- Speaker #0Bonjour et bienvenue pour cette exploration approfondie. Aujourd'hui, on va s'intéresser à une innovation française. Dans un secteur clé, celui de l'habitat, de la rénovation énergétique, on va regarder de près un outil CBM Manager. On nous le présente comme une solution qui pourrait vraiment changer la donne pour les pros. Notre mission, si on peut dire, décortiquer un peu ce qui rend ce logiciel CRM, gestion de la relation client, si particulier. On s'appuie sur quoi ? Des présentations, des analyses de son fonctionnement, quelques retours d'utilisateurs aussi, et même la vision de son fondateur. Et le problème de fond, celui que l'outil cherche à résoudre, c'est cette recherche constante et souvent épuisante de nouveaux chantiers. Le nerf de la guerre, quoi. 
- Speaker #1Oui, tout à fait. C'est exactement ça. Pour bien cadrer les choses, CBM Manager, c'est une solution qu'on appelle SaaS, donc un logiciel en ligne, accessible via Internet. Et il est conçu spécifiquement, vraiment sur mesure, pour les métiers comme l'installation de panneaux solaires, les pompes à chaleur, l'isolation, ce genre d'activités. Une petite précision qui est donnée dans la doc, il ne faut pas confondre avec l'acronyme CBM. Ça, ça renvoie à d'autres domaines, la maintenance, je crois, ou des certifications. Rien à voir. Ici, c'est CBM Manager pour le bâtiment. Et sa force première, d'après ce qu'on lit, c'est justement cette hyper spécialisation. Ce n'est pas un outil générique qu'on aurait adapté à la va-vite. Non, il est pensé dès le départ pour les complexités. Le quotidien de ses professionnels. 
- Speaker #0D'accord, alors allons-y, déballons ça. L'idée maîtresse ici, si je comprends bien, c'est que CBM Manager, ça ne fait pas que gérer les clients qu'on a déjà. Ce n'est pas juste un carnet d'adresses numériques amélioré. La promesse, c'est d'aller en chercher de nouveau, activement. 
- Speaker #1Exactement. 
- Speaker #0C'est quand même un changement de perspective par rapport aux CRM traditionnels qui sont souvent perçus comme un coût de gestion où on doit acheter ses prospects, ses leads à côté. 
- Speaker #1C'est tout à fait ça. La philosophie derrière est différente. Le modèle économique qui est proposé, en fait, il fusionne le CRM et la génération de prospects qualifiés, tout en un. Du coup, CBM Manager se positionne plutôt comme un investissement pour la croissance, pas juste une dépense. Le processus est décrit comme assez simple et puissant. En gros, trois étapes. 1. L'entreprise définit sa cible, très précisément. La zone géographique, les produits, etc. 
- Speaker #0Ok, donc on calibre bien en amont pour que ça soit... pertinent. 
- Speaker #1Voilà, exactement. Deuxième étape, c'est là qu'intervient ce qu'ils appellent le moteur de la plateforme. Sans entrer dans les détails techniques, qu'on n'a pas forcément, on comprend qu'il y a un mécanisme interne basé sans doute sur des algos, peut-être des partenariats de données, je ne sais pas, qui identifient et génèrent des contacts qui correspondent aux critères définis. Et la troisième étape, et c'est là une partie de la valeur ajoutée annoncée, ces prospects arrivent directement dans le CRM de l'entreprise. Déjà qualifiés, et prêts à être contactés par les commerciaux. 
- Speaker #0Intéressant. Et cette notion de prospect exclusif et chaud qui est mise en avant, qu'est-ce que ça veut dire concrètement d'après les infos qu'on a ? Exclusif, ça signifie qu'un lead n'est pas refourgué à dix boîtes en même temps ? 
- Speaker #1C'est en tout cas la promesse qui est faite dans la documentation, oui. L'idée, c'est d'éviter cette mise en concurrence immédiate sur le même prospect. Ce qui arrive souvent avec les plateformes d'achat de leads plus généralistes, on va dire. Et chaud, ça suggère que ces contacts ont montré un intérêt récent, spécifique pour les services et qu'ils correspondent bien aux profils recherchés par l'entreprise. L'objectif affiché derrière tout ça, c'est de permettre aux commerciants de passer moins de temps sur la prospection pure, qui est souvent fastidieuse et avec un faible rendement, soyons honnêtes, pour se concentrer plutôt sur la qualif et la vente avec des gens déjà mieux ciblés. 
- Speaker #0D'accord. Une approche intégrée, de la découverte à la signature, si on veut ? 
- Speaker #1C'est un peu l'idée, oui. 
- Speaker #0et cette spécialisation pour le secteur de l'habitat Au-delà de générer des leads, comment elles se voient dans les fonctionnalités de l'outil au quotidien ? Les sources donnent des exemples concrets. 
- Speaker #1Oui, oui, et c'est là qu'on voit vraiment l'adaptation au métier. Par exemple, pour une boîte qui pose des panneaux solaires, on nous dit que le logiciel intègre le suivi administratif spécifique des dossiers Enedis. Bon, ça peut paraître un détail, mais pour ceux qui sont dedans, ça peut faire gagner un temps fou et éviter des erreurs. 
- Speaker #0Ah oui, j'imagine. 
- Speaker #1Autre exemple, pour les pompes à chaleur. L'outil intégrerait les critères d'éligibilité aux aides de l'État, ma prime rénov', ce genre de choses. Ça permet de mieux conseiller le client, de monter les dossiers plus facilement. L'outil essaie vraiment de parler le langage technique et administratif du secteur. 
- Speaker #0Ça suppose une connaissance assez fine des processus métiers, en effet. Et à part ces aspects très pointus, il y a d'autres fonctionnalités mises en avant ? 
- Speaker #1Oui, plusieurs choses reviennent souvent dans les présentations. D'abord, l'interface. Elle est décrite comme simple, intuitive. Et ça, ça a l'air d'être confirmé par les retours utilisateurs qu'on a pu voir. Ensuite, il y a l'intégration d'un assistant IA, une intelligence artificielle. Bon, les sources détaillent pas forcément toutes ces capacités, mais on peut imaginer une aide pour rédiger des emails, prioriser les tâches, peut-être analyser des données. Il y a aussi une application mobile. Ça, c'est souvent indispensable pour les équipes sur le terrain, les techniciens, les commerciaux, dans le bâtiment. Et puis, pour les managers, évidemment, des tableaux de bord. Pour suivre les indicateurs clés, les fameux KPIs, l'activité des équipes, les taux de conversion, tout ça. 
- Speaker #0Le pilotage classique, mais intégré. 
- Speaker #1C'est ça. L'automatisation aussi, c'est un point fort qui est souvent mis en avant. Prise de rendez-vous facilité, des rappels automatiques, des séquences de suivi. L'idée, c'est de réduire la charge mentale et les tâches répétitives qui usent à la longue. Et enfin, la centralisation de l'info. Bon, ça, c'est un bénéfice classique des CRM, mais ici, c'est adapté aux flux spécifiques du bâtiment. pour éviter que l'info client soit éparpillée dans 10 fichiers Excel ou des carnets. 
- Speaker #0Et la sécurité des données dans tout ça ? C'est un sujet sensible ? 
- Speaker #1Oui, c'est abordé. On nous dit que CBM Manager respecte les normes strictes, type RGPD, avec cryptage des données, contrôle d'accès rigoureux, les garanties habituelles mais nécessaires. 
- Speaker #0D'accord. Donc on a un outil qui fournit des prospects, qui est adapté au métier. Mais bon, avoir un bon prospect, même qualifié, c'est une chose. Le transformer en client qui signe, c'en est une autre. Est-ce que CBM Manager aide aussi là-dessus ? Vous parliez d'une partition à suivre, pas juste d'un script bateau. 
- Speaker #1Exactement. La documentation décrit une approche assez structurée, une méthode de vente en cinq étapes. Et l'outil est censé faciliter l'application de cette méthode. L'idée, ce n'est pas de donner un texte à réciter bêtement, plutôt un cadre, une trame pour guider la conversation commerciale et faire avancer le prospect logiquement sans le brusquer. 
- Speaker #0Et c'est quoi ces étapes alors ? En résumé, sans nous refaire tout le manuel de vente, bien sûr. 
- Speaker #1Bien sûr, bien sûr. Alors en gros, la méthode proposée, elle vise à, premièrement, capter l'attention, passer d'un intérêt un peu vague à une vraie écoute. Comment ? En parlant bénéfice concret, économie d'énergie, confort, valeur de la maison. Et éventuellement, proposer une petite amorce à un truc utile, une simulation, une checklist. 
- Speaker #0Ok, accroché. 
- Speaker #1Voilà. Deuxièmement, qualifier sans faire subir un interrogatoire. Poser les questions clés, oui. besoins, projets, budget, timing, mais surtout écouter activement. Comprendre la situation, laisser le prospect s'exprimer. L'objectif, voir si on peut vraiment l'aider et s'il est mûr pour avancer. Troisièmement, nourrir l'intérêt avec pertinence. Si la décision prend du temps, il faut maintenir le lien. Envoyer de temps en temps des infos ciblées, utiles. Un exemple de chantier similaire, un témoignage, une réponse à une objection fréquente. Bâtir la confiance, préparer le rendez-vous décisif. 
- Speaker #0Du nurturing, comme on dit parfois. 
- Speaker #1C'est un peu ça, oui. Quatrièmement, mener un rendez-vous qui convertit. Structurer l'entretien, par exemple clarifier l'objectif, le plan, les attentes dès le début. Et pour le prix, une technique mentionnée, c'est celle du sandwich. On présente de la valeur avant, on annonce le prix et on enchaîne direct sur les bénéfices, les garanties, pour ancrer le prix dans la valeur perçue. 
- Speaker #0Intéressant comme approche. 
- Speaker #1Et enfin, cinquièmement, conclure sereinement. et assurer le suivi. Proposer un choix clair, peut-être entre deux options, reformuler les bénéfices clés avec les mots du client pour être sûr qu'on est sur la même longueur d'onde et une fois que c'est signé, hop, confirmation écrite des prochaines étapes pour rassurer et lancer la suite. 
- Speaker #0D'accord, c'est assez complet comme méthode. Et comment CBM Manager aide concrètement à appliquer ça ? C'est pas juste un PDF qu'on lit à côté de l'ordi ? 
- Speaker #1Non, l'idée c'est vraiment que l'outil intègre cette logique. Par exemple, il peut aider à prioriser les leads les plus chauds, Selon les critères de la méthode, il peut automatiser l'envoi de certains contenus de nourrissage au bon moment. Il va générer des rappels pour les suivis, les relances. Il peut même proposer des trames d'email ou des argumentaires type adaptés à chaque étape, que le commercial peut ensuite personnaliser bien sûr. L'outil devient vraiment le support opérationnel de la méthode, pour la rendre plus facile à appliquer, de manière cohérente par toute l'équipe. 
- Speaker #0Bon, tout ça, ça a l'air prometteur sur le papier, hein. Qu'est-ce qu'on a comme preuve d'efficacité ? Est-ce que les sources donnent des éléments tangibles, des chiffres ? 
- Speaker #1Alors les documents promotionnels et certaines analyses mentionnent effectivement des chiffres. On parle d'une base installée assez significative, une utilisation par de grands groupes français du secteur depuis plus de 10 ans. Ça, ça suggère quand même une certaine robustesse, une pérennité. Une info plus récente, peut-être tirée d'une mise à jour des sources ou d'une vidéo promotionnelle, évoque plus de 2500 utilisateurs actifs chaque jour. Là, c'est un volume qui commence à être conséquent. Ça indique une adoption certaine sur le marché. 
- Speaker #02500 utilisateurs quotidiens, effectivement, ce n'est pas rien. 
- Speaker #1Et sur l'App Store, pour l'application mobile, une note moyenne de 4,4 sur 5 est citée. Ce qui est qualifié de très positif dans le secteur B2B. 
- Speaker #0D'accord. Et les retours qualitatifs des utilisateurs eux-mêmes, qu'est-ce qu'ils racontent ? Est-ce que ça confirme les points forts qu'on a évoqués ? 
- Speaker #1Les avis qu'on a pu trouver, même si leur nombre public est peut-être limité par rapport à la base utilisateur annoncée, ils semblent quand même converger sur plusieurs points. La simplicité d'utilisation de l'interface Ça revient souvent. C'est crucial pour que les gens l'adoptent vraiment. Le gain de temps, l'amélioration de la productivité, ça aussi, c'est fréquemment cité. L'assistant IA, même si on aimerait en savoir plus sur ce qu'il fait exactement, est perçu comme un plus. Et un point qui est souvent décisif pour ce genre de logiciel, la qualité du support client. Elle est soulignée, décrite comme ultra réactif et humain. Ça, c'est important. 
- Speaker #0Ah oui, un bon support, ça change tout. 
- Speaker #1Exactement. On voit même des expressions assez fortes dans certains témoignages, du genre « centrale intelligente » ou « indispensable » . Ça suggère un impact réel sur l'organisation quotidienne de ces entreprises. 
- Speaker #0Donc, globalement positif, mais… 
- Speaker #1Voilà, mais pour une analyse équilibrée, il faut aussi regarder les points de vigilance, ou les questions qui restent un peu en suspens. Le premier point, c'est la tarification. 
- Speaker #0Ah oui, vous l'aviez mentionné. 
- Speaker #1Elle n'est disponible que sur demande. Il faut contacter un commercial. C'est une pratique courante en B2B pour des solutions spécialisées, certes, mais ça peut être un frein pour une entreprise qui veut juste comparer rapidement les coûts sans s'engager tout de suite dans une discussion commerciale. 
- Speaker #0Oui, ce manque de transparence sur les prix peut le buter un peu au début, c'est vrai. D'autres points ? 
- Speaker #1Oui, comme on l'a dit, même si la note sur l'App Store est bonne, le nombre d'avis publics qui sont vraiment détaillés, vérifiables, reste peut-être un peu limité par rapport aux plus de 2500 utilisateurs annoncés. Ça rend l'évaluation de la satisfaction globale un peu moins... Bétonnés qu'avec des milliers d'avis, par exemple. Mais le point le plus crucial, à mon avis, et d'ailleurs c'est souligné dans les sources elles-mêmes, c'est que l'outil, aussi bon soit-il, n'est pas une baguette magique. Son efficacité réelle dépend à 100%, ou presque, de son adoption et de son utilisation par les équipes sur le terrain. 
- Speaker #0Qu'est-ce que ça veut dire concrètement, cette dépendance à l'adoption ? C'est un point important, ça. 
- Speaker #1Ça veut dire que si les commerciaux ou les techniciens ne jouent pas le jeu, s'ils ne rentrent pas les infos correctement, régulièrement, Si les managers n'utilisent pas les tableaux de bord pour piloter vraiment, alors même le meilleur logiciel du monde ne donnera pas les résultats promis. L'outil fournit le cadre, les fonctionnalités, ok, mais le succès, il vient de l'humain qui l'utilise au quotidien. Et ça, ça soulève des questions importantes sur l'accompagnement au changement, la formation des équipes, la culture d'entreprise aussi vis-à-vis de ces outils digitaux. Est-ce que l'entreprise est vraiment prête à intégrer cet outil au cœur de ses processus ? C'est la condition sine qua non en fait. 
- Speaker #0D'accord. Donc, si on prend tout ça en compte, quel serait le profil idéal d'entreprise pour qui, si BM Manager serait le plus pertinent, d'après ce qui ressort de notre analyse ? 
- Speaker #1Alors, le portrait robot qui se dessine, c'est celui d'une entreprise du bâtiment, de la rénovation ou des énergies renouvelables. Ça peut être une PME ou une structure déjà plus grande. Le point commun, c'est que leur principal défi, leur goulot d'étranglement actuel, c'est l'acquisition régulière et prévisible de nouveaux clients qualifiés. 
- Speaker #0Celles qui galèrent à trouver des chantiers de manière constante, en somme ? 
- Speaker #1Voilà. C'est particulièrement pertinent pour celles qui sentent que leur méthode traditionnelle de prospection s'essouffle un peu, ou qui dépendent trop de quelques apporteurs d'affaires. Celles aussi qui veulent structurer, systématiser leur approche commerciale pour améliorer leur taux de conversion. Et point important, celles qui voient la technologie non pas comme une contrainte administrative de plus, mais vraiment comme un accélérateur. Un investissement stratégique pour la croissance. 
- Speaker #0Une question d'état d'esprit aussi. 
- Speaker #1Tout à fait. 
- Speaker #0Et au-delà de l'outil tel qu'il est aujourd'hui, est-ce qu'on a une idée de la vision d'avenir de CBM Manager ? Ou est-ce que les fondateurs veulent emmener CBM Manager à terme ? 
- Speaker #1Oui, et elle est assez ambitieuse, d'après ce qu'on lit. Le fondateur ne voit pas CBM Manager comme une fin en soi, plutôt comme la première brique d'un projet beaucoup plus vaste. Créer un véritable écosystème digital pour les pros de l'habitat. Les plans qui sont évoqués, ça inclut l'intégration future d'une marketplace, pour faciliter les mises en relation entre différents corps de métier. ou avec des fournisseurs. 
- Speaker #0Ah oui, carrément ! 
- Speaker #1Mais aussi la création d'un espace de formation en ligne, spécifique aux enjeux du secteur, et même un forum communautaire, pour que les pros puissent échanger des bonnes pratiques. Réseau T 
- Speaker #0C'est une vision qui va bien au-delà d'un simple CRM, effectivement. Qu'est-ce qui soutient cette ambition ? C'est crédible. 
- Speaker #1Les sources mettent en avant deux éléments principaux pour appuyer ça. D'une part, l'expérience du fondateur. On parle de plus de 15 ans dans le commercial, la téléprospection, l'accompagnement d'entreprises dans leur digitalisation. Ça lui donnerait une certaine légitimité, une connaissance du terrain. Et d'autre part, un investissement financier déjà conséquent. Le chiffre de plus d'un million d'euros est mentionné comme ayant été investi dans le développement jusqu'à présent, et avec un effort continu d'amélioration. Il est aussi fait état d'une ouverture à des partenariats stratégiques, ou même à des levées de fonds pour accélérer le développement de cet écosystème. Ça montre une volonté de croissance rapide, et une conviction forte dans le potentiel de transformation digitale de ce secteur. 
- Speaker #2Bon, alors si on essaie de synthétiser un peu tout ce qu'on a exploré aujourd'hui sur CBM Manager... Ce qui ressort clairement, c'est que c'est une solution qui cherche vraiment à se différencier des CRM généralistes qu'on trouve partout. Son créneau, c'est clair. L'hyperspécialisation dans l'habitat, la rénovation énergétique. Et surtout, cette proposition de valeur axée sur la croissance, en intégrant la génération de leads qualifiées directement dans l'outil. Ça, c'est assez distinctif. 
- Speaker #1C'est exactement ça. Il combine cette fonction de moteur à prospect, si on peut dire, avec des fonctionnalités métiers très spécifiques. et une méthode de vente structurée, le TOR. tout supporté par l'outil lui-même. Les bénéfices qui sont mis en avant sont multiples. Gain d'efficacité pour les équipes, augmentation du volume et surtout de la qualité des opportunités commerciales, amélioration des taux de conversion et potentiellement une meilleure collaboration en interne et un suivi client plus rigoureux. Les retours utilisateurs qu'on a pu voir semblent en partie confirmer ces points, même s'il faut toujours garder à l'esprit ce point crucial de l'adoption interne pour que ça fonctionne vraiment. 
- Speaker #0Tout à fait. Et au final... cette exploration de CRM Manager, ça vous ramène peut-être à une question plus fondamentale. Une question un peu stratégique que toute entreprise dans ce secteur devrait se poser en évaluant ses outils, ses processus. Et c'est une question qui d'ailleurs est soulevée dans une des sources qu'on a consultées. 
- Speaker #1Oui, tout à fait. Cette question en substance, c'est est-ce que l'entreprise considère son CRM ou l'outil qui fait ce travail comme une simple ligne de dépense dans son budget ? Un outil administratif nécessaire mais plutôt passif ? qui sert juste à stocker de l'info ? Ou bien, est-ce qu'elle le voit comme un investissement actif, une pièce maîtresse de sa stratégie de croissance, un levier essentiel pour trouver, convaincre et fidéliser ses clients ? 
- Speaker #0La perception change tout. 
- Speaker #1Exactement. La manière dont une entreprise répond à cette question, ça conditionne probablement en profondeur ses choix technologiques et sa capacité à naviguer dans un marché qui, on le sait, évolue très très vite. C'est une réflexion intéressante à poursuivre pour tous les acteurs du secteur, je pense.