undefined cover
undefined cover
Posture du  Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext cover
Posture du  Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext cover
Décodeur de la Communication

Posture du Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext

Posture du Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext

14min |24/05/2025
Play
undefined cover
undefined cover
Posture du  Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext cover
Posture du  Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext cover
Décodeur de la Communication

Posture du Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext

Posture du Dircom & accompagnement du Dirigeant | Anne-Lise Soleil, dircom de Philips France | Ext

14min |24/05/2025
Play

Description

Aujourd'hui, Anne-Lise Soleil, directrice de la communication et des relations médias de Philips France, revient sans détour sur ce qui fonde, selon elle, la légitimité d’un dircom aujourd’hui : une posture claire et une relation de confiance avec les dirigeants.


Dircom : avant tout une posture

Être dircom, ce n’est pas « mettre des paillettes » sur un PowerPoint ou faire plaisir à tout le monde. C’est assumer une posture, celle d’un stratège aligné sur le business. Pour Anne-Lise, il ne s’agit pas d’imposer par la force mais de faire preuve d’intelligence émotionnelle : savoir dire non, réorienter une demande, rappeler qu’un choix de couleur ou de message n’est jamais neutre mais porte un enjeu de marque.


La communication est un levier stratégique. Encore faut-il en convaincre les bons interlocuteurs : non pas les éternels "Jean-Étienne Delaconta" qui donnent leur avis sur tout, mais les dirigeants et les parties prenantes clés. C’est avec eux que le communicant crée de la valeur. Comme le dit Anne-Lise, « on ne signe pas des leads, mais on éclaire un écosystème ». Et cela demande du courage, de la clarté… et de la hauteur.


Accompagner le dirigeant dans ses prises de parole

Le cœur du métier, pour mon invitée, c’est aussi accompagner le dirigeant dans sa prise de parole. Pas pour parler à sa place, mais pour lui permettre de construire une voix juste, cohérente avec sa personnalité et ses ambitions. Ce travail demande une confiance mutuelle, faite d’échanges réguliers, parfois informels, pour capter ce qui anime réellement le leader. Car le dirigeant n’est pas un logo : il porte à la fois l’image de l’entreprise et sa propre trajectoire.


Travailler ces deux dimensions peut être délicat, surtout quand la personne n’est pas naturellement à l’aise avec l’exposition médiatique. Mais c’est là que le dircom entre en scène, pour former, encourager, challenger. Parce que dans un monde où la communication est omniprésente, ne pas prendre la parole, c’est déjà dire quelque chose. Le rôle du dircom, c’est d’aider le dirigeant à faire entendre la bonne voix — et pas seulement à éviter les faux pas.


Anne-Lise reviendra dans un épisode fleuve où elle vous présentera Philips France, qui n'est pas vraiment ce que vous pensez, ainsi que son job au quotidien.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd'hui, Anne-Lise Soleil, directrice de la communication et des relations médias de Philips France, revient sans détour sur ce qui fonde, selon elle, la légitimité d’un dircom aujourd’hui : une posture claire et une relation de confiance avec les dirigeants.


Dircom : avant tout une posture

Être dircom, ce n’est pas « mettre des paillettes » sur un PowerPoint ou faire plaisir à tout le monde. C’est assumer une posture, celle d’un stratège aligné sur le business. Pour Anne-Lise, il ne s’agit pas d’imposer par la force mais de faire preuve d’intelligence émotionnelle : savoir dire non, réorienter une demande, rappeler qu’un choix de couleur ou de message n’est jamais neutre mais porte un enjeu de marque.


La communication est un levier stratégique. Encore faut-il en convaincre les bons interlocuteurs : non pas les éternels "Jean-Étienne Delaconta" qui donnent leur avis sur tout, mais les dirigeants et les parties prenantes clés. C’est avec eux que le communicant crée de la valeur. Comme le dit Anne-Lise, « on ne signe pas des leads, mais on éclaire un écosystème ». Et cela demande du courage, de la clarté… et de la hauteur.


Accompagner le dirigeant dans ses prises de parole

Le cœur du métier, pour mon invitée, c’est aussi accompagner le dirigeant dans sa prise de parole. Pas pour parler à sa place, mais pour lui permettre de construire une voix juste, cohérente avec sa personnalité et ses ambitions. Ce travail demande une confiance mutuelle, faite d’échanges réguliers, parfois informels, pour capter ce qui anime réellement le leader. Car le dirigeant n’est pas un logo : il porte à la fois l’image de l’entreprise et sa propre trajectoire.


Travailler ces deux dimensions peut être délicat, surtout quand la personne n’est pas naturellement à l’aise avec l’exposition médiatique. Mais c’est là que le dircom entre en scène, pour former, encourager, challenger. Parce que dans un monde où la communication est omniprésente, ne pas prendre la parole, c’est déjà dire quelque chose. Le rôle du dircom, c’est d’aider le dirigeant à faire entendre la bonne voix — et pas seulement à éviter les faux pas.


Anne-Lise reviendra dans un épisode fleuve où elle vous présentera Philips France, qui n'est pas vraiment ce que vous pensez, ainsi que son job au quotidien.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Aujourd'hui, Anne-Lise Soleil, directrice de la communication et des relations médias de Philips France, revient sans détour sur ce qui fonde, selon elle, la légitimité d’un dircom aujourd’hui : une posture claire et une relation de confiance avec les dirigeants.


Dircom : avant tout une posture

Être dircom, ce n’est pas « mettre des paillettes » sur un PowerPoint ou faire plaisir à tout le monde. C’est assumer une posture, celle d’un stratège aligné sur le business. Pour Anne-Lise, il ne s’agit pas d’imposer par la force mais de faire preuve d’intelligence émotionnelle : savoir dire non, réorienter une demande, rappeler qu’un choix de couleur ou de message n’est jamais neutre mais porte un enjeu de marque.


La communication est un levier stratégique. Encore faut-il en convaincre les bons interlocuteurs : non pas les éternels "Jean-Étienne Delaconta" qui donnent leur avis sur tout, mais les dirigeants et les parties prenantes clés. C’est avec eux que le communicant crée de la valeur. Comme le dit Anne-Lise, « on ne signe pas des leads, mais on éclaire un écosystème ». Et cela demande du courage, de la clarté… et de la hauteur.


Accompagner le dirigeant dans ses prises de parole

Le cœur du métier, pour mon invitée, c’est aussi accompagner le dirigeant dans sa prise de parole. Pas pour parler à sa place, mais pour lui permettre de construire une voix juste, cohérente avec sa personnalité et ses ambitions. Ce travail demande une confiance mutuelle, faite d’échanges réguliers, parfois informels, pour capter ce qui anime réellement le leader. Car le dirigeant n’est pas un logo : il porte à la fois l’image de l’entreprise et sa propre trajectoire.


Travailler ces deux dimensions peut être délicat, surtout quand la personne n’est pas naturellement à l’aise avec l’exposition médiatique. Mais c’est là que le dircom entre en scène, pour former, encourager, challenger. Parce que dans un monde où la communication est omniprésente, ne pas prendre la parole, c’est déjà dire quelque chose. Le rôle du dircom, c’est d’aider le dirigeant à faire entendre la bonne voix — et pas seulement à éviter les faux pas.


Anne-Lise reviendra dans un épisode fleuve où elle vous présentera Philips France, qui n'est pas vraiment ce que vous pensez, ainsi que son job au quotidien.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Aujourd'hui, Anne-Lise Soleil, directrice de la communication et des relations médias de Philips France, revient sans détour sur ce qui fonde, selon elle, la légitimité d’un dircom aujourd’hui : une posture claire et une relation de confiance avec les dirigeants.


Dircom : avant tout une posture

Être dircom, ce n’est pas « mettre des paillettes » sur un PowerPoint ou faire plaisir à tout le monde. C’est assumer une posture, celle d’un stratège aligné sur le business. Pour Anne-Lise, il ne s’agit pas d’imposer par la force mais de faire preuve d’intelligence émotionnelle : savoir dire non, réorienter une demande, rappeler qu’un choix de couleur ou de message n’est jamais neutre mais porte un enjeu de marque.


La communication est un levier stratégique. Encore faut-il en convaincre les bons interlocuteurs : non pas les éternels "Jean-Étienne Delaconta" qui donnent leur avis sur tout, mais les dirigeants et les parties prenantes clés. C’est avec eux que le communicant crée de la valeur. Comme le dit Anne-Lise, « on ne signe pas des leads, mais on éclaire un écosystème ». Et cela demande du courage, de la clarté… et de la hauteur.


Accompagner le dirigeant dans ses prises de parole

Le cœur du métier, pour mon invitée, c’est aussi accompagner le dirigeant dans sa prise de parole. Pas pour parler à sa place, mais pour lui permettre de construire une voix juste, cohérente avec sa personnalité et ses ambitions. Ce travail demande une confiance mutuelle, faite d’échanges réguliers, parfois informels, pour capter ce qui anime réellement le leader. Car le dirigeant n’est pas un logo : il porte à la fois l’image de l’entreprise et sa propre trajectoire.


Travailler ces deux dimensions peut être délicat, surtout quand la personne n’est pas naturellement à l’aise avec l’exposition médiatique. Mais c’est là que le dircom entre en scène, pour former, encourager, challenger. Parce que dans un monde où la communication est omniprésente, ne pas prendre la parole, c’est déjà dire quelque chose. Le rôle du dircom, c’est d’aider le dirigeant à faire entendre la bonne voix — et pas seulement à éviter les faux pas.


Anne-Lise reviendra dans un épisode fleuve où elle vous présentera Philips France, qui n'est pas vraiment ce que vous pensez, ainsi que son job au quotidien.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like