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Les 5 étapes pour Ecrire un Discours qui déchire | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of cover
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Décodeur de la Communication

Les 5 étapes pour Ecrire un Discours qui déchire | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

Les 5 étapes pour Ecrire un Discours qui déchire | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

19min |26/02/2025
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Décodeur de la Communication

Les 5 étapes pour Ecrire un Discours qui déchire | Frédéric Vallois, dircom externe, Prisma Media | Best Of

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Description

Dans ce Best Of du Décodeur, Frédéric Vallois, directeur de la communication du groupe Prisma Média et ancien speechwriter, dévoile les 5 étapes essentielles pour rédiger un discours percutant pour une personnalité influente, comme, par exemple, un grand patron ou un politique.


Comprendre le cadre et l’audience
Avant d’écrire, il est crucial d’identifier le contexte du discours : combien de temps l’orateur aura-t-il ? À qui s’adresse-t-il ? Un dirigeant ne parlera pas de la même manière à ses actionnaires qu'à ses collaborateurs.


Choisir l’angle et la structure
Un discours peut être rationnel, avec des chiffres et des faits, ou émotionnel, en intégrant du storytelling. Le choix dépend du message à faire passer et de l’impact recherché.


Soigner l’introduction et la conclusion
Frédéric compare un discours à un vol en avion : le décollage (introduction) doit capter immédiatement l’attention, et l’atterrissage (conclusion) doit laisser une impression marquante. L’entre-deux déroule les arguments, mais ce sont ces deux moments critiques qui garantissent l’efficacité du discours.


Adapter le texte à l’orateur
Un bon speechwriter ne se contente pas d’écrire : il incarne la voix de celui qui parlera. Il faut connaître ses forces, ses tics de langage et ses préférences pour lui proposer un texte qu’il pourra s’approprier naturellement.


Anticiper les ajustements de dernière minute
Un dirigeant ou un politique peut modifier son discours en fonction du contexte, de la réaction du public ou d’un événement imprévu. Il faut donc préparer plusieurs variantes et accepter que seul « le prononcé fait foi ».


Au-delà des techniques, Vallois insiste sur l’importance de la lecture et de l’inspiration. Un bon discours ne se rédige pas en vase clos : il se nourrit de culture, d’actualité et d’une fine compréhension du monde.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans ce Best Of du Décodeur, Frédéric Vallois, directeur de la communication du groupe Prisma Média et ancien speechwriter, dévoile les 5 étapes essentielles pour rédiger un discours percutant pour une personnalité influente, comme, par exemple, un grand patron ou un politique.


Comprendre le cadre et l’audience
Avant d’écrire, il est crucial d’identifier le contexte du discours : combien de temps l’orateur aura-t-il ? À qui s’adresse-t-il ? Un dirigeant ne parlera pas de la même manière à ses actionnaires qu'à ses collaborateurs.


Choisir l’angle et la structure
Un discours peut être rationnel, avec des chiffres et des faits, ou émotionnel, en intégrant du storytelling. Le choix dépend du message à faire passer et de l’impact recherché.


Soigner l’introduction et la conclusion
Frédéric compare un discours à un vol en avion : le décollage (introduction) doit capter immédiatement l’attention, et l’atterrissage (conclusion) doit laisser une impression marquante. L’entre-deux déroule les arguments, mais ce sont ces deux moments critiques qui garantissent l’efficacité du discours.


Adapter le texte à l’orateur
Un bon speechwriter ne se contente pas d’écrire : il incarne la voix de celui qui parlera. Il faut connaître ses forces, ses tics de langage et ses préférences pour lui proposer un texte qu’il pourra s’approprier naturellement.


Anticiper les ajustements de dernière minute
Un dirigeant ou un politique peut modifier son discours en fonction du contexte, de la réaction du public ou d’un événement imprévu. Il faut donc préparer plusieurs variantes et accepter que seul « le prononcé fait foi ».


Au-delà des techniques, Vallois insiste sur l’importance de la lecture et de l’inspiration. Un bon discours ne se rédige pas en vase clos : il se nourrit de culture, d’actualité et d’une fine compréhension du monde.


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Comprendre le cadre et l’audience
Avant d’écrire, il est crucial d’identifier le contexte du discours : combien de temps l’orateur aura-t-il ? À qui s’adresse-t-il ? Un dirigeant ne parlera pas de la même manière à ses actionnaires qu'à ses collaborateurs.


Choisir l’angle et la structure
Un discours peut être rationnel, avec des chiffres et des faits, ou émotionnel, en intégrant du storytelling. Le choix dépend du message à faire passer et de l’impact recherché.


Soigner l’introduction et la conclusion
Frédéric compare un discours à un vol en avion : le décollage (introduction) doit capter immédiatement l’attention, et l’atterrissage (conclusion) doit laisser une impression marquante. L’entre-deux déroule les arguments, mais ce sont ces deux moments critiques qui garantissent l’efficacité du discours.


Adapter le texte à l’orateur
Un bon speechwriter ne se contente pas d’écrire : il incarne la voix de celui qui parlera. Il faut connaître ses forces, ses tics de langage et ses préférences pour lui proposer un texte qu’il pourra s’approprier naturellement.


Anticiper les ajustements de dernière minute
Un dirigeant ou un politique peut modifier son discours en fonction du contexte, de la réaction du public ou d’un événement imprévu. Il faut donc préparer plusieurs variantes et accepter que seul « le prononcé fait foi ».


Au-delà des techniques, Vallois insiste sur l’importance de la lecture et de l’inspiration. Un bon discours ne se rédige pas en vase clos : il se nourrit de culture, d’actualité et d’une fine compréhension du monde.


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Dans ce Best Of du Décodeur, Frédéric Vallois, directeur de la communication du groupe Prisma Média et ancien speechwriter, dévoile les 5 étapes essentielles pour rédiger un discours percutant pour une personnalité influente, comme, par exemple, un grand patron ou un politique.


Comprendre le cadre et l’audience
Avant d’écrire, il est crucial d’identifier le contexte du discours : combien de temps l’orateur aura-t-il ? À qui s’adresse-t-il ? Un dirigeant ne parlera pas de la même manière à ses actionnaires qu'à ses collaborateurs.


Choisir l’angle et la structure
Un discours peut être rationnel, avec des chiffres et des faits, ou émotionnel, en intégrant du storytelling. Le choix dépend du message à faire passer et de l’impact recherché.


Soigner l’introduction et la conclusion
Frédéric compare un discours à un vol en avion : le décollage (introduction) doit capter immédiatement l’attention, et l’atterrissage (conclusion) doit laisser une impression marquante. L’entre-deux déroule les arguments, mais ce sont ces deux moments critiques qui garantissent l’efficacité du discours.


Adapter le texte à l’orateur
Un bon speechwriter ne se contente pas d’écrire : il incarne la voix de celui qui parlera. Il faut connaître ses forces, ses tics de langage et ses préférences pour lui proposer un texte qu’il pourra s’approprier naturellement.


Anticiper les ajustements de dernière minute
Un dirigeant ou un politique peut modifier son discours en fonction du contexte, de la réaction du public ou d’un événement imprévu. Il faut donc préparer plusieurs variantes et accepter que seul « le prononcé fait foi ».


Au-delà des techniques, Vallois insiste sur l’importance de la lecture et de l’inspiration. Un bon discours ne se rédige pas en vase clos : il se nourrit de culture, d’actualité et d’une fine compréhension du monde.


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