dire grand-chose. Moi, je peux aller voir des Lamborghini et faire du lèche-vitrine tous les jours. Ce n'est pas pour autant que je peux aller m'acheter une maison à un million. Donc là... pour le coup, je pense que le print ou les... Je ne sais pas comment... Les magazines niches, voilà. Ça, je pense que Marine, tu sauras en parler un peu plus.

  • Speaker #0

    Clairement, on en a forcément, puisqu'on travaille avec Vortimo et on a le côté print. Effectivement, si tu cibles avec un magazine personnalisé, tu touches forcément plus vite ta cible. Mais il y a aussi Vortimo, le site web, finalement.

  • Speaker #1

    C'est quoi C'est de l'agrégateur de...

  • Speaker #0

    Vortimo.lu, c'est vraiment pour chercher ton bien, soit à vente, localisant, au Luxembourg. On cible vraiment les personnes au Luxembourg,

  • Speaker #1

    les biens luxembourges. C'est directement ici. Et ça se passe comment pour une agence Ils vous donnent un flux Il y a des crédits spécifiques.

  • Speaker #0

    Oui, comme tu as dit, un agrégateur. Et donc, tu mets tes annonces. Et ce que là, j'imagine, comme c'est une agence de luxe, tu proposes des biens à plus d'un million, etc. Nous, on peut cibler des personnes qui cherchent un bien à plus d'un million,

  • Speaker #1

    deux millions. Parce que c'est tout un peu le bonheur, on va dire, des agrégateurs. C'est qu'eux ont de la data sur l'utilisation des gens qui ont un compte. Et ça, effectivement, ça fait quand même une grosse diff.

  • Speaker #3

    J'ai peut-être encore un truc à ajouter. Potentiellement aussi retargeter les personnes qui fréquentent ton site d'annonce immobilière.

  • Speaker #1

    Ouais, ouais, bah ouais.

  • Speaker #3

    Parce qu'en général, ton site d'agence immobilière, tu vas le voir plusieurs fois le temps que tu trouves ton bien. Donc, ça pourrait toujours être utile de faire des campagnes de retargeting des nouveaux biens qui rentrent.

  • Speaker #1

    Oui, là, je pense que c'est vraiment quelque chose de...

  • Speaker #3

    Retargeting, la définition. Recibler.

  • Speaker #2

    Recibler.

  • Speaker #1

    Recibler quelqu'un. Du ré-reciblage. Alors, c'est du... Oui, c'est du reciblage. Disons que pour donner un exemple aux gens qui ne savent pas ce que c'est, c'est que vous avez tous déjà été retargetés. C'est... Vous avez été voir une paire de pompes, elle vous plaît bien, vous avez été la regarder deux fois, trois fois dans la semaine, et bizarrement, toute la semaine d'après, à chaque fois que vous voyez une publicité sur Internet, c'est cette paire de pompes exactement.

  • Speaker #2

    Je suis sur mon site ZPesh.

  • Speaker #1

    Ça, c'est parce qu'en fait, au moment de la visite, vous avez récupéré ce qu'on appelle un cookie, en fait, qui vous identifie. Ce cookie vous lie à un produit, et ce produit, en fait, les régies publicitaires vous le renvoient parce qu'elles savent que vous, vous avez regardé ce produit-là. Donc, par exemple, on va tous avoir des... des publicités différentes en étant la cible de remarketing.

  • Speaker #2

    Dans la vie réelle, ça serait un mec qui te suit tout le temps et qui te redonne un flyer un peu tous les demi-heures, qui te souffle dans la nuque et qui dit tiens, t'as oublié au fait que...

  • Speaker #3

    Ouais, ça serait la métaphore.

  • Speaker #1

    C'est un peu ça. Effectivement, ça, tu vois, c'est un truc où je trouve les grandes régies publicitaires ont encore un peu du mal. On a très souvent le cas, même pas forcément pour Dlimo, mais des gens qui arrivent et qui veulent cibler, disent moi, je veux cibler... tous les PDG, je veux cibler tous les CMO, je veux cibler tous les directeurs financiers. Et en fait, le digital est encore relativement nul pour ça. Je ne peux pas pinpoint telle personne qui est en poste à tel endroit. Moi, j'ai des profils, j'ai des segments, des âges qui font de l'intérêt, mais je ne peux pas trop m'en sortir comme ça. D'où l'intérêt des communautés de niche, en fait, de faire du... pool, tu vois, d'attirer les gens via des contenus qui les intéressent pour ensuite avoir créé une communauté.

  • Speaker #2

    Et balancer tout le budget sur un événement VIP, genre avec une collaboration avec des banques privées, surtout pas

  • Speaker #0

    Non, je pense que c'est très bien de faire un événement pour se faire connaître. Je pense que c'est une très bonne idée, mais pas tout le budget effectivement. Pas mettre tous ses oeufs dans le même panier.

  • Speaker #1

    Ce que je vois aussi beaucoup dans ce genre de... J'en vois beaucoup sur Paris. et surtout les agences de luxe qui vont faire des petits tours TikTok, tu vois, vidéo.

  • Speaker #3

    Oui, exactement.

  • Speaker #1

    Un appart privé dans le quatrième où, genre, vraiment, t'en prends plein la tronche. Il y a le truc que la dernière fois, il vendait un appart, bon, il n'y avait pas le prix, mais qu'il y avait un basquiat, genre, au milieu du salon, tu vois, juste au-dessus du musée d'Orsay à Paris. Et c'est vrai que ça claque, tu vois. Genre, là, tu vas attirer quand même.

  • Speaker #0

    Bien jouer sur les belles photos, du coup,

  • Speaker #2

    aussi. Et, comment dire, investir dans... dans de l'ads, donc créer par exemple des vidéos, je ne sais pas, en réalité virtuelle ou autre, des vidéos super soignées de chaque bâtiment et les push sur YouTube. Oui,

  • Speaker #1

    les push, tu vas te faire de la visibilité, tu peux espérer par récolter ou entre guillemets par chance d'avoir là-dedans ta cible, mais c'est compliqué parce que ces gens-là, en fait, ils sont très niches. Disons que là, si je prends un appart à 2 millions d'euros et que je te fais faire 10 millions d'impressions dans la semaine, Concrètement, parmi ces 10 000 impressions, quel est le pourcentage de personnes qui pourraient réellement te contacter et offrir une piste Même par ricochet, c'est compliqué. Oui, oui, oui. En général, là, je voudrais... Donc,

  • Speaker #2

    avantage, avantage, quoi. Alors, plutôt...

  • Speaker #1

    Communauté, niche, avoir un... Cross-média. Cross-média. Et les agrégateurs aussi. Parce que là, du coup, tu as l'information que telle personne avec tel compte, elle utilise souvent l'appli pour aller voir en moyenne, si tu as bien tagué ton site. que des biens qui sont d'une valeur supérieure à 600 000 euros dans les trois derniers mois. Là, tu sais que tu as une petite piste quand même d'accrocher quelqu'un qui a un intérêt.

  • Speaker #3

    Tu parlais aussi de KPI tout à l'heure. Est-ce que dans le print aussi, il y a certains KPI qu'on peut analyser pour benchmarker les performances d'une campagne

  • Speaker #0

    Je ne fais pas de print. Non, mais bien sûr, il y a d'autres. Je crois qu'il y a les piges Nielsen qui sont disponibles. Il y a plein de différentes choses qu'on peut...

  • Speaker #1

    Moi, je t'avoue que je ne connais pas du tout les KPI de print. Je suppose, si c'est comme les magazines.

  • Speaker #0

    Après, il y a des sondages aussi qui sont faits après coup. J'imagine que ça serait totalement possible.

  • Speaker #3

    C'est pour que les gens aient vu la publicité, quelque chose comme ça

  • Speaker #1

    Oui, en fait, je pense que tu vas demander aux gens qui faisaient partie des cibles ou que tu as ciblé, est-ce que vous avez entendu parler de ces... Je ne sais pas, sur YouTube, tu l'as de temps en temps parlé. Vous avez entendu parler Parmi ces quatre marques desquelles vous avez entendu parler. Tu vas pouvoir aussi peut-être avoir des trucs sur l'opinion perçue. C'est-à-dire que toi, quand tu vas faire une campagne de ce type-là, tu as une idée d'opinion que tu souhaites générer chez les gens. Et tu vas pouvoir voir ensuite, est-ce que vous connaissez cette marque Certaines personnes vont te dire oui. Et après, tu vas leur dire, c'est quoi votre opinion C'est quoi le positionnement que vous percevez Ah ben, Prestige Reality, j'ai vu deux, trois vidéos, ça a l'air super luxueux, super classe, machin. Donc là, tu sais que tu as réussi.

  • Speaker #3

    Ok,

  • Speaker #1

    oui. Mais effectivement, pas des KPIs comme nous. C'est pas les KPIs comme nous, genre tant de clics.

  • Speaker #0

    Il y a des abonnés. Par exemple, quand le journal, on sait combien il y a d'abonnés, forcément, potentiellement, tu as touché cette cible-là.

  • Speaker #1

    Les KPIs, j'ai l'impression que souvent, si tu as dans le print, les KPIs viennent parfois même avant. On a un magazine avec tant de tirages, avec tant d'audience. Voilà ce qu'on peut vous fournir.

  • Speaker #3

    En fait, je n'aurais pas dû formuler ma question comme ça. J'aurais dû plutôt dire, comment est-ce qu'on sait si une campagne est réussie ou ratée

  • Speaker #1

    Ça dépend, en fait.

  • Speaker #0

    ça dépend du type de campagne et de l'objectif aussi visibilité je pense que visibilité tu sais que t'as fait tant de tirages comme t'as dit donc voilà t'as touché les personnes là potentiellement mais à quel point est-ce qu'ils sont allés acheter le produit ou non là on pourra quand même pas le dire à 100%

  • Speaker #1

    après il y a un moment aussi il faut basculer dans le monde réel t'as ce qu'on appelle par exemple dans le digital le suivi des conversions hors ligne demande-toi par exemple pourquoi aujourd'hui de plus en plus de magasins te demandent si tu veux recevoir ton ticket de caisse par email

  • Speaker #3

    Et toi,

  • Speaker #1

    tu as ton email. Sauf que Google connaît ton email. Et il peut savoir que toi, ton compte, ce compte mail-là, a vu une publicité en ligne dans les trois dernières semaines. Et que t'as été en magasin et que t'as acheté. Donc ça, c'est de la data que tu peux faire remonter. Des fois, il faut... Puis même, tu peux dire à tes clients, n'hésitez pas quand vous avez un nouveau client qui vient, à l'ancienne, vous avez entendu parler comment Ah bah, j'ai vu une pub dans tel magazine. Ah bah, j'ai vu une campagne sur tel média. Ce genre de trucs. Comme ça, ça te permet de jauger. Ce n'est pas pile poil, ce n'est pas au microscope, mais ça te donne un ressenti.

  • Speaker #2

    Il nous reste quatre affaires. Je propose d'arrêter cet épisode-là, cette partie 1, en tout cas. Et donc, pour la partie 2, ça sera la semaine prochaine, toujours avec Marine. Marine, merci beaucoup déjà d'avoir participé à cette partie-là. Et on se donne rendez-vous un petit peu plus tard. Page LinkedIn Café Clatch, abonnez-vous. On est... Je ne sais plus, on est des millions.

  • Speaker #1

    Oui, oui.

  • Speaker #3

    Moi, j'aurais même dit des milliards.

  • Speaker #2

    Des millions, des milliards d'impôts. OK, merci à tous. Bonne journée. À bientôt. Salut, à bientôt.

  • Speaker #0

    A la prochaine.

  • Speaker #1

    Ciao. Salut. Quelle c'est-ce qui est rassistible.

  • Speaker #2

    Comme un chalot.

Chapters

  • Présentation de Marine Morgante

    00:19

  • Confrontation entre marketing digital et print

    01:37

  • Analyse de cas : Le Café du Coin

    06:10

  • Analyse de cas : La Commune de Clairbourg

    13:27

  • Analyse de cas : Greenmove et ses trotinettes électriques

    22:35

  • Analyse de cas : Luxe Prestige et le ciblage des clients riches

    28:04

  • Conclusion inachevée

    37:37

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