Speaker #0Parfois, on croit qu'on a besoin d'une réponse. Mais en fait, ce qu'on cherche vraiment, c'est un espace pour entendre la nôtre de questions. Dans cet épisode, je vous partage ce que j'ai vécu pendant une retraite où deux personnes ont trouvé leur propre solution. Pas parce qu'on leur a donné la solution, mais parce qu'elles ont pu, doucement, les faire émerger d'elles-mêmes. Et peut-être que ça, ça vous parlera aussi tout de suite après ceci. Bonjour ! Bonjour à vous qui avez décidé de changer votre relation automne. Entre temps, il y a le podcast qui est fait par vous. Nous allons réellement voir le temps d'une autre manière, un autre regard sur votre temps, et je vous emmène dans cette aventure qui vous offrira de retrouver du temps prévu, mais aussi plus de sérénité au quotidien. Bonjour, bonjour à vous. Très heureux d'être ici aujourd'hui avec vous. C'est Jean-Claude, Jean-Claude Blémont derrière le micro. Et aujourd'hui, j'aimerais vous parler de quelque chose d'essentiel. C'est une idée simple, mais souvent on l'a oubliée. Quand la solution vient de soi, elle a beaucoup plus de chances de durer. Pendant la dernière retraite que j'ai accompagnée, c'était le sujet du poste précédent, eh bien j'ai vu cela se passer. pas besoin d'intervenir de conseiller de structurer à tout prix et pourtant vous qui m'écoutez vous savez comment la structure j'y tiens mais il fallait juste peut-être être là écouter poser les bonnes questions et je ne dirai pas par magie mais les réponses sont venues elles étaient claires simples évidentes Et vous savez pourquoi ? Parce qu'elles venaient d'elles. C'était leur réponse, ce n'était pas celle que moi j'imposais. Alors dans cet épisode, je vais vous raconter cette expérience, je vous partagerai le pourquoi, dans nos vies surchargées, il est parfois bien plus puissant d'ouvrir un espace, comme cette retraite, que de chercher absolument une méthode pour solutionner un problème donné. Je vais vous partager trois points de vue, à vous de voir si ça résonne avec vous et si vous pouvez en faire quelque chose dans votre quotidien. Tout d'abord, le premier point, c'est ce que j'appelle le piège des solutions toutes faites. Et souvent, on accompagne ça du yaka. On a parfois cette tentation ou cette pression de vouloir aider vite et bien. alors que parfois c'est préférable de donner le temps et surtout de l'écoute. Le deuxième point, ce sera de comment ouvrir un espace d'écoute et surtout de confiance. Parce que pour pouvoir parler de son propre problème, moi, personnellement, je dois être en confiance. Je ne vais pas commencer à discuter de mes problèmes de temps, si j'en ai encore, avec toute personne comme ça. Non, j'ai besoin de confiance. Et donc ça, c'est ce que... Nous avons vécu également dans cette retraite, il y a un moment, pour créer cette confiance et qui va permettre par la suite une écoute attentive. Et le troisième point que nous verrons, c'est quand ça vient de soi, ça tient. Une solution qui vient de l'intérieur, ce n'est pas forcément spectaculaire, mais bon sang, elle vous colle à la peau. Elle tient parce qu'elle fait du sens et surtout... Parce que c'est la vôtre. Voilà, ce sont ces trois points, trois points de vue que je voudrais partager tout de suite avec vous. Commençons par ce piège des solutions toutes faites. Parfois, on veut aider quand on est coach, mentor ou même professeur. On veut vraiment aider et ça c'est bien, il n'y a aucun souci avec ça. On voit quelqu'un en difficulté, on l'écoute et tout de suite, on pense à une solution. Une solution, laquelle ? La nôtre. Celle qu'on appliquerait si nous étions en face de ce problème. Ça peut être un outil. Ah tiens, tu n'as qu'à utiliser ce Pomodoro. Ou c'est un conseil. Pourquoi tu ne fais pas des blocs dans ton agenda ? Ou une méthode qu'on connaît bien. Telle et telle méthode, et voilà, je vous la conseille. Et on se dit, tiens, je vais lui donner ça, ça va lui faire du bien. Mais la vérité, parfois, pour ne pas dire souvent, c'est que même la meilleure solution du monde, si elle ne vient pas de la personne elle-même, si cette personne ne se l'approprie pas, elle a peu de chances de tenir dans le temps. Bien sûr, elle va apporter une solution temporaire, elle va apporter une solution immédiate, mais est-ce qu'elle va être durable ? Et moi, c'est ça qui m'intéresse. C'est que cette solution, elle soit durable. C'est pour ça que je vous ai parlé la semaine passée d'ancrer cette solution dans quelque chose qui est très fort. Ce qui est essentiel pour vous, vos valeurs, vos priorités. J'ai malheureusement vu ça souvent, et j'en suis également un exemplaire vivant dans mon passé. J'ai vu pas mal de mes collègues, et moi-même, On sortait d'un coaching, d'un séminaire, d'un livre que j'ai lu par exemple, d'une méthode toute faite. J'ai essayé, ils ont essayé, j'ai appliqué, ils ont appliqué aussi. Et puis, après un certain temps, quand on s'est retrouvé, ça retombe. En fait, on avait compris une partie, ça ne venait pas vraiment de nous, ce n'était pas adapté à notre situation, ça fonctionnait, mais c'était un peu trop compliqué sur la distance. et simplement Simplement, quand je me suis reposé cette question dans mon passé, dans les expériences que j'ai eues, c'était parce que ce n'était pas aligné avec ma manière d'être. Ce n'était pas aligné à ma réalité, ce n'était pas non plus aligné avec mes envies profondes de ce que je voulais réellement faire. Et plus on impose, même gentiment, plus on risque de couper la personne de sa propre capacité à se connecter à ce qui est juste pour elle. Dans mon exemple, on m'avait dit, il faut absolument trouver des moments où vous n'êtes pas du tout dérangé. Oui, mais quand j'étais directeur du département informatique, vous pouvez imaginer qu'il y avait des dérangements. Il y avait toujours quelque chose qui devait être discuté avec moi, bien que j'avais délégué. Mais à un certain moment, c'est quand même moi qui étais quelque part le capitaine du bateau. Et si à un certain moment, il fallait faire un virement de bord... voilà je devais au moins être dans la décision donc ce qui veut dire qu'il y avait énormément de passage chez moi simplement fermer ma porte pendant trois heures c'était pas une solution viable pour moi et pourtant c'est ce que parfois on recommande de s'isoler pour pouvoir faire les choses alors je vous dirais j'ai trouvé moi une solution une solution qui était plus adaptée à ce que je voulais réaliser qu'est ce que je voulais réaliser en fait Ma profonde envie, c'était de pouvoir travailler sur certains de mes projets pour faire avancer le département. Et pour ça, j'avais besoin, chaque jour, ou pratiquement chaque jour, de moments où je pouvais me concentrer. Et donc, ce que j'ai fait, c'est rien plus de montrer sur une petite feuille, qui était un agenda, une feuille d'agenda, sur laquelle j'ai mis trois périodes très particulières. J'ai mis la période rouge. celle où j'aimerais qu'on ne me dérange pas. Mais ma porte était ouverte. Donc je laissais la décision aux personnes et je les aidais dans la prise de décision. C'est-à-dire, moi je les guidais. Vous pouvez me déranger absolument si c'est urgent et tellement important que vous ne pouvez pas faire sans moi. Ensuite, j'avais d'autres périodes qui étaient des périodes oranges. Vous pouvez entrer, je suis occupé. mais vous pouvez entrer si c'est réellement important. Ici, vous avez besoin de moi pour pouvoir continuer. Et ensuite, il y avait des zones que j'avais mises, des zones vertes, des zones fleuries presque, mais qui étaient, voilà, vous pouvez entrer, il n'y a aucun problème, je suis disponible, je fais toute une série d'activités qui ne nécessitent pas forcément une attention profonde, donc je peux être dérangé. c'est par exemple lire mon courrier, classer certains documents. J'avais des moments comme ça dans ma journée. Et ce petit élément de couleur, un peu comme les feux multicolores, donnait une information très précise à mes collaborateurs s'ils pouvaient entrer et me déranger. Rouge, vaut mieux pas passer. Orange, c'est à vos risques et périls. Et vert, c'est vous, vous pouvez y aller. Donc voilà, ça c'est une solution que moi j'ai adaptée. et qui allait très bien à ma façon de faire, parce qu'elle était cette solution, elle était à la fois en ligne avec mon besoin, mes nécessités, mais également répondait aux personnes qui travaillaient avec moi et à leurs besoins un certain moment de me voir. Le deuxième élément que j'aimerais vous soumettre, c'est de pouvoir ouvrir un certain moment un espace d'écoute et de confiance, comme je l'ai dit. Pendant la retraite à Maretsu, j'ai décidé de ne rien imposer. Ça, c'était quand même un fameux challenge pour moi, moi qui aime bien quand même contrôler certaines choses. C'était un peu, comme je vous l'ai dit, une manière de s'effiler. Il n'y avait donc pas de programme rigide, pas d'affaires ni d'il faut. mais juste un cadre il est très clair mais il était souple ce cadre c'était à la fin de notre retraite mon objectif ma promesse c'est que vous retourniez avec les solutions ou du moins quelques solutions pour répondre à vos fameux cinq points et j'ai vu les deux personnes arriver avec leurs questions surtout leurs tensions et parfois j'avais un peu cette impression qu'elles voulaient des réponses absolument j'allais leur donner des réponses et en fait Je n'ai rien fait d'autre que d'ouvrir un espace. C'est un espace lent. On a fait du slow time, comme je vous ai dit. C'est-à-dire qu'on a pris le temps de déposer les choses sans pression, sans urgence, d'une manière sereine. Et on peut dire que les choses se sont déroulées sans être absolument coupées par un timing qui était le coup près de dire « maintenant c'est terminé » . Mais j'ai laissé également des espaces de silence. C'est-à-dire qu'on pouvait se taire, ne rien dire, simplement réfléchir. Et dans ce silence, il y a eu aussi une confiance. Pourquoi ? Parce que le silence, c'est quelque chose qui pèse. On a envie de dire quelque chose. On a envie de casser ce silence. Et moi, je l'ai laissé aller. Et quelque chose d'essentiel est apparu pendant ces moments de silence, parce que, étant donné qu'on était dans la réflexion, dans le silence, on ne devait pas absolument parler, je ne devais pas aussi. parler et dire des choses, leurs propres réponses sont apparues. Alors ça pouvait être simplement parfois un mot ou un geste qu'elles allaient pouvoir faire, mais peu à peu, on a mis des mots sur ce qu'elles voulaient vraiment changer. On a ancré avec un E, on a ancré ce qu'elles voulaient changer, pas pour bien faire, pas pour répondre à une attente, mais parce que ça sonnait juste pour elles. Et là, le changement commence à prendre racine. Je me souviens d'une expérience que j'ai vécue et que j'aimerais partager avec vous. Je suis jeune responsable du département informatique. Quand je dis jeune, j'avais dans la trentaine, ça avait bien fonctionné pour moi. Et j'avais une équipe et j'aurais aimé avoir plus de contacts un peu informels et en dehors du lieu de travail avec des personnes, parce que j'avais envie de mieux les connaître, mais j'avais aussi envie... que cette équipe petit à petit se forme en dehors aussi du domaine de travail. Et donc ce que j'avais proposé et petit à petit instauré, qui était ma solution, c'était de prendre un verre dans un petit café qu'il y avait juste à côté du bureau, tous les vendredis à 5 heures après la journée de travail. Et au début, il y a eu quelques personnes qui sont venues, pratiquement à la moitié du département, j'avais une vingtaine de personnes, donc on était une petite dizaine. C'était super. Mais j'ai remarqué deux choses. Tout d'abord, assez rapidement, lors de cette première, après le premier verre, les personnes sont parties. Et on est resté quatre ou cinq. Et puis, semaine après semaine, le groupe s'est réduit. Et finalement, nous n'étions plus que trois ou quatre, et encore parfois simplement avec un de mes collègues privilégiés qui était sur place et qui m'accompagnait. Donc je me suis dit, bon ben voilà, c'est un échec, mais je ne voulais pas simplement tourner la page et arrêter comme ça. Donc, lors d'une réunion d'équipe formelle dans le bureau, dans l'espace de travail, j'ai dit ceci. Bien voilà, je pensais pouvoir vous réunir et que vous ayez un moment un peu informel pour faire plus ample connaissance. C'était le vendredi... à 5 heures, mais apparemment, ça ne vous intéresse pas, donc je vais annuler ce genre de choses. Petit silence. Et puis, il y a une personne qui lève la main et qui me dit ceci. Elle me dit, Jean-Claude, c'est pas qu'on ne veut pas, c'est pas qu'on n'aime pas. Ce n'est pas qu'on aimerait faire ce genre de choses, mais voilà, tu sais, le vendredi soir, on a tous une envie de rentrer et de voir notre famille sur un rythme un peu plus lent, puisqu'on va préparer le week-end. On va voir les enfants, on va manger, on peut aller au restaurant. On fait des choses sans famille. Et donc, rester un peu plus tard, c'est prendre du temps, c'est se faire de famille. Et là, je reçois un peu le feedback et je l'applique à moi aussi. Je me dis, oui, moi aussi, je pourrais très bien retourner un peu plus rapidement chez moi. Et je dis, bon, ben voilà. Il dit, oui, mais ce n'est pas tout. Ce qu'on voudrait te proposer, écoutez bien ce qu'ils vont me dire. Là, j'étais à 100 000 kilomètres de pouvoir penser qu'ils allaient me dire ça. Ce qu'on voudrait te proposer, c'est que nous nous voyions le samedi. Que ? Le samedi ? Oui, le samedi, et nous pourrions venir avec la famille. Et nous ferions une activité qui pourrait durer plus longtemps. C'est-à-dire qu'on pourrait commencer au matin et aller jusqu'à l'après-midi. Waouh ! Alors, si vous pensez que moi, j'aurais osé proposer ça, je pense que vous me connaissez mal, parce que le week-end, c'est un temps de respect. Je ne veux pas y mettre des activités, quelles qu'elles soient. Eh bien, c'est pourtant ce qu'ils me proposaient. Et pas simplement un, ils étaient tous d'accord sur cette chose-là. Et donc, je leur ai dit, mais vous savez, la société ne va pas contribuer. Non, ce sera sur notre propre denier. Nous allons... nous-mêmes financer ces activités-là. Et vous savez ce qu'ils ont trouvé ? J'ai trouvé ça génial, mais jamais moi je ne l'y aurais pensé. Eh bien, j'avais un groupe de personnes qui étaient des Christians néerlandaises, donc des Flamands et des Wallons. Et donc ils se sont mis un peu à dire ce qu'on ferait, c'est une fois par mois ou une fois tous les deux mois, on va se voir avec la famille, on va se retrouver dans un endroit, soit en Wallonie, et puis on alternera en Flandre, et vice-versa, et on va vous faire découvrir un endroit que normalement vous ne connaissez pas, ou du moins qui n'est pas un endroit très touristique, ou qui est touristique mais qu'on ne vient pas voir en premier lieu quand on est de l'autre région. Et bien je peux vous dire que c'était fantastique, la première réunion, je pense que nous étions plus de 30 personnes, avec les enfants, et ça a été réellement des moments... de joie agréable. Et c'est quoi finalement ce que j'ai appris ce jour-là ? C'est que quand la solution vient d'eux, sur base de ce que je voulais faire, la mission, en quelque sorte, c'était qu'ils se rencontrent, mais que la manière de le faire vienne d'eux, je peux vous dire qu'on a fait ça pendant plus de deux ans. Voilà. Dans mon enthousiasme, j'ai déjà un peu débordé sur le troisième point, c'est que quand ça vient de soi, ça tient. C'est exactement ce que je vous ai décrit dans cette expérience que j'avais avec mon équipe. Mais ce que j'ai vu, c'est que des engagements les plus forts, ce ne sont pas ceux souvent qui sont prescrits. Ce sont ceux qu'on choisit. Et je dirais presque librement, mais en plus profondément. C'est-à-dire vraiment bien ancré avec soi. Et donc, pour revenir à la retraite, chacun a trouvé un mot-clé ou un mantra ou un geste pour symboliser ce qu'elle voulait garder. Et vous vous souvenez que j'avais commencé également, sans trop savoir ce qui allait se passer, de choisir un petit objet qu'elle pouvait revenir chez elle, une fois qu'elles étaient de nouveau dans le flux quotidien, de telle sorte qu'elles pouvaient se rappeler les bonnes décisions. les bonnes directions qu'elles avaient décidé de prendre. Bon, cet objet, c'est parfois très simple, c'est un petit collier où c'était un bruit de parfum, mais c'est quelque chose que si elle l'utilisait, elle allait automatiquement se rappeler cette retraite à Maritz. Mais surtout, ce avec quoi elles sont reparties, ce sont des décisions, et là j'aime bien les nommer réalistes. Vous vous souvenez, j'avais parlé de ça. Est-ce que c'est réaliste ? ce que tu proposes pour remettre cette pièce en ordre. Donc ce n'est pas des résolutions de nouvel an, qu'on prend le 2 et que le 8 sont déjà oubliés. Non, ce n'est pas ça du tout. Ce sont des actes concrets. Ce sont des petits changements. Il ne faut pas que ce soit des grands bouleversements dans l'emploi du temps. Des petits changements, mais surtout des petits pas. Une nouvelle manière parfois aussi de dire non à d'autres choses. Et surtout, de s'écouter. Et vous savez quoi ? C'est ça qui dure. Parce que ça a germé doucement en elle. Ça a pris le temps d'infuser. C'est comme un thé. Il faut que ça prenne le temps d'infuser. Si vous n'avez de l'eau chaude, tac, tac, ça ne va pas avoir de goût, vous allez boire de l'eau chaude, c'est tout. Mais si vous prenez le temps... et la patience de laisser infuser 3, 5, 7 minutes, parfois dépendant du thé, eh bien, vous allez voir que vous sortez avec des choses qui vont réellement prendre une dimension différente. C'est surtout, en fait, une prise de conscience. Et ça commence par l'intérieur. C'est ce mouvement de l'intérieur qui va faire que l'extérieur va bouger. Et quand ça part de là, je peux vous dire qu'on avance un pas après l'autre. mais ça continue d'avancer vraiment. Voilà, j'espère que ça a résonné avec vous. Et ici, je devais résumer. Ce que j'aimerais que vous reteniez de cet épisode, c'est ceci. Quand une solution vient de nous, quand une solution vient de vous, elle s'enracine plus profondément. Ça, ça vient de l'ancrage à ce qui est essentiel pour vous, à vos priorités, à vos objectifs. Et ces décisions sont liées à quelque chose de plus grand que simplement la tâche qui doit être faite. Ça devient votre choix. Ce n'est pas une obligation. Et c'est là que ça prend toute sa force. C'est votre choix. Ce n'est pas quelque chose qui est forcé. Et c'est donc ça qui est la force. C'est pas qu'on n'a pas besoin d'aide, c'est pas ça que je veux dire. Mais parfois, la meilleure aide, c'est d'avoir quelqu'un à nos côtés, simplement qui écoute, qui accueille, et qui nous laisse retrouver notre propre chemin. Voilà, on a exploré aujourd'hui le piège des solutions toutes faites. Nous ne sommes pas one size fits all, comme les casquettes, ça ne fonctionne pas pour tout le monde. J'ai rencontré des personnes qui n'aimaient pas les casquettes One Side Fit All. Si vous voyez ce que je veux dire, on peut l'ajuster à votre tête. Ils préfèrent une casquette qui est à la bonne taille. Et c'est vrai que ça fait une petite différence. Mais on a vu aussi la puissance d'un espace d'écoute, d'écoute réelle. On peut s'exprimer, on peut s'exprimer en confiance. Et cette évidence qui est simple, mais qu'on a souvent oublié, et que je vous ai dit. au départ quand ça vient de soi ça tient voilà je voudrais vous proposer aussi un mantra que vous pourriez garder en tête si vous désirez c'est celui-ci ce que je découvre par moi-même je l'incarne pour longtemps et vous est-ce que ça vous parle est-ce que vous avez déjà vécu ce genre de moment où tout s'éclaire Pas parce qu'on allume la lumière, tout s'éclaire de l'intérieur. Non, pas parce qu'on vous a dit quoi faire, mais parce que vous l'avez senti de l'intérieur. Cette boule au ventre qui se transforme en papillon. C'est ça. Alors, je serais vraiment heureux de lire vos retours, vos partages, si vous le désirez. Il y a, bien entendu, tous les liens dans le jingle de fin. Il faut écouter le jingle de fin, bien entendu, souvent dans un podcast, c'est ce qu'on coupe. mais il y a pas mal d'informations là-bas si vous souhaitez m'écrire ou tout simplement poursuivre cette réflexion ce sera avec très grand plaisir et si vous voulez aller plus loin je vous ai donné un petit complément vous trouverez aussi des ressources complémentaires sur mon site oruposa.com donc O R U P O S A .com dans la rubrique podcast et si vous allez dans cette rubrique-là dans cette page-là vous allez bien entendu avoir l'épisode du jour Mais vous aurez également accès à toutes les plateformes sur lesquelles l'épisode est dédié. Et, ce que je voulais vous dire, au niveau ressources complémentaires, il y a également le lien vers le blog du podcast, dans lequel vous allez retrouver une partie des informations qui sont dans cet épisode, mais parfois un peu plus. Tout ça dépend, bien entendu, de mon mood. Donc voilà, si vous désirez... Faites-le, il n'y a aucune obligation, mais ce sont des ressources complémentaires que je vous offre bien cordialement. Voilà, prenez bien soin de vous et surtout, prenez soin de votre temps, parce qu'au fond, ce n'est rien d'autre que votre vie. A bientôt ! Voilà, nous arrivons à la fin de cet épisode. Je me permets de vous rappeler que si vous désirez intervenir, soit avec un commentaire, une suggestion, même une question, ce sera un grand plaisir de vous écouter et d'y répondre d'ailleurs vous pouvez me joindre bien entendu à l'adresse suivante Je vous remercie pour votre présence chaleureuse et votre écoute. Je vous donne donc rendez-vous au prochain épisode. Vous savez maintenant de quoi nous allons parler. Et entre-temps, si vous le désirez, je vous propose de continuer l'aventure sur le site internet oruposa.com. A très bientôt.