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ET SI C'ETAIT LE MOMENT

On ne m’a pas abandonné… mais j’ai grandi comme si

On ne m’a pas abandonné… mais j’ai grandi comme si

13min |13/06/2025
Play
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Description

Dans l’épisode précédent, on a parlé de manipulation. Cette fois, on va un cran plus loin.
On explore ensemble une blessure souvent invisible, mais puissante : l’abandon.

Je vous emmène dans un voyage à la fois personnel et universel, pour comprendre comment un lien rompu peut laisser une empreinte silencieuse… et durable.
Comment on finit par se quitter soi-même, par peur d’être quitté.
Et surtout, comment on peut apprendre à revenir vers soi.

Un épisode qui parle d’enfance, de relations, de projections… mais surtout de réparation.
Pour soi. Et parfois aussi, pour l’enfant qu’on a été.


Vous voulez réagir? Ecrivez-vous sur contact@adr-coaching.com


Les repères clés de l’épisode 6 – "On ne m’a pas abandonné… mais j’ai grandi comme si"

  1. Rejeter, c’est se couper d’un lien jamais vraiment établi.
    Le rejet intervient souvent quand il n’y a pas eu de lien émotionnel profond — ou qu’il a été nié. Il est motivé par la honte, le jugement, ou la peur de ce que l’autre nous renvoie.

  2. L’abandon, lui, casse un lien réel et intime.
    C’est ce qui le rend profondément douloureux. Il s’agit d’un lien qu’on a vécu, ressenti… et dont la rupture laisse une trace inconsciente.

  3. Un abandon non nommé continue d’agir dans l’ombre.
    Tant qu’il n’est pas reconnu comme tel, on s’adapte, on se construit autour — mais il continue de gouverner nos réactions, notamment la peur de perdre l’autre.

  4. Quand on projette la peur de l’abandon, on s’abandonne soi-même.
    À force de vouloir protéger le lien, on finit par se renier. On s’envoie ce message : « Je peux être abandonné » C’est une auto-condamnation.

  5. Le vrai pouvoir, c’est de redevenir acteur de notre scénario.
    En cessant d’accuser l’extérieur, en prenant conscience que l’amour peut devenir inconditionnel, on peut cesser de se juger, de se rejeter, de s’abandonner.
    On peut devenir un parent plus présent — pour nos enfants… et pour l’enfant en nous.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Dans l’épisode précédent, on a parlé de manipulation. Cette fois, on va un cran plus loin.
On explore ensemble une blessure souvent invisible, mais puissante : l’abandon.

Je vous emmène dans un voyage à la fois personnel et universel, pour comprendre comment un lien rompu peut laisser une empreinte silencieuse… et durable.
Comment on finit par se quitter soi-même, par peur d’être quitté.
Et surtout, comment on peut apprendre à revenir vers soi.

Un épisode qui parle d’enfance, de relations, de projections… mais surtout de réparation.
Pour soi. Et parfois aussi, pour l’enfant qu’on a été.


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  1. Rejeter, c’est se couper d’un lien jamais vraiment établi.
    Le rejet intervient souvent quand il n’y a pas eu de lien émotionnel profond — ou qu’il a été nié. Il est motivé par la honte, le jugement, ou la peur de ce que l’autre nous renvoie.

  2. L’abandon, lui, casse un lien réel et intime.
    C’est ce qui le rend profondément douloureux. Il s’agit d’un lien qu’on a vécu, ressenti… et dont la rupture laisse une trace inconsciente.

  3. Un abandon non nommé continue d’agir dans l’ombre.
    Tant qu’il n’est pas reconnu comme tel, on s’adapte, on se construit autour — mais il continue de gouverner nos réactions, notamment la peur de perdre l’autre.

  4. Quand on projette la peur de l’abandon, on s’abandonne soi-même.
    À force de vouloir protéger le lien, on finit par se renier. On s’envoie ce message : « Je peux être abandonné » C’est une auto-condamnation.

  5. Le vrai pouvoir, c’est de redevenir acteur de notre scénario.
    En cessant d’accuser l’extérieur, en prenant conscience que l’amour peut devenir inconditionnel, on peut cesser de se juger, de se rejeter, de s’abandonner.
    On peut devenir un parent plus présent — pour nos enfants… et pour l’enfant en nous.


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On explore ensemble une blessure souvent invisible, mais puissante : l’abandon.

Je vous emmène dans un voyage à la fois personnel et universel, pour comprendre comment un lien rompu peut laisser une empreinte silencieuse… et durable.
Comment on finit par se quitter soi-même, par peur d’être quitté.
Et surtout, comment on peut apprendre à revenir vers soi.

Un épisode qui parle d’enfance, de relations, de projections… mais surtout de réparation.
Pour soi. Et parfois aussi, pour l’enfant qu’on a été.


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  1. Rejeter, c’est se couper d’un lien jamais vraiment établi.
    Le rejet intervient souvent quand il n’y a pas eu de lien émotionnel profond — ou qu’il a été nié. Il est motivé par la honte, le jugement, ou la peur de ce que l’autre nous renvoie.

  2. L’abandon, lui, casse un lien réel et intime.
    C’est ce qui le rend profondément douloureux. Il s’agit d’un lien qu’on a vécu, ressenti… et dont la rupture laisse une trace inconsciente.

  3. Un abandon non nommé continue d’agir dans l’ombre.
    Tant qu’il n’est pas reconnu comme tel, on s’adapte, on se construit autour — mais il continue de gouverner nos réactions, notamment la peur de perdre l’autre.

  4. Quand on projette la peur de l’abandon, on s’abandonne soi-même.
    À force de vouloir protéger le lien, on finit par se renier. On s’envoie ce message : « Je peux être abandonné » C’est une auto-condamnation.

  5. Le vrai pouvoir, c’est de redevenir acteur de notre scénario.
    En cessant d’accuser l’extérieur, en prenant conscience que l’amour peut devenir inconditionnel, on peut cesser de se juger, de se rejeter, de s’abandonner.
    On peut devenir un parent plus présent — pour nos enfants… et pour l’enfant en nous.


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On explore ensemble une blessure souvent invisible, mais puissante : l’abandon.

Je vous emmène dans un voyage à la fois personnel et universel, pour comprendre comment un lien rompu peut laisser une empreinte silencieuse… et durable.
Comment on finit par se quitter soi-même, par peur d’être quitté.
Et surtout, comment on peut apprendre à revenir vers soi.

Un épisode qui parle d’enfance, de relations, de projections… mais surtout de réparation.
Pour soi. Et parfois aussi, pour l’enfant qu’on a été.


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  1. Rejeter, c’est se couper d’un lien jamais vraiment établi.
    Le rejet intervient souvent quand il n’y a pas eu de lien émotionnel profond — ou qu’il a été nié. Il est motivé par la honte, le jugement, ou la peur de ce que l’autre nous renvoie.

  2. L’abandon, lui, casse un lien réel et intime.
    C’est ce qui le rend profondément douloureux. Il s’agit d’un lien qu’on a vécu, ressenti… et dont la rupture laisse une trace inconsciente.

  3. Un abandon non nommé continue d’agir dans l’ombre.
    Tant qu’il n’est pas reconnu comme tel, on s’adapte, on se construit autour — mais il continue de gouverner nos réactions, notamment la peur de perdre l’autre.

  4. Quand on projette la peur de l’abandon, on s’abandonne soi-même.
    À force de vouloir protéger le lien, on finit par se renier. On s’envoie ce message : « Je peux être abandonné » C’est une auto-condamnation.

  5. Le vrai pouvoir, c’est de redevenir acteur de notre scénario.
    En cessant d’accuser l’extérieur, en prenant conscience que l’amour peut devenir inconditionnel, on peut cesser de se juger, de se rejeter, de s’abandonner.
    On peut devenir un parent plus présent — pour nos enfants… et pour l’enfant en nous.


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