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Coaching intégratif & Transformation, le podcast de Nathalie Lourdel - EAR Ecole un Autre Regard, Ecole de coaching pour HPI, atypiques...

Ces cages invisibles qui nous emprisonnent…

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16min |20/11/2025
Play
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Coaching intégratif & Transformation, le podcast de Nathalie Lourdel - EAR Ecole un Autre Regard, Ecole de coaching pour HPI, atypiques...

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16min |20/11/2025
Play

Description

🎙️ Ces cages invisibles qui nous emprisonnent…

Avez-vous déjà entendu cette petite voix intérieure murmurer :
👉 « Ce n’est pas pour toi. »
👉 « Tu n’y arriveras pas. »
👉 « Tu n’en as pas les capacités. »


Ces phrases ont l’air anodines. Pourtant, elles forgent ce que j’appelle des cages invisibles : des prisons mentales et émotionnelles que nous construisons nous-mêmes.
Elles ne nous retiennent pas physiquement, mais elles nous persuadent que la liberté n’existe pas au-delà de leurs murs.

En coaching, j’entends souvent des #hautsPotentiels, #atypiques, #HPI me dire : « J’aimerais, mais ce n’est pas possible pour moi. » « Je n’ai pas le profil, pas assez de compétences. »


Et quand je demande : « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? », il n’y a souvent aucune preuve tangible. Seulement une croyance ancienne, une peur, une histoire répétée depuis trop longtemps.


Dans ce nouvel épisode du podcast « Et si je m’écoutais vraiment ? », je vous invite à explorer ces croyances limitantes à travers les 5 dimensions du coaching intégratif :
le Corps, le Cœur, le Cerveau, la Conscience et la Créativité.


Parce que sortir de ses cages invisibles,
c’est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main.


➡️ D’où viennent ces croyances qui nous enferment ?
➡️ Comment les repérer dans nos postures, nos émotions, nos pensées ?
➡️ Et surtout, comment retrouver la liberté de rêver, d’agir, de choisir ?


🌿 Dans cet épisode, je vous partage des expériences, des outils et des pistes concrètes pour :

·       sentir vos blocages dans le corps,

·       interroger vos pensées automatiques,

·       apaiser les émotions

·       libérer votre créativité,

·       et élargir votre champ de conscience.

Un voyage pour transformer vos croyances 
Parce qu’au fond, le problème n’est jamais la réalité, mais l’histoire que nous nous racontons sur elle.

Et si vous pouviez réécrire la vôtre ?



Nathalie Lourdel,

Docteure en Pédagogie & Transition écologique,

Coach intégrative, Superviseur,

Directrice de l’école de coaching EAR École un Autre Regard

 

Auteur de 3 livres :

HPI Comprendre et libérer les potentiels avec Matthieu Lassagne

Le Coaching, Edition AFNOR

Réussir sa transition écologie, se réinventer pour passer à l’action


Envie de se former au coaching intégratif ? D'en savoir plus sur l'école de coaching EAR :

https://ecole-coaching-professionnelle.com/ateliers-decouvertes-ecole-ear/


Pour aller plus loin des ressources vidéos, des articles : 

https://linktr.ee/nathalie.lourdel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si je m'écoutais vraiment, bienvenue dans ce podcast de coaching qui vous invite à faire une pause pour prendre soin de votre écologie personnelle. Je suis Nathalie Lourdel, coach et superviseur. J'ai créé il y a plus de 20 ans, Autrement, une société qui accompagne les transformations professionnelles. Je dirige aussi l'école de coaching EAR, l'école Un Autre Regard. Personnellement, je suis curieuse. J'aime évoluer, me questionner, grandir, et j'ai plaisir à accompagner les autres sur ce chemin. Vous êtes atypique, créatif, vous avez envie de déployer de nouveaux potentiels, vous êtes au bon endroit. Je vous emmène en voyage grâce au coaching intégratif. L'objectif ? Harmoniser votre corps, votre cœur, votre cerveau, pour libérer votre créativité et gagner en conscience. Parlons de ces cages invisibles qui nous empoisonnent. Tu n'y arriveras pas. Tu n'en as pas les capacités. Ces phrases, vous les avez déjà entendues, non ? Peut-être dans la bouche d'un proche, peut-être dans votre propre voix intérieure. Ces phrases créent des cages invisibles, des prisons sans barreaux, nous maintiennent captifs. Nous créons parfois, nous-mêmes, nos propres limitations. En coaching, je rencontre souvent des personnes atypiques, talentueuses, intelligentes, pleines de potentiel. qui me disent « j'aimerais bien, mais ce n'est pas possible pour moi » ou « je n'ai pas le profil » . Et quand je leur demande qu'est-ce qui leur fait dire ça, souvent, il n'y a aucune preuve tangible. Juste une conviction profonde, cette croyance ancrée, qui agit comme une barrière invisible. Ces croyances limitantes sont parmi les obstacles les plus puissants sur notre chemin de développement. Elles ne nous empêchent pas physiquement d'avancer, mais elles nous en dissuadent. si efficacement que nous restons immobiles, convaincus que l'espace se réduit à cette prise dans l'imaginaire. D'où viennent ces voix qui disent non avant même d'avoir essayé ? Comment se construisent ces cages mentales et émotionnelles ? Et surtout, comment en sortir pour retrouver notre liberté de choix, d'action et de rêve ? Bienvenue dans cet épisode où nous allons explorer ces croyances limitantes à travers les 5 C du coaching intégratif. Le corps, le cœur, le cerveau, la conscience et la créativité. Parce que sortir de ces cages invisibles, c'est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main. D'où viennent ces cages invisibles ? Les croyances limitantes sont diversifiées. Elles peuvent porter sur nos capacités, sur notre valeur, sur notre capacité à gagner de l'argent. Les croyances limitantes ne tombent pas du ciel. Elles se construisent patiemment au fil de notre histoire personnelle. Elles sont le fruit d'expériences mal digérées, de conclusions hâtives, de généralisations, ou de paroles reçues au mauvais moment parfois. Dans l'en-pense, elles ferment souvent à partir de phrases entendues, comme « Tu n'es pas douée pour ça » , « Les filles ne font pas ça » , « On n'a pas les moyens » . Parfois, ce sont des échecs mal accompagnés, une mauvaise note transformée en « Je suis nulle en maths » , une moquerie suite à une prise de parole qui devient un Je ne sais pas parler en public, je ne peux pas. C'est aussi des comparaisons répétées. Pour mon frère, lui, il réussit, créant la croyance que je ne vaux pas grand-chose par rapport à lui. Ces modèles familiaux sont transmis à l'âge adulte. Ils se renforcent s'ils n'ont jamais été remis en question. Je vous propose une petite histoire, celle d'un éléphant. Quand un éléphanteau est attaché à un pieu, il se débat. Il était libre avant. et d'un seul coup il se retrouve enchaîné par l'humain. Il essaye, il essaye encore, et au bout d'épuisement, il finit par renoncer. Effectivement, à son âge, il n'a pas encore la force pour se détacher. Par contre, adulte, il est toujours attaché à un petit pieu, mais il a ancré cette croyance qu'il ne pouvait pas s'en libérer. Il n'essaye même pas, alors qu'avec la force d'un éléphant adulte, il pourrait d'un coup de patte se libérer. La croyance acquise de l'éléphanto reste prédominante. Les mécanismes qui maintiennent cette cage invisible en place sont nombreux. L'interprétation. Un événement anodin peut devenir une preuve de notre imitation, par exemple. La généralisation. J'ai échoué une fois, donc j'échouais toujours. Parfois c'est une prophétie ou tôt le réalisatrice. Je suis convaincue d'échouer, donc je me sabote inconsciemment. Je vais même pas passer l'examen, par exemple. Ou je rate l'horaire de rendez-vous d'un entretien d'embauche. Une autre manière de maintenir la cage invisible. C'est la sélection de preuves. Nous ne voyons que ce qui confirme notre croyance initiale. Parfois, et je le vois en coaching, j'essaie même pas. Je ne tente pas, ce qui, par absence de résultat, confirme l'hypothèse « je ne pouvais pas » . Le plus troublant, ces caches sont tellement bien intégrées qu'elles nous semblent protectrices. Au moins, si je n'essaye pas, je ne risque pas d'échouer. Parfois, ces limitations deviennent une forme de refuge. Explorons maintenant comment les cinq dimensions du coaching intégratif peuvent nous aider à identifier et transformer nos croyances limitantes. Le corps, sentir les limites. Comment mon corps réagit quand je me confronte à une de mes croyances limitantes ? Parce qu'en effet, ces croyances ne sont pas seulement mentales. Elles s'incarnent, créent des tensions, des blocages physiques, qui renforcent le sentiment d'impuissance. Par exemple, des tensions dans la mâchoire, une respiration courte, une boule dans la gorge si je dois parler en public. Et du coup, ça confirme ma croyance que je ne peux pas faire ça. Cela aussi peut se manifester par une lourdeur, une sensation de portée, un fardeau invisible. L'envie de fuir, les jambes qui tremblent... Pour contrebalancer cela, je vous propose une petite expérience. Pensez à quelque chose que vous aimeriez faire, mais que vous vous interdisez. Observez votre corps. Que se passe-t-il ? Est-ce que la respiration change ? Est-ce que vos muscles se contractent ? Pour débloquer le corps, vous pouvez essayer des mouvements libérateurs. Par exemple, danser, marcher... gesticulez pour sortir de la rigidité. Essayez aussi une respiration expansive. Vous inspirez en pensant à l'énergie du soleil, comme pour vous regonfler en énergie. Vraiment, vous visualisez, vous pouvez ressentir la chaleur, la couleur, comme si à travers vos narines, vous recolorez votre intérieur. Et puis vous expirez, ce qui vous limite, la grisaille, les nuages. Et vous faites cet exercice aussi longtemps que nécessaire. pour que vous retrouviez une couleur intérieure agréable. En transformant notre posture, nous transformons notre état d'esprit. Si vous pensez quelques instants à une envie qui est pour l'instant bloquée, si vous regardez vos pieds, que se passe-t-il ? Généralement, plutôt des idées limitées. Prenez une grande inspiration avec cette couleur intérieure, de soleil, d'énergie. Regardez au loin, le plus loin possible. Vous pouvez vous mettre debout, ce sera plus confortable, les mains sur les hanches, dans une position de superman, superwoman. Et vraiment, projetez-vous au loin, respirez profondément et laissez venir les idées, souvent juste cela. Changer de posture permet de voir plus loin, permet de créer... Des ponts entre ici et demain. Je vous propose de passer au cerveau pour identifier et questionner ses croyances. Nous pouvons apprendre à notre cerveau à reconnaître ses propres pièges, à questionner ses automatismes, à ouvrir de nouveaux chemins neuronaux. Par exemple, vous pouvez traquer les généralisations. Dès qu'il y a toujours, jamais, il faut, vous pouvez être sûr que vous vous autobloquez. Alors tentez un questionnement libérateur. D'où vient cette idée ? Quelles sont les preuves du contraire ? Et que se passerait-il si c'était faux ? Une autre façon de contourner le cerveau, c'est de faire des reformulations transformatrices. Par exemple, je ne sais pas faire un podcast. Je n'ai pas encore appris à maîtriser la technique pour faire un podcast. J'ai peur d'échouer. Ça peut se transformer en « c'est important pour moi de réussir » . La formulation positive a vraiment aidé votre cerveau, parce que vous pouvez vous créer des autoroutes neuronales, les pensées qui conduisent au même endroit, toujours dans la même direction, mais vous pouvez aussi décider de sortir de l'autoroute, de prendre un chemin de travers. Chaque pensée divergente trace un nouveau chemin vers la liberté. Passons au cœur, guérir les blessures à l'origine de ses croyances. Souvent nos croyances limitantes protègent une blessure ancienne, une émotion désagréable que je n'ai pas envie de revivre. Si j'ai vécu des humiliations, je pense que si je me mente, on se moquera de moi, du coup je reste en ombre. J'évite de me mettre en avant ou de tenter des projets ambitieux. Passez par l'autocompassion, écoutez cette part blessée en vous, essayez de parler avec tendresse. Identifiez mes compétences, les moyens anticipés pour me protéger, quel que soit le résultat si je me lance dans ce nouveau projet. Vous pouvez aussi aller chercher dans votre entourage des encouragements, des soutiens. Quand je ressens des blocages internes, mais que je souhaite tout de même entreprendre, ça va être important de ne pas être seule. Vous pouvez demander l'aide d'un coach professionnel si nécessaire, bien sûr. Derrière chaque croyance limitante, il y a souvent des peugues et des émotions désagréables dont je cherche à me protéger. Et en avoir conscience, c'est déjà me libérer un peu. Passons au quatrième C, la créativité. Imaginez le nouveau possible. La créativité est l'antidote parfait aux croyances limitantes. Elle nous fait sortir du connu, de la logique, du binaire, pour explorer l'improbable. Avant de démarrer cette phase créative, c'est important de se mettre dans un bon état d'esprit. La détente, la pleine présence, être vraiment ici et maintenant. La méditation, la reconnexion au plaisir pour valoriser l'émergence créative sont aussi des clés. Par exemple... Moi, si je me retrouve dans une ambiance de groupe dégradé, je vais avoir aucune idée. certainement par peur qu'elle se fasse critiquer. Je me souviens dans une formation coaching où je participais, quelqu'un m'a dit « Non, c'est beaucoup trop créatif comme idée. Je peux vous garantir qu'après ça, je n'ai plus fait aucune proposition en groupe. » Donc, trouvez un moyen d'explorer votre curiosité dans une ouverture d'esprit à tout ce qui peut émerger. Créez un lieu de sécurité, un moment avec de la musique peut-être. Parmi les nombreuses activités pour stimuler la créativité, Je vous propose d'essayer l'écriture automatique. Prenez une feuille, un crayon, et vous laissez votre main écrire librement tous vos rêves, tout ce que vous aimeriez faire, s'il n'y avait aucune limite. Pour ceux qui préfèrent dessiner, vous pouvez le faire en visualisation, en dessin. Mais toujours dans cette même état d'esprit, dessinez vos rêves. C'est vraiment important de le concrétiser sur le papier, Car quand les idées flottent dans le cerveau uniquement, les autocensures peuvent vite refaire surface. C'est comme si les idées flottaient dans l'air, sans jamais atterrir dans la réalité. Donc prenez le temps, prendre un papy. Voici quelques questions pour libérer votre créativité. Si j'avais une baguette magique, qu'est-ce que je changerais ? Et si tout était possible, par quoi je commencerais ? L'idée, c'est de jouer avec les limites, comme avec les règles du jeu, et s'apercevoir que rien ne se passe si je sors de la cage invisible qui m'empêchait d'essayer. La créativité nous fait redécouvrir que la réalité est plus malléable que nos croyances le suggèrent. Passons au dernier C, la conscience, pour élargir notre vision du possible. La conscience nous élève au-dessus de nos croyances, pour voir plus large, pour voir plus loin. Prendre conscience de la relativité de mes croyances, ce qui semblait impossible ici, pourrait en fait être complètement possible dans un autre temps ou dans un autre environnement. Je peux aussi me mettre à la place de quelqu'un qui réussit, qui ose. Prenez un exemple de votre entourage ou d'une personne que vous admirez. Que dirait cette personne sur la limite que vous vous imposez ? Comment elle ferait avancer quand même ? Vous pouvez aussi essayer de prendre de la hauteur. Quels sont les exemples qui vont à l'encontre de vos croyances actuelles ? Qu'est-ce que je dirais à ma meilleure amie si elle avait la même croyance limitante que moi ? Cette perspective élargie nous fait réaliser que nos cages ne sont que des constructions mentales. Et ce qui a été construit peut être déconstruit. Pour conclure, je vous propose de retrouver des clés de liberté. Nos croyances limitantes, comme des vêtements trop petits, que nous aurions gardés depuis l'enjeunce. Ils nous serrent, ils nous gênent, ils nous empêchent de grandir, mais nous les gardons par habitude, peut-être par peur de ce qui pourrait arriver si nous les enlevions. La vérité, c'est qu'à plupart de nos cages, on la porte quand ouverte. Il suffit d'un pas pour sortir, mais nos yeux ne regardent pas vers l'ouverture. Sortir de mes croyances limitantes n'est pas faire table rase de tout, c'est juste apprendre à trier, à garder les croyances qui me servent. et transformer celle qui me l'élu. Et on crée de nouvelles pour évoluer. Voici deux invitations concrètes pour cette semaine. Identifier une croyance limitante. Je ne peux pas parce que... Vous mettez ce que vous voulez derrière les trois petits points. Puis demandez-vous, d'où vient cette idée ? Est-ce que c'est vraiment vrai ? Que j'en penserai dans cinq ans ? Quels sont les éléments qui peuvent remettre en cause cette idée ? Une autre invitation. Expérimentez le contraire. Vous choisissez quelque chose de relativement facile, mais que vous ne faites pas actuellement, ou que vous vous interdisez. Et essayez-le ! Observez ce qui se passe réellement par rapport à ce que votre croyance prédisait. Car au fond, le problème, c'est juste l'histoire que je me raconte. Mes croyances ne sont que des histoires. Et si je peux créer des histoires limitantes, je peux aussi créer des histoires libératrices. Vous avez toujours eu le crayon en main ? Vous pouvez réécrire l'histoire, dessiner une porte et l'ouvrir. Alors, qu'avez-vous envie de dessiner en premier ? Merci de m'avoir accompagnée dans cette exploration de nos cages mentales. Maintenant que vous les voyez un peu mieux, je vous invite à oser et à rêver plus grand. Pour finir en douceur, et si je m'écoute vraiment, là, quelle intuition, quelle envie ? Si je prenais le temps de noter ce qui me vient, si vous avez envie d'aller plus loin, d'avancer grâce au coaching intégratif, retrouvez-nous à l'école EAR, par exemple, pour une journée découverte, ou venez vous former, vous perfectionner, pour mieux accompagner les autres. Si le podcast résonne, partagez-le, laissez un commentaire ou 5 étoiles pour lui donner plus de visibilité. Et pour rester en lien, retrouvez-nous sur tous les réseaux sociaux. Je vous dis à bientôt.

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🎙️ Ces cages invisibles qui nous emprisonnent…

Avez-vous déjà entendu cette petite voix intérieure murmurer :
👉 « Ce n’est pas pour toi. »
👉 « Tu n’y arriveras pas. »
👉 « Tu n’en as pas les capacités. »


Ces phrases ont l’air anodines. Pourtant, elles forgent ce que j’appelle des cages invisibles : des prisons mentales et émotionnelles que nous construisons nous-mêmes.
Elles ne nous retiennent pas physiquement, mais elles nous persuadent que la liberté n’existe pas au-delà de leurs murs.

En coaching, j’entends souvent des #hautsPotentiels, #atypiques, #HPI me dire : « J’aimerais, mais ce n’est pas possible pour moi. » « Je n’ai pas le profil, pas assez de compétences. »


Et quand je demande : « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? », il n’y a souvent aucune preuve tangible. Seulement une croyance ancienne, une peur, une histoire répétée depuis trop longtemps.


Dans ce nouvel épisode du podcast « Et si je m’écoutais vraiment ? », je vous invite à explorer ces croyances limitantes à travers les 5 dimensions du coaching intégratif :
le Corps, le Cœur, le Cerveau, la Conscience et la Créativité.


Parce que sortir de ses cages invisibles,
c’est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main.


➡️ D’où viennent ces croyances qui nous enferment ?
➡️ Comment les repérer dans nos postures, nos émotions, nos pensées ?
➡️ Et surtout, comment retrouver la liberté de rêver, d’agir, de choisir ?


🌿 Dans cet épisode, je vous partage des expériences, des outils et des pistes concrètes pour :

·       sentir vos blocages dans le corps,

·       interroger vos pensées automatiques,

·       apaiser les émotions

·       libérer votre créativité,

·       et élargir votre champ de conscience.

Un voyage pour transformer vos croyances 
Parce qu’au fond, le problème n’est jamais la réalité, mais l’histoire que nous nous racontons sur elle.

Et si vous pouviez réécrire la vôtre ?



Nathalie Lourdel,

Docteure en Pédagogie & Transition écologique,

Coach intégrative, Superviseur,

Directrice de l’école de coaching EAR École un Autre Regard

 

Auteur de 3 livres :

HPI Comprendre et libérer les potentiels avec Matthieu Lassagne

Le Coaching, Edition AFNOR

Réussir sa transition écologie, se réinventer pour passer à l’action


Envie de se former au coaching intégratif ? D'en savoir plus sur l'école de coaching EAR :

https://ecole-coaching-professionnelle.com/ateliers-decouvertes-ecole-ear/


Pour aller plus loin des ressources vidéos, des articles : 

https://linktr.ee/nathalie.lourdel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si je m'écoutais vraiment, bienvenue dans ce podcast de coaching qui vous invite à faire une pause pour prendre soin de votre écologie personnelle. Je suis Nathalie Lourdel, coach et superviseur. J'ai créé il y a plus de 20 ans, Autrement, une société qui accompagne les transformations professionnelles. Je dirige aussi l'école de coaching EAR, l'école Un Autre Regard. Personnellement, je suis curieuse. J'aime évoluer, me questionner, grandir, et j'ai plaisir à accompagner les autres sur ce chemin. Vous êtes atypique, créatif, vous avez envie de déployer de nouveaux potentiels, vous êtes au bon endroit. Je vous emmène en voyage grâce au coaching intégratif. L'objectif ? Harmoniser votre corps, votre cœur, votre cerveau, pour libérer votre créativité et gagner en conscience. Parlons de ces cages invisibles qui nous empoisonnent. Tu n'y arriveras pas. Tu n'en as pas les capacités. Ces phrases, vous les avez déjà entendues, non ? Peut-être dans la bouche d'un proche, peut-être dans votre propre voix intérieure. Ces phrases créent des cages invisibles, des prisons sans barreaux, nous maintiennent captifs. Nous créons parfois, nous-mêmes, nos propres limitations. En coaching, je rencontre souvent des personnes atypiques, talentueuses, intelligentes, pleines de potentiel. qui me disent « j'aimerais bien, mais ce n'est pas possible pour moi » ou « je n'ai pas le profil » . Et quand je leur demande qu'est-ce qui leur fait dire ça, souvent, il n'y a aucune preuve tangible. Juste une conviction profonde, cette croyance ancrée, qui agit comme une barrière invisible. Ces croyances limitantes sont parmi les obstacles les plus puissants sur notre chemin de développement. Elles ne nous empêchent pas physiquement d'avancer, mais elles nous en dissuadent. si efficacement que nous restons immobiles, convaincus que l'espace se réduit à cette prise dans l'imaginaire. D'où viennent ces voix qui disent non avant même d'avoir essayé ? Comment se construisent ces cages mentales et émotionnelles ? Et surtout, comment en sortir pour retrouver notre liberté de choix, d'action et de rêve ? Bienvenue dans cet épisode où nous allons explorer ces croyances limitantes à travers les 5 C du coaching intégratif. Le corps, le cœur, le cerveau, la conscience et la créativité. Parce que sortir de ces cages invisibles, c'est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main. D'où viennent ces cages invisibles ? Les croyances limitantes sont diversifiées. Elles peuvent porter sur nos capacités, sur notre valeur, sur notre capacité à gagner de l'argent. Les croyances limitantes ne tombent pas du ciel. Elles se construisent patiemment au fil de notre histoire personnelle. Elles sont le fruit d'expériences mal digérées, de conclusions hâtives, de généralisations, ou de paroles reçues au mauvais moment parfois. Dans l'en-pense, elles ferment souvent à partir de phrases entendues, comme « Tu n'es pas douée pour ça » , « Les filles ne font pas ça » , « On n'a pas les moyens » . Parfois, ce sont des échecs mal accompagnés, une mauvaise note transformée en « Je suis nulle en maths » , une moquerie suite à une prise de parole qui devient un Je ne sais pas parler en public, je ne peux pas. C'est aussi des comparaisons répétées. Pour mon frère, lui, il réussit, créant la croyance que je ne vaux pas grand-chose par rapport à lui. Ces modèles familiaux sont transmis à l'âge adulte. Ils se renforcent s'ils n'ont jamais été remis en question. Je vous propose une petite histoire, celle d'un éléphant. Quand un éléphanteau est attaché à un pieu, il se débat. Il était libre avant. et d'un seul coup il se retrouve enchaîné par l'humain. Il essaye, il essaye encore, et au bout d'épuisement, il finit par renoncer. Effectivement, à son âge, il n'a pas encore la force pour se détacher. Par contre, adulte, il est toujours attaché à un petit pieu, mais il a ancré cette croyance qu'il ne pouvait pas s'en libérer. Il n'essaye même pas, alors qu'avec la force d'un éléphant adulte, il pourrait d'un coup de patte se libérer. La croyance acquise de l'éléphanto reste prédominante. Les mécanismes qui maintiennent cette cage invisible en place sont nombreux. L'interprétation. Un événement anodin peut devenir une preuve de notre imitation, par exemple. La généralisation. J'ai échoué une fois, donc j'échouais toujours. Parfois c'est une prophétie ou tôt le réalisatrice. Je suis convaincue d'échouer, donc je me sabote inconsciemment. Je vais même pas passer l'examen, par exemple. Ou je rate l'horaire de rendez-vous d'un entretien d'embauche. Une autre manière de maintenir la cage invisible. C'est la sélection de preuves. Nous ne voyons que ce qui confirme notre croyance initiale. Parfois, et je le vois en coaching, j'essaie même pas. Je ne tente pas, ce qui, par absence de résultat, confirme l'hypothèse « je ne pouvais pas » . Le plus troublant, ces caches sont tellement bien intégrées qu'elles nous semblent protectrices. Au moins, si je n'essaye pas, je ne risque pas d'échouer. Parfois, ces limitations deviennent une forme de refuge. Explorons maintenant comment les cinq dimensions du coaching intégratif peuvent nous aider à identifier et transformer nos croyances limitantes. Le corps, sentir les limites. Comment mon corps réagit quand je me confronte à une de mes croyances limitantes ? Parce qu'en effet, ces croyances ne sont pas seulement mentales. Elles s'incarnent, créent des tensions, des blocages physiques, qui renforcent le sentiment d'impuissance. Par exemple, des tensions dans la mâchoire, une respiration courte, une boule dans la gorge si je dois parler en public. Et du coup, ça confirme ma croyance que je ne peux pas faire ça. Cela aussi peut se manifester par une lourdeur, une sensation de portée, un fardeau invisible. L'envie de fuir, les jambes qui tremblent... Pour contrebalancer cela, je vous propose une petite expérience. Pensez à quelque chose que vous aimeriez faire, mais que vous vous interdisez. Observez votre corps. Que se passe-t-il ? Est-ce que la respiration change ? Est-ce que vos muscles se contractent ? Pour débloquer le corps, vous pouvez essayer des mouvements libérateurs. Par exemple, danser, marcher... gesticulez pour sortir de la rigidité. Essayez aussi une respiration expansive. Vous inspirez en pensant à l'énergie du soleil, comme pour vous regonfler en énergie. Vraiment, vous visualisez, vous pouvez ressentir la chaleur, la couleur, comme si à travers vos narines, vous recolorez votre intérieur. Et puis vous expirez, ce qui vous limite, la grisaille, les nuages. Et vous faites cet exercice aussi longtemps que nécessaire. pour que vous retrouviez une couleur intérieure agréable. En transformant notre posture, nous transformons notre état d'esprit. Si vous pensez quelques instants à une envie qui est pour l'instant bloquée, si vous regardez vos pieds, que se passe-t-il ? Généralement, plutôt des idées limitées. Prenez une grande inspiration avec cette couleur intérieure, de soleil, d'énergie. Regardez au loin, le plus loin possible. Vous pouvez vous mettre debout, ce sera plus confortable, les mains sur les hanches, dans une position de superman, superwoman. Et vraiment, projetez-vous au loin, respirez profondément et laissez venir les idées, souvent juste cela. Changer de posture permet de voir plus loin, permet de créer... Des ponts entre ici et demain. Je vous propose de passer au cerveau pour identifier et questionner ses croyances. Nous pouvons apprendre à notre cerveau à reconnaître ses propres pièges, à questionner ses automatismes, à ouvrir de nouveaux chemins neuronaux. Par exemple, vous pouvez traquer les généralisations. Dès qu'il y a toujours, jamais, il faut, vous pouvez être sûr que vous vous autobloquez. Alors tentez un questionnement libérateur. D'où vient cette idée ? Quelles sont les preuves du contraire ? Et que se passerait-il si c'était faux ? Une autre façon de contourner le cerveau, c'est de faire des reformulations transformatrices. Par exemple, je ne sais pas faire un podcast. Je n'ai pas encore appris à maîtriser la technique pour faire un podcast. J'ai peur d'échouer. Ça peut se transformer en « c'est important pour moi de réussir » . La formulation positive a vraiment aidé votre cerveau, parce que vous pouvez vous créer des autoroutes neuronales, les pensées qui conduisent au même endroit, toujours dans la même direction, mais vous pouvez aussi décider de sortir de l'autoroute, de prendre un chemin de travers. Chaque pensée divergente trace un nouveau chemin vers la liberté. Passons au cœur, guérir les blessures à l'origine de ses croyances. Souvent nos croyances limitantes protègent une blessure ancienne, une émotion désagréable que je n'ai pas envie de revivre. Si j'ai vécu des humiliations, je pense que si je me mente, on se moquera de moi, du coup je reste en ombre. J'évite de me mettre en avant ou de tenter des projets ambitieux. Passez par l'autocompassion, écoutez cette part blessée en vous, essayez de parler avec tendresse. Identifiez mes compétences, les moyens anticipés pour me protéger, quel que soit le résultat si je me lance dans ce nouveau projet. Vous pouvez aussi aller chercher dans votre entourage des encouragements, des soutiens. Quand je ressens des blocages internes, mais que je souhaite tout de même entreprendre, ça va être important de ne pas être seule. Vous pouvez demander l'aide d'un coach professionnel si nécessaire, bien sûr. Derrière chaque croyance limitante, il y a souvent des peugues et des émotions désagréables dont je cherche à me protéger. Et en avoir conscience, c'est déjà me libérer un peu. Passons au quatrième C, la créativité. Imaginez le nouveau possible. La créativité est l'antidote parfait aux croyances limitantes. Elle nous fait sortir du connu, de la logique, du binaire, pour explorer l'improbable. Avant de démarrer cette phase créative, c'est important de se mettre dans un bon état d'esprit. La détente, la pleine présence, être vraiment ici et maintenant. La méditation, la reconnexion au plaisir pour valoriser l'émergence créative sont aussi des clés. Par exemple... Moi, si je me retrouve dans une ambiance de groupe dégradé, je vais avoir aucune idée. certainement par peur qu'elle se fasse critiquer. Je me souviens dans une formation coaching où je participais, quelqu'un m'a dit « Non, c'est beaucoup trop créatif comme idée. Je peux vous garantir qu'après ça, je n'ai plus fait aucune proposition en groupe. » Donc, trouvez un moyen d'explorer votre curiosité dans une ouverture d'esprit à tout ce qui peut émerger. Créez un lieu de sécurité, un moment avec de la musique peut-être. Parmi les nombreuses activités pour stimuler la créativité, Je vous propose d'essayer l'écriture automatique. Prenez une feuille, un crayon, et vous laissez votre main écrire librement tous vos rêves, tout ce que vous aimeriez faire, s'il n'y avait aucune limite. Pour ceux qui préfèrent dessiner, vous pouvez le faire en visualisation, en dessin. Mais toujours dans cette même état d'esprit, dessinez vos rêves. C'est vraiment important de le concrétiser sur le papier, Car quand les idées flottent dans le cerveau uniquement, les autocensures peuvent vite refaire surface. C'est comme si les idées flottaient dans l'air, sans jamais atterrir dans la réalité. Donc prenez le temps, prendre un papy. Voici quelques questions pour libérer votre créativité. Si j'avais une baguette magique, qu'est-ce que je changerais ? Et si tout était possible, par quoi je commencerais ? L'idée, c'est de jouer avec les limites, comme avec les règles du jeu, et s'apercevoir que rien ne se passe si je sors de la cage invisible qui m'empêchait d'essayer. La créativité nous fait redécouvrir que la réalité est plus malléable que nos croyances le suggèrent. Passons au dernier C, la conscience, pour élargir notre vision du possible. La conscience nous élève au-dessus de nos croyances, pour voir plus large, pour voir plus loin. Prendre conscience de la relativité de mes croyances, ce qui semblait impossible ici, pourrait en fait être complètement possible dans un autre temps ou dans un autre environnement. Je peux aussi me mettre à la place de quelqu'un qui réussit, qui ose. Prenez un exemple de votre entourage ou d'une personne que vous admirez. Que dirait cette personne sur la limite que vous vous imposez ? Comment elle ferait avancer quand même ? Vous pouvez aussi essayer de prendre de la hauteur. Quels sont les exemples qui vont à l'encontre de vos croyances actuelles ? Qu'est-ce que je dirais à ma meilleure amie si elle avait la même croyance limitante que moi ? Cette perspective élargie nous fait réaliser que nos cages ne sont que des constructions mentales. Et ce qui a été construit peut être déconstruit. Pour conclure, je vous propose de retrouver des clés de liberté. Nos croyances limitantes, comme des vêtements trop petits, que nous aurions gardés depuis l'enjeunce. Ils nous serrent, ils nous gênent, ils nous empêchent de grandir, mais nous les gardons par habitude, peut-être par peur de ce qui pourrait arriver si nous les enlevions. La vérité, c'est qu'à plupart de nos cages, on la porte quand ouverte. Il suffit d'un pas pour sortir, mais nos yeux ne regardent pas vers l'ouverture. Sortir de mes croyances limitantes n'est pas faire table rase de tout, c'est juste apprendre à trier, à garder les croyances qui me servent. et transformer celle qui me l'élu. Et on crée de nouvelles pour évoluer. Voici deux invitations concrètes pour cette semaine. Identifier une croyance limitante. Je ne peux pas parce que... Vous mettez ce que vous voulez derrière les trois petits points. Puis demandez-vous, d'où vient cette idée ? Est-ce que c'est vraiment vrai ? Que j'en penserai dans cinq ans ? Quels sont les éléments qui peuvent remettre en cause cette idée ? Une autre invitation. Expérimentez le contraire. Vous choisissez quelque chose de relativement facile, mais que vous ne faites pas actuellement, ou que vous vous interdisez. Et essayez-le ! Observez ce qui se passe réellement par rapport à ce que votre croyance prédisait. Car au fond, le problème, c'est juste l'histoire que je me raconte. Mes croyances ne sont que des histoires. Et si je peux créer des histoires limitantes, je peux aussi créer des histoires libératrices. Vous avez toujours eu le crayon en main ? Vous pouvez réécrire l'histoire, dessiner une porte et l'ouvrir. Alors, qu'avez-vous envie de dessiner en premier ? Merci de m'avoir accompagnée dans cette exploration de nos cages mentales. Maintenant que vous les voyez un peu mieux, je vous invite à oser et à rêver plus grand. Pour finir en douceur, et si je m'écoute vraiment, là, quelle intuition, quelle envie ? Si je prenais le temps de noter ce qui me vient, si vous avez envie d'aller plus loin, d'avancer grâce au coaching intégratif, retrouvez-nous à l'école EAR, par exemple, pour une journée découverte, ou venez vous former, vous perfectionner, pour mieux accompagner les autres. Si le podcast résonne, partagez-le, laissez un commentaire ou 5 étoiles pour lui donner plus de visibilité. Et pour rester en lien, retrouvez-nous sur tous les réseaux sociaux. Je vous dis à bientôt.

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Description

🎙️ Ces cages invisibles qui nous emprisonnent…

Avez-vous déjà entendu cette petite voix intérieure murmurer :
👉 « Ce n’est pas pour toi. »
👉 « Tu n’y arriveras pas. »
👉 « Tu n’en as pas les capacités. »


Ces phrases ont l’air anodines. Pourtant, elles forgent ce que j’appelle des cages invisibles : des prisons mentales et émotionnelles que nous construisons nous-mêmes.
Elles ne nous retiennent pas physiquement, mais elles nous persuadent que la liberté n’existe pas au-delà de leurs murs.

En coaching, j’entends souvent des #hautsPotentiels, #atypiques, #HPI me dire : « J’aimerais, mais ce n’est pas possible pour moi. » « Je n’ai pas le profil, pas assez de compétences. »


Et quand je demande : « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? », il n’y a souvent aucune preuve tangible. Seulement une croyance ancienne, une peur, une histoire répétée depuis trop longtemps.


Dans ce nouvel épisode du podcast « Et si je m’écoutais vraiment ? », je vous invite à explorer ces croyances limitantes à travers les 5 dimensions du coaching intégratif :
le Corps, le Cœur, le Cerveau, la Conscience et la Créativité.


Parce que sortir de ses cages invisibles,
c’est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main.


➡️ D’où viennent ces croyances qui nous enferment ?
➡️ Comment les repérer dans nos postures, nos émotions, nos pensées ?
➡️ Et surtout, comment retrouver la liberté de rêver, d’agir, de choisir ?


🌿 Dans cet épisode, je vous partage des expériences, des outils et des pistes concrètes pour :

·       sentir vos blocages dans le corps,

·       interroger vos pensées automatiques,

·       apaiser les émotions

·       libérer votre créativité,

·       et élargir votre champ de conscience.

Un voyage pour transformer vos croyances 
Parce qu’au fond, le problème n’est jamais la réalité, mais l’histoire que nous nous racontons sur elle.

Et si vous pouviez réécrire la vôtre ?



Nathalie Lourdel,

Docteure en Pédagogie & Transition écologique,

Coach intégrative, Superviseur,

Directrice de l’école de coaching EAR École un Autre Regard

 

Auteur de 3 livres :

HPI Comprendre et libérer les potentiels avec Matthieu Lassagne

Le Coaching, Edition AFNOR

Réussir sa transition écologie, se réinventer pour passer à l’action


Envie de se former au coaching intégratif ? D'en savoir plus sur l'école de coaching EAR :

https://ecole-coaching-professionnelle.com/ateliers-decouvertes-ecole-ear/


Pour aller plus loin des ressources vidéos, des articles : 

https://linktr.ee/nathalie.lourdel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si je m'écoutais vraiment, bienvenue dans ce podcast de coaching qui vous invite à faire une pause pour prendre soin de votre écologie personnelle. Je suis Nathalie Lourdel, coach et superviseur. J'ai créé il y a plus de 20 ans, Autrement, une société qui accompagne les transformations professionnelles. Je dirige aussi l'école de coaching EAR, l'école Un Autre Regard. Personnellement, je suis curieuse. J'aime évoluer, me questionner, grandir, et j'ai plaisir à accompagner les autres sur ce chemin. Vous êtes atypique, créatif, vous avez envie de déployer de nouveaux potentiels, vous êtes au bon endroit. Je vous emmène en voyage grâce au coaching intégratif. L'objectif ? Harmoniser votre corps, votre cœur, votre cerveau, pour libérer votre créativité et gagner en conscience. Parlons de ces cages invisibles qui nous empoisonnent. Tu n'y arriveras pas. Tu n'en as pas les capacités. Ces phrases, vous les avez déjà entendues, non ? Peut-être dans la bouche d'un proche, peut-être dans votre propre voix intérieure. Ces phrases créent des cages invisibles, des prisons sans barreaux, nous maintiennent captifs. Nous créons parfois, nous-mêmes, nos propres limitations. En coaching, je rencontre souvent des personnes atypiques, talentueuses, intelligentes, pleines de potentiel. qui me disent « j'aimerais bien, mais ce n'est pas possible pour moi » ou « je n'ai pas le profil » . Et quand je leur demande qu'est-ce qui leur fait dire ça, souvent, il n'y a aucune preuve tangible. Juste une conviction profonde, cette croyance ancrée, qui agit comme une barrière invisible. Ces croyances limitantes sont parmi les obstacles les plus puissants sur notre chemin de développement. Elles ne nous empêchent pas physiquement d'avancer, mais elles nous en dissuadent. si efficacement que nous restons immobiles, convaincus que l'espace se réduit à cette prise dans l'imaginaire. D'où viennent ces voix qui disent non avant même d'avoir essayé ? Comment se construisent ces cages mentales et émotionnelles ? Et surtout, comment en sortir pour retrouver notre liberté de choix, d'action et de rêve ? Bienvenue dans cet épisode où nous allons explorer ces croyances limitantes à travers les 5 C du coaching intégratif. Le corps, le cœur, le cerveau, la conscience et la créativité. Parce que sortir de ces cages invisibles, c'est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main. D'où viennent ces cages invisibles ? Les croyances limitantes sont diversifiées. Elles peuvent porter sur nos capacités, sur notre valeur, sur notre capacité à gagner de l'argent. Les croyances limitantes ne tombent pas du ciel. Elles se construisent patiemment au fil de notre histoire personnelle. Elles sont le fruit d'expériences mal digérées, de conclusions hâtives, de généralisations, ou de paroles reçues au mauvais moment parfois. Dans l'en-pense, elles ferment souvent à partir de phrases entendues, comme « Tu n'es pas douée pour ça » , « Les filles ne font pas ça » , « On n'a pas les moyens » . Parfois, ce sont des échecs mal accompagnés, une mauvaise note transformée en « Je suis nulle en maths » , une moquerie suite à une prise de parole qui devient un Je ne sais pas parler en public, je ne peux pas. C'est aussi des comparaisons répétées. Pour mon frère, lui, il réussit, créant la croyance que je ne vaux pas grand-chose par rapport à lui. Ces modèles familiaux sont transmis à l'âge adulte. Ils se renforcent s'ils n'ont jamais été remis en question. Je vous propose une petite histoire, celle d'un éléphant. Quand un éléphanteau est attaché à un pieu, il se débat. Il était libre avant. et d'un seul coup il se retrouve enchaîné par l'humain. Il essaye, il essaye encore, et au bout d'épuisement, il finit par renoncer. Effectivement, à son âge, il n'a pas encore la force pour se détacher. Par contre, adulte, il est toujours attaché à un petit pieu, mais il a ancré cette croyance qu'il ne pouvait pas s'en libérer. Il n'essaye même pas, alors qu'avec la force d'un éléphant adulte, il pourrait d'un coup de patte se libérer. La croyance acquise de l'éléphanto reste prédominante. Les mécanismes qui maintiennent cette cage invisible en place sont nombreux. L'interprétation. Un événement anodin peut devenir une preuve de notre imitation, par exemple. La généralisation. J'ai échoué une fois, donc j'échouais toujours. Parfois c'est une prophétie ou tôt le réalisatrice. Je suis convaincue d'échouer, donc je me sabote inconsciemment. Je vais même pas passer l'examen, par exemple. Ou je rate l'horaire de rendez-vous d'un entretien d'embauche. Une autre manière de maintenir la cage invisible. C'est la sélection de preuves. Nous ne voyons que ce qui confirme notre croyance initiale. Parfois, et je le vois en coaching, j'essaie même pas. Je ne tente pas, ce qui, par absence de résultat, confirme l'hypothèse « je ne pouvais pas » . Le plus troublant, ces caches sont tellement bien intégrées qu'elles nous semblent protectrices. Au moins, si je n'essaye pas, je ne risque pas d'échouer. Parfois, ces limitations deviennent une forme de refuge. Explorons maintenant comment les cinq dimensions du coaching intégratif peuvent nous aider à identifier et transformer nos croyances limitantes. Le corps, sentir les limites. Comment mon corps réagit quand je me confronte à une de mes croyances limitantes ? Parce qu'en effet, ces croyances ne sont pas seulement mentales. Elles s'incarnent, créent des tensions, des blocages physiques, qui renforcent le sentiment d'impuissance. Par exemple, des tensions dans la mâchoire, une respiration courte, une boule dans la gorge si je dois parler en public. Et du coup, ça confirme ma croyance que je ne peux pas faire ça. Cela aussi peut se manifester par une lourdeur, une sensation de portée, un fardeau invisible. L'envie de fuir, les jambes qui tremblent... Pour contrebalancer cela, je vous propose une petite expérience. Pensez à quelque chose que vous aimeriez faire, mais que vous vous interdisez. Observez votre corps. Que se passe-t-il ? Est-ce que la respiration change ? Est-ce que vos muscles se contractent ? Pour débloquer le corps, vous pouvez essayer des mouvements libérateurs. Par exemple, danser, marcher... gesticulez pour sortir de la rigidité. Essayez aussi une respiration expansive. Vous inspirez en pensant à l'énergie du soleil, comme pour vous regonfler en énergie. Vraiment, vous visualisez, vous pouvez ressentir la chaleur, la couleur, comme si à travers vos narines, vous recolorez votre intérieur. Et puis vous expirez, ce qui vous limite, la grisaille, les nuages. Et vous faites cet exercice aussi longtemps que nécessaire. pour que vous retrouviez une couleur intérieure agréable. En transformant notre posture, nous transformons notre état d'esprit. Si vous pensez quelques instants à une envie qui est pour l'instant bloquée, si vous regardez vos pieds, que se passe-t-il ? Généralement, plutôt des idées limitées. Prenez une grande inspiration avec cette couleur intérieure, de soleil, d'énergie. Regardez au loin, le plus loin possible. Vous pouvez vous mettre debout, ce sera plus confortable, les mains sur les hanches, dans une position de superman, superwoman. Et vraiment, projetez-vous au loin, respirez profondément et laissez venir les idées, souvent juste cela. Changer de posture permet de voir plus loin, permet de créer... Des ponts entre ici et demain. Je vous propose de passer au cerveau pour identifier et questionner ses croyances. Nous pouvons apprendre à notre cerveau à reconnaître ses propres pièges, à questionner ses automatismes, à ouvrir de nouveaux chemins neuronaux. Par exemple, vous pouvez traquer les généralisations. Dès qu'il y a toujours, jamais, il faut, vous pouvez être sûr que vous vous autobloquez. Alors tentez un questionnement libérateur. D'où vient cette idée ? Quelles sont les preuves du contraire ? Et que se passerait-il si c'était faux ? Une autre façon de contourner le cerveau, c'est de faire des reformulations transformatrices. Par exemple, je ne sais pas faire un podcast. Je n'ai pas encore appris à maîtriser la technique pour faire un podcast. J'ai peur d'échouer. Ça peut se transformer en « c'est important pour moi de réussir » . La formulation positive a vraiment aidé votre cerveau, parce que vous pouvez vous créer des autoroutes neuronales, les pensées qui conduisent au même endroit, toujours dans la même direction, mais vous pouvez aussi décider de sortir de l'autoroute, de prendre un chemin de travers. Chaque pensée divergente trace un nouveau chemin vers la liberté. Passons au cœur, guérir les blessures à l'origine de ses croyances. Souvent nos croyances limitantes protègent une blessure ancienne, une émotion désagréable que je n'ai pas envie de revivre. Si j'ai vécu des humiliations, je pense que si je me mente, on se moquera de moi, du coup je reste en ombre. J'évite de me mettre en avant ou de tenter des projets ambitieux. Passez par l'autocompassion, écoutez cette part blessée en vous, essayez de parler avec tendresse. Identifiez mes compétences, les moyens anticipés pour me protéger, quel que soit le résultat si je me lance dans ce nouveau projet. Vous pouvez aussi aller chercher dans votre entourage des encouragements, des soutiens. Quand je ressens des blocages internes, mais que je souhaite tout de même entreprendre, ça va être important de ne pas être seule. Vous pouvez demander l'aide d'un coach professionnel si nécessaire, bien sûr. Derrière chaque croyance limitante, il y a souvent des peugues et des émotions désagréables dont je cherche à me protéger. Et en avoir conscience, c'est déjà me libérer un peu. Passons au quatrième C, la créativité. Imaginez le nouveau possible. La créativité est l'antidote parfait aux croyances limitantes. Elle nous fait sortir du connu, de la logique, du binaire, pour explorer l'improbable. Avant de démarrer cette phase créative, c'est important de se mettre dans un bon état d'esprit. La détente, la pleine présence, être vraiment ici et maintenant. La méditation, la reconnexion au plaisir pour valoriser l'émergence créative sont aussi des clés. Par exemple... Moi, si je me retrouve dans une ambiance de groupe dégradé, je vais avoir aucune idée. certainement par peur qu'elle se fasse critiquer. Je me souviens dans une formation coaching où je participais, quelqu'un m'a dit « Non, c'est beaucoup trop créatif comme idée. Je peux vous garantir qu'après ça, je n'ai plus fait aucune proposition en groupe. » Donc, trouvez un moyen d'explorer votre curiosité dans une ouverture d'esprit à tout ce qui peut émerger. Créez un lieu de sécurité, un moment avec de la musique peut-être. Parmi les nombreuses activités pour stimuler la créativité, Je vous propose d'essayer l'écriture automatique. Prenez une feuille, un crayon, et vous laissez votre main écrire librement tous vos rêves, tout ce que vous aimeriez faire, s'il n'y avait aucune limite. Pour ceux qui préfèrent dessiner, vous pouvez le faire en visualisation, en dessin. Mais toujours dans cette même état d'esprit, dessinez vos rêves. C'est vraiment important de le concrétiser sur le papier, Car quand les idées flottent dans le cerveau uniquement, les autocensures peuvent vite refaire surface. C'est comme si les idées flottaient dans l'air, sans jamais atterrir dans la réalité. Donc prenez le temps, prendre un papy. Voici quelques questions pour libérer votre créativité. Si j'avais une baguette magique, qu'est-ce que je changerais ? Et si tout était possible, par quoi je commencerais ? L'idée, c'est de jouer avec les limites, comme avec les règles du jeu, et s'apercevoir que rien ne se passe si je sors de la cage invisible qui m'empêchait d'essayer. La créativité nous fait redécouvrir que la réalité est plus malléable que nos croyances le suggèrent. Passons au dernier C, la conscience, pour élargir notre vision du possible. La conscience nous élève au-dessus de nos croyances, pour voir plus large, pour voir plus loin. Prendre conscience de la relativité de mes croyances, ce qui semblait impossible ici, pourrait en fait être complètement possible dans un autre temps ou dans un autre environnement. Je peux aussi me mettre à la place de quelqu'un qui réussit, qui ose. Prenez un exemple de votre entourage ou d'une personne que vous admirez. Que dirait cette personne sur la limite que vous vous imposez ? Comment elle ferait avancer quand même ? Vous pouvez aussi essayer de prendre de la hauteur. Quels sont les exemples qui vont à l'encontre de vos croyances actuelles ? Qu'est-ce que je dirais à ma meilleure amie si elle avait la même croyance limitante que moi ? Cette perspective élargie nous fait réaliser que nos cages ne sont que des constructions mentales. Et ce qui a été construit peut être déconstruit. Pour conclure, je vous propose de retrouver des clés de liberté. Nos croyances limitantes, comme des vêtements trop petits, que nous aurions gardés depuis l'enjeunce. Ils nous serrent, ils nous gênent, ils nous empêchent de grandir, mais nous les gardons par habitude, peut-être par peur de ce qui pourrait arriver si nous les enlevions. La vérité, c'est qu'à plupart de nos cages, on la porte quand ouverte. Il suffit d'un pas pour sortir, mais nos yeux ne regardent pas vers l'ouverture. Sortir de mes croyances limitantes n'est pas faire table rase de tout, c'est juste apprendre à trier, à garder les croyances qui me servent. et transformer celle qui me l'élu. Et on crée de nouvelles pour évoluer. Voici deux invitations concrètes pour cette semaine. Identifier une croyance limitante. Je ne peux pas parce que... Vous mettez ce que vous voulez derrière les trois petits points. Puis demandez-vous, d'où vient cette idée ? Est-ce que c'est vraiment vrai ? Que j'en penserai dans cinq ans ? Quels sont les éléments qui peuvent remettre en cause cette idée ? Une autre invitation. Expérimentez le contraire. Vous choisissez quelque chose de relativement facile, mais que vous ne faites pas actuellement, ou que vous vous interdisez. Et essayez-le ! Observez ce qui se passe réellement par rapport à ce que votre croyance prédisait. Car au fond, le problème, c'est juste l'histoire que je me raconte. Mes croyances ne sont que des histoires. Et si je peux créer des histoires limitantes, je peux aussi créer des histoires libératrices. Vous avez toujours eu le crayon en main ? Vous pouvez réécrire l'histoire, dessiner une porte et l'ouvrir. Alors, qu'avez-vous envie de dessiner en premier ? Merci de m'avoir accompagnée dans cette exploration de nos cages mentales. Maintenant que vous les voyez un peu mieux, je vous invite à oser et à rêver plus grand. Pour finir en douceur, et si je m'écoute vraiment, là, quelle intuition, quelle envie ? Si je prenais le temps de noter ce qui me vient, si vous avez envie d'aller plus loin, d'avancer grâce au coaching intégratif, retrouvez-nous à l'école EAR, par exemple, pour une journée découverte, ou venez vous former, vous perfectionner, pour mieux accompagner les autres. Si le podcast résonne, partagez-le, laissez un commentaire ou 5 étoiles pour lui donner plus de visibilité. Et pour rester en lien, retrouvez-nous sur tous les réseaux sociaux. Je vous dis à bientôt.

Description

🎙️ Ces cages invisibles qui nous emprisonnent…

Avez-vous déjà entendu cette petite voix intérieure murmurer :
👉 « Ce n’est pas pour toi. »
👉 « Tu n’y arriveras pas. »
👉 « Tu n’en as pas les capacités. »


Ces phrases ont l’air anodines. Pourtant, elles forgent ce que j’appelle des cages invisibles : des prisons mentales et émotionnelles que nous construisons nous-mêmes.
Elles ne nous retiennent pas physiquement, mais elles nous persuadent que la liberté n’existe pas au-delà de leurs murs.

En coaching, j’entends souvent des #hautsPotentiels, #atypiques, #HPI me dire : « J’aimerais, mais ce n’est pas possible pour moi. » « Je n’ai pas le profil, pas assez de compétences. »


Et quand je demande : « Qu’est-ce qui te fait dire ça ? », il n’y a souvent aucune preuve tangible. Seulement une croyance ancienne, une peur, une histoire répétée depuis trop longtemps.


Dans ce nouvel épisode du podcast « Et si je m’écoutais vraiment ? », je vous invite à explorer ces croyances limitantes à travers les 5 dimensions du coaching intégratif :
le Corps, le Cœur, le Cerveau, la Conscience et la Créativité.


Parce que sortir de ses cages invisibles,
c’est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main.


➡️ D’où viennent ces croyances qui nous enferment ?
➡️ Comment les repérer dans nos postures, nos émotions, nos pensées ?
➡️ Et surtout, comment retrouver la liberté de rêver, d’agir, de choisir ?


🌿 Dans cet épisode, je vous partage des expériences, des outils et des pistes concrètes pour :

·       sentir vos blocages dans le corps,

·       interroger vos pensées automatiques,

·       apaiser les émotions

·       libérer votre créativité,

·       et élargir votre champ de conscience.

Un voyage pour transformer vos croyances 
Parce qu’au fond, le problème n’est jamais la réalité, mais l’histoire que nous nous racontons sur elle.

Et si vous pouviez réécrire la vôtre ?



Nathalie Lourdel,

Docteure en Pédagogie & Transition écologique,

Coach intégrative, Superviseur,

Directrice de l’école de coaching EAR École un Autre Regard

 

Auteur de 3 livres :

HPI Comprendre et libérer les potentiels avec Matthieu Lassagne

Le Coaching, Edition AFNOR

Réussir sa transition écologie, se réinventer pour passer à l’action


Envie de se former au coaching intégratif ? D'en savoir plus sur l'école de coaching EAR :

https://ecole-coaching-professionnelle.com/ateliers-decouvertes-ecole-ear/


Pour aller plus loin des ressources vidéos, des articles : 

https://linktr.ee/nathalie.lourdel


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Et si je m'écoutais vraiment, bienvenue dans ce podcast de coaching qui vous invite à faire une pause pour prendre soin de votre écologie personnelle. Je suis Nathalie Lourdel, coach et superviseur. J'ai créé il y a plus de 20 ans, Autrement, une société qui accompagne les transformations professionnelles. Je dirige aussi l'école de coaching EAR, l'école Un Autre Regard. Personnellement, je suis curieuse. J'aime évoluer, me questionner, grandir, et j'ai plaisir à accompagner les autres sur ce chemin. Vous êtes atypique, créatif, vous avez envie de déployer de nouveaux potentiels, vous êtes au bon endroit. Je vous emmène en voyage grâce au coaching intégratif. L'objectif ? Harmoniser votre corps, votre cœur, votre cerveau, pour libérer votre créativité et gagner en conscience. Parlons de ces cages invisibles qui nous empoisonnent. Tu n'y arriveras pas. Tu n'en as pas les capacités. Ces phrases, vous les avez déjà entendues, non ? Peut-être dans la bouche d'un proche, peut-être dans votre propre voix intérieure. Ces phrases créent des cages invisibles, des prisons sans barreaux, nous maintiennent captifs. Nous créons parfois, nous-mêmes, nos propres limitations. En coaching, je rencontre souvent des personnes atypiques, talentueuses, intelligentes, pleines de potentiel. qui me disent « j'aimerais bien, mais ce n'est pas possible pour moi » ou « je n'ai pas le profil » . Et quand je leur demande qu'est-ce qui leur fait dire ça, souvent, il n'y a aucune preuve tangible. Juste une conviction profonde, cette croyance ancrée, qui agit comme une barrière invisible. Ces croyances limitantes sont parmi les obstacles les plus puissants sur notre chemin de développement. Elles ne nous empêchent pas physiquement d'avancer, mais elles nous en dissuadent. si efficacement que nous restons immobiles, convaincus que l'espace se réduit à cette prise dans l'imaginaire. D'où viennent ces voix qui disent non avant même d'avoir essayé ? Comment se construisent ces cages mentales et émotionnelles ? Et surtout, comment en sortir pour retrouver notre liberté de choix, d'action et de rêve ? Bienvenue dans cet épisode où nous allons explorer ces croyances limitantes à travers les 5 C du coaching intégratif. Le corps, le cœur, le cerveau, la conscience et la créativité. Parce que sortir de ces cages invisibles, c'est redécouvrir que nous avons toujours eu les clés en main. D'où viennent ces cages invisibles ? Les croyances limitantes sont diversifiées. Elles peuvent porter sur nos capacités, sur notre valeur, sur notre capacité à gagner de l'argent. Les croyances limitantes ne tombent pas du ciel. Elles se construisent patiemment au fil de notre histoire personnelle. Elles sont le fruit d'expériences mal digérées, de conclusions hâtives, de généralisations, ou de paroles reçues au mauvais moment parfois. Dans l'en-pense, elles ferment souvent à partir de phrases entendues, comme « Tu n'es pas douée pour ça » , « Les filles ne font pas ça » , « On n'a pas les moyens » . Parfois, ce sont des échecs mal accompagnés, une mauvaise note transformée en « Je suis nulle en maths » , une moquerie suite à une prise de parole qui devient un Je ne sais pas parler en public, je ne peux pas. C'est aussi des comparaisons répétées. Pour mon frère, lui, il réussit, créant la croyance que je ne vaux pas grand-chose par rapport à lui. Ces modèles familiaux sont transmis à l'âge adulte. Ils se renforcent s'ils n'ont jamais été remis en question. Je vous propose une petite histoire, celle d'un éléphant. Quand un éléphanteau est attaché à un pieu, il se débat. Il était libre avant. et d'un seul coup il se retrouve enchaîné par l'humain. Il essaye, il essaye encore, et au bout d'épuisement, il finit par renoncer. Effectivement, à son âge, il n'a pas encore la force pour se détacher. Par contre, adulte, il est toujours attaché à un petit pieu, mais il a ancré cette croyance qu'il ne pouvait pas s'en libérer. Il n'essaye même pas, alors qu'avec la force d'un éléphant adulte, il pourrait d'un coup de patte se libérer. La croyance acquise de l'éléphanto reste prédominante. Les mécanismes qui maintiennent cette cage invisible en place sont nombreux. L'interprétation. Un événement anodin peut devenir une preuve de notre imitation, par exemple. La généralisation. J'ai échoué une fois, donc j'échouais toujours. Parfois c'est une prophétie ou tôt le réalisatrice. Je suis convaincue d'échouer, donc je me sabote inconsciemment. Je vais même pas passer l'examen, par exemple. Ou je rate l'horaire de rendez-vous d'un entretien d'embauche. Une autre manière de maintenir la cage invisible. C'est la sélection de preuves. Nous ne voyons que ce qui confirme notre croyance initiale. Parfois, et je le vois en coaching, j'essaie même pas. Je ne tente pas, ce qui, par absence de résultat, confirme l'hypothèse « je ne pouvais pas » . Le plus troublant, ces caches sont tellement bien intégrées qu'elles nous semblent protectrices. Au moins, si je n'essaye pas, je ne risque pas d'échouer. Parfois, ces limitations deviennent une forme de refuge. Explorons maintenant comment les cinq dimensions du coaching intégratif peuvent nous aider à identifier et transformer nos croyances limitantes. Le corps, sentir les limites. Comment mon corps réagit quand je me confronte à une de mes croyances limitantes ? Parce qu'en effet, ces croyances ne sont pas seulement mentales. Elles s'incarnent, créent des tensions, des blocages physiques, qui renforcent le sentiment d'impuissance. Par exemple, des tensions dans la mâchoire, une respiration courte, une boule dans la gorge si je dois parler en public. Et du coup, ça confirme ma croyance que je ne peux pas faire ça. Cela aussi peut se manifester par une lourdeur, une sensation de portée, un fardeau invisible. L'envie de fuir, les jambes qui tremblent... Pour contrebalancer cela, je vous propose une petite expérience. Pensez à quelque chose que vous aimeriez faire, mais que vous vous interdisez. Observez votre corps. Que se passe-t-il ? Est-ce que la respiration change ? Est-ce que vos muscles se contractent ? Pour débloquer le corps, vous pouvez essayer des mouvements libérateurs. Par exemple, danser, marcher... gesticulez pour sortir de la rigidité. Essayez aussi une respiration expansive. Vous inspirez en pensant à l'énergie du soleil, comme pour vous regonfler en énergie. Vraiment, vous visualisez, vous pouvez ressentir la chaleur, la couleur, comme si à travers vos narines, vous recolorez votre intérieur. Et puis vous expirez, ce qui vous limite, la grisaille, les nuages. Et vous faites cet exercice aussi longtemps que nécessaire. pour que vous retrouviez une couleur intérieure agréable. En transformant notre posture, nous transformons notre état d'esprit. Si vous pensez quelques instants à une envie qui est pour l'instant bloquée, si vous regardez vos pieds, que se passe-t-il ? Généralement, plutôt des idées limitées. Prenez une grande inspiration avec cette couleur intérieure, de soleil, d'énergie. Regardez au loin, le plus loin possible. Vous pouvez vous mettre debout, ce sera plus confortable, les mains sur les hanches, dans une position de superman, superwoman. Et vraiment, projetez-vous au loin, respirez profondément et laissez venir les idées, souvent juste cela. Changer de posture permet de voir plus loin, permet de créer... Des ponts entre ici et demain. Je vous propose de passer au cerveau pour identifier et questionner ses croyances. Nous pouvons apprendre à notre cerveau à reconnaître ses propres pièges, à questionner ses automatismes, à ouvrir de nouveaux chemins neuronaux. Par exemple, vous pouvez traquer les généralisations. Dès qu'il y a toujours, jamais, il faut, vous pouvez être sûr que vous vous autobloquez. Alors tentez un questionnement libérateur. D'où vient cette idée ? Quelles sont les preuves du contraire ? Et que se passerait-il si c'était faux ? Une autre façon de contourner le cerveau, c'est de faire des reformulations transformatrices. Par exemple, je ne sais pas faire un podcast. Je n'ai pas encore appris à maîtriser la technique pour faire un podcast. J'ai peur d'échouer. Ça peut se transformer en « c'est important pour moi de réussir » . La formulation positive a vraiment aidé votre cerveau, parce que vous pouvez vous créer des autoroutes neuronales, les pensées qui conduisent au même endroit, toujours dans la même direction, mais vous pouvez aussi décider de sortir de l'autoroute, de prendre un chemin de travers. Chaque pensée divergente trace un nouveau chemin vers la liberté. Passons au cœur, guérir les blessures à l'origine de ses croyances. Souvent nos croyances limitantes protègent une blessure ancienne, une émotion désagréable que je n'ai pas envie de revivre. Si j'ai vécu des humiliations, je pense que si je me mente, on se moquera de moi, du coup je reste en ombre. J'évite de me mettre en avant ou de tenter des projets ambitieux. Passez par l'autocompassion, écoutez cette part blessée en vous, essayez de parler avec tendresse. Identifiez mes compétences, les moyens anticipés pour me protéger, quel que soit le résultat si je me lance dans ce nouveau projet. Vous pouvez aussi aller chercher dans votre entourage des encouragements, des soutiens. Quand je ressens des blocages internes, mais que je souhaite tout de même entreprendre, ça va être important de ne pas être seule. Vous pouvez demander l'aide d'un coach professionnel si nécessaire, bien sûr. Derrière chaque croyance limitante, il y a souvent des peugues et des émotions désagréables dont je cherche à me protéger. Et en avoir conscience, c'est déjà me libérer un peu. Passons au quatrième C, la créativité. Imaginez le nouveau possible. La créativité est l'antidote parfait aux croyances limitantes. Elle nous fait sortir du connu, de la logique, du binaire, pour explorer l'improbable. Avant de démarrer cette phase créative, c'est important de se mettre dans un bon état d'esprit. La détente, la pleine présence, être vraiment ici et maintenant. La méditation, la reconnexion au plaisir pour valoriser l'émergence créative sont aussi des clés. Par exemple... Moi, si je me retrouve dans une ambiance de groupe dégradé, je vais avoir aucune idée. certainement par peur qu'elle se fasse critiquer. Je me souviens dans une formation coaching où je participais, quelqu'un m'a dit « Non, c'est beaucoup trop créatif comme idée. Je peux vous garantir qu'après ça, je n'ai plus fait aucune proposition en groupe. » Donc, trouvez un moyen d'explorer votre curiosité dans une ouverture d'esprit à tout ce qui peut émerger. Créez un lieu de sécurité, un moment avec de la musique peut-être. Parmi les nombreuses activités pour stimuler la créativité, Je vous propose d'essayer l'écriture automatique. Prenez une feuille, un crayon, et vous laissez votre main écrire librement tous vos rêves, tout ce que vous aimeriez faire, s'il n'y avait aucune limite. Pour ceux qui préfèrent dessiner, vous pouvez le faire en visualisation, en dessin. Mais toujours dans cette même état d'esprit, dessinez vos rêves. C'est vraiment important de le concrétiser sur le papier, Car quand les idées flottent dans le cerveau uniquement, les autocensures peuvent vite refaire surface. C'est comme si les idées flottaient dans l'air, sans jamais atterrir dans la réalité. Donc prenez le temps, prendre un papy. Voici quelques questions pour libérer votre créativité. Si j'avais une baguette magique, qu'est-ce que je changerais ? Et si tout était possible, par quoi je commencerais ? L'idée, c'est de jouer avec les limites, comme avec les règles du jeu, et s'apercevoir que rien ne se passe si je sors de la cage invisible qui m'empêchait d'essayer. La créativité nous fait redécouvrir que la réalité est plus malléable que nos croyances le suggèrent. Passons au dernier C, la conscience, pour élargir notre vision du possible. La conscience nous élève au-dessus de nos croyances, pour voir plus large, pour voir plus loin. Prendre conscience de la relativité de mes croyances, ce qui semblait impossible ici, pourrait en fait être complètement possible dans un autre temps ou dans un autre environnement. Je peux aussi me mettre à la place de quelqu'un qui réussit, qui ose. Prenez un exemple de votre entourage ou d'une personne que vous admirez. Que dirait cette personne sur la limite que vous vous imposez ? Comment elle ferait avancer quand même ? Vous pouvez aussi essayer de prendre de la hauteur. Quels sont les exemples qui vont à l'encontre de vos croyances actuelles ? Qu'est-ce que je dirais à ma meilleure amie si elle avait la même croyance limitante que moi ? Cette perspective élargie nous fait réaliser que nos cages ne sont que des constructions mentales. Et ce qui a été construit peut être déconstruit. Pour conclure, je vous propose de retrouver des clés de liberté. Nos croyances limitantes, comme des vêtements trop petits, que nous aurions gardés depuis l'enjeunce. Ils nous serrent, ils nous gênent, ils nous empêchent de grandir, mais nous les gardons par habitude, peut-être par peur de ce qui pourrait arriver si nous les enlevions. La vérité, c'est qu'à plupart de nos cages, on la porte quand ouverte. Il suffit d'un pas pour sortir, mais nos yeux ne regardent pas vers l'ouverture. Sortir de mes croyances limitantes n'est pas faire table rase de tout, c'est juste apprendre à trier, à garder les croyances qui me servent. et transformer celle qui me l'élu. Et on crée de nouvelles pour évoluer. Voici deux invitations concrètes pour cette semaine. Identifier une croyance limitante. Je ne peux pas parce que... Vous mettez ce que vous voulez derrière les trois petits points. Puis demandez-vous, d'où vient cette idée ? Est-ce que c'est vraiment vrai ? Que j'en penserai dans cinq ans ? Quels sont les éléments qui peuvent remettre en cause cette idée ? Une autre invitation. Expérimentez le contraire. Vous choisissez quelque chose de relativement facile, mais que vous ne faites pas actuellement, ou que vous vous interdisez. Et essayez-le ! Observez ce qui se passe réellement par rapport à ce que votre croyance prédisait. Car au fond, le problème, c'est juste l'histoire que je me raconte. Mes croyances ne sont que des histoires. Et si je peux créer des histoires limitantes, je peux aussi créer des histoires libératrices. Vous avez toujours eu le crayon en main ? Vous pouvez réécrire l'histoire, dessiner une porte et l'ouvrir. Alors, qu'avez-vous envie de dessiner en premier ? Merci de m'avoir accompagnée dans cette exploration de nos cages mentales. Maintenant que vous les voyez un peu mieux, je vous invite à oser et à rêver plus grand. Pour finir en douceur, et si je m'écoute vraiment, là, quelle intuition, quelle envie ? Si je prenais le temps de noter ce qui me vient, si vous avez envie d'aller plus loin, d'avancer grâce au coaching intégratif, retrouvez-nous à l'école EAR, par exemple, pour une journée découverte, ou venez vous former, vous perfectionner, pour mieux accompagner les autres. Si le podcast résonne, partagez-le, laissez un commentaire ou 5 étoiles pour lui donner plus de visibilité. Et pour rester en lien, retrouvez-nous sur tous les réseaux sociaux. Je vous dis à bientôt.

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