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La Charge Mentale des Communicants | Gaud Menguy et Reynald Tuillet | Ep 138 avec Cap Com cover
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Décodeur de la Communication

La Charge Mentale des Communicants | Gaud Menguy et Reynald Tuillet | Ep 138 avec Cap Com

La Charge Mentale des Communicants | Gaud Menguy et Reynald Tuillet | Ep 138 avec Cap Com

39min |22/02/2025
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Description

Être communicant.e dans une structure à taille humaine, c’est souvent être un "couteau suisse". Gaud Menguy et Reynald Tuillet, responsables de la communication respectivement à Brocéliande Communauté Communauté et à Arâches-la-Frasse, témoignent d’un quotidien où la polyvalence est la règle et où les responsabilités s’accumulent. Entre gestion des supports numériques, production de magazines, événementiel, relations presse et coordination avec les élus, la charge mentale peut rapidement devenir un fardeau.


Les signes avant-coureurs du burn-out

Le stress permanent, l’anxiété, la difficulté à se concentrer, l’épuisement… Autant de symptômes qui alertent sur une surcharge mentale. « C’est un cercle vicieux : plus on est fatigué, plus on fait d’erreurs, et plus on fait d’erreurs, plus on stresse », explique Gaud. La pression des élus, les attentes irréalistes, le manque de moyens et de reconnaissance forment un cocktail explosif qui pousse certains communicants à bout.


Dire non : un acte de courage

Savoir poser des limites est une compétence clé pour préserver son équilibre. « Dire stop, c’est un premier pas vers le mieux-être », affirme Reynald. Pourtant, la peur de déplaire, de ne pas être à la hauteur ou de perdre son emploi empêche beaucoup de communicants de verbaliser leur souffrance. Certains choisissent la confrontation, d’autres se mettent en retrait temporairement ou changent de poste pour retrouver un environnement plus sain.


Des solutions concrètes pour alléger la charge mentale

L’organisation est un levier essentiel : structurer ses journées en fonction de son efficacité, regrouper les tâches similaires, anticiper les urgences fictives imposées par d’autres… Mais au-delà des méthodes de travail, il faut aussi apprendre à se préserver : pauses régulières, activité physique, cohérence cardiaque, accompagnement psychologique si nécessaire. « Se protéger, c’est aussi protéger son travail et sa créativité », souligne Gaud.


Se respecter pour être respecté

Il existe des solutions et des environnements où le travail du communicant est reconnu à sa juste valeur. « On a le droit de partir si l’on ne se sent plus bien », rappelle Reynald. La clé réside dans la prise de conscience : la communication est un métier essentiel, qui mérite d’être exercé dans de bonnes conditions. « Vous êtes des super-héros du quotidien », conclut Laurent.


Alors, chers communicants, ne vous laissez pas écraser par la charge mentale.

Parlez, posez vos limites et, surtout, rappelez-vous que votre métier est précieux.

Vous méritez respect et reconnaissance !


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Être communicant.e dans une structure à taille humaine, c’est souvent être un "couteau suisse". Gaud Menguy et Reynald Tuillet, responsables de la communication respectivement à Brocéliande Communauté Communauté et à Arâches-la-Frasse, témoignent d’un quotidien où la polyvalence est la règle et où les responsabilités s’accumulent. Entre gestion des supports numériques, production de magazines, événementiel, relations presse et coordination avec les élus, la charge mentale peut rapidement devenir un fardeau.


Les signes avant-coureurs du burn-out

Le stress permanent, l’anxiété, la difficulté à se concentrer, l’épuisement… Autant de symptômes qui alertent sur une surcharge mentale. « C’est un cercle vicieux : plus on est fatigué, plus on fait d’erreurs, et plus on fait d’erreurs, plus on stresse », explique Gaud. La pression des élus, les attentes irréalistes, le manque de moyens et de reconnaissance forment un cocktail explosif qui pousse certains communicants à bout.


Dire non : un acte de courage

Savoir poser des limites est une compétence clé pour préserver son équilibre. « Dire stop, c’est un premier pas vers le mieux-être », affirme Reynald. Pourtant, la peur de déplaire, de ne pas être à la hauteur ou de perdre son emploi empêche beaucoup de communicants de verbaliser leur souffrance. Certains choisissent la confrontation, d’autres se mettent en retrait temporairement ou changent de poste pour retrouver un environnement plus sain.


Des solutions concrètes pour alléger la charge mentale

L’organisation est un levier essentiel : structurer ses journées en fonction de son efficacité, regrouper les tâches similaires, anticiper les urgences fictives imposées par d’autres… Mais au-delà des méthodes de travail, il faut aussi apprendre à se préserver : pauses régulières, activité physique, cohérence cardiaque, accompagnement psychologique si nécessaire. « Se protéger, c’est aussi protéger son travail et sa créativité », souligne Gaud.


Se respecter pour être respecté

Il existe des solutions et des environnements où le travail du communicant est reconnu à sa juste valeur. « On a le droit de partir si l’on ne se sent plus bien », rappelle Reynald. La clé réside dans la prise de conscience : la communication est un métier essentiel, qui mérite d’être exercé dans de bonnes conditions. « Vous êtes des super-héros du quotidien », conclut Laurent.


Alors, chers communicants, ne vous laissez pas écraser par la charge mentale.

Parlez, posez vos limites et, surtout, rappelez-vous que votre métier est précieux.

Vous méritez respect et reconnaissance !


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Les signes avant-coureurs du burn-out

Le stress permanent, l’anxiété, la difficulté à se concentrer, l’épuisement… Autant de symptômes qui alertent sur une surcharge mentale. « C’est un cercle vicieux : plus on est fatigué, plus on fait d’erreurs, et plus on fait d’erreurs, plus on stresse », explique Gaud. La pression des élus, les attentes irréalistes, le manque de moyens et de reconnaissance forment un cocktail explosif qui pousse certains communicants à bout.


Dire non : un acte de courage

Savoir poser des limites est une compétence clé pour préserver son équilibre. « Dire stop, c’est un premier pas vers le mieux-être », affirme Reynald. Pourtant, la peur de déplaire, de ne pas être à la hauteur ou de perdre son emploi empêche beaucoup de communicants de verbaliser leur souffrance. Certains choisissent la confrontation, d’autres se mettent en retrait temporairement ou changent de poste pour retrouver un environnement plus sain.


Des solutions concrètes pour alléger la charge mentale

L’organisation est un levier essentiel : structurer ses journées en fonction de son efficacité, regrouper les tâches similaires, anticiper les urgences fictives imposées par d’autres… Mais au-delà des méthodes de travail, il faut aussi apprendre à se préserver : pauses régulières, activité physique, cohérence cardiaque, accompagnement psychologique si nécessaire. « Se protéger, c’est aussi protéger son travail et sa créativité », souligne Gaud.


Se respecter pour être respecté

Il existe des solutions et des environnements où le travail du communicant est reconnu à sa juste valeur. « On a le droit de partir si l’on ne se sent plus bien », rappelle Reynald. La clé réside dans la prise de conscience : la communication est un métier essentiel, qui mérite d’être exercé dans de bonnes conditions. « Vous êtes des super-héros du quotidien », conclut Laurent.


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Le stress permanent, l’anxiété, la difficulté à se concentrer, l’épuisement… Autant de symptômes qui alertent sur une surcharge mentale. « C’est un cercle vicieux : plus on est fatigué, plus on fait d’erreurs, et plus on fait d’erreurs, plus on stresse », explique Gaud. La pression des élus, les attentes irréalistes, le manque de moyens et de reconnaissance forment un cocktail explosif qui pousse certains communicants à bout.


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Savoir poser des limites est une compétence clé pour préserver son équilibre. « Dire stop, c’est un premier pas vers le mieux-être », affirme Reynald. Pourtant, la peur de déplaire, de ne pas être à la hauteur ou de perdre son emploi empêche beaucoup de communicants de verbaliser leur souffrance. Certains choisissent la confrontation, d’autres se mettent en retrait temporairement ou changent de poste pour retrouver un environnement plus sain.


Des solutions concrètes pour alléger la charge mentale

L’organisation est un levier essentiel : structurer ses journées en fonction de son efficacité, regrouper les tâches similaires, anticiper les urgences fictives imposées par d’autres… Mais au-delà des méthodes de travail, il faut aussi apprendre à se préserver : pauses régulières, activité physique, cohérence cardiaque, accompagnement psychologique si nécessaire. « Se protéger, c’est aussi protéger son travail et sa créativité », souligne Gaud.


Se respecter pour être respecté

Il existe des solutions et des environnements où le travail du communicant est reconnu à sa juste valeur. « On a le droit de partir si l’on ne se sent plus bien », rappelle Reynald. La clé réside dans la prise de conscience : la communication est un métier essentiel, qui mérite d’être exercé dans de bonnes conditions. « Vous êtes des super-héros du quotidien », conclut Laurent.


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