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Celle qui : coaching partagé au féminin pluriel

27. "celle qui"... souffle sa première bougie 🎂

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17min |07/01/2025
Play
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Celle qui : coaching partagé au féminin pluriel

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17min |07/01/2025
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Description

1 an que je vous murmure à l'oreille. Pour l'occasion un épisode un peu spécial et... plus confidentiel.

🎧 Dans cet épisode :
👉 Une année 2024 que j'ai détestée (avant de me raviser)
👉 Un détour par les coulisses de "celle qui" (plein de choses que vous ne savez pas)
👉 Le programme 2025


Enfin, pour recevoir le cahier d'exercice et mener à votre tour le bilan de votre année avant de vous projeter sur celle qui débute :

demandez-moi par mail : contact@cellest.fr


⭐ Si ce podcast vous plaît, laissez moi vos étoiles et un avis sur votre plateforme d’écoute préférée.

Cela aide énormément ! ⭐⭐⭐⭐⭐


💙 sur vous


🏁 Envie d'expérimenter gratuitement une démarche de coaching ?

Je vous ai préparé un petit parcours, rien que pour vous.

🎧 8 épisodes spéciaux de podcast

📒 7 cahiers d'exercice à télécharger.

💪 4 pensées puissantes

🎁 Un bonus "abonnée"


👉🏻 Retrouvez tous les détails juste ici 👈🏻

📩 Téléchargez les cahiers ici

⚡️ Un concentré d'idées fraîches 100% offertes pour construire vos petits et grands projets

 

🙋🏻‍♀️ Je suis Morgane Sibéril, coach professionnelle et fondatrice de Cellest.

J'accompagne les femmes audacieuses qui s'ignorent à prendre leur place dans leur développement personnel et leur évolution professionnelle.

Au travers d'expériences de vie concrètes revisitées en mode coaching, je vous partage des réflexions, des conseils, et des outils de coaching conçus pour vous aider à surmonter vos petits et grands défis.

J'y partage des idées pratiques pour explorer, oser et agir. Avec vous, je cultive un mindset efficace, inspiré et inspirant, pour vous permettre d'atteindre vos objectifs.

Qu'est-ce que vous trouverez ici ?

→ Des réflexions et des conseils pratiques pour accéder à de nouvelles ressources.

→ Des outils de coaching que j'utilise dans mes accompagnements et à emporter à la fin de chaque épisode.

→ Du partage concret inspiré de la vie : la mienne, la vôtre.

→ De l'humour et de l'optimisme car je ne sais pas faire autrement ;)


👉 Retrouvez-moi sur :

LinkedIn : @MorganeSibéril

Instagram : @morgane.cellest.coaching

Sur le site de cellest : www.cellest.fr

Ou en rendez-vous exploratoire : rendez-vous exploratoire de 30 minutes


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Celle qui, épisode 27, Celle qui souffle sa première bougie. Bienvenue à celles qui nous rejoignent pour écouter Celle qui, le podcast de celle qui osent se révéler. Moi, c'est Morgane, fondatrice de Cellest, et mon ambition, c'est de permettre à chaque femme qui rejoint la communauté Cellest de se révéler dans sa singularité, d'explorer son potentiel et ses ressources uniques pour créer l'expérience de vie qui lui ressemble. À chaque épisode, je vous partage un instantané de vie, revisité dans une approche coaching, et quelques-unes de mes clés de lecture pour nous permettre de relever nos petits et grands défis. et devenir celles que nous sommes. Maintenant, montez le son, place à l'épisode ! Je vous retrouve pour ce premier épisode de l'année, une année que je vous souhaite entourée de ce qui compte et de ceux, qui comptent pour vous, rempli de moments et d'expériences inoubliables et bien sûr, de tous les projets qui vous réaliseront et surtout, surtout, l'envie et le feu de les réaliser. En ce 27e épisode, je suis heureuse de célébrer avec vous la première année de ce podcast. Pour l'occasion, je vais vous faire partager un peu les coulisses de celle qui, de cette première année qui s'achève à celle qui débute pour continuer à enrichir votre expérience d'écoute. Tout ce que je vais vous partager aujourd'hui l'a été à la faveur de mon bilan global de fin d'année, également première année de vie pour Céleste. De cet exercice de bilan que je me suis appliqué, j'en ai fait un livret d'exercices que je vous partage avec plaisir sur simple demande. Je vous dis comment à la fin de cet épisode. Mais avant cela, petit retour sur cette première année de Celle qui, le coaching partagé. Tout d'abord, un précis sur le nom, Celle qui. Certains d'entre vous avec qui j'ai discuté ont tout de suite reconnu la référence chère à ma génération Premier indice, je suis du millésime 1982, mais cette référence balayera sans problème les natifs de 1975 à 1985. Deuxième indice, 1996. Peut-être l'avez-vous ? Il s'agit de la série Friends. J'avais donc 14 ans lors de sa première diffusion en France, et depuis, elle est et est restée une de mes références. Une série que je peux encore regarder avec délice, sans jamais me lasser. Un bonbon au miel les jours de grisaille. Eh bien, le titre de chaque épisode débutait par "the one who", autrement dit, celui ou celle qui, suivi du thème de l'épisode. Le neutre n'étant pas de mise dans notre belle langue française, j'ai choisi, en croisant avec une amie lors du brainstorming de baptême, "celle qui". Un choix qui présentait le double avantage, premièrement de porter une invitation très directe à mon audience de prédilection, les femmes, que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle, (aparté, mais je sais aussi que je suis écoutée par des hommes, c'est dire si l'inspiration dépasse l'ambition). Deuxièmement, un petit clin d'œil à Cellest, le nom de mon entité, mon alter ego, qui regroupe tous les accompagnements que je propose. Mais ce n'est pas tout. "Celle qui" est une invitation à revisiter nos expériences de vie en y apportant un supplément de coaching. À l'exception de cet épisode un peu particulier, J'ai systématiquement débuté chaque épisode en vous projetant dans une ou plusieurs situations concrètes par la séquence commençant par ce mot "imaginez" suivi de 3 à 4 illustrations concrètes pour vous emmener avec moi. Ces illustrations sont toutes inspirées des accompagnements de coaching que j'ai menés, mais aussi de mes expériences personnelles. Elles sont le point de départ de l'approche narrative, que j'affectionne tout particulièrement. L'idée est, dans cette approche, de partir de vous, d'où vous en êtes concrètement, de vous rencontrer là où vous êtes à l'instant T, sans jugement de ce qui a été ou de ce qui sera. Au travers de chaque épisode, j'ai voulu, à ma manière, vous accompagner pour travailler votre propre narration, votre propre histoire. Et à la fin de chaque épisode, enfin, je vous guide jusqu'à une réflexion, une pensée, un outil utile pour vous permettre de dépasser ou transformer la situation de départ en une nouvelle destination. À chaque fois, C'est presque une confidence que je vous partage, car bien sûr, chaque épisode écrit l'a été en y mettant une part de moi. Donc derrière ce nom de baptême, "celle qui", ce podcast incarne à merveille bien des facettes de celle que je suis au quotidien. Maintenant, petit détour par les coulisses de ce podcast que je construis et réalise seule too, depuis donc maintenant un an. Un tête-à-tête avec mon Mac, mon micro Yeti Blue et mon casque Marshall. Ça, c'est pour le décor. Minimaliste, mais à ce stade, ça me suffit. Chaque épisode est construit sur un format court de 15 minutes que je n'ai pas choisi par hasard. Notre temps est précieux et j'ai fait le choix de ce format pour pouvoir le glisser dans ces temps que j'appelle interstitiels. Entre quelques stations de bus ou de métro, sur le trajet en voiture après avoir déposé les enfants à l'école, dans le sas de sortie après le travail, au cours d'une pause café ou déjeuner, ou même le soir. avant de vous endormir. Et sur ce point, je sais que j'ai vu juste. Je le sais grâce au retour que vous m'en avez fait, mais aussi aux statistiques d'écoute des plateformes sur lesquelles je diffuse. Apple Podcasts, Spotify, Deezer et YouTube pour les plus importantes. Je sais donc que vous m'écoutez principalement le matin, mais aussi sur la pause du midi et le soir, parfois assez tard. Si je suis très majoritairement écoutée en France, notamment à Paris, à Lyon, à Lille et à Bordeaux. Je l'ai également été en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Colombie, mais aussi aux Etats-Unis et à Singapour. On m'aurait dit ça il y a un an, je n'y aurais pas cru. Une chose dont je n'avais pas ou pas bien conscience en débutant il y a un an, c'était l'investissement en temps. Vous me direz, 15 minutes à chaque épisode, ça va. J'aimerais vous dire que je n'ai qu'à me poser devant mon micro et enregistrer, mais impossible. Si je veux vous proposer un contenu de qualité et de la valeur pour vous, pas de mystère et peu de place à l'improvisation. Le temps de préparation est incontournable. Car pour arriver à se concentrer de 15 minutes, il y a un paquet d'étapes et autant de temps coefficient multiplicateur maximum. Dans ma démarche de bilan, je me suis prêtée à ce petit exercice. et après avoir fait le décompte des temps de recherche et d'écriture, le bloc le plus important, car tout ce que je vous partage a été scripté, relu, vocalisé et retouché pour assurer le rythme et la cohérence, les temps d'enregistrement, de sous-titrage ajusté, car oui, tous les épisodes ont la fonction sous-titrage, parfois de contenu annexe, je pense aux cahierx d'exercice à télécharger des huit épisodes de cet été, enfin de diffusion et de communication, ce podcast a représenté à lui seul près de 200 heures de travail l'année passée. J'avoue que j'ai eu un petit temps d'arrêt en faisant le sous-total, mais je crois même que je suis un peu en dessous de la réalité. Et pourtant, non, rien de rien, je ne regrette rien. Aucune des minutes que j'y ai consacrées. Car en investissant ce temps, et au-delà de contribuer à mon échelle, à faire rayonner et rendre accessible le coaching, j'ai aussi investi sur moi. à affiner mes connaissances, à enrichir mes références et mes ressources, à reformuler à ma manière, de façon illustrée et avec une touche d'humour, des concepts pour mieux me les approprier et ainsi vous les partager. Au final, ces 200 heures m'ont, je pense, permise de devenir une meilleure praticienne, plus haute et plus solide dans ma posture. J'ai aussi développé des compétences que je ne soupçonnais pas, en technique, en montage, en communication sur les réseaux sociaux. On peut penser que c'est accessoire et bien éloigné de mon cœur de métier. Eh bien, je vais vous dire, c'est peut-être un des plus beaux apprentissages de cette expérience. Me retrouver à patauger dans un logiciel inconnu, à fulminer parfois sur un plantage de PC, à imaginer le parcours d'écoute, les contenus annexes, à travailler 1001 façons, parfois jusqu'à l'overdose, un post LinkedIn, tout ceci m'a enseigné quelque chose de très, très précieux. Une pensée... que je vous partageais déjà dans l'épisode 2, "celle qui dépassait ses limites", et l'épisode 21, "celle qui ne lâchait rien". Se faire confiance, non pour savoir, mais pour apprendre. C'est cultiver un état d'esprit de développement sans limites qui vous permettra de pouvoir toujours compter sur vous. Cette pensée, je l'ai tellement expérimentée que je peux vous dire aujourd'hui qu'elle est une de mes plus grandes ressources. Si vous la combinez avec la curiosité et la créativité, aucun des obstacles qui se dressera entre vous et votre vision ne pourra y résister. Seuls ceux qui abandonnent échouent. Testé, éprouvé et approuvé à 200%. Alors, à la lumière de ce bilan, quand je regarde dans le rétro celle d'il y a un an, qui proposait son premier épisode, "celle qui ose", le plus écouté à ce jour, je me dis que l'expérience a été belle et d'une grande richesse, et que la Morgane d'il y a un an a eu raison de suivre son intuition. Oui, elle parle un peu d'elle à la troisième personne, n'y voyez aucun égo mal passé, tout au plus un clin d'œil. à l'un de nos disparus 2024, Alain Delon. Un égo que je mets d'autant plus de côté que je vous livre cette confidence. Cette année n'a pas été linéaire, loin de là. Si 2023 avait été l'année de tous les possibles, 2024 aurait été celle de tous les doutes. Doute : C'est le mot qui est ressorti le plus en marqueur de cette année lorsque j'en ai fait le bilan. En début d'année, lorsque j'ai douté de la voix, que je prenais sur LinkedIn, à la suite d'un feedback que j'ai mal géré. En mars, lorsque j'ai douté de la place que je pouvais prendre au sein d'un collectif de femmes formidables, mais qui lui-même se cherchait. En juin, lorsque j'ai douté de réussir à signer ce client important. En août, lorsque j'ai douté et même craint pour la sécurité de ma mère. En septembre, lorsque j'ai cru devoir abandonner Cellest. Une année que j'avais imaginée en pente ascendante et qui s'est révélée plus en plats et en vallées. En faisant ce bilan, m'est revenue une citation de l'académicien Jean D'ormesson, un homme d'une élégance rare qui parlait comme un murmure de sagesse. Il disait ceci.

  • Speaker #1

    Écoutez, je n'ai jamais cessé d'être heureux. Vous savez, il y a une phrase que j'ai souvent répétée. Merci pour les roses, merci pour les épines. La vie n'est pas une fête perpétuelle. C'est une vallée de larmes, mais c'est aussi... Une vallée rose. Et si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses. Et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes.

  • Speaker #0

    Des roses et des épines, indissociables. Et c'est cet exercice de bilan qui m'a finalement permise de remettre en perspective mes roses et mes épines, en comprenant ce qui s'était joué derrière ce doute. La peur de prendre une place qui n'était pas la mienne. La culpabilité d'un deuil que je me suis acharnée à penser qu'il aurait pu être évité. Le ressentiment d'une relation depuis trop longtemps malmenée. Autant de cailloux que je ne voulais pas voir et qui m'empêchaient pourtant d'avancer. Et je me suis souvenu d'une lecture de cet été, un livre de Christophe André que j'avais depuis quelque temps dans ma bibliothèque et qui est tombé à mes pieds en plein rangement estival, intitulé "Et n'oublie pas d'être heureux" Cette interpellation littéraire, presque une imploration de lecture, a piqué ma curiosité. Les synchronicités m'interpellent toujours. J'ai donc parcouru ce livre, construit comme un abécédaire de la psychologie positive. À une certaine lettre C, dont je tairai le mot, son auteur nous explique que le souvenir d'une expérience douloureuse ne dépend pas de la quantité de douleur totale subie, mais de l'intensité de la douleur finale. Cette réflexion m'avait saisi. Et force était de constater que pour chacune de mes histoires dans mon histoire, la dernière note était restée à son seuil maximal, sinon de douleur, au moins d'inconfort. Je me suis alors mise en quête d'adoucir cette note pour ce que je ne pouvais plus changer. Au lieu de rêver d'une seule minute pour dire à mon cher disparu tout ce que je voulais lui dire, j'ai trouvé une photo ancienne capturant l'instant de cette minute. J'ai alors réalisé que j'avais déjà eu au moins... une minute et peut-être même 100 fois cette minute. Mes non-dits étaient en fait en évidence, juste là, sous mes yeux, figés sur argentique. J'ai senti le réconfort et la consolation de regarder cela sous un autre angle. Et pour les autres situations, celles que je pouvais encore changer, je me suis mise en quête de les réparer, de remettre du soin et de l'attention auprès de ma mère pour retisser les liens et nous rapprocher, dans un premier temps géographiquement. Il me reste enfin à choisir avec intention et à cultiver les relations au contact desquelles mes inspirations résonnent parfaitement pour trouver et me sentir à ma juste place et avec elles nourrir mes plus belles contributions. Ce que je vous partage là est un parfait exemple d'un bilan combiné à une approche narrative avec ces questions en toile de fond. Qu'est-ce que je veux faire de ça ? Qu'est-ce que je veux que cela raconte de mon histoire ? En posant ces questions, on prend conscience qu'on a le pouvoir d'écrire l'histoire que nous voulons raconter et emporter avec nous pour la suite. Au final, je peux maintenant regarder cette année comme une transition, une année charnière, tant sur le plan personnel que professionnel. Un tunnel de doute qui s'avère aujourd'hui être une passerelle vers l'avenir. Merci pour les roses, merci pour les épines. Comme je vous le disais en introduction, si l'exercice de bilan vous tente aussi, le début d'année est le deuxième meilleur créneau après celui de fin d'année, je peux vous adresser directement par mail ce livret d'exercice. Envoyez-moi simplement un mail à contact@cellest.fr A l'issue de cette première bougie de Celle qui, de Cellest, et forte de ce bilan, je peux écrire la suite de mon histoire. Cette suite sera faite d'une offre d'accompagnement renouvelée au menu de Cellest et avec elle de nouveaux partenariats qui se dessinent actuellement et avec lesquels j'ai hâte de collaborer. Pour ce podcast aussi, "Celle qui" continue avec des formats enrichis et diversifiés. En complément des épisodes "classiques" que vous connaissez maintenant et que je vous invite à écouter ou réécouter, diffusés le mardi toutes les deux semaines, je vous proposerai des formats plus courts, dits capsules pour un petit boost d'énergie entre deux séquences. Mais aussi des formats interview plus longs, dans lesquels je recevrai des femmes, des girls next door, comme vous et moi, qui ont réussi ce petit truc en plus, pour vous inspirer à trouver à votre tour votre petit truc en plus. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour ne pas manquer nos prochains rendez-vous du mardi, je vous invite à vous y abonner. Vous recevrez ainsi directement la notification lors de la diffusion des prochains épisodes. Si ce podcast vous plaît, que vous voudriez que j'y développe certains thèmes qui vous intéressent, dites-le moi au lien de contact en descriptif ou sur le site de Cellest. Vous pouvez aussi laisser vos étoiles et un avis sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous pensez qu'il peut être utile à d'autres femmes merveilleuses qui vous entourent, n'hésitez pas à le leur recommander. On se retrouve au prochain épisode, même heure, même endroit. Et d'ici là, prenez bien soin de vous.

Description

1 an que je vous murmure à l'oreille. Pour l'occasion un épisode un peu spécial et... plus confidentiel.

🎧 Dans cet épisode :
👉 Une année 2024 que j'ai détestée (avant de me raviser)
👉 Un détour par les coulisses de "celle qui" (plein de choses que vous ne savez pas)
👉 Le programme 2025


Enfin, pour recevoir le cahier d'exercice et mener à votre tour le bilan de votre année avant de vous projeter sur celle qui débute :

demandez-moi par mail : contact@cellest.fr


⭐ Si ce podcast vous plaît, laissez moi vos étoiles et un avis sur votre plateforme d’écoute préférée.

Cela aide énormément ! ⭐⭐⭐⭐⭐


💙 sur vous


🏁 Envie d'expérimenter gratuitement une démarche de coaching ?

Je vous ai préparé un petit parcours, rien que pour vous.

🎧 8 épisodes spéciaux de podcast

📒 7 cahiers d'exercice à télécharger.

💪 4 pensées puissantes

🎁 Un bonus "abonnée"


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⚡️ Un concentré d'idées fraîches 100% offertes pour construire vos petits et grands projets

 

🙋🏻‍♀️ Je suis Morgane Sibéril, coach professionnelle et fondatrice de Cellest.

J'accompagne les femmes audacieuses qui s'ignorent à prendre leur place dans leur développement personnel et leur évolution professionnelle.

Au travers d'expériences de vie concrètes revisitées en mode coaching, je vous partage des réflexions, des conseils, et des outils de coaching conçus pour vous aider à surmonter vos petits et grands défis.

J'y partage des idées pratiques pour explorer, oser et agir. Avec vous, je cultive un mindset efficace, inspiré et inspirant, pour vous permettre d'atteindre vos objectifs.

Qu'est-ce que vous trouverez ici ?

→ Des réflexions et des conseils pratiques pour accéder à de nouvelles ressources.

→ Des outils de coaching que j'utilise dans mes accompagnements et à emporter à la fin de chaque épisode.

→ Du partage concret inspiré de la vie : la mienne, la vôtre.

→ De l'humour et de l'optimisme car je ne sais pas faire autrement ;)


👉 Retrouvez-moi sur :

LinkedIn : @MorganeSibéril

Instagram : @morgane.cellest.coaching

Sur le site de cellest : www.cellest.fr

Ou en rendez-vous exploratoire : rendez-vous exploratoire de 30 minutes


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Celle qui, épisode 27, Celle qui souffle sa première bougie. Bienvenue à celles qui nous rejoignent pour écouter Celle qui, le podcast de celle qui osent se révéler. Moi, c'est Morgane, fondatrice de Cellest, et mon ambition, c'est de permettre à chaque femme qui rejoint la communauté Cellest de se révéler dans sa singularité, d'explorer son potentiel et ses ressources uniques pour créer l'expérience de vie qui lui ressemble. À chaque épisode, je vous partage un instantané de vie, revisité dans une approche coaching, et quelques-unes de mes clés de lecture pour nous permettre de relever nos petits et grands défis. et devenir celles que nous sommes. Maintenant, montez le son, place à l'épisode ! Je vous retrouve pour ce premier épisode de l'année, une année que je vous souhaite entourée de ce qui compte et de ceux, qui comptent pour vous, rempli de moments et d'expériences inoubliables et bien sûr, de tous les projets qui vous réaliseront et surtout, surtout, l'envie et le feu de les réaliser. En ce 27e épisode, je suis heureuse de célébrer avec vous la première année de ce podcast. Pour l'occasion, je vais vous faire partager un peu les coulisses de celle qui, de cette première année qui s'achève à celle qui débute pour continuer à enrichir votre expérience d'écoute. Tout ce que je vais vous partager aujourd'hui l'a été à la faveur de mon bilan global de fin d'année, également première année de vie pour Céleste. De cet exercice de bilan que je me suis appliqué, j'en ai fait un livret d'exercices que je vous partage avec plaisir sur simple demande. Je vous dis comment à la fin de cet épisode. Mais avant cela, petit retour sur cette première année de Celle qui, le coaching partagé. Tout d'abord, un précis sur le nom, Celle qui. Certains d'entre vous avec qui j'ai discuté ont tout de suite reconnu la référence chère à ma génération Premier indice, je suis du millésime 1982, mais cette référence balayera sans problème les natifs de 1975 à 1985. Deuxième indice, 1996. Peut-être l'avez-vous ? Il s'agit de la série Friends. J'avais donc 14 ans lors de sa première diffusion en France, et depuis, elle est et est restée une de mes références. Une série que je peux encore regarder avec délice, sans jamais me lasser. Un bonbon au miel les jours de grisaille. Eh bien, le titre de chaque épisode débutait par "the one who", autrement dit, celui ou celle qui, suivi du thème de l'épisode. Le neutre n'étant pas de mise dans notre belle langue française, j'ai choisi, en croisant avec une amie lors du brainstorming de baptême, "celle qui". Un choix qui présentait le double avantage, premièrement de porter une invitation très directe à mon audience de prédilection, les femmes, que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle, (aparté, mais je sais aussi que je suis écoutée par des hommes, c'est dire si l'inspiration dépasse l'ambition). Deuxièmement, un petit clin d'œil à Cellest, le nom de mon entité, mon alter ego, qui regroupe tous les accompagnements que je propose. Mais ce n'est pas tout. "Celle qui" est une invitation à revisiter nos expériences de vie en y apportant un supplément de coaching. À l'exception de cet épisode un peu particulier, J'ai systématiquement débuté chaque épisode en vous projetant dans une ou plusieurs situations concrètes par la séquence commençant par ce mot "imaginez" suivi de 3 à 4 illustrations concrètes pour vous emmener avec moi. Ces illustrations sont toutes inspirées des accompagnements de coaching que j'ai menés, mais aussi de mes expériences personnelles. Elles sont le point de départ de l'approche narrative, que j'affectionne tout particulièrement. L'idée est, dans cette approche, de partir de vous, d'où vous en êtes concrètement, de vous rencontrer là où vous êtes à l'instant T, sans jugement de ce qui a été ou de ce qui sera. Au travers de chaque épisode, j'ai voulu, à ma manière, vous accompagner pour travailler votre propre narration, votre propre histoire. Et à la fin de chaque épisode, enfin, je vous guide jusqu'à une réflexion, une pensée, un outil utile pour vous permettre de dépasser ou transformer la situation de départ en une nouvelle destination. À chaque fois, C'est presque une confidence que je vous partage, car bien sûr, chaque épisode écrit l'a été en y mettant une part de moi. Donc derrière ce nom de baptême, "celle qui", ce podcast incarne à merveille bien des facettes de celle que je suis au quotidien. Maintenant, petit détour par les coulisses de ce podcast que je construis et réalise seule too, depuis donc maintenant un an. Un tête-à-tête avec mon Mac, mon micro Yeti Blue et mon casque Marshall. Ça, c'est pour le décor. Minimaliste, mais à ce stade, ça me suffit. Chaque épisode est construit sur un format court de 15 minutes que je n'ai pas choisi par hasard. Notre temps est précieux et j'ai fait le choix de ce format pour pouvoir le glisser dans ces temps que j'appelle interstitiels. Entre quelques stations de bus ou de métro, sur le trajet en voiture après avoir déposé les enfants à l'école, dans le sas de sortie après le travail, au cours d'une pause café ou déjeuner, ou même le soir. avant de vous endormir. Et sur ce point, je sais que j'ai vu juste. Je le sais grâce au retour que vous m'en avez fait, mais aussi aux statistiques d'écoute des plateformes sur lesquelles je diffuse. Apple Podcasts, Spotify, Deezer et YouTube pour les plus importantes. Je sais donc que vous m'écoutez principalement le matin, mais aussi sur la pause du midi et le soir, parfois assez tard. Si je suis très majoritairement écoutée en France, notamment à Paris, à Lyon, à Lille et à Bordeaux. Je l'ai également été en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Colombie, mais aussi aux Etats-Unis et à Singapour. On m'aurait dit ça il y a un an, je n'y aurais pas cru. Une chose dont je n'avais pas ou pas bien conscience en débutant il y a un an, c'était l'investissement en temps. Vous me direz, 15 minutes à chaque épisode, ça va. J'aimerais vous dire que je n'ai qu'à me poser devant mon micro et enregistrer, mais impossible. Si je veux vous proposer un contenu de qualité et de la valeur pour vous, pas de mystère et peu de place à l'improvisation. Le temps de préparation est incontournable. Car pour arriver à se concentrer de 15 minutes, il y a un paquet d'étapes et autant de temps coefficient multiplicateur maximum. Dans ma démarche de bilan, je me suis prêtée à ce petit exercice. et après avoir fait le décompte des temps de recherche et d'écriture, le bloc le plus important, car tout ce que je vous partage a été scripté, relu, vocalisé et retouché pour assurer le rythme et la cohérence, les temps d'enregistrement, de sous-titrage ajusté, car oui, tous les épisodes ont la fonction sous-titrage, parfois de contenu annexe, je pense aux cahierx d'exercice à télécharger des huit épisodes de cet été, enfin de diffusion et de communication, ce podcast a représenté à lui seul près de 200 heures de travail l'année passée. J'avoue que j'ai eu un petit temps d'arrêt en faisant le sous-total, mais je crois même que je suis un peu en dessous de la réalité. Et pourtant, non, rien de rien, je ne regrette rien. Aucune des minutes que j'y ai consacrées. Car en investissant ce temps, et au-delà de contribuer à mon échelle, à faire rayonner et rendre accessible le coaching, j'ai aussi investi sur moi. à affiner mes connaissances, à enrichir mes références et mes ressources, à reformuler à ma manière, de façon illustrée et avec une touche d'humour, des concepts pour mieux me les approprier et ainsi vous les partager. Au final, ces 200 heures m'ont, je pense, permise de devenir une meilleure praticienne, plus haute et plus solide dans ma posture. J'ai aussi développé des compétences que je ne soupçonnais pas, en technique, en montage, en communication sur les réseaux sociaux. On peut penser que c'est accessoire et bien éloigné de mon cœur de métier. Eh bien, je vais vous dire, c'est peut-être un des plus beaux apprentissages de cette expérience. Me retrouver à patauger dans un logiciel inconnu, à fulminer parfois sur un plantage de PC, à imaginer le parcours d'écoute, les contenus annexes, à travailler 1001 façons, parfois jusqu'à l'overdose, un post LinkedIn, tout ceci m'a enseigné quelque chose de très, très précieux. Une pensée... que je vous partageais déjà dans l'épisode 2, "celle qui dépassait ses limites", et l'épisode 21, "celle qui ne lâchait rien". Se faire confiance, non pour savoir, mais pour apprendre. C'est cultiver un état d'esprit de développement sans limites qui vous permettra de pouvoir toujours compter sur vous. Cette pensée, je l'ai tellement expérimentée que je peux vous dire aujourd'hui qu'elle est une de mes plus grandes ressources. Si vous la combinez avec la curiosité et la créativité, aucun des obstacles qui se dressera entre vous et votre vision ne pourra y résister. Seuls ceux qui abandonnent échouent. Testé, éprouvé et approuvé à 200%. Alors, à la lumière de ce bilan, quand je regarde dans le rétro celle d'il y a un an, qui proposait son premier épisode, "celle qui ose", le plus écouté à ce jour, je me dis que l'expérience a été belle et d'une grande richesse, et que la Morgane d'il y a un an a eu raison de suivre son intuition. Oui, elle parle un peu d'elle à la troisième personne, n'y voyez aucun égo mal passé, tout au plus un clin d'œil. à l'un de nos disparus 2024, Alain Delon. Un égo que je mets d'autant plus de côté que je vous livre cette confidence. Cette année n'a pas été linéaire, loin de là. Si 2023 avait été l'année de tous les possibles, 2024 aurait été celle de tous les doutes. Doute : C'est le mot qui est ressorti le plus en marqueur de cette année lorsque j'en ai fait le bilan. En début d'année, lorsque j'ai douté de la voix, que je prenais sur LinkedIn, à la suite d'un feedback que j'ai mal géré. En mars, lorsque j'ai douté de la place que je pouvais prendre au sein d'un collectif de femmes formidables, mais qui lui-même se cherchait. En juin, lorsque j'ai douté de réussir à signer ce client important. En août, lorsque j'ai douté et même craint pour la sécurité de ma mère. En septembre, lorsque j'ai cru devoir abandonner Cellest. Une année que j'avais imaginée en pente ascendante et qui s'est révélée plus en plats et en vallées. En faisant ce bilan, m'est revenue une citation de l'académicien Jean D'ormesson, un homme d'une élégance rare qui parlait comme un murmure de sagesse. Il disait ceci.

  • Speaker #1

    Écoutez, je n'ai jamais cessé d'être heureux. Vous savez, il y a une phrase que j'ai souvent répétée. Merci pour les roses, merci pour les épines. La vie n'est pas une fête perpétuelle. C'est une vallée de larmes, mais c'est aussi... Une vallée rose. Et si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses. Et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes.

  • Speaker #0

    Des roses et des épines, indissociables. Et c'est cet exercice de bilan qui m'a finalement permise de remettre en perspective mes roses et mes épines, en comprenant ce qui s'était joué derrière ce doute. La peur de prendre une place qui n'était pas la mienne. La culpabilité d'un deuil que je me suis acharnée à penser qu'il aurait pu être évité. Le ressentiment d'une relation depuis trop longtemps malmenée. Autant de cailloux que je ne voulais pas voir et qui m'empêchaient pourtant d'avancer. Et je me suis souvenu d'une lecture de cet été, un livre de Christophe André que j'avais depuis quelque temps dans ma bibliothèque et qui est tombé à mes pieds en plein rangement estival, intitulé "Et n'oublie pas d'être heureux" Cette interpellation littéraire, presque une imploration de lecture, a piqué ma curiosité. Les synchronicités m'interpellent toujours. J'ai donc parcouru ce livre, construit comme un abécédaire de la psychologie positive. À une certaine lettre C, dont je tairai le mot, son auteur nous explique que le souvenir d'une expérience douloureuse ne dépend pas de la quantité de douleur totale subie, mais de l'intensité de la douleur finale. Cette réflexion m'avait saisi. Et force était de constater que pour chacune de mes histoires dans mon histoire, la dernière note était restée à son seuil maximal, sinon de douleur, au moins d'inconfort. Je me suis alors mise en quête d'adoucir cette note pour ce que je ne pouvais plus changer. Au lieu de rêver d'une seule minute pour dire à mon cher disparu tout ce que je voulais lui dire, j'ai trouvé une photo ancienne capturant l'instant de cette minute. J'ai alors réalisé que j'avais déjà eu au moins... une minute et peut-être même 100 fois cette minute. Mes non-dits étaient en fait en évidence, juste là, sous mes yeux, figés sur argentique. J'ai senti le réconfort et la consolation de regarder cela sous un autre angle. Et pour les autres situations, celles que je pouvais encore changer, je me suis mise en quête de les réparer, de remettre du soin et de l'attention auprès de ma mère pour retisser les liens et nous rapprocher, dans un premier temps géographiquement. Il me reste enfin à choisir avec intention et à cultiver les relations au contact desquelles mes inspirations résonnent parfaitement pour trouver et me sentir à ma juste place et avec elles nourrir mes plus belles contributions. Ce que je vous partage là est un parfait exemple d'un bilan combiné à une approche narrative avec ces questions en toile de fond. Qu'est-ce que je veux faire de ça ? Qu'est-ce que je veux que cela raconte de mon histoire ? En posant ces questions, on prend conscience qu'on a le pouvoir d'écrire l'histoire que nous voulons raconter et emporter avec nous pour la suite. Au final, je peux maintenant regarder cette année comme une transition, une année charnière, tant sur le plan personnel que professionnel. Un tunnel de doute qui s'avère aujourd'hui être une passerelle vers l'avenir. Merci pour les roses, merci pour les épines. Comme je vous le disais en introduction, si l'exercice de bilan vous tente aussi, le début d'année est le deuxième meilleur créneau après celui de fin d'année, je peux vous adresser directement par mail ce livret d'exercice. Envoyez-moi simplement un mail à contact@cellest.fr A l'issue de cette première bougie de Celle qui, de Cellest, et forte de ce bilan, je peux écrire la suite de mon histoire. Cette suite sera faite d'une offre d'accompagnement renouvelée au menu de Cellest et avec elle de nouveaux partenariats qui se dessinent actuellement et avec lesquels j'ai hâte de collaborer. Pour ce podcast aussi, "Celle qui" continue avec des formats enrichis et diversifiés. En complément des épisodes "classiques" que vous connaissez maintenant et que je vous invite à écouter ou réécouter, diffusés le mardi toutes les deux semaines, je vous proposerai des formats plus courts, dits capsules pour un petit boost d'énergie entre deux séquences. Mais aussi des formats interview plus longs, dans lesquels je recevrai des femmes, des girls next door, comme vous et moi, qui ont réussi ce petit truc en plus, pour vous inspirer à trouver à votre tour votre petit truc en plus. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour ne pas manquer nos prochains rendez-vous du mardi, je vous invite à vous y abonner. Vous recevrez ainsi directement la notification lors de la diffusion des prochains épisodes. Si ce podcast vous plaît, que vous voudriez que j'y développe certains thèmes qui vous intéressent, dites-le moi au lien de contact en descriptif ou sur le site de Cellest. Vous pouvez aussi laisser vos étoiles et un avis sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous pensez qu'il peut être utile à d'autres femmes merveilleuses qui vous entourent, n'hésitez pas à le leur recommander. On se retrouve au prochain épisode, même heure, même endroit. Et d'ici là, prenez bien soin de vous.

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Description

1 an que je vous murmure à l'oreille. Pour l'occasion un épisode un peu spécial et... plus confidentiel.

🎧 Dans cet épisode :
👉 Une année 2024 que j'ai détestée (avant de me raviser)
👉 Un détour par les coulisses de "celle qui" (plein de choses que vous ne savez pas)
👉 Le programme 2025


Enfin, pour recevoir le cahier d'exercice et mener à votre tour le bilan de votre année avant de vous projeter sur celle qui débute :

demandez-moi par mail : contact@cellest.fr


⭐ Si ce podcast vous plaît, laissez moi vos étoiles et un avis sur votre plateforme d’écoute préférée.

Cela aide énormément ! ⭐⭐⭐⭐⭐


💙 sur vous


🏁 Envie d'expérimenter gratuitement une démarche de coaching ?

Je vous ai préparé un petit parcours, rien que pour vous.

🎧 8 épisodes spéciaux de podcast

📒 7 cahiers d'exercice à télécharger.

💪 4 pensées puissantes

🎁 Un bonus "abonnée"


👉🏻 Retrouvez tous les détails juste ici 👈🏻

📩 Téléchargez les cahiers ici

⚡️ Un concentré d'idées fraîches 100% offertes pour construire vos petits et grands projets

 

🙋🏻‍♀️ Je suis Morgane Sibéril, coach professionnelle et fondatrice de Cellest.

J'accompagne les femmes audacieuses qui s'ignorent à prendre leur place dans leur développement personnel et leur évolution professionnelle.

Au travers d'expériences de vie concrètes revisitées en mode coaching, je vous partage des réflexions, des conseils, et des outils de coaching conçus pour vous aider à surmonter vos petits et grands défis.

J'y partage des idées pratiques pour explorer, oser et agir. Avec vous, je cultive un mindset efficace, inspiré et inspirant, pour vous permettre d'atteindre vos objectifs.

Qu'est-ce que vous trouverez ici ?

→ Des réflexions et des conseils pratiques pour accéder à de nouvelles ressources.

→ Des outils de coaching que j'utilise dans mes accompagnements et à emporter à la fin de chaque épisode.

→ Du partage concret inspiré de la vie : la mienne, la vôtre.

→ De l'humour et de l'optimisme car je ne sais pas faire autrement ;)


👉 Retrouvez-moi sur :

LinkedIn : @MorganeSibéril

Instagram : @morgane.cellest.coaching

Sur le site de cellest : www.cellest.fr

Ou en rendez-vous exploratoire : rendez-vous exploratoire de 30 minutes


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Celle qui, épisode 27, Celle qui souffle sa première bougie. Bienvenue à celles qui nous rejoignent pour écouter Celle qui, le podcast de celle qui osent se révéler. Moi, c'est Morgane, fondatrice de Cellest, et mon ambition, c'est de permettre à chaque femme qui rejoint la communauté Cellest de se révéler dans sa singularité, d'explorer son potentiel et ses ressources uniques pour créer l'expérience de vie qui lui ressemble. À chaque épisode, je vous partage un instantané de vie, revisité dans une approche coaching, et quelques-unes de mes clés de lecture pour nous permettre de relever nos petits et grands défis. et devenir celles que nous sommes. Maintenant, montez le son, place à l'épisode ! Je vous retrouve pour ce premier épisode de l'année, une année que je vous souhaite entourée de ce qui compte et de ceux, qui comptent pour vous, rempli de moments et d'expériences inoubliables et bien sûr, de tous les projets qui vous réaliseront et surtout, surtout, l'envie et le feu de les réaliser. En ce 27e épisode, je suis heureuse de célébrer avec vous la première année de ce podcast. Pour l'occasion, je vais vous faire partager un peu les coulisses de celle qui, de cette première année qui s'achève à celle qui débute pour continuer à enrichir votre expérience d'écoute. Tout ce que je vais vous partager aujourd'hui l'a été à la faveur de mon bilan global de fin d'année, également première année de vie pour Céleste. De cet exercice de bilan que je me suis appliqué, j'en ai fait un livret d'exercices que je vous partage avec plaisir sur simple demande. Je vous dis comment à la fin de cet épisode. Mais avant cela, petit retour sur cette première année de Celle qui, le coaching partagé. Tout d'abord, un précis sur le nom, Celle qui. Certains d'entre vous avec qui j'ai discuté ont tout de suite reconnu la référence chère à ma génération Premier indice, je suis du millésime 1982, mais cette référence balayera sans problème les natifs de 1975 à 1985. Deuxième indice, 1996. Peut-être l'avez-vous ? Il s'agit de la série Friends. J'avais donc 14 ans lors de sa première diffusion en France, et depuis, elle est et est restée une de mes références. Une série que je peux encore regarder avec délice, sans jamais me lasser. Un bonbon au miel les jours de grisaille. Eh bien, le titre de chaque épisode débutait par "the one who", autrement dit, celui ou celle qui, suivi du thème de l'épisode. Le neutre n'étant pas de mise dans notre belle langue française, j'ai choisi, en croisant avec une amie lors du brainstorming de baptême, "celle qui". Un choix qui présentait le double avantage, premièrement de porter une invitation très directe à mon audience de prédilection, les femmes, que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle, (aparté, mais je sais aussi que je suis écoutée par des hommes, c'est dire si l'inspiration dépasse l'ambition). Deuxièmement, un petit clin d'œil à Cellest, le nom de mon entité, mon alter ego, qui regroupe tous les accompagnements que je propose. Mais ce n'est pas tout. "Celle qui" est une invitation à revisiter nos expériences de vie en y apportant un supplément de coaching. À l'exception de cet épisode un peu particulier, J'ai systématiquement débuté chaque épisode en vous projetant dans une ou plusieurs situations concrètes par la séquence commençant par ce mot "imaginez" suivi de 3 à 4 illustrations concrètes pour vous emmener avec moi. Ces illustrations sont toutes inspirées des accompagnements de coaching que j'ai menés, mais aussi de mes expériences personnelles. Elles sont le point de départ de l'approche narrative, que j'affectionne tout particulièrement. L'idée est, dans cette approche, de partir de vous, d'où vous en êtes concrètement, de vous rencontrer là où vous êtes à l'instant T, sans jugement de ce qui a été ou de ce qui sera. Au travers de chaque épisode, j'ai voulu, à ma manière, vous accompagner pour travailler votre propre narration, votre propre histoire. Et à la fin de chaque épisode, enfin, je vous guide jusqu'à une réflexion, une pensée, un outil utile pour vous permettre de dépasser ou transformer la situation de départ en une nouvelle destination. À chaque fois, C'est presque une confidence que je vous partage, car bien sûr, chaque épisode écrit l'a été en y mettant une part de moi. Donc derrière ce nom de baptême, "celle qui", ce podcast incarne à merveille bien des facettes de celle que je suis au quotidien. Maintenant, petit détour par les coulisses de ce podcast que je construis et réalise seule too, depuis donc maintenant un an. Un tête-à-tête avec mon Mac, mon micro Yeti Blue et mon casque Marshall. Ça, c'est pour le décor. Minimaliste, mais à ce stade, ça me suffit. Chaque épisode est construit sur un format court de 15 minutes que je n'ai pas choisi par hasard. Notre temps est précieux et j'ai fait le choix de ce format pour pouvoir le glisser dans ces temps que j'appelle interstitiels. Entre quelques stations de bus ou de métro, sur le trajet en voiture après avoir déposé les enfants à l'école, dans le sas de sortie après le travail, au cours d'une pause café ou déjeuner, ou même le soir. avant de vous endormir. Et sur ce point, je sais que j'ai vu juste. Je le sais grâce au retour que vous m'en avez fait, mais aussi aux statistiques d'écoute des plateformes sur lesquelles je diffuse. Apple Podcasts, Spotify, Deezer et YouTube pour les plus importantes. Je sais donc que vous m'écoutez principalement le matin, mais aussi sur la pause du midi et le soir, parfois assez tard. Si je suis très majoritairement écoutée en France, notamment à Paris, à Lyon, à Lille et à Bordeaux. Je l'ai également été en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Colombie, mais aussi aux Etats-Unis et à Singapour. On m'aurait dit ça il y a un an, je n'y aurais pas cru. Une chose dont je n'avais pas ou pas bien conscience en débutant il y a un an, c'était l'investissement en temps. Vous me direz, 15 minutes à chaque épisode, ça va. J'aimerais vous dire que je n'ai qu'à me poser devant mon micro et enregistrer, mais impossible. Si je veux vous proposer un contenu de qualité et de la valeur pour vous, pas de mystère et peu de place à l'improvisation. Le temps de préparation est incontournable. Car pour arriver à se concentrer de 15 minutes, il y a un paquet d'étapes et autant de temps coefficient multiplicateur maximum. Dans ma démarche de bilan, je me suis prêtée à ce petit exercice. et après avoir fait le décompte des temps de recherche et d'écriture, le bloc le plus important, car tout ce que je vous partage a été scripté, relu, vocalisé et retouché pour assurer le rythme et la cohérence, les temps d'enregistrement, de sous-titrage ajusté, car oui, tous les épisodes ont la fonction sous-titrage, parfois de contenu annexe, je pense aux cahierx d'exercice à télécharger des huit épisodes de cet été, enfin de diffusion et de communication, ce podcast a représenté à lui seul près de 200 heures de travail l'année passée. J'avoue que j'ai eu un petit temps d'arrêt en faisant le sous-total, mais je crois même que je suis un peu en dessous de la réalité. Et pourtant, non, rien de rien, je ne regrette rien. Aucune des minutes que j'y ai consacrées. Car en investissant ce temps, et au-delà de contribuer à mon échelle, à faire rayonner et rendre accessible le coaching, j'ai aussi investi sur moi. à affiner mes connaissances, à enrichir mes références et mes ressources, à reformuler à ma manière, de façon illustrée et avec une touche d'humour, des concepts pour mieux me les approprier et ainsi vous les partager. Au final, ces 200 heures m'ont, je pense, permise de devenir une meilleure praticienne, plus haute et plus solide dans ma posture. J'ai aussi développé des compétences que je ne soupçonnais pas, en technique, en montage, en communication sur les réseaux sociaux. On peut penser que c'est accessoire et bien éloigné de mon cœur de métier. Eh bien, je vais vous dire, c'est peut-être un des plus beaux apprentissages de cette expérience. Me retrouver à patauger dans un logiciel inconnu, à fulminer parfois sur un plantage de PC, à imaginer le parcours d'écoute, les contenus annexes, à travailler 1001 façons, parfois jusqu'à l'overdose, un post LinkedIn, tout ceci m'a enseigné quelque chose de très, très précieux. Une pensée... que je vous partageais déjà dans l'épisode 2, "celle qui dépassait ses limites", et l'épisode 21, "celle qui ne lâchait rien". Se faire confiance, non pour savoir, mais pour apprendre. C'est cultiver un état d'esprit de développement sans limites qui vous permettra de pouvoir toujours compter sur vous. Cette pensée, je l'ai tellement expérimentée que je peux vous dire aujourd'hui qu'elle est une de mes plus grandes ressources. Si vous la combinez avec la curiosité et la créativité, aucun des obstacles qui se dressera entre vous et votre vision ne pourra y résister. Seuls ceux qui abandonnent échouent. Testé, éprouvé et approuvé à 200%. Alors, à la lumière de ce bilan, quand je regarde dans le rétro celle d'il y a un an, qui proposait son premier épisode, "celle qui ose", le plus écouté à ce jour, je me dis que l'expérience a été belle et d'une grande richesse, et que la Morgane d'il y a un an a eu raison de suivre son intuition. Oui, elle parle un peu d'elle à la troisième personne, n'y voyez aucun égo mal passé, tout au plus un clin d'œil. à l'un de nos disparus 2024, Alain Delon. Un égo que je mets d'autant plus de côté que je vous livre cette confidence. Cette année n'a pas été linéaire, loin de là. Si 2023 avait été l'année de tous les possibles, 2024 aurait été celle de tous les doutes. Doute : C'est le mot qui est ressorti le plus en marqueur de cette année lorsque j'en ai fait le bilan. En début d'année, lorsque j'ai douté de la voix, que je prenais sur LinkedIn, à la suite d'un feedback que j'ai mal géré. En mars, lorsque j'ai douté de la place que je pouvais prendre au sein d'un collectif de femmes formidables, mais qui lui-même se cherchait. En juin, lorsque j'ai douté de réussir à signer ce client important. En août, lorsque j'ai douté et même craint pour la sécurité de ma mère. En septembre, lorsque j'ai cru devoir abandonner Cellest. Une année que j'avais imaginée en pente ascendante et qui s'est révélée plus en plats et en vallées. En faisant ce bilan, m'est revenue une citation de l'académicien Jean D'ormesson, un homme d'une élégance rare qui parlait comme un murmure de sagesse. Il disait ceci.

  • Speaker #1

    Écoutez, je n'ai jamais cessé d'être heureux. Vous savez, il y a une phrase que j'ai souvent répétée. Merci pour les roses, merci pour les épines. La vie n'est pas une fête perpétuelle. C'est une vallée de larmes, mais c'est aussi... Une vallée rose. Et si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses. Et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes.

  • Speaker #0

    Des roses et des épines, indissociables. Et c'est cet exercice de bilan qui m'a finalement permise de remettre en perspective mes roses et mes épines, en comprenant ce qui s'était joué derrière ce doute. La peur de prendre une place qui n'était pas la mienne. La culpabilité d'un deuil que je me suis acharnée à penser qu'il aurait pu être évité. Le ressentiment d'une relation depuis trop longtemps malmenée. Autant de cailloux que je ne voulais pas voir et qui m'empêchaient pourtant d'avancer. Et je me suis souvenu d'une lecture de cet été, un livre de Christophe André que j'avais depuis quelque temps dans ma bibliothèque et qui est tombé à mes pieds en plein rangement estival, intitulé "Et n'oublie pas d'être heureux" Cette interpellation littéraire, presque une imploration de lecture, a piqué ma curiosité. Les synchronicités m'interpellent toujours. J'ai donc parcouru ce livre, construit comme un abécédaire de la psychologie positive. À une certaine lettre C, dont je tairai le mot, son auteur nous explique que le souvenir d'une expérience douloureuse ne dépend pas de la quantité de douleur totale subie, mais de l'intensité de la douleur finale. Cette réflexion m'avait saisi. Et force était de constater que pour chacune de mes histoires dans mon histoire, la dernière note était restée à son seuil maximal, sinon de douleur, au moins d'inconfort. Je me suis alors mise en quête d'adoucir cette note pour ce que je ne pouvais plus changer. Au lieu de rêver d'une seule minute pour dire à mon cher disparu tout ce que je voulais lui dire, j'ai trouvé une photo ancienne capturant l'instant de cette minute. J'ai alors réalisé que j'avais déjà eu au moins... une minute et peut-être même 100 fois cette minute. Mes non-dits étaient en fait en évidence, juste là, sous mes yeux, figés sur argentique. J'ai senti le réconfort et la consolation de regarder cela sous un autre angle. Et pour les autres situations, celles que je pouvais encore changer, je me suis mise en quête de les réparer, de remettre du soin et de l'attention auprès de ma mère pour retisser les liens et nous rapprocher, dans un premier temps géographiquement. Il me reste enfin à choisir avec intention et à cultiver les relations au contact desquelles mes inspirations résonnent parfaitement pour trouver et me sentir à ma juste place et avec elles nourrir mes plus belles contributions. Ce que je vous partage là est un parfait exemple d'un bilan combiné à une approche narrative avec ces questions en toile de fond. Qu'est-ce que je veux faire de ça ? Qu'est-ce que je veux que cela raconte de mon histoire ? En posant ces questions, on prend conscience qu'on a le pouvoir d'écrire l'histoire que nous voulons raconter et emporter avec nous pour la suite. Au final, je peux maintenant regarder cette année comme une transition, une année charnière, tant sur le plan personnel que professionnel. Un tunnel de doute qui s'avère aujourd'hui être une passerelle vers l'avenir. Merci pour les roses, merci pour les épines. Comme je vous le disais en introduction, si l'exercice de bilan vous tente aussi, le début d'année est le deuxième meilleur créneau après celui de fin d'année, je peux vous adresser directement par mail ce livret d'exercice. Envoyez-moi simplement un mail à contact@cellest.fr A l'issue de cette première bougie de Celle qui, de Cellest, et forte de ce bilan, je peux écrire la suite de mon histoire. Cette suite sera faite d'une offre d'accompagnement renouvelée au menu de Cellest et avec elle de nouveaux partenariats qui se dessinent actuellement et avec lesquels j'ai hâte de collaborer. Pour ce podcast aussi, "Celle qui" continue avec des formats enrichis et diversifiés. En complément des épisodes "classiques" que vous connaissez maintenant et que je vous invite à écouter ou réécouter, diffusés le mardi toutes les deux semaines, je vous proposerai des formats plus courts, dits capsules pour un petit boost d'énergie entre deux séquences. Mais aussi des formats interview plus longs, dans lesquels je recevrai des femmes, des girls next door, comme vous et moi, qui ont réussi ce petit truc en plus, pour vous inspirer à trouver à votre tour votre petit truc en plus. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour ne pas manquer nos prochains rendez-vous du mardi, je vous invite à vous y abonner. Vous recevrez ainsi directement la notification lors de la diffusion des prochains épisodes. Si ce podcast vous plaît, que vous voudriez que j'y développe certains thèmes qui vous intéressent, dites-le moi au lien de contact en descriptif ou sur le site de Cellest. Vous pouvez aussi laisser vos étoiles et un avis sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous pensez qu'il peut être utile à d'autres femmes merveilleuses qui vous entourent, n'hésitez pas à le leur recommander. On se retrouve au prochain épisode, même heure, même endroit. Et d'ici là, prenez bien soin de vous.

Description

1 an que je vous murmure à l'oreille. Pour l'occasion un épisode un peu spécial et... plus confidentiel.

🎧 Dans cet épisode :
👉 Une année 2024 que j'ai détestée (avant de me raviser)
👉 Un détour par les coulisses de "celle qui" (plein de choses que vous ne savez pas)
👉 Le programme 2025


Enfin, pour recevoir le cahier d'exercice et mener à votre tour le bilan de votre année avant de vous projeter sur celle qui débute :

demandez-moi par mail : contact@cellest.fr


⭐ Si ce podcast vous plaît, laissez moi vos étoiles et un avis sur votre plateforme d’écoute préférée.

Cela aide énormément ! ⭐⭐⭐⭐⭐


💙 sur vous


🏁 Envie d'expérimenter gratuitement une démarche de coaching ?

Je vous ai préparé un petit parcours, rien que pour vous.

🎧 8 épisodes spéciaux de podcast

📒 7 cahiers d'exercice à télécharger.

💪 4 pensées puissantes

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👉🏻 Retrouvez tous les détails juste ici 👈🏻

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⚡️ Un concentré d'idées fraîches 100% offertes pour construire vos petits et grands projets

 

🙋🏻‍♀️ Je suis Morgane Sibéril, coach professionnelle et fondatrice de Cellest.

J'accompagne les femmes audacieuses qui s'ignorent à prendre leur place dans leur développement personnel et leur évolution professionnelle.

Au travers d'expériences de vie concrètes revisitées en mode coaching, je vous partage des réflexions, des conseils, et des outils de coaching conçus pour vous aider à surmonter vos petits et grands défis.

J'y partage des idées pratiques pour explorer, oser et agir. Avec vous, je cultive un mindset efficace, inspiré et inspirant, pour vous permettre d'atteindre vos objectifs.

Qu'est-ce que vous trouverez ici ?

→ Des réflexions et des conseils pratiques pour accéder à de nouvelles ressources.

→ Des outils de coaching que j'utilise dans mes accompagnements et à emporter à la fin de chaque épisode.

→ Du partage concret inspiré de la vie : la mienne, la vôtre.

→ De l'humour et de l'optimisme car je ne sais pas faire autrement ;)


👉 Retrouvez-moi sur :

LinkedIn : @MorganeSibéril

Instagram : @morgane.cellest.coaching

Sur le site de cellest : www.cellest.fr

Ou en rendez-vous exploratoire : rendez-vous exploratoire de 30 minutes


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Celle qui, épisode 27, Celle qui souffle sa première bougie. Bienvenue à celles qui nous rejoignent pour écouter Celle qui, le podcast de celle qui osent se révéler. Moi, c'est Morgane, fondatrice de Cellest, et mon ambition, c'est de permettre à chaque femme qui rejoint la communauté Cellest de se révéler dans sa singularité, d'explorer son potentiel et ses ressources uniques pour créer l'expérience de vie qui lui ressemble. À chaque épisode, je vous partage un instantané de vie, revisité dans une approche coaching, et quelques-unes de mes clés de lecture pour nous permettre de relever nos petits et grands défis. et devenir celles que nous sommes. Maintenant, montez le son, place à l'épisode ! Je vous retrouve pour ce premier épisode de l'année, une année que je vous souhaite entourée de ce qui compte et de ceux, qui comptent pour vous, rempli de moments et d'expériences inoubliables et bien sûr, de tous les projets qui vous réaliseront et surtout, surtout, l'envie et le feu de les réaliser. En ce 27e épisode, je suis heureuse de célébrer avec vous la première année de ce podcast. Pour l'occasion, je vais vous faire partager un peu les coulisses de celle qui, de cette première année qui s'achève à celle qui débute pour continuer à enrichir votre expérience d'écoute. Tout ce que je vais vous partager aujourd'hui l'a été à la faveur de mon bilan global de fin d'année, également première année de vie pour Céleste. De cet exercice de bilan que je me suis appliqué, j'en ai fait un livret d'exercices que je vous partage avec plaisir sur simple demande. Je vous dis comment à la fin de cet épisode. Mais avant cela, petit retour sur cette première année de Celle qui, le coaching partagé. Tout d'abord, un précis sur le nom, Celle qui. Certains d'entre vous avec qui j'ai discuté ont tout de suite reconnu la référence chère à ma génération Premier indice, je suis du millésime 1982, mais cette référence balayera sans problème les natifs de 1975 à 1985. Deuxième indice, 1996. Peut-être l'avez-vous ? Il s'agit de la série Friends. J'avais donc 14 ans lors de sa première diffusion en France, et depuis, elle est et est restée une de mes références. Une série que je peux encore regarder avec délice, sans jamais me lasser. Un bonbon au miel les jours de grisaille. Eh bien, le titre de chaque épisode débutait par "the one who", autrement dit, celui ou celle qui, suivi du thème de l'épisode. Le neutre n'étant pas de mise dans notre belle langue française, j'ai choisi, en croisant avec une amie lors du brainstorming de baptême, "celle qui". Un choix qui présentait le double avantage, premièrement de porter une invitation très directe à mon audience de prédilection, les femmes, que ce soit dans leur vie personnelle ou professionnelle, (aparté, mais je sais aussi que je suis écoutée par des hommes, c'est dire si l'inspiration dépasse l'ambition). Deuxièmement, un petit clin d'œil à Cellest, le nom de mon entité, mon alter ego, qui regroupe tous les accompagnements que je propose. Mais ce n'est pas tout. "Celle qui" est une invitation à revisiter nos expériences de vie en y apportant un supplément de coaching. À l'exception de cet épisode un peu particulier, J'ai systématiquement débuté chaque épisode en vous projetant dans une ou plusieurs situations concrètes par la séquence commençant par ce mot "imaginez" suivi de 3 à 4 illustrations concrètes pour vous emmener avec moi. Ces illustrations sont toutes inspirées des accompagnements de coaching que j'ai menés, mais aussi de mes expériences personnelles. Elles sont le point de départ de l'approche narrative, que j'affectionne tout particulièrement. L'idée est, dans cette approche, de partir de vous, d'où vous en êtes concrètement, de vous rencontrer là où vous êtes à l'instant T, sans jugement de ce qui a été ou de ce qui sera. Au travers de chaque épisode, j'ai voulu, à ma manière, vous accompagner pour travailler votre propre narration, votre propre histoire. Et à la fin de chaque épisode, enfin, je vous guide jusqu'à une réflexion, une pensée, un outil utile pour vous permettre de dépasser ou transformer la situation de départ en une nouvelle destination. À chaque fois, C'est presque une confidence que je vous partage, car bien sûr, chaque épisode écrit l'a été en y mettant une part de moi. Donc derrière ce nom de baptême, "celle qui", ce podcast incarne à merveille bien des facettes de celle que je suis au quotidien. Maintenant, petit détour par les coulisses de ce podcast que je construis et réalise seule too, depuis donc maintenant un an. Un tête-à-tête avec mon Mac, mon micro Yeti Blue et mon casque Marshall. Ça, c'est pour le décor. Minimaliste, mais à ce stade, ça me suffit. Chaque épisode est construit sur un format court de 15 minutes que je n'ai pas choisi par hasard. Notre temps est précieux et j'ai fait le choix de ce format pour pouvoir le glisser dans ces temps que j'appelle interstitiels. Entre quelques stations de bus ou de métro, sur le trajet en voiture après avoir déposé les enfants à l'école, dans le sas de sortie après le travail, au cours d'une pause café ou déjeuner, ou même le soir. avant de vous endormir. Et sur ce point, je sais que j'ai vu juste. Je le sais grâce au retour que vous m'en avez fait, mais aussi aux statistiques d'écoute des plateformes sur lesquelles je diffuse. Apple Podcasts, Spotify, Deezer et YouTube pour les plus importantes. Je sais donc que vous m'écoutez principalement le matin, mais aussi sur la pause du midi et le soir, parfois assez tard. Si je suis très majoritairement écoutée en France, notamment à Paris, à Lyon, à Lille et à Bordeaux. Je l'ai également été en Allemagne, en Italie, au Royaume-Uni, en Espagne, en Belgique, en Suisse, en Colombie, mais aussi aux Etats-Unis et à Singapour. On m'aurait dit ça il y a un an, je n'y aurais pas cru. Une chose dont je n'avais pas ou pas bien conscience en débutant il y a un an, c'était l'investissement en temps. Vous me direz, 15 minutes à chaque épisode, ça va. J'aimerais vous dire que je n'ai qu'à me poser devant mon micro et enregistrer, mais impossible. Si je veux vous proposer un contenu de qualité et de la valeur pour vous, pas de mystère et peu de place à l'improvisation. Le temps de préparation est incontournable. Car pour arriver à se concentrer de 15 minutes, il y a un paquet d'étapes et autant de temps coefficient multiplicateur maximum. Dans ma démarche de bilan, je me suis prêtée à ce petit exercice. et après avoir fait le décompte des temps de recherche et d'écriture, le bloc le plus important, car tout ce que je vous partage a été scripté, relu, vocalisé et retouché pour assurer le rythme et la cohérence, les temps d'enregistrement, de sous-titrage ajusté, car oui, tous les épisodes ont la fonction sous-titrage, parfois de contenu annexe, je pense aux cahierx d'exercice à télécharger des huit épisodes de cet été, enfin de diffusion et de communication, ce podcast a représenté à lui seul près de 200 heures de travail l'année passée. J'avoue que j'ai eu un petit temps d'arrêt en faisant le sous-total, mais je crois même que je suis un peu en dessous de la réalité. Et pourtant, non, rien de rien, je ne regrette rien. Aucune des minutes que j'y ai consacrées. Car en investissant ce temps, et au-delà de contribuer à mon échelle, à faire rayonner et rendre accessible le coaching, j'ai aussi investi sur moi. à affiner mes connaissances, à enrichir mes références et mes ressources, à reformuler à ma manière, de façon illustrée et avec une touche d'humour, des concepts pour mieux me les approprier et ainsi vous les partager. Au final, ces 200 heures m'ont, je pense, permise de devenir une meilleure praticienne, plus haute et plus solide dans ma posture. J'ai aussi développé des compétences que je ne soupçonnais pas, en technique, en montage, en communication sur les réseaux sociaux. On peut penser que c'est accessoire et bien éloigné de mon cœur de métier. Eh bien, je vais vous dire, c'est peut-être un des plus beaux apprentissages de cette expérience. Me retrouver à patauger dans un logiciel inconnu, à fulminer parfois sur un plantage de PC, à imaginer le parcours d'écoute, les contenus annexes, à travailler 1001 façons, parfois jusqu'à l'overdose, un post LinkedIn, tout ceci m'a enseigné quelque chose de très, très précieux. Une pensée... que je vous partageais déjà dans l'épisode 2, "celle qui dépassait ses limites", et l'épisode 21, "celle qui ne lâchait rien". Se faire confiance, non pour savoir, mais pour apprendre. C'est cultiver un état d'esprit de développement sans limites qui vous permettra de pouvoir toujours compter sur vous. Cette pensée, je l'ai tellement expérimentée que je peux vous dire aujourd'hui qu'elle est une de mes plus grandes ressources. Si vous la combinez avec la curiosité et la créativité, aucun des obstacles qui se dressera entre vous et votre vision ne pourra y résister. Seuls ceux qui abandonnent échouent. Testé, éprouvé et approuvé à 200%. Alors, à la lumière de ce bilan, quand je regarde dans le rétro celle d'il y a un an, qui proposait son premier épisode, "celle qui ose", le plus écouté à ce jour, je me dis que l'expérience a été belle et d'une grande richesse, et que la Morgane d'il y a un an a eu raison de suivre son intuition. Oui, elle parle un peu d'elle à la troisième personne, n'y voyez aucun égo mal passé, tout au plus un clin d'œil. à l'un de nos disparus 2024, Alain Delon. Un égo que je mets d'autant plus de côté que je vous livre cette confidence. Cette année n'a pas été linéaire, loin de là. Si 2023 avait été l'année de tous les possibles, 2024 aurait été celle de tous les doutes. Doute : C'est le mot qui est ressorti le plus en marqueur de cette année lorsque j'en ai fait le bilan. En début d'année, lorsque j'ai douté de la voix, que je prenais sur LinkedIn, à la suite d'un feedback que j'ai mal géré. En mars, lorsque j'ai douté de la place que je pouvais prendre au sein d'un collectif de femmes formidables, mais qui lui-même se cherchait. En juin, lorsque j'ai douté de réussir à signer ce client important. En août, lorsque j'ai douté et même craint pour la sécurité de ma mère. En septembre, lorsque j'ai cru devoir abandonner Cellest. Une année que j'avais imaginée en pente ascendante et qui s'est révélée plus en plats et en vallées. En faisant ce bilan, m'est revenue une citation de l'académicien Jean D'ormesson, un homme d'une élégance rare qui parlait comme un murmure de sagesse. Il disait ceci.

  • Speaker #1

    Écoutez, je n'ai jamais cessé d'être heureux. Vous savez, il y a une phrase que j'ai souvent répétée. Merci pour les roses, merci pour les épines. La vie n'est pas une fête perpétuelle. C'est une vallée de larmes, mais c'est aussi... Une vallée rose. Et si vous parlez des larmes, il ne faut pas oublier les roses. Et si vous parlez des roses, il ne faut pas oublier les larmes.

  • Speaker #0

    Des roses et des épines, indissociables. Et c'est cet exercice de bilan qui m'a finalement permise de remettre en perspective mes roses et mes épines, en comprenant ce qui s'était joué derrière ce doute. La peur de prendre une place qui n'était pas la mienne. La culpabilité d'un deuil que je me suis acharnée à penser qu'il aurait pu être évité. Le ressentiment d'une relation depuis trop longtemps malmenée. Autant de cailloux que je ne voulais pas voir et qui m'empêchaient pourtant d'avancer. Et je me suis souvenu d'une lecture de cet été, un livre de Christophe André que j'avais depuis quelque temps dans ma bibliothèque et qui est tombé à mes pieds en plein rangement estival, intitulé "Et n'oublie pas d'être heureux" Cette interpellation littéraire, presque une imploration de lecture, a piqué ma curiosité. Les synchronicités m'interpellent toujours. J'ai donc parcouru ce livre, construit comme un abécédaire de la psychologie positive. À une certaine lettre C, dont je tairai le mot, son auteur nous explique que le souvenir d'une expérience douloureuse ne dépend pas de la quantité de douleur totale subie, mais de l'intensité de la douleur finale. Cette réflexion m'avait saisi. Et force était de constater que pour chacune de mes histoires dans mon histoire, la dernière note était restée à son seuil maximal, sinon de douleur, au moins d'inconfort. Je me suis alors mise en quête d'adoucir cette note pour ce que je ne pouvais plus changer. Au lieu de rêver d'une seule minute pour dire à mon cher disparu tout ce que je voulais lui dire, j'ai trouvé une photo ancienne capturant l'instant de cette minute. J'ai alors réalisé que j'avais déjà eu au moins... une minute et peut-être même 100 fois cette minute. Mes non-dits étaient en fait en évidence, juste là, sous mes yeux, figés sur argentique. J'ai senti le réconfort et la consolation de regarder cela sous un autre angle. Et pour les autres situations, celles que je pouvais encore changer, je me suis mise en quête de les réparer, de remettre du soin et de l'attention auprès de ma mère pour retisser les liens et nous rapprocher, dans un premier temps géographiquement. Il me reste enfin à choisir avec intention et à cultiver les relations au contact desquelles mes inspirations résonnent parfaitement pour trouver et me sentir à ma juste place et avec elles nourrir mes plus belles contributions. Ce que je vous partage là est un parfait exemple d'un bilan combiné à une approche narrative avec ces questions en toile de fond. Qu'est-ce que je veux faire de ça ? Qu'est-ce que je veux que cela raconte de mon histoire ? En posant ces questions, on prend conscience qu'on a le pouvoir d'écrire l'histoire que nous voulons raconter et emporter avec nous pour la suite. Au final, je peux maintenant regarder cette année comme une transition, une année charnière, tant sur le plan personnel que professionnel. Un tunnel de doute qui s'avère aujourd'hui être une passerelle vers l'avenir. Merci pour les roses, merci pour les épines. Comme je vous le disais en introduction, si l'exercice de bilan vous tente aussi, le début d'année est le deuxième meilleur créneau après celui de fin d'année, je peux vous adresser directement par mail ce livret d'exercice. Envoyez-moi simplement un mail à contact@cellest.fr A l'issue de cette première bougie de Celle qui, de Cellest, et forte de ce bilan, je peux écrire la suite de mon histoire. Cette suite sera faite d'une offre d'accompagnement renouvelée au menu de Cellest et avec elle de nouveaux partenariats qui se dessinent actuellement et avec lesquels j'ai hâte de collaborer. Pour ce podcast aussi, "Celle qui" continue avec des formats enrichis et diversifiés. En complément des épisodes "classiques" que vous connaissez maintenant et que je vous invite à écouter ou réécouter, diffusés le mardi toutes les deux semaines, je vous proposerai des formats plus courts, dits capsules pour un petit boost d'énergie entre deux séquences. Mais aussi des formats interview plus longs, dans lesquels je recevrai des femmes, des girls next door, comme vous et moi, qui ont réussi ce petit truc en plus, pour vous inspirer à trouver à votre tour votre petit truc en plus. Merci d'avoir écouté cet épisode. Pour ne pas manquer nos prochains rendez-vous du mardi, je vous invite à vous y abonner. Vous recevrez ainsi directement la notification lors de la diffusion des prochains épisodes. Si ce podcast vous plaît, que vous voudriez que j'y développe certains thèmes qui vous intéressent, dites-le moi au lien de contact en descriptif ou sur le site de Cellest. Vous pouvez aussi laisser vos étoiles et un avis sur votre plateforme d'écoute préférée. Et si vous pensez qu'il peut être utile à d'autres femmes merveilleuses qui vous entourent, n'hésitez pas à le leur recommander. On se retrouve au prochain épisode, même heure, même endroit. Et d'ici là, prenez bien soin de vous.

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