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Réussir ses 100 premiers jours en tant que nouveau Dircom | Marc Thébault, MT Conseil & Formation | Best Of cover
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Décodeur de la Communication

Réussir ses 100 premiers jours en tant que nouveau Dircom | Marc Thébault, MT Conseil & Formation | Best Of

Réussir ses 100 premiers jours en tant que nouveau Dircom | Marc Thébault, MT Conseil & Formation | Best Of

31min |19/02/2025
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31min |19/02/2025
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Description

Ça y est, vous êtes nommé(e) directeur ou directrice de la communication ! Un poste prestigieux, mais aussi une grande responsabilité. Les 100 premiers jours sont cruciaux pour poser les bases de votre action et prouver votre valeur. Marc Thébault, fondateur de Marc Thébault Conseil, vous livre ses conseils pour réussir cette période clé.


4 prises de contact essentielles

Marc identifie 4 prises de contact prioritaires pour un nouveau dircom :

  1. Son équipe : Comprendre les dynamiques internes et créer une relation de confiance.

  2. Les élus : Identifier leurs attentes et leurs priorités politiques.

  3. L’administration : S’aligner avec les services pour assurer une communication efficace.

  4. L’environnement : Nouer des relations avec la presse, les réseaux professionnels et les acteurs locaux.


La position du dircom : service ou direction ?

Un détail, en apparence anodin, peut tout changer : le dircom dirige-t-il une véritable direction ou un simple service de communication ? Ce positionnement dans l’organigramme conditionne son influence et sa participation aux décisions stratégiques. Un dircom en comité de direction a un rôle de conseil et d’anticipation, tandis qu’un responsable d’un service de communication risque d’être cantonné à un rôle exécutif.


Clarifier ses missions et éviter les mauvaises surprises

Un poste peut sembler attractif sur le papier, mais la réalité est parfois différente. Marc insiste sur l'importance de vérifier ce qui est réellement attendu du dircom et à qui il rend compte. Son rôle est-il purement technique ou a-t-il une marge de manœuvre stratégique ?


Gagner la confiance de son équipe

Arriver en terrain conquis est une erreur. Un dircom doit rencontrer individuellement chaque membre de son équipe pour écouter, comprendre et s’imprégner des dynamiques existantes. Certaines personnes accueilleront le changement avec enthousiasme, d’autres seront plus réticentes. Une bonne prise de contact permet d’éviter les résistances et de poser les bases d’un travail collectif efficace.


Auditer les outils et le budget

Avant d’imposer sa vision, le dircom doit faire un état des lieux des outils existants : supports de communication, prestataires, projets en cours… Un audit du budget est aussi indispensable. Certains engagements sont déjà pris, d’autres peuvent être renégociés. Savoir où en est l’argent disponible permet d’anticiper et d’éviter les mauvaises surprises.


Choisir ses prestataires avec intelligence

Un nouveau dircom peut être tenté d’arriver avec ses propres prestataires, mais cela peut être contre-productif. Il est essentiel d’évaluer les partenaires existants, d’explorer les ressources locales et de s’ouvrir à de nouvelles collaborations. Changer pour changer n’a aucun intérêt, mais identifier les meilleurs talents pour chaque besoin est un atout stratégique.


Les 100 premiers jours d’un dircom sont intenses et demandent une grande capacité d’adaptation. Il faut jongler entre stratégie et opérationnel, diplomatie et prise de décision, tout en construisant son autorité.


Pour vous abonner à la newsletter : https://podcast.ausha.co/decodeur-de-la-communication?s=1 


Très bonne écoute et abonnez-vous au Décodeur de la com !


Laurent FRANCOIS, papa de l'agence Maverick & du Décodeur de la com


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Ça y est, vous êtes nommé(e) directeur ou directrice de la communication ! Un poste prestigieux, mais aussi une grande responsabilité. Les 100 premiers jours sont cruciaux pour poser les bases de votre action et prouver votre valeur. Marc Thébault, fondateur de Marc Thébault Conseil, vous livre ses conseils pour réussir cette période clé.


4 prises de contact essentielles

Marc identifie 4 prises de contact prioritaires pour un nouveau dircom :

  1. Son équipe : Comprendre les dynamiques internes et créer une relation de confiance.

  2. Les élus : Identifier leurs attentes et leurs priorités politiques.

  3. L’administration : S’aligner avec les services pour assurer une communication efficace.

  4. L’environnement : Nouer des relations avec la presse, les réseaux professionnels et les acteurs locaux.


La position du dircom : service ou direction ?

Un détail, en apparence anodin, peut tout changer : le dircom dirige-t-il une véritable direction ou un simple service de communication ? Ce positionnement dans l’organigramme conditionne son influence et sa participation aux décisions stratégiques. Un dircom en comité de direction a un rôle de conseil et d’anticipation, tandis qu’un responsable d’un service de communication risque d’être cantonné à un rôle exécutif.


Clarifier ses missions et éviter les mauvaises surprises

Un poste peut sembler attractif sur le papier, mais la réalité est parfois différente. Marc insiste sur l'importance de vérifier ce qui est réellement attendu du dircom et à qui il rend compte. Son rôle est-il purement technique ou a-t-il une marge de manœuvre stratégique ?


Gagner la confiance de son équipe

Arriver en terrain conquis est une erreur. Un dircom doit rencontrer individuellement chaque membre de son équipe pour écouter, comprendre et s’imprégner des dynamiques existantes. Certaines personnes accueilleront le changement avec enthousiasme, d’autres seront plus réticentes. Une bonne prise de contact permet d’éviter les résistances et de poser les bases d’un travail collectif efficace.


Auditer les outils et le budget

Avant d’imposer sa vision, le dircom doit faire un état des lieux des outils existants : supports de communication, prestataires, projets en cours… Un audit du budget est aussi indispensable. Certains engagements sont déjà pris, d’autres peuvent être renégociés. Savoir où en est l’argent disponible permet d’anticiper et d’éviter les mauvaises surprises.


Choisir ses prestataires avec intelligence

Un nouveau dircom peut être tenté d’arriver avec ses propres prestataires, mais cela peut être contre-productif. Il est essentiel d’évaluer les partenaires existants, d’explorer les ressources locales et de s’ouvrir à de nouvelles collaborations. Changer pour changer n’a aucun intérêt, mais identifier les meilleurs talents pour chaque besoin est un atout stratégique.


Les 100 premiers jours d’un dircom sont intenses et demandent une grande capacité d’adaptation. Il faut jongler entre stratégie et opérationnel, diplomatie et prise de décision, tout en construisant son autorité.


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4 prises de contact essentielles

Marc identifie 4 prises de contact prioritaires pour un nouveau dircom :

  1. Son équipe : Comprendre les dynamiques internes et créer une relation de confiance.

  2. Les élus : Identifier leurs attentes et leurs priorités politiques.

  3. L’administration : S’aligner avec les services pour assurer une communication efficace.

  4. L’environnement : Nouer des relations avec la presse, les réseaux professionnels et les acteurs locaux.


La position du dircom : service ou direction ?

Un détail, en apparence anodin, peut tout changer : le dircom dirige-t-il une véritable direction ou un simple service de communication ? Ce positionnement dans l’organigramme conditionne son influence et sa participation aux décisions stratégiques. Un dircom en comité de direction a un rôle de conseil et d’anticipation, tandis qu’un responsable d’un service de communication risque d’être cantonné à un rôle exécutif.


Clarifier ses missions et éviter les mauvaises surprises

Un poste peut sembler attractif sur le papier, mais la réalité est parfois différente. Marc insiste sur l'importance de vérifier ce qui est réellement attendu du dircom et à qui il rend compte. Son rôle est-il purement technique ou a-t-il une marge de manœuvre stratégique ?


Gagner la confiance de son équipe

Arriver en terrain conquis est une erreur. Un dircom doit rencontrer individuellement chaque membre de son équipe pour écouter, comprendre et s’imprégner des dynamiques existantes. Certaines personnes accueilleront le changement avec enthousiasme, d’autres seront plus réticentes. Une bonne prise de contact permet d’éviter les résistances et de poser les bases d’un travail collectif efficace.


Auditer les outils et le budget

Avant d’imposer sa vision, le dircom doit faire un état des lieux des outils existants : supports de communication, prestataires, projets en cours… Un audit du budget est aussi indispensable. Certains engagements sont déjà pris, d’autres peuvent être renégociés. Savoir où en est l’argent disponible permet d’anticiper et d’éviter les mauvaises surprises.


Choisir ses prestataires avec intelligence

Un nouveau dircom peut être tenté d’arriver avec ses propres prestataires, mais cela peut être contre-productif. Il est essentiel d’évaluer les partenaires existants, d’explorer les ressources locales et de s’ouvrir à de nouvelles collaborations. Changer pour changer n’a aucun intérêt, mais identifier les meilleurs talents pour chaque besoin est un atout stratégique.


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  1. Son équipe : Comprendre les dynamiques internes et créer une relation de confiance.

  2. Les élus : Identifier leurs attentes et leurs priorités politiques.

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  4. L’environnement : Nouer des relations avec la presse, les réseaux professionnels et les acteurs locaux.


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Un poste peut sembler attractif sur le papier, mais la réalité est parfois différente. Marc insiste sur l'importance de vérifier ce qui est réellement attendu du dircom et à qui il rend compte. Son rôle est-il purement technique ou a-t-il une marge de manœuvre stratégique ?


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Avant d’imposer sa vision, le dircom doit faire un état des lieux des outils existants : supports de communication, prestataires, projets en cours… Un audit du budget est aussi indispensable. Certains engagements sont déjà pris, d’autres peuvent être renégociés. Savoir où en est l’argent disponible permet d’anticiper et d’éviter les mauvaises surprises.


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Un nouveau dircom peut être tenté d’arriver avec ses propres prestataires, mais cela peut être contre-productif. Il est essentiel d’évaluer les partenaires existants, d’explorer les ressources locales et de s’ouvrir à de nouvelles collaborations. Changer pour changer n’a aucun intérêt, mais identifier les meilleurs talents pour chaque besoin est un atout stratégique.


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